Mourir de l’hypothétique Covid viral ou vivre sous l’hypnotique servitude du capital ?

Covid la mort
Le Covid-19 ne tue pas plus que le cancer ou une grippe. D. R.

Contribution de Mesloub Khider – Quoique la mort constitue l’étape finale naturelle de notre vie, elle semble, grâce notamment aux progrès extraordinaires de la médecine, avoir disparu de notre univers mental et de notre perception visuelle. En particulier, dans les sociétés développées où l’espérance de vie ne cesse d’augmenter, où les guerres et les famines ont disparu de leur paysage social (du moins jusqu’à présent car, à la faveur de la récession économique actuelle, la famine comme la guerre risquent de perturber cet ordonnancement paisible existentiel). Ainsi, les limites de la mort ont été considérablement reculées, à tel point que la vie s’apprêterait à tutoyer l’immortalité, selon les vœux de nombreux bonzes amateurs de science-fiction. En effet, la tentation de prolonger indéfiniment la vie enflamme le cerveau de certains scientifiques extravagants, notamment des médecins adeptes de l’acharnement thérapeutique car, pour eux, la mort est devenue inacceptable.

De nos jours, la mort est vécue comme un échec de la médecine et de la société, qui n’ont pas su pérenniser la vie. La mort est devenue un affront à la dignité de l’homme moderne pétri d’orgueil scientifique. Presqu’un scandale, voire une anomalie. Pourtant, hier encore, la mort fauchait des êtres à la fleur de l’âge : la mortalité infantile était très répandue, celle des femmes lors de l’accouchement également fréquente. La mort rythmait le cours de l’existence, elle partageait la vie de nos aïeux à la longévité très brève. Le deuil habitait leur maison dès le seuil de la vie, souvent abrégée par la maladie ou la malnutrition. Les cimetières ceinturaient leur village où étaient érigés comme des monuments au centre du village constamment endeuillé. Les enterrements cadencaient la vie des villageois. La mort, l’enterrement et le deuil réglaient la vie ritualisée de nos prédécesseurs. Ces moments funèbres étaient solennisés. La mort côtoyait amicalement la vie. Toutes les deux cheminaient ensemble à un rythme accéléré, la mort triomphant de la vie, rapidement essoufflée faute de nourriture et de médication.

Depuis plusieurs décennies, tous ces rites funèbres avaient disparu du paysage social. La mort était occultée. Elle était devenue un sujet tabou. Dans les villes, la majorité des personnes mourraient incognito à l’hôpital, dans l’anonymat familier, souvent dans la solitude, après avoir été maintenues en survie à l’aide d’appareils médicaux déshumanisés, afin de prolonger éternellement leur vie pourtant morbide. La mort était devenue presqu’une anomalie. Une énigme. Un fantôme, à l’existence irréelle tant elle avait disparu de l’univers mental d’une société où l’homme se croyait immortel.

Puis, soudain, avec l’apparition de la pandémie du Covid-19, malgré la faiblesse de sa létalité (0,03%), les Etats et les autorités médicales ont ressuscité la mort comme spectre épouvantail dans le dessein de terrifier les vivants pourtant en bonne santé, terroriser les populations à l’espérance de vie jamais atteinte dans l’histoire de l’humanité.

Avec le surgissement de la pandémie de Covid-19, tout se passe comme si les médias aux ordres avaient découvert soudainement que l’homme est mortel. Aussitôt, la mort avait commencé à envahir l’espace public, à pénétrer dans les foyers via les écrans plasmas. Chaque jour, à l’heure de passer à table, en guise d’hors-d’œuvre, les chaînes de télévision nous servent sur leurs plateaux un décompte des morts du Covid-19. Or, comparativement aux multiples décès provoqués par des maladies autrement plus graves et invalidantes, ces morts «covidatoires» sont dérisoires. La preuve par les statistiques de la mortalité mondiale.

Chaque année, plus de 60 millions de personnes décèdent dans le monde. L’année 2020, le Covid-19 n’aura pas bouleversé le chiffre de la mortalité mondiale. La mortalité du Covid-19 est inférieure à 0,03%. Pourtant, à lire et à entendre les autorités gouvernementales et médiatiques, le Covid-19 serait une maladie extrêmement dangereuse, capable d’anéantir toute l’humanité. Pour autant, en 2020, les causes principales de la mortalité sont demeurées identiques aux années précédentes.

En revanche, d’autres maladies autrement plus mortelles continueront à s’approvisionner en femmes et hommes fauchés souvent en pleine jeunesse : pathologies cardiovasculaires (18 millions), cancers (9 millions de morts par an), famine (9 millions de morts par an), pollution, broncho-pneumopathies (3,5 millions), infections respiratoires hors Covid (2,5 millions, dont 600 000 pour la grippe), tuberculose (1 million), paludisme, Sida, hépatites, accidents de la route, guerres, etc. Pour un serial killer, le Covid-19 est un gentil meurtrier comparé à ses congénères pathologiques, notamment le cancer. Qui plus est, comme le Covid-19 tue principalement des personnes avec une espérance de vie déjà basse, cette année il n’aura provoqué pour l’instant aucune surmortalité. La moyenne d’âge des patients décédés avec le Covid-19 est de 81 ans. Or, cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.

La finitude, la décrépitude, l’incertitude font partie de la condition humaine.

Une chose est sûre : dans la vie, nous avons 100% de risque de mourir. Néanmoins, la bonne nouvelle est que nous avons 99,97% de chance de ne pas mourir du Covid-19. En revanche, aujourd’hui, en 2021, par la grâce du capitalisme pathogène et destructeur, nous avons 100% de risque de mourir socialement en dépit de notre bonne santé professionnelle et, du fait de l’effondrement programmé de l’économie, de mourir de faim. Si le Covid-19 a 0,03% de chance d’embraser et de terrasser le corps des personnes âgées et vulnérables en quelques jours, le capitalisme, lui, nous tue tous, à 100% à petit feu durant toute notre pathologique existence vécue sous sa dominante «civilisation» destructrice. Et actuellement, il nous assassine, quoiqu’en bonne santé, à un rythme industriel, de manière massive : par la destruction de nos moyens de subsistance (fermeture des entreprises), notre mise à mort professionnelle (ce viral chômage pandémique), et, dans les pays du Tiers-Monde, par la désagrégation du pouvoir d’achat drastiquement réduit et par le renchérissement des prix des produits de première nécessité et par la dévaluation monétaire.

Préférerions-nous attraper l’alzheimer ou le cancer (ou d’autres pathologies létales) qui dévorent graduellement, durant des années, nos cellules somatiques ou «neuronales», quel que soit notre âge ou notre santé, ou le Covid-19 qui étouffe brutalement notre corps en quelques jours, quand on est seulement très âgé et extrêmement malade, autrement dit personne à risque ?

Devrions-nous nous inquiéter de la santé des personnes âgée au crépuscule de la vie ou du destin social de la jeunesse à l’aube de la vie, jeunesse source de la bonne santé économique ?

Devrions-nous craindre une hypothétique maladie dont l’âge des décès est de 81 ans, ou la mort sociale certaine provoquée par la récession économique qui emporterait la majorité de la population active en très bonne santé ?

Une chose est sûre : quand la peur de la mort s’empare de la vie, la vie devient un cimetière existentiel. Quand la vie est sacrifiée pour éviter de ne mourir jamais du Covid-19, c’est que la société a déjà creusé sa tombe.

Depuis l’aube de l’humanité, ce sont toujours les parents (les aînés) qui se sacrifient pour leurs enfants. Or, avec le crépusculaire capitalisme sacrificiel, aujourd’hui, avec sa doctrine habituelle de «bouc-émissairisation», il se livre à l’immolation de la jeunesse, cyniquement au nom de la santé publique. Sacrifier les jeunes à la santé des vieux est la dernière invention macabre du capitalisme sénile, vampirique, qui se nourrit de la sueur des travailleurs et, aujourd’hui, de leur mise à mort sociale programmée.

A lire et entendre les médias, le capitalisme, connu pour son légendaire pacifisme, dans un sursaut d’humanité dont il est coutumier, déplorerait toute son énergie sanitaire pour protéger le monde du Covid-19. Faudrait-il leur rappeler que le virus capitaliste est plus létal que le Covid-19, comme il le prouve actuellement avec son démentiel programme d’extermination économique et sociale de l’humanité. Le capitalisme semble renouer avec ses vieux démons : appliquer à l’ensemble de l’humanité sa solution finale sociale et économique.

Doit-on craindre mourir de l’hypothétique Covid-19 viral ou vivre sous l’hypnotique servitude du capital dangereusement létal ? Doit-on s’effrayer d’une maladie au taux de mortalité de 0,03% ou s’horrifier du virus capitaliste à la létalité économique et sociale totale, à la gouvernance totalitaire ?

Sous couvert de l’érection de la santé en valeur suprême, l’artificielle civilisation capitaliste sacrificielle défend en vérité la puissance de la suprême valeur, autrement dit la valorisation du capital, la vie du dieu capital, au prix de la mort du travail.

Le capital veut faire accroire qu’il sacrifie l’économie sur l’autel de la santé. Derrière l’ordre sanitaire règne en vrai la gouvernance sécuritaire. Derrière le diktat médical, soucieux prétendument de la protection de notre santé, se dissimule la dictature du capital, inquiet pour la santé de sa valorisation. Après avoir sacrifié notre système de santé, le capitalisme nous prive maintenant de vie sociale. Et pour soigner ses carences sanitaires, il nous prive également de libertés par l’inoculation du virus du confinement pénitentiaire. Confinement pénitentiaire plus destructeur que le Covid débonnaire.

La santé est une affaire trop importante pour être laissée à la médecine vénale et à la gouvernance létale du capital. Avec les médecins et les politiciens, nous avons droit aujourd’hui à l’ordre sanitaire qui confine au terrorisme médical et à l’Etat totalitaire qui affine son omnipotence sécuritaire.

Devons-nous craindre un virus dont on guérit en moyenne dans 99,97 % des cas, ou une maladie incurable (cancer, Alzheimer…) qui nous condamne à la sénilité et à la dépendance pendant des années ou, plus gravement, le virus du capitalisme sénile qui anéantit actuellement toute vie sociale, réduit à la paupérisation absolue des centaines de millions de personnes du fait des destructions économiques planifiées par le grand capital financier qui veut se refaire une nouvelle jeunesse sur notre mort cyniquement planifiée ?

«Mourir pour des idées, l’idée est excellente», chantait Brassens. Mais l’idée de mourir est encore plus excellente, car l’idée de mourir est plus traumatisante que la mort elle-même. Voilà le motif du terrorisme viral inoculé par voie médiatique dans le corps social par les gouvernants, avec leur propagation de l’idée de mourir. Dès lors que les dirigeants font croire aux populations qu’elles sont en danger de mort, ils peuvent les gouverner par la terreur, les manipuler à leur guise, faire de leur vie un enfer étant entendu qu’elles sont déjà socialement enterrées, confinées à une existence funèbre, par ailleurs shootée aux vaccins ARN-m, cet élixir génique douteux, inoculé dans le corps social pour le grand bénéfice des entreprises pharmaceutiques qui se refont ainsi une insolente santé financière, gage d’une longue vie du capital.

M. K.

Comment (23)

    Anonyme
    28 juillet 2021 - 8 h 34 min

    @ Le Chat Botté
    26 juillet 2021 – 22 h 01 min

    « En effet la 2eme Guerre Mondiale, et même la 1ere je dirais (PANDÉMIE DE LA PESTE NOIRE), avait pour commencement une certaine épidémie qui avait envahie presque toute l’Europe » … dites-vous.

    J’ai l’impression que vous n’a pas bien suivi le cours de ces guerres du XX siècle avec une pandémie apparue 600 ans plus tôt .

    En 1348, apparut une pandémie, après d’autres, qui frappa le monde médiéval avec une violence inouïe. On l’appellera effectivement la « Peste noire » dont Ibn Khaldoum écrira dans le Livre des Exemples : « Une peste terrible vint fondre sur les peuples de l’Orient et de l’Occident ; elle maltraita cruellement les nations, emporta une grande partie de cette génération, entraîna et détruisit les plus beaux résultats de la civilisation ».

    A l’origine de cette pandémie, la Peste noire, on trouve un bacille, la bactérie Yersinia pestisr. Ce bacille infecte en premier lieu de petits rongeurs, notamment les rats, qui contaminent ensuite les êtres humains par l’intermédiaire de leurs puces.

    Evidemment on n’enseigne plus Ibn Khaldoum dans nos écoles ni le rôle et l’importance de la « médecine arabe » (qualifiée d’arabe parce qu’à l’époque de l’âge d’or de la civilisation islamique médiévale, les grands médecins originaires de divers pays ne s’exprimaient qu’en arabe qui était la langue des sciences et de la communication). Ce qui fait que ces savants « arabes » vont instaurer à partir de la traduction des textes de savants grecs, en particulier Galien et Hippocrate, une nouvelle médecine fondée sur l’observation et l’expérience, prémisses d’une démarche basée sur les faits, qui va ainsi actualiser et moderniser la médecine, et partant la faire progresser .

    Il n’y a pas eu de pandémie durant la Seconde guerre mondiale, ni durant la Première guerre mondiale d’ailleurs. L’épidémie qu’on a appelée en France la «Grippe espagnole » a débuté en 1918, au moment de l’Armistice. C’est un virus grippal de type H1N1. Elle a fait plus de 50 millions de victimes partout dans le Monde. Elle se transmettait comme le covid 19 actuellement, par voie aérienne.

    Il n’est pas inutile de se souvenir de la parution de l’épidémie du choléra en Algérie au cours du mois d’août 2018, avec son lot de victimes mais aussi de commentaires alarmistes et de rumeurs ravageuses.

    S’il n’est pas certain que l’histoire se répète, il est sûr que les pandémies, depuis la Préhistoire, se sont répétées maintes fois. Et si la folie guerrière des hommes fait d’innombrables victimes, il est des ennemis infiniment petits qui ont annihilé au cours des âges des populations humaines entières. Et cela quelque soit le système politique mis en place par la gouvernance humaine.

    Quand on assiste à l’effondrement de certains systèmes de santé, nos gouvernants devraient s’en souvenir et définir une éthique médicale nationale et solidaire du soin et du patient. Une autre leçon tirée de la crise: la nécessité impérative d’une coopération internationale dans le domaine de la santé sous l’égide de l’OMS ou d’autres organismes indépendants et intègres pour la prévention, le traitement et les vaccinations.

    Si la mort constitue l’étape finale naturelle de notre vie, elle n’a aucunement disparu de notre univers mental ni de notre perception visuelle. Surtout pas à ceux dont la mission est d’assister les patients qui luttent pour vivre. Encore moins pour leurs proches quand on mesure les souffrances qu’endurent certains patients victimes de cette soit disant grippette.
    En tous les cas, cette pandémie sournoise et imprévisible qui s’est propagée en quelques semaines a favorisé des attitudes irrationnelles, la peur, la paranoïa, et le déni. Comme au Moyen-Age!

    Le chat Botté
    26 juillet 2021 - 22 h 01 min

    Quand on dit la vérité il n’est pas utile de se rappeler quoique ce soit disait M. TWAIN.
    Ils ont tellement menti à l’Humanité ses dernières décennies que leurs mythes sont devenu une réalité absolue.
    Pourtant il n’y a qu’à revoir l’Histoire de la 2eme guerre mondiale avec ses similitudes qui sont tellement frappantes et évidentes qu’il n’est plus utile d’argumenter sur cette mascarade de virus de la pandémie qui à l’origine était concocté et mise à jour dans les Laboratoires US (en 2001juste avant la déclanchement et l’envahissement de l’Irak) au Maryland prés de Washington DC et qu’ils voulaient à tout prix imputer aux Chinois de Wuhan.
    En effet la 2eme Guerre Mondiale, et même la 1ere je dirais (PANDÉMIE DE LA PESTE NOIRE), avait pour commencement une certaine épidémie qui avait envahie presque toute l’Europe et mis certains pays à genou avec en plus une crise économique majeure qui n’avait pas absorbé toutes les carences et les insuffisances budgétaires de certains pays à commencer par l’Allemagne et ses pays limitrophes.
    La suite tout le monde la connait, le déclanchement de la Seconde Guerre Mondiale par le troisième Reich d’Adolphe Hitler et toute son armé qui voulait à tout pris éradiqué les institutions financières, qui soit dit en passant, étaient à l’origine de la crise en refusant catégoriquement d’aider financièrement les compagnies qui étaient au bord de la faillites budgétaires pour absorber cette crise de main d’œuvre criante et la famine qui s’en est suivie.
    Donc comme quoi l’Histoire se répète sans qu’en se rende compte.

    Le TEDON D'ACHILE
    25 juillet 2021 - 19 h 16 min

    C’est le vérité absolue ! Bravo et mille fois MERCI à l’auteur de l’article. Chapeau bas… AWSOME !

      Abdallah Oumeziane
      26 juillet 2021 - 9 h 04 min

      Tout le raisonnement est faux et l épidémie a prouvé que la puissance du capitalisme a des limites ! Les maîtres du monde auraient pu se passer de cette épidémie qui révèle les limites de leur puissance et les a forcés à prendre la mesure extrême de mettre l économie de marché en standby pour combattre cette épidémie. Cet article prêche la mort pour justifier le refus de la vaccination et des mesures profilactiques destinées à éviter que le Covid-19 se répande . Il faut bien se défendre contre ce virus et cette défense ne peut être que collective, qu on soit de droite ou de gauche, pro capitaliste ou anti capitaliste. La liberté a des limites et mettre en danger sa vie et celle des autres, lorsque la source du danger est clairement déterminée, est irresponsable, quelque soient les contorsions intellectuelles qu on emploie pour justifier cette étrange conception , fasciste en plus, de la liberté, qui prend pour slogan “ vive la mort”!

    benchikh
    25 juillet 2021 - 18 h 15 min

    c’est juste!!! le système capitalisme subit des crises de temps à autre ,on a demandé à Adam Smith le Fondateur du Capitalisme et si on a des crises,, Adam a répondu on aura la main invisible qui va redresser cette crise. Aujourd’hui on essaye les » vaccins « pour s’en sortir d’une crise économique .

    lhadi
    25 juillet 2021 - 15 h 25 min

    On se hasarde à utiliser plus de mots que nécessaires pour raconter plus qu’on ne sait sur un domaine qui associe le droit, l’économie, l’histoire, la sociologie et la science politique.

    La polymathie ne peut s’acquérir qu’au terme d’une grande érudition.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    anonyme
    25 juillet 2021 - 14 h 15 min

    merci pour cet article

    Elmokrani
    25 juillet 2021 - 12 h 56 min

    (…) La pandémie est une menace à la sécurité nationale comme planétaire. Le conseil de sécurité nationale la considère comme telle.

    Anonyme
    25 juillet 2021 - 12 h 09 min

    Si ca ne tenait qu au capitalisme, il n y aurait eu jamais de confinement, et aurait le personnes agées et malades à leur sort et donc pluss de pensions ni d´assurances!!

    Au contraire, ce sont plutot les idées socialisantes qui ont permis aux personnes agées et malades de survivre au codid-19.

      Anonyme
      25 juillet 2021 - 12 h 54 min

      Exact

    Belveder
    25 juillet 2021 - 10 h 35 min

    (…)
    AP lui-même publiait un appel a la mobilisation contre ce fleau qui endeuille des familles algeriennes tous les jours
    ou vit l auteur de l article,,,??
    se bat il pour trouver de l oxygene??
    est il vacciné et depuis quand??
    sa familles est a l abris??

    Anonyme
    25 juillet 2021 - 10 h 10 min

    Et voilà encore les complotistes qui reviennent à la charge. Dire que le Covid-19 n’est rien au moment où des centaines d’algériens meurent tous les jours est indécent. Un peu de respect aux centaines d’algériens qui ont perdu des proches parfois très jeunes

      bds
      26 juillet 2021 - 10 h 14 min

      quand on est a court d argument on traite les gens de complotistes c est bien connu . vous etes dans une strategie vraiment pas convaincante et qui prouve ces limites

        Anonyme
        27 juillet 2021 - 13 h 27 min

        Mes arguments se trouvent dans toutes les revues et tous les livres scientifiques, pas sur les pages fb de Jean marie Bigard ou de Francis Lalanne… Réveilles-toi…

    ferial
    25 juillet 2021 - 9 h 07 min

    Wahoo enfin un article sensé, nous nous avons perdu la raison, abreuvés et formatés par ces médias partisans. Depuis le début il parait évident que ce sras cov 2 n’est qu’une grippe.
    Pourquoi veulent-ils piquouser la planète entière sachant que les vaccins contre la grippe n’ont jamais marché et que les vaccinés attrapent la grippe presque tous les ans malgré leur « vaccin » ???
    Nous sommes 99.7% de bien portant dans le monde !
    Leurs desseins sont autres…
    https://t.me/trottasilvano/3836

    Elmokrani
    25 juillet 2021 - 0 h 14 min

    He who knows not, and knows not that he knows not, is a fool. Shun him.
    He who knows not, and knows that he knows not is simple. Teach him.
    He who knows, and knows not that he knows, is asleep. Wake him.
    He who knows, and knows that he knows is wise. Follow him.
    Sir Richard Burton, Anonymous Arabic Proverb, (aussi attribué à Confucius ),

    mais comme COVID-19 le grand philosophe D. Trump l’attribue aux chinois,qui eux-mêmes attribuent aux capitalisme-libéral-prédateur. Le devançant d’un siècle,le savant soviétique,Staline attribué la génétique, fondement de tous ces bio-zanteries à là science bourgeoise et décadente de l’Occident et en voit tous ces académiciens aux goulags refaites leur éducation prolétarienne.
    …mais,but, adnaka , oualakine …
    que le proverbe (pas covi19) l’ABC du sage savant philosophe soit chinois ou arabe ou les deux ,le vrai « … Ta falsafa fa mata = A trop philosopher, on n’en meurt » est arabe, pas sage,pas savant,pas philo. mais scientifique:  » vaccine toi ou crève  » virus capitaliste ou prolétaire c’est kifkif.

      Ailier Dekrich
      26 juillet 2021 - 18 h 47 min

      La citation est de Khalil Ibn Ahmed el Farahidi el Omani(718-781)l’inventeur de la grammaire et de la prosodie arabe, maître de Sibaouyihi, et auteur du premier dictionnaire arabe-arabe , en 8 tomes édition imprimée . kitch Al Ain. Rendez à Khalil ce qui appartient à Khalil

    Vroum Vroum ????,
    24 juillet 2021 - 22 h 29 min

    Merci AP et au Journaliste pour cet Article , je partage totalement …
    Ce n’est pas sur le Monde ou BFM ou New York Times qu’on risque de lire un Article pareil. !

    Ghedia
    24 juillet 2021 - 20 h 09 min

    C’est ce que je disais, sur ce site même, il y a un an, c’est à dire au début de cette pandémie. Mais, beaucoup de gens, de commentateurs en fait, m’avaient traité de charlatan…
    Oui, cette infection virale est toujours largement médiatisée. Comme le dit un adage bien de chez nous  » el mendba kbira, ou el mayet far  » avec tous mes respects aux victimes de cette pandémie qui sont passés de vie à trepas.

      bds
      24 juillet 2021 - 21 h 34 min

      les gens qui on raison trop tot on souvent tort ghedia . la campagne de vaccination actuel l industire pharmaceutique me fait penser a l industrie de la cigarette ; pendant une 50 d années tous ces lobby de la cigarette avec leurs scientifique et leurs rapport bidonné . qui nous assurer droit dans leurs botte a grand coup d effet mediatique en passant par tout les ministeres de la santé autorité publique homme politique .leurs messages etait que le tabac ne nuit nullement a la santé bien au contraire un cancer du poumon impossible pour eux . si vous n etiez pas de leurs avis ou alors vous vous posiez les bonnes question vous etait traiter de complotiste . et maintenant avec le recul on s appércoit des degats que cela a engendré sur la santé de millions d etre humains . sans compter les coups financiers pour les gouvernements et a dire nous le contribuable ;
      pour finir un homme plus il est civilisé et plus il est corrompu ;*
      bien a vous

      Anonyme
      25 juillet 2021 - 10 h 13 min

      Mr Ghedia certains vous ont traité de charlatan (ce n’est pas mon cas) mais d’autres (y compris moi) ont clairement démontré que beaucoup de vos affirmations étaient fausses

        Ghedia
        25 juillet 2021 - 17 h 16 min

        Bien au contraire, beaucoup de mes affirmations se sont révélées justes : il n y a pas eu autant de morts que prévues par les études bidon basées sur des algorithmes. Cela fait presque 18 mois que nous affrontons cette crise sanitaire et le nombre de décès reste relativement faible dans notre pays pour la simple raison que notre population est jeune. Nous sommes, certes, un peu dépassés par les événements actuellement mais cela est du à l’insuffisance de notre système de santé que nous avons maintes fois dénoncé et à l’incivisme de nos concitoyens qui ne respectent pas les simples mesures de distanciation sociale. Quant aux vaccins, il est permis de douter de leur efficacité et surtout de leur innocuité. Ils sont peut-être eux-mêmes pourvoyeurs de variants.

          Anonyme
          25 juillet 2021 - 22 h 37 min

          Imaginez une seconde le nombre de morts sans confinement, sans masque, sans distanciation, sans fermeture de tous les lieux recevant du public durant des mois!! Malgré toutes ces mesures draconiennes la mortalité a augmenté en 2020 de 9% en France, autour de 15% en Espagne, Belgique, Pologne, Bulgarie. 13% en Tchéquie, Slovénie, Lituanie, Royaume-Uni et Italie etc.. voilà encore ce qui contredit chiffres à l’appui (chiffres officiels faciles à trouver) votre discours…

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