D’une pierre deux coups sur le politique du kamis et son amplificateur

Dhina recommencement
Mourad Dhina. D. R.

Contribution de Boualem Snaoui – Comme l’histoire est un éternel recommencement, alors en roulant sur le chemin de l’avenir, on est appelé à jeter des coups d’œil dans le rétroviseur pour mieux appréhender la route, tout en gardant un œil vigilant sur les bas-côtés d’où surgissent les «nuisibles» plantés sur les bords du chemin de demain, finalement résistants aux insecticides les plus coriaces.

Sous couvert de missions d’informations et de «droits de l’Homme», ils organisent des croche-pieds politiques permanents au profit des colons. On les reconnaît, comme je le disais précédemment, grâce aux slogans creux, confectionnés dans les laboratoires coloniaux, qu’ils arborent fièrement au-dessus de leurs têtes serviles, élevées au rang d’intellectuelles, au moyen du théorème des inversions des rôles et des valeurs, qu’ils mettent en pratique à travers, notamment, leurs médias low-coast.

Pour couronner le tout, selon Amar Djerad, ces démocrates équipés de ciseaux viennent de lancer une campagne de censure dans les rédactions. Ah, ces canailles démocratiques du faux Hirak qui ne disent pas leurs noms et dont l’objectif voilé est de prêter main-forte aux colons !

Pour diviser les populations locales en Algérie, et détruire même au plus profond les structurations sociales, la France coloniale a mis en place des bataillons de «Harkis» –soldats indigènes – dès 1831, dans les opérations militaires pour la conquête de l’Algérie, aux côtés des unités métropolitaines. Le nombre d’Algériens enrôlés dans les supplétifs durant toute la guerre varie de 200 000 à 400 000, selon les historiens. Le 19 mars 1962, jour du cessez-le-feu, le contrôleur général aux armées, Christian de Saint-Salvy, dénombre 263 000 musulmans engagés du côté français en Algérie : 60 000 militaires réguliers, 153 000 supplétifs, dont 60 000 harkis, et 50 000 notables francophiles. Le critère de recrutement des employeurs consiste à déceler une motivation exploitable dans la guerre entre Algériens.

«Soldats au rabais», employables à merci – avec contrats parfois journaliers et même verbaux – traités comme des réfugiés et parqués dans des camps, ils n’ont accédé au statut de combattants que par la loi du 9 décembre 1974 en France, et depuis le 23 juillet 2010 s’ils habitent en Algérie. Les enfants d’anciens harkis, Moghaznis et personnels des diverses formations supplétives viennent à peine d’accéder à quelques aides de l’Etat français par le décret num. 2020-513 du 4 mai 2020.

L’Histoire est un perpétuel recommencement, puisque près de 60 ans après l’indépendance du peuple algérien, les mêmes méthodes de recrutement, les mêmes pratiques, le même système, le même pouvoir, cette fois-ci pour le compte de la guerre de 4e génération, sont mis en place avec des salariés, cette fois-ci outillés de caméras, de mégaphones, d’encre de lapidation mais, surtout, de haine des citoyens. Oui, oui, l’histoire ne leur sert à rien, même lorsqu’ils la voient avec leurs lunettes télescopiques, comme ce duo de snipers de la politique coloniale, Mourad la Tartine (dit Dhina), prix Nobel disais-je, et Super Mario El-Kadi de la radio de Momo. Ces deux personnages, issus de l’élevage intensif des «révolutions colorées à la banane», viennent encore une fois de se dévoiler, en s’attaquant au «Bensaada», celui qui leur donne des cauchemars, mais surtout des coups de pieds au derrière. Il a renversé leur table de jeux sur laquelle ils s’amusent pour se gaver sur le dos du peuple, qu’ils canalisent à travers les tuyaux d’égouts de la manipulation politique.

Concernant le premier, qui est en réalité le dernier, Mourad la Tartine, dit Dhina, chez qui la récidive est innée, il a publié une vidéo le 18 mars 2021, relayée par son pote Yahia Mekhiouba, lui aussi un démocrate du mouvement de la politique du kamis «Rachad», pour s’attaquer avec des fléchettes au Dr Ahmed Bensaada. Ce prix Nobel, unique titulaire universel de la pétition signée par des citoyens algériens, pour qu’il soit jugé pour […] (au lecteur-acteur de compléter), est sorti de son trou de gourou médiatique des réseaux sociaux pour venir déverser son inconsistance religieuse et politique au moyen d’un autre coup de laser.

Ahmed Bensaada, dans sa réponse du 23 mars 2021, lui a cloué le bec et brossé les crocs – qui rayent le parquet – du calife d’Ankara. Mais Bensaada a oublié une tâche que notre héros «la tartine» arbore sur le front en mode Krishna, croyant que Dieu le reconnaîtra parmi les siens. En effet, comme preuve de ses délires politiques, il brandit encore une fois les récitations scientifiques des chevaliers de la Table Ronde, menée par Merlin Merzouki, le «président-fantôme Tartour de Carthage» de Salah Horchani. J’ai déjà disserté précédemment sur le sujet, et je ne compte pas y revenir, sauf peut-être pour inclure les prouesses de ce Tartarin de Tunis, qui jette le micro d’un journaliste posant les mauvaises questions, et qui a été joliment décoré par Abdellatif Zeraïdi le 4 décembre 2020 pour ses prises de position en faveur des colons.

Comme il ne change pas une équipe qui perd, et en signe de preuves de son argumentaire en langue de bois, «la Tartine» brandit aussi «l’hauteur» Habib Souaïdia, «ce bidasse de La Sale Guerre d’Algérie» (2001- Ed. La Découverte de la lapidation de l’Algérie), menée contre son peuple. Pour ceux qui l’ont croisé, ou qui ont tenté de décrypter la langue de Molière dont il fait usage, ils ont compris qu’il est bien «l’hauteur» de ce «conte» disputé entre deux amoureux du peuple algérien : François Gèze et Mohamed Sifaoui. Ces architectes de l’œuvre que Mourad la Tartine brandit se sont déchirés à la barre des tribunaux (pénal et civil) sur la paternité de cette entreprise de maintenir l’Algérie sous le joug de la métropole. Ce n’est pas pour relancer le procès entre ces deux ténors qui participent activement à la flagellation médiatique de l’Algérie que je viens m’interroger sur les objectifs poursuivis par cette opération de «sale guerre», y compris juridique, pour maintenir le peuple algérien en otage, mais simplement pour rappeler les bons souvenirs et, surtout, quelques déclarations des uns et des autres autour de cette édition fort utile par ces temps de reptations politiques intenses.

M. Sifaoui, avec qui je garde la plus grande distanciation sanitaire, et pour qui la religion musulmane «est la raison d’être», écrit dans un billet sombre (à 23h:25 pm) en date du 19 septembre 2007 : «(…)François Gèze, qui, visiblement, signe désormais d’un pseudonyme : Habib Souaïdia, le prétendu auteur de La Sale Guerre. Je l’écris avec ironie parce que lorsqu’on connaît le niveau du sieur Souaïdia, ex-militaire algérien emprisonné pour vol avant de devenir un chantre des droits de l’Homme (…)»

Dans le procès opposant F. Gèze, sa maison d’édition La Découverte, à Jean François Kahn, de Marianne, et M. Sifaoui, on peut lire sous la plume de N. B. (dans le canard de la formation aux «printemps des arabes», dans le cadre du programme Leaders for Democracy Fellowship, faussement appelé La Patrie en Algérie, rapporté par le palmipède électronique qui vole à l’envers Algérie-Wech wech) : «(…) Ainsi, le tribunal admet que les éléments produits aux débats permettent de démontrer que Habib Souaïdia, au printemps 2000, a livré à ses interlocuteurs des versions différentes, que de nombreuses modifications ont affecté le manuscrit livré par Mohamed Sifaoui à l’éditeur, et, surtout, que ces modifications ont eu pour résultat d’atténuer la responsabilité des groupes islamistes pour aggraver celle des militaires.»

Sur les ailes de ce même palmipède électronique, en date du 13 décembre 2009 (mis à jour le 4 juin 2018), je lis l’une des deux conclusions énumérées par le communiqué de François Gèze et de ses éditions, qui n’ont rien découvert :

– s’agissant de l’entretien dans Marianne : «François Gèze et les éditions La Découverte sont accusés d’avoir manipulé Habib Souaïdia et Mohamed Sifaoui, en intervenant sur le témoignage du premier et le manuscrit du second, pour réaliser un ouvrage partisan, volontairement défavorable pour l’armée et exonérant les islamistes. Cette assertion est évidemment diffamatoire pour les parties civiles.»

François Gèze, qui, visiblement, signe désormais d’un pseudonyme : Habib Souaïdia, dixit Sifaoui, est un supporter de celui qui avait déclaré que les intellectuels algériens de gauche assassinés «ont choisi la voie de la confrontation», qu’«ils [en] ont payé le prix» et qu’«ils en fassent des martyrs pour eux» et qui a écrit : «Le monde arabe a besoin de jeter des ponts plutôt que de lister des terroristes.» Evidemment que chez les Arabes, il ne faut pas lister les terroristes : il faut en fabriquer, et même en quantité industrielle pour les besoins de l’idéologie démocratique du chaos et des tragédies. Et même Lahouari Addi, cette imminence grise à Lyon, vous le dit : «Mourad Dhina est un Erdogan algérien, il défend un islam compatible avec les droits de l’Homme et la démocratie.» Si c’était le cas, alors tu te demanderais pourquoi il n’écrit pas ces beaux chapitres en France ? Il s’agit certainement d’une production réservée aux indigènes, comme son compagnon Mesli de l’organisation Al-Karama (que tout le monde connaît maintenant) qu’Amnesty International a confectionné spécialement pour les «Arabes».

Tu vois bien que les «droits de l’Homme» sont à géométrie variable, et c’est pour ça que la parle-men(t)-taire européenne Arena déroule le tapis rouge, même en visioconférence, à cette organisation dont l’un des leurs, le Dr Al-Nuaimi, cofondateur de leur multinationale des droits de l’Homme, a été désigné le 18 décembre 2013, expressément comme «terroriste international» par le Trésor américain. Finalement, voilà le nouveau critère pour la délivrance des agréments aux associations : avoir en son sein un terroriste international.

Il n’est pas beau le Hirak de François Gèze en Algérie, ce supporter du détenteur du chemin de la vérité, avec fermeté ? Il chauffe les foules sur France 24, comme au bon vieux temps, et distribue aux étudiants et aux enseignants ses tracts gratuitement en Algérie, par le canal de ses collègues de Cairn.info. Il se tuerait à la tâche pour donner quelque cohérence aux propos de ces prétendus officiers libres, nuls et cupides, révoltés par le comportement de leurs chefs à Alger, comme le dévoile le mail codé reçu par fax par un journaliste algérien en novembre 2002. Serait-il connecté, toujours par câble, au conseiller des rois de père en fils de l’Ouest, pour écrire ou réécrire que «si nous sommes parvenus pour le moment à les surmonter (les difficultés, ndlr), c’est bien grâce à l’action efficace d’A. André sans le concours duquel le volet médiatique essentiel n’aurait pas pu être exécuté au moment idoine» ?

Ah ! Comme elle est belle la danse de la Tartine à la banane de Souaïdia version Gèze, exposée par le prix Nobel du coup de laser dans sa vidéo du 18 mars 2021 ! Voilà donc une partie du fil conducteur tissé autour du peuple algérien, entre les tenants de la politique du Kamis-Paris-Rabat.

C’est Marlène Schiappa (en corse : skjappa) qui aurait pu marier dans sa mosquée ces deux amoureux de l’Algérie et de son peuple au lieu de nous bourrer les oreilles avec ses prêches politiques tournés vers La Mecque. Elle peut même envisager un mariage à trois, en y associant «l’informateur-moustache» Ihsane El-Kadi, ce Super Mario de l’information, dont les tenants de la manette de jeux ne sont pas tous voilés.

El-Kadi aurait pu au moins, avant de traiter Ahmed Bensaada de barbouze dans son émission en date du 16 mars 2021, faire un brushing à sa moustache, comme je l’avais suggéré à José Bové dans mon «Parlement européen en ordre de bataille contre l’Algérie», et l’enrober de gel pour cacher les micros de la police politique de sa radio (M) et de son site Maghreb (Momo), implantés au-dessus de sa lèvre mécanique supérieure. Ahmed Bensaada, barbouze dit-il, on aurait pu répondre simplement que c’est «celui qui le dit qui l’est». Mais comme tout le monde le sait : ce Super Mario El-Kadi court dans les canalisations d’égouts et obéit aux détenteurs de la manette de jeux sur le dos du peuple, nous sommes appelés à l’amener à regarder au moins le nom qu’il porte. En effet, le nom d’El-Kadi (ou El-Cadi) le renvoie au Xe siècle, où ses aïeux étaient souvent chefs de la police, gouverneurs de ville (la famille des Ali-Burhan à Boukhara de 1102 à 1238, les Abbadides de Séville de 1023 à 1091, les cadis de Valence, Murcia, Malaga, Jabla, Tripoli, Tyrós ou encore Diyarbakir), contrôlant l’administration, nommés diplomates ou ministres. L’accès aux postes administratifs et politiques leur était ouvert sous les dynasties des Mamlouks (1250-1517), des Timourides (1370-1506) et des Seljouks (XIe-XIIIe siècles).

Durant la colonisation, les cadis (El-Kadi ou El-Cadi) officiaient directement sous la responsabilité des autorités coloniales françaises et faisaient partie du maillage politique de la colonisation, assurant une gestion administrative ségrégationniste. En effet, les Français dépendent exclusivement de l’administration française, alors que les indigènes sont administrés par les Caïds, Cadi et autres Moqadem.

Momo, tu veux un schéma de la «race» des collabos ? Sans attendre, et contrairement à ce juge et partie d’en rire, de la désinformation puisée dans son circuit de reptations de la politique, le militant Rafaa, lui, te propose un aperçu sur l’une des filiales «halal du Hirak de cette radio M, au plateau bancal, du détournement de près d’un million d’euros sur le dos de la solidarité avec les orphelins en Algérie : https://www.youtube.com/watch?v=tFzY4i2vSa4&t=1s.

On ne mélange pas les torchons et les serviettes, et lorsqu’on parle on n’éructe pas, sous couvert des droits de l’Homme et de la démocratie. La preuve que l’usage de masques doit être obligatoire, non seulement contre le coronavirus, mais aussi contre la mauvaise haleine pestiférant notre atmosphère médiatique et politique.

Nombreux intellectuels algériens lui ont donné des fessées, qui marqueront sa vie de «désinformateur professionnel», blanchisseur de la politique du kamis et acteur de la démocratisation du terrorisme international dont il se rappellera à vie. Il a même été badigeonné avec la crème du variant de la pandémie virale «complotiste» par Amar Djerrad, lequel n’a pas lésiné sur le verbe pour le qualifier de celui qui veut faire passer «des excréments pour de la pâtisserie». Qui peut supporter une telle appellation ? En dehors des reptiles en mouvement dans la bouse et les canalisations coloniales.

Aux graves accusations de financement pas «halal» de sa radio et son tentacule Maghreb Emergent, lancées par les pouvoirs publics en Algérie, il brandit le dépôt de plainte comme arme de défense, refrain produit dans les laboratoires néocoloniaux d’exportation de la démocratie et usé par le gang à la banane. Il n’a pas de bilan financier de son entreprise de fake-news à produire pour nous convaincre et répondre à la question d’Amar Djerrad sur ses sources et ses ressources. Du coup, nous sommes obligés d’aller fouiller dans les coins de la Toile pour découvrir que dans la banque anonyme des bisounours, 81 inconnus ont glissé à Super Mario la somme 5 545 euros, au 5 avril 2016 pour des besoins estimés à 5 000 euros. En même temps, ils détaillent un peu plus leurs besoins en investissements correspondant à une somme totale de 12 300 euros pour cette année. Trouve l’erreur comptable pour une radio aux idées canalisées qui «fourmillent dans leurs têtes (et, disent-ils, elles sont nombreuses !)».

Ce n’est pas tout, puisqu’on apprend de la part de Super Mario lui-même qu’à l’été 2015 l’Union européenne (en ordre de bataille contre l’Algérie) lui a branché une bourse (et pas deux), gérée par l’agence française de coopération CFI. Avec cette bourse voilée, ce marchand de sommeil de la désinformation écrit sur cette page : «Revigorée par cette force financière, Radio M poursuivit son épopée, plus déterminée que jamais à gagner un maximum de nouvelles oreilles.» On n’en saura pas plus sur la cuisine du barbouze qui demande aux auditeurs de «fermer les yeux…» pour les accompagner vers le chaos des «printemps des Arabes en 2011», d’où cette idée qui a germé dans la tête du policier de la démocratie, le juge Ihsane, de créer cette bande sonore du commerce politique du chaos, comme il l’avoue lui-même dans un article que j’ai glané sur la Toile. Et pour preuve, il n’a pas manqué de serrer intensément et très fort dans ses bras le détenu d’opinion de Reporters Sans Ménard (RSM) de Jacques-Marie Bourget.

A ceux qui n’ont pas remarqué que ce plateau médiatique bancal de la clochardisation des citoyens, celui où prêchent les reptiles et les anacondas de la politique, est précisément celui de la recolonisation de l’Algérie.

Pour clore, et tenter de faire court, j’aimerais que le gouvernement français, qui s’apprête à se délocaliser en masse à Alger, entre le 10 et 11 avril 2021, avec pas moins de neuf ministres (dont celui de la Défense et de l’attaque, mais surtout le Premier «casse-tête» d’entre eux), explique pédagogiquement à Houari Addi et à ses potes qu’ils vivent sous le coup de la déchéance de la nationalité en France, juste par décision de l’autorité publique sur le fondement des articles 25 et 25-1, l’article 23-7, l’article 27-2, l’article 23-8 du Code civil. C’est pour cette raison qu’on s’interroge sur le son émis par ces mégaphones singulièrement dirigés vers Alger, qui ne demande qu’à rattraper les pays démocratiques en termes de législation publique.

Ah, l’indigénat quand tu nous tiens !

Le dimanche 28 mars 2021, la France s’est encore occupée de l’Algérie et a chauffé les foules sur France 5.

B. S.

Comment (6)

    DZ
    2 avril 2021 - 8 h 27 min

    Voilà à quoi nous sommes réduits, avec ces « dimoucrates » à la solde des monarchies, de Sifaoui et de François Gèze.
    C’est intéressant de voir les liens entre les islamistes, Momo, Paris et ces journaleux à Alger qui brandissent la démocratie et les droits de l’Homme pour détourner les yeux des citoyens des véritables enjeux mafieux contre le pays.
    C’est aussi sympa d’apprendre que la nébuleuse est entretenue par Paris et le makhzen.
    Continuons à danser, d’ailleurs ils nous applaudissent sur les chaines françaises, marocaines et israéliennes.

    Elephant Man
    1 avril 2021 - 20 h 01 min

    Excellente contribution.

      Anonyme
      1 avril 2021 - 23 h 23 min

      On l’avait deviné ????????

    Belveder
    1 avril 2021 - 9 h 43 min

    Ce Monsieur insignifiant du reste va finir par vous remercier de lui accorder au tant d importance
    J ai vu son intervention il y a quelques jours lui et Aboud H sur AWRES TV le meme bla bla depuis les années 90
    le presentateur les chauffe et eux se dechainent surtout sur «  » l institution Armé en Algerie » »
    Que des esprits faibles en 2021 les suive encore on ne peut rien y faire

    Anonyme
    1 avril 2021 - 8 h 12 min

    Juste un petit commentaire sur une phrase qui mériterait quelques détails. En quoi le torchon de l’insignifiant Souadia est « une entreprise de maintenir l’Algérie sous le joug de la métropole »?? Un coup de poignard, une manipulation dégueulasse, sans doute, mais maintenir « l’Algérie sous le joug de la métropole » avec un livre d’un analphabète bilingue c’est le degré zéro du complotisme…

    Galoufa-attrape-les-chiens
    31 mars 2021 - 21 h 53 min

    On sait tout ça, seuls les mots et le style changent. Que faire pour nos enfants, dès aujourd’hui pour demain ? Laissons hier à hier. Il faut des solutions, il faut avancer. Les marasmes sont là et l’Algérie va mal.

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