Qui se cache derrière le démantèlement du tissu industriel privé national ?

production industriels nationaux
A qui profite l'éternelle crise du lait ? PPAgency

Par Mohamed K. – Les industriels nationaux du lait n’ont pas digéré la virée de Tebboune à Riyad. Le recours des autorités à l’importation de cette denrée alimentaire de base d’Arabie Saoudite, auprès d’Almarai, pour transcender l’insolvable crise qui touche ce secteur sensible depuis de longues années, sans qu’aucune solution sérieuse ait été envisagée, a provoqué la colère de nombreux citoyens qui dénoncent une «nouvelle opération de destruction du tissu industriel national au profit des grands groupes mondiaux».

Une campagne de solidarité avec les producteurs locaux de lait a été lancée sur les réseaux sociaux pour empêcher la mort programmée d’une autre industrie après celle naissante de l’automobile et de l’électronique, qui commençait à prendre son envol, après que de nombreuses marques eurent pénétré les marchés africain et européen. Toutes ces entreprises sont aujourd’hui en situation de quasi faillite, et l’effort qui avait été entamé il y a quelques années pour sortir de la dépendance aux hydrocarbures ont été réduits à néant. Les errements politiques ont sonné le glas d’une réorientation de l’économie nationale vers la production locale qui, bien qu’ayant enregistré de nombreuses failles, ne préludait pas moins une embellie économique à terme si des ajustements adéquats avaient été opérés.

La vague d’arrestations de patrons de l’industrie embryonnaire, dans le cadre de règlements de comptes entre les clans au pouvoir, a gelé toute l’activité économique dans le pays. A cette stagnation périlleuse qui présage une grave crise sociale dans les semaines et les mois à venir est venue s’ajouter un retour qui ne dit pas son nom vers l’import-import, à travers l’accord que le successeur de Bouteflika vient de signer avec les Al-Saoud. Une fuite en avant qui ni ne réglera la crise du lait ni n’aidera les producteurs locaux, publics et privés, à se relever de ce choix impertinent qui traduit la crainte des dirigeants actuels d’affronter une rue déjà très remontée au cas où la pénurie de ce produit de première nécessité viendrait à perdurer.

Les gesticulations du clownesque ministre du Commerce étaient un signe avant-coureur de cette solution de rechange, le gouvernement étant incapable de résoudre des problèmes autrement moins complexes, la machine économique étant enrayée et l’administration paralysée.

M. K.

 

Comment (54)

    Ziri Warsenis
    4 mars 2020 - 8 h 59 min

    Le tissu industriel privé dit-il … parce qu’il y en a un ?
    La seule entreprise privée digne de ce nom créatrice de plus value en Algérie est Cevital et la clique du Nabot-Leon de l’Ordre d’Oujda-Les-Trois-Hammams a tout fait pour la démolir. A titre d’exemple, le projet de port en eau profonde de Cap Djinnet incluant un hub industriel qui allait créer 30 000 emplois au départ a été saboté et la partie sidérurgie prévue refilée aux émi-Rat-titis (à Bellara) financé par des fonds publics, pour respecter le plan de destruction du pays élaboré par le Petit Bout’Flic. Quant au port, lui on connaît sa saga et son implantation sur un site inapproprié (Hemdania) à valeur archéologique, refilé à une entreprise chinoise pour les rétrocommissions habituelles et mieux que ça, incluant la cession de souveraineté sur les installations portuaires pour une durée de 35 ans … C’est y pas beau ça ?
    Pourtant, une étude de faisabilité d’un port en eau profonde en Algérie réalisée par un bureau d’études britannique, concluait que le site le plus approprié pour ce projet est … Cap Djinnet !
    La réponse de Fakhamatouhoum 1er a été qu’il ne voulait pas d’un Berlusconi en Kabylie. Alors, vivent les émi-Rats et la cession des pans de souveraineté nationale à tous ces pingouins devant qui ils se prosternent comme des p… devant un chikour.
    Ce n’est plus que du sabotage économique, c’est de la pure trahison passible de condamnation.
    Or, il ne faut pas se leurrer, le Grabataire ne sera pas trainé devant les tribunaux pour ses multiples forfaitures et la déstructuration du pays, il n’y aura pas de jugement ou de condamnation. Puisque c’est un des clans rivaux de mafieux qu’il avait sous sa coupe qui est en place et lui survit. Il possédait la roublardise et le machiavélisme pour s’acoquiner avec les pires crapules pour les gaver et les avoir ensuite à son service. Ne disait-il pas : vous m’avez traité de voleur (fonds des affaires étrangères) eh bien, je vais tous vous corrompre. Il a réussi son pari, il faut lui reconnaître ce sale mérite.
    Est-ce qu’il est étonnant que Tebboune renouvelle son obédience et fait acte de suzeraineté à l’Arabie maudite, absolument pas, c’est bien dans la nature des choses. L’Arabie Tayhoudite est notre souveraine, nous peuple de pygmées et de culs-de-jatte, incapable de produire quoi que ce soit par nous-mêmes. Preuve de cette suzeraineté déclarée, admirez son tableau et sa marque affichée sur les écrans dans un avion d’Air Algérie durant un vol, peu importe la destination. Vous verrez toujours affichée la distance qui sépare la position de l’avion de La Mecque suivant le trajet parcouru. Je n’ai jamais vu ça ailleurs, aucun pays au monde n’abaisse son honneur, sa fierté et sa dignité à ce point. Même les envoûtés « born again Christians » de la Bible Belt US ne s’enflamment pas autant pour Jérusalem ou Nazareth.
    Nous avons abdiqué notre souveraineté, insulté et outragé nos Histoire pour si peu devant ceux qui n’ont que du sable et de la poussière comme patrimoine. C’est un déshonneur. Nous ne sommes plus maîtres de notre destin, il faut qu’on se rattache toujours à la péninsule des pingouins, comme une banlieue lointaine vers le couchant.
    Un jour, ce sera du lait de chamelle certifié bio, scellé halal par un imamus hypocritus, qui sera fourgué en même temps que de la pisse de camélidés pour guérir toute sorte d’envoûtement. Le peuple célébrera les cadeaux des « frères ».

    La Poire
    4 mars 2020 - 8 h 35 min

    Qui se cache derrière le démantèlement du tissu industriel privé national ?
    L’INCOMPÉTENCE DANS TOUS LES SECTEURS ET DE TOUT LE MONDE.

    Salim
    4 mars 2020 - 0 h 42 min

    Question très pertinentes

    Réponse 1
    niveau managérial de nos dirigeants politiques ( suivez mon regard) complètement déconnecté s de la mondialisation globalisation de l’économie en 2020, dont les maitres a penser sont des bédouins du Moyen Orient
    Réponse 2
    A partir du constat ci dessus, on peut supposer qu une nouvelle mafia se substitue a la précédente toujours presente
    Réponse 3

    Nous avons l’exemple de la SNTA, des ports, des télécommunications etc….Quelle est la plus value ou la valeurs ajoutée pour tous les jeunes qui s’expatrient ou ceux qui subsistent dans l’Algerie profonde qui ont besoin d’être considérés et non méprisés, de les organiser, les former, responsabiliser, en les accompagnant dans leur projet
    pour avoir du lait , il faut des vaches, des prairies, et certainement pas des contrrees désertiques
    Les futurs partenaires vont nous fournir des vaches de Hollande, France, Allemagne, Irlande via avec un prix ?????? etc etc…. sur tous les plans économiques, financiers sécurité , humains nos serons leur assujettis et pourront disposer de nous le plus légalement du monde
    Au lieu que nous gouvernants redonnent confiance a leurs concitoyens par des actes sincères

    Hamid
    3 mars 2020 - 23 h 14 min

    To Vendredire, to start with, you tend to think you know best about everything.It’s this hubris that makes you rude , arrogant and absolutely impolite .I have never been disrespectful towards anyone but exceptionally this time I have to , replying with an equally vigorous riposte .In the English language , there’s a phrasal verb for ‘ go to hell ‘ .It begins with F and ends with F .Here it is : F*****F. Your comment is poorly written ,unnatural sounding in the English language .Tahia Eldzair as always …………..

      Vendredire
      5 mars 2020 - 1 h 15 min

      To genious hamid. Your comment is irrelevant. I think you still feel a bit frustrated because I jumped in when you attacked Samira Messouci .Your argument was absolutely fallacious and out of context.
      May be you don’t understand what’s going on right now. There is a war between those who praise freedom and those who support oppression. As a basic rule, in such context, all means to fight that war are welcome. And I use all of them, if you don’t mind
      As you said, I am rude because I have to but I am not arrogant. I just want to make stupid people look like stupid people. Not more than that.
      Having said that, be sure this is the last time I reply to you in English because, as you said, my English is so poor. I guess if you can read AP, you can speak French. Then, if you are so courageous, publish your comments in french going forward. We’ll see how brilliant polyglot you are.
      PS: You said you have never been disrespectful. I just wonder how nasty you can be when being disrespectful.
      End of story.

    TOLGA - ZAÂTCHA
    3 mars 2020 - 22 h 41 min

    « Qui se cache derrière le démantèlement du tissu industriel privé national ? ».
    Réponse : LES ENNEMIS ÉTERNELS DE L’ALGÉRIE !
    Tout a commencé avec Chadli Bendjedid qui a procédé à la fermeture brutale des principales entreprises de bases qui formaient, à l’époque, le tissus naissant de notre industrie de l’époque tels que SONIPEC – SONACOME – SONATIBA et tant d’autres… suite aux ordres reçus directement du président français François Mitterand (dont le conseiller principal était le natif de Constantine Jacques ATTALI) qui lui a intimé l’ordre de DÉTRUIRE nos entreprises de base qui formaient la trame essentielle de notre industrie de base avec la mise au chômage immédiat de centaines de milliers de travailleurs Algériens qui se sont retrouvés du jour au lendemain sur le carreau et j’en sais quelque chose…
    Par la suite, Bouteflika a fait le reste : LA MISE A MORT DE L’ALGÉRIE toujours sur ORDRE DIRECTE de la france mais pas que…
    Ce faisant, la france a fini par instaurer en Algérie avec l’aide de traitres « responsables… algériens » de l’instauration d’une économie informelle forçant l’Algérie à TOUT IMPORTER de la france et de l’étranger ce tout monnayé en DEVISES FORTES….. SONNANTES ET TRÉBUCHANTES avec un gonflement sidéral et abyssal des factures ce qui permettait LA FUITE DE NOS DEVISES avec le résultat que l’on sait actuellement : LA FONTE DE NOTRE RENTE PÉTROLIÈRE…
    Aujourd’hui, nous constatons que Teboune s’inscrit en droite ligne de cette politique de CONTINUITÉ menant à la destruction de notre tissus industriel car c’est tout simplement : UN ASSASSINAT ÉCONOMICO-INDUSTRIEL !!! Et je pèse mes mots…
    Pour rappel. Teboune n’a-t-il pas – JURÉ PAR TROIS FOIS – que le programme (de DESTRUCTION, je présuppose) de Bouteflika sera TOTALEMENT ACCOMPLI….. Cela donne froid au dos, yal khawa.

    Du reste, ce qui est sûr, et même très sûr, c’est que nous avons LA CHANCE, aujourd’hui, d’avoir un VRAI MINISTRE ! UN MINISTRE DE L’INDUSTRIE D’ARGAZ !!! En la personne de l’Honorable Monsieur FERHAT AÏT ALI Braham. Ce Monsieur est en train de faire bouger les lignes, c’est plus qu’évident. Mais ces ennemis de l’Algérie le laisseront-ils TRAVAILLER…? Là est toute la question.
    Néanmoins, une chose est certaine cependant. C’est qu’il ne se laissera JAMAIS marcher sur les pieds vu qu’il est LE SEUL Ministre qui travaille réellement, actuellement, dans ce gouvernement. Il est même capable de remettre, sur le champs, sa démission à Teboune s’il sent que celui-ci veut lui mettre les bâtons dans les roues pour l’empêcher de réaliser concrètement son plan reconstruction DU NOUVEAU TISSUS INDUSTRIEL DE L’ALGÉRIE FUTURE. C’est SON CHALLENGE ET SON DÉFI DU SIÈCLE pour l’ALGÉRIE et pour LE PEUPLE ALGÉRIEN !!!
    Sa big surprise, pour tester la « bonne foi » de Teboune, serait que Monsieur Le Ministre AÏT ALI propose au « président » de RECRÉER mais de manière BEAUCOUP PLUS INTELLIGENTES de nouvelles sociétés : SONITEX – SONIPEC – SONATIBA – SONACOME etc… cela permettrait à des millions de gens et de jeunes Algériens de TRAVAILLER DIGNEMENT en les sortant du chômage endémique dans lequel Chadli et Bouteflika les ont plongés.
    IL VOUS SUFFIT D’OSER, Monsieur LE MINISTRE !!!
    QUE DIEU VOUS VIENNE EN AIDE YA RABI AL ÂLAMINE !!! AMINE…..
    Bon courage, à vous, Monsieur Le MINISTRE !
    ET QUE DIEU PROTÈGE NOTRE ALGÉRIE !!!
    AMANA… AL DJAZAYER AMANA ENTRE VOS ET NOS MAINS !!!

      chaoui40
      4 mars 2020 - 8 h 08 min

      Merci Tolga de nous rappeler la vérité ! Nos dirigeants d’hier étaient de vendus au FMI et au libéralisme mondialiste. or, une économie pauvre ne peut rivaliser avec les économies prédatrices. L’autarcie, le repli nationaliste sont les seules armes. Mao l’a démontré … Le maoïsme n’est pas un vain mot : il a construit l’économie chinoise actuelle !

      Krimo
      4 mars 2020 - 9 h 11 min

      Tolga-Zaatcha,

      Tu dis : « Tout a commencé avec Chadli Bendjedid qui a procédé à la fermeture brutale des principales entreprises de bases »

      Desole, Chadli n’a jamais ferme les principales entreprises parce que …….. par respect au defunt, mais en plus il s’est entoure par des opportunistes dont le plus bel echantillon etait Brahimi la Science et c’est lui l’instigateur du demantellement de l’industrie preexistante, non sous forme de fermeture mais de restructuration des entrepreprises. De proches collaborateurs a lui ont tout fait pour l’en dissuader mais ….il est alle au bout de ses c… et quatre ans plus tard a ces memes collaborateurs il confia « je me suis trompe mais il fallait essayer ». Sous Chadli le Parti est monte en puissance, une veritable hydre avec comme tetes secondaires la cohorte des organisations de masse sous les bons auspices de l’armee dont nombre d’officiers etaient membres du Comite Central.
      ….

        TOLGA - ZÂTCHA
        4 mars 2020 - 21 h 58 min

        Krimo.

        Loin de moi tout idée de… MANQUER DE RESPECT AU DÉFUNT. ALLAH YERRAHMOU BI RAHMATI ALLAH ! Et ça n’a absolument RIEN A VOIR avec le développement que j’ai fait. Mais… Hélas ! On ne peut pas aller contre une VÉRITÉ HISTORIQUE bien établie.
        – Le démantellement des nos entreprises vendues au dinar symbolique à des voyous sortis du néant.
        – La disparition de la classe intermédiare et sa paupérisation.
        – La RÉVOLTE d’Octobre 88 et j’en passe…
        Puis, l’intronisation de Bouteflika qui a fait le reste en détruisant totalement de ce qui restait encore debout de l’Algérie.
        Pour me résumer, il y a eu donc comme :
        UN MAUVAIS CASTING PAR QUI DE DROIT… concernant CHADLI (ALLAH yerrahmou !) et Bouteflika.
        Espérons que le « choix » porté, cette fois-ci, sur Teboune sera meilleur. Croisons les doigts…
        Mais n’oublie jamais que le principe cardinal de toute gouvernance politique est le suivant :
        GOUVERNER C’EST… PRÉVOIR !!!

          Krimo
          5 mars 2020 - 11 h 43 min

          Tolga- Zaatcha,

          Je ne vous attribue nullement l’idee de manquer ou d’avoir manque de respect au defunt. Mes excuses pour mon ecrit, mais il s’agissait de moi qui ne voulais pas dire ce que j’en pensais.

          Bien a vous

        Zaatar
        5 mars 2020 - 15 h 45 min

        @krimo,
        Ya khouya ya3tik essaha de rappeler ces célèbres phrases qui du fait de leurs auteurs ont cloué le pays et l’ont transpercé de part en part chacun selon son mode emploi. Merci encore l’ami.

    Alfa
    3 mars 2020 - 19 h 29 min

    Je ne vais pas faire de la polémique concernant ce marasme politico-économique crée pour servir les autocrates et consorts avec l’aide d’une populace à la traine dans tous les domaines, voire étique.
    Voir et regarder le problème en pataugeant dans le problème lui-même ne permet pas de le résoudre ou trouver un quelconque palliatif ou une issue de sortie.
    Le problème c’est nous-même, nous sommes l’équation à résoudre à ce qu’on crée.
    Une ou deux questions à soulever à savoir entre-autre:
    – Si j’ai besoin d’un litre de lait pourquoi est-ce-que je vais en acheter 5 litres puis jeter quatre aux chiots.
    – Si j’ai besoin de 2 baguettes de pain pourquoi est-ce-que je vais acheter 10 baguettes puis jeter 8 à la poubelles pour engraisser les rats.
    – Si j’ai besoin d’un sac(50Kgs) de farine ou semoule pourquoi je vais acheter 5 sacs pour en laisser 4 sacs dans une remise qui sera l’âtre des moisissures, de la suie et des cafards pour ensuite les jeter à la poubelle.
    – Donc si on fait une rétrospective de la situation actuelle on va s’apercevoir que le problème vient de nous- autres mais qu’on ne veut pas l’admettre pour autant.
    Akhiran comme disait le sage: Nou3ibou ezzamanou oua el 3aibou fina, oua ma li ezzamani min 3aibin illa siouana.

      Anonyme
      4 mars 2020 - 10 h 58 min

      Si on n arrête pas de subventionner les produits de première nécessité il y aura toujours du gaspillage !!
      Il faut trouver une solution intermédiaire pour éviter que les plus riches payent le pain et le lait aux mêmes prix que les couches les plus défavorisées.
      On supprime les subventions et on augmente le salaire ou alloue une allocation à ceux qui ont des revenus très bas.

    chaoui40
    3 mars 2020 - 17 h 58 min

    Chers concitoyens, je vous le dis : seule une économie marxiste nous sauvera et préservera notre souveraineté ! Nous n’avons pas d’investisseurs gagnant-gagnant et encore moins d’investisseurs indigènes. Il nous faut donc une économie étatique et beaucoup de patriotisme … Sinon, notre pays sera mis en miettes avant 2050 et nous ne seront plus que les esclaves d’économies plus fortes ! Comme nos voisins du Maroc …

      Anonyme
      3 mars 2020 - 23 h 18 min

      On a vu ton économie marxiste au temps de l’Urss avec des magasins alimentaires dont les étals étaient complètement vides. Quant à la souveraineté, ça fait longtemps que nous l’avons perdue.
      Une économie étatique et beaucoup de patriotisme…mais c’est ce qu’on a actuellement! Il faudrait mieux te renseigner. Elle a même une caractéristique particulière aux yeux de nos partenaires étrangers c’est qu’elle est corrompue.
      Il faut faire ceci, il faut faire cela…La vérité, c’est que nous savons toujours ce qu’il faut faire. Ce qui est difficile c’est de le faire… et nous attendons que ce soit l’autre qui le fasse. Cela va faire 60 ans que c’est comme ça et ce sera un miracle quand cela changera.

      Anonyme
      4 mars 2020 - 11 h 02 min

      On l a eu avec Boumedienne ton économie marxiste et ce n était pas très beau…pénuries,passe droits,chaînes interminables,marchandises avariées, marché noir..
      Si vous en parlez c est que vous êtes jeunes et vous ne l avez pas vécu !!!!

    il ne manque qu'un article sur les USA
    3 mars 2020 - 17 h 12 min

    il ne manque encore qu’un article sur la présence des américains en algérie! Les USA déterminés à œuvrer avec l’Algérie nouvelle dans le cadre du partenariat va faire beaucoup de jaloux de l’autre côté de la frontière ouest et outre méditerranée. attendons nous à une nouvelle polémique anti US! la même qu’à mené le pantin de degaulle benbella en 1963 pour faire éloigner les USA de l’algérie. depuis que je suis né, et avec du recul et une bonne documentation, je découvre que le maroc et la france font tout pour isoler l’algérie des USA! bourita dernièrement nous a fait sortir le mensonge dont personne n’en parle encore du hizbollah et l’iran en algérie et au polisario! une tentative de faire détester l’algérie aux américains. l’affaire de la banderole de ain melila montre que les ennemis de l’algérie et contre toute ouverture vers les USA se trouve dans le système même algérien, qui est un système mafieux et tellement corrompu qu’il n’a rien à cirer des algériens et de l’avenir de notre pays.
    à chaque fois que l’algérie prend une décison dans l’intérêt de la nation à moyen terme, une polémique est systématiquement créée: exploitation du gaz de schiste, aide à la tunisie, air algérie en chine (pourtant le virus est totalement irradiqué aux aéroports chinois) car les marocains s’interrogent ce que air algérie exporte et ce qu’elle importe de chine secrètement, … il y a une leçon à retenir de tout cela, c’est que le sréseaux sociaux sont contrôlés par les ennemis de l’algérie qui lancent des rumeurs tous azimut et le pire c’est que les algériens faibles d’esprit s’y adhèrent, et propagent même la rumeur à leur tour qui forme une boule de neige donc un air de vérité absolue pour certains, sans prendre la peine de vérifier les fake news!
    MAIS BIZARREMENT AUCUNE POLÉMIQUE SUR LE RECRUTEMENT D’UN STAGIAIRE MAROCAIN?, QUI EST EN REALITE UN ESPION DU ROI POUR DÉTRUIRE L’EQUIPE NATIONALE DE L’INTÉRIEUR (sorcellerie et le qil ou lqal etc.) ET TRANSMETTRE AU MAROC LES POINTS FAIBLES ET LES POINTS FORTS DE NOTRE ÉQUIPE ALORS QU’ELLE VONT SUREMENT TOMBER L’UNE CONTRE L’AUTRE POUR LA QUALIFICATION POUR LE MONDIAL 2022. tous les observateurs étrangers s’étonnent d’un tel recrutement qui e considère comme un suicide de belmadi et de l’équipe nationale. aucun étranger n’est admis en équipe de france et le staff est choisi avec l’accord des services secrets français, en algérie c’est le grand « bordel »

      Anonyme
      4 mars 2020 - 11 h 14 min

      « Les ennemis de l’algérie qui lancent des rumeurs tous azimut et le pire c’est que les « algériens faibles d’esprit » s’y adhèrent, »
      Le faible d’esprit que je suis n’adhère pas à ces rumeurs pas plus qu’à vos bobards qui sont hors sujet mais qui demandent une réponse que je me permets.

      En fait, il y a cinq choses à savoir sur la relation entre les Usa et notre pays. La première est que l’Algérie est « un partenaire stratégique et compétent, avec lequel les États-Unis entretiennent des relations de coopération solides en matière de diplomatie, de maintien de l’ordre, d’économie et de sécurité ».

      La deuxième chose est que les États-Unis et l’Algérie « collaborent pour atteindre des objectifs communs de sécurité régionale à travers la coopération, notamment des échanges d’expertise et d’expérience, d’exercices militaires, d’enseignement et de formation des militaires»

      La troisième chose à savoir est que l’Algérie a « l’une des forces armées les plus puissantes d’Afrique, avec une armée qui dispose de plateformes développées sur terre, air et mer, et possède une grande expertise dans les opérations de lutte contre le terrorisme ».

      Le quatrième point cité par le Pentagone est relatif au « rôle constructif » de l’Algérie dans « la promotion de la stabilité régionale ».

      Enfin, l’Algérie, « est l’un des principaux partenaires commerciaux des États-Unis dans la région Moyen-Orient/Afrique du Nord.

      Ces cinq points sont la résultante d’une rencontre qui a eu lieu à Washington du 18/11/2019 au 21/11/2019 entre le général-major Mohammed Bachar, directeur du département de l’Emploi et de la Préparation de l’état-major, et James Anderson, sous-secrétaire adjoint du ministère de la Défense américain. Ce n’est pas un bobard (traduction de fake news).
      On notera le silence complet sur notre véritable situation économique. Le cinquième point est plutôt dans le flou. Ce qui intéresse vos amis américains c’est le coté sécuritaire que notre nation est sensée leur garantir.
      1963, c’est du passé, Degaule est mort et enterré. La situation que les « Faibles d’esprit » (qu’on taxait d’anti patriotes) prédisaient depuis des lustres est —là— devant nous. A savoir qu’on est en quasi faillite et que la gouvernance ne s’est pas comment faire pour éviter la crise.

      Pour sortir de la crise, de la croissance de la pauvreté et de l’inégalité, on enseigne que la société doit discipliner sa conduite. Elle doit discipliner sa consommation (consommer moins et investir plus, produire plus de biens collectifs et moins de biens privés) pour être solidaire des plus démunis. Elle doit aussi se mettre au travail. Notre société habituée à la manne pétrolière, en est-elle capable ?

      Souvenons-nous des déclarations de M. Benachenhou* en septembre 2016. Il avait implicitement attribué la responsabilité de la crise actuelle à ses détracteurs de l’époque, qui auraient bloqué les réformes pour des «raisons idéologiques». Il a souligné que la rente pétrolière de l’Etat, les entreprises et les ménages n’ont pas adhéré aux réformes, car ils «étaient soulagés de toute contrainte budgétaire». «J’ai essayé d’imposer une contrainte budgétaire mais j’ai failli être lynché », disait-il. Et c’était ce que préconisaient les économistes à l’époque ainsi que toutes les personnes sensées pour sortir un tant soit peu « du tout pétrole ».

      Il a rappelé qu’il avait notamment essayé d’imposer une augmentation du prix du carburant mais que celle-ci avait été rejetée afin de ne pas susciter une fronde sociale. Il a indiqué, par ailleurs, qu’il avait projeté de réorganiser totalement le secteur public marchand pour plus de compétitivité et de performance et que les entreprises publiques soient réellement autonomes et ne soient pas dépendantes du budget de l’Etat (de la Sonacotra). Cette démarche s’est heurté «aux manipulations des politiques qui étaient assis sur le secteur public. C’était des mesures de bon sens qui libéraient les énergies et le goût d’entreprendre en responsabilisant les managers et qui de ce fait un début dans l’assainissement de l’économie. Et d’autres premiers ministres, dont Ahmed Benbitour, ont évoqué les mêmes motifs.

      Quant à sa très controversée loi sur les hydrocarbures promulguée en 2005, dont la première mouture, jugée trop libérale, avait été abandonnée suite aux nombreuses critiques qu’elle avait suscitées. «On a remis en cause ma loi de 2005 pour des raisons idéologiques», a soutenu Benachenhou, qui a assuré que le texte réglementaire qu’il avait élaboré initialement aurait permis d’attirer les investissements dans le secteur de l’énergie et lui aurait évité la morosité qui le frappe. Pour Benachenhou, il est indéniable que le manque à gagner est incommensurable pour l’Algérie. «Personne ne donne les démonstrations techniques que la loi de 2005 était contre l’intérêt de l’Algérie. D’autant plus qu’avec 14 ans de retard on revient sur les fondamentaux de cette loi. Le temps c’est de l’argent avait dit un capitaliste qui s’y connaissait. Le temps perdu ne se rattrape jamais lui avait répondu le sage Socrate !

      Quand on constate qu’en Algérie l’économie informelle représente 50% de l’économie globale. On n’est plus dans la régularité, plus dans la loi mais hors la loi, et hors contrôle d’un pan entier de l’économie, on est presque à la porte du crime organisé…

      Maintenant, comme vous savez certainement, vos Amis américains subventionnent l’exploitation du soit disant miracle que serait le gaz de schiste pour en baisser le prix. Ce qu’ils font en réalité, à travers ce miroir aux alouettes, c’est affaiblir les producteurs directs d’hydrocarbures (l’Algérie entre autre), pour vendre les intrants d’une technologie qui leur appartient, et ainsi diminuer en somme la capacité de résistance de leurs rivaux, le temps nécessaire à la restructuration du monde. C’est la guerre économique à laquelle nous n’avons jamais été préparés, trop occupés a géré l’Algérie « à la petite semaine » entre quelques oligarques du sérail pendant qu’on ravageait l’Ecole publique (par idéologie) et qu’on donnait au peuple des miettes à picorer.

      Quand nous serons délivrés de ceux qui gouvernent ce pays dans l’ombre au nom de leurs intérêts et qu’on donnera les responsabilités de décider aux personnes compétentes nous auront certainement des résultats comme l’ami Belmadi pour le foot algérien.

      *En 2005, le Pr Abdelatif Benachenhou a été limogé du poste de premier argentier du pays pour la politique qu’il avait tenté de mettre en œuvre et qui avait rencontré des résistances.

        Krimo
        5 mars 2020 - 11 h 35 min

        Anonyme 4 mars 2020 – 11 h 14 min

        Vous mentionnez Benachenou, j’y apporte mon grain. Voila ce que declarait Benachenou a son retour aux affaires dans les bagages de fakhamatou : « “Ce n’est pas un problème de l’actuel Président ou de celui d’avant, nous sommes tous responsables, c’est l’ensemble de la société qui est responsable, qui s’est installée dans le confort, dans la consommation de la fiscalité pétrolière qui a servi à financer les transferts de subventions”. Vraiment du foutage de gueule, il decouvre l’algerie en 1999, alors qu ‘age de 36 ans, fin des annees 70 il etait le responsable de la commission économique du FLN, et de surcroit ancien prof a la fac centrale dans les annees 70, cette gouvernance de l’algerie basee sur la rente devient une decouverte.

        Concernant la Loi sur les Hydrocarbures dont il s’attribue la paternite, voici sa declaration toute recente : “Le président de la République, par définition, prend des décisions politiques majeures et, en 2005, il a jugé utile de retirer la loi sur les hydrocarbures et de l’amender. Je dis qu’au vu de l’évolution internationale du marché de l’énergie, maintenant, nous avons un sérieux problème, je ne dis pas que le Président a eu tort, mais maintenant nous avons un problème de réserves. Eh oui ! Il faut une nouvelle loi sur les hydrocarbures.” . Faut savoir que Benachenou, Chakib Khelil et le defunt Abdelhak Bouhafs, ancien PDG de SH etaient tous les trois investis dans la campagne presidentielle de 99, toute la future strategie energetique de fakhamatou etait elaboree et envisagee par eux trois, deux briscards du petrole et un economiste, la raison dirait quoi de mieux ? A leur prise de fonction c’est l’EGO de tout un chacun qui prend le pas et « bonjour madame la marquise » Bouhafs se fait degommer un an apres sa prise de fonction, Benachenou victime de son orgueil voyant tout le monde de haut demissionne, au lieu de s’attaquer aux debilites de son (fakhamatou) il s’en etait pris a Benflis et par miracle il redecouvre l’algerianisme des pendants du pouvoir et se fait debarquer une deuxieme fois apres rappel.

          Anonyme
          7 mars 2020 - 10 h 09 min

          Le fait que cet ancien ministre déchu par Bouteflika ait été cité dans mon commentaire ne veut pas dire que je porte en estime cette personne. Je l’ai cité pour établir que depuis 2002, même dans l’entourage des soutiens du président dont il faisait partie, certains, dont lui, jugeaient qu’il fallait réorienter la politique économique.
          Maintenant à posteriori, il est bien évident que tout le monde « sait » ce qu’il aurait fallu faire et tout le monde apporte son témoignage ou son expertise sur les erreurs du passé. Et ces personnes pilier du pouvoir ont beau jeu de se disculper. Je vous rappelle que son éviction avait été saluée par l’opinion publique d’alors.

          L’important n’est pas ce M. Benachenou en tant que tel, l’important est de faire ressortir que la classe dirigeante algérienne de l’époque a été dans l’incapacité de prendre, au moment où il le fallait, les orientations économiques que des économistes compétents présentaient en fonction du contexte d’alors. Je me souviens que ces incompétents n’ont eu de cesse, et ce depuis 1999, de nous entretenir dans l’illusion que la rente pétrolière et gazière était inépuisable. Peut-être l’une des causes de l’apathie populaire !

    Vangelis
    3 mars 2020 - 16 h 29 min

     » Industrie naissante  » que diable ! Mais toutes ces  » usines  » qui n’étaient qu’ateliers ne faisaient que du montage de pièces importées de Chine et d’ailleurs.

    Qu’il s’agisse d’automobiles, de téléphones ou d’électroménagers, tout était importés pour y être assemblés au bled.

    La faute incombe à ces merdeux de prétendus gouvernants qui voulaient enrichir leur entourage que de développer le pays en saupoudrant de-ci, de-là des usines mécano.

    Le tout import s’est donc greffé sur ces activités sorties de nulle part et autorisées en dépit du bon sens, prenant l’exemple de la Chine qui avait effectivement commencé son industrialisation par ces activités de montages. Mais les temps ont changé et l’exemple de la Chine ne pouvait pas être transposé en l’Algérie.

    Qui plus est ce breuvage ayant comme base de la poudre de lait est insipide versé en plus dans des sachets en plastique alors que des pays qui respectent leurs citoyens ont depuis belle lurette adopté des packs plus performants et moins nocifs.

    Au lieu d’aller en Arabie Yahoudite pour ressusciter un projet mort depuis longtemps, basé sur cette poudre, il aurait mieux valu faire dans l’élevage de vaches laitières, ça c’est du bon lait, à condition que les agriculteurs ne fassent pas dans la roublardise et autre frelatage.

    Chaoui Ou Zien
    3 mars 2020 - 15 h 59 min

    Acheter notre lait en arabie seoudite, un pays encore plus desertique que le notre est une honte qui n’a pas de nom. Acheter du sable a l’espagne alors que notre pays repose sur le plus grand desert du monde est la hchouma du siecle et a l’echelle planetaire (je dirai meme interplanetaire si j’etais sure de l’existence des extra terrestres). Acheter son ble a la france, un pays a qui on en vendait et en tres grande quantite avant 1830 et qui n’a pas encore regle sa derniere facture qui se chiffre a plusieurs milliards d’euros en monnaie d’aujourdhui est plus qu’une honte. C’est tout simplement une grande trahison. Acheter de faux medicaments en Inde juste pour se remplir les poches est un crime sans precedent contre notre peuple. Alors moi aussi je continue a faire ma manifestation pacifique avec seulement moi meme (yours truly) a des milliers de kilometres de mon pays qui continue toujours a me bruler les tripes et declare haut fort “bla jedhoum yetnahaou gaa, ouahad ebhouahad, commencant par la lettre A et continuant jusqu’a la lettre Z.

    Abou Stroff
    3 mars 2020 - 14 h 10 min

    « Qui se cache derrière le démantèlement du tissu industriel privé national ? » s’interroge M. K..
    la question me semble pertinente à condition de démontrer qu’un tissu industriel privé national existe ou a existé jusqu’à maintenant, qu’il produit une valeur ajouté selon l’économie orthodoxe ou qu’il permet de générer un surplus économique selon l’approche marxiste et que dans tous les cas de figure, il participe à l’accumulation du capital au sens large, au progrès technique (grâce à une politique de recherche-développement conséquente) et à l’amélioration du niveau de vie d’une manière palpable.
    moralité de l’histoire: dès qu’on m’aura démontré que le tissu industriel privé national possède les caractéristiques ci dessus mentionnés, j’adhérerai aux élucubrations de l’auteur.
    PS: je pense que ce à quoi nous assistons est simplement une « réorientation » des flux des revenus tirés de l’exportation des hydrocarbures. en termes pédant, j’avance que les parts de rente que recevait une partie de la 3issaba qui a perdu le match et dont des membres influents sont derrière les barreaux, sont en train d’être réorientés vers les caisses d’une autre partie de la 3issaba qui a gagné la bataille que deux 3issaba se sont livrée pour un nouveau partage de la rente.

    Moh.abbas
    3 mars 2020 - 13 h 55 min

    Quelle industrie laitière s.v.p?
    Quand je vois nos sachets de plâtre liquide prêt à l,emploi,
    À ce rythme mais bien sûr jamais l,un des leurs à cette moussiba issaba va nous ramener aux temps de souk-el-fellah soviet post indépendance que je me demande si on l,à vraiment été un jour.

    Anonyme
    3 mars 2020 - 13 h 53 min

    YASKOTTE EL NIDAM , ….

    Kahina-DZ
    3 mars 2020 - 13 h 43 min

    Avons nous besoin des vaches wahhabites, pour produire du lait  »LOCAL  »…
    La question qui se pose: L’élevage des vaches Saoudites sera pour la consommation locale ou c’est pour satisfaire les besoin en lait /viande des Saoudites.
    Si je comprends biens, l’Arabie Saoudite ouvre des écuries en Algérie, pour satisfaire sa propre consommation interne…
    On est pas sortis de l’écurie Wahhabite au sens large du mot…

      Anonyme
      3 mars 2020 - 13 h 47 min

      Qui veut que l’Algérie reste au niveau écurie et l’empêche de se développer en ayant ses propres industriels.

      Toufik Touaibi
      3 mars 2020 - 14 h 39 min

      Le management technique n’est pas Saoudien, il est Irlandais. L’ administration est Saoudienne et les ouvriers, sont généralement du Bangladesh du Pakistan et de l’Inde.

      tu me fais penser à un sujet du bac sur les vaches
      3 mars 2020 - 16 h 46 min

      on a posé une question à des lycéens pour une dissertation (en géographie ou pour le français), et la réponse des lycéens a beaucoup fait jaser les correcteurs: « oui, nous avons les vaches algériennes pourquoi aller chercher les vaches étrangères pour nos boeufs », « le boeuf algérien doit épouser une vache algérienne » etc.
      les algériens créent la polémique à chaque fois que des décisions nécessaires et logique pour l’intérêt du pays soient prises. ceux qui sont derrière ses politqies sont connus: mafia du système algérien et le trio franco israélo marocain. là en l’occurrence, ce sont des saoudiens qui vont investir en algérie comme ils investisssent dans tous les pays du monde. l’algérie ne peut pas être l’otage de la mafia du lait, c’est à dire se contenté de la situation actuelle.

      Anonyme
      4 mars 2020 - 8 h 44 min

      @Kahina-FR oui c’est ça!! on critique les wahabites mais JAMAIS ceux qui leur ont donné les clés de l’Algérie, c’est à dire le régime pourri que tu soutiens…

    SID EL HOUARI
    3 mars 2020 - 13 h 28 min

    C’est une vieille chanson des années de 1962,ce n’est jamais de notre faute,c’est la faute aux ennemis de la patrie;nos ennemis sont parmi nous,se sont les FLN RND TAJ PT MPA et Bouteflika a la tète,nous avons le plus vaste territoire d’Afrique aussi les quatre saisons tout le long de l’année,dépensé des milliards de Dollars on achetant les un et les autres du traitre du village a l’imam d’une grande ville,offrant des milliards d’Euros a des grandes puissance pour aidé le RAIS Bouteflika et son clan à resté ou pouvoir toutes son existence;abandonnant une population soumise et berné par ces derniers,aujourd’hui le lait et très bientot sa sera la pain sans parlé des soins et les produits de première nécessité

    Le Berbère
    3 mars 2020 - 13 h 17 min

    En vérité, nous n’avons jamais eu une industrie 100%100 algérienne..C’était toujours de l’économie de bazar . Les grands pays industrialisés combinent l’industrie et la formation. Dans la plus part des pays européens les lycées et des organismes de formation proposent des formations de genre CAP , BEP, Bac-Pro ou des BTS pour orienté les futurs stagiaires vers la vie active. Malheureusement, chez nous en Algérie, c’est l’économie de bazar et de marché de l’informel qui ont substitué au véritable économie de 21ème siècle . C’est quelque chose voulu pour gardé le pays sous développé ..En tous les cas, ce n’est pas ceux qui détiennent le pouvoir public actuellement qui vont faire grand chose pour l’économie nationale . C’est tout un chantier pour changer la mentalité et l’état d’esprit des citoyens et de l’exécutif.

    ANONYME
    3 mars 2020 - 13 h 06 min

    Tissu industriel dites vous?

    Deux grandes laiteries, une à Bilda et une autre à Béjaïa, ont été prises en flagrant délit d’utilisation de matières premières périmées, a annoncé Kamel Rezig, ministre du Commerce, sur sa page facebook.

    Des plaintes ont été déposées contre les deux laiteries dont les noms n’ont pas été cités. Le ministre n’a pas non plus indiqué si les produits issus de ces matières premières périmées ont été retirés du marché.

    « Mes remerciements aux directions du commerce de Blida et de Béjaïa qui ont découvert que deux grandes sociétés activant dans la filière des produits dérivés du lait utilisaient des matières périmées, ce qui met en danger la santé du citoyen. Des plaintes ont été déposées au niveau de la justice contre ces deux sociétés », a indiqué le ministre du Commerce.

    anonyme
    3 mars 2020 - 13 h 01 min

    @Une campagne de solidarité avec les producteurs locaux de lait a été lancée sur les réseaux sociaux pour empêcher la mort programmée d’une autre industrie après celle naissante de l’automobile et de l’électronique, qui commençait à prendre son envol

    je ne sais si vous le faites exprès car toutes ces industries crées du temps de la issaba c’était du pipo

    LE DINAR ALGERIEN
    3 mars 2020 - 12 h 59 min

    Incessamment sous peu et peut-être même avant, l’Algérie serait en mesure de fabriquer des marteaux, une joint-venture pour la réalisation des têtes en acier, a été signée avec un pays asiatique, et une autre pour les manches en bois, a été signée avec un pays nordique; quant à la confection des clous, un appel d’offre à l’international a été émis, sachant que, vu l’importance du projet, plusieurs pays sont sur les rangs.
    AP de grâce laissez passer ce post.

      PasSiVite
      3 mars 2020 - 18 h 31 min

      Oui, j’en ai enttendu parler, mais il y a un probleme a resoudre, celui de 49/51 et le taux d’integration mis-a-jour recemment. Il faudra que la tete du clou soit realise’e en Algerie. Cependant pour applatir un cote’ du clou, il faut un marteau. Une etude a ete confie’e a un groupe Americain, pour trouver la formule et resoudre le dilem de quoi acquerir en 1er, le clou ou le marteau? Tebboune est alle’ se Hadjer, pour que l’inspiration lui soit donne’e par le maitre et son adjoint, des 2 univers. En attendant, faut se satisfaire de la Jahilia locale, et supplementer le lait de vache a 4 jambes avec celui de celle a 2 jambes. Tout le monde sera heureux.

      Pas que pour le Lait
      4 mars 2020 - 5 h 32 min

      Une autre décision serait prise, est de relancer le projet de la fabrication de passoires, qui était en souffrance depuis plusieurs années, sa non réalisation était due à la complexité des dimensions des poignets et la taille des trous, un appel d’offre à l’international va être émis, pour la création d’un bureau d’étude en joint-venture et réaliser ce projet d’une extrême importance en CKD/SKD.

    degagez
    3 mars 2020 - 12 h 58 min

    Parait il ils vont donner des surfaces immenses pour implanter ces Marai des sahyoun saoud à Djelfa
    Ces marai les saoudiens les ont fait rien que pour le prestige et leur coûtent un argent fou

    lhadi
    3 mars 2020 - 12 h 24 min

    Que l’on se méprenne pas sur le mot. Crise ne signifie pas effondrement, blocage, arrêt absolu. La crise est un mélange de difficultés et d’opportunités ; des pays s’embourbent et d’autres s’affirment ; des secteurs régressent et d’autres connaissent de fortes croissances ; des technologies se révèlent désuètes, dépassées et d’autres surgissent, s’imposent ; de même pour les entreprises, les activités, les emplois, les savoirs…

    Analysons, donc, cette mutation pour mieux en faire sentir toute la complexité.

    Au jour d’aujourd’hui, il est très aisé de noter que nos gouvernants ont navigué à vue dans une passe plein de remous et de périls : le vaisseau Algérie n’a pas sombré grâce à la bonne fée de l’or noir et bleu ; mais il n’a pas été préparé à affronter les difficultés.

    Si on veut aller au fond des choses, force est de constater que l’économie algérienne est handicapée par un manque de dynamisme, une mauvaise spécialisation et, finalement, une absence de stratégie.

    – Manque de dynamisme. Il affecte particulièrement l’industrie.

    – Manque de spécialisation. Là réside une part importante, la source du manque de dynamisme.

    – Absence de stratégie. C’est là, à mes yeux, le vice principal, fondamental, de l’économie Algérienne.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Covi-19
    3 mars 2020 - 12 h 19 min

    B sure les saoudiens sont ps stupide ils vont recuperer l,argent perdu de la omra

    Raïna
    3 mars 2020 - 12 h 16 min

    Quid de l’importation:corruption,surfacturation,transfert de divises,argent facile,exile..c’est plus facile que de favoriser la production nationale:travail,transparence,mérite,reconnaissance,création d’emploi,création de richesse,auto suffisance,exportation..

      Favoriser
      4 mars 2020 - 3 h 05 min

      Pourquoi favoriser ou pas? Il y a 2 notions qui echappent non seulement aux « chouakers » mais aussi aux « Chikour’es »… Il y a regulateur economique et il y a operateur economique. Favoriser, c’est promouvoir l’incompetence voir la competence deloyale.

    Belveder
    3 mars 2020 - 11 h 41 min

    ARRétons la Démagogie quellle industrie et quel patron??? chez le privé??? on a vu ce qu a produit le FCE..des vendeurs de café pourri et de saloperies pour nos gosses………..pour ce qui est étatique «  »ce qui a été injécté financiérement dans ces gouffres financiers type SNVI et autres..ferait vivre l afrique 100ans….ALORS SURVEILLONS LE BATEAU DE LAIT ET blé et ayons la décénce de la f….

    Anonyme
    3 mars 2020 - 11 h 34 min

    Les saoudiens vont traire la vache à lait » algérie « au sens propre et figuré du terme!!
    Le hadj et la Omra ne suffisent plus ils nous proposent maintenant du lait du désert après le miel?
    Mais comment raisonnent nos gouvernants ?Pourquoi nous mettre encore dans des situations ubuesques?
    Je voyage beaucoup et je peux vous dire que nous avons les meilleurs yaourts du monde avec la marque Soumam,je cite cette marque parce que c est ma préférée et je ne suis aucunement de la région de sa production ( je le précise pour les personnes qui vont trouver à redire)
    Il me semble qu il voulait développer une industrie laitière avec un élevage de vaches en amont comme beaucoup d autres producteurs mais on ne lui a jamais faciliter la tâche, pourquoi ne pas encourager plutôt ces industriels sérieux au lieu de ramener des bédouins qui vont jouer le cours de la poudre de lait à la bourse et nous le fourguer???
    De plus si nous voulons lancer un projet pour la production du lait prenons des gens de pays où ils produisent vraiment du lait , pas ceux qui font les intermédiaire?
    Ça ne nous suffit pas ce qu ils ont fait avec les Émirats arabes unis pour acheter les armes?

    Anonimaoui
    3 mars 2020 - 11 h 27 min

    Le pouvoir illégitime veut s’acheter une complicité du peuple en démocratisant la corruption par un retour au tout étatique. Comme ça tout le monde touchera la tchippa, du planton au PDG. Je pense que ça va marcher un certain temps avant l’épuisement de toutes nos réserves en devises et en or.

    Anonyme
    3 mars 2020 - 11 h 27 min

    L ÉCONOMIE REPOSE SUR DES JAMBES BOITEUX.DERIGER PAR DES PILLEURS.

    Djamel
    3 mars 2020 - 10 h 49 min

    Cree de nouveau escrocs et des nouveau riches « une nouvelle mafia ».

    Il paraît que prochainement...
    3 mars 2020 - 10 h 40 min

    …un appel d’offre international serait en préparation pour une importation massive de couscous !!!!!!
    Djibouha ya elwlad !!!!

    Brahms
    3 mars 2020 - 10 h 22 min

    Pour vivre à Paris 8 ème, Amar Saadani a embarqué 300 millions d’euros du budget de l’agriculture et ce, depuis 10 ans maintenant donc le retard est colossal. Comment voulez vous combler de telles carences ? C’est mission impossible. Par conséquent, Mr Tebboune fait pour le mieux et va vendre son marché à l’Arabie Saoudite qui va ramasser la mise en plus value financière.
    Après ce sera autour des voitures, de la pièce détachée, du marché de la constructions, des médicaments et en échange, on donnera aux populations des cartes de séjours, des visas pour partir en Europe ou ailleurs. C’est un roulement.

    Ayweel
    3 mars 2020 - 10 h 10 min

    De quels patrons et de quel industrie privée vous parlez????? De ces patrons qui ne font qu’assembler comme le font les simples clients des magasins IKEA, ou de ces soi-disant producteurs de médicaments qui ne font que portionner et emballer ce qu’ils ont importé en vrac, tel que cet ex vendeur de chaussures d’un douar avec un niveau de scolarité de CEM2, qui s’est reconverti en importateur de medicaments. Ce ne sont que des trabandistes qui n’ont ni le savoir intellectuel ni le savoir industriel qui se font arnaqué par des firmes étrangères et qui à leur tour arnaquent les consommateurs algeriens. Devenir industriel c’est tout un art, c’est toute une culture et c’est tout un savoir. Certes les PMES sont la colonne vertébrale du tissus industriel d’un pays, mais à condition qu’elles soient souples et rigides et non faites de paille. C’est bien connu dans le monde des entreprises que le plus important c’est de se faire un nom et de se faire une clientèle fidèles, et ceci ne peut se réaliser qu’après de longues années de travail sérieux, toujours à la recherche de produire le meilleur. Et vous nous parlez de ces producteurs de lait type spécifiques, qui mélangent de la poudre, importée par l’argent du peuple , avec de l’eau des oueds, sans aucun respect de normes de qualité et de quantité, pour enfin revendre de l’eau colorée au citoyen algerien. Même si la banque t’ouvre portes et fenêtres pour te servir, au nom de ton père, ta connaissance, ton général ou ton poste, il faut tout d’abord être connaisseur et porteur du savoir faire. Même un vendeur de sandwich doit tout d’abords avoir des connaissances sur l’hygiène et salubrité pour pouvoir servir ses clients sans risques de cantaminations.

    Zaatar
    3 mars 2020 - 10 h 05 min

    Tout est une question d’intérêts. Personnel d’abord, se remplir d’abord les poches, puis intérêts de sa famille et de ses proches, bien leur garnir des comptes en banque, puis vient l’intérêt des amis à qui on offre quelques cadeaux qui peuvent bien se chiffrer en milliers de dollars, après on pense à l’intérêt de son quartier, de sa ville puis enfin de son pays. C’est la règle de conduite de quiconque est propulsé à un poste de haut responsable.

    Karamazov
    3 mars 2020 - 9 h 44 min

    Hahaha haha ha !
    ha!
    ha!
    comment vous dites ? Le ti …. le ti…. le titi …

    Té j’va zozer , en apnée et d’un trait: « Letissusindustrielnational ».

    ça va sans dire mais qu’est-ce qu’on se sent bien quand on l’a dit. Les psys appelle ça l’oralisation. à ne pas confondre avec l’onanisation.

    Ainsi donc toutes ces organisations pour le détournement de la rente sous forme de montage de bigoudis en SKD sont des industries?

    c’est Donc vrai que Kia , Hyundai, Renault , vont vous vendre en Kit de quoi fabriquer des voitures moins chères que les leurs ,et surtout leurs derniers modèles et les secrets de fabrication qui vont avec ?
    De grands pays occidentaux technologiquement très avancés n’ont pas d’industries automobiles ni téléphonique dont poussés au regroupement et à la concentration seuls quelques grandes marques subsistent.

    Mais vous voulez nous faire croire que c’est sur ce terrain-là que nous devons nous placer?
    Je ne suis pas contre les industries de bigoudis en SKD, je suis pour la liberté totale d’entreprendre ,mais qui veut investir dans ce secteur le fasse avec ses propres moyens et se débrouille pour se procurer des devises en exportant ses produits et pas en siphonnant la rente avec l’aide de leurs complices biens placés.

    Anonyme
    3 mars 2020 - 9 h 26 min

    Ils sont tous des affairistes qui veulent toujours faire plaisir aux étrangers. J ai personnellement déposer deux dossiers pour faire un projet de production local de lait et de viandes. Mon étude faite par un bureau d étude européen et m a coûté un bras et une jambe . J ai présenté ce dossier à toute les instances et après tant de visites à nos incompétents ont m à signifier verbalement qu il y a pas d assiette foncière pour faire ce projet. Nos incompétents ne feront jamais confiance au génie algérien et ne laisseront jamais l’algérien vivre son dream son rêve. Juste pour les lecteurs, je suis descendant d une famille d agriculteur éleveur de vache ???? et producteur de lait ???? depuis au moins 5 générations avant moi. Et voilà maintenAnt le chef daira qui veut al marai rafle et tuer les petit producteurs. Donnez ce projet à des algériens. Que le ministre du kharab agricole fasse un plan de production laitière pour l ouest le centre et l est et le sud. Après il appel à un centre d étude pour faire des plan de ferme et plan opérationnel de ses fermes. Et après lancez un appel pour les gens qui veulent faire ça. Comme example 300 fermes dispersé à travers le pays. 300+ fermes qui feront travailler beaucoups de gens tél que les vétérinaires, les travailleurs agricoles etc…. le future est dans l agriculture ..il n est pas dans la cocaine …. ou avec El marrai . Vous allez vendre le pays bande d incompétent…vous allez tout vendre au arabes et nous les algériens des esclaves ou bien spectatateurs. Je vais vous dire honnêtement si vous continuer comme ça et s il y aurait guerre dans le future , je ne serait pas à l appel….compris bande d incompétents, vous allez ruiner mon pays.

    Lait de vacherie
    3 mars 2020 - 9 h 20 min

    L’Arabie désertique par essence et aussi presque par définition nous vend du !ait ! Les pays-Bas de l’Equateur! Vraiment il faut le faire exprès et être le dernier des derniers de la classe. On prendra peu de lait, mais du lait algérien, en attendant enfin les vraies solutions algériennes, que de de boire celui d’El Maraï. Pourquoi ne pas importer du couscous de Dubai, de la calentica oranaise de Khartoum, des zlabias de Boufarik importées ou fabriquées à Fujeira, de l’huile d’olive de Kabylie, importée de Manama ? On boycottera ce lait, parole d’Algériens. Nous ne sommes pas responsables du montant de la Chipa convenue entre corrupteurs et corrompus. De plus pour leur publicité, les laudateurs de la Séoudie et les importateurs de lait Maraï ne manqueront pas d’inonder le pays avec leur publicité qui claironnera partout que ce lait est plein de vertus religieuses démagogiques et prometteuses du Paradis, du fait que ça vient (ça transite en réalité) des environs de La Mecque. Les bévues socio-politico-commerciales louches ont encore beaucoup de partisans qui veulent coûte que coûte s’enrichir pendant ce dernier quart d’heure qui leur reste.

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