Avant-projet de nouvelle Constitution : Mohamed Lagab parasite le Président

présidence Lagab
Mohamed Lagab. D. R.

Par Mohamed K. – Le chargé de mission au niveau de la présidence de la République, Mohamed Lagab, a commis un grave dérapage lors de son récent passage à la Radio Chaîne I. Interrogé sur l’état d’avancement des discussions autour de la nouvelle mouture de la Loi fondamentale, l’intervenant a «tranché» sur les points sur lesquels les discussions peuvent porter et a exclu toute possibilité de donner un point de vue sur des questions fixées au préalable, donc fixées au préalable et donc écartées de facto du débat.

«Des modifications pourraient être prises en compte après les discussions au sujet de la mouture de la nouvelle Constitution, mais je puis vous affirmer, dès à présent, qu’il n’y aura que quelques légers changements et je confirme à l’adresse de l’opinion publique que la commission qui a rédigé l’avant-projet prendra en considération toutes les propositions, à condition que celles-ci ne concernent pas l’identité et la nature du régime», a martelé le fonctionnaire à la Présidence dont on ne comprend pas qui l’a habilité à user de ce ton martial alors qu’il n’en a pas les prérogatives.

«Nous nous dirigeons vers un système semi-présidentiel ; aussi, les propositions qui voudraient que soit instauré un système parlementaire seront rejetées de fait», a-t-il décrété. «Nous n’accepterons que les propositions sérieuses qui prônent l’équilibre entre les pouvoirs, le renforcement de l’opposition au sein du Parlement et la place du pouvoir législatif», a encore dicté le chargé de mission. Et de disposer : «Ces suggestions-là, je puis vous assurer que la commission les acceptera sur orientation du président de la République, car il faut préciser que si ladite commission travaille sur la nouvelle Constitution, celle-ci est sous l’autorité de la présidence de la République.»

Ce n’est pas la première fois que Mohamed Lagab provoque une polémique à travers ses interventions incongrues sur un sujet aussi grave que l’amendement en profondeur de la Loi fondamentale. D’aucuns estiment qu’un tel projet ne peut être confié à un simple conseiller à la Présidence et qu’un tel choix diminue de l’importance de cette réforme que le président Tebboune a inscrite comme une priorité absolue pour tourner la page des vingt ans de règne de Bouteflika. Mais il semble bien que cet aggiornamento soit discrédité par des propos malavisés qui font douter de la sincérité de cet effort de rénovation des fondements de l’Etat.

M. K.

Comment (26)

    Anonyme
    10 juin 2020 - 10 h 52 min

    Bof! Constitution ou pas, qu’est-ce que cela changera? Ce sera toujours les mêmes qui sont derrière les gouvernances successives depuis 58 années qui mèneront la barque « Algérie ». D’ailleurs combien de fois les précédentes constitutions ont été ignorées, bafouées et manipulées sans que personne ne bouge…à part quelques uns qu’on a fait taire.

    Un jour arrivera où il faudra bien se rendre à l’évidence et regarder le monde en face. Et surtout il faudra assumer que, malgré la chance d’avoir eu des ressources conséquentes d’hydrocarbures qui auraient permis de construire un pays moderne où il fait bon vivre, une caste d’individus dépourvus de visions politique, économique et culturelle nous ont amené à vivre dans une société malade. On ressasse le passé à longueur de commentaires au point qu’on peut se demander si la santé mentale de la population ne mériterait pas quelques attentions de nos gouvernants.

    Étrangement, on revient rarement sur les événements hors du commun de la décennie noire avec les séquelles du terrorisme islamique radical. Alors que cette violence extrême qui a atteint profondément le corps social par la négation du droit des victimes à la reconnaissance et à la réparation matérielle et morale n’a jamais été assumée par l’Etat. Et pourtant cette douleur est toujours perceptible et présente dans les corps et les esprits. Alors que peu de survivants de la guerre coloniale sont encore parmi nous, c’est ce thème qui est encore récurent comme si celle-ci continuait.

    En effet, les commentaires reviennent essentiellement sur les ennemis de l’extérieur : France, Maroc, les Sionistes,… A croire que notre peuple est condamné à ressusciter perpétuellement cette période pour se sentir exister. Il est remarquable, qu’à ce jour, 25 commentaires s’intéressent à ce projet de constitution qui dans d’autres pays constituerait un débat important. En jetant un coup d’œil sur tous les sujets abordés aujourd’hui sur les pages d’AP, les seuls qui déchaînent les passions ne concernent pas notre lendemain.

    En conséquence, il est bien évident que personne ne croit en cette gouvernance Tebboune, personne ne suppose qu’elle changera quoique ce soit. Tout le monde admet que la nature de ce pouvoir ne peut tolérer que le peuple puisse s’organiser. Le citoyen algérien finalement vit dans la désespérance avec pour support la religion. Le Hirak ? Il semble que le pouvoir continue de gouverner à sa guise comme si ce mouvement populaire n’existait pas. Et même, comble d’ironie, il se sert de certains slogans hirakiens pour justifier sa politique.

    Autour de nous, le monde change, l’homme est entrain de perturber le climat, les sociétés évoluent, s’adaptent, les ressources terrestres se raréfient, les Etats sont phagocytés par les multinationales capitalistes ou communistes. Les nations qui seront à même de résister, de s’adapter et d’évoluer seront celles où le peuple sera capable de se mobiliser, conscient de ses devoirs de citoyen et responsable de la gouvernance de sa nation.
    Nous sommes loin de cet état d’esprit. Alors la constitution…Bof !

    Anonyme
    10 juin 2020 - 6 h 37 min

    Ce fanfaron de Laagab a déclaré après l’élection de Tebboune « dans 6 mois vous verrez les fruits de la présidence de Tebboune » on y est!! Alors ces fruits?? On attend encore?? Combien de temps?? Tebboune a 75 ans il faut faire vite!!!

    Quand foutront-ils le camp?
    9 juin 2020 - 19 h 10 min

    Ni Destour, ni Ould Kaddour
    Hirak Continue. Yetnahaou Ga3

    Anonyme Utile
    9 juin 2020 - 7 h 59 min

    Mr Lagab contredit et parasite gravement le Président Tebboune. Mr Lagab se permet de son propre chef de trancher à la place du peuple, sans consulter ou demander l’avis du peuple. Ce simple conseiller en communication outre passe ses limites d’une manière très grave et décide à la place du peuple.

    Alors que Mr Tebboune le président élu a dit qu’il ouvrira le débat avec le peuple sur ce projet de constitution qui concerne l’avenir du pays et les générations futures.

    En parlant ainsi et en voulant imposer de force comme si le peuple n’existe pas, le projet de la constitution avec des poisons de division du pays introduits par des experts dont certains sont des Franc maçons, pires ennemis de l’Algérie, qui veulent diviser, détruire et assassiner l’Algérie, Mr Lagab montre clairement, qu’il roule pour un autre clan du pouvoir résiduel de la 3ISSABA des Bouteflika, très dangereux, qui veut mèner l’Algérie dans un sens qui est voulu par des agendas étrangers. Ce clan veut détruire l’Algérie.

    Un site web ( voir lien ci-contre https://www.youtube.com/watch?v=S2ANciiyhos ) nous apprend que Mr Lagab avait soutenu l’ancien président Zeroual et que subitement, il a lâcher Mr Zeroual pour Mr Betchine, qui voulait se présenter lui aussi aux élections présidentielles. Ce site nous apprend également que Mr Lagab a soutenu tous les mandats de Bouteflika, y compris le 5ème.
    Ce site a montré au grand jour le véritable visage de Mr Lagab.

    Au vu de qui a été dit à son égard, qu’il a voulu cacher, Mr Lagab est indigne d’occuper la fonction de conseiller. Il doit être démis de ses fonctions,

    Le projet de constitution ne passera pas. Il sera rejeté avec Force par LE PEUPLE ALERIEN.

      Utile Anonyme
      9 juin 2020 - 10 h 21 min

      « Mr Tebboune le président élu … », elle est bien bonne cela !!! Comme a fait allusion notre cher Abou Stroff, l’école Ben Bouzid est du passé donc, quelle est la différence légalement et légitimement entre cet illustre inconnu et ton « Monsieur » Tebboune ?.
      Il est vrai que les Algériens racontent de belles blagues, ton Com n’échappe pas à cette règle.

      Anonyme Utile
      9 juin 2020 - 14 h 12 min

      Lire :
      Le projet de constitution ne passera pas. Il sera rejeté avec Force par LE PEUPLE ALGÉRIEN.

      Désolé, pour cette omission commise lors de la saisie rapide du texte, par manque de temps.

    El Vérité
    8 juin 2020 - 20 h 59 min

    La constitution des (…) elle est rédigé par des crayons et ou moment opportun,ils effacent tout et il recommence;rappelez vous de la constitution du traitre Bouteflika et les autres;au lieu de faire deux mandats et puis retraite;il voulait faire cinq sans l’intervention du HIRAK;

    Zombretto
    8 juin 2020 - 20 h 25 min

    La Constitution algérienne selon le Pouvoir est comme une scène du film “Blanches colombes et vilains messieurs” avec Marlon Brando et Frank Sinatra. Dans un souterrain, des membres de la petite pègre jouent aux dés. L’un d’entre eux, Big Julie, un malabar et le seul homme armé, tire son propre jeu de dés de sa poche et annonce que tout le monde va désormais jouer avec ses dés à lui. Il caresse la crosse de son pistolet sous sa veste en faisant cette annonce. « Celui qui n’est pas content, qu’il le dise! » Seulement ses dés sont tout lisses et blancs, aucune marque, aucun point, rien! Les autres protestent:
    – Comment veux-tu qu’on joue avec des dés pareils? On ne voit aucun point dessus! Comment savoir quel nombre est sorti??
    Son ami leur répond à sa place:
    – Ne vous en faites pas les gars, Big Julie se rappelle les points. Il vous dira les numéros qui sortiront. Il faudra tout simplement lui faire confiance.

      Abou Stroff
      9 juin 2020 - 7 h 54 min

      Komrad, je te salue!
      primo, j’ai copié ton histoire de « big julie » et je l’ai planquée dans mes archives.
      secundo, je pense qu’il n’y a que des niais pour croire que l’algérien lambda a son mot à dire sur la manière dont la marabunta qui nous gouverne entend gérer la distribution de la rente.
      ceci dit, je suis prêt à parier (vu son âge apparent) que le sieur lagab est passé par l’école fondamentale de benbouzid. or, chacun sait que cette école a formé un nombre incalculable de décérébrés dont la caractéristique essentielle réside dans le fait que seule la partie reptilienne de leurs cerveaux fonctionne.
      moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part le fait indéniable que le dépassement du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation n’est pas pour demain.

        Zombretto
        9 juin 2020 - 16 h 38 min

        Salut, Abou Stroff!… Ce malabar est ironiquement surnommé Big Julie alors que Julie est un nom de femme, ce qui devrait donc en principe évoquer la douceur, la gentillese, le pacifisme, alors qu’il n’en est rien en réalité, comme l’Algérie porte officiellement et pompeusement le nom incongru, ironique et insultant de « République Démocratique et Populaire » alors que les algériens savent parfaitement qu’elle est une dictature pure et simple basée sur la distribution de la Rente.

    bEZZAF
    8 juin 2020 - 18 h 43 min

    en ces moments troubles n’importe qui est placé n’importe où ! pauvre Algérie

    Felfel Har
    8 juin 2020 - 17 h 06 min

    Si nos « constitutionnalistes » avaient révisé leur cours d’Histoire, ils se souviendraient de ce précieux conseil que l’abbé Emmanuel-Joseph Sieyès prodigué dans un livre qui avait défrayé la chronique en 1789 (Qu’est-ce que le tiers-état?): « Dans toute nation libre, et toute nation doit être libre, il n’y a qu’une manière de terminer les différends touchant la constitution, ce n’est pas à des notables qu’il faut avoir recours, c’est à la nation elle-même ». C’est-à dire au peuple entier, pas à une équipe choisie par le pouvoir. Je me dois de préciser que l’abbé Sieyès, devenu homme politique et historien de la révolution française, était l’ennemi juré du sanguinaire Robespierre, le hérault de la période connue sous le nom de la Terreur.
    Autre temps, autres moeurs mais le même combat entre les DÉMOcrates et les DÉMONcrates continue!

    Anonyme
    8 juin 2020 - 13 h 52 min

    Avec des hommes comme ça Tebboune ira loin!! Et ce n’est pas un choix irréfléchi car c’était son directeur de communication durant la « campagne électorale » !!! La nature du régime ne fait toujours pas de doute, ce n’est ni un régime présidentiel ni un régime semi-présidentiel Après 5 mois on voit que c’est toujours un régime militaire avec une couverture présidentielle

    anonyme
    8 juin 2020 - 13 h 40 min

    La vérité choc choque

    Ayweel
    8 juin 2020 - 13 h 06 min

    En lisant l’article je me suis arrêté longuement sur la phrase 《 à condition que celles-ci ne concernent pas l’identité et la nature du régime……», et 《 nous n’ accepterons que les propositions sérieuses. …..》 , qui est ce lagab, il se prend pour qui????, prend-il l’Algérie pour son douar de naissance et le peuple algérien pour des chevres de sa tribu et lui le berger ? ??? Il me rappelle ces étudiants affiliés aux différentes associations, type hamraoui Habib chouki, et qui passent tout leur temps à magouiller , à se plaindre et à marchander avec l’administration administrative et pédagogique leur notes de passage en contre partie de leur jeu de prostitution estudiantine au détriment de la science et de l’excellence de l’université. Regardez – moi ce personnage qui parle en usant d’un langage qui dépasse celui des pires dictateurs que la terre ait connu, qui généralement parlent au nom du peuple, de la nation, de la patrie. …….Alors que ce lagab utilise le nous, qui défini un groupe très restreint et qui décide à la place de tout un peuple. J’aimerais bien dire à ce lagab va d’abord connaître ton pays en long et en large et retourne à l’école pour réapprendre les règles élémentaires de comment s’exprimer, et exprimer ses idées dans le respect de soi et d’autrui.

    Belveder
    8 juin 2020 - 12 h 10 min

    IL en a fait du Chemin ce Monsieur …de simple chroniqueur dans des chaines tv au Sommet de la pyramide

    Anonyme
    8 juin 2020 - 11 h 33 min

    Ce type doit faire partie de la frange arabo islamiste,il est là pour défendre son clan qui veut que lAlgerie reste arabe et l islam religion d état !!!
    Il s en fout complètement des algériens qui sont sortis par millions pendant plus d une année pour demander une Algérie algérienne fière de son origine et de son histoire et de ses différentes influences…mais ni arabe ni musulmane à 100%
    La liberté de l Algérien doit absolument passer par une liberté de sa foi….

      Anonyme
      8 juin 2020 - 17 h 14 min

      Il me fait penser aux étudiants d’une section ayant eu des enseignants venus tout droit du moyen orient, et qui faisait toute leur scolarité sans accrocs.

    Karamazov
    8 juin 2020 - 11 h 09 min

    Iben moua je trouve que la déclaration de cette déclaration est rassurante car elle a le mérite d’opacifier la clarification attendue et en même temps de clarifier l’opacité qui entoure ce projet de constitution.

    Donc, cela mérite une exégèse approfondie par des connaisseur avertis comme ma modeste personne et Tovarich Abou Stroff.

    Que un signifie en en effet un régime semi-présidentiel?

    Que l’Algérie n’a pas les moyens de s’offrir une présidence complète ?

    Que le président n’est élu que par la moitié du peuple ?

    Que nenni!

    Que le Président ne travaille que la moitié du temps imparti?
    Que nous n’avions que la moitié d’un président au lieu des trois-quarts requis ?

    Que nenni , aussi.

    Alors c’est y quoi un régime semi présidentiel?

    Un régime présidentiel est un régime semi-divin où c’est le président qui préside au nom du peuple selon la volonté de Dieu.

    elhadj
    8 juin 2020 - 10 h 52 min

    en principe dans les pays qui se respectent ,les charges de mission n ont pour tache que d assurer leurs fonctions dans un cadre précis et dans la discrétion et l anonymat ; des lors que les institutions de la république disposent de ministres et de porte parole dûment qualifies pour informer légitimement l opinion publique.
    l exemple d un passe récent suffit largement

    llhadi
    8 juin 2020 - 10 h 05 min

    « Nous nous dirigeons vers un système semi présidentiel ». dixit le chargé de mission de la présidence.

    Que dois je répondre si ce n’est d’inviter ce monsieur à revisiter la constitution algérienne qui stipule que la république algérienne est une république semi présidentielle bi camériste.

    Le Président de la république, garant de la pérennité de nos institutions, aurait dû se démarquer de la posture de ses prédécesseurs et devenir le premier Président de la république à respecter la majesté de la constitution actuelle, sauveuse de ce pays, tel qu’on n’en possède point parmi les hommes. Cette loi fondamentale de la république incorruptible, vénérable et sévère, gardienne vigilante de cette terre, même pendant le sommeil de tous, et je le dis aux citoyens pour que cela soit désormais dans l’avenir.

    Nous, à qui ce soin est remis et, fidèles à notre serment, levons nous pour donner notre suffrage à cette nouvelle république qui laisse entrevoir espérances et avenir radieux. Retirons promptement les cailloux des urnes pour fortifier le point d’encrage de cette nouvelle république où le respect et la crainte seront toujours présent, le jour et la nuit, à tous les citoyens, tant qu’ils se garderont eux-mêmes d’instituer leurs propres lois.

    Si nous souillons une eau limpide par des courants boueux, comment pourrons nous la boire ? Je voudrais persuader aux citoyens chargés du soin de la république d’éviter l’anarchie et la tyrannie, mais non de renoncer à toute  « répression ». Quel homme restera juste, s’il ne craint rien ?

    Fraternellement lhadi
    
([email protected])

    58 ans d abus
    8 juin 2020 - 9 h 10 min

    <>semi ? vous lui accordez trop d importance alors que nous sommes déjà 1/9 ême (si on prend on considération le nombre de bulletins dans les urnes) présidentiel et ne fait que prolonger le 5 ême mandat après vingt ans de règne de Bouteflika
    A bon entendeur ,s,,,,,,

    Le problème Algerien
    8 juin 2020 - 8 h 54 min

    Le problème Algerien n’est pas la Constitution ou les lois mais dans le fait que la Constitution est piétinée par les plus hautes autorités de l’Etat et les Généraux depuis l’indépendance et par ricochets les Algériens ne respectent plus les lois, les bafouent à longueur de journée. C’est un problème de fond qui est devenu culturel dont il faudra du temps et/ou un électrochoc pour que les choses changent!!!

      Anonyme
      8 juin 2020 - 14 h 35 min

      ça ne changera jamais ça devrait venir de l’école est cette dernière a été tuée morte et enterrée et hélas pour des décennies peut être pour de bon.

    Abou Stroff
    8 juin 2020 - 8 h 49 min

    «Nous nous dirigeons vers un système semi-présidentiel, aussi, les propositions qui voudraient que soit instauré un système parlementaire seront rejetées de fait», souligne le conseiller à la présidence.
    j’adhère totalement à cette sentence.
    en effet, j’ai toujours soutenu que, dans un système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation et où le travail est une valeur marginale, celui ou ceux qui contrôlent la distribution de la rente contrôlent et l’Algérie et les algériens.
    j’ajoute que, au nom de quoi, des tubes digestifs ambulants voudraient ils participer à la gestion de la cité alors que leur contribution à la reconduction de la cité est quasi-nulle?
    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune à part le constat indéniable que, tant que les algériens n’auront pas retroussé leurs manches, pour travailler, produire et innover, ils (les algériens) n’atteindront point le statut d’êtres humains.

      Anonyme
      8 juin 2020 - 10 h 22 min

      Ya abou stroff. La majorité des algériens a l indépendance étaient des vrais travailleurs qui bossaient de longue heures etc… arriva le communiste Ben Bella et après lui boumedienne et voilà s installe la mentalité du fainéantise à cause des phrases de boumediene qui disait pas de khamassa pas d exploitation del homme par l homme pas ceci et pas cela etc » » le tout à été interpréter comme ne te casse pas la tête et ne travaille pas dur tu es protéger par le gouvernement qui va te donner sans travailler beaucoups. Voilà le résultat..tout le monde attends le gouvernement leur offrir un sandwich cachire pour applaudir..tout le monde attends le gouvernement pour leur donner un poulailler alias appartement et ça continue au point où même la boulisse et la jadarmiya veulent la chippa etc… et ça continue à donner et donner et tout le monde est devenue un bras casser bon à gueller et rien faire… quand à ce conseiller qui a besoin de conseil pour moi il est une non entité.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.