Le salafisme instaure ses lois : l’Algérie est-elle déjà une République islamiste ?

salafistes besoin métaphysique
Le credo des islamistes : isoler pour mieux fanatiser afin de fermer toutes les portes à la modernité. D. R.

Par Abdelaziz Boucherit – Le besoin métaphysique est un réveil inné à la vie qui surgit, fatalement, dès l’aube de la conscience humaine. Ce sentiment précoce, de l’éternelle question qui se pose à nous avec des termes simples – qui suis-je ? Où vais-je ? – déroute continuellement la raison. Cette appétence, vieille comme le monde, de savoir qui on est vraiment provient des profondeurs obscures du silence de soi, sans qu’on sache les causes pressantes de cette problématique. Cette quête existentielle est plus difficile, aujourd’hui, dans un contexte ardu, où les repères se délitent et où les identités se précisent, de plus en plus, en nombre en s’agrégeant les unes aux autres.

Ce sursaut naturel, édifiant, commun à la nature humaine draine dans son sillage une recherche maintenue, à travers des réflexions personnelles, par mimétisme social ou par héritage implicite du milieu familial, des moments de doutes et de certitudes avant de se forger une opinion sur le mystère de sa propre existence et son orientation spirituelle. Ce curieux réflexe qui s’impose à nous, légitimement, nous place dans une recherche intrinsèque, intime et presque inconsciente sur la réalité des intérêts qui conditionnent notre vie terrestre.

Une pensée permanente, curieuse et angoissante, préoccupe, depuis toujours, la conscience de l’homme sur les sombres méandres du gouffre du néant qui guette la vie et ne lui laisse, en apparence, aucun espoir pour prétendre à la survie de son âme éternelle. La nature humaine fut, de tout temps, perdue face aux tourments des mystères qui entourent le monde réel. La raison fut impuissante de concevoir, tant bien que mal, une réponse claire pour rassurer les mortels sur leurs destinées éphémères, indéfinies et abstraites.

En somme, l’homme avait toujours tenté, sans arriver jusque-là, à vaincre, le vide qui le sépare de la vérité avec son propre destin après la mort. Même l’illusion imaginaire ne put combler, avec certitude, notre incapacité à contrôler notre bref destin.

Aucune philosophie n’est arrivée à se projeter pour apaiser les âmes, en dehors de la foi qui se rattache, avec un excès de zèle, aux certitudes des religions. Malheureusement, la conscience humaine reste incapable d’apporter une réponse scientifique unanime pour satisfaire l’angoisse de la mort. Nous sommes un élément de la nature doté du privilège d’une conscience éveillée, incapable de se définir par elle-même. Elle se perd dans les mystères, des liens ténébreux, des vastes espaces inconnus de notre univers. La jeunesse algérienne est privée de cet élan de recherche intellectuelle et spirituelle, pourtant nécessaire, pour lui garantir l’équilibre mental. Elle est interceptée au berceau et à l’école fondamentale pour la formater à suivre aveuglement les concepts imposés d’un islam détourné de sa vocation première : la paix de l’âme.

Les sentiments relayés par les mystères de la vie et la mort se définissent selon deux visions opposées : l’une admet le ressenti d’une éternité divine sans fin ; la croyance, l’autre ; l’esprit critique, une vision entachée de scepticisme, avec un regard singulier et pragmatique, se réalise autour du concept d’un monde lié à un pur hasard sans avenir. L’option de la vie sans avenir probant après la mort inquiète assurément. Si une partie, à l’image des sociétés musulmanes, croit au sacré et s’accroche, définitivement, sans se poser de questions, sur le message divin des religions, pour se rassurer et bénéficier de l’existence d’un destin meilleur dans l’au-delà, l’autre partie se résigne à vivre dans le doute, en construisant sa propre moralité, ses lois et ses philosophies inspirées du réel, en acceptant la mort comme le péril de la vie ; une fin sans suite.

La meilleure façon d’assurer le bien-être et l’équilibre intellectuel de l’être humain, c’est de le libérer pour lui permettre d’évoluer, sereinement, selon sa propre perception des choses. Chacun doit apporter sa propre réponse pour réguler la peur viscérale, qui est en lui, face à une vie incertaine et une mort qui nous propulse, sans raison, vers les contours opaques du néant. La culture objective de la mort, qui apporte la quiétude, est ignorée dans notre société islamisée.

La spiritualité est un sentiment universel ; les religions s’emparent de la fragilité de ce sentiment pour offrir les dogmes qui encadrent la vérité temporelle, spirituelle et éternelle.

L’islam est une religion comme les autres, qui se distingue, en imposant, comme principe unaire, un modèle de vie unique, qui ne peut être valable que s’il est défini autour des valeurs édictées par le Coran et son complément : la charia. En somme, aucune pensée nouvelle, aucune création sous toutes ses formes, aucune idée politique et sociétale ne doit porter le sceau de vérité, si elle n’est pas étoffée, inspirée ou issue des concepts islamiques. L’islam est un tout, une vision binaire ; tout ou rien. On ne peut accepter de retirer, renier, mettre en cause ou en doute la véracité infinitésimale de son tout véridique.

On entre dans l’islam et on n’en sort jamais. Le musulman est convaincu de la suprématie de l’islam sur les autres religions. Et, convaincu de sa suffisance, vraie ou supposée, que toutes les vérités scientifiques, sociétales et spirituelles associées à la vie sur terre et dans le ciel sont révélées dans le Coran. On peut résumer facilement cette partie du dogme musulman par : vivre dans un espace musulman clos, en autarcie, en rejetant toutes les idées venant de l’extérieur. Cette nouvelle lecture de l’islam, au demeurant insidieuse, portée par les islamistes radicaux, venant du Golfe, pervertit l’esprit attractif de l’islam des lumières.

Le salafisme, une expression nouvelle de l’islam radicalisé, s’empare de l’aubaine pour instaurer ses propres lois, en corrompant le message universel de base, d’un islam tolérant.

Ce fondamentalisme édulcoré par des formules fleuries pour flatter l’égo des musulmans fragiles monopolise tous les moyens des puissants médias, à travers le monde, des riches monarchies du Moyen-Orient. Ils déversent, inlassablement, une propagande fallacieuse et belliqueuse, à travers l’humanité entière, pour justifier l’archaïsme qui mine la grande détresse de la civilisation arabe. Ils n’hésitent pas à proférer, toute honte bue, les insanités du type : l’islam, c’est l’unique vraie religion. L’homme est né musulman et, tôt ou tard, ceux qui sont dans l’erreur des autres religions retrouveront le chemin de la vérité qui se trouve dans l’islam. Le musulman est fier de ce qu’il est, et non de ce qu’il fait.

L’islamiste consomme passivement, sans se sentir offusqué, ce que le mécréant invente. Sa fierté lui suffit pour gagner le Paradis éternel. Il n’a pas, alors, à se soucier de faire des efforts pour maîtriser les sciences et participer à parfaire l’harmonie du futur d’une humanité de bien-être et de paix. On gonfle le torse, pour affirmer haut et fort, sur tous les toits, sur un ton qui défie la raison, qu’un monde meilleur réservé uniquement aux fidèles d’Allah les attend dans l’Au-delà, au Paradis. Le salafiste cherche à imiter les mœurs, les us et les coutumes des musulmans de l’hégire et mène une vie au chaud, sans efforts, dans les mosquées. Pour lui, le travail structurant, la modernité et l’innovation sont les biens exclusifs des impies.

On sacralise la langue arabe au même titre que le Coran, en lui accolant le titre de la langue d’Allah, pour pousser vers le monolinguisme et faire obstacle, par la ruse, à l’épanouissement des autres langues vecteurs du savoir. La langue française et la langue amazighe sont menacées de disparition par une société arabisée à l’excès, islamisée avec force et fanatisée par les extrémistes qui veulent en découdre avec l’ordre mondial construit sur les bases du génie, débordant, des mécréants. En désignant, sciemment, comme adversaire la langue française, les islamistes visent, sournoisement, en réalité la langue amazighe. Le piège est bien pensé, bien ficelé par les esprits chagrins et lugubres des conservateurs irréductibles. Si la langue française disparaît de l’espace culturel algérien, la langue amazighe connaîtra une déchéance systématique. Les salafistes le savent très bien, en proposant l’idée farfelue, pour affaiblir la position de la langue française, en la remplaçant par l’anglais.

Cette façon de concevoir la religiosité, indispensable à la paix de l’âme, dressera, un jour, les gens les uns contre les autres et détournera les jeunes du véritable message universel de l’islam. Cette philosophie est la source de l’intégrisme accoudé aux piliers de l’ignorance des fervents salafistes des mosquées. Leur credo : isoler pour mieux fanatiser afin de fermer toutes les portes à la modernité. L’islam politique, par le truchement d’une armada de concepts religieux mystifiés et trompeurs, construit ses programmes politiques verbeux afin de s’emparer du pouvoir et parachever l’Etat islamique en Algérie.

Les vœux politiques des pays du Golfe commencent à prendre forme en islamisant, à outrance, la société algérienne. Aujourd’hui, l’Algérie est le pays le plus arabisé et le plus islamisé des pays du monde arabe. Paradoxalement, trente ans en arrière, l’Algérie était le pays berbère le moins arabisé et le plus disposé à la laïcité dans le monde arabe.

Il nous faut, au contraire, davantage d’esprit d’ouverture, de tolérance et du vivre-ensemble dans nos sociétés pour relever le défi de la modernité afin de rattraper notre retard technologique. Nous sommes capables de cet élan en tirant profit de la richesse de la belle diversité qui anime notre société. Nous venons de démontrer que l’islam porte en son sein le refus de la laïcité, il nous faut, donc, nous engager, un peu plus, dans une lutte acharnée pour l’instituer dans la nouvelle Constitution, en remplaçant l’article 2 par celui de la laïcité. C’est notre dernier rempart avant que notre pays ne soit de nouveau, définitivement, colonisé par les Saoudiens et les Qataris.

Les concepts de cet islam militant, avec des slogans guerriers biens huilés, aident la duplicité du pouvoir en Algérie.

En instituant, sous la pression des Arabo-musulmans, l’islam comme religion d’Etat (article 2), les pouvoirs successifs commettent l’irréparable, en donnant un statut religieux à un Etat dont le caractère multiculturel de sa population impose, plutôt, d’instaurer la laïcité. L’islam religion d’Etat s’installe en s’opposant à toute évolution sociétale, non inspirée du dogme islamique. Depuis, la société algérienne est bloquée par le piège d’un islam qui ignore, à dessein, l’accompagnement de l’évolution des sociétés modernes des pays développés.

Toutes les lois qui gèrent l’espace public et privé de la société algérienne sont d‘inspiration religieuse, conformément aux commandements édictés par la charia. Le piège se referme sur une société qui se meurt, à petit feu, en peinant à se moderniser.

A. B.

Comment (58)

    Anonyme
    23 octobre 2020 - 9 h 58 min

    « L’Algérie est-elle déjà une République islamiste ?
    Evidemment non, elle est démocratique et populaire et cela depuis 1962. Nous n’avons rien à voir avec un République islamiste « proclamée ». Notre république a fonctionné parfaitement avec toutes les constitutions pour lesquelles nous avons toujours votées. Et même, cette nouvelle constitution qui va être soumise au vote populaire, dans une semaine, sera adoptée. Personne ne se pose la question de savoir si notre république, est ou sera, islamiste. S’il en est qui le sous entendent, ce sont évidemment des anti patriotes et des mécréants car l’islam est fondamentalement le socle de notre pensée et de notre société.

    « On ne naît pas musulman, on le devient », affirme Mesloub Khider. Peut-être, mais dans notre société le bébé qui naît n’a pas le choix. Il est musulman d’office car être laïque est très mal vu. Et professer des idées qui ne sont pas conformes à la religion risque de déclencher une fatwa comme a fait le penseur musulman, Monsieur Abdelfatah Hamadache Ziraoui, qui dirigeait le Front de l’Eveil islamique salafiste qui avait appelé sur sa page Facebook les autorités algériennes à condamner à la peine capitale l’auteur du roman « Meursault, contre enquête » et à l’exécuter en public. Kamel Daoud n’avait pas été exécuté et avait bénéficié de quelques soutiens, mais bien peu au regard de ceux qui lui reprochaient ses opinions. Cela se passait au XX° siècle.

    Cette question de savoir si notre République est islamiste ou non ne se pose pas pour l’écrasante majorité de notre population. Nous baignons dans une ambiance religieuse qui nous accompagne dans tous nos actes journaliers, dans toutes nos conversations et dans nos espérances depuis 58 ans. Les seules personnes conscientes, dont je fais partie, sont celles qui ont connu l’Algérie de 1962. Nous, seuls avec d’autres qui ont rompu les barrières du bourrage de crâne, pouvons établir une différence entre cette Algérie de 1962 qui se libérait du joug colonial et l’Algérie de 2020 qui peu à peu s’est islamisée et s’est repliée sur elle-même sans que cela soit officialisé et ni proclamé.

    Nous en sommes à « penser uniquement islam ». Cela tient essentiellement à notre système éducatif dont la pédagogie n’éveille en rien l’esprit d’analyse, ni la réflexion, encore moins l’esprit critique…ni ne permet l’épanouissement de la personnalité du jeune homme en devenir. Elle formate les esprits en les figeant dans un système de penser qui ne tolère aucune déviation par rapport à la religion et à la société qui en découle. Pour parodier un célèbre penseur internaute, cet enseignement produit « des estomacs » …

    Notre République, qu’elle soit islamiste proclamée ou non, est à la croisée des chemins. De par la situation économique désastreuse dans laquelle l’Algérie s’est fourvoyée, il faudra bien se rendre à l’évidence, ce système politique qui a pu perdurer grâce aux revenus des hydrocarbures en engendrant un égocentrisme affirmé vis-à-vis de l’étranger mais aussi un individualisme forcené dans les rapports sociaux devra se réformer et retrouver les concepts que nous portions à l’Indépendance.
    Quand, pendant 58 ans, des gouvernants très croyants, mais sans scrupules et corrompus, ont manipulé sciemment une population traumatisée par une longue colonisation ont gardé le pouvoir, pour en soutirer tous les avantages ainsi qu’à leurs soutiens, il ne fait aucun doute qu’une remise en cause de cette république sera à l’ordre du jour.

      En 1962, des algériens religieux se cachaient pour prier
      24 octobre 2020 - 3 h 41 min

      En 2020, des algériens se cachent pour boire leur Biere.
      En 2020, des Hadjis sont Corrompus et d’autres Mafieux font des Omras….
      Tous ces groupes existent, dans la Société, mais Les gens préfèrent vivre En hypocrites…
      C’est la Dictature des Apparences et du Faux-semblant.
      Il faut jouer Carte sur Table, Ouvrir les Yeux sur les réalités de la Société Réelle pour trouver des Compromis acceptables.
      La Société Islamisee, est Virtuelle.
      C’est comme les anciennes Sociétés Communistes: les gens font semblant d’être de bons Musulmans et les Gardiens de la Vertu font semblant de protéger la Société.
      Le Bal des Hypocrites !

    Vroum Vroum ????..
    22 octobre 2020 - 16 h 07 min

    Depuis les années 60/70 les Saouds Wahabisme encadrés par GB/Usa pour lancer à coup de Mds Petro Dollar un vaste programme de Wahabisation des Sociétés Musulmannes qui rappelons le sont conciderees par les Chouyoukhs Wahabite après la « Réforme » de « Med Ibn Abdelwahab comme Mouchrikines, Appostats et devaient être islamiser.. Rappelons que le Wahabisme est une hérésie basée sur le Takfirisme et Apostasie de tout Musulman refusant la voie Wahabite… Voici la Preuve hormis le Gourou Ibn Abdelwahab, c’est un élève du Petit Fils de Med Ibn Abdelwahab, le « Cheikh » Soleiman Ibn Zahman, un proche de notre époque et Grande référence des Wahabites suivi de Ibn Al Baz, Outheimine,.. Voici son Livre Minhaj al Haqi WA Al Tibaa don’t la page 79…à la question : Est-ce qu’il y a une différence entre les Habitants de toute L’Arabie (Bedoins et ceux des villes).. et la suite de la question sur les Pays Musulmans en général.. Réponse de Soleiman Ibn Zahman :.. On sait pas, on connaît pas leurs croyance, la grande Majorité ne sont pas musulmans mais peut-être y’a quelques Musulmans… Mais ceux qui sont sous la Gouvernance de l’imam al Muslim Inès (Saoud /Ibn Abdelwahab) la très grande majorité sont des Musulmans.. Page 84..et ceux qui n’ont pas embrasser l’islam à l’époque de Med Ibn Abdelwahab et sa « Réforme » ?… Réponse de Soleiman Ibn Zahman :.. Ils étaient Mécréants !!!… Donc la Croyance Wahabite ne concidererMusulmans que ceux ayant suivi « Med Ibn Abdelwahab… Et le reste c’est à dire la Grande majorité du Monde Musulmans en Général, tous les Pays Musulmans sauf L’Arabie Wahabite sont Mécréants.. C’est cela la vraie vision et croyance des Wahabites envers le Milliard et demi de Musulmans dans le Monde qui seraient Mécréants tant qu’ils n’ont pas embrasser le Wahabisme..!!!!.. C’est leurs Chouyoukhs Wahabite qui le disent et même le Fou Med Ibn Abdelwahab traitait de Mécréants tout Musulman qui refusait de le suivre.!!… Voici ce qu’attend l’Algérie si rien n’est fait pour stopper les « Salafistes » dit Wahabite… Dans la même famille un membre Wahabite concidere ses Parents, frères et Sœurs Mouchrikines, Mécréants pour l’enfer sauf si ils deviennent Wahabite…!!.. C’est la vérité sur le Wahabisme Antropomorphiste, Takfiriste et Apostasie tout Musulman refusant la voie Wahabite.. Lisez aussi le wmufti d’Arabie Hamad Zayni Dahlan 1873 /1959 qui a écrit des livres dont un sur l’hérésie et égarement des Wahabites, et cite aussi les Massacres par les hordes Wahabite sur des milliers de Musulmans car conciderees Mécréants..!!.. Dans son Livre Fitnatou al Wahabya, il dit que des Oulémas d’Arabie se sont réunis, débattu et déclaré le Wahabisme hors islam, égaré… En 2026 à Grozny plus de 200 Savants et Oulémas Musulmans se sont réunis, débattus sur le Wahabisme et déclarer le Wahabisme hors Islam, hors Suna et dangereux et cela un siècle après les mêmes déclarations par les Savants Musulmans dont parle le Cheikh Hamad Zayni Dahlan… Merci d’avoir et j’espère vous avoir éclairé.. Merci… Le Wahabisme /Sionisme sont frères jumeaux et dangereux et complices.. On en a eu les preuves en Irak, Syrie, Libye… Yémen..

    El kmaR.
    22 octobre 2020 - 5 h 11 min

    @ merikh cesse de dire n’importe quoi ,un commentaire pleins de khoRti .as tu fais le tour dès pays arabes pour voir la comparaison?je mettrai ma main sur le feu que tu connais même pas L’Algérie sauf la ville ou le village ou tu as vécu.ne trompe pas lès gens.en Algérie nous avons une mosquée,devant un cabaret et en face une salle de mariage,dans nos tv on voit cheikh chemsou et après son émission un cheb de raï ,dans nos plages on voit une moutahadjiba et sa fille avec un 2 pieces.BARKA DE TON KHORTI.

    Merrikh
    21 octobre 2020 - 23 h 00 min

    Les vœux politiques des pays du Golfe commencent à prendre forme en islamisant, à outrance, la société algérienne. Aujourd’hui, l’Algérie est le pays le plus arabisé et le plus islamisé des pays du monde arabe. Paradoxalement, trente ans en arrière, l’Algérie était le pays berbère le moins arabisé et le plus disposé à la laïcité dans le monde arabe.
    Faux, c’est de la manipulation !
    Pour avoir été dans de nombreux arabes je peux l’attester.
    Moi je le vois lorsque je rentre en Algérie, les jeunes (et les moins jeunes) sont pratiquement incompréhensibles.
    Lorsque j’allais au Moyen-Orient je n’avais aucun problème pour m’exprimer, comprendre et me faire comprendre.
    J’ajoute que je n’ai vécu en tout et pour tout dans l’Algérie indépendante que 11 ans (j’en ai presque 70)
    que je n’ai eu que quelques années d’arabe dialectal (darja) dans les années 60.
    L’arabe que parlaient mes parents (et les vieilles personnes que je rencontre en allant en Algérie) sont très proches de l’arabe même s’il y a des apports.
    Donc on parlait mieux l’arabe avant 1970 qu’après !
    La chose qui changée, en pire aussi, est la pratique de l’islam.
    Pour résumer, l’arabe et l’islam ont « évolué » en Algérie mais dans le mauvais sens !!!

    3abri
    21 octobre 2020 - 20 h 45 min

    parlons de l’ecole algerienne et le système educatif qui depuis plus de 40 ans fabriques des harragas en puissance…la preuve d’un nidham FÊCHEL jusqu’ à la moelle
    https://youtu.be/-VWrqKzVXDw

    DZLander
    21 octobre 2020 - 20 h 13 min

    A propos de l’article 2 de la constitution…
    Contrairement aux idées reçues qui à ce jour continuent ça et là de faire des ravages dans les esprits étroits et tortueux de bon nombre d’Algériens, c’est précisément à cause de l’article 2 de la constitution que nous sommes encore empêtrés, après plus d’un demi siècle d’indépendance, dans l’ornière chauvine de l’islamisme et de ses métastases, à savoir le wahabisme et, par extension, le salafisme. Le drame, c’est que des milliers, voire des millions d’Algériens lambda ne savent pas que l’article 2 de cette constitution qui dit : «l’islam est religion d’Etat » (din wa dawla), cet article-là est un copié-collé d’un slogan islamiste répertorié de très longue date par des magistrats musulmans au-dessus de tout soupçon. Entendre par là des magistrats musulmans qui ne sont ni laïcs, ni athées, mais qui de surcroit mènent depuis plusieurs décennies une réflexion originale sur la théorie politique et juridique dans l’islam. Conséquence prévisible, ce sont à présent des centaines, voire des milliers de victimes directes et collatérales que ces trois avatars idéologiques égrènent chaque jour que Dieu fait dans la sphère dite arabo-musulmane. A telle enseigne, d’ailleurs, que l’Algérien lambda ne peut, à présent, appréhender la réalité qui l’entoure qu’à travers le prisme déformant d’une religiosité surfaite, factice. Et cela ne peut signifier qu’une chose pour ce qui nous concerne tous précisément : le jour où cet article de notre constitution, devenu trop dangereux par la force des dérives immobilistes que son exploitation a jusque-là engendrées, sera remplacé par cet autre article «L’Islam, religion et patrimoine civilisationnel du peuple» qui adhère nettement mieux au contexte algérien, celui d’une République démocratique et non celui d’un «Algéristan théocratique» ou d’une «dawla islamiya» qui ne dit pas son nom, ce jour là c’en sera fini des imposteurs de tous bords qui voudront prendre le pouvoir, autrement dit se hisser au sommet de l’Etat, uniquement pour pouvoir disposer de cet article en l’interprétant comme bon leur semble, bien entendu au détriment du peuple qui est déjà musulman et qui n’a pas besoin qu’on lui réapprenne coûte que coûte l’alphabet en la matière. Car que je sache, ce n’est pas à l’Etat, qui est une institution morale, à être religieux ou non. Bien au contraire, l’Etat se doit, en tant qu’entité impersonnelle, de rester neutre politiquement et religieusement. Inversement, ce sont les personnes et les personnes seulement, qui sont libres d’adhérer ou non à une religion, l’islam dans notre cas. Alors, pas d’amalgame ! Pas de clergé en islam car il ne faut jamais perdre de vue que l’Etat, ce n’est ni une, ni plusieurs personne (s). Et inversement, une ou plusieurs personne(s), ne font pas l’Etat ! A fortiori pour ce qui est du rapport de l’Etat à la religion. Ici il faut savoir que l’Etat n’est pas et ne peut être la religion. Et inversement, la religion n’est pas et ne peut être l’Etat. Est-ce bien clair ? Chaque chose donc, doit rester à sa place, et pour ainsi dire les vaches seront bien gardées.
    Alors, qu’on ne vienne pas nous faire croire que nous sommes aujourd’hui en démocratie car ce qui se passe dans notre pays depuis 1999 et qui est inspiré précisément par cet article indique non seulement tout le contraire, mais dépasse de très loin l’entendement humain.
    Pour conclure, je ne me lasserai jamais d’inviter à lire ce magnifique ouvrage intitulé «L’islam politique» (2) de Mohammad Said Al-Ashmawy, haut magistrat égyptien, auteur de plusieurs ouvrages sur la théorie politique et juridique dans l’islam. Dès la première ligne de son essai, il annonce la couleur par cette superbe citation : «Dieu voulait que l’islam fût une religion, mais les hommes ont voulu en faire une politique». Heureusement qu’il y a encore des hommes de la trempe de ce magistrat qui, s’appuyant sur de nombreux rappels historiques et sur une connaissance intime de l’œuvre du Prophète, viennent à point nommé bouleverser ces idées reçues qui tendent à pérenniser l’amalgame entre l’islam, qui est une religion, et l’islamisme, qui est une politique, voire une idéologie…
    —————————————————- (1) Tout cela est d’autant gravissime que, pour tout dire, nous nous trouvons aussi face à l’existence par défaut d’un ministère des Affaires religieuses et d’une soi-disant autorité de la Fetwa qui se comportent de façon outrancière, exactement comme l’aurait fait n’importe quel clergé en religion alors que le clergé n’est pas censé exister en islam. En revanche, ce qui aurait été assurément plus censé, c’est que ce ministère et l’autorité de la dite fetwa soient réformés pour ne devenir, ensemble, qu’une simple direction centrale des affaires religieuses et des Habous au sein du ministère de l’Intérieur. C’est à cette condition-là, entre autres, que l’on se départira de l’immobilisme salafiste néfaste qui jusque-là s’est emparé sans retenue d’une frange de plus en plus importante de notre société…
    (2) «L’Islam politique», Edition La Découverte, Paris et Editions Al-Fikr, Le Caire, 1989. Edition Laphomic / Bouchène pour le Maghreb

    Anonyme 3
    21 octobre 2020 - 18 h 51 min

    Même ceux qui sont coincés au Canada et en France qui ne peuvent pas rentrer au pays savent que lès salafistes et lès séparatistes ont aucune place dans la société Algérienne .tant que nous sommes un peuple à majorité uni et une armée forte qui veillent à la sécurité du pays,ni lès salafistes qui portent un rubon noir ni lès séparatistes berbères peuvent nous divisé.comme pense le patriote Belveder les Algeriens sont préoccupé par d’autres choses importantes et qui lès concerne pas par de l’imagination et de la fiction.

    Brahms
    21 octobre 2020 - 18 h 09 min

    La France va changer ses lois ?

    Les doubles nationalités devront choisir laquelle, ils prennent. Fin des visas depuis le crime odieux de Samuel Paty. A Force de faire la merdasse, l’Europe va devenir catholique et juive et tous les musulmans devront partir.
    Voilà, ce qui pend au nez des musulmans. Ah oui, la France va expulser 15 000 prisonniers.

    Belveder
    21 octobre 2020 - 17 h 58 min

    je ne pense pas que les Algeriens se lévent le matin en se posant ce genre de quéstions…..mais surtout comment remplir le couffin payer les factures habiller ses enfants les soigner….c est des débats de «  »contributeurs » » loin de la réalité de la rue Algeriennne…..il n y a que les nostalgiques des années 90 qui s agripent a des discours depassé

      3abri.
      21 octobre 2020 - 21 h 19 min

      Et toi de qu’elle école t’es sortis,la nasa? je regrette la première c’est les parents.

        réponse
        22 octobre 2020 - 8 h 37 min

        NON cher anonymus!! je sors de l’École de pas être Né avec une Cuillère d’Or et d’Argent dans la Bouche (ENCOAB)…probable que vous en revanche vous faites carrière à ENSBLABLA

        Belveder
        22 octobre 2020 - 10 h 31 min

        (…) ..quand tu veux répondre a un post «  »argumente » » du moins essaie…

    Elephant Man
    21 octobre 2020 - 17 h 26 min

    « Aujourd’hui l’Algérie est le pays le plus arabisé et le plus islamisé du monde arabe »…la bonne blague !!
    C’est bien connu l’Algérie concentre toutes les tares et maux de la planète …..
    Ensuite  » En désignant, sciemment, comme adversaire la langue française… en proposant l’idée farfelue, pour affaiblir la position de la langue française, en la remplaçant par l’anglais. » donc la France est IslamISTE puisque les écoles bilingues pullulent l’enseignement de l’anglais se fait dès l’école primaire …les entretiens d’embauche sont en anglais mais à part ça la FrançaFRIC se porte à merveille…
    Doit-on vous rappeler que la langue internationale est l’anglais que toutes les publications scientifiques sont en anglais et ceux quel que soit le domaine médical ingénierie etc etc…
    @Lahdi : «La laïcité est une émanation chrétienne non ecclésiastique. N’ayant pas des cléricature, la religion musulmane, religion d’humanisme et de tolérance pour les croyants et les incroyants, est laïque.»
    On peut dire que l’Algérie est un pays musulman, un pays qui vit selon des principes islamiques, sans pour autant penser « théocratie».
    L’athéisme des francs-maçons est en soi une religion. Une secte, comme toutes les religions. L’islam n’est pas pire !

    DYHIA-DZ
    21 octobre 2020 - 16 h 42 min

    Ce que je comprends de l’islam est la religion d’ÉTAT:

    L’ÉTAT a cette responsabilité de combattre toutes les sectes religieuses importées dans un but politico-idéologique afin de manipuler les Algériens.
    L’ÉTAT a le devoir et la responsabilité de protéger les citoyens Algériens de toutes les manipulations religieuses.
    La culture des autres pays ne doit en aucun cas s’imposer comme une religion divine = Ne pas dissoudre l’identité Algérienne dans le wahhabisme ou autre.
    L’Algérie doit défendre son propre Islam…
    Selon le coran, La religion est individuelle et ne concerne que la personne en soi…D’où, on n’a pas besoin de faux prophètes qui imposent leurs jugements derniers sur terre.

    Hmed hamou
    21 octobre 2020 - 16 h 38 min

    Non, l’Algérie n’est pas encore une république islamique, c’est juste une vue d’esprit. Il faut être un aveugle des yeux pour poser la question et un aveugle d’esprit pour y répondre par la négative !

    Lghoul
    21 octobre 2020 - 15 h 56 min

    Quand on n’a rien a faire dans la vie, on fait semblant de faire quelque chose pour paraitre zaama « actif ». On se donne des ailes sur la religion et on devient le messager de premier choix du bon dieu. Si dieu existait vraiment, a-t-il besoin d’analpabetes trillingues pour le proteger ou « propager son message » ? Si dieu était vraiment puissant a-t-il besoin de creves la faim pour le défendre ? La meilleur chose est de le laisser tranquille.
    Attas Attas Mazal L’hal.

      Kahina-DZ
      21 octobre 2020 - 17 h 33 min

      Tu as le droit de ne pas croire…
      Mais, tu n’as pas le droit d’interdire aux autres d’avoir la foi. C’est juste que chacun doit vivre sa foi chez lui et pour lui. Personne n’a le droit d’imposer sa foi ou son athéisme aux autres.
      Et puis, le créateur de l’univers n’a jamais rien demandé aux êtres humains.
      C’est l’homme qui s’est donné le grade de Vice-Rabi sur Terre.

        Lghoul
        22 octobre 2020 - 8 h 30 min

        Vivre sa foi chez soi est tout a fait légitime. Par contre vivre sa foi chez les autres en imposant sa facon de vivre et de se comporter aux autres et chez eux, n’est basé sur aucune logique. Si on suit la réciproque islamiste, pourquoi un non musulman est pérsécuté en terre d’islam ? Pourquoi une bible trouvée dans la poche d’un citoyen le conduit en prison en Algérie et a la guillotine en arabie saoudite par exemple ? Pourquoi aucune eglise ou temple n’existe en arabie saoudite, le pays pourtant qui finance a coups de milliards la construction de mosquées dans le monde ?

    Ammar Tebabla
    21 octobre 2020 - 15 h 52 min

    C’est l’une des meilleures contributions que j’ai lue concernant ce sujet dans le journal électronique AP. C’est une excellente chose de dire que c’est de la faute à ceux qui ont concocté les différentes constitution avec ce fameux article 2 de la constitution. Il faudra aussi ajouter que les islamistes de tous bords, à travers leur politique d’entrisme au pouvoir, ne cessent d’exercer leur influence afin de recruter le maximum d’enseignantes islamiste qui font un travail de fourmis afin d’islamiser l’école algérienne. Elles recommandent ou ordonnent aux élèves de parler entre eux, en classe ou en récréation en langue arabe et ne jurer que par la naskha ( coran), elles font tout pour que l’élève ait une seule orientation: la voix du salafisme. L’état devra œuvrer à renforcer la démocratie afin que le peuple ne puisse tomber en entier dans le labyrinthe de l’islamisme pour ne plus en sortir, ce qui conduira à les emporter eux aussi, ceux qui gouvernent derrière les rideaux. Souvenez-vous des menaces des islamistes juste après le 1 et tour des législatives de 91 où ils demander aux algeriens de se préparer à changer les habitudes alimentaires, vestimentaires et à voir des milliers de dirigeants politiques et militaires pendus en public. Juste une petite remarque à notre remarquable auteur de l’article: une langue millénaire transmise oralement et qui a résisté à plus d’une dizaine d’envahisseurs depuis plusieurs siècles ne pourra jamais mourrir surtout qu’elle est transmise maintenant oralement, par écrit et par voix technologique.

    Ahmed
    21 octobre 2020 - 15 h 45 min

    Quand dans la constitution il est écrit que la religion appartient a l’état, que reste-t-il ? Ont ils besoin de le constitutinaliser l’islam comme si les algérien ne sont pas a majorité musulmans ? Pourquoi les pays a majorité chrétienne ne dient pas que le christianisme appartient a l’état ?

      Merrikh
      21 octobre 2020 - 22 h 19 min

      Seule la France défend une laïcité « totale ».
      Presque tous les pays européens et américains ont le christianisme dans leur constitution.
      Cela n’empêche pas un athéisme grandissant (et même majoritaire dans certains de ces pays surtout la France).
      L’hypocrisie étant la règle générale, ils fêtent tous des événements chrétiens devenus avec le temps, des fêtes « civiles » et laïques .

      Merrikh
      21 octobre 2020 - 22 h 21 min

      Islam est religion d’état en Algérie et non appartient à l’état !

    Abou Stroff
    21 octobre 2020 - 15 h 34 min

    « l’Algérie est-elle déjà une République islamiste ? » s’interroge A. B..
    en nous basant sur le sentence suivante de Marx: « Ce n’est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience », la réponse est OUI.
    en effet, l’islam est l’idéologie idoine du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui nous avilit et nous réduit à des tubes digestifs ambulants (être incapables de se prendre en charge) doublés de zombies ( êtres décérébrés manipulables à souhait) .
    car, les couches rentières trouvent dans l’idéologie religieuse tout ce dont elles ont besoin pour « gruger » la plèbe qu’elles nourrissent de miettes de rente.
    je persiste donc et signe: il y a une convergence d’intérêts entre la marabunta qui nous gouverne, c’est à dire un ramassis de rentiers-prédateurs qui prennent l’Algérie et les algériens pour leur propriété privée et la vermine islamiste qui lui sert de contrepoids pour que le système garde un équilibre permanent.
    en effet, la marabunta gère (en s’enrichissant) la rente grâce à sa privatisation des structures de l’Etat algérien tandis que la vermine récupère une partie de la rente grâce à son quasi-monopole sur le commerce formel et informel.
    en outre, la vermine couvre de son idéologie la rapine organisée qu’opère la marabunta sur la rente (n’est ce pas Dieu qui enrichit qui il veut, selon la « vulgate » religieuse?).
    en d’autres termes, la marabunta et la vermine ne sont que deux facettes d’une même chapelle. car, tous les algériens lambda remarquent que les dirigeants de la marabunta d’une part et les dirigeants de la vermine se ressemblent comme deux gouttes d’eau et s’entendent comme deux larrons en foire sur le dos des algériens lambda.ils s’enrichissent sans travailler, profitent et font profiter leurs proches des bienfaits de la rente et s’acoquinent souvent ensemble.
    moralité de l’histoire: toutes les télés qui font, d’une manière ou d’une autre, l’apologie de l’idéologie intégriste sont aux mains de pontes de la marabunta et servent, avant de servir la cause de la vermine islamiste, la cause de la marabunta en endormant les algériens lambda.
    PS: reconnaissons, enfin, que celui qui a avancé que la religion était l’opium du peuple n’avait pas tort du tout. ainsi, pendant que les autres peuples se sont débarrassés du carcan religieux et planifient un « amarsissage » sur la planète Mars, les algériens du moment, infantilisés et réduits à des moins que rien attendant tout d’autrui, continuent à s’interroger sur le sexe des anges.

      Lazizi
      21 octobre 2020 - 21 h 18 min

      Approved !

    Kahina-DZ
    21 octobre 2020 - 15 h 26 min

    Le problème en Algérie :être musulman est devenu un titre.
    Si on est musulmans, on doit le montrer dans notre comportement et non pas par la barbe/K’houl et le Djilbab Wahhabite. La tenue wahhabite n’est pas la 6eme colonne de l’islam, mais c’est un habit traditionnel de l’Arabie. Celui des Mollah aussi.
    Le problème en Algérie est le fait qu’on a pris les traditions patriarcales de l’Arabie comme religion. D’ailleurs, on ne jure que par les chouyoukhs manipulateurs.
    Je défie quiconque qui peut me démontrer que la polygamie est Hallal en Islam !!
    Je défie quiconque qui peut me démontrer que la tenue wahhabite/Mollah est la tenue exigée par l’islam !!

    Je sais une chose: On était plus éduqués et plus musulmans avant la venue des Abou-Djahl de Abassi Madani.

    Anonyme
    21 octobre 2020 - 13 h 59 min

    « L’option de la vie sans avenir probant après la mort inquiète assurément »

    Un athée est garanti d’avoir l’option Lavoisier « rien ne se perd, tout se transforme », un corps brûlé ou sous terre finira un jour par ne plus être mais en cendres ou à nourrir d’autres êtres vivants, mais il restera donc toujours un part de lui sous une autre forme aussi longtemps que la Terre et même l’univers existeront.
    Il en est ainsi pour tous ces ancêtres.
    Quant à la conscience, on sait qu’il s’agit davantage d’un phénomène chimique indépendant du corps physique…
    Là est tout le problème avec ses croyants radicaux, comment peut-on être aussi inculte avec le savoir d’aujourd’hui ?
    Maintenant, d’un point de vue agnostique (c’est ma vision de la foi, elle reste neutre et chacun se fait son avis, en plus elle n’affirme ni n’infirme) cela n’empêche pas l’existence d’un Dieu mais si c’est le cas, il n’a rien à voir avec le Dieu présenté par les religions monothéistes, il ne s’agit ni d’un Dieu humanoïde ou omniscient, il n’a peut-être probablement pas conscience de qui il est ni même une véritable vue sur l’univers globale, peut-être n’est-il pas vivant au sens où nous l’entendons.

      Abou Stroff
      21 octobre 2020 - 15 h 46 min

      j’adhère à votre vision.
      primo, je pense que notre cerveau est trop petit pour nous interroger sur l’existence ou la non-existence d’une entité supra-humaine qui nous pouvons appeler Dieu (la fourmi peut elle s’interroger sur les trou noirs?).
      secundo, je pense que les religions, toutes les religions, sont des créations humaines qui répondent à des préoccupations purement humaines. en effet:
      1-1- elles permettent aux êtres humains d’atténuer leur angoisse existentielle. l’êtres humain est le seul être vivant sachant qu’il va mourir. par conséquent, ils doit inventer un au-delà pour supporter sa finitude incontournable.
      2- elles permettent aux classes dominantes de mieux asseoir leur domination sur les couches dominées en faisant croire à ces dernières que l’ordre dans lequel elles vivent est un ordre « naturel » qu’il ne s’agit surtout pas de remettre en cause. en d’autres termes, la religion est la drogue dure la plus dure parmi les drogues dures (d’ailleurs, on peut remarquer que le coefficient de corrélation entre l’archaïsme d’une société et l’emprise de la religion sur la dite société est proche de +1 pour ne pas dire qu’il est égal à +1.
      moralité de l’histoire: toute les sociétés qui se sont développées se sont débarrassées du carcan religieux, que nous reste t il à faire?

    loklan
    21 octobre 2020 - 12 h 49 min

    Je suis un berbéro- musulman et mes ennemis sont les arabo- islamistes wahhabo- salafiste qui nourrissent les athée- gristes.

      @Loklan
      22 octobre 2020 - 12 h 36 min

      Bien dit cher compatriote,Au moins toi,tu es vraiment libre.
      L »islamisme,il n,y a rien de plus abject.
      C’est une secte maléfique qui dessert le vrai Islam et met en danger les vrais praticants.
      Dans notre pays elle fait des ravages .Ses objectifs dictés par les officines mouens-orientales est de nous maintenir dans l’abrutissement le plus totale.Un de nos illustres écrivains a bien écrit  »la religion est l’opium du peuple ».Elle devient de la cocaine lorsqu’elle est dépravée et politisée.
      La clause  »L’Islam est religion d’état » fait de l’algérie une république islamique donnant des ailes aux islamistes véreux qui se permettent de régenter notre société sans que les autorités ne lèvent la main.
      continuons dans cette voie et nous n’aurons pour consolation que la Salat El Istisska .Avec l’assechement de nos puits de pétrole,l’assistanat de l’état va disparaitre bientot.Ils nous restera les mosquées qui ont été édifiées par les salafo-wahabistes pour implorer Dieu.Mais Dieu restera sourd à vos doléances,car ils vous a offert l’un des plus beaux pays ,mais vous l’avez détruit.

    Bealem du 42
    21 octobre 2020 - 12 h 29 min

    Incapable de pouvoir donner un sens à leur vie, ils se réfugient dans le faux Islam pour lui donnent un sens par la mort, qu’ils appellent le djihad.

    Karamazov
    21 octobre 2020 - 12 h 11 min

    l’Algérie est-elle déjà une République islamiste ?

    Allons voyons , n’exagérons rien . L’Algérie une république islamique ? D’ousk vous tiendez ça ?
    Daghèn sadipa ce que vous appelez Algérie . S’il s’agit de l’Algérie en tant que république couscoussière ce n’est pas vrai car notre constitution ne se reconnaît pas de religion .

    Kanta à la société il suffit de sortir dehors pour voir qu’aucun citoyen ne porte un signe ostentatoire qui le rattacherait à une quelconque religion.

    Je vous rappelle qu’aucun citoyen n’a été condamné chez nous pour atteinte aux préceptes de l’islam et pour cause : la liberté de conscience est garantie à tous les citoyens.

    Et je vous rappelle aussi que quand j’étais à l’école primaire , au collège, au lycée, et à l’université , il y a karanta, toutes les filles sans exception portaient le voile et faisaient la prière . De nos jours lhemdoullah elles sont toutes émancipées et aucune d’elles ne porte le voile.

      Amine
      21 octobre 2020 - 15 h 50 min

      « Je vous rappelle qu’aucun citoyen n’a été condamné chez nous pour atteinte aux préceptes de l’islam et pour cause : la liberté de conscience est garantie à tous les citoyens. » Car les gens pensent doucement…. Liberté de conscience mais jamais d’expression

    Absolument
    21 octobre 2020 - 11 h 33 min

    l’Algérie est devenue un état salafiste islamiste.
    Et malheureusement ce n’est que le début.
    La chariaa sera appliquée dans les toutes prochaines années et Algérie deviendra Une sorte d’Iran au Maghreb et peut être même pire.
    Une chose est certaine que l’ Algérie sera à terme isolée, car aucune démocratie ne peut supporter cette dictature de religion.
    Rien qu’à lire sur AP tous les islamistes en herbe qui nous gavent d’insultes car une certaine frange de posteurs sont athées. Remettre en question quoi que ce soit dans l’islam équivaut à être un apostat et la sentence est la mort.
    J’apprends à mes enfants ce que m’ont transmis mes parents et la chose la plus essentielle c’est d’aimer la vie et d’en profiter un maximum, par contre aujourd’hui on apprends aux enfants de sublimer la mort.
    Pour ceux qui doutent n’ont qu’à jeter un œil aux programmes scolaires et l’état de notre école aujourd’hui.

      @Absolument
      21 octobre 2020 - 12 h 39 min

      L’Iran islamique ne clochardise pas son peuple.Il est ouvert sur la modernité,les sciences et la technologie.
      Chez nous,la république islamique et populaire algérienne a pour constantes,l’immobilisme,la clochardisation,l’oisiveté et l’assistanat.

        MohDZ
        21 octobre 2020 - 15 h 12 min

        Qu’est ce que t’attends pour aller y vivre !!!!

          @MohDz
          22 octobre 2020 - 12 h 23 min

          Je suis musulman mais libre mentalement.Jen me fais pas guider comme un mouton par des fanatiques obscurantistes abrutis (…)
          Les islamistes iraniens ont leur propres idéologie imperméables aux idéologies moyens orientales salafismes,freres-musulmans.
          Chez nous nos islamistes ne sont que des valets de ces pays dont la devise est  »fais ce que je dis,mais ne fais pas ce que je fais »

        Réponse à@Absolument
        21 octobre 2020 - 15 h 26 min

        J’ai eu pendant des années dans mon entreprise des collègues hommes et femmes Iranien es qui soit dit en passant sont de sacré e s bosseurs, d’après leurs dires ce n’est vraiment pas folichon de vivre là bas.
        Leurs police islamiques à fait et fait encore des centaines de morts par an et ce pour un oui et pour un non.
        Aucune théocratie au monde n’est faite pour gérer un pays, car c’est l’obscurantisme, la Hogra, et le pire c’est que ces dictateurs ont le droit de vie et de mort sur tout citoyen et ce des fois pour juste un regard.

        Anonyme
        21 octobre 2020 - 16 h 10 min

        Ha ha!!! Quelle modernité en Iran à part zaouedj El moutaa qui permet à certaines veuves et femmes isolées de gagner leur vie avec une prostitution déguisée…
        Où tu as vu la modernité en Iran avec des femmes en Tchador ?

    Anonyme
    21 octobre 2020 - 11 h 29 min

    L Algérie a été la principale cible du wahhabisme et frères musulmans.
    Il y a plus de 40 ans j étais en mission en Arabie Saoudite ,je déambulais dans les rues quand soudainement tout le monde a commencé à courir pour aller prier à la mosquée .
    N ayant pas l habitude de prier ni de voir les gens courir vers les mosquées à l heure de la prière ,j ai continué à me promener quand un gardien de la milice saoudite est venu me secouer et me demander pourquoi je n allais pas prier ,je lui ai dit que j étais un Algérien il a fait un grand «  ahhh » et il m a laisse…
    Quand je me remémore cet instant et que je le compare à ce qu est devenu l Algérie,je pleure…..
    La tolérance,la liberté de pratiquer est un lointain souvenir,l Algérie avec la complicité des pouvoirs est devenu plus salafiste que les salafistes d origine qui n ont déployé cette pensée mortifère que pour garder le pouvoir et leur business de la Mecque.
    Rien ne prédisait que l Algérie que tous les khorrotos arabo islamistes enviés allait tomber aussi bas.
    L arabisation de l école,l introduction de l éducation religieuse a préparé les jeunes cerveaux à cet endoctrinement suicidaire pour le pays et pour le peuple.
    ….
    Qui voulait quitter le pays il y a 40 ans? Personne et maintenant nous voyons des jeunes prendre de très gros risques pour le quitter juste pour aller vivre librement ….

      Merrikh
      21 octobre 2020 - 22 h 35 min

      J’ai fini mes études sup en France en 1975, je suis rentré en Algérie en 1980, j’ai enseigné quelques années et je l’ai quittée définitivement, pas par peur de « l’islamisme » naissant mais du chaos qui s’annonçait et l’injustice qui y régnait. L’islamisme n’est pas tombé du ciel, même si la révolution islamique a joué un grand rôle au début. Les manipulations du pouvoir et les clans ont complètement divisé la société. Pour ceux qui s’en souviennent, déjà des attaques contre des étudiants et des enseignant en 1982 à Annaba pratiquement au vu et au su des autorités. Le pouvoir a joué aux apprentis sorciers.

    Soraya
    21 octobre 2020 - 11 h 18 min

    Je me suis toujours posé la question comment l’esprit peut invente s’il est quadrille par un coran et une Charia qui exige qu’il ne s’écarte pas de ses principes. Dans d’autres religions dieu fait confiance en l’être et accepte la liberté de penser, les Rabbins discutent les paroles de dieu pose des questions pourquoi, l’Islam ne l’admet pas.
    L’esprit pour bénéficier de toutes ses capacités se doit de douter, de réfléchir d’explorer de penser « out of the box » pour créer.
    Les pays qui prônent l’islam ont acheté l’intelligence des pays dit Chrétiens et juifs pour jouir des dernières inventions, mais ils n’ont rien crée, ils se ventent d’avoir le meilleur du meilleur.
    Mon doute se porte sur la religion elle même, l’islam ne permet de penser « out of the box » the box ne peut être quitté autrement le sabre est la pour faire revenir la pensée a la pensée de l’Islam.
    Je me suis posé la question es-ce que l’islam nouveau reformé peut sortir les peuples musulman du marasme créatif?

      Merrikh
      21 octobre 2020 - 22 h 39 min

      A lire, pour étendre votre savoir qui me semble limité : Le soleil d’Allah brille sur l’Occident – Sigrid Hunke

      En attendant, continuez à apprendre à écrire en français car votre texte est bourré de fautes d’orthographe et de français !

    Habib59
    21 octobre 2020 - 10 h 59 min

    Et l Indonésie la ou il y a le plus grd nombre de musulmans, est ce que l Islam les empêche de se développer ? Non.
    C est vos voleurs de responsables corrompus qui vous ont retardé en Algérie ou magreb et ils sont loin de craindre dieu et sa religion.
    L Islam n y est pour rien dans votre quotidien et les feminicides par exemple, c’est plutôt la dépravation d une société frustrée encourager par un seul pouvoir un seul homme pdt 20 ans de Bouteflikisme, rien à voir l islam le clan d Oujda. Tt son contraire mais ils utilisent l islam au même titre que les radicaux et ça juste pour le fric et le pouvoir. C est pour ça qu ils ont eu un rôle pdt 20 ans et une proximité et complicité avec ce pouvoir, ils se retrouvent. Dieu n y est pour rien ils se servent de sa religion à leurs propres fins.
    Bientôt aux USA les citoyens musulmans américains dépasseront le nbre de musulmans en Algerie et ça ne les empêchera en rien d avancer et d être heureux tt en respectant les autres et les lois fédérales des states parce qu’ils sont américain et considéré comme américain avant tout, est fêlé cas de la France et de l Europe ? Trouver autres choses svp.

      Anonyme
      21 octobre 2020 - 11 h 34 min

      En Indonésie il y a plusieurs religions qui se côtoient et là où c est le plus développé ce n est pas la partie où il y a des musulmans…..
      Raté pour cette fois ci!!! Tu as mal choisi ton exemple….

        Enta Faqou
        21 octobre 2020 - 11 h 50 min

        L’Indonésie est un pays musulman et ça te dérange.

          Anonyme
          21 octobre 2020 - 17 h 16 min

          Mais alors là ça m indiffere complètement !!!
          Qu il y ait plus ou moins de musulmans en Indonésie,en quoi ça va changer ma vie??
          Moi je ne suis pas pour la Oumma comme toi ,je ne pense qu à mon pays et je veux qu il soit moderne et prospère en dehors de toute sphère rétrograde….

        Anonyme
        21 octobre 2020 - 11 h 56 min

        C est en indonesie qu il y a le plus de musulmans c est une réalité , tu parles surement du tourisme sexuel ds ce cas je te rejoins .Et pour les states tu diras quoi plus tard ? Ça aussi ce sera un mauvais exemple?

          Anonyme
          21 octobre 2020 - 16 h 06 min

          Tu peux rêver !!! Les states, ils vont les broyer si jamais ils bougent….

        Anonyme
        21 octobre 2020 - 14 h 01 min

        Même chose au Liban.
        La partie non musulmane est plus ordonnée et plus développée.

          Anonyme
          21 octobre 2020 - 16 h 14 min

          Même chose à Istanbul…
          une réalité flagrante, une ville et deux mondes différents entre la partie chrétienne et la partie musulmane….
          C est un exemple à étudier pour comparer l influence d une religion par rapport à une autre….

          Anonyme
          21 octobre 2020 - 16 h 51 min

          Et pourtant rien ne se fait au liban sans le hesbolah a tt les niveaux qui lui est le groupe le plus organisé au Liban même Macron n y peut rien là-bas sans le Hesbolah. Alors qui est qui au Liban ?

        Merrikh
        21 octobre 2020 - 22 h 49 min

        Mais vraiment c’est du n’importe quoi sur le site d’AP, vous auriez du au moins aller jeter un coup d’oeil sur Wikipédia :

        La liberté de religion est énoncée dans la constitution indonésienne. L’État reconnaît officiellement six religions : l’islam, le protestantisme, le catholicisme, l’hindouisme, le bouddhisme et le confucianisme. En 2010, 87,2 % de la population se déclarait musulmane1, ce qui fait de l’Indonésie le pays du monde comptant le plus de musulmans. Cette même année, 7 % de la population se déclare protestante, 2,9 % catholique, 1,7 % hindouiste, 0,9 % autre (dont bouddhiste et confucianiste) et 0,4 % sans religion.

        Votre raisonnement tombe à l’eau.
        J’ai connu des dizaines d’indonésiens (au moins de 3 religions dans ma vie d’étudiant et d’universitaire), ils ne sont pas comme bon nombre d’algériens : menteurs, fanfarons, voleurs et violents… leurs religions ils les ont hérités de la période coloniale, ils ont réussi à « constituer » une langue nationale rendue officielle à parti de dizaines de langues des composantes ethniques du pays. Tu as raison bonhomme, ce ne sont pas des khorrotos comme disent certains et tu devrais vraiment te sentir visé.

      200 millions en Inde
      21 octobre 2020 - 19 h 57 min

      L’inde a 5 fois plus de Musulmans que toute la population Algerienne.
      Si vous allez dans l’Etat du Mahashtra, en ou se trouve la ville de Mumbai et de nombreuses Industries, vous y verrez des mosquees et des musulmans qui vivent en paix. Il est probable que le Dynamisme Economique joue pour beaucoup.
      Les fetes religieuses musulmanes y sont célébrées et les gens travaillent…Tous en harmonie.
      Arrêtez avec Vos raccourcis a 2 Dinars et 3 roupies et sortez un peu de l’Europeocentrisme..
      Le developpement Economique et la prospérité rend plus Tolérants Pas plus intelligents.

      La religion n’est pas en cause
      21 octobre 2020 - 22 h 56 min

      Comme depuis toujours, c’est ce que certains font au nom de la religion qui pose problème et de ce point de vue, au regard de l’histoire toutes les Religions ont eu leurs Périodes Sombre.
      On attend toujours, les Musulmans qui éclairent l’avenir et si il y en a on ne les Entend pas..ou ils ont peur.

    Socrate
    21 octobre 2020 - 10 h 57 min

    En ce moment l’Arabie-Saoudite prend le chemin inverse et édulcore son rigorisme sociétale après avoir « infecté » de sa doctrine wahhabite l’ensemble du monde musulman ! L’Arabie prépare l’après-pétrole, elle qui en est le premier producteur.

    59 ans
    21 octobre 2020 - 10 h 49 min

    Dans tout les pays de tout les continents ou il y a des ce genre d individus le sang fini par couler

    JAMAIS
    21 octobre 2020 - 10 h 36 min

    Celui qui parle de cette république souffre d’une maladie mentale. Qui peut admettre une telle gravité

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