Affaire Tahkout : les anciens directeurs de l’Etusa et de l’Onou placés sous mandat de dépôt

Comment (8)

    Pr Smail Nadir
    11 juin 2019 - 15 h 03 min

    Et le nommé Hadjar pour complicité et pour avoir tue l’université? Toujours les lampistes au lieu des ogres du mal. Hadjar doit être publiquement jugé à la Grande poste pour ses détournements d’argent et ses fraudes pour tuer l’université. Il a divisé entre arabisants illettrés comme lui et francophones, il a liquidé les francophones et il a promu les monolingues illettrés. Résultats : la jeunesse est illétrée comme lui.

    Anonyme
    10 juin 2019 - 17 h 48 min

    @FALFEL HAR,ce que vous avez dit s applique à tous les pays du Maghreb.Au moins vous,vous avez quelqu un qui y va sans gang ce qui montre l irritation accumulée par le passé!Aidez-le,il fait du bon travail.Merci

    Felfel Har
    10 juin 2019 - 15 h 11 min

    La corruption a atteint un tel niveau et de telles proportions qu’il va falloir construire une prison de la taille de Guantanamo pour interner tous les malfrats qui ont éviscéré le pays, ses institutions, ses finances. Ils se sont servis au lieu de servir le pays et, ce faisant, ils ont sérieusement compromis nos chances de développement économique, ils ont privés nos enfants d’emploi et d’espoir et ils ont contribué à faire fuir nos compétences.
    Les conséquences de leurs crimes sont incalculables. La justice doit sévir pour, à terme, redonner espoir et confiance à tous nos concitoyens. Elle doit surtout faire montre de rigueur afin de prévenir d’autres crimes similaires. Plus jamais de gabegie, de vols, de détournements, de passe-droits, de privilèges indus!

    bof
    10 juin 2019 - 14 h 16 min

    tout le monde est en prison
    sauf OUYAHIA et SELLAL.

    Pr Nadji Khaoua
    10 juin 2019 - 13 h 40 min

    Cela se rapproche, même si l’on aurait souhaité que cela soit plus vite, des responsables de la descente aux enfers de notre système de gouvernance universitaire et des multiples entorses à l’éthique et aux lois qui le submergent depuis des années, que dis-je, depuis des décennies.
    Aujourd’hui l’Onou, qui s’occupe des services annexes aux tâches scientifiques et pédagogiques assurées par les universités, est sous l’auscultation de la justice et les coupables présumés doivent répondre de leurs actes.
    Demain, espérons le et nous y croyons très fort, les coupables de la descente aux enfers de nos universités subiront le même sort, sans regrets ni vengeance mais dans une stricte application publique des lois.
    Ainsi, dans quelle université du monde sauf en Algérie peut on constater que des responsables administratifs restent en fonction près de 40 ans, oui 40 ans, évoluant de poste en poste ?
    Dans quelle université du monde sauf en Algérie voit on en 2019 des responsables administratifs nommés par décret rester en poste jusqu’après 71 ans?
    Dans quelle universités du monde sauf en Algérie, voit on en 2019 des directeurs de laboratoire de recherche dont le laboratoire a été dissout par arrêté ministériel pour insuffisance de résultat, rester dans les postes de direction dont la nomination se fait par décret, plusieurs mois après la dissolution officielle de leurs ex laboratoire de recherche ?
    Les conséquences sont visibles depuis longtemps : démobilisation des membres les plus intègres du corps enseignant, fuite des cerveaux, écrémage des meilleurs étudiants au bénéfice des pays étrangers, ceux d’Europe et du Canada en premier, marchandisation de plus en plus étendue des notes, des mémoires de soutenance, des composition de jurys de soutenance, etc.

    Pr Nadji Khaoua

      Ayweel
      10 juin 2019 - 15 h 02 min

      Monsieur Pr, il faut ajouter à ceux là tous les recteurs, vices recteurs, doyens, chefs de départementet sans oublier les présidents des conseils scientifiques. Il est impératif de faire une enquête pour voir comment tous ces khobsistes et affairaisstes ont été choisi et comment ils prennent, chaque été, des vacances à l’étranger pour un mois en se couvrant par le chapitre de congé scientifique et comment ils invitent des soi disant scientifiques étrangers en appliquant la théorie de invite moi je t’invite, évidemment la facture est payée par le comptable de l’université en utilisant le chapitre congés scientifiques et conférences. …..ourouhourouh..

        Pr Nadji Khaoua
        10 juin 2019 - 16 h 57 min

        Merci beaucoup, cher concitoyen, pour votre commentaire.
        Cependant, et au vu de mon expérience assez longue du milieu universitaire, j’ai observé que beaucoup de celles et ceux que vous citez, qui sont d’abord des enseognantes et des enseignants, choisis de manière toujours opaque, pour diriger les départements, les vices-doyennats, les doyennats et les rectorats, sont pour la plupart des « moutons » sans respect de soi aucun, obéissants aveuglément et sans discussion à leur chef hiérarchique.
        Avez vous lu ou entendu l’une ou l’un d’entre eux démissionner publiquement de son poste administratif ?
        Ces gens là tout en étant nocifs au jour le jour, sont d’une importance assez secondaire pour l’urgence d’une Nouvelle Gouvernance Universitaire, basé sur la loi et les critères les plus objectifs comme :
        1 – La confrontation des CV scientifiques et pédagogiques des candidats aux postes de direction administrative,
        2 – La fixation au préalable de durée moyenne et maximale (3 à 5 années) d’exercice.
        3 – La certitude de l’intégrité absolue des candidats et la présentation à la justice au moindre doute et de soupçon.
        Enfin, je suis certain que si les instances de controle et les instances judiciaires, s’intéresseraient un jour à la gestion de certaines universités et facultés, particulièrement à l’Est du pays, elles découvriraient des « vertes et des pas mûrs » quant à la gestion des budgets publics accordés à ces universités et ces facultés, depuis les deux dernières décennies.
        Sans vengeance et sans regret, nous serons toujours là, pour au moins alérter, dénoncer, publier, sans jamais ni avant ni maintenant ni après nous ne visons d’être nommer à une responsabilité quelconque. Notre statut de chercheur, que nous avons bati seuls, sans aucun concours d’aucune sorte de notre université d’attache, en y consacrant nos maîgres ressources privées des années durant, au détriment de notre confort et de nos familles, nous suffit et nous en sommes si fiers, d’une fiereté que les « faux clercs » et tous les « moutons » prétendument « universitaires » ne pourront jamais connaitre.

        Pr Nadji Khaoua

    win biha
    10 juin 2019 - 13 h 28 min

    REMBOURSEZ, TOUS ET PAS QUE CERTAINS.
    On veut le fric et pas que le sursis.

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