Coronavirus : le scénario catastrophiste d’un institut de recherches britannique

Boris Imperial College
Boris Johnson dans un laboratoire de recherches à Londres. D. R.

Par Mesloub Khider – Dans une récente étude catastrophiste publiée par l’Imperial College, une université de recherches anglaise, l’estimation du nombre de décès provoqué par la pandémie du coronavirus s’élèverait à plusieurs millions, en particulier aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Selon ce rapport, dans le meilleur scénario, en tablant sur une atténuation de la propagation du coronavirus, et «même si tous les patients pouvaient être traités », soulignent les auteurs, «nous prévoyons qu’il y aurait encore environ 250 000 décès en Grande-Bretagne, et 1,1 à 1,2 million aux Etats-Unis». Toujours selon cette étude, la pandémie du Covid-19 «et la menace qu’elle représente pour la santé publique est la plus grave observée dans un virus respiratoire depuis la pandémie de grippe H1N1 de 1918».

Depuis son apparition, le Covid-19 augmente de façon exponentielle. A la date d’aujourd’hui, dans le monde, on dénombre presque 235 000 cas et on avoisine les 10 000 personnes décédées du coronavirus. Parmi les pays les plus affectés, on compte l’Italie, l’Iran, l’Espagne, l’Allemagne, la France et les Etats-Unis, sans oublier la Chine originellement épicentre de la pandémie, aujourd’hui partiellement jugulée.

Plus alarmant, selon cette étude menée par Neil Ferguson, chapeautant une équipe de personnes issues de l’Imperial College, ainsi que de l’Organisation mondiale de la santé, du MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis et de l’Abdul Latif Jameel Institute for Disease and Emergency Analytics, la pandémie poursuivrait sa propagation jusqu’au mois d’août 2020, notamment au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. A cet égard, les chercheurs précisent qu’en dépit de la brièveté de l’apparition de la maladie, «l’atténuation ne sera probablement pas possible sans que les limites de la capacité de pointe des systèmes de santé britannique et américain ne soient dépassées de nombreuses fois. Les limites de surcharge pour les lits des services généraux et des unités de soins intensifs seraient au moins huit fois plus élevées dans le cadre du scénario plus optimiste que nous avons examiné pour les besoins en soins intensifs». Aussi les Etats-Unis seraient-ils confrontés à une mortalité exceptionnellement élevée. Rien que pour ce pays, le rapport avance le chiffre de 56 100 décès par jour, au paroxysme de la pandémie.

Comme l’a souligné désespérément le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, «on ne peut pas combattre un incendie les yeux bandés et nous ne pouvons pas arrêter cette pandémie si nous ne savons pas qui est infecté». Or, c’est cette criminelle politique sanitaire minimaliste qu’ont appliquée les principales puissances occidentales jamais avares de guerres destructrices livrées aux pays souverains, mais parcimonieuses pour engager la bataille contre le coronavirus.

Eu égard à l’absence d’une politique sanitaire prophylactique efficiente observée dans de nombreux pays, matérialisée par la défaillance de tests, de masques respiratoires et de gel hydroalcoolique, faut-il s’attendre à des millions voire des dizaines de millions de personnes susceptibles de contracter le coronavirus ? Et, en raison de l’absence de prise en charge médicale due à l’engorgement des hôpitaux débordés par les admissions massives de patients infectés, résultat de plusieurs années de restrictions budgétaires allouées aux services sociaux et hospitaliers, le nombre de décès risque d’exploser. Une chose est sûre : le refus des gouvernements occidentaux d’appliquer une politique sanitaire de tests de dépistage, comme l’avait conseillé l’OMS, dès l’apparition de la crise du Covid-19, pour détecter les personnes infectées aux fins de les confiner dans des zones sécurisées, a favorisé la propagation du virus à une échelle géographique aujourd’hui mondiale, affectant massivement les populations de la majorité des pays. Et ce, sans aucune perspective immédiate de fléchissement. Au contraire, la pandémie ne cesse d’augmenter de façon exponentielle.

Sans conteste, l’Italie illustre cruellement l’effondrement du système de santé. Du fait de la défaillance des hôpitaux dépourvus d’équipements médicaux, notamment les appareils de réanimation, le taux de mortalité ne cesse de progresser pour atteindre le chiffre dramatique de plus 3 400 décès. De même, vu l’état de délabrement des infrastructures de santé publique en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, le nombre de décès annoncé pourrait atteindre respectivement 2 millions et 8 millions. A ces chiffres effrayants, il faut ajouter les victimes collatérales de ce carnage sanitaire. En effet, il faudrait également comptabiliser les décès liés au VIH, au cancer, à l’infarctus du myocarde, aux accidents vasculaires cérébraux et autres pathologies, provoqués du fait de l’engorgement des hôpitaux.

Sur le front économique, pendant la décimation sanitaire de la population par le coronavirus, les classes dirigeantes mondiales s’affairent à stopper l’hémorragie de leurs profits, défendus inlassablement par leur parrain Donald Trump. Lors de sa dernière conférence, ce dernier, représentant du capital international, a dévoilé clairement son plan d’action pour gérer la crise sanitaire et économique de son pays. Pour les classes dirigeantes américaines, comme de toutes les puissances occidentales, l’urgence n’est pas à la sauvegarde des vies humaines menacées par le coronavirus, mais à la préservation des richesses des financiers menacées par la crise économique.

Pour preuve, Trump, en fidèle défenseur du capital, a plaidé lors de cette conférence pour un plan de relance de 600 milliards de dollars alloués directement aux entreprises et pour une politique de réduction massive des charges sociales. Ainsi, les subventions publiques fournies par l’administration Trump à Wall Street, par le biais de renflouements d’entreprises, d’infusions directes en bourse et d’autres méthodes, sont colossales.

Si une infime partie de ses sommes astronomiques distribuées généreusement aux multiples oligarques de la finance avait été allouée aux hôpitaux, à la construction de nouveaux établissements de soins, à la commande de masques respiratoires, de tests, d’appareils de réanimation, on aurait pu sauver la vie de milliers (de millions bientôt) de malades du coronavirus. Et, par conséquent, juguler, endiguer la propagation du coronavirus, comme l’expérience exemplaire chinoise vient de le prouver.

M. K.

 

Comment (11)

    Mounir Sari
    20 mars 2020 - 13 h 56 min

    L’Algérie a enregistré le taux de mortalité le plus élevé au monde dû à la pandémie du coronavirus.Notre pays a enregistré un taux de mortalité de 10%, quand les pays nordiques ont enregistrés un taux inférieur à 0,2%.L’explication est certainement détenue par l’ancien ministre de la santé Boudiaf, qui a déclaré toute honte bue que nos hôpitaux sont meilleurs que ceux de la Suède!!!!

      Anonyme
      23 mars 2020 - 8 h 23 min

      Vous racontez n’importe quoi ! Le nombre de morts est connu mais le nombre de gens positifs au Coronavirus lui ne l’est pas en Algérie . les pourcentages que vous donnez ne veulent rien dire. Pareil pour la plupart des pays. On comptabilise le nombre de gens qui ont passé un test mais tous les gens qui sont asymptomatique ne rentrent pas en compte tous les gens qui n’ont pas passé le test ne rentrent pas en compte. Dire qu’il y a 10 % de mort ça ne veut rien dire du tout. Moi je continue à dire que pour le moment cette maladie n’est pas si meurtrière qu’on veut nous faire croire. Je rappellerai qu’en 2015 en France la grippe saisonnière a tué plus de 18 000 personnes en neuf semaines.Je ne sous-estime pas la maladie mais il est clair qu’en Algérie tu risque plus de mourir d’un accident de voiture que du coronavirus ,quand tu vois les chiffres effarant du nombre de morts sur les routes

    Vendredire
    20 mars 2020 - 13 h 32 min

    Je pense que les gens commencent réellement à délirer et à donner libre cours à leurs angoisses. La situation est sérieuse, même très sérieuse, et il faudra agir avec sérieux mais calmement et avec raison.
    Nous avons aujourd’hui plus de connaissances que jamais sur les développements des pandémies, les façons de les contrer et les moyens de faire parvenir ces informations aux gens via les réseaux sociaux.
    Le cadre de la lutte contre les pandémies est bien meilleur aujourd’hui qu’au début du 20e siècle avec l’influenza ou au 19e siècle avec la variole ou au 15e siècle avec la peste.
    Alors, oui il faut faire preuve de civisme en optant volontairement pour le confinement sans que les autorités ne nous y obligent, observer des règles strictes d’hygiène corporelle, ne pas se présenter à l’hôpital quand on a les symptômes d’une grippe forte avec difficultés respiratoires et maux de têtes. Il faut plutôt appeler une ambulance qui saura nous acheminer au bon service hospitalier. Il faudra faire preuve de solidarité en aidant les voisins qui sont en difficulté, sans que cela ne nous expose au contact si celui-ci peut être préjudiciable. Il ne faudra pas se ruer bêtement sur les produits de consommation. Cela ne nous aidera pas plus d’avoir des tonnes de produits stockés mais cela nuira beaucoup à d’autres qui ne peuvent s’en procurer.
    Ce sont des petites choses de la vie de tous les jours que l’on peut faire individuellement et collectivement et qui vont faire la différence.
    N’attendons rien de l’État, il ne nous aidera pas car il ne peut pas et ne sait pas le faire. Soyons des citoyens civilisés et autonomes. Ce virus passera son chemin comme beaucoup d’autres avant lui. Il fera des dégâts comme beaucoup d’autres avant lui mais il ne nous empêchera pas de vivre car les autres virus avant lui n’y ont pas réussi non plus.
    Bonne santé à tous même aux anti hirakistes

      integrite'
      21 mars 2020 - 2 h 06 min

      En somme vous demandez aux gens de faire preuve d’integrite’ ! Pas par souhait, mais realisme, n’est-ce pas le manque ambient d’integrite’ justement, qui fait a fait l’autre virus, celui du regime? Cela est une observation, mais ca fait des 58 ans que ca dure… Les algeriens ne se groupaient pas en betail pour ecouter des etrangers les insulter, leur dicter jusqu’a comment s’habiller, a se nier jusqu’a leur race, et a envoyer leurs enfants servir de rats de laboratoires…. 58 ans durant !!!! La seule facon de les arreter, la menace de la mort !!!
      Ne pensez-vous pas que le desespoir est permis ?

    Karamazov
    20 mars 2020 - 12 h 11 min

    Je voulais juste qu’on me laisse dire que moua je m’arrange pour ne pas être pris au sérieux et pour faire savoir que je ne cause pas es-qualité. Vous pouvez mesurer ça à l’aune des dislike que je me prends sur le qamoum.

    Alla Khati , ce n’est pas qu’à cause de ma modestie . Oui , c’est ça , Khouya Zaatar : question de méthode.

    Quand je donne mon opignou personnelle qu’à mouamim tout seul , je ne cherche pas à forcer les convictions en laissant accroire que j’ai le soutien de l’académie , pas plus que je n’abuse de références livresques pour influencer.

    Aussi ,en toute modestie , si si en toute modestie, quand je pique , ou que j’ironise, c’est plutôt par devoir , et même parfois par obligigation professionnelle . Je suis commédien, ih . Ce n’est point pour vexer , mais juste pour mettre un peu de doute chez ceux qui n’ont pas un regard critique sur ce qu’ils lisent.

    J’estime qu’on ne peut pas se présenter es-spécialité tout en essayant de faire passer une simple opinion qui ne vaut pas plus que celle de mon chat pour une savante expertise .

    Je ne suis pas cruel parce que je suis cynique ou sadique, mais seulement parce que que je suis révolté.

    Ces doctes expertises savonneuses ne peuvent être contrebalancées que par du vinaigre et l’ironie. Ce sont les sots les faibles et les ahuris qu’ils faut protéger et non les imbus de science infuse qui s’en remettront quoi qu’on leur dise.

    Pardonnez-moi , j’ai sans doute une conception bien singulière de la conscience professionnelle , Ya Syadi ne m’en voulez pas .

    Anonyme
    20 mars 2020 - 11 h 53 min

    Plus le mensonge est gros plus il passe….
    Ce climat de terreur m horripile…jusqu’à douter de la véracité de ses études..
    Tous les deux ans on nous fait sortir l histoire d un nouveau virus mortel !!!
    Pourquoi plus de virus mortel ces dernières années qu avant?

    Logique
    20 mars 2020 - 10 h 44 min

    Une fiction… encore sous estimé.

    Dur sera le réveil, d’une réalité, encore bien endormie.

    Plus de trente millions…
    de citoyens Nord d’Américains, n’ont aucune assurance maladie… L’hécatombe annoncer…

    La cruelle absence, en nombre, d’appareils d’assistances respiratoires… déjà en Europe !!! Idem au USA !!!

    En Italie et en France, on pratique déjà la sélection… Toi tu vis… Toi
    tu meurs…

    Chez nous… Sur la communication, de l’état sanitaire, d’accueil des patients, qu’en est il..???

    Karamazov
    20 mars 2020 - 10 h 11 min

    Apocalypse now !

    Ce n’est pas pour jouer les Cassandre ni les fatalistes et encore moins les Candide au monde du Dr Couet , mais je dois dire que cet article sans me surprendre me vitrifie

    Comme  je l’ai écrit dans mes modestes mais non moins  lumineuses contributions à ce débat pour l’éclairer et non comme certains qui abusaient de leurs titres pour se aire mousser à l’occasion avec un ton professoral pour l’obscurcir, il y aura plus de victimes d dues au manque de moyens et au laxisme contre ce Covid 19 qu’au virus lui même.

    Nous constatons  que le confinement n’est pas respecté et pas seulement  que par la plèbe mais par toutes les catégories sociales à cause des tergiversations à propos des uns et de l’incivilité des autres. (…)

    Nous voyons  que nous ne sommes plus face  à des probabilités ou à des chiffres abstraits  mais face à une  terrifiante réalité que ceux qui se la coltinent depuis bientôt sakata et qui eux ne s’en vantent pas s’abstiennent de rapporter pour ne pas avoir à s’en vanter. Tellement il sont modestes, oui .

    Les pays occidentaux les plus avancés  sont en train de se révèler dans leur froide inhumanité. Les systèmes de santé ne sont finalement que des cache-misère  .Quid de la mortalité due aux  autres maladies: le cancer , le tabagisme, la grippe saisonnière.

    Il y a  12000  places de réanimation disponibles dans le pays au système de santé le plus « socialement » performant en Europe, D’autres sont encore plus démunis, mais c’est kamim la panique alors qu’a peine dix pour cent des lits disponibles étaient occupés.  Et 380 malades n’y ont pas survécus : pratiquement 50% de ceux qui y sont entrés.

    Même si je suis convaincu que l’humanité survivra à ce virus et qu’il y a kamim plus d’humanisme et de justes dans ce monde de brutes qu’à Sodome jadis  , je ne suis pas du tout optimiste. Pas du tout !

    Lghoul
    20 mars 2020 - 9 h 54 min

    Le Scénarios catastrophiques se basent toujours sur les hypothèses du pire et « du verre a moitié vide » pour convaincre tout le monde, des autorités des pays a leurs citoyens d’appliquer une stricte discipline pour arrêter la propagation du virus. Le coté positif est qu’il y a bien beaucoup de patients – ceux qui sont en majorité en bonne santé – qui guerrissent rapidement juste en s’isolant. L’Italie, dont les résultats sont les plus transparents sur ce qui se passe réellement sur le champ, doit servir d’exemple (même triste) car elle est le pays qui a le plus haut taux de décès dans le monde en dépassant la Chine. Pour ce qui est de la Chine, il y a beaucoup d’optimisme sur la maitrise de la propagation mais je ne suis pas convaincu qu’ils ne mélangent pas la politique et le prestige international a la santé en annoncant des chiffres un peu bizarres. Quand on nous donne un chiffre de 23 contaminations dans un pays de 1.4 millards d’habitants, il est facile de se demander comment ont ils pu atteindre les centaines de millions de citoyens éparpillés dans les campagnes et les petites villes et villages. Dans un pays de 5 million de km2, il serait difficile de recencer tout le monde.
    La Corée et Singapoure sont plus faciles a croire en matière de chiffres. Pour ce qui est de l’Italie qui a un nombre élevé de décès, je ne pense pas que cela est due au manque de moyens surtout dans les régions les plus riches du nord ou se trouve l’épicentre. La source des mêmes problèmes pour tous les pays du monde est l’embouteillage des services d’urgences et de réanimation. Imaginez des ambulances déposant toutes les heures, des dizaines de malades chroniques dont la plupart sont des vieux, qui ont besoin de soins urgents. Aucun pays au monde ne pourra surmonter ces difficultés car toutes les personnes avec des problèmes respiratoires par exemple pourront décèder rapidement s’ils ne sont pas aidés pas une respiration artificielle. Aucun hopital au monde ne possède des infrastructures sanitaires et humaines pour s’occuper d’un nombre si élevé d’urgences. Le monde hospitalier n’est pas préparé pour un tel scénario crée par u nouveau virus. D’ou je rejoints la méthode britannique qui est: REDUIRE le fardot des urgences a la source: Confiner toutes les personnes agées de 70 ans et plus ET les malades chroniques en les prenant tous et toutes en charge (médicaments et nourriture). Pour les enfants ils resistent plus que les adultes même s’ils sont des porteurs du virus mais ils faudrait eviter les contacts de masse au maximum. Pour le reste, ceux et celles qui sont supposés être plus ou moins en bonne santé, une partie va guerrir seule, juste en s’isolant et une autre partie, qui nécessitera une hospitalisation résistera mieux les attentes car ils n’ont pas de conditions chroniques. Pour le moment, il est clair que la source des décès est l’embuteillage des urgences par les malades chroniques et les vieux. Cette approche britannique sera testée avec le temps, la propagation et la maitrise du virus. L’approche qui donnera le taux de decès le moins élevé sera l’approche a suivre dans les futures pandémies même si des vaccins et des traitements seront disponibles. Mais pour le moment le mot d’ordre est: EVITEZ DE SURMENER ET SURCHARGER LES SERVICES D’URGENCES ET DE REANIMATION pour qu’ils se concentrent sur « sauver le maximum de patients possible » et éviter les erreurs humaines dues a la fatigue et a la pshychose car les médecins et les infirmers sont avant tout des êtres humains, pas des robots. La vue de dizaines de décès toutes les heures ne passe pas sans effets psychologiques sur la personne. Toute la planète est en guerre et seuls les plus organisés et les plus forts survivront. On doit donc TOUS ET TOUTES être forts, solidaires les uns les autres et disciplinés. La politique n’a plus sa place dans un tel environnement car il est de la survie de la nation et de la planète entière qu’il est urgemment question. J’espère aussi que tous nos citoyens et citoyennes prendront cette menace très au sérieux.

    Secret Défense
    20 mars 2020 - 9 h 36 min

    D’où tient-il tous ces chiffres mr Mesloub Khider ?
    C’est effrayant toutes ces statistiques qui donnent des frissons à glacer un mort !

    Je n’imagine pas une seule seconde que ces comptes de dingue puissent être avérées.
    Balayons d’abord devant chez nous et essayons aussi de respecter les normes et les consignes pour éviter la contamination d’abord, avant de regarder ce que font les anglo-saxons.

    Essayons de sauver nos enfants et nos familles au lieu de nous intéresser au britanniques et autres ricains.

      Anonyme1
      20 mars 2020 - 23 h 36 min

      @Secret Défense
      20 mars 2020 – 9 h 36 min

      Mr Mesloub khiderr s’en tient à une récente étude catastrophiste publiée par l’Imperial College
      et c’est écrit au début de l’article
      Alors pourquoi s’en prendre à lui?

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