Le partenariat algéro-espagnol se porte bien à tous les niveaux

Beni Saf Water Company
Beni Saf, un atout pour la wilaya d'Aïn Témouchent. D. R.

Le consul général d’Espagne à Oran, Alvaro Vermoet Hidalgo, a affirmé mercredi à Aïn Témouchent que «le partenariat algéro-espagnol se porte bien à tous les niveaux».

Alvaro a déclaré à la presse en marge de la mise en service du parc d’attractions et de loisirs au niveau de la plage El-Hilal d’Aïn Témouchent, que le partenariat algéro-espagnol s’opère dans de bonnes conditions dans le domaine économique et commercial, soulignant que le projet du parc réalisé au profit de la population locale est «un exemple de la qualité des relations algéro-espagnoles».

«Nous soutenons les entreprises algériennes et espagnoles qui désirent travailler ensemble dans le cadre du partenariat économique», a-t-il encore affirmé, saluant les relations «distinguées» entre les deux pays.

A propos du parc d’attractions réalisé par la société Beni Saf Water Company, qui gère la station de dessalement de l’eau de mer de la plage d’El-Hilal, Alvaro a expliqué que cela est d’une bonne augure de la responsabilité sociale participative et traduit les relations entre les entreprises économiques et les autorités locales.

Le parc est un don de la société espagnole Beni Saf Water Company qui gère la station de dessalement de l’eau de mer à la commune de Sidi Benadda dans le cadre du renforcement de la coopération algéro-espagnole.

S’étendant sur une superficie globale de 2 300 mètres carrés, le parc dispose d’espaces verts, des jeux pour enfants, un couloir de sport, un terrain de beach-volley, ont indiqué les responsables de ce projet.

Le président de l’APC de Sidi Benadda a salué cette initiative, soulignant que c’est un acquis pour cette collectivité locale devant préserver l’environnement et promouvoir le tourisme balnéaire.

R. E.

Comment (5)

    alif
    25 août 2019 - 18 h 51 min

    Le model agricole Espagnol est une catastrophe
    Ils brulent leur terre avec toute sorte de produits nocif
    Leur fruits et legumes sont inmangeable
    Oui ils vont vous apprendre comment détruire la terrre pour Toujours
    Le pire model occidental
    Eau souterraine poluée
    Ils ont plus d’eau
    c une catastrophe
    Surtout a ne pas copier leur model

    Merza
    24 août 2019 - 19 h 54 min

    Generalement lorsqu’on dit Tout va Tres Bien
    C’est qu’il ya un loup
    Alors ….

    Al Maz
    1 août 2019 - 17 h 40 min

    Oui Mr. le Consul, le partenariat se porte bien à tout les niveau…sauf concernant le…Sahara Occidental !!!

    Djamel BELAID
    21 juillet 2019 - 10 h 58 min

    Nous avons beaucoup à apprendre de nos partenaires espagnoles, notamment dans le domaine agricole.
    Concernant le partenariat CMA-SOLA à Sidi Bel-Abbès, il faudrait produire:
    -des semoirs conventionnels qui possèdent deux trémies, une pour les semences et une autre pour les engrais,
    -plus de semoirs pour semis direct (modèle Boudour), selon nos informations seuls 15 exemplaires ont été construit révolutionne les façons de cultiver les céréales et légumes secs en zone semi-aride.
    Il faudrait s’inspirer de la façon dont les Espagnoles ont développé la culture de colza et tournesol.
    Afin question amandes, ils sont bien en avance et permettent des usines françaises de produire 800 litres de lait végétal d’amande à partir de 25 kilo d’amandes.
    On n’oublie pas cependant qu’à Almerilla, la façon de produire du maraichage et des olives de façon intensive est une catastrophe écologique.
    Djamel BELAID Ingénieur agronome.

    Anonimaoui
    18 juillet 2019 - 15 h 06 min

    Toutes les gabegies et les pertes financières colossales ayant grevé le trésor public algérien résultent de l’implication directe des services de l’Etat dans toutes les phases de concrétisation des projets d’investissement étrangers directs et indirects. À chaque phase du projet il y a des fonctionnaires intéressés en ambuscade décidés coûte que coûte à toucher leurs dîmes en nature, en liquidités ou avantages divers. Les investisseurs étrangers sérieux et jaloux de leur réputation jettent l’éponge au premier faux barrage. Seuls les étrangers corruptibles et corrupteurs à la fois arrivent à traverser le champs de mines que constituent les investissements directs étrangers. La loi du 51/49, sortie du cerveau maléfique de ouyaya, est un des obstacles principaux forçant l’étranger à s’associer avec un représentant de la mafia locale qui est à la base de ce sabotage en règle de l’économie du pays.

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