Algérie-Mozambique : création d’un Conseil d’affaires pour le renforcement de la coopération économique

La Chambre algérienne de commerce et d’industrie (Caci) et la Chambre mozambicaine de commerce ont signé lundi une convention portant création d’un conseil d’affaires algéro-mozambicain visant le renforcement de la coopération entre les institutions des deux pays dans les différents domaines de commerce et d’investissement, rapporte l’APS.

Selon un communiqué diffusé sur la page Facebook de la Caci, la cérémonie de signature, tenue par visioconférence, s’est déroulée en présence de la directrice générale de la Caci, Ouahiba Bahloul, du président de la Chambre mozambicaine de commerce, Juliao Dimande, de l’ambassadeur d’Algérie en Mozambique, Mohamed Meziane, de l’ambassadeur du Mozambique en Algérie, Carvalho Muaria, ainsi que des représentants des ministères du Commerce et des Affaires étrangères.

La signature de cette convention s’inscrit dans le cadre de la redynamisation de la diplomatie économique à laquelle a appelé le président de la République et le ministère des Affaires étrangères afin de donner une forte impulsion aux hommes d’affaires en vue du renforcement des relations commerciales et économiques avec les deux pays, selon la même source.

R. N.

Commentaires

    Hmed hamou
    18 mai 2021 - 12 h 20 min

    « redynamisation de la diplomatie économique »
    Après soixante ans de diplomatie de moulins à vent et de fanfare, certes de prestige, on commence enfin à réfléchir à la diplomatie économique, la diplomatie pragmatique… On s’est rendu compte que nos freres africains, notamment les nouvelles générations, de plus en plus cultivées et hautement diplômées, ne croient plus au père Noël, ne croient plus où ne se contentent plus des histoires de grands mères, mais veulent surtout du concret, surtout que l’ offre ce n’est pas ce qui msnque pour eux. Après les occidentaux classiques, il ya les chinois qui s’implantent de plus en plus avec des offres concrètes et de plus en plus alléchantes, ya les russes aussi, les turques, même les moyen-orientaux avec leurs milliards,…sans oublier les africains eux mêmes, même la « petite » Tunisie voisine, avec leurs banques, leurs Télécom, …
    Donc, dorénavant, il va falloir plus que de belles formules « africanistes », des sacs de riz pour convaincre… Nos amis africains, veulent, sans tarder davantage, entrer dans le 21ème siecle de plain pied, ils veulent du savoir, des écoles prestigieuses et des nouvelles technologies… Espérant que mr Rezig, ministre du commerce, et nos ministres des télécom, de l’éducation, de l’enseignement supérieur, des nouvelles technologies,… sauront accompagner notre nouvelle diplomatie économique.

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