L’ex-directeur de Schlumberger répond à ceux qui l’accusent de «salir» Sonatrach

Khelil Sonatrach
Bouabsa critique les errances de gestion à Sonatrach. Ici, Chakib Khelil. D. R.

Par Nabil D. – L’expert qui a mis en garde contre l’achat par Sonatrach de la raffinerie d’Augusta a répondu à ceux qui l’accusent de «mener une campagne de dénigrement systématique» contre le groupe pétrolier algérien par «intérêt», en affirmant avoir passé quatre ans à élaborer sa thèse PhD sur la démonopolisation du secteur des hydrocarbures algérien. «Démonopoliser ne signifie pas automatiquement privatiser. Dans la conclusion, j’ai préconisé la création d’une Sonatrach-bis pour promouvoir la concurrence et forcer Sonatrach à améliorer sa performance et son mode de gestion», explique l’ancien directeur général de la filiale nord-africaine de Schlumberger.

Hocine-Nasser Bouabsa rappelle qu’il faisait partie du «cercle restreint des 50 top-managers de Schlumberger Group au niveau mondial» et que sa position de numéro deux «reportait directement au président de la région South-Europe, Middle-East & North-Africa». «J’avais mon bureau à Alger, Rome, Rabat et Tunis. J’ai connu Sonatrach de l’intérieur. Une compagnie où régnaient le clanisme et la corruption, à l’image du système de gouvernance de Bouteflika. Ses compétences étaient frustrées et déclassées par le système de cooptation», écrit-il, en précisant qu’à Alger, où il a résidé comme «expatrié», il a connu à Schlumberger et à Sonatrach des Algériennes et Algériens «honorables», qui «ne défendaient non pas seulement leur gagne-pain mais aussi les intérêts de leur pays». «Dommage qu’ils étaient très minoritaires», regrette-t-il.

Bouabsa, qui aurait pu épargner à l’Algérie plusieurs milliards de dollars s’il avait été écouté lorsqu’il avait lancé le signal d’alarme dans Algeriepatriotique, explique qu’il aurait pu joindre le comité directoire de Schlumberger, puisque deux membres du directoire l’ont convié à Paris pour lui faire une proposition «que tout carriériste aurait accepté volontiers, mais pas moi». «J’ai préféré quitter Schlumberger – les termes de confidentialité ne me permettent pas d’évoquer les raisons – la tête haute et avec tous les égards financiers – prime de départ conséquente – digne d’un manager qui a réussi sa mission, pour être à côté de mes enfants qui réclamaient avec plus d’insistance la présence de leur père, ce dont il avait droit», confie-t-il.

L’ancien cadre de la multinationale spécialisée dans les services et les équipements pétroliers ajoute qu’avec la prime de départ conséquente qu’il a perçue, il a créé Sonnergy GmbH en 2006. «Après trois ans, cette startup a pu accumuler la compétence et le savoir-faire qui lui ont permis de gagner la confiance d’investisseurs qui étaient prêts à investir 300 millions de dollars dans une usine de Polysilicium – le feedstock de l’industrie photovoltaïque – en Algérie», explique-t-il. Sonnergy fut aussi shortlistée par le groupe Sonelgaz parmi trois sociétés allemandes pour la construction de l’usine photovoltaïque de Rouiba pour un coût de 200 millions d’euros, insiste-t-il, en expliquant que faute de pouvoir s’accommoder du «système des requins, de la prédation et de la dilapidation des deniers de l’Etat», il a préféré se retirer de la «jungle d’affaires algérienne» et se concentrer sur ses activités en Allemagne.

S’agissant du projet Desertec, Hocine-Nasser Bouabsa rappelle qu’il en est un des premiers initiateurs et qu’il a quitté la fondation éponyme «après que le comité de pilotage a choisi Cevital comme membre de l’initiative industrielle au lieu d’Algerian Energy Company, filiale de Sonatrach et Sonelgaz, que j’ai personnellement recommandée», a-t-il affirmé, en notant qu’il est contre l’initiative industrielle Desertec DII «qui se focalise exclusivement sur les intérêts des grandes multinationales». «Le gouvernement algérien a bien fait de vouloir recadrer l’action de DII, le gouvernement français a, quant à lui, son propre agenda», a-t-il fait remarquer, en estimant qu’«on ne doit pas perdre de vue le développement des technologies de l’hydrogène solaire qui sont en train de gagner du terrain».

«Je n’ai jamais participé à une campagne de dénigrement contre Sonatrach, d’autant plus que je connais l’importance de cette entreprise qui fait nourrir des dizaines de millions d’Algériens. Par contre, j’ai usé, et j’userai, de mon droit d’Algérien libre pour critiquer les errances et les carences de gestion de cette entreprise hautement stratégique pour le peuple algérien», a conclu Hocine-Nasser Bouabsa qui s’oppose à l’exploitation du gaz de schiste au Sahara, «non pas seulement en raison des dangers environnementaux irréversibles qu’elle peut provoquer, mais surtout parce qu’il est temps que l’Algérie divorce du système de la rente pétrolière pour s’engager définitivement dans la logique de la création de la richesse par le travail et l’intelligence», a-t-il conclu.

N. D.

Comment (39)

    Argentroi
    4 juillet 2020 - 17 h 54 min

    Al Hamdoulillah, on commence à entrevoir la vérité ! On a maintenant quelques bribes d’informations sur le lobby du solaire qui est allé jusqu’à entraîner les populations sahariennes à manifester contre l’option gaz de schiste. Rien que pour ça, Desertec et son lobby algérien, je ne parle pas des citoyens, sont passibles d’atteinte à la sécurité nationale et d’activités subversives.
    Effectivement, ce lobby algérien de Desertec a pu mobiliser avec une rapidité et une facilité déconcertantes toute une opinion du nord au sud du pays qu’on est en droit de se demander jusqu’à quel degré sont arrivées les ramifications de ce lobby pour qu’il mène à bien le greenwashing de Desertec.
    Mais comme Bouabsa a révélé, car étant lui-même un des premiers initiateurs de Desertec, que le groupe Cevital est aussi partie prenante du projet Desertec, il est alors très aisé de faire les rapprochements judicieux sur ces ramifications et ainsi de comprendre le pourquoi du grand succès du greenwashing lancé par Desertec en Algérie. Ce greenwashing avait pour objectif de magnifier le choix de l’énergie solaire d’un côté et, d’un autre côté, de mener une campagne sans précédent en Algérie contre l’exploitation du gaz de schiste.

    Bouabsa a la particularité de nous révéler certains faits marquants qui le desservent. Voyons de plus près.
    1- Pour justifier ses qualifications, il nous informe que sa thèse de doctorat portait sur la démonopolisation du secteur des hydrocarbures algérien et il nous précise que démonopoliser ne signifie pas automatiquement privatiser et qu’il avait préconisé dans ses conclusions de créer une Sonatrach-bis pour promouvoir la concurrence. Seulement voilà : puisque Sonatrach a opté pour l’exploitation du gaz de schiste, on n’est en droit de penser que la hargne de Bouabsa contre Sonatrach est alimentée par la conjugaison de deux convictions : démonopoliser Sonatrach et dénigrer ses dirigeants qui ont opté pour le gaz de schiste antinomique selon ses intérêts matériels et écologiques avec le projet Desertec dont il est partie prenante. Démonopoliser Sonatrach devient un euphémisme et c’est plus exactement démanteler Sonatrach qu’il doit suggérer pour la remplacer par une Sonatrach-bis favorable, celle-là, à l’industrie de l’énergie solaire.

    2- Il oublie qu’à l’époque où Desertec avait lancé son greenwashing mensonger, l’industrie du solaire était à ses balbutiements et elle l’est encore puisque les avancées technologiques, notamment celle de l’hydrogène solaire, dont il se prévaut maintenant en 2020 n’existaient même pas auparavant et ne sont pas actuellement encore au point et onéreuses. Donc Desertec était et reste une arnaque des ultra-écolos allemands et autres qui activent de par le monde contre l’exploitation et l’expansion des sources d’énergie fossile dont le gaz de schiste.
    Oui, les think tank de ces ultra-écolos nous ont présenté un os à ronger, une arnaque, pour parer à l’argument des algériens, état et société, qui leur répliqueront qu’ils ont besoin de ce gaz de schiste pour assurer leur développement économique et social au moment où ces écolos nous demanderont de délaisser l’exploitation du gaz de schiste. Ils n’avaient rien à offrir aux algériens en échange de l’abandon du gaz de schiste que de leur miroiter les milliards à gagner avec ce projet Desertec qui, il faut le rappeler, a été lâché par les banques d’Europe quand elles ont vu, je ne sais, que c’était une arnaque ou une utopie.
    Mais quelle est cette éthique, monsieur Bouabsa, quelle est cette morale qui empêche un pays pauvre avec zéro pollution, comme l’Algérie, de jouir maintenant de son gaz de schiste tandis que d’autres l’exploitent allègrement comme les Usa et d’autres et polluent davantage l’atmosphère terrestre.
    Si au moins les algériens étaient, disons, 5 fois moins polluants que ces écolo allemands avec leurs voitures, leurs repas carnés, leurs garde-robes fournis, leur appareils ménagers, leurs voyages en Espagne et aux confins du monde etc… Dites-le à vos amis écolos, quel est l’intérêt pour l’écologie mondiale ? Est-ce de voir les algériens s’appauvrir encore et que les américains, les chinois, les canadiens, bientôt les argentins et d’autres s’enrichir avec l’exploitation de leur gaz et pétrole de schiste et, le comble, polluer davantage et davantage. Hogra et hogra de l’écologie occidentale dont les relais en Algérie sont les complices !

    3- Cela fait presque quinze années que les américains exploitent leur gaz et leur pétrole de schiste au point qu’ils sont entrain de prendre nos parts de marché en Europe et on a relevé aucun incident notable : ni la terre qui s’affaisse sous nos pieds, ni pollution des nappes, ni rivière saturée de gaz qui prend feu à l’approche d’une étincelle, ni laisser cela aux générations futures ni d’autres insanités. Où sont alors sont les dangers environnementaux irréversibles dont les ultra-écolos nous terrorise avec !

    4- Et enfin, Monsieur Bouabsa nous présente un autre argument qu’il qualifie de décisif contre l’exploitation du gaz de schiste en préconisant qu’il est temps que l’Algérie divorce du système de la rente pétrolière pour s’engager définitivement dans la logique de la création de la richesse par le travail et l’intelligence. Ah, parce qu’il faut subitement divorcer avec le système rentier et illico s’engager dans la logique de création par le travail et l’intelligence. Et entre-temps, comment va-t-on maintenir un cap acceptable pour les algériens ? Nous, on se fait beaucoup de soucis en Algérie pour cela !

    En conclusion, on voit bien que les intérêts des écolo-allemands, d’une part, et des algériens et Sonatrach, d’autre part, sont diamétralement opposés. Ainsi et dans cette phase cruciale, il impératif de préserver Sonatrach pour qu’elle se renforce en multipliant ses activités pour que l’Algérie reste visible et obtenir la confiance des investisseurs. Le gaz de schiste est actuellement le seul gros atout disponible qui puisse attirer les investissements étrangers. Et si les allemands veulent que leur projet Desertec aboutisse, je suggère aux décideurs algériens de leur donner une concession gratuite au Sahara et qu’ils se débrouillent avec leurs banques et leur état ; on verra si Desertec est une arnaque ou non !

      Ano
      5 juillet 2020 - 13 h 02 min

      Vous considérez que c’est trop pour les algériens d’etre pionnier dans le solaire ecolo?Si ce n’était pas cela,l’Algérie serait aujourd’hui en mesure d’alimenter toute l’Europe,et une grande partie de l’Afrique d’une energie propre,presque gratuite et super concurrentielle.Et comme il n’est jamais tard de bien faire,si nous arrivions à mettre en pratique ce que vous préconisez à la fin de votre article,avec les allemands et les autres,l’Algérie serait pour de vrai un continent-moteur et non menteur…

        Argentroi
        6 juillet 2020 - 8 h 00 min

        @ Ano
        Mais ce projet Desertec est une chimère car le problème du solaire est comment stocker l’électricité de jour pour la restituer la nuit. Actuellement, on le fait avec des piles et les meilleures piles ne dépassent pas une durée de stockage de 4 heures et combien de piles faut-il pour alimenter tout un continent comme l’Europe. Et les pertes du réseau électrique gigantesque qu’on installera du Sahara (Adrar) jusqu’à tous les coins d’Europe, tu imagines combien d’électricité va être perdue en cours de route, une quantité énorme que les promoteurs de Desertec évaluent à 3% pour chaque 1000 km mais avec un nouveau type de lignes haute tension; à titre d’exemple et en Allemagne la longueur totale du réseau électrique est de 1,7 million de km comprenant un grand réseau de transport haute tension de 35 000 km environ, en France le seul réseau de transport haute tension est de 106 000 km. Avec ces données élémentaires, fais le calcul des 3% de perte pour chaque 1000 km en comptant la haute tension seulement bien-sûr. D’ailleurs, c’est pour cette raison que Desertec a abandonné l’idée d’alimenter l’Europe pour se tourner vers l’Afrique; comme si le Nigéria ou le Congo, c’est à côté d’Adrar ! C’est une véritable arnaque, ce projet Desertec.
        Aux états-unis, le désert de Yuma a un taux d’ensoleillement des plus élevés au monde, mais les américains n’ont jamais eu cette idée saugrenue bien qu’ils s’intéressent les plus au développement du solaire et qu’ils ont les plus grandes banques, les plus grands ingénieurs innovants, les plus grands laboratoires de recherche, les plus courageux investisseurs. On se demande pourquoi cette idée ne les a pas même pas effleurée. Autant pour les chinois qui sont les plus gros producteurs de panneaux solaires et pour qui le développement du solaire a une importance cruciale.
        Desertec abandonnéé par l’Europe est une arnaque pour les sous-développés à qui elle s’adresse maintenant dans la région MENA (Middle East and North Africa) où il y a l’argent du pétrole. Les seuls au monde qui croient encore en Desertec sont les algériens parce que le lobby algérien des producteurs de panneaux solaires, partenaire avec Desertec, leur a fait croire, par un greenwashing subversif, que l’Algérie va y gagner des milliards et des milliards et qu’elle va être le centre du monde. Même le Hirak y croit.

          Attendons...
          10 juillet 2020 - 23 h 46 min

          Attendons que les Americains le fasse…attendons que les Chinois montrent que c’est possible…Attendons que les Allemands le fasse eux-meme y compris chez nous a la rigueur ….Attendons et Surtout ne faisons rien …….Attendons !

      Hocine-Nasser Bouabsa
      5 juillet 2020 - 14 h 53 min

      Mettez votre mauvaise foi de côté et lisez bien. Il est écrit que j’ai quitté aussi bien la fondation Desertec que la « Desertec Industrial Initiative » après que j’ai su que Cevital au lieu de Algeria Energy Company (AEC) fût sélectionnée par le comité de pilotage. C’était l’été 2009. Depuis, aucun contact. N’empêche que je reste persuadé que l’Algérie doit mettre le cap sur le solaire dans toutes ses formes.

      Pour ce qui est de Sonatrach, je salue l’abnégation de ses ouvriers, techniciens et ingénieurs qui par leur engagement quotidien lui permettent de fonctionner encore. Mais son management a toujours été à l’image du seul actionnaire, donc du pouvoir politique. En 10 ans on lui imposa huit PDG différents. Donc la faille est exogène.

      Le président Tebboune a dit une fois que Dieu nous a donné une ressource (le gaz de schiste) qu’on doit exploiter. Je lui réponds que Dieu nous avant tout le soleil et l’eau, deux ressources non substituables, que nous devons exploiter et protéger avant tout.

      Quant à l’exploitation du gaz de schiste, je respecte votre opinion, même si je ne la partage pas, mais le sujet est tellement complexe que je préfère revenir sur ce sujet dans une contribution plus tard.

        Krimo
        5 juillet 2020 - 16 h 19 min

        M. Hocine Nasser Bouabsa

        Vous dites : « Le sujet est tellement complexe que je prefere revenir sur ce sujet plus tard …… »

        C’est vous qui le rendez complexe, vous n’avez pas les competences necessaires pour ce faire et je vous prends au mot. J’attends votre contribution.

          Hocine-Nasser Bouabsa
          5 juillet 2020 - 18 h 34 min

          @Krimo,

          Oui le sujet du gaz de schiste est très complexe et nécessite le travail d’une équipe multidisciplinaire et non d’une seule personne, pour étudier tous ses aspects déterminants.

          Vous écrivez « vous n’avez pas les compétences nécessaires pour ce faire ». Si vous attendiez de moi que je vous donne des cours sur les technologies de fracking, le forage horizontal, la cimentation des puits, les techniques de mise et maintien de pression, etc…. alors vous pouvez alors attendre que je naisse une deuxième fois.

          Et puisque vous semblez maitriser le sujet, allez-y, faites nous profiter de votre expertise. De préférence en publiant sous votre vrai nom.

          alpha
          5 juillet 2020 - 19 h 54 min

          c lui qui etait au four et moulin.
          vous vous voulez seulement qu il
          deballe tout.

          Krimo
          5 juillet 2020 - 23 h 55 min

          Hocine Nasser Bouabsa,

          Vous dites:  » Si vous attendiez de moi que je vous donne des cours sur les technologies de fracking, le forage horizontal, la cimentation des puits, les techniques de mise et maintien de pression, etc…. alors vous pouvez alors attendre que je naisse une deuxième fois  »

          Non (…) ce n’est pas le simple enonce de ces techniques qui vous donnera du coffre. Pour le profane le web est a la disposition de tout le monde et des cours vulgarises y sont dispenses.

          Votre ecrit :  » Quant à l’exploitation du gaz de schiste, ……….. mais le sujet est tellement complexe que je préfère revenir sur ce sujet dans une CONTRIBUTION plus tard. »
          Ce n’est pas a moi, mais a vous d’eclairer de vos lumieres le NOUS. C’est votre engagement.

        Argentroi
        5 juillet 2020 - 20 h 26 min

        @ Hocine-Nasser Bouabsa
        En quoi je suis de mauvaise foi ? N’avez-vous pas affirmé que vous étiez l’un des premiers initiateurs du projet Desertec en Algérie ? Dites-nous alors est-ce que ce projet en 2009 avant que nous quittiez la fondation Desertec et la DII était faisable techniquement oui ou non ? On ne parle de l’énergie électrique produite à partir de panneaux solaires et de centrales solaires qui vient en appoint dans le mix électrique, mais on parle de ce projet pharaonique de Desertec qui a besoin de 500 milliards de dollars, d’une portion du Sahara et d’un réseau de transport électrique gigantesque traversant la méditerranée pour pouvoir répondre à tous les besoins de l’Europe en électricité jour et nuit. Alors dites-nous, ce projet tel qu’on nous le miroite vous y croyez ? Et n’éludez pas la question en abordant l’avenir du solaire puisque la mystification a commencé dès le départ avant 2009. Et expliquez-nous par quelle avancée ou secret technologique Desertec allait pouvoir stocker l’énergie solaire et la restituer de nuit puisque les meilleures piles solaires de l’époque ne pouvaient aller au delà de 4 heures de stockage. Dites-nous aussi est-il possible au vu de l’éloignement d’Adrar à l’Europe que les pertes de transport de l’électricité ne soient pas un véritable obstacle technique insurmontable pour rendre ce projet viable économiquement.
        C’est pourquoi, je dis que Desertec est une arnaque, et ce que vous reconnaissez implicitement lorsque vous vous prévalez des avancées technologiques actuelles, comme celle de l’hydrogène solaire, inexistantes à l’époque, pour résoudre les problèmes techniques de stockage que j’ai soulevés auparavant. D’ailleurs, ces avancées ne sont qu’au stade de la recherche et des essais et ne résolvent pas les problèmes techniques et économiques posés à Desertec.
        Dites-nous la vérité car les algériens, et vous le lisez, croient que l’Algérie va y gagner des milliards et des milliards et qu’elle va être le centre du monde en vendant son soleil au monde.

    Brahms
    4 juillet 2020 - 17 h 21 min

    Un juge du Palais de Justice de la Suisse a déjà enquêté sur l’affaire Chakib Khellil et a dit que tout cet argent qui se trouvait sur son compte bancaire en Suisse ne provenait pas du travail avec des fiches de paie. Enfin, quand on a rien à se reprocher, on laisse l’argent dans son pays, on ne va pas le cacher à l’étranger. Il nous prend pour des idiots.

      Quel rapport ?
      4 juillet 2020 - 22 h 52 min

      Tu melanges tout et visiblement ne connait rien au sujet.
      Ecran de Fumée et insinuations bidons
      Ca devient Fatiguant….
      c’est comme tous ces braves types sympas mais qui croient pouvoir gérer la Selection nationale parce qu’ils ont joue 3 ans dans un club Amateur qui s’est qualifie en régionale il y a 25 ans….

        Brahms
        5 juillet 2020 - 4 h 16 min

        A Quel Rapport ?

        Vous n’avez rien compris au film. Quand on détourne des fonds c’est que forcément, il y avait un lien avec son emploi à la Sonatrach. Si je ne me trompe, le Gouvernement enquête sur la fraude opérée or, ce Monsieur Chakib Khellil amène des règles de chez Bush (Texas) pour mieux se servir et fait ensuite des comparaisons avec les salaires des grands PDG comme Total ou ailleurs pour par la suite se payer directement d’où une commission de 140 millions d’euros pour sa bonne tête. Enfin, vous n’êtes pas sans savoir qu’un mandat d’arrêt international cela signifie une mise en examen d’office. En résumé, si 140 millions d’euros ce n’est rien pour vous alors il vaut mieux aller faire dodo.

    Ano
    4 juillet 2020 - 16 h 41 min

    Il y a les idiots,les intelligents et les sages:les idiots peuvent à l’infini recommencer les memes expériences qui ont prouvé à maintes reprises leur non fiabilité et leurs limites et attendent toujours des resultats différents meilleurs..Les intélligents profitent de leurs expériences,succès et déboires,et se perfectionnent au fur et à mesure….Les sages quant à eux,prifitent des expériences des autres,et se prémunissent ainsi des hauts-frais des besoins,dont ils n’auraient plus besoin

    Anonyme
    4 juillet 2020 - 16 h 00 min

    « La tête haute et avec tous les égards financiers »Est-ce-que c’est possible?De la part d’un manager qui a réussi sa mission (pour qui?) et qui doit maintenant aller s’occuper de ses enfants,qui ont dû le pleurer longtemps( et où?)Encore quelqu’un a qui nous,pauvres d’algériens (…),devrions élever un monument

    Hmida Boulekouas
    4 juillet 2020 - 15 h 59 min

    Dommage Monsieur Bouabsa, nul n’est prophète dans son pays. La Sonatrach est rongée par le clanisme, le régionalisme fait rage. Sollicitant un emploi dans les années 90 chez Sonatrach et Schlumberger et en étant fraîchement diplômé, mon frere n’a eu de réponse que de cette dernière multinationale. Il fallait connaître un colonel me disait-il après avoir travaillé avec les transfuges de Sonatrach. Tous les nouveaux pistonnés avaient eu droit à au moins un stage à l’étranger aux frais de la princesse ce qui leur a permis de quitter ensuite et aller vers d’autres pays comme les USA, Canada ou Norvège et les pays du golf. Aujourd’hui nous assistons au changement dans la continuité. Après avoir éjecté de la direction la plupart des cadres kabyles ( il faut appeler un chat un chat) qui sont compétents pourtant, et au nom de Zero kabyle, on assiste au recrutement tous azimuts de nouveaux cadres illettrés venant de la région du PDG de la sonatrach. Ce n’est pas pour rien que ce beau monde inféodés au nouveau patron, insiste sur l’exploitation du gaz de schiste. Restez humble et courageux monsieur Bouabsa et bon courage dans vos affaires.

      lasker
      4 juillet 2020 - 18 h 15 min

      Je ne suis pas d’accord avec vous, pour quoi prêcher la zizanie quand on est disqualifié. Je suis le fils d’un citoyen algérien des plus pauvres qui peut y avoir. J’ai passé le concours de recrutement des ingénieurs chez Schlumberger en 1992, en compagnie d’un autre Ingénieur de Batna issue d’un cartier aussi populaire que le mien. Nous étions deux à être embaucher pour ensuite partir en UK en 1993 et USA en 1996 pour suivre de stages de formation avec des ingénieurs d’autres pays. Là aussi ca fut un concours continue pour survivre les 4 mois de formation ou on devait obtenir pas moins de 75% de note dans les examens hebdomadaires pour rester à ces écoles de Schlumberger …nombreux sont qui sont rentré bredouilles après moins d’un mois de stage …… je ne sais pas d’où vous êtes allé chercher que Schlumberger recrute les enfants des puissants en Algérie. Car même si c’était le cas … comment arriveront-ils a poursuivre les examens de compétitions féroces des candidats des autres pays qui intègrent les mêmes promotions dans les écoles américaines ATC ou anglaises UTC … par ou je suis personnellement passé a mainte reprises.

        Hmida Boulekouas
        5 juillet 2020 - 2 h 20 min

        Je crois qu’on a pas étudié le même français car si tu lisais bien, je disais qu’il fallait connaitre un colonel pour travailler à sonatruc pas chez Schlumberger. ( J’ai bien dit que mon frère n’a eu de réponse que de cette dernière et j’ai cité Schlumberger en dernier. (…)

          Lasker
          5 juillet 2020 - 15 h 04 min

          Vous avez raison …. Donc au moins, on est d’accord sur le cas Schlumberger.
          Même chose du coté SH, la compagnie nationale avait ces propres écoles d’ingénieurs et techniciens supérieurs comme L’IAP, INHC de Boumerdes et les IAP de Skikda, Oran et Hassi-Messaoud. Donc la compagnie n’avait pas vraiment besoin de recruter ailleurs pour combler ses besoins. Tout le monde fut casé à la fin du cycle de formation …. SH a toujours tourné avec ses propres cadres de formation Algérienne (IAP ou INHC), et de nationalité algérienne …. Votre frère peut être l’exception qui confirme la règle.

    Lasker
    4 juillet 2020 - 15 h 25 min

    Je suis du même avis que DJillo, être un employé ou ex-employé de Schlumberger ne fait pas de vous un manager pétroliers compètent. Non seulement Schlumberger demeure une compagnie de service pétroliers (ou J’ai passé dix ans de ma carrière en internationale), et par conséquent la gestion de ses activités ne ressemble en rien la façon dont les compagnies pétrolières (E&P) ou je viens de passer mes dernières 20 années sont gérées. Dans les pays pétroliers développés et les grandes multinationales comme en Amérique du nord, il n’est pas facile de transiter dans la carrière d’une compagnie de service à une compagnie de production, justement à cause de cette différence de culture et de mode de gestion. Un cadre du secteur de service reste spécialiste dans l’offre de solutions liées à des problèmes techniques spécifiques qu’il cherche à régler à n’importe quel prix. La gestion des compagnies de production quand elle réside dans l’art de coordination, optimisation des ressources et surtout l’aspect économique des risques dans les prises de décisions. Prenons l’exemple du risque, les compagnies de services n’assume jamais de risques dans leurs prestations, alors que du cote E&P c’est facteur a gerer au quotidien. C’est cette même différence entre les deux secteurs, qui ne donne a aucun le droit de critiquer la façon de faire de ‘autre ….. كيما اقولو عندنا دبارت الفار على مول الدار

      Hmida Boulekouas
      5 juillet 2020 - 16 h 53 min

      Je regrette monsieur Lasker, mais le niveau des ingénieurs géologues de l’USTHB est bien supérieur à ceux de l’IAP ou l’INH, la preuve, le frere dont je te parle et 12 de ses anciens camarades étudiants de Bab ezzouar travaillent tous en Norvège soit avec BP de ou Shlumberger, 5 d’entre eux avec leur ex professeur de l’USTHB que Sonatrach n’a jamais été recruté depuis 1965 car il était un opposant au régime alors que la British Petroleum lui avait ouvert les bras.

        Krimo
        6 juillet 2020 - 17 h 45 min

        H’mida Boulekouas,

        D’abord votre prof en 65 avait 21 ans. Si juste travailler pour BP ou encore Schlum. etait un gage de professionalisme, alors la vous vous trompez lourdement et concernant l’Usthb dans le cursus de vos geologues la geologie de terrain a ete occultee et le pourquoi votre prof vous le dira en substance. Quand on parle petrole il y a une spécialité qui s’appelle geologie petroliere, tout comme un neurologue ne peut etre cardiologue ……

          Hmida Boulekouas
          7 juillet 2020 - 6 h 49 min

          C’était pas mon prof, ce scientifique a écrit plusieurs fois dans ce journal meme. Je ne connais même pas son âge à moins que tu sois lui-même. Quant à l’USTHB, les résultats des concours qu’elle organisait ne sont pas n’étaient pas connus à l’avance et pour ce qui est de la géologie de terrain, je sais au moins que mon frere en faisait un par année et des sorties dans les 4 coins du pays. Pas comme la géologie de l’INH ou l’IAP qui les font dans les terrains entourant ces instituts. Il s’agit d’explorer des gisements de gaz ou pétrole ou meme des mines et les procédés géophysiques étaient les mêmes dans toute exploration géologique. Ce qui est différent actuellement avec l’utilisation des georadars, de télédétection par satellite et autres.

          Krimo
          7 juillet 2020 - 15 h 44 min

          H’mida Boulekouas,

          Dire que je me trompe lourdement, alors tenez-vous en a ce que vous dit votre frere detenteur de la « verite vraie »

          Hmida Boulekouas
          8 juillet 2020 - 2 h 45 min

          Sans rancune ya ssi Krimo, tu as le droit aussi d’avoir ton avis et j’ai pas de problème avec cela. Amicalement.

          Krimo
          8 juillet 2020 - 13 h 52 min

          H’mida Boulekouas,

          Georadars et teledetection par satellite …… en connaissez-vous l’usage?
          En 1975 il y a eu l’avion renifleur d’Elf sous les bons auspices de Chirac et de Barre.

          Je ne cultive pas la rancune mais de grace cultivez-moi avec ce que vous savez.

    Anonyme
    4 juillet 2020 - 15 h 21 min

    Moi je me demande pourquoi nos services de renseignements n ont rien fait pour mettre a nu toute cette mafia politico-financiere et cette culture de la corruption qui a ebranle l Algerie..Donc il est d une urgence extreme pour reorganiser tout le systeme des renseignements et le diviser en deux services speciaux….le renseignement interieur et le renseignement exterieur,deux centrale d intelligence service,l une dependant du ministere de l interieur ( service de renseignement de l interieur)et l autre dependant de la presidence de la republique,(service de renseignement exterieur)…Les deux directeurs de ces agences de renseignements doivent etre totalement independant dans leurs investigations…interieurs et exterieurs…Sans ces deux agences l Etat est completement aveugle et agit a l emporte piece…ballotte par le vent des influences et des pressions….Visibilte nulle..Dans la nouvelle constitution reformee en profondeur,cette institution des renseignement doit avoir sa bonne place dans les preoccupations de la presidence de la republique..Le president de la republique doit etre informe quotidiennement par les deux directeurs des renseignements,le president discutera avec le conseil de securite restreint de l Etat pour juger la situation qui prevaut…
    Il est temps de dire que notre pays l Algerie et le peuple Algerien ne peuvent plus supporter plus que ce qu ils ont supporte pendant ces trois dernieres decennies….Notre pays est grand comme un continent,riche sur tous les points de vue,matieres premieres abandantes,agriculture et ses derives,Elite abandante et tres competente,avancee dans les nouvelles technologie,et jeunesse extremement ambicieuse pour la recherche et la renovation….seul l administration et le politique trainent le pas et semblent vivre et travailler encore avec un logiciel du siecle dernier….Le President Taboune a interet a s investir dans le rajeunissement du staff politique et militaire pour la mise a niveau et la modernisation du pays..Suivre le changement a grande vitesse des technologies dans un monde devenu si complexe et complique….

    Anonyme
    4 juillet 2020 - 15 h 18 min

    Ce n’est que le bout de l’iceberg.
    En Algerie il y a au moins deux états dans un état.

    DJILLO
    4 juillet 2020 - 13 h 18 min

    Je suis très étonné de voir un ancien de Schlumberger étaler ses competences a Schlumberger pour justifier son acharnement contre la compagnie nationale. Oui , j’ai bien lu ses articles et je les considere sans rougir comme un vrai acharnement contre Sonatrach. Etre un ancient de Schlumberger ne donne en aucun cas une suprématie pour pouvoir considérer comme nulle et unproductive toute decision prise par des dirigeants de Sonatrach. J’ai l’impression que Monsieur Bouabsa qui, en s’enorgueillissant de son job dans cette compagnie, nous dit qui’il est supérieur et qu’il connait mieux Sonatrach que ses dirigeants, non pas par competence mais juste parce qu’il a occupé le poste de directeur a Schlumberger. Pour lui, la corruption est une caractéristique propre a Sonatrach et qu’un employee ou un directeur a Sclumberger est par definition très loin de ce phénomène. Juste un petit indice a Monsieur Bouabsa, au temps d’un certain dénommé Amir (juste le prénom), il y a eu 5 managers de Schlumberger Algérie qui avaient été virés de la compagnie, pour cause justement de ….. corruption.

      Faux juges et Machine a faux procès ou Contre- Expertise
      4 juillet 2020 - 17 h 48 min

      Tout le monde se plaint de la Justice et tout le monde se pose en Juge et se donne le droit de déclencher des Faux-Procès Et des Enquêtes et jeter le discredit sur des Lanceurs d’alerte ou des personnes qui expriment une opinion différente de la majorité …
      Casser le Thermomètre n’a jamais fait baisser la Fièvre!
      Par contre une Contre Expertise par une partie Tierce indépendante peut aider a se faire une meilleure idée si nécéssaire…
      On est au 21 siècle, les Faux Procès en Sorcellerie datent du Moyen-Age…

    GERONIMO LE CHAOUI DU MAC
    4 juillet 2020 - 13 h 07 min

    GAID SALAH EST RESPONSABLE DU MALAISE DE SONATRACH. CE RENEGAT EST DERRIERE LA VENUE DES QATARIS EN ALGERIE A LA PLACE DES ALGERIENS DIGNE FILS DE MASSINISSA

    ferial
    4 juillet 2020 - 12 h 20 min

    Cet homme a entièrement raison.
    le projet « Desertec » à usage local oui, mais pas pour exporter l’électricité en Europe et ouvrir la porte aux commissions et aux retro commissions qui ont ruiné ce pays.

      Anonyme
      4 juillet 2020 - 16 h 51 min

      J’ai envie de répondre à la réponse qui a un peu plus de sens Que viennent faire .Gaid Salah (Décédé !!!!),les qataris,et surtout massinissa.Encore ce K.nombrilisme hyper mal placé.S’il vous arrive de lire,si vous avez comme moi envie de mourir moins c.,si vous êtes en quête de votre identité,essayez M. Eilade : La Nostalgie Des origines.

    Bealem du 42
    4 juillet 2020 - 11 h 10 min

    Quand je vois sa facha, j’ai envie de gerber.

    Anonyme
    4 juillet 2020 - 10 h 56 min

    J approuve totalement et sans reserve Monsieur Bouabsa..Nous Algeriens sommes fiers qu il existe Dieu merci des citoyens Algeriens totalement devoues a la mere Patrie et ils sont une grande majorite..Malheureusement le systeme politique et le Lobby autour du pouvoir au temps de Bouteflika et meme avant ont installe la culture de la corruption comme systeme de gouvernance…L Algerie ne se relevera veritablement que par l aneantissement du fleau de la corruption par l application de la loi avec toute sa severite et par une profonde reforme de la constitution et du code electoral…L installation de toutes les institutions constitutionnelles indispensables a l exercice d une veritable democratie doivent jouir d une liberte et d une independance reelle pour un veritable Etat de droit…Notre pays doit opter pour un regime presidentiel dans une democratie autoritaire pour imposer la suprematie de la loi ,la discipline et le respect des libertes individuelles dans le respect total de nos moeurs et coutumes..Que Dieu aide l Algerie et le peuple Algerien a vaincre cette pandemie,que les citoyens Algeriens respectent les directives de nos responsables de la sante publique..confienement et port du masque sont sont a respecter imperativement…TAHYA AL JAZAIER

    Hmed hamou
    4 juillet 2020 - 10 h 55 min

     » S’agissant du projet Desertec, Hocine-Nasser Bouabsa rappelle qu’il en est un des premiers initiateurs et qu’il a quitté la fondation éponyme «après que le comité de pilotage a choisi Cevital comme membre de l’initiative industrielle au lieu d’Algerian Energy Company, filiale de Sonatrach et Sonelgaz, que j’ai personnellement recommandée»  » ??

    Peut-on avoir un peu plus d’explication ?

    urban talantazert
    4 juillet 2020 - 10 h 53 min

    comment ne pas reagir aux propos de Mr Bouabsa qui a l instar de nombreux cadres integres avaient attirer l attention de nos dirigeants sur les pratiques quotidiennes de la mafia politico -financiere qui gangrenait tous les secteurs d activite du pays Mr Bouabsa a prefere fuir les appetits feroces des requins qui ont pris en otage toute la nation son developpement et sa survie quel que soit le secteur dindusrtiel,agricole,travaux publics et contructions,transports,hydraulique,bancaire,services,medical,education et formation…je ne peux malheureusement tous les citer ! sont vides de leur substance par les commissions,surfacturation,transferts illicites par ceux la meme qui etaient en charge de ces secteurs et qui beneficiaient de toutes les largesses, privileges et facilites accordes par les premiers responsables aux commandes des manettes de la presidence;des ministeres, de la defense et des services de securite ….(…) les hopitaux et les personnels soignant sont debordes par la crise sanitaire, l economie est a genoux, les retraites ont du mal a percevoir leur maigre pecule, plus de 30% de notre jeunesse de moins de 30 ans peine a trouver un emploi, notre systeme educatif est sinistre….je peux poursuivre cette litanie qui n a pas de fin pendant que nos responsables a tous les echelons se pavannent dans les capitales occidentales du moyen orient et de l asie ou ils disposent de biens immobiliers acquis illicitement de comptes bancaires confortables …et qui lorsqu ils reviennent au pays ,ils se calfeutrent dans leurs villas du Club des Pins mises gracieusement a leur disposition par le systeme en place et qui exploite les ressources de l Algerie depuis l independance telles des sang-sue toujours avides de sang l Algerie sera peut etre « sauvee » par un seisme ou un tsunami de grande envergure a l image du Hirak qui je l espere emportera toute cette vermine et donnera naissance a une nouvelle Algerie enfin libre et independante Gloire a nos Martyrs

    58 ans
    4 juillet 2020 - 10 h 30 min

    l argent rend fou aussi pousse a la trahison au désordre au profit a l appât du gain a la corruption a la famine a la souffrance d autrui abus et du pouvoir a la dédaigne au mépris a la cupidité a se salir ,salir ses biens les siens et son âme ,,,,,,,,,,,,,,,,laisse très peu de place au pardon

    Algérien pour le pire et le meilleur
    4 juillet 2020 - 10 h 21 min

    C’est tout à vôtre honneur Monsieur Hocine-Nasser Bouabsa .
    Sachez Qu’Allah n’oublie rien, s’agissant des ennemis de l’ombre de l’Algérie.

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