Les Etats-Unis et Israël sèment la guerre partout pour récolter leur «prospérité»

Etats-Unis Israël guerre
Les oligarques américains envoient les pauvres soldats au feu. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – Quand un pays s’est bâti sur le crime, il peut s’attribuer tous les superlatifs moraux et vertus démocratiques existants, il ne demeure pas moins criminel, hier comme aujourd’hui, devant l’Histoire.

Les frontières des Etats-Unis sont extensibles, et surtout mondialement flexibles. De facto, selon les Américains, la terre entière leur appartient. Rien n’arrête leur irrésistible besoin d’expansion. Leur volonté d’étendre leur empire, indispensable à la valorisation de leur capital, à la pérennisation de leur domination mondiale.

A l’instar de l’Etat sioniste d’Israël dont la Constitution ne fixe pas les limites du territoire. Ce qui est conforme au projet sioniste d’expansion inexhaustible. Et conforme à la déclaration de son fondateur, David Ben-Gourion, «Il ne s’agit pas de maintenir un statu quo. Nous devons créer un Etat dynamique, orienté vers l’expansion.»

Comme les Etats-Unis à la légitimité nationale et la suprématie internationale unanimement dénoncées et contestées car fondées sur la colonisation génocidaire et l’expansion permanente, l’entité sioniste, consciente de son illégitimité historique et de sa frauduleuse existence, est affectée par un syndrome singulier caractérisé par la pathologie guerrière, l’affrontement permanent.

A l’exemple de l’Amérique condamnée à neutraliser l’émergence d’une puissance rivale pour maintenir son hégémonie mondiale, Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées. Pour des raisons à la fois exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence (nous parlons des populations arabes et non de leurs respectifs Etats fantoches ralliés au sionisme). Ces pays ne font qu’aiguiser leurs armes pour hâter la destruction d’Israël. Endogènes : car sa population juive hétéroclite maintient sa factice cohésion «nationale» que sous le feu de la guerre permanente. Aussi, dans l’hypothèse d’une résolution d’instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre fragile interne s’effriterait-il aussitôt. Inévitablement, les dissensions intrinsèques entre les différentes communautés juives hétérogènes éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée de «peuple élu» concentre des habitants-geôliers qui n’ont rien de commun, sinon la religion hébraïque, mais surtout leur doctrine raciste : le sionisme.

Pour revenir aux Etats-Unis, déjà au début des années 1960, le défunt président américain John F. Kennedy n’avait-il pas déclaré le plus normalement du monde : «Nos frontières aujourd’hui sont sur tous les continents.»

En effet, dans un souci permanent de domination du monde, l’Amérique élargit sans cesse son périmètre d’encerclement des pays à l’échelle du globe (comme Israël et ses ramifications lobbyistes sionistes enserrent plusieurs Etats pour perpétuer et étendre leur suprématie). Au-delà de son territoire, pour sécuriser et pérenniser sa prospère hégémonie, le monde entier est devenu la frontière «naturelle» de défense de ses intérêts. Pour assurer efficacement sa domination et mobiliser diligemment ses troupes, l’Amérique a déployé presque 800 bases militaires dans 130 pays (Israël déploie des milliers de lobbyistes dans les instances gouvernementales et les rédactions des médias du monde entier pour fructifier sa puissance diplomatique et financière).

Et comment les Etats-Unis conquièrent-ils les territoires, dominent-ils le monde ? Par les guerres lucratives ! Telle est la criante réalité de ce pays constamment sur le pied de guerre, en guerre permanente.

Comme l’avait rappelé en 2004 le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Schoomaker : «L’Amérique est une nation en guerre. […] Ce n’est pas un simple état d’urgence ou une crise passagère. C’est notre réalité, […] un avenir de conflits incessants, de combats quotidiens, […] où la paix sera désormais l’exception.» Pour justifier l’état de guerre permanent des Etats-Unis, et surtout l’interventionnisme militaire tous azimuts, il invoquait les menaces récurrentes qui pèseraient sur le pays : «Les menaces sont devenues protéiformes et la guerre menée à distance insuffisante. […] Contre certains ennemis, réseaux terroristes, Etats voyous ou mouvements insurrectionnels, la dissuasion n’a plus prise. Le combat doit être désormais engagé chez l’ennemi, car la simple punition exercée à distance ne suffit pas. Avec ces adversaires, la seule façon d’assurer la victoire est de mettre des troupes au sol, de s’imposer sur son territoire et de les détruire».

Ainsi, rien n’arrête ce pays conquérant et arrogant. Il s’arroge le droit de déclencher la guerre comme bon lui semble. De porter la guerre sur n’importe quel territoire d’un pays souverain. De mener une guerre par pays interposé, comme il l’accomplit actuellement avec l’Ukraine, instrumentalisée par l’OTAN, entraînée malgré elle dans une guerre fratricide, après avoir mené une politique stratégique provocatrice et suicidaire à l’égard de la Russie, mise en œuvre par le gouvernement ultra-nationaliste formé d’éléments fascistes comme Svoboda et le bataillon Azov (celui-ci désormais intégré à l’armée ukrainienne, elle-même désormais passée sous la tutelle du Pentagone).

De manière générale, l’exceptionnalisme américain permet à n’importe quel président, fort du soutien du Congrès asservi et du lobby du complexe militaro-industriel hyperpuissant, de recourir à la force dans n’importe quel pays, sur tous les continents. Comme l’avait déjà rappelé, en son temps, cyniquement, Madeleine Albright, secrétaire d’Etat de Bill Clinton, sur NBC TV le 19 février 1998 pour justifier l’invasion de l’Irak : «Si nous devons employer la force, c’est parce que nous sommes l’Amérique. Nous sommes la nation indispensable. Tête haute, nous voyons plus loin.»

«Pour gagner la guerre, nous devons fusionner tous nos moyens de puissance pour mener une campagne déterminée et acharnée pour vaincre les ennemis qui défient notre mode de vie», avait ajouté le général Schoomaker, lors de sa déclaration déjà citée plus haut. Autrement dit, en vue de maintenir leur prospère hégémonie, neutraliser les puissances émergentes rivales, les Etats-Unis sont disposés à investir des milliards dans le budget de l’armement. Une chose est sûre, le budget militaire des Etats-Unis représente presque la moitié des dépenses militaires dans le monde. Aujourd’hui, il est estimé à plus de 800 milliards par an.

Comment justifient-ils le montant gigantesque de ce budget militaire ? «Par les menaces protéiformes représentées par les ennemis», selon la terminologie polémologique de Washington. En d’autres termes, par la fabrication permanente de nouvelles menaces, de nouveaux ennemis. En effet, pour justifier la reconduction, à plus forte raison l’accroissement, des faramineux crédits militaires auprès du Congrès et des «citoyens», le Pentagone recourt à la fabrication d’ennemi stratégique crédible (le communisme, le terrorisme, l’Iran, la Russie, la Chine, etc.). Voire potentiel ou virtuel. Comme l’avait déclaré l’ancien secrétaire à la défense Donald Rumsfeld, pour motiver le changement de cap de la politique de défense américaine : «Le défi dans ce nouveau siècle est difficile, défendre notre nation contre l’inconnu, l’incertain, l’invisible et l’inattendu. Cela peut sembler a priori une mission impossible. Mais pour l’accomplir, nous devons mettre de côté les vieux modes de pensée et de planification confortables […] afin que nous puissions préparer nos forces pour dissuader et vaincre les adversaires qui n’ont pas encore apparu pour nous défier.»

Ainsi, l’hyperpuissance américaine ne recule devant aucun stratagème paranoïaque pour motiver et légitimer la reconduction du budget militaire, la pérennisation de son hégémonie. En réalité, comme tout le monde s’accorde à le reconnaître, la mobilisation d’un tel trésor de guerre n’a pas seulement pour finalité la protection de l’Amérique, mais surtout la gouvernance du monde, comme l’avait explicitement reconnu Newt Gingrich, ancien président de la Chambre des représentants de 1995 à 1999, dans une fracassante et symptomatique déclaration : «On n’a pas besoin d’un tel budget de la défense pour protéger les Etats-Unis, on a besoin d’un tel budget de la défense pour mener le monde.»

Pour ce faire, les Etats-Unis s’arrogent le droit d’intervention militaire à l’échelle mondiale, en vue de préserver leur domination économique, leur hégémonie militaire, leur suprématie culturelle, comme n’avait pas hésité à le rappeler sans vergogne un officier américain, Ralph Peters : «Le rôle de facto des forces armées américaines sera de maintenir le monde comme un lieu sûr pour notre économie et un espace ouvert à nos assauts culturels. Pour parvenir à ces fins, nous ferons un nombre considérable de massacres. Nous sommes en train de construire un système militaire fondé sur l’information pour exécuter ces tueries.»

C’est ce même officier qui déclara en juillet 2017, bien avant Joe Biden, que le président russe Vladimir Poutine «est comparable» à Adolf Hitler. «Il déteste l’Amérique. Il veut nous faire du mal. […] La Russie est le mal. La Russie est notre ennemi.» En termes plus clairement étatsuniens belliqueux : «Poutine est un ennemi à abattre, la Russie une nation maléfique à détruire.»

En vérité, la stratégie militariste américaine contemporaine ne s’est jamais départie de ses inclinations originelles foncièrement belliqueuses, de ses prédispositions psychopathiques, son atavisme cruel et génocidaire. «Si nous ne gardons pas les vertus barbares, acquérir les vertus civilisées ne nous servira à rien», martelait déjà à son époque Theodore Roosevelt.

L’existence des Etats Unis se fonde sur l’arme de la force, elle-même appuyée par la force armée, source de sa richesse, de son hégémonie. Si, comme l’a écrit Clausewitz, la guerre constitue le prolongement de la politique par d’autres moyens, on peut affirmer qu’aux Etats-Unis, la guerre tient lieu directement de politique.

Pour les Américains, guerre et politique participent de la même logique. Elles visent la même finalité. La guerre constitue les canons de la politique. C’est ce qui s’appelle la politique de la canonnade. Certes, pour distinguer la guerre et la politique, Mao Zedong a écrit : «La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique avec effusion de sang.» Mais cette définition ne s’applique pas aux Américains, pour qui l’effusion de sang tient lieu à la fois de politique et de guerre (leur société n’est-elle pas la plus criminogène au monde. C’est ce modèle «civilisationnel» criminel qu’ils répandent dans tous les pays par l’emprise culturelle qu’ils exercent par leur empire cinématographique et médiatique).

De même, Aristote affirmait que «[nous] ne faisons la guerre qu’afin de vivre en paix» (dans sa formulation latine : si vis pacem, para bellum, «si tu veux la paix, prépare la guerre»). Avec les Américains, cette formule est devenue : «Nous faisons la guerre dans le monde entier afin de vivre richement chez nous en paix.» Depuis plus de cent ans, les Etats-Unis ont déclenché et participé à des dizaines de guerres, notamment les deux guerres mondiales, mais aucune ne s’est déroulée sur leur territoire.

Tout se passe comme si leur territoire, sacralisé par la déclaration d’Indépendance et la Constitution érigée en Bible, ne doit jamais être piétiné et souillé par quelque force étrangère, déstabilisé et désorganisé par quelque évènement militaire. Fondée sur la cruauté atavique raciste d’une idéologie nationaliste belliqueuse et esclavagiste, symbolisée par le génocide des Indiens, les bombardements incendiaires nucléaires des Japonais, le «gazage» au napalm des Vietnamiens, la discrimination institutionnelle des Afro-américains, la torture des prisonniers musulmans lors des dernières guerres d’Afghanistan et d’Irak, la mentalité américaine institutionnelle demeure fondamentalement criminogène et suprémaciste. Aux yeux de n’importe quel citoyen imprégné par cette mentalité, être américain, c’est croire à la supériorité des Etats-Unis, incarnée par son modèle de «démocratie», sa performance économique.

Parce que l’Amérique, pétrie d’un orgueil démesuré, est convaincue d’être l’incarnation suprême de la «démocratie» et de la «modernité», elle se croit investie d’une mission civilisatrice, voire messianique, de sauver le monde contre le «mal», les «démons étatiques totalitaires» ; investie du devoir «démocratique» de propager, même militairement, les valeurs libérales américaines, hissées comme uniques valeurs universelles. Y compris contre la volonté des autres peuples désireux de conserver leurs valeurs locales, leurs traditions nationales. Leur mode vie. Quoi qu’il en coûte ! Quoi qu’il arrive ! Même au prix de l’annihilation de l’ennemi. Tel est le credo de l’Amérique peuplée de citoyens-soldats, ces Elus de Dieu, prêts à livrer la guerre à toutes les nations considérées comme ennemies, des Goyim.

K. M.

Comment (15)

    memona
    9 juin 2022 - 9 h 55 min

    voilà encore les méfaits des yankees ils ont sévi en somalie et ils veulent sévir aussi au mali attention
    https://www.youtube.com/watch?v=5rE7yempdL4&ab_channel=ZackMwekassaMotivation

    Anonyme
    8 juin 2022 - 18 h 55 min

    L Entité Criminelle Sioniste est l Ultime « Bébé Éprouvette » de l OCCIDENTALOCENTRISME » pour pérenniser une Stratégie de la Tension Permanente dans le Monde qui a permis à ces Criminels Occidentaux de bâtir leur puissance économique et financière grâce aux Crises multiformes qu ils ont suscitées chaque fois que les équilibres qu ils ont IMPOSÉS à leur seul Profit allaient être rompus . En face et en ce qui concerne le «  Monde kharabo musulman » il n y a eu que des Traîtrises …..feu Boumediene en a fait l amère expérience : un Gueux le restera même s il est habillé de Feuilles d OR .

    Tin-Hinane
    8 juin 2022 - 18 h 10 min

    Les américains et les juifs ne sont que la créature du Dr Frankenstein, le Dr Frankenstein lui es européen. Il est vrai qu’aujourd’hui ce sont les américains et les juifs qui se montrent les plus agressifs et les plus malveillants, mais n’oublions pas que les américains sont les descendants des européens, ce sont tous les occidentaux qui sont des criminels, il n’y a aucune différence, en tout cas dans le crime, entre un européen et un américain. Quand aux juifs ils sont agressifs et arrogants mais ils ne sont qu’une créature manipulée par les anglais et ce depuis le début. Les anglais trouvent toujours des abrutis pour faire le sale boulot à leur place. Ils sont malins mais la malice a ses limites. Il faut en finir avec cette bande de tueurs psychopathes que sont les occidentaux, il faut leur retirer leur pouvoir qui ne tient que par toutes les complicités qu’ils ont acheté dans le monde, il faut en finir avec eux quel que soit le prix à payer sinon l’humanité continuera à vivre dans les guerres et le chaos car tel est leur programme, tel est leur projet. Les européens et leurs descendants sont des barbares, des vrais barbares c’est à dire qu’ils n’ont aucune humanité en eux, ce sont des délinquants, des déviants et des assassins, il faut mettre fin à leur règne, leur modèle est néfaste pour la famille humaine du monde.

    Elephant Man
    8 juin 2022 - 15 h 26 min

    1. Vous oubliez à l’insu de votre plein gré que ce sont les clolons européens qui ont colonisé l’Amérique et décimé la Population Autochtone les Indiens (Sioux Cheyenne Apache Cherokee Navajo ….) par une colonisation forcément barbare et ethnocidaire.
    Ça vaut pour le Canada bâti sur la colonisation barbare et ethnocidaire du Peuple Autochtone Aborigène.
    Qu’en est-il de la colonisation française en Algérie ?!!!!
    «Quand un pays s’est bâti sur le crime, il peut s’attribuer tous les superlatifs moraux et vertus démocratiques existants, il ne demeure pas moins criminel, hier comme aujourd’hui, devant l’Histoire.» →→→ c’est effectivement le cas de la France.
    2. Les guerres menées sous l’égide des USA se font avec des pays coalisés Européens tout aussi criminels sans dédouaner la responsabilité de chacun (qui ont le droit de Veto à l’ONU) et l’entité sioniste en toile de fond un Détail de l’Histoire :
    article AP « La guerre d’Ukraine révèle un Occident affaibli » et excellents commentaires :
    https://www.algeriepatriotique.com/2022/06/06/la-guerre-dukraine-revele-un-occident-affaibli/
    Je reprends mon commentaire : extrait :
    « …Encore un extrait Diagne Roland Fodé :
    Ce qui se passe au Mali, ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire ou le génocide au Rwanda est possible partout en Afrique. Voilà pourquoi dès 1994 nous écrivions que « toute l’Afrique est potentiellement un Rwanda« . Fermer les yeux, faire comme si cela n’arrive qu’aux autres est une terrible ignorance de ce que le Chancelier Helmut Kohl a déclaré : « Il ne saurait être question de laisser l’Afrique s’industrialiser, l’Occident ne se laissera plus surprendre une deuxième fois; l’Asie lui oppose une sérieuse concurrence aujourd’hui, parce que l’Occident avait été distrait face à son développement » (1987).».
    Roland Dumas ex MAE français qui a déclaré avoir été informé in London de la guerre terroriste en Syrie des années avant que celle-ci ne débute en 2011.
    https://youtu.be/BH9SHxetO1I

      Anonyme
      8 juin 2022 - 17 h 40 min

      Donc la priorite des priorites c est d atteindre notre autosuffisance alimentaire,et de constituer une confederation economique et culturelle nord africaine en premier lieu ,l UMA (Union du Maghreb arabe) est totalement depassee depuis longtemps et n interresse plus personne vue les grands changements regionaux et internationaux dans ce monde devenu si complique et tres complexe…Il est urgent d abondonner ce projet de l UMA et en remplacement creer La confederation economique et culturelle nord africaine…

        Elephant Man
        8 juin 2022 - 20 h 12 min

        @Anonyme….
        Ne rêvez pas et inutile d’extravaguer.
        Bizarre bizarre dans votre « confrérie » il manque la RASD « ÉTONNANT NON ? »….
        Splique nous pourquoi certains pays sont sortis de l’UE comme l’UK qui pourtant avait gardé sa monnaie nationale.
        @DZ : 22/04/21 :
        Union Nord Africaine.
        Tamazgha
        UMA.
        = Piège piège mortel pour l’Algérie.
        Vive l’Algérie tout court !
        La fermeture de la narco-frontière doit être gravée dans notre Constitution !!
        Vous nous avez sorti votre baratin dans la contribution de Mohsen Abdelmoumen cf. pour reprendre @Ali Ali : «…a donne ses ordres aux clandestins marokis de mettre a feu et a sang l’Algérie qui les nourrie en saignant son économie et en payant les impôts a sidhoum a partir des banques marokis a Tunis et revenir librement en Algérie au noir a travers les frontières tunisiennes et marocaines avec la complicités de certains bandits algeriens dont la plupart sont d’origine marocaines ..».
        Enfin, je vous conseille de sortir vos balivernes et billevesées au Guide le Colonel Gueddafi Allah Yarhmou lui qui a tant fait investi financièrement, comme feu Bouteflika Allah Yarhmou effacement dette de nombreux pays et aides en tout genre …, pour la panafricanisme zaâma il vous dira tout le bien qu’il en pense lui voulait créer une banque africaine…sans que ces mêmes pays d’Afrique ne lèvent le petit doigt lors de l’invasion de la Libye !!!
        L’Algérie a des partenariats avec des pays de la région et des pays du monde sans avoir à intégrer une confrérie beta !

    Mohend
    8 juin 2022 - 15 h 05 min

    Rome a conquis tout ce que les moyens de navigations et de transport terrestre lui permettait d’atteindre à l’époque, c’est à la gloire de ses empereurs, les chrétiens ont fait pareil au nom de la religion, les musulmans idem ont fait pareil, les espagnols et les portugais ont sillonnés les océans à la recherche des richesses, Francisco Pizarro avec ses bandits ont massacré la dynastie INCA, les ottomans ont fait pareil, l’empire britannique sur lequel le soleil ne se cochait pas à fait pareil, l’empire Français s’est comporté de la sorte, les japonais ont imposé leur diktat sur les chinois pendant une longue période, les chinois aujourd’hui sont entrain de piller et de dévaster en silence des surfaces sans limite en Afrique, comme dit l’autre en affaire pas d’ami, pas d’amis juste les intérêts, inutile de remettre en cause la nature humaine qui est à la fois cupide, avide, égoïste et criminelle.

    SPECTOR-TAHAR
    8 juin 2022 - 14 h 17 min

    Très bonne analyse sur le phénomène de l’impérialisme colonialiste et de l’hégémonie expansionniste débouchant irrémédiablement sur le sionisme tout court.
    Seulement vous avez fait un oubli de taille sur le premier pays expansionniste de la planète à travers les âges qui n’est autre que Madame la France et ce depuis la Gaule celtique ( 5 ème siècle avant J-C environ)à nos jours.
    Si ces colons ont réussit dans leurs macabres œuvres c’est parce qu’ils avaient la force de leur peuple derrière eux. Ceci est une leçon pour les dirigeants arabes et leurs roitelets pour qui le seul ennemi est leur propre peuple.
    Pour notre pays je pense que la politique du LAME ECHAMLE lancée par le président TEBBOUNE est la seule à même de redonner une base solide pour rebâtir notre pays détruit économiquement, culturellement et socialement par une horde d’incompétents aussi bien démokhrates éradicateurs, qu’Islamistes obscurantistes ainsi que Novembaristes Badissistes du 19 mars.
    Monsieur le président, nous sommes tous derrière vous, pour sauver et nettoyer notre patrie de tous ceux qui ont fait du mal à notre pays, qui ont ruiné son économie, qui ont pillé ses richesses, qui ont annihilé sa culture millénaire pour nous noyer dans l’inculture importée d’orient et d’occident.

    Jazayria
    8 juin 2022 - 13 h 48 min

    Excellent article qui met en parallèle ces 2 nations sanguinaires qui se sont construites sur l’extermination des peuples autochtones et la spoliation de leur terre. Ils appliquent la théorie du chaos. Ils créent le désordre et font couler le sang dans toutes les régions du monde afin d’imposer leur nouvel ordre mondial, notamment dans les pays riches en hydrocarbures. Selon Thierry Meyssan l’objectif suprême des Etats-Unis et de leurs alliés est de créer des « entités à caractères mono ethnique, de les neutraliser en les confrontant en permanence les uns aux autres ». DIVISER POUR MIEUX RÉGNER. Et tout celà avec la complicité des monarchies bédouines qui financent le terrorisme international: « le ver est dans le fruit ». Excellente citation de Mao dans le commentaire précédent, tout y est dit.

    naim
    8 juin 2022 - 13 h 13 min

    On doit distinguer l’élite politique américaine de la base quand on présente le système politique des États-Unis. Comme on doit distinguer les mots désignant ce système de sa réalité factuelle. Contrairement au label de démocratie dont elle s’affuble, l’Amérique est une oligarchie où le peuple ne participe qu’accessoirement aux élections à travers le suffrage indirect (ce sont les gouverneurs des États qui élisent le président des USA). Si l’on ajoute à cela le fait que les deux chambres des soit disant représentants, soit le Congrès et le Sénat, sont peuplées uniquement de riches personnes en raison du coût faramineux des campagnes électorales (il n’existe aucun député issu par exemple de la classe ouvrière), la nature extrêmement élitiste des institutions politiques américaines se confirme de manière tout à fait nette. On notera dans cet ordre d’idées que l’élite de l’élite au sein des instances de décision est constituée pour la grande majorité de juifs imbus de leur supériorité dont l’orientation idéologique en faveur du sionisme se déteint sans ambages sur la politique belliciste des USA. Il aura suffi à cet égard d’examiner les noms qui composent l’administration Biden: Blinken, Nuland, Sherman, Garland, Haines, Sullivan, sont tous des doubles-nationalisés israélo-américains. D’où la grande similitude dans le bellicisme entre l’entité sioniste et les USA. Si en politique ce sont les élites qui mène le jeu, il y a lieu donc d’affirmer que ce sont les élites sionistes à la tête du gouvernement central depuis le début du XXe siècle qui ont imprégné les USA de cette violence issue comme on le sait des textes fondateurs de l’identité juive et par ruissellement du caractère protestant, à savoir le Talmud et l’Ancien testament.

    Abou Stoff
    8 juin 2022 - 11 h 19 min

    « Les Etats-Unis et Israël sèment la guerre partout pour récolter leur «prospérité» » titre K. M..

    je pense que « semer » la guerre est dans l' »ADN » de toute puissance impérialiste qui se respecte. par conséquent, je ne vois rien d’étonnant à ce que les yankees et les sionistes (et d’autres puissances imérialistes) essaient, par tous les moyens, de semer la guerre pour récolter des dividendes.

    concentrons nous sur le monde dit arabo-msusulman et posons nous la question qui fâche:

    pourquoi les peuples dits arabo-musulmans acceptent ils d’être dirigés par des régimes au service de couches sociales compradores dont les intérêts bien compris sont convergents, pour ne pas dire identitques avec les intérêts bien compris des puissances impérialistes et de l’entité sioniste?

    je pense qu’une répose appropriée à la question posée, permettrait de cerner l’essence de la problématique et ouvrirait la voie au dépassement de cette dernière.

    en termes simples, au lieu de s’interroger sur les causes externes de notre arriération de tous les domaines, concentrons nous sur les causes internes qui permettent aux puissances impérialistes et à l’entité sioniste de nous asservir et de nous réduire à des moins que rien.

    en termes crus, les puissances impérialistes et l’entité sioniste ne seraient rien d’autre que des tigres en papier, si les peuples concernés prenaient leur destin en main, en neutralisant, dans un premier temps, les couches compradores qui les dominent.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune à part le constat incontournable que « La cause fondamentale du développement des choses et des phénomènes n’est pas externe, mais interne; elle se trouve dans les contradictions internes des choses et des phénomènes eux-mêmes. » (Mao) wa el fahem yefhem.

    Belveder
    8 juin 2022 - 10 h 06 min

    il faut parfois remettre les choses en place
    pourquoi ca n arrive pas en Algerie?
    parce que L Algerien quelque soit ses problémes n ouvrira jamais un centimétre de son térritoire a un étranger
    on parle souvent de l agression de L irak la libye la syrie et d autre ….en oubliant une chose
    il faut comprendre que ces régimes étaient des colosses au pied d argile
    les regimes sont tombé sous la pression d abord de leur peuple qui ont souffert d une dictature et de cooruption souvent
    ils ont eux meme livré leur dirigeants et les clés a l envahisseur
    on a tenté de le faire en Algerie ca n a pas marché ca ne marchera jamais

      Anonyme
      8 juin 2022 - 14 h 13 min

      Cite nous un seul pays dit arabe ou musulman ou le citoyen peut s’exprimer librement sans finir en taule.

      Elephant Man
      8 juin 2022 - 15 h 04 min

      @Belveder…..
      First question : pourquoi JAMAIS de printemps arabes et révolutions colorés dans votre narco-terroriste-pédophile-monarchie (outre l’absence de richesses naturelles au sens propre comme au figuré) et monarchies du Golfe…. »ÉTONNANT NON ? » pour reprendre le cultissime Desproges.
      Je vous renvoie pour être brève aux travaux du Pr Ahmed Bensaada.
      Pour l’occasion je reprends mon commentaire :
      BHL a déclaré au CRIF que son intervention en Libye était en tant que JUIF ET SIONISTE.
      BHL est l’origine de la création du CNT et ce bien avant l’invasion en Libye et l’assassinat barbare délibéré par la France BHL du Guide le Colonel Gueddafi Allah Yarhmou sans parler de la population Libyenne décimée.
      Voilà un homme riche, qui ne va JAMAIS depuis sa villa de marrakech parler démocratie et de Droits de l’Homme bafoués des Sahraouis…, qui assure au reste du monde que la Libye compte d’innombrables démocrates, mais qui agit ensuite en secret pour s’assurer que le contrôle des milliards du pétrole Libyen revienne bien à la poignée de démocrates qu’il connaît La Libye pays, qui n’a jamais agressé quiconque, de 7 millions d’habitants qui vivaient correctement, mieux que beaucoup de pays européens, y compris la France et ce philousophe CRIMINEL BARBARE veut nous faire croire que Gueddafi n’avait plus de légitimité populaire c’est purement de la désinformation de bas niveau de caniveau. … où sont passés les milliards de dollars du gouvernement Libyen du Guide le Colonel Gueddafi Allah Yarhmou gelés en septembre 2011 par l’ONU qui ont « mystérieusement » disparu des banques occidentales et notamment de l’Euroclear Bank de Belgique entre 2013 et 2017…à moins que la réponse ne soit chez Sarkozy NETTOYÉS AU KÄRCHER !!
      @Elephant Man 20/02/21 : ma réponse @Belveder
      « Ainsi était démoli cet État qui, sur la rive sud de la Méditerranée, enregistrait « de hauts niveaux de croissance économique et de hauts indicateurs de développement humain » (comme le documentait en 2010 la Banque Mondiale elle-même), où trouvaient du travail environ deux millions d’immigrés pour la plupart africains.» Par Manlio Dinucci : géopolitologue et journaliste italien.
      Demandez donc aux égyptiens dont le chômage a explosé et qui travaillaient pour la plupart en Libye….
      Sachez que les suédois émigrent en France et sont naturalisés français et y travaillent……
      Second point : l’Ukraine : « .ces régimes étaient des colosses au pied d argile
      les regimes sont tombé sous la pression d abord de leur peuple qui ont souffert d une dictature et de cooruption » ?!!!!!
      Je reprends mon commentaire :
      «Biden a participé aux guerres en Afghanistan Irak Libye Syrie Yémen Ukraine (renversement du gouvernement ukrainien ; Hunter Biden, fils du vice-président en fonction, a reçu un siège au CA de Burisma Holdings, producteur de gaz majeur d’Ukraine) ……..».
      Ce sont les Russes de Crimée qui ont décidé par un référendum de se détacher de l’Ukraine et de rentrer en Russie pour éviter d’être attaqués, comme les Russes du Donbass, par les bataillons néo-nazis de Kiev. Ceux-là mêmes utilisés en 2014 comme force d’assaut dans le putsch de la Place Maïdan.
      Encore je vous renvoie aux travaux du Pr Ahmed Bensaada.

        Jazayria
        8 juin 2022 - 21 h 53 min

        @Naim. Tout à fait ! Et c’est le cas également pour les élites politiques européennes, qu’elles soient de gauche ou de droite. Elles comptent beaucoup de juifs sionistes, y compris dans l’extrême droite, qui font allégeance à Israël.

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