Commerce : une quinzaine de produits exportables recensés

SH ENI
La crise politique nationale a impacté négativement l'économie nationale. D. R.

Le ministre délégué chargé du Commerce extérieur, Aïssa Bekkai, a fait état, samedi à Alger, du recensement de plus de 15 produits exportables, mettant en avant une série de mesures pour accompagner les opérateurs économiques et accroitre le volume des exportations.

Intervenant lors de l’inauguration du siège de la Chambre algérienne du commerce et d’industrie (CACI) à Alger après des travaux de restauration, Bekkai a précisé que le ministère a cité parmi la quinzaine de produits exportables l’huile d’olive et le ciment, ajoutant que les services de la tutelle avaient été à l’écoute des préoccupations des producteurs et des représentants de plusieurs filières.

A ce propos, le ministre délégué a évoqué des problèmes liés à l’information économique, au système de qualité, à l’emballage et au transport.

Bekkai a indiqué que plusieurs mesures ont été prises pour soutenir l’exportation en parallèle avec d’autres secteurs concernés par l’opération d’exportation, à l’instar des services diplomatiques et des conseils d’affaires communs.

A cette occasion, la CACI a organisé en collaboration avec le Conseil national interprofessionnel de la filière oléicole, des portes ouvertes sur cette filière avec au programme plusieurs conférences et une exposition, selon le site de l’APS.

R. E.

Comment (3)

    Anonyme
    3 mars 2021 - 22 h 16 min

    un pays en plein naufrage , quel gâchis ! j’ai mal au coeur .

    Amin99
    24 février 2021 - 9 h 39 min

    Pour assurer un bon développement économique, il faut une bonne gouvernance qui se base sur des indicateurs économiques (KPI) fiables de tous les secteurs d’activités.
    L’heure est venue pour accorder de l’importance à tous les indicateurs économiques mais pas qu’à ceux des hydrocarbures. A partir de là, il faut planifier de vraies stratégies et mettre des moyens pour créer des leviers sur ces indicateurs en augmentant ceux de l’export et en diminuant ceux de l’import afin de rééquilibrer notre balance commerciale et réduire notre dépendance au hydrocarbures.
    A bon entendeur

    Abdel
    23 février 2021 - 15 h 10 min

    Ce que je perçois de ce navire au mouillage de Sonatrach peut être, une coque rouillée à différents endroits, non entretenue, alors qu’il a coûté plusieurs millions de dollars US. Cela me fait mal de voir cet état de choses de cet ambassadeur flottant algérien.Pour certains,ils diront que j’exagère.

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