Sofiane Djilali : «Le Hirak est émaillé de slogans dont le but est de déstabiliser le pays»

SD Jil Jadid
Sofiane Djilali. D. R.

Le président de Jil Jadid, Djilali Sofiane, a mis en garde, mercredi à Alger, contre des «dérapages» pouvant être provoqués par certains slogans scandés lors des marches du Hirak visant à déstabiliser le pays, rapporte l’APS.

«Le Hirak est émaillé de slogans venus de l’étranger et servant des agendas dont le but est de déstabiliser le pays», a déclaré Djilali Sofiane.

Déplorant l’existence de ceux qui profitent de l’occasion pour «faire basculer le pays dans une spirale de problèmes et de conflits», il a estimé qu’une partie du Hirak «se dirige vers l’impasse, car divisé de l’intérieur».

«Les résidus du système corrompu activent encore pour freiner la politique engagée pour le changement et la satisfaction des revendication du peuple algérien, exprimées à travers son Hirak pacifique», a-t-il ajouté.

Par ailleurs, le président de Jil Jadid a plaidé pour des concertations politiques afin de «réaliser le changement escompté», affirmant que le «rejet catégorique de toute proposition du pouvoir conduit inévitablement à la confrontation».

«Il n’y a aucune autre voie pour le changement que la légitimité des urnes lorsque les conditions de transparence et de régularité sont réunies», explique Djilali Sofiane.

Par ailleurs, il a déclaré que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, l’avait reçu en sa qualité de personnalité politique nationale et non pas en tant que président de parti, soutenant que «le dialogue national est le moyen le plus efficace pour l’encadrement des Algériens».

R. N.

Comment (29)

    Fodil
    5 mars 2021 - 22 h 18 min

    Sofiane Djilali, président du parti Jil Jadid recevant en Octobre 2019 le « Leaders for Democracy Award , lauréat du prix (Projet pour la démocratie au Moyen-Orient). Ignore-t-il que cette ONG américaine pro démocratie est juste Un levier d’influence drapé dans l’humanisme et un prolongement des officines de La CIA.

      Anonyme
      6 mars 2021 - 7 h 42 min

      Bonne remarque. Si ce prix avait été décerné à un opposant du régime cela aurait fait scandale, mais comme ça concerne un de leur famille, ils n’ont rien dit!! Encore une preuve de la « proximité » de cette personne avec la caste

      Vous avez la Memoire Courte
      7 mars 2021 - 0 h 25 min

      Ou étiez vous lorsqu’il était SEUL avec quelques Autres dans l’Arene contre le 5eme Mandat ?
      Un peu de RESPECT !

    Z
    5 mars 2021 - 18 h 28 min

    « Le hirak est émaillé de slogans venus de l’étranger »Le peuple Algérien est-il si bête que ça pour importer ses slogans? Soufiane djilali a choisi son camp……….

      Lghoul
      8 mars 2021 - 17 h 27 min

      Voyez vous on importe même les paroles et les slogans en plus du pain et des médicaments. On importe tout. Ne soyez pas surpris si un jour vous voyez qu’on importe de l’air.

    lhadi
    5 mars 2021 - 12 h 56 min

    C’est avec franchise, dénuée de toute complaise mais avec beaucoup de respect pour l’engagement que mènent ceux qui font leur devoir pour faire triompher une certaine idée de l’Algérie à laquelle nous sommes majoritairement attachés, que je fais appel aux forces de la vérité, du courage, de l’honnêteté, de la générosité plus forts que jamais, à tous les intellectuels emblématiques des lumières, ces élites algériennes modernisatrices qui s’identifient au progrès, à la science, aux forces productives et à la rationalité à sortir des sentiers battus et de prendre le chemin de la sagesse qui tisse, avec responsabilité, un lien avec la jeunesse qui veut vivre son temps, bâtir son avenir tout en bâtissant l’avenir du pays.

    Pourquoi ?

    Parce que la situation du pays aspire, sans plus tarder, et conformément à la loi fondamentale de la république, à des transformations décisives, irréversibles – politiques, économiques, sociales – qui doivent répondre non seulement aux besoins des citoyennes et des citoyens mais aussi aux intérêts les plus élevés de la nation.

    Tous ensemble pour une Algérie qui ose.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Anonyme engagé
      6 mars 2021 - 8 h 50 min

      A bas les slogans qui minent l’Algérie depuis l’indépendance !
      Il faut mettre en pratique les « choses » :
      – retrait des militaires de la vie politique et des institutions,
      – refonder le SYSTEME, plus généralement, pas seulement écarter la « issaba » que le pouvoir et ses nervis nous servent : Boutef ayant « tété » viré et quelques têtes « coupées », le Hirak béni » véritable » a cessé d’exister.
      – permettre la création de partis nouveaux en espérant avoir des jeunes plus militants et sincères ;
      – cesser le dénigrement et l’emprisonnement de personnalités honnêtes (pas ceux qui touchent des retraites dorées après juste quelques années d’exercice, d’après des « lois » faites sur mesure pour eux) ;
      – permettre des élections libres, transparentes et honnêtes techniquement possibles, mais impossible à réaliser tant le système hérité est bloqué par des intérêts (anciens moudjaheds, famille révolutionnaire, partis à la solde du système, …).

      Tant que des « garanties » plancher, pour une évolution du système politique vers une plus grande démocratie, ne sont pas assurées, rien n’est possible : de « l’Algérie nouvelle » aux incantations des uns et des autres.

    Brahms
    5 mars 2021 - 3 h 48 min

    C’est faux Monsieur,

    Prenez la vie de chaque citoyen ou citoyenne du HIRAK et vous lui demandez son bilan financier, patrimonial et professionnel. Vous constaterez que la plupart à 90 % vivotent, ils n’ont absolument rien (Compte bancaire à zéro, pas de maison, pas d’appartement, pas de voiture, pas de métiers ou pas d’emploi et pour ceux qui travaillent salaire trop faible pour construire une vie).

    Triste réalité donc pas la peine de cacher la poussière sous le tapis. Ne croyez surtout pas que les gens manifestent par pur plaisir, à arpenter les rues en criant.

    Il faut donc réformer tout le système, un travail de fond, bannir le marché parallèle de la devise, mettre en place une monnaie interchangeable comme tous les pays du monde, sauter les verrous des colons et des harkis qui nous ont mis des boulets aux pieds, ouvrir le marché du travail et faire des travaux d’infrastructures pour moderniser le pays dans le but d’y intégrer sa population.

    Et, si vous ne savez pas faire, faîtes donc un stage dans les villes européennes pour apprendre à gérer une ville, comment se déroule un Conseil municipal, la politique sociale des logements, les mécanismes à mettre en place etc.. etc…il y a beaucoup de travail.

      Anonyme
      5 mars 2021 - 12 h 19 min

      Et qui apprendra aux Algériens à travailler pour leur pays!? Doit on à cet effet les envoyer aussi en Europe!?
      Je persiste et signe: Dans son pays, l´Algérien a horreur du travail, C´est la raison pour laquelle il a accepté toutes les compromissions avec tous les régimes successifs en Algérie, pourvu qu´on lui jette des miettes, cela lui suffit!
      Le soulèvement du 22 février 2019, était motivé par la rente qui menacait de diminuer et, avec elle le mode de vie en cours (ragda wetmanji).
      On a alors pensé à tout ce qui avait été dilapidé par les pontes du régimes (toléré jusque là) pour sauver ce mode de vie.
      Le hirak n´a jamais été un projet pour une Algérie nouvelle par le travail, mais, au mieux juste une Algérie où la rente est distribuée plus équitablement. Cela suffirait à la plupart des Algériens.
      Preuve en est: est-ce que ceux qui sortent les vendredis pour marcher, s´acquittent-il de leur boulot correctement pendant la semaine!?
      L´Algérien est dans une posture de demander ses droits mais ne pense jamais à ses devoirs, alors que ces derniers devraient précéder les premiers!

        Chaoui04
        5 mars 2021 - 21 h 12 min

        Commentaire très pertinent, analyse tout à fait juste, mais la vérité n’est pas toujours bonne à dire.

        Anonyme
        6 mars 2021 - 9 h 24 min

        Vous voyez cela du haut de votre « jeunesse » et/ou votre manque de « sagesse » et de vision.
        Les algériens à l’indépendance étaient des travailleurs et le « système » établi à parti de 1962 a établi petit à petit les règles du jeu : l’inféodation de la population au système du capitalisme d’état en échange d’un peu de sécurité (alimentaire et financière, …). Les travailleurs des années 60 et même 70 se sont fait avoir petit à petit par les politiques économiques des sociétés nationales (clés en main). Lorsque le déficit de ces entreprises qui servaient surtout aux politiciens (et à l’armée) sont devenues déficitaires on a commencé le bradage (autonomie des entreprises) puis leur démantèlement progressivement). Le licenciement des travailleurs s’en est suivi à un rythme effréné … laissant des centaines de milliers de personnes sans travail. Certains sont partis avec un pécule qui a juste servi à les faire vivre de 1 à 2 ans. Ensuite les « capitalistes » privés ont juste faire de l’import/import pour la majorité d’entre eux. Les algériens ont commencé à faire de la résistance et les départs vers l’étranger ont commencé avec une grande vigueur. Les 15000 médecins algériens, les dizaines de milliers d’ingénieurs, … prouvent que les salaires en Algérie ne peuvent faire vivre les algériens diplômés et compétents. Leurs homologues tunisiens et marocains sont mieux lotis dans leurs pays. L’émigration algérienne est depuis longtemps de haut niveau parce qu’elle n’a pas trouvé chez elle des moyens de vivre correctement. L’exemple des retraites dorées des ex-membres du CNT est là pour le prouver : alors qu’à l’extérieur de l’Algérie on trouve beaucoup d’algériens qui touchent des salaires supérieurs à 5000 €/mois en Algérie, très peu de personnes (dans le secteur public) touchent des salaires supérieurs à 200000 da /mois. Il faut reprendre la politique des salaires. A l’étranger les algériens travaillent dur pour s’en sortir car l’environnement est propice pas en Algérie (sauf si on entre dans le « système » – état / commerce illicite / …
        J’ai travaillé en Algérie dans les années 80, je ne trouvais pas même du café ou de l’huile dans les magasins, mais au marché noir oui et à des prix faramineux. La mauvaise gestion de l’économie et de la politique continue, on verra se prolonger la « fuite » des cadres et des non-cadres de plus en plus. Ils iront ailleurs gagner leur vie et c’est normal, mais ne dites pas que les algériens ne travaillent pas …

        anonyme
        6 mars 2021 - 13 h 54 min

        @Anonyme
        5 mars 2021 – 12 h 19 min

        Tres bien dit cher compatriote
        je puis vous assurer que j’ai vu dans ce hirak beaucoup qui ont profité de la rente (crédits bancaires à travers ansej et autres) qui d’ailleurs ne servait qu’à acheter le silence de cette jeunesse dépravée qui il n’y a pas si longtemps applaudissait Bouteflika
        Si l’Algérie veut avancer il faut couper cette rente et remettre les gens au travail
        l’Algérie a besoin d’un leader de la stature de feu H Boumediene s’il y en a un et j’en doute fort

    MOUSSABALE
    5 mars 2021 - 2 h 30 min

    Dire que j’ai émis le vœux et le souhait de voir Djilali Sofiane comme futur président de l’Algérie avec comme premier ministre et un gouvernement constitué de Tabbou, Samir Belarbi, Bouchachi et plein d’autres jeunes nationalistes qui n’ont qu’un seul défaut aux yeux de la mafia politico financière qui est leur amour pour leur pays et leurs compétences.
    Alors Mr Djilali ma déception est d’autant plus grande que vous acceptez de vous assoir sur deux chaises, ce qui peut être en général fatidique et désastreux pour un homme politique de votre envergure.
    La solution est simple pourtant pour notre pays qui a sacrifié plus de 1,5 millions de ses fils pour que le peuple vive en paix, libre et épanoui. Cette solution ya si Sofiane s’appelle la LÉGITIMITÉ et non pas la force, le mensonge, le vol, le viol ou la dictature quel qu’en soit sa nature.

    Honnêtement
    4 mars 2021 - 21 h 29 min

    Meme si il n’est pas Aide par l’entêtement de certains…..Il a du Mérite !

    Anonyme
    4 mars 2021 - 18 h 35 min

    Le ministre-bis de la communication a encore parlé…

    Anonyme
    4 mars 2021 - 18 h 34 min

    Le pouvoir est en campagne contre les slogans du Hirak depuis 1 semaine. Mr Djillali vient nous répéter la même chose que Belhimer et Cie et après il se demande pourquoi on le taxe de parti du pouvoir!!! Pffff!!!!!

      LotfiALN
      4 mars 2021 - 23 h 15 min

      D’abord de quoi on parle !
      Le hirak kesako?
      D’abord ça s’appelle la révolution du peuple algérien du 22/02/19; de l’authentique peuple algérien !
      Cette révolution a mis fin au règne du clan boutef !
      Un ramassis de traîtres de mercenaires…
      Les résidus de la racaille sont toujours en activité !
      La dératisation prendra du temps mais ira à son terme !
      Les attaques outrancières contre notre ANP contre le Président de la république contre notre entité nécessitent une réponse radicale de l’Algérie !
      Ces manifestations en pleine crise sanitaire ; initiées par l’alliance contre nature makaques barbudos bastardos, sont une attaque ennemie !
      Maintenant à la guerre comme à la guerre !
      Vouloir affaiblir l’Algérie de l’intérieur est vain !

        Anonyme
        5 mars 2021 - 9 h 34 min

        Arrêtes ton khorti. La faillite de l’Algérie ce n’est pas que Boutef. C’est le système qui a rendu le Bouteflikisme possible. C’est les milliers de personnes qui ont ruiné le pays derrière lui….

    Lghoul
    4 mars 2021 - 16 h 07 min

    Que dit ce monsieur quand il y a pénurie de masques, de vaccins, de lait, d’huile, de semoule, de billets de banques, d’internet, d’eau, de voitures, de travail etc?

    Que dit ce monsieur quand les harragas sont en surnombres pour aller au suicide en mer ?

    Que dit ce monsieur quand le dinar et le pouvoir d’achat des algériens est en chute libre ?

    Que dit ce monsieur quand des milliers d’algériens sont délibérément bloqués à l’étranger comme des
    sans papiers à cause du Covid ?

    Rien.

    Par contre, il a toujours quelque chose a dire quand il s’agit d’attaquer le peuple en suivant a la lettre les instructions de ses maitres: La main de l’étranger est partout.

    Larnaque
    4 mars 2021 - 15 h 19 min

    «Il n’y a aucune autre voie pour le changement que la légitimité des urnes lorsque les conditions de transparence et de régularité sont réunies», dixit Djilali Sofiane. Justement! D’aucuns estiment que les conditions de transparence et de régularité sont loin d’être réunies. Que faire dans ce cas? Faire quand même comme si elles l’étaient comme vous semblez le préconiser? Peut-on parler de légitimité des urnes quand une citoyenne (Dalila Touat) est condamnée à 18 mois de prison ferme pour avoir fait campagne contre le dernier référendum? Vous avez choisi votre voie, grand bien vous fasse mais, de grâce, arrêtez d’accabler tous ceux qui n’adhèrent pas à votre démarche.

    Anonyme
    4 mars 2021 - 14 h 46 min

    «Le Hirak est émaillé de slogans venus de l’étranger et servant des agendas dont le but est de déstabiliser le pays», a déclaré Djilali Sofiane. – Ah encore cette pauvre main de l’étranger. Je suis aussi certains que les millions qui sortent sont venus de l’étranger meme si les vols sont bloqués. En dehors de la main que savent ils inventer ? Et l’autre main qui est toute présente au pays que fait il avec elle ? Il la serre mille fois par jour je suis certain.

    Lghoul
    4 mars 2021 - 14 h 43 min

    Et voila que le monsieur commence a montrer son vrai visage. Tellement la panique a pris le dessus, il ne fait plus d’erreurs de language pour dire texto ce qu’il doit dire. On lui a dit de ne plus caméléniser ses actions. Le facteur distribue des lettres et ici il distribue des mots.

    Un talent au service de son pays
    4 mars 2021 - 13 h 43 min

    Ce Monsieur a un grand avenir politique en Algerie et un potentiel candidat à la magistrature suprême. Il fait peur à ses détracteurs car il a de vrais atouts, compétences et une excellente approche politique. Il montre que la politique de la chaise vide ne mène à rien et avance par la discussion, la négociation et le compromis. Le FLN et la secte du RCD ont bien compris du danger qu’il représente, c’est pour cette raison qu’il est attaqué de toutes parts.

      Anonyme
      4 mars 2021 - 15 h 21 min

      « Le FLN et la secte du RCD ont bien compris du danger qu’il représente, c’est pour cette raison qu’il est attaqué de toutes parts. » – Le FLN apparemment est maintenant dans l’opposition ! Le monde est drole en ces jours de vaches maigres.

      Dahmane
      4 mars 2021 - 19 h 27 min

      Dire qu’il a de « une excellente approche politique », peu de gens peuvent le nier après que le secret bien caché depuis 25 ans ait été dévoilé : toucher 40 millions par mois de salaire à vie, je dis bien à vie, pour avoir siégé pendant une année dans une assemblée croupion dans les années 1999.

      Nous partageons donc votre point de vue : Cela dénote non seulement une « excellente approche politique » mais aussi comme vous nous l’apprenez de « vrais atouts et compétences ».

      Et c’est en effet pour tout cela qu’il repésente un danger pour le FLN et le RCD.

    Honnête citoyen
    4 mars 2021 - 13 h 16 min

    Gagner l’argent du contribuable à travers le CNT sans avoir travaillé, être décoré à l’étranger par des américains, c’est aussi être un honnête citoyen. Djillali, ce n’est pas en étant de la famille de abderrahmane El Djillali ou de Abdelkader Djillali le saint marabout que vous pouvez dire des sottises. Vous étiez éjecté du Hirak et là vous êtes en mode Vengeance.

      yisseri
      4 mars 2021 - 15 h 27 min

      tout le monde s’est fait éjecté du hirak, c’est devenu carnaval fi dechra

        Honnête Citoyen
        4 mars 2021 - 18 h 20 min

        @Yisseri, non c’est faux! C’est pas tout le monde qui a été éjecté du Hirak. Le peuple a su reconnaitre les siens et ceux qui le défendent et ils sont toujours accueillis avec joie dans les marches et dans tout le pays. Ceux qui ont été éjectés sont ceux qui mangeaient avec le loup et pleuraient avec le berger. Juste une reconnaissance à nos services secrets. C’est vrai qu’ils font un sale boulot, parfois malgré eux, mais ils ont des dossiers lourds sur ces personnages qui changent et se meuvent comme la queue d’un coq, ils vont toujours du côté ou les emmènent le vent. C’est le recyclage sans le formatage des mêmes personnes depuis début des années 90. Ils doivent remercier la pandémie qui les a sauvés car leur disque dur est vraiment informatable et vraiment Rayé.

          yisseri
          5 mars 2021 - 16 h 02 min

          le peuple ? ça ne veut rien dire le peuple
          si on parle de la population en générale elle est majoritairement hors du hirak actuel

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