Comité sur l’assistance aux victimes des mines antipersonnel : l’Algérie élue membre jusqu’en 2022

min mines antipersonnel
Le rôle de l'Algérie dans sa lutte contre les mines antipersonnel a toujours été reconnu. D. R.

L’Algérie a été élue à l’unanimité en tant que membre du Comité sur l’assistance aux victimes des mines antipersonnel pour un mandat de deux ans (2021-2022), a appris l’APS.

L’élection s’est déroulée au cours des travaux de la 18e Assemblée des Etats parties à la Convention d’interdiction des mines antipersonnel, tenus du 16 au 20 novembre 2020.

Le rôle de ce comité, dont la composition actuelle comprend l’Algérie, l’Equateur, la Thaïlande et la Suède, consiste à soutenir les Etats parties dans les efforts qu’ils déploient, au niveau national, en présentant des conclusions et des recommandations, notamment sur les progrès et les réalisations enregistrées et sur les difficultés à régler, afin de renforcer l’assistance aux victimes.

Les membres dudit Comité siègent également au Comité de coopération chargé du suivi des activités inscrites dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention.

Par cette élection, les Etats parties reconnaissent le rôle pionnier de l’Algérie dans la lutte contre les mines antipersonnel et la prise en charge des victimes datant de la Guerre de libération nationale.

Pour rappel, la Convention sur l’interdiction de l’emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel est entrée en vigueur en Algérie le 9 avril 2002.

Depuis son ouverture à la signature en 1997, pas moins de 164 pays ont ratifié ou adhéré à la Convention.

R. N.

Comment (2)

    Le médisant du bled
    21 novembre 2020 - 21 h 22 min

    Et le mokhrib qui truffe le Sahara Occidental de mines, a-t-il signé cette convention ou comme d’hab il est exonéré pour continuer ses méfaits

    Je Suis Sans Importance
    21 novembre 2020 - 18 h 03 min

    MACHALLAH BRAVO DJAZAEIR

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