Laghouat : accompagner les exploitations oléicoles pour développer l’agriculture

guelma oléiculture
L'oléiculture un créneau de développement économique important. D. R.

Les services agricoles ne ménagent aucun effort pour accompagner les exploitations oléicoles et contribuer à l’essor de la filière et sa modernisation pour assurer une production oléicole abondante et contribuer au développement de l’agriculture, a affirmé, dimanche, le directeur des services agricoles (DSA).

Le secteur dans la wilaya de Laghouat s’attèle à tracer une feuille de route axée, notamment, sur le rapprochement des agriculteurs et la prise en charge de leurs préoccupations, a déclaré à l’APS le DSA, Laïd Bouazza.

De nombreux agriculteurs de la wilaya de Laghouat s’orientent ces dernières années vers le développement de l’oléiculture après les résultats probants d’expériences menées par certains agriculteurs dans cette filière.

Parmi les exploitations accompagnées par les services agricoles, celle d’Abderrahmane Arezki, un pionnier dans le développement de la filière oléicole, avec une expérience lancée dans la région de Ksar El-Hirane (40 km au sud de Laghouat) en 1993 avec près de 800 oliviers, irrigués à partir d’un forage fruit du soutien de l’Etat et exploité avec un autre agriculteur et qui a connu un franc succès.

La wilaya de Laghouat dispose d’une superficie agricole de plus de 77 000 hectares, dont plus de 4 000 ha réservés à l’oléiculture avec près d’un demi-million d’oliviers, selon les données de la DSA.

R. E.

Comment (4)

    Amin99
    29 janvier 2021 - 14 h 03 min

    Tout ce qu’on fait dans le secteur agricole se transforme en or.
    La terre agricole subsaharienne est un véritable trésor pour l’Algérie, elle peut générer beaucoup de richesse à condition de la travailler.
    L’eau ruisselle dans les sous-sols profonds du sahara ce qui jalouse beaucoup de pays désertiques qui n’en possèdent pas.
    Les filières agricoles et agroalimentaires sont génératrices d’emplois et de richesses, nos produits agricoles sont d’excellentes qualités, nous devons continuer à les développer en se donnant les moyens.
    Malheureusement, le citoyen Algérien constate une augmentation annuelle du prix de l’huile d’olive ce qui laisse penser qu’il y’a encore du chemin à faire.
    A bon entendeur

    benchikh
    19 janvier 2021 - 21 h 12 min

    Un grand BRAVO !! aux agriculteurs Algériens ,merci pour vos efforts,et AP merci pour cette information importante sur les arbres d’olives qu’ils sont cultivés sauf au bassin Méditerranéen (des petites surfaces dans le monde) .Je considère l’huile d’olive Algérien excellent le meilleur autour du bassin .L’huile d’olive prendra la place du pétrole dans l’avenir, moi aussi je profite dans cette bataille autant agriculteur . Régalez-vous bientôt la noblesse des huiles sur vos tables et pour tout le monde .Vive la terre Algérienne et vive l’Algérie indépendante.

    awres
    18 janvier 2021 - 14 h 39 min

    Le gouvernement algérien doit obligatoirement accompagner les agriculteurs et les éleveurs. Ce sont eux qui nous nourrissent. L’agriculture et l’élevage sont les deux seuls secteurs que tout gouvernement même libéral (capitaliste) devrait soutenir. A condition que leurs produits servent d’abord les nationaux et que nous n’exportions que les excédents. Ce n’est pas le cas actuellement : à titre de Chaoui, je peux affirmer que les pommes Golden d’Arris ou de M’sara n’arrivent ni à Batna ni à Khenchela. Elles doivent faire le bonheur des monarques du Golfe ou des châtelins européens, certainement !

    Mousika El Mousika.
    18 janvier 2021 - 2 h 14 min

    Parole et parole et parole.
    Toujours des paroles, rien que des mots, et du réchauffer depuis 1962.
    Avec tout ce qu’ils nous ont dit et que l’ont n’a jamais vu la couleur.
    Ils osent encore en rajouter une louche.
    J’appelle ça, du foutage de gueule.
    Taisez-vous pour l’amour de Dieu.

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