Covid-19 : bonnes nouvelles !

Covid-19 décembre 2020
Bientôt la fin du cauchemar ? D. R.

Par Dr Abderrahmane Cherfouh – Il y aura un an en ce début du mois de décembre 2020 que le Covid-19 aura envahi le monde en saccageant tout sur son passage et en chamboulant toute la planète. Un an déjà depuis l’apparition de ce fameux et redoutable coronavirus qui nous a pris de court et ne nous a laissé aucun répit. Un an, c’est long quand l’avenir du monde est paralysé et se trouve à la merci d’un minuscule virus qui a des conséquences désastreuses sur la santé de la population et sur l’économie mondiale et, surtout, sur les pays pauvres et à budget limité, à l’image de notre pays.

Avec ce Covid-19, la vie de toute la planète s’est figée, s’est arrêtée tout en attendant et espérant que le miracle se produise pour venir la délivrer de ce cauchemar qui a tant sévi et qui a érodé notre patience jusqu’à n’en plus finir. Un an de contraintes, de sacrifices, de confinement, de distanciation sociale, du port du masque et ce n ’est pas fini ! Le cauchemar continue et risque de durer encore longtemps. Le monde en a marre et a hâte d’en sortir. Ce n’est pas facile d’énumérer tous les ravages causés par le Covid-19. Les statistiques diffusées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) parlent d’elles-mêmes, donnent le vertige et le tournis.

Par ailleurs, c’est assez complexe et déroutante cette histoire du coronavirus et sa propagation. Une histoire étrange et rocambolesque qui n’a pas encore livré tous ses secrets. Il y a des choses qui nous échappent encore et n’ont pas encore été tirées au clair avec les tenants et les aboutissants de ce terrible fléau. Consensuellement, de l’avis de la majorité des scientifiques de par le monde, le mois de décembre 2019 c’est le mois où tout a basculé. Pour les scientifiques, le coronavirus est sans conteste un accident de la nature. Nous n’allons pas revenir là-dessus. Au départ, il y a un vecteur animal, probablement le pangolin, qui contamine une personne sur un marché unique à un endroit situé près d’un laboratoire à très haute sécurité à Wuhan, en Chine.

Cette malheureuse personne va à son tour contaminer d’autres personnes et puis des dizaines, des centaines. Il faut souligner qu’il y a eu quand même des personnes qui n’ont pas été atteintes sur lesquelles le virus n’arrive à avoir aucune emprise, il est peut-être inhibé d’entrée pour des raisons multiples, écosystème personnel, entre autres, des aléas qui font que ça se propage petit à petit. Puis, notre ennemi redoutable va, doucement et sûrement, tomber sur nous tous où il va trouver un terrain propice et plus fécond à son développement par contaminations, ramifications, du hasard, il va se propager d’une manière aléatoire et le feu prend de tous côtés et les flammes deviennent incontrôlables et se propagent à une vitesse qui donne le vertige.

Et c’est ainsi qu’on assiste à un noyau dur, et qu’en plus cet ennemi juré de l’humain a une durée de contamination efficace entre l’incubation et la maladie. Et densité de populations aidant, de clusters en clusters, et à cause des échanges et des mouvements de personnes qui se font entre les villages, les villes, les régions, les territoires, les pays, la pandémie prend son envol et amorce une vitesse à la Usain Bolt. Elle profite de la négligence, de l’inexpérience, de l’inconscience, des déplacements, des voyages et des modes de vie (bateaux, avions, trains, bus, stades, réunions, marchés, concerts, fêtes) pour se propager à la vitesse de l’éclair. Mais quand tout cela devient trop dangereux et trop visible, les autorités scientifiques, politiques ou autres interviennent et mettent un coup de frein et prennent des mesures prudentes pour relâcher la pédale d’accélérateur. On voit alors la courbe descendre, se stabiliser, monter et puis s’inverser, de quoi donner le torticolis. Au départ, donc, il y avait un marché unique à Wuhan mais maintenant ils sont des dizaines de milliers de marchés à travers le monde, des clusters partout. Le bilan humain en lui-même est déjà lourd, plus d’un million et demi de décès, des dizaines de millions de contaminés. Je dois faire court parce que l’histoire que je raconte et que tout le monde connaît par cœur et sur le bout des doigts est assez longue et risque de lasser les lecteurs et, comme je l’ai mentionné plus haut, elle n’a pas encore livré tous ses secrets.

Pour sortir de ce bourbier et de cet enfer infernal, il fallait aller vite en besogne et trouver un vaccin capable d’endiguer cette monstrueuse pandémie qui écrase tout sur son passage. Des centaines de laboratoires pharmaceutiques à travers le monde se sont mis au travail et se sont lancés dans une course effrénée pour développer ces fameux vaccins capables d’anéantir ce redoutable virus. En un an à peine, le miracle s’est produit et les bonnes nouvelles se succèdent et s’accumulent à un rythme de plus en plus rapide sur ce segment marqué par la course effrénée des entreprises pharmaceutiques aux vaccins contre le Covid-19. Après Pfizer et son partenaire BioNtech, qui ont été les premiers fabricants à avoir développé un vaccin, trois autres entreprises ont annoncé à leur tour avoir développé un vaccin très efficace contre le Covid-19, le laboratoire américain Moderna, l’alliance britannique AstraZeneca/Université d’Oxford et les Russes de l’institut d’Etat Gamaleïa.

Moderna et Pfizer ont déclaré que leurs vaccins sont efficaces à 95%, AstraZeneca à 90% et le laboratoire russe à 92%.

Le vaccin AstraZeneca a pour lui l’avantage d’être le moins cher (environ 2,50 euros la dose). Celui de Moderna et le vaccin de Pfizer, malgré leur efficacité, ils souffrent d’un handicap majeur : la technologie qu’ils utilisent nécessite leur stockage sur le long terme et à très basse température (-75 °C pour Pfizer/BioNTech et -20 °C pour Moderna).

Que dire de plus ? Ces laboratoires, il faut leur tirer chapeau pour avoir su développer un vaccin en moins d’un an et, surtout, ont eu le mérite d’innover en révolutionnant leur façon de mener les essais en un laps de temps très court. Les deux concurrents Pfizer et Moderna ont utilisé une nouvelle technologie, l’ARN messager.

Qu’est-ce que cette nouvelle technologie de l’ARN messager ?

Stéphane Bancel, le directeur de Moderna, a fourni l’explication : «L’ARN messager, c’est une molécule que vous avez dans chacune de vos cellules. C’est la molécule qui transporte l’information génétique entre votre ADN et votre cellule.»

Ce que nous faisons, c’est que nous créons un ARN messager synthétique dans nos usines, qui code l’instruction d’une protéine du virus. Donc, quand on vous injecte, on ne vous injecte pas du tout le virus. C’est pour ça que la sécurité est très bonne – on vous injecte l’instruction, donc l’ARN messager pour une protéine du virus.

Cet ARN messager rentre dans vos cellules, vos cellules lisent cette instruction pour fabriquer la protéine du virus [puis] elles la montrent à votre système immunitaire – vos cellules blanches [qui] ne reconnaissent pas cette protéine étrangère.

Donc, vos cellules blanches fabriquent des anticorps de façon à ce que si, plus tard, vous avez une infection naturelle du virus, votre système immunitaire est déjà préparé. Il a déjà fait des anticorps qui neutraliseront le virus et l’empêcheront de se multiplier dans votre corps et, donc, de vous rendre malade.

Selon Bancel, un des grands avantages de cette technologie est qu’elle offre de très bonnes réponses chez les personnes âgées, contrairement aux anciennes technologies dont celle utilisée pour les virus antigrippaux, qui fonctionnent mieux chez les adultes en bonne santé.

Le PDG de Moderna explique, en outre, que la molécule d’ARN messager utilisée dans le vaccin développé par sa compagnie et par Pfizer/BioNTech est très instable à haute température, ce qui explique pourquoi il doit être gardé à très basse température.

Si le vaccin de Moderna ne nécessite pas d’être conservé à -70 °C, avance-t-il, c’est tout simplement parce que sa firme a plus d’expérience avec le développement de tels vaccins et qu’elle a effectué d’importants investissements en conséquence.

Quel est l’avantage de cette technologie ?

Par rapport aux vaccins classiques, l’avantage tient notamment au mode de développement. «Cela peut aller très vite dès que l’on connaît la séquence d’un nouveau virus qui émerge», explique Etienne Simon-Lorière.

«On peut synthétiser en quelques semaines un fragment d’ADN qui sert de matrice pour le vaccin ARN. Ensuite, c’est comme la fabrication d’un journal : une fois qu’on a produit le modèle, on peut facilement le photocopier à des milliards d’exemplaires.»

Ceci étant dit, après des mois de tentatives et d’essais cliniques effectués par les laboratoires de recherche à travers le monde, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) avait recensé en date du 12 novembre 48 vaccins candidats contre le Covid-19 à travers le monde dont 11 développeurs qui en sont arrivés à la phase 3, la dernière avant la demande d’homologation.

Les 11 vaccins en phase 3 :

– Sinovac

– Institut de produits biologiques de Wuhan et Sinopharm

– Institut de produits biologiques de Pékin et Sinopharm

– Bharat Biotech

– Université d’Oxford et AstraZeneca

– CanSino Biological et l’Institut de produits biologiques de Pékin

– L’Institut de recherche Gamaleya

– Les compagnies pharmaceutiques Janssen

– Novavax

– Moderna et NIAID

– Pfizer, Fosun Pharma et BioNTech

A. C.

Source : Organisation mondiale de la santé (OMS)

Comment (19)

    Karamazov
    7 décembre 2020 - 10 h 37 min

    Iben moua depuis que l’Imam Ghafour a émis une fatwa pour m’exclure de Guezgata et depuis que Le comité scientifique de Jil Jadi chayllelah bourhanouhou, en a rajouté un max à propos de ce vaccin j’ai apostasié tout ce qui se dit à propos de la Covid.

    Alla khati ce n’est pas à qu’à cause de mon incurable scepticisme. C’est juste parce que je n’est pas de disposition naturelle à l’apostolat ni ne fait partie de ceux qui sont prêt à adopter un bellaridj si on leur dit qu’il va les protéger contre 3insou.

    Je trouve que le Dr Cherfouh va vite en besogne . Je me demande combien d’action il a acheté.

    Pour ce qui me concerne sans verser totalement dans la paranoïa critique en induisant les données disponibles je m’exclue totalement des personnes disponibles à la vaccination .

    Ardjaw, ne vous énervez pas je splik.

    Primo : jusqu’à présent les seules mesures efficaces contre ce virus ce sont les mesures barrières .

    Secundo : il n’est pas démontré que l’immunité acquise est durable

    Tertio : il n’est pas démontré que ces vaccins sont efficaces sur les personnes âgées , notamment pour ce virus qui a montré que plus on est jeune moins on est exposé donc plus enclin à l’immunité, et inversement.

    Quarto : Le Prof Raoult vient de dire que pour la polio il a eu plus de cas de polio dus à la vaccination anti-polio qu’à la contagion. Et dans le cas de la dingue les personnes vaccinés qui ont recontracté cette maladie l’ont été d’une manière plus virulente que ceux qui n’ont pas été vacciné.

    Quinto : Nous ne savons rien , il n’y a aucun recul, sur cette technologie ARN.

    Moughaliti : Je continue à pratiquer rigoureusement les gestes barrière, et le coïtus interruptus et je tente le coup . A swassat diza , pour linsta je vais bien, je n’ai pas envie de prendre le risque avec le vaccin. Jusqu’à preuve du contraire .

    BASTA ✊
    7 décembre 2020 - 4 h 40 min

    BASTA les vaccins douteux en Algérie subventionné par les escrocs de l’OMS, qu’il vienne de Chine ou de Russie ou de la galaxy ! On ne veut plus ce faire empoisoner !! LAISSER NOS ADN TRANQUILE !!!!

      Anonyme
      7 décembre 2020 - 7 h 43 min

      L’Algérie est aussi dans l’OMS…

    Mcju14
    6 décembre 2020 - 19 h 39 min

    La Reine et le Prince ils ont 99 ans vont se vacciner en premier, avec le vaccin Pfizer des le mardi
    se faire vacciner aujourd’hui et certains seront immunisés et d’autres pas, on fait quoi ? Je me ferai vacciner, autant pour me protéger que pour protéger les autres et voyager
    PUSIEURS VACCINS SONT MIS A LA DISPOSTION DE CHAQUE GOUVERNEMENT.
    Faudra choisir se faire vacciner pour sortir de ces crises et vivre comme avant et oublier des gestes barrières .ce masque qui est obligatoire, Nous pouvons souffler un vent froid d optimisme sur le monde et de commencer une nouvelle année, qui devrait être optimiste et joyeuse car le vaccin EST LA

      Nadir
      6 décembre 2020 - 22 h 38 min

      Vous n’avez rien a faire je vous rassure, ceux qui ne se sont pas vacciner assume leur responsabilités ils peuvent nuire qu’a eux même et a ceux qui ont choisi de ne pas se vacciner, le plus important c’est de n’obliger personne a prendre ce vaccin.
      Moi je ne me vaccinerai pas je préfère avoir le covid et développer ma propre immunité
      Je ne mettrai jamais ce poison dans mon corps.
      PS: Ma mère 78ans, ma tante 85ans, mon oncle 70ans , la grand mère d’un ami 93 ans tous on eu le covid et tous guérit sans aucun problème.

    Anonyme
    6 décembre 2020 - 17 h 53 min

    Il faut que des médecins algériens, surtout les épidémiologistes, fassent entendre leur voix pour que l’on puisse entendre un autre discours que cette propagation de la panique chez les gens.
    Voici les chiffres d’aujourd’hui concernant l’Algérie.
    – nombre de cas 88252

    – nombre de décès 2516.
    Ce qui, rapporté à la population donne 0,0000629 comme taux de décès soit 0,00629 % de la population.
    D’autre part le nombre de décès rapporté au nombre de cas donne 0,02851 soit 2,9 % environ.
    Quelle est l’utilité d’un vaccin aussi controversé dans ce cas ?

    7 A 8 ANS POUR DEVELOPPER UN VACCIN .
    6 décembre 2020 - 15 h 51 min

    Dr.Siegrist , une vaccinologue Suisse de renom mondial , salarièe chez Big Pharma pas tres chaude a l’idèe de se faire vacciner ???

      Nadir
      6 décembre 2020 - 22 h 42 min

      Jamais je mettrai ce poison dans mon sang
      Le pire est que c’est la première fois qu’il utilise cette technologie il faut normalement au moins 10 ans de testes.

    9 a 12 mois
    6 décembre 2020 - 14 h 15 min

    Pour cette bonne synthèse , qui donne l’info et mentionne les Sources.
    Un travail Enorme des LABOS et de leurs Chercheurs.
    Bravo a eux et beaucoup, beaucoup de LECONS a Tirer de cette Experience.
    Espérons la fin Rapide meme si cela prendra A mon humble avis encore 9 a 12 Mois avant un retour a la Normale…

    Restez MASQUES
    LAVEZ vous les mains régulièrement

    VIRUS PAS CHINOIS !
    6 décembre 2020 - 13 h 08 min

    Moi, l’Occident comploteur VRP marketing je m’en méfie.

      Anonyme
      6 décembre 2020 - 19 h 00 min

      Celui qui crie toujours au complot on l’appelle comment déjà?

        El chaoui
        7 décembre 2020 - 1 h 09 min

        Un éclairé !

          Anonyme
          7 décembre 2020 - 7 h 44 min

          à la bougie?

    ferial
    6 décembre 2020 - 12 h 49 min

    Attention ! Prudence surtout ne pas se précipiter pour se faire injecter ce vaccin OGM.
    Ce vaccin élaboré à la sauvette en un minimum de temps alors qu’habituellement il faut entre 10 et 15 ans pour un nouveau vaccin. Il n’a pas pu être testé sur le long terme du coup ceux qui le recevront serviront de cobayes.
    Laissons la place au bon sens , pourquoi se faire vacciner contre une maladie qui tue 0.5 % de la population c’est ridicule. D’autant que la majorité des personnes décédées avaient d’autres pathologie et étaient âgées.

      Anonyme
      6 décembre 2020 - 19 h 11 min

      Pourquoi vacciner? Pour ne pas mettre ce fichu masque pendant 10 ans. Ça ne tue que 0,5% en masquant tout le monde, en gardant la distance, en évitant tous les regroupements depuis près d’un an. Imaginez le taux si on faisait comme avant?? On aurait 200.000 ou 300.000 morts. C’est sur que ce n’est pas grand chose sur 43 millions mais qui peut le tenter?? Supprimons tous les masques et les gestes barrières juste pour voir…

    Anonyme
    6 décembre 2020 - 12 h 21 min

    Bonjour,

    Cher Monsieur, il semblerait que vous vous étes mal documenté sur le sujet. La technologies ARN est nouvelle et on a pas de recul. On ne connait pas les conséquences
    Vruillez vous réferer aux spécialites des vaccins et de la génétique. La toile est pleine de vidéos la dessus et emanants de spécialites de renoms.

    Je ne comprends pas pourquoi les médecins Algériens s’acharnent à suivre le modèle Français qui est totalement obsolète.

    Cheeifi
    6 décembre 2020 - 12 h 04 min

    Bonjour,
    Il faut faire attention de cette enthousiasme concernant l’innovation sur l’ARN messager.
    Sans rentrer dans le complotisme, il s’agit d’une manipulation génétique non mesurée pour son usage sur les humains.
    A l’exemple des OGM (organismes génétiquement modifiés) interdis en Europe à titre d’exemple.
    Même si ces vaccins seraient autorisés en Europe, il n’y a aucun recul pour l’identification des impacts sur les humains à long terme.
    Il s’agit bien d’une innovation risquée par arpport à son utilisatiin a grande échelle.

    Djurdjura
    6 décembre 2020 - 11 h 30 min

    Dressons quelques parallèles narratifs entre SIDA et Covid-19.

    – Les origines : dans les premières années de la décennie 80 de « l’épidémie de SIDA », la théorie favorite du gouvernement américain était celle du « singe vert ». Selon cette théorie, une colonie errante de petits singes verts d’Afrique centrale s’est aventurée dans un village indigène (dépassant par là leur frayeur millénaire) à la fin des années 1970. Après avoir mordu ou eu des relations sexuelles avec les femmes indigènes du village, ces petits singes verts auraient transmis aux humains un type de virus du SIDA, contre lequel ils semblent par ailleurs immunisés. Le métabolisme des femmes indigènes ayant « activé » le virus, elles l’auraient ensuite transmis à leurs maris qui, eux, l’auraient transmis aux homosexuels new-yorkais via Haïti, plateforme de prostitution homosexuelle entre les États-Unis et l’Afrique. De retour en Amérique, ces homosexuels auraient infecté la communauté gay new-yorkaise, qui elle va se rendre à San Francisco et ainsi propager la maladie sur la côte Ouest… Tout ça en quelques semaines !
    Une belle histoire d’amour qui nous rappelle celle des pangolins d’Asie du Sud-Est, présentés comme une « espèce réservoir » ou un « hôte entre la chauve-souris et l’homme » dans le cas de la « pandémie mondiale » de Covid-19.

    – La création en laboratoire, c’est forcément du complotisme : les services secrets soviétiques, la Nation of Islam de Louis Farrakhan, la lauréate kenyane du prix Nobel de la paix 2004 Wangari Muta Maathai et même des médecins, avocats et militaires américains ont évoqué la création en laboratoire du virus du SIDA à des fins de guerre biologique menée par l’armée américaine et l’OMS via des campagnes de vaccination.
    Alors quand le virologue Luc Montagnier, prix Nobel de médecine 2008 pour son isolation du VIH, émet l’hypothèse qu’une séquence du VIH aurait été introduite dans le génome du coronavirus et que le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère à l’origine de la pandémie de Covid-19 serait « sorti d’un laboratoire chinois avec de l’ADN de VIH », c’est la grosse panique du côté de la « communauté scientifique » qui dégaine son argument d’autorité pour mettre fin au débat : le complotisme ! Une réaction d’autant plus tous azimuts que, dans le même temps, le président des États-Unis Donald Trump et son secrétaire d’État Mike Pompeo annoncent une enquête de l’administration américaine à propos d’une échappée « accidentelle » du virus de l’Institut de virologie de Wuhan…

    – Sortez couverts ! Préservatif sur le sexe, masque sur la bouche, la « science » n’aurait-elle que le muselage physique et la peur sociale comme solutions ? Après avoir porté la terreur sur les interactions amoureuses et sexuelles de toute une génération, la nouvelle recommandation-injonction se résume ainsi : « Restez chez vous ! » Un pas de plus vers le consommateur de produits dématérialisés et un pas de recul quant à la nécessaire appréhension de la nature humaine et de l’organicité.

    – La maladie est incurable mais le vaccin va nous sauver : étant donné que tout est fait pour empêcher les protocoles de santé publique sérieux de s’appliquer (ceux de Luc Montagnier, de Kary Mullis, de Peter Duesberg, d’Everett Koop ou de Lynn Margulis pour le SIDA, celui de Didier Raoult pour le Covid-19), une seule politique se met en œuvre : celle de la panique organisée. En clair : on ne prend aucune décision, on attend, on mobilise des milliards (la fameuse « levée de fonds ») pour la « recherche », on vend des médicaments, on teste des traitements et on promet un vaccin efficace qui n’arrive jamais ! Dans le cas du SIDA, cette cavalerie court depuis 40 ans, combien de temps va-t-elle durer pour le Covid-19 ?

      Anonyme
      6 décembre 2020 - 23 h 27 min

      Merci pour votre commentaire. J’espère vraiment que l »auteur de l’article le lira. Pourtant, il suffit de chercher sur internet. Tout y est mais l’auteur ne fait que distiller le discours officiel et emanant de big pharmaq

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.