Procès de Genève : dernière déclaration de feu Khaled Nezzar avant son décès

Khaled Nezzar procès suisse
Le défunt général à la retraite Khaled Nezzar. PPAgency

La justice suisse persiste à parrainer les terroristes islamistes. Elle a fixé la date du procès intenté au général à la retraite Khaled Nezzar par d’anciens membres du parti extrémiste religieux du FIS, au mois de juin prochain, selon l’organisation sioniste TRIAL qui est derrière cette cabale visant l’institution militaire algérienne à travers la personne de l’ex-ministre de la Défense nationale. Suite à cette annonce, nous publions la dernière déclaration, en français et en arabe, de feu le général Khaled Nezzar à propos de ce procès éminemment politique, sous-tendu par une inadmissible ingérence dans les affaires intérieures de l’Algérie, dénoncée par le ministère des Affaires étrangères, le 31 août dernier.

«Le 20 octobre 2011, lors d’un bref passage à Genève, j’ai été interpellé dans mon hôtel par la police suisse. Présenté devant la procureure fédérale Laurence Boillat, j’ai été informé qu’une procédure pénale me visait pour «soupçons de crimes de guerre» dont je me serais rendu coupable pendant la décennie 1990 en Algérie. Les plaintes émanaient alors de deux militants du FIS qui s’étaient exilés en Suisse, l’un et l’autre introduits et soutenus par l’association non gouvernementale TRIAL. Cette dernière était elle-même à l’origine d’une dénonciation à laquelle les deux plaignants se référaient.

Ainsi s’ouvrait contre moi une instruction pénale qui devait durer près de douze ans. Au cours de celle-ci, cinq autres plaignants, tous militants, élus, responsables et même idéologues du FIS, et tous également introduits par TRIAL, se sont joints à la procédure. Par ailleurs, le ministère public de la Confédération a auditionné de nombreux témoins sollicités par les plaignants, qui tous ont exprimé les thèses des officines de l’ancien parti du FIS dissous.

Les hautes autorités politiques suisses ont été parfaitement informées de ce qui s’est produit en Algérie, lorsque les appels à la guerre sainte lancés par le FIS ont plongé le pays dans une décennie de terrorisme et d’horreurs sanguinaires. En outre, le gouvernement algérien avait, par la voie diplomatique, exprimé son refus de l’ingérence et donné au Parquet fédéral toutes les explications nécessaires afin qu’il ne se méprenne pas sur le but politique et l’écho médiatique recherchés par mes accusateurs.

J’ai été, j’en suis profondément convaincu, victime d’un règlement de comptes politique de la part de mes accusateurs. En ma personne, c’était l’homme tenu pour responsable de l’échec du FIS qui était visé. De fait, la lutte contre le terrorisme islamiste ne s’est pas arrêtée en janvier 1994, date de la fin de mission du HCE et des fonctions que j’ai eu l’honneur d’assumer pour l’Etat algérien. Et de nombreuses personnalités algériennes impliquées dans cette lutte se sont trouvées en Suisse à un moment ou à un autre. Aucune d’elle n’a jamais été inquiétée ni par TRIAL ni par un quelconque militant islamiste.

Le ministère public de la Confédération a pourtant poursuivi son instruction à charge contre moi.

Conformément à mon engagement, je ne me suis pas dérobé. Je me suis présenté aux audiences auxquelles j’ai été convoqué, le 2 mai 2013, le 17 novembre 2016 et les 2, 3 et 4 février 2022.

Je ne me suis pas dérobé parce qu’il m’était difficile de croire que la justice d’un grand pays démocratique puisse se laisser manipuler au point de se prêter à l’entreprise de vengeance qui me visait. Je le croyais d’autant moins qu’en début d’instruction, le procureur général de la Confédération, Michael Lauber, lorsqu’il avait reçu la délégation algérienne de haut rang venue traiter de la question de mon interpellation, avait déclaré à celle-ci : «Informez-nous, nous savons peu de choses de ce qui s’est passé chez vous». J’ai voulu croire que cette demande était formulée de bonne foi et que le Parquet fédéral suisse, lorsqu’il aurait reçu toutes les informations utiles, refuserait de prêter son concours à une manipulation.

Dès le début de l’instruction, je n’ai reconnu aucune compétence à une justice étrangère de connaître de nos torts ou de nos raisons, considérant que si je devais rendre des comptes, ce ne pouvait être qu’à la justice de mon pays, devant laquelle je dirai que j’ai agi selon ma conscience en barrant la route à l’intégrisme, que j’assume mes actes et que j’agirais de la même manière si c’était à refaire. Pourtant, je me suis fait un devoir d’être présent et debout pour affronter mes accusateurs.

Je ne me suis pas dérobé parce que ma dignité d’homme, mon honneur de soldat, l’image de marque du chef de l’armée que j’ai longtemps été, le regard de mes enfants, m’imposaient de faire face et de me défendre.

Je ne me suis pas dérobé, parce que pendant toute la durée de mon ministère, je n’ai cessé de combattre les brutalités ou la torture, les considérant comme des salissures inadmissibles, comme je l’avais publiquement déclaré à l’époque.

Je ne me suis pas dérobé parce que je ne pouvais tolérer que mes compagnons d’armes soient accusés d’être des massacreurs du peuple et des tortionnaires.

J’ai envoyé, sur demande du Parquet fédéral, des exemplaires de mes Mémoires, des livres où je dis pourquoi le HCE a pris certaines décisions, comme l’ouverture des centres de sûreté et combien ces décisions nous ont pesées. Des décisions que le péril imminent rendait nécessaires.

Pour amener le Parquet fédéral à mieux appréhender les réalités algériennes de la décennie 90 et satisfaire ainsi au vœu du procureur général, Michael Lauber, j’ai fourni un mémorandum expliquant le contexte qui prévalait en Algérie au moment où le parti intégriste voulait renverser l’Etat républicain. J’ai présenté des témoins dont certains étaient dans ma proximité pendant des années. Des militaires de haut rang, engagés sur le terrain, sont allés dire comment l’ANP menait son action. J’ai transmis les textes concernant la Charte pour la paix et la réconciliation nationale de 2005, en en clarifiant le sens et la portée. J’ai fait tout ce qui m’a été demandé, parce que, je le répète, j’avais confiance dans la justice suisse.

Malheureusement, tout cela fut vain. L’instruction a continué, à charge.

Ainsi, sur le contexte historique de la décennie sanglante, j’avais sollicité qu’un historien qui soit un universitaire reconnu, rende un rapport scientifiquement sérieux, fondé sur des sources et non pas entaché de biais idéologiques. Le principe de cette expertise avait même été accepté par la procureure fédérale, Laurence Boillat, en début d’instruction et même, un temps, réclamé par les plaignants. Mais cette expertise n’a jamais été conduite, malgré mes demandes. A la place, se sont multipliés des rapports rédigés par la Police judiciaire fédérale, dont les prétendues «sources» étaient des publications parues en ligne, émanant d’ONG activement engagées dans la réhabilitation du FIS et le procès de l’Etat algérien. Ainsi, notamment, un document portant le titre de «Rapport d’analyse concernant les crimes commis par l’Etat pendant la guerre civile et le rôle y relatif de Khaled Nezzar», rédigé par la Police judiciaire fédérale qui, certainement sur mandat du magistrat instructeur, en a orienté les développements et conclusions de manière à épouser en tous points les thèses développées par les plaignants et leurs soutiens.

Ce rapport versé au dossier de l’instruction se fonde en majeure partie, si ce n’est en totalité, sur des sources et références des rapports d’ONG proches de celles soutenant les plaignants (FIDH, Amnesty Internationale, ICG, Algeria Watch) ou de personnes ayant un lien direct avec des tenants de la thèse du «qui tue qui», ceux qui accusent l’armée et les services de sécurité algériens d’être les véritables auteurs des massacres collectifs, des disparitions de personnes et des tortures pendant la décennie 1990 en Algérie.

Le rapport précité affirme, par exemple, qu’«il est incontesté que l’Etat algérien a massivement usé de violences contre les civils lors de la guerre civile des années 1990». Il affirme aussi que «l’Etat algérien était institutionnalisé dans la guerre civile de 1992 à 1999 et commettait systématiquement des crimes d’envergure massive».

L’Algérie, présentée de cette façon, devenait un pays de non-droit absolu. Ses commissariats de police, ses casernes et ses prisons étaient décrits comme des lieux de torture d’où l’on sortait rarement vivant. Cette dérive voulue et assumée par le Parquet fédéral suisse a fait sortir la procédure pénale de son cadre initial. Ce n’était plus Khaled Nezzar qui était visé, mais le ministre de la Défense et membre du HCE confondu, ès qualités, avec l’Etat algérien qui se trouvait de ce fait directement incriminé.

En date du 2 mars 2015, la procureure fédérale, Laurence Boillat, transmet aux autorités algériennes une commission rogatoire. Cette demande d’entraide judiciaire internationale rédigée dans des termes attentatoires à la dignité et à la souveraineté de l’Algérie, a été retournée par le gouvernement algérien sans être exécutée, en date du 19 mars 2019, date anniversaire de la victoire sur le colonialisme français. Ce n’était pas une coïncidence.

Un nouveau procureur, M. Stefan Waespi, a été chargé de l’instruction après le départ, en juin 2015, de Mme Laurence Boillat. Après évaluation du bien-fondé des déclarations des plaignants, lesquels disent, à l’unisson, qu’ils ne me connaissaient pas, qu’ils ne m’avaient jamais rencontré et que, de ce fait, il était difficile de soutenir qu’ils avaient subi des violences de ma part et, à la suite de l’analyse du contexte qui prévalait en Algérie pendant la période sous enquête, M. Stefan Waespi a prononcé une ordonnance de classement au motif que les troubles à l’ordre public qu’avait connus l’Algérie entre 1991 et 1994 n’étaient pas un conflit armé non international, et qu’en conséquence, le ministère public de la Confédération ne pouvait mener une instruction pour crimes de guerre.

Cette ordonnance de classement a été cassée par la Cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral de Bellinzone, dans une décision du 30 mai 2018.

Lorsque j’ai pris connaissance de cette décision, j’ai compris que la justice suisse m’avait déjà condamné par anticipation et que la suite de l’instruction n’était plus qu’une formalité.

En effet, la Cour des plaintes ne s’est pas bornée à trancher la question qui lui était posée, à savoir si les événements survenus en Algérie entre 1992 et début 1994 entraient dans la définition juridique d’un «conflit armé non international». Elle a rendu un véritable jugement de condamnation à mon encontre. Evoquant des faits allégués de tortures et d’assassinats, dont elle affirmait la réalité, la Cour des plaintes n’a, en effet, pas hésité à retenir qu’il ne faisait «aucun doute» que j’étais «conscient» de tels actes et qu’ils étaient «commis sous mes ordres». A l’appui d’une affirmation aussi grave, pourtant, aucune référence, aucune preuve, sinon les déclarations d’un plaignant qui prétend que je me serais rendu en Allemagne pour y rencontrer un agent des services de renseignements en poste sur place et lui demander d’assassiner deux dirigeants du FIS. Or, ces déclarations fantaisistes sont démenties, à la procédure même, par l’agent en question qui accuse – à tort, je veux le croire – un autre que moi de lui avoir fait cette demande.

On peut ainsi juger du sérieux des accusations que la Cour des plaintes de Bellinzone, se faisant autorité de jugement, a retenues contre moi, alors même qu’elle n’avait pour mandat que de trancher le recours formé contre l’ordonnance de classement du procureur Waespi.

Dans cette même décision, la Cour n’hésite pas à instruire le ministère public de me poursuivre également pour «crimes contre l’humanité» en relation avec de possibles assassinats dont je serais, selon elle, responsable, sans même indiquer qui en seraient les victimes et dans quelles circonstances celles-ci seraient décédées.

Enfin, dans cette décision de la Cour des plaintes, les groupuscules armés – les sinistres GIA – étaient décrits comme «une armée belligérante, occupant des parties du territoire algérien et l’administrant».

Pas une seule phrase, pas un seul mot de compassion pour les horreurs et les dévastations que le peuple algérien a subies du fait du terrorisme islamiste. La thèse de la «guerre civile» accréditait celle qui faisait de ces atrocités, dont l’histoire a peu d’exemples, l’œuvre de l’armée et des services de sécurité algériens.

Il n’a pas été tenu compte des explications, des documents, des témoignages, ainsi que des écrits de la presse qui montraient que l’Etat algérien a toujours été présent sur chaque pouce du territoire national, y exerçant pleinement son autorité, que les GIA n’ont sévi sporadiquement que dans certains quartiers de quelques villes du nord de l’Algérie, qu’ils n’ont jamais eu le nombre de recrues ni possédé l’armement qui auraient pu les poser comme «forces belligérantes» face à l’armée nationale. Ces évidences qui ont fondé la décision de classement du procureur Waespi ne convenaient pas aux juges du Tribunal pénal fédéral bien ancrés dans leurs certitudes.

A partir de février 2022, les charges qui me visent, en ma double qualité de ministre de la Défense et de membre du HCE, sont devenues la «complicité» dans la commission de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Cette «complicité» était un développement inattendu. Jusque- là, j’étais implicitement présumé «auteur principal» des faits allégués par les plaignants. L’incrimination désormais retenue, permettait à la justice suisse de contourner l’écueil de la preuve sur laquelle butait l’accusation. Aucun des plaignants, aucun des témoins à charge, aucun service de police n’a, en effet, pu apporter la moindre preuve de mon implication personnelle dans une exaction, quelle qu’elle soit, ni même que j’aurais seulement été informé d’une quelconque exaction à laquelle j’aurais négligé de réagir. Ce constat avait même arraché, en son temps, ce cri du coeur à la procureure fédérale, Laurence Boillat : «Mais, j’ai un problème moi !».

Pourtant, lors de mon «audition finale» en février 2022, ce «problème» d’importance a été passé sous silence. A cette occasion, on m’a exposé les charges que le ministère public de la Confédération envisageait contre moi. Exclusivement sur la foi des dires des plaignants, ce dernier voyait en moi le «complice» de tortures qu’auraient subies des personnes qui ne me connaissaient pas, par des personnes qui ne me connaissaient pas davantage et qui n’ont d’ailleurs même pas été identifiées par la procédure. On retient aussi que j’aurais sur la conscience les décès d’une douzaine d’anonymes dont les cadavres auraient été ramassés dans les rues de Blida pendant l’année 1993, sans autre précision, ou la mort d’un prisonnier désigné par un simple surnom dans un centre de détention en avril 1993, sans que, je le répète, aucun indice ne puisse laisser croire que j’aurais été informé de ces exactions – si tant est qu’elles aient eu lieu –, a fortiori que je les aurais ordonnées, ou seulement tolérées. A cet égard, le Parquet fédéral suisse est réduit à invoquer les déclarations que j’ai faites à l’époque, dans lesquelles j’appelais à réduire le terrorisme par les armes, pour prétendre que j’invitais ainsi l’armée algérienne à torturer et à assassiner des civils ! Pareille mauvaise foi laisse sans voix.

La nouvelle construction juridique fondée sur mon prétendue rôle de «complice» supposait implicitement la mise en cause, au-delà de ma personne, d’autres personnes qui, au sein de l’Etat algérien, porteraient la responsabilité principale. Toutes les personnes qui ont exercé des responsabilités élevées au cours de la période sous enquête, ainsi que les exécutants sur le terrain, sont visés. En un mot, l’Etat algérien.

En novembre 2022, pressé de me renvoyer en jugement, le ministère public de la Confédération a écarté toutes les réquisitions de preuves que j’avais formulées en cours de procédure, à la seule exception de deux témoins dont je n’ai malheureusement pas pu assurer la disponibilité. Aucun des autres témoins que j’ai proposés – magistrats, historiens, journalistes, avocats, militants des droits de l’Homme et victimes du terrorisme, tous témoins de premier plan de la décennie noire de l’Algérie et prêts à réfuter les mensonges retenus contre moi –, aucun de ces témoins n’a trouvé grâce aux yeux du Parquet fédéral suisse. L’expertise historique indépendante que j’avais demandée a été refusée également, le Parquet fédéral estimant que les rapports de la Police judiciaire fédérale suffisaient à éclairer le contexte des faits.

Mais le mépris des droits de la défense est allé plus loin encore, puisqu’on m’a même refusé la réaudition de ceux des plaignants qui n’avaient été entendus qu’une seule fois au tout début de la procédure, il y a plus d’une décennie, sans que mes avocats aient pu les interroger à décharge sur une base informée. On a aussi refusé de verser au dossier les déclarations faites par plusieurs plaignants dans le cadre de leurs demandes d’asile, alors que ces déclarations concernent les faits mêmes qui font l’objet de leurs plaintes à mon encontre et sont donc évidemment essentielles pour juger de la solidité des accusations portées contre moi.

A cet égard, il faut peut-être conclure de tous ces refus que même le ministère public de la Confédération nourrit de sérieux doutes sans vouloir les reconnaître.

Ainsi, après avoir refusé d’écouter les véritables connaisseurs du contexte pendant la période sous enquête, après avoir refusé de tenir compte des preuves à décharge que mes défenseurs ont fournies, après avoir refusé de réentendre certains de mes accusateurs, après avoir refusé à mes avocats de prendre connaissance des demandes d’asile des plaignants les plus virulents, après avoir longtemps empêché mes avocats d’avoir un accès complet au dossier de l’instruction, après avoir recherché désespérément à travers toute l’Europe d’autoproclamées «victimes du général Nezzar», après avoir blanchi les tueurs du GIA de leurs crimes abominables en les décrivant comme des «groupes d’opposition armée», après s’être aligné sur les thèses des taliban qui voulaient ramener l’Algérie au Moyen Age, après avoir rendu l’armée algérienne responsable des massacres collectifs de populations civiles, le ministère publique de la Confédération a annoncé la clôture de l’instruction et le renvoi de l’acte d’accusation au Tribunal pénal fédéral pour la tenue d’un procès qui, cela ne fait aucun doute, me déclarera coupable.

Ces développements prévisibles sont l’affaire de la justice suisse. Je déclare publiquement que je ne suis plus concerné par ce que ces juges partisans, aveugles et sourds, concluent ou décident. Je ne cautionnerai pas par ma présence le procès politique que la justice suisse a décidé de tenir. J’ai instruit mes avocats de ne pas m’y représenter. Je ne serai jamais l’alibi commode qui permettra de salir l’Algérie, son Etat et son armée.

Et l’histoire jugera.

Général-major à la retraite Khaled Nezzar»

تصريح للّواء خالد نزار حول إحالته إلى المحاكمة من طرف العدالة السويسرية

في 20 أكتوبر 2011، خلال تواجدي في جنيف، اعتقلتني الشرطة السويسرية في الفندق الذي كنت مقيما فيه. بعد تقديمي أمام المدّعية العامة الفدرالية لورونس بوالا، تمّ إعلامي بأّنني محلّ متابعة جنائية بشبهة ارتكاب جرائم حرب في التسعينيات في الجزائر. رفع الدعوى مناضلان في صفوف الجبهة الإسلامية للإنقاذ هاجرا إلى سويسرا وكلاهما مسانَد من الجمعية غير الحكومية تريال، وهذه الأخيرة رفعت هي أيضا شكوى جعلها المدّعيان سالفي الذكر مرجعا لهما.

كانت نتيجة ذلك أن فُتح ضدي تحقيق جزائي دام قرابة اثنتي عشرة سنة التحق خلالها خمس مدّعين آخرين كلّهم مناضلون أو منتخَبون أو مسؤولون بل ومنظّرون في الجبهة الإسلامية للإنقاذ وكلّهم محرّضون من الجمعية نفسها أي تريال. من جهة أخرى، استمع المدّعي العام الفدرالي لأقوال العديد من الشهود بطلب من أصحاب الشكوى وكلّهم عبّروا عن أطروحات حزب الجبهة الإسلامية للإنقاذ المحل.

تمّ إطلاع السلطات السياسية السويسرية بشكل كامل حول ما حدث في الجزائر عندما أقحمت النداءات إلى إعلان الحرب المقدّسة الجزائر في عشرية من الإرهاب والرعب الدموي. علاوة على ذلك، كانت الحكومة الجزائرية قد أعربت عبر القنوات الدبلوماسية عن رفضها للتدخل ووفّرت للعدالة السويسرية الشروحات الضرورية حتى تفهم الهدف السياسي والصدى الإعلامي المتوخّى من طرف أولئك الذين رفعوا دعوى ضدّي.

أنا واثق تماما بأنني ضحية تصفية حسابات سياسية من طرف من قدّموا شكاوى ضدّي. ذلك أنّهم بتوجيههم اتّهاماتهم ضدّ شخصي فهُم بذلك يقصدون من يحمّلونه مسؤولية إخفاق الجبهة الإسلامية للإنقاذ. الحال أنّ مكافحة الإرهاب الإسلاموي لم تتوقّف في جانفي 1994 المصادف لانتهاء مهمة المجلس الأعلى للدولة والمهام التي تشرّفت بتأديتها لمصلحة الدولة الجزائرية. ولقد تواجد العديد من الشخصيات الجزائرية المشارِكة في مكافحة الإرهاب ولم تتعرّض لأية مضايقات لا من طرف تريال ولا من أي ناشط سياسي ذي نزعة إسلاموية.

ومع ذلك كلّه تابع المدّعي العام الفدرالي تحقيقه ضديّ.

وفقا لالتزامي، لم أتهرّب وحضرت الجلسات التي تم استدعائي لها في 2 ماي 2013 و17 نوفمبر 2016 و2 و3و4 فيفري 2022.

لم أتهرّب لأنه كان من الصعب بالنسبة إلي أن أظنّ بأن يتم التلاعب بعدالةِ دولة ديمقراطية كبيرة إلى درجة المساهمة في عملية الانتقام التي طالتني. لم أكن أظن أن ذلك ممكن خاصة وأنه في بداية التحقيق صرّح مدّعي الكنفيدرالية العام للوفد الجزائري رفيع المستوى الذي تنقّل إلى سويسرا لمعالجة قضية اعتقالي قائلا: « أخبرونا فنحن لا ندري الكثير عمّا جرى عندكم ». أردت أن أؤمن بأن هذا الطلب كان صادقا وأنّ العدالة السويسرية كانت سترفض التورّط في هذا التلاعب بعد أن تحصلت على كلّ المعلومات المفيدة.

لم أعترف منذ بداية التحقيق بأي أحقّية لعدالة أجنبية بالحكم على قراراتنا بأنها خاطئة أو صائبة، معتبرا أنّه إذا استدعى الأمر محاسبتي فلا يكون ذلك ممكنا إلاّ من عدالة بلدي التي كنت سأقول أمامها بأنني أدّيت واجبي بما كان يمليه عليّ ضميري بقطع الطريق في وجه التطرّف الديني وأنّني أتحمّل مسؤوليتي كاملة غير منقوصة وأنّني سأبلي نفس البلاء لو كان عليّ أن أقوم بنفس الشيء مجدّدا. ومع ذلك، جعلت من حضوري واجبا حتى أواجه مُتّهِميّ.

لم أتهرّب لأنّ كرامتي وشرف الجندي وسمعة قائد الجيش الذي شغلته لمدّة طويلة ونظرة أبنائي لي فرضوا عليّ أن أجابه الوضع وأدافع عن نفسي.

لم أتهرّب لأنّني طيلة مدّة عملي لم أكف عن محاربة التعنيف أو التعذيب معتبرا إيّاهما كشوائب مرفوضة تماما كما سبق لي وأن صرّحت بذلك من قبل.

لم أتهرّب لأنّه لم يكن بإمكاني أن أقبل بأن يُتَّهم رفاق السلاح باقتراف المجازر في حق الشعب واللجوء إلى التعذيب.

أرسلت، بطلب من المدّعي العام الفدرالي، نسخا من مذكّراتي وكتبي حيث شرحت لماذا اتّخذ المجلس الأعلى للدولة بعض القرارات التي أملاها الخطر المحدق، مثل فتح مراكز الأمن وكم كان لهذه القرارات أثر هام.

ومن أجل السماح للمدّعي العام الفدرالي بفهم الواقع الجزائري خلال التسعينيات بشكل أفضل وبالتالي الاستجابة لطلب المدّعي العام ميخائيل لوبر، قدّمت مذكّرة شرحت فيها السياق الذي كان سائدا في الجزائر في الفترة التي كان الحزب المتطرّف يسعى إلى الانقلاب على الدولة الجمهورية. أحضرت شهودا، بعضهم عمل إلى جانبي لمدّة طويلة. تنقّل ضبّاط سامون عملوا في الميدان إلى سويسرا ليشرحوا كيف كان الجيش الشعبي الوطني يقوم بعملياته. أرسلت النصوص المتعلقة بالميثاق من أجل السلم والمصالحة الوطنية الصادر في 2005 موضّحا معناه وأهدافه. استجبت لكل الطلبات لأنّني – أعيد و أكرّر – كنت واثقا في العدالة السويسرية.

للأسف، كلّ هذا كان غير مُجْدٍ إذ تواصل التحقيق على نفس المنوال ضدّي.

فعليه، حول السياق التاريخي للعشرية الدموية، كنت طلبت أن يعدّ مؤرّخ جامعي مُعترَفٌ بكفاءاته تقريرا علميا جادّا مبنيا على مصادر وليس على اعتبارات إيديولوجية. وكان مبدأ هذه الخبرة لاقى استحسان المدّعية الفدرالية لورونس بوالا في بداية التحقيق بل وكان مطلوبا من المدّعين أنفسهم. لكن هذه الخبرة لم يتم أخذها بعين الحسبان رغم طلبي الملِحّ. عِوض ذلك، كثرت تقارير حرّرتها الشرطة القضائية الفدرالية مبنية على مصادر مزعومة منقولة في الحقيقة من منشورات على الأنترنت كلّها صادرة عن منظمات غير حكومية تعمل على إعادة الاعتبار للجبهة الإسلامية للإنقاذ ومحاكمة الدولة الجزائرية. من بين هذه المنشورات وثيقة تحمل عنوان تقرير تحليلي بخصوص الجرائم التي اقترفتها الدولة خلال الحرب الأهلية ودور خالد نزار فيها » حرّرتها الشرطة القضائية الفدرالية السويسرية التي يبدو مؤكَّدا أنها وجّهت المحتوى والخلاصة بأمر من قاضي التحقيق بحيث يتماشى بشكل كلّي مع أطروحات المدّعين ومن يساندهم.

هذا التقرير الذي أضيف إلى ملفّ التحقيق يقوم معظمُه – إن لم نقل كلّه – على مصادر ومراجع المنظّمات غير الحكومية القريبة من تلك التي تساند المدّعين (الفدرالية الدولية لحقوق الإنسان، أمنستي أنترناسيونال، إنترناشنال كرايزس غروب، ألجيريا ووتش) أو أشخاص تربطهم علاقة مباشرة مع المروّجين لأطروحة « من يقتل من » الذين يتّهمون الجيش وأجهزة الأمن الجزائرية بأنّهما المرتكبان الحقيقيان لعمليات القتل الجماعي واختفاء أشخاص والتعذيب خلال عشرية 1990 في الجزائر.

جاء في التقرير المذكور في الصفحة 05/17 الفقرة 1.3 مثلا: « لا يوجد شك في أنّ الدولة الجزائرية استعملت العنف عل نطاق واسع ضد المدنيين خلال الحرب الأهلية التي حدثت في التسعينيات ». ويضيف أيضا (في الصفحتين 16/17): « كانت الدولة الجزائرية مؤسَّسة في الحرب الأهلية التي دارت رحاها بين 1992 و1999 واقترفت جرائم شاملة وبشكل ممنهَج ».

أصبحت الجزائر الموصوفة بهذا الشكل بلد لا حقوق مطلق نُعتت محافظات الشرطة والثكنات والسجون فيه بأماكن للتعذيب حيث لا يمكن الخروج منها حيا إلا نادرا. إنّ الانحراف المقصود والمعلن هذا من قبل المدّعي العام الفدرالي السويسري حرّف الإجراءات الجنائية عن إطارها الأصلي إذ لم يعد خالد نزار المعني بالقضية كشخص وإنما وزير الدفاع وعضو الجلس الأعلى للدولة بمعية الدولة الجزائرية التي أصبحت مدانة بشكل مباشر.

في 2 مارس 2015، أرسلت المدّعية الفدرالية لورونس بوالا إنابة قضائية للسلطات الجزائرية. رفضت الحكومة الجزائرية طلب التعاون القضائي الدولي المحرَّر بشكل يمسّ بشرف الجزائر وسيادتها في 19 مارس 2019 المصادف لذكرى الانتصار على الاستعمار الفرنسي. لم يكن اختيار هذا التاريخ صدفة.

تمّ تكليف مدّع عام فدرالي جديد، ستيفان وايسبي، بالقضية بعد تنحّي السيدة لورونس بوالا في جوان 2015. إثر تقييم صحّة أقوال المدّعين الذين اعترفوا كلّهم بأنهم لا يعرفونني وأنهم لم يلتقوا بي أبدا وأنه بالتالي يصعب الزعم بأنهم كانوا ضحية عنف من لدني ونظرا لتحليل السياق الذي كان سائدا في الجزائر خلال الفترة محل التحقيق، أصدر السيد ستيفان وايسبي أمرا بوقف الإجراءات بحكم كون المساس بالأمن العام الذي عاشته الجزائر بين 1991 و1994 لم يكن نزاعا مسلّحا غير دولي وعليه فلم يكن بإمكان المدّعي العام للكنفيدرالية إجراء تحقيق في جرائم حرب.

هذا الأمر بوقف الإجراءات تمّ إلغاؤه من قِبل مجلس الشكاوى التابع للمحكمة الجنائية الفدرالية لبلنزون بمقتضى قرار صدر بتاريخ 30 ماي 2018.

عندما بلغني خبر هذا القرار، تيقّنت بأنّ القضاء السويسري قد أدانني بشكل مسبق وأنّ مواصلة التحقيق أصبح شكليا فحسب.

بالفعل، فإنّ مجلس الشكاوى لم يكتف بالبتّ في السؤال الذي طرح عليه أي هل الأحداث التي جرت في الجزائر بين 1992 وبداية 1994 تندرج ضمن التعريف القانوني للنزاع المسلّح غير الدولي وراح يصدر حكما فعليا بالإدانة ضدّ شخصي. لم يتردّد مجلس الشكاوى، محتجّا بأفعال تعذيب واغتيالات مزعومة، في الاعتبار بأنه لا يوجد شكّ إطلاقا بأنني كنت على وعي بتلك الأفعال وأنه تمّ اقترافها بأمر منّي. ومع ذلك، فإنّ هذا المجلس لم يرتكز في تصريحه الخطير هذا على أي دليل ما عدا الأقوال التي أدل بها أحد المدّعين الذي يزعم بأنني انتقلت إلى ألمانيا من أجل لقاء عميل في المخابرات الجزائرية كي أطلب منه اغتيال مسؤولَين اثنين في الجبهة الإسلامية للإنقاذ. والحال أنّ هذه المزاعم الخيالية كذّبها العميل ذاته الذي اتّهم شخصا غيري بتقديم هذا الطلب له.

يمكننا بالتالي الحكم على مدى جدية الاتهامات التي أطلقها مجلس الشكاوى ضدي مخوّلا لنفسه صلاحية الحكم مع أنه غير مؤهّل للبتّ في نقض قرار وقف الإجراءات الصادر عن المّدعي الفدرالي العام وايسبي.

في هذا القرار نفسه، لا يتردّد المجلس في إسداء أمر لمكتب المدّعي العام بمتابعتي أيضا بتهمة « جرائم ضد الإنسانية » ذات صلة باغتيالات محتملة أكون حسبه مسؤولا عنها دون حتى توضيح من هم الضحايا وفي أي ظروف توفّوا.

أخيرا، في قرار مجلس الشكاوى ذاته، المجموعات المسلّحة – أي الجماعات الإسلاموية المسلحة المشؤومة – موصوفة على أنّها « جيش طرف في النزاع المسلّح » يحتل أجزاءً من التراب الجزائري ويسّيرها.

لم يرد في التقرير ولو جملة أو كلمة مواساة واحدة إزاء الهول والدمار الذين ألما بالشعب الجزائري جراء الإرهاب الإسلاموي. أطروحة « الحرب الأهلية » إنّما كانت تؤكّد تلك التي تحمّل الجيش ومصالح الأمن الجزائرية مسؤولية هذه الفظائع التي لم يشهد التاريخ مثلها إلا القليل.

لم يُعَرْ أيّ اهتمام للشروحات والوثائق والشهادات والمقالات الصحفية التي بيّنت أنّ الدولة الجزائرية كانت حاضرة في كل شبر من التراب الوطني باسطة سلطها بالكامل وأنّ الجماعات المسلحة عاثت فسادا بشكل متقطّع في عدد محدود من الأحياء في بضع مدن الشمال الجزائري وأنّه لم يكن لديها عدد المنخرطين ولم تكتسب السلاح الذي كان يمكّنها من فرض نفسها كقوة طرف في النزاع أمام الجيش الوطني. هذه الحقائق البديهية التي أفضت إلى قرار وقف الإجراءات الذي اتّخذه المدّعي الفدرالي العام وايسبي لم تُرْضِ قضاة المحكمة الجنائية الفدرالية المتشبّثين بقناعاتهم.

ابتداء من فيفري 2022، تحوّلت الاتهامات الموجّهة لي بصفتي المزدوجة كوزير للدفاع الوطني وعضو في المجلس الأعلى للدولة إلى « تواطؤ » في اقتراف جرائم حرب وجرائم ضد الإنسانية. هذا « التواطؤ » تطوّر غير منتظر، فلحد الآن، كنت اُعتبَر ضمنيا « المتهم الأساسي » في الأفعال المزعومة من قِبل المدّعين. سمح قبول هذا الاتهام للعدالة السويسرية بتفادي معضلة تقديم الدليل الذي كانت تحول دون محاكمتي. لا أحد من بين الشاكين وشهودهم ولا مصلحة من مصالح الشرطة استطاع أن يقدّم دليلا على تورّطي شخصيا في أيّ انتهاك، مهما كانت طبيعته أو حتى على كوني تلقيت معلومات عن حصولها فتغاضيت عنها، إلى درجة أنّ هذا الواقع جعل المدّعية العامة الفدرالية لورونس بوالا تعترف قائلة: « لكن أنا في ورطة ».

رغم ذلك، فخلال « جلسة السماع النهائية » التي جرت في فيفري 2022، لم تتم الإشارة بتاتا إلى هذا الإشكال المهم. بهذه المناسبة، قُرئت على مسامعي الاتهامات التي قرّرها المدّعي العام ضدّي وهو يرى في شخصي، مستندا بشكل حصري على أقوال الشاكين، « المتواطئ » في التعذيب الذي طال أشخاصا لم يكونوا يعرفونني والذي قام به أشخاص لا يعرفوني هم الآخرون والذين لم يتم تحديد هويتهم خلال التحقيق. خلُص المدّعي العام أيضا إلى كوني اتحمّل مسؤولية وفاة حوالي اثني عشر شخصا مجهول الهوية رُفعت جثامينهم في شوارع البليدة في عام 1993، دون تقديم أي توضيح، وكذا موت سجين أشير إليه بمجرّد اسم مستعار في مركز اعتقال في سنة 1993 دون أن يوجد – ألحّ مرّة أخرى – أيّ مؤشّر يوحي بأنني كنت على علم بهذه الانتهاكات إذا افترضنا أنها حدثت فعلا أو أمرت بالقيام بها أو سمحت بممارستها. في هذا الصدد، اكتفى المدّعي العام الفدرالي بذكر التصريحات التي أدليت بها آنذاك والتي ناديت من خلالها إلى تقويض الإرهاب بالسلاح، زاعما أنني كنت بذلك أدعو الجيش الجزائري إلى تعذيب المدنيين وقتلهم. إنّ سوء نية مثل هذه تثير الدهشة فعلا.

التركيبة القضائية الجديدة القائمة على دوري المزعوم « كمتواطئ » يعني ضمنيا توجيه الاتهام لأشخاص آخرين في الدولة الجزائرية يتحمّلون المسؤولية الأولى، فكلّ الأشخاص الذين شغلوا مسؤوليات سامية خلال الفترة التي يخصّها التحقيق وكلّ المنفذين في الميدان معنيّون بالاتهام. أي باختصار الدولة الجزائرية بحدّ ذاتها.

في نوفمبر 2022، وهو يعجّل بإحالتي إلى المحاكمة، أبعد المدّعي العام للكنفيدرالية كلّ القرائن التي قدّمتها خلال التحقيق باستثناء شاهدين لم يتسنّ لي للأسف إحضارهما. لا أحد من بين الشهود الآخرين الذين اقترحتهم – قضاة ومؤرخون وصحفيون ومحامون ومناضلون في مجال حقوق الإنسان وضحايا الإرهاب، وكلّهم شهود عايشوا عن قرب العشرية السوداء في الجزائر ومستعدّون لشجب الأكاذيب الملفّقة لي – حضي بقبول المدّعي العام السويسري.

كما تم رفض الخبرة التاريخية المستقلة التي طلبتها، إذْ اعتبر المدّعي العام السويسري أنّ تقارير الشرطة القضائية الفدرالية تكفي لتوضيح سياق الأحداث. لكن ضَربَ عُرض الحائط بحقوق الدفاع تمادى إلى أبعد من ذلك بحيث رُفض طلبي المتمثّل في إعادة سماع الشاكين الذين لم يتم استدعاؤهم سوى مرّة واحدة عند مباشرة التحقيق، أي منذ أكثر من عشر سنوات، دون أن يتمكّن محاميّ من مساءلتهم. بالإضافة إلى هذا كله، تمّ رفض الإرفاق إلى الملف التصريحات التي أدلى بها العديد من المدّعين في نطاق طلبات اللجوء التي تقدّموا بها بينما هذه التصريحات متّصلة بشكل مباشر بالوقائع المرتبطة بشكاويهم ضدّي وهي بالتالي ضرورية طبعا للحكم على التهم الموجّهة لي.

بهذا الخصوص، ربّما يجب الفهم من هذا الرفض المتكرّر أنّ حتى المدّعي العام للكنفيدرالية تنتابه شكوك جادّة دون أن يعترف بذلك.

فبعدما رفض السماع للعارفين الحقيقيين بالسياق خلال الفترة محل التحقيق وبعدما رفض اعتماد الأدلّة التي تثبت براءتي والتي قدّمتها له هيئة الدفاع وبعدما رفض أن يطّلع المحامون على محتوى طلبات اللجوء التي أودعها أكثر الشاكين تشدّدا وبعدما منع هيئة الدفاع لمدّة طويلة من الاطلاع الكامل على ملف التحقيق وبعدما بحث عبثا في كلّ أنحاء أوروبا عن « ضحايا مزعومين للّواء نزار » وبعدما برّأ قتلة الجماعات الإسلاموية المسلحة من جرائمهم البشعة واصفا إياهم « بالمجموعات المعارضة المسلحة » وبعدما اصطفّ وراء أطروحات « طالبان » الذين أرادوا إرجاع الجزائر إلى العصور الوسطى وبعدما جعل الجيش الجزائري مسؤولا على المذابح الجماعية للمواطنين العُزّل، ها هو ذا المدّعي العام للكنفيدرالية يعلن عن غلق التحقيق وإحالة لائحة الاتهام إلى المحكمة الجنائية الفدرالية لمحاكمة لا يوجد أدنى شك في أنّها سوف تُدينني.

هذه التطوّرات المتوقَّعة هي شأن العدالة السويسرية. أعلن بأنني لست معنيا بما يستنتجه ويقرّره هؤلاء القضاة المنحازين والمصابين بالعمى والصمم. لن أضفي بحضوري طابعا شرعيا على هذه المحاكمة السياسية التي قررتها العدالة السويسرية. لقد طلبت من هيئة الدفاع عدم تمثيلي فيها. لن أكون أبدا الذريعة التي تبيح تلطيخ سمعة الجزائر ودولتها وجيشها.

والتاريخ سيحكم.

اللواء المتقاعد خالد نزار

Comment (58)

    7 el braki
    4 janvier 2024 - 0 h 24 min

    J’admire beaucoup le général nezzar pour son combat héroïque j’usqu au bout, et de nous avoir à maintes reprises indiqué le chemin face à l’hydre islamiste. Au final dans cette défense inutile puisque partiale dès le départ mais surtout mal venue , un joli doigt d’honneur comme il se doit.
    La suisse n’a plus qu’à juger un fantôme wesh. Encore bravo !

    Mettre fin à l'islam de France et de la suisse.
    3 janvier 2024 - 23 h 35 min

    À ce dire que les suisses tous comme la France construisent des mosquées mais toujpours en prenant le soin d’ en éloigner les banques affidés à ces mosquées et leurs cotisants. Qu’elle vienne pas non plus se vanter cette minable suisse de neutralité dans les conflits sauf quand ça l’arrange apparemment. 1940-45 ne nous à pas encore révélé ce plan diabolique ou la suisse à fait office de coffre fort.

    Belser
    3 janvier 2024 - 23 h 28 min

    Pour faire simple et court ;On extermine pas des loups par des chiens et pas aussi facilement qu’au départ vous le pensiez fur comme fer.
    Pas d’zehef la suisse ,c’est très mauvais pour le coeur . PS: Je suis certain que ce qui les dérange au dela de l’argent est la manie du verbe made in France par feu khaled nezzar et d’autres. Un peu comme des faux bourgeois ramener à leurs véritables essences de n’être plus que de vulgaires bouzeux et pouilleux face à ce que ce sud (Algérie) tant méprisé à enfanté de mieux !.
    Tahia el djazair.

    CAFTAN ALGERIEN
    3 janvier 2024 - 0 h 29 min

    Allah yerhmou… Que son âme repose en Paix

    Le départ de Khaked Nezzar est une triste nouvelle,
    pour ceux qui aiment l’Algérie Algérienne
    pour ceux qui combattent les colonisateurs au nom de la religion version sioniste
    pour ceux qui combattent la dénaturation de l’Algérie au nom d’une secte religieuse
    L’histoire a déjà retenu que Khaled Nezzar est l’Homme qui a su sauver l’Algérie
    MERCI !

    Sabrina Zeer de Tunisie
    2 janvier 2024 - 1 h 23 min

    Le Général-Major Khaled Nezzar ( paix a son âme) Allah Yharmou est un brave qui as servi dignement son pays et le sauvé là ou il fallait pour éviter que ça deviennent l’Afghanistan ou Pakistan de toutes façons en Algérie ?? ils ont la Haine contre les Chawia je sais pas pourquoi !!!!

      Boubou
      2 janvier 2024 - 21 h 53 min

      Occupez-vous de Moncef Marzouki qui s’invite un peu trop dans les affaires algéro-algériennes.
      Bien à vous.

    Hassen
    1 janvier 2024 - 20 h 07 min

    Le pays des blanchisseries de l’Argent Sale se discrédite d’emblée !
    Feu le Général Khaled Nezzar est un HÈROS de l’Histoire de l’Algérie Forever.
    Allah yarhmou

    Qu’attendent les Juges des Tribunaux du pays du chocolat, du fromage et des montres de luxe …( devenu le 33ème de ma liste BDS de pays que Je boycott ) pour se mettre au travail et de Poursuivre Is-Rat-Hell de Génocide du Peuple Palestinien devant la CPI.

    moh_blida
    1 janvier 2024 - 3 h 16 min

    Bonjour, AZul,

    L’histoire retendra, qu’on le veuille ou non, que ce grand général patriote a sauvé l Algérie en 1992 par son courage, avec d’autres généraux républicains et patriotes, contre une grande catastrophe de l’islamisme barbare et sauvage des sanguinaire du FIS/AIS/GIA/FIDA qui est responsable du massacre de 250 000 Algériens.

    je suis convaincu aucun autre général n aurait eu le courage et l’audace de stopper le FIS excepté ce grand homme Khaled Nezzar.

    Merci Mr nezzar pour avoir sauvé la république en 1992 mais s’il y a beaucoup d’ingrats ou d’inconscients qui n’ont pas encore saisi l’importance de l’acte salvateur de 1992.

    Quand aux juges suisses, qu’il aille juger les Saoudien au Yémen, Israël etc.

    Brahms
    30 décembre 2023 - 20 h 36 min

    Petit rappel à la justice Suisse,

    L’Arabie Saoudite a fait 400 000 morts au Yémen dont de très nombreux civils. A quand les poursuites judiciaires ?

    Qui pourra me répondre SVP
    30 décembre 2023 - 16 h 12 min

    J’ai une question ❓️
    Pourquoi certaines personnes disent ?FEU? un tel ou Intel, en parlant d’une personne décédé.
    Qui pourrait me répondre.
    SVP
    Moi le feu ? me fait directement pensé a l’enfer quand il est évoqués concernant une personne venant de décédé ou ayant décédé de longue date.
    Alors si une personne pieuse décédé de vôtre famille décéde, vous dire Feu mon père où ma mère étaient des gens très biens.
    WALLAH que j’ai du mal à comprendre cela.

      Boubou
      30 décembre 2023 - 19 h 14 min

      Tapez Google. Il répondra à toutes vos angoisses existentielles.

      ADJECTIF FEU
      30 décembre 2023 - 21 h 50 min

      Feu est un adjectif qui précède le nom d’une personne décédée récemment. « Feu » dérive du latin Fatutus qui veut dire malheureux ou non chanceux et par extension une personne décédée. Cela n’a rien à voir avec le feu de l’enfer.

        Fodil
        31 décembre 2023 - 8 h 55 min

        « Fatutus » a ne surtout pas confondre avec « fatuitas » (« sottise ») qui dérive du latin « fatuus » qui a donné fatuité.
        Bonne journée.

    Moskos dz
    30 décembre 2023 - 15 h 45 min

    Merci Nezzar pour avoir fait dégager le front-israélo-sioniste et repose en paix.

      IWEN
      30 décembre 2023 - 22 h 00 min

      GIA ! Daesh ! Isi ! El-nosra ! Qaida !.. .Etc,

      Tellement de nom mais au fond, celle ci, nos pères libérateurs l’avaient vu arriver et l’ont combattu aussitôt là.. . Et.. ..Le temps lui a donné raison !
      Ce que l’on reproche au Général, c’est le fait d’avoir nettoyé l’Algérie de cette vermine et ceci en profondeur et ne pas leur laisser le temps de s’installer politiquement (institutionnellement parlant) !

    Amin99
    30 décembre 2023 - 14 h 32 min

    Le général NAZZAR était un homme humble qui a su faire face aux multiples complots contre l’Algérie puis contre sa personne.

    J’ai souvenir qu’il était d’une grande simplicité et accessible, qu’il repondait directement aux questions des lecteurs d’AP quand le sujet le concernait, j’en suis témoin.

    Cet homme a sauvé l’Algérie d’un piège tendu et savamment preparé, que l’histoire retienne son nom. Allah yerehmou.
    A bon entendeur

    Brahms
    30 décembre 2023 - 14 h 06 min

    La justice Suisse s’est décrédibilisée toute seule,

    En Ukraine : Le «New York Times» révèle ce vendredi 18 août, en s’appuyant sur des estimations d’officiels américains, que quelque 120 000 soldats russes et 70 000 soldats ukrainiens auraient été tués depuis le début de l’invasion russe il y a 18 mois.

    La guerre en Ukraine aurait fait 500 000 morts et blessés, selon des officiels américains.

    En Palestine : Benjamin Netanyahou aurait déjà fait 22 000 morts (femmes, enfants, vieillards) en tapant volontairement au hasard, en plein centre ville.

    La justice Suisse avait donc mieux à faire que d’aller enquiquiner un militaire algérien alors que la Suisse servait de base arrière aux terroristes du Fis et du Gia pour fomenter des complots en Algérie.

    En clair, les mensonges remontent toujours à la surface, il suffisait juste d’avoir de la patience.

    Tribunal de pacotille
    30 décembre 2023 - 13 h 20 min

    Qu’attend la « justice » suisse pour traîner devant les tribunaux helvétiques corrompus jusqu’à la moelle les militaires en couche pampers de l’entité sioniste et les dirigeants de l’entité sioniste pour gagner en crédibilité et faire son job effectivement ?!
    Allah y rhamou Monsieur Nezzar n’aurait pas dû perdre son temps à répondre et encore une ÉNIÈME fois UN NON LIEU aurait être prononcé et par contre poursuivre les soi-disant plaignants pour terrorisme et crimes contre l’Humanité.
    Gloire à nos martyrs !
    Allah Yarham EL CHOUHADAS AL ABRAR
    TAHIA EL-DJAZAÏR

    Où en sommes-nous aujourd'hui???
    30 décembre 2023 - 12 h 06 min

    L’islamisme est partout.
    Il n’a pas commencé avec le fis, mais avec les enfants de djamaa zitouna, Boumédienne en tête, et il faut se rappeler de qui était il était entouré.
    Les plus âgés peuvent témoigner que l’on voyait monter l’islamisme depuis l’indépendance, et la dictature en place s’en est servi pour contrer les mouvances de gauche, ennemies jurées de Boumédienne (se rappeler le sort réservés aux militants de gauche : exil, assassinats, prisons ou disparitions).

    Dans les années 1980, quand le monstre de l’islamisme était définitivement le maître des lieux (il l’est encore plus aujourd’hui!!) la phrase préférée (à très juste titre!!) par les officiers qui s’auto désignaient par « enfants de Staline » (j’en sais quelque chose) et ceux que l’on a appelé les DAF : la phrase donc était « c’est leurs têtes ou les nôtres », « leurs » désignaient celles des islamistes.
    Tout le monde sait que si les islamistes prenaient réellement le pouvoir, la quasi totalité des officiers formés en URSS et la totalité des DAF seraient passés par les armes. C’est-à-dire les remparts contre l’impérialisme qui visaient les richesses du pays.

    Ce n’est pas pour rien si Mitterand, Hassan II, Saoud, Iran, et bien d’autres ennemis de l’Algérie, ont tout fait
    pour l’arrivée du Fis au pouvoir.

    « leurs têtes contre les nôtres » était pris au sérieux avec la plus grande gravité dans les rangs de l’armée.
    Citons au moins deux des meilleurs compagnons de Nezzar, Mohamed Lamari et Slimane Bouchareb (éliminés d’ailleurs étrangement…).

    Que les honneurs leurs soient rendus.

      Un Ancien
      30 décembre 2023 - 14 h 44 min

      @ » Où En Sommes-Nous Aujourd’hui??? »

      Question légitime et juste rappel des faits. Votre commentaire vise juste.

      Mais que de changements!
      Lesquels nous font poser des questions légitimes sur les mécanismes qui ont produit les nouvelles classes et couches sociales, la situation actuelle.

      En vrac :
      Sur la violence qui touche l’ensemble des niveaux de la société.
      La corruption, la hogra, les suicides, les nouvelles maladies, l’exil des cadres, la harga…
      Les prisons pleines de ministres et d’officiers.

      Que s’est-il donc passé et que se passe-t-il encore?

      Pourquoi l’autoritarisme, la corruption, la hogra, l’islamisme et les autres maux étreignent le pays?

      Quelles sont les interactions entre toutes ces faits?

      Pourquoi il n’est pas permis de poser en liberté les questions qui fâchent et d’en débattre publiquement?
      Et pour pouvoir le faire il faut se cacher et s’exprimer dans un journal domicilié à l’étranger?

      Quelle est la cause des causes qui détermine l’état actuel de tout ça?
      Merci AP de nous permettre d’échanger.

    Karim Aït Aïssa
    30 décembre 2023 - 11 h 59 min

    L’ambivalence des réalités empêche les esprits non lucides à appréhender la Vérité alors que les faits historiques, malgré le changement de contextes, sont obstinément là, vivaces et encore d’actualité mais sembles imperceptibles tant que la lumière ne les a pas encore saisies, qui sont pourtant bien vérifiables pour toute personne sensée et pour peu qu’elle soit de bonne foi.

    Tous ceux qui souhaitent comprendre la décennie noire (sanglante pour ceux qui ne voient que le côté visible) dans son format établi par des faits incontestables, se doivent d’élargir le focal des événements d’alors (et même d’après) en mode macro en tenant compte de tout le champ du possible non pas seulement de la dimension de la politique nationale algérienne mais de celle de toute la géopolitique internationale.

    La fulgurante actualisation par l’émergence brutale, et par lui-même, du plus vieux conflit de la Palestine est un cas d’école qui s’adapte naturellement à celui de la décennie noire, dans la mesure de leur intrinsèque appartenance à la même « science » qui étudie les rapports entre la géographie des États et leur politique.

    Il n’est forcément pas simple de résumer en quelques mots ce qui s’explique en plusieurs chapitres. Cependant, il existe des indices-clés sans lesquels tout chercheur de vérité prend le risque de mordre aux hameçons de ces pêcheurs de l’histoire et de se voire diriger vers ces rocambolesques voies grossièrement mal-conçues qui l’orientent machinalement, soit vers ce faux et utilisation du faux diaboliquement organisé, pour déboucher sur des conclusions simplistes et fantaisistes, mais non moins complotistes comme celles du parquet fédéral suisse (étant prompt à se déclarer incompétents du génocide en cours en Terre sainte), soit vers ces fumeuses boucles de « qui-tue-qui » qui font tourner en rond les désœuvrés cérébraux jusqu’à l’épuisement de leurs esprits.

    L’assassinat des moines de Tibhirine en 1996 et l’avènement, inattendu de l’opinion publique mais parfaitement orchestré par des cercles occultes, de Abdelaziz Bouteflika en 1999 et son incroyable maintien à la tête de l’État algérien jusqu’à l’entame du nouveau monde actuel, sont les deux événements à mettre sous la lumière de la connaissance scientifique afin de dresser la table matrice, reliée à cette trame de fond qui fait bouger le monde ; de cette pièce maîtresse incontournable à la compréhension de la géopolitique actuelle mais qui reste encore étrangement inconnue de la grande fresque événementielle humaine qu’est le récit de la décennie noire.

    Sincères condoléances ...avec quelques réserves !
    30 décembre 2023 - 11 h 56 min

    Je suis vraiment touché par le décès du général Khaled Nezar et je présente mes sincères condoléances à toute sa famille ! Puisque que Monsieur Nezar peut être qualifié d’homme d’Etat » du fait qu’il a occupé de hautes responsabilités au sein de l’Institution militaire (ANP) et du gouvernement, je le remercie personnellement d’avoir sauvé (avec d’autres) l’Algérie de l’hydre islamiste, de la horde des fondamentalistes islamistes, des salafistes qui auraient pu plonger notre pays dans une dictature théocratique dangereuse et garder le pays dans une instabilité politique préjudiciable.

    En revanche, je garde quand même quelques reproches à son endroit et aussi envers le Haut Comité d’État (HCE) qui n’ont pas su profiter de l’arrêt du processus électoral pour engager l’Algérie dans un véritable processus de transition démocratique progressif, inclusif, concerté et pacifique.

    Ce HCE aurait du penser à instaurer une forme de REPUBLIQUE ALGERIENNE où les valeurs démocratiques universelles et les libertés soient enfin une réalité dans le pays, des valeurs qui s’imposerait à tout parti politique qui accèderait au pouvoir légitimement par des urnes transparentes, et donc de faire en sorte que :

    1/- les libertés collectives et individuelles soient garanties, que les libertés d’opinion, de pensée et de conscience soient reconnues à tout citoyen quel qu’il soit,
    2/- que les questions importantes relatives à l’identité nationale, à l’histoire millénaire et à la mémoire de notre Nation soit définitivement réglée en se référent à notre creuset identitaire constitué de l’amazighité, l’arabité, l’islamité, donc ce qu’on appelle l’ALGÉRIANITÉ mais sans aucune hiérarchie, ni suprématie, ni ordre d’importance de l’une par rapport à l’autre de ces composantes !

    Ce HCE aurait pu impulser une dynamique pour faire de l’Algérie une vraie république libre et démocratique, une République Une et Indivisible, où tout citoyen est respecté qu’il s’identifie ou se sente comme arabe ou amazigh berbère, ou musulman ou non croyant pourvu qu’il soit d’abord et avant tout un ALGERIEN PATRIOTE.

    Mais hélas, je pense qu’on a raté le train avec l’arrêt du processus électoral de 1992, et ensuite avec le Hirak en février 2019 ! Mille fois hélas, l’Algérie reste encore dans une forme de gouvernance qui laisse vachement à désirer.

    Logiciel algérien de 1971
    30 décembre 2023 - 11 h 53 min

    En dehors du mensonge et de l’hypocrisie du procès qui accuse notre général, faut pas perdre de vue que les pays capitalistes,la suisse n’en a que faire des victimes algérienne,le fait est que dans ces systèmes ou l.argent est la base de tout la justice suisse donc l’état a été opportuniste pour prendre de l’argent plus le procès et long plus l’argent nourri le système ni plus ni moins

    lamine
    30 décembre 2023 - 11 h 14 min

    Est ce que l’Algérie pourrait sur son territoire juger une personnalité Suisse si l’affaire était dans le sens contraire ??
    De quel droit la Suisse a t »elle ce pouvoir et pas l’ALgérie?
    Si »crime » il y a ,ils auraient été commis sur la terre d’Algérie?
    Le pays est souverain non ?
    Indépendant ?
    J’attends bien des explications de ceux qui en auraient.

      Oui l'histoire jugera, que votre âme repose en paix mon glorieux général Nezzar
      30 décembre 2023 - 14 h 54 min

      Allah yarhmou notre glorieux général Khaled Nezzar.
      Cette dernière déclaration de feu Khaled Nezzar avant son décès est
      un message fort qui doit interpellé en premier lieu les autorités algériennes que notre Algérie est toujours visé par ses ennemis pour la détruire (procès programmé en juin 2024) et le peuple algérien pour qu’il soit vigilant et garde en mémoire la décennie noire.
      A Allah nous appartenons et à lui nous retournerons.

    Salim Samai
    30 décembre 2023 - 8 h 32 min

    Allah Yarhamou!
    La Nation est RECONNAISSANTE á ceux qui ont posé une brique á l`Edifice! Depuis Abraham il y a la Guerre! Puis Dieu, la Raison et la SURVIE exigent son ARRET par la PAIX & la RECONCILIATION qui ne sont QUE l`OEUVRE des Hommes de Foi & des « Soldats d´Honneur » comme le General, A.Y., le dit si bien!

    Mansour
    30 décembre 2023 - 0 h 21 min

    on aimerait bien voir nitanyahou devant un tribunal suisse .

    Anonyme
    29 décembre 2023 - 23 h 28 min

    C’est à Dieu que nous appartenons et à c’est Lui que nous retournerons.
    Puisse Dieu lui pardonner pour ses torts et le soulager pour ses bienfaits. Amine.
    Toutes mes condoléances à sa famille.
    L’Histoire révèlera le laboratoire politique que fut l’utilisation de la religion, la notre, contre la stabilité de notre pays.
    En espérant que ceux qui ont porté le fer contre l’armée de leur pays, contre leurs compatriotes, contre leur peuple, réalisent devant le désastre actuel de manipulation de la religion qu’ils ont été des cobayes contre leur pays, contre leurs compatriotes, contre leur religion.

    Ils ont été utilisés et manipulés contre les leurs. Réveillons-nous. Ce sont toujours les mêmes qui déstabilisent des pays entiers.

    Moi Bubulle
    29 décembre 2023 - 23 h 02 min

    Allah y rahmo.
    Mes condoléances à la famille ainsi qu’aux proches.

    Abed
    29 décembre 2023 - 22 h 44 min

    Je tiens à présenter mes sincères condoloéances à la famille,Allah yarhamah ,un homme courageux et un grand militaire qui a marqué l’histoire de l’Algérie.

    Afnord
    29 décembre 2023 - 22 h 35 min

    Que dieu tout puissant lui accorde sa sainte miséricorde et l’accueille en son vaste paradis.

      Malek
      30 décembre 2023 - 10 h 14 min

      RIP mon général
      L’Algérie a connu des moments difficiles grâce à vous et aux hommes protecteurs comme vous cette nation rayonne dans ce monde impitoyable.

      Nous poursuivrons la route aux pas de nos ancêtres
      Repose en paix. inna lillah wa ina ilayhi raji3oun

    Terre à terre
    29 décembre 2023 - 22 h 33 min

    L’Algérie vous sera éternellement reconnaissante, mon Général. RIP
    Quant à la Suisse, pays proxénète, Un jour, j’espère le plus proche possible, elle sera jugée pour s’être développée avec l’argent des gros trafiquants et des dictateurs au fil des siècles.

    Sprinkler
    29 décembre 2023 - 22 h 13 min

    Mes plus sincères condoléances à la famille du général Nezzar. Que la justice véreuse de la Suisse blanchisseuse s’occupe de son linge sale…

    Ali
    29 décembre 2023 - 22 h 06 min

    Avant de partir, Mr Khaled Nezzar aura clôturer les affaires de ce bas-monde en déclarant tout haut ce qu’il pensait de la justice helvétique à laquelle se sont alliés les terroristes de rachad (ex-fis dissous) et des g.i.a.
    Voir ceux qui ont dévoyé la religion musulmane faire appel à une organisation sioniste pour les aider à traduire l’état algérien et son armée à travers la personne de Mr Khaled Nezzar ne faisait que confirmer que ces énergumènes n’ont vraiment rien de religieux. Nous le savions déjà, preuve fut apportée une fois de plus.
    Quand nous voyons comment est traité actuellement le sort du peuple palestinien, notamment à Gaza, nous ne pouvons que mépriser ces démocraties occidentales, leurs modes de gouvernance, leurs systèmes politiques, médiatiques et judiciaires qui sont à la botte d’un impérialisme mortifère dirigé par les États-Unis.
    Un Occident arrogant et injuste qui soutient un régime sioniste coupable, pour le coup, de bafouement des droits humains, de destruction massives, de détentions arbitraires, de crimes de guerres, de purification ethnique et de génocide.
    Ainsi, voir ces activistes de rachad (ex-fis dissous) et des g.i.a être soutenus par ces mêmes sionistes, à travers certaines associations et ong dont les financements et les accointances idéologiques ne font aucun doute quant à l’origine des commanditaires de cette vile manœuvre, nous montre à quel point l’idéologie de ces terroristes savait se montrer cynique quand il s’agissait de tenter de faire juger la personne qui incarnait à leurs yeux l’échec de la mise en place d’un état terroriste et fachiste en Algérie. Leur échec!
    Quant à la Suisse, rappelons simplement que leurs députés viennent de proposer l’arrêt des financements à l’Agence des Nations-Unies pour les réfugiés palestiniens (U.N.R.W.A). Une décision qui doit être confirmée par la haute chambre helvétique. Des politiques et des médias corrompus, une justice helvète loin d’être indépendante, qui est sous influence de lobbies et donc aux ordres de ses maîtres. Nous ne pouvons que les mépriser pour ce qu’ils sont et pour ce qu’ils représentent.
    Vu cette alliance extravagante (pas tant que ça en fait) d’extrémistes de rachad (classé organisation terroriste en Algérie), nous ne pouvons que renouveler notre désaveu avec cette vile engeance. Pathétique!
    Mr Khaled Nezzar ne s’est donc jamais dérobé face à ses nombreux détracteurs. Il a toujours su remplir ses engagements tout au long de sa carrière et a su prendre ses responsabilités quand il le fallait.
    Cette ultime déclaration ci-dessus montrait bien qu’elle émanait d’une personne qui n’a jamais cherché à esquiver ou à se défiler même durant les situations d’épreuves et d’adversité.
    Il a même pris soin de répondre de la plus belle manières qu’il soit aux criminels, aux traîtres et aux nombreux lâches qui ont tenté, vainement, de tenter de porter atteinte à sa réputation à travers d’interminables et minables attaques contre sa personne, sa dignité et son honneur.

    Les mémoires du Général Khaled Nezzar sont là, à disposition de tous, pour témoigner de la vie et du parcours de ce personnage important qui doit être désormais considéré comme un acteur majeur de l’histoire algérienne.
    Une personne qui a su dire non à ceux qui ont tenté de mettre en péril l’état, une personne qui a su s’opposer et combattre ceux qui ont précipité le pays dans une décennie noire.
    Le Général Khaled Nezzar a assumé ses fonctions et a sauvé, par ses décisions responsables, l’Algérie du terrorisme des groupes islamiques armés.
    Pour tout cela, nous lui sommes reconnaissant. Reconnaissant car il a su répondre présent quand il le fallait pendant que d’autres s’étaient dérobés de leurs missions, voire allaient fricotés avec les ennemis de la nation algérienne.
    Merci donc à Monsieur le Général Khaled Nezzar.
    Mission accomplie mon Général.

    Allah y rahmo.

    Fodil
    29 décembre 2023 - 22 h 05 min

    Avant de partir, Mr Khaled Nezzar aura clôturer les affaires de ce bas-monde en déclarant tout haut ce qu’il pensait de la justice helvétique à laquelle se sont alliés les terroristes de rachad (ex-fis dissous) et des g.i.a.
    Voir ceux qui ont dévoyé la religion musulmane faire appel à une organisation sioniste pour les aider à traduire l’état algérien et son armée à travers la personne de Mr Khaled Nezzar ne faisait que confirmer que ces énergumènes n’ont vraiment rien de religieux. Nous le savions déjà, preuve fut apportée une fois de plus.
    Quand nous voyons comment est traité actuellement le sort du peuple palestinien, notamment à Gaza, nous ne pouvons que mépriser ces démocraties occidentales, leurs modes de gouvernance, leurs systèmes politiques, médiatiques et judiciaires qui sont à la botte d’un impérialisme mortifère dirigé par les États-Unis.
    Un Occident arrogant et injuste qui soutient un régime sioniste coupable, pour le coup, de bafouement des droits humains, de destruction massives, de détentions arbitraires, de crimes de guerres, de purification ethnique et de génocide.
    Ainsi, voir ces activistes de rachad (ex-fis dissous) et des g.i.a être soutenus par ces mêmes sionistes, à travers certaines associations et ong dont les financements et les accointances idéologiques ne font aucun doute quant à l’origine des commanditaires de cette vile manœuvre, nous montre à quel point l’idéologie de ces terroristes savait se montrer cynique quand il s’agissait de tenter de faire juger la personne qui incarnait à leurs yeux l’échec de la mise en place d’un état terroriste et fachiste en Algérie. Leur échec!
    Quant à la Suisse, rappelons simplement que leurs députés viennent de proposer l’arrêt des financements à l’Agence des Nations-Unies pour les réfugiés palestiniens (U.N.R.W.A). Une décision qui doit être confirmée par la haute chambre helvétique. Des politiques et des médias corrompus, une justice helvète loin d’être indépendante, qui est sous influence de lobbies et donc aux ordres de ses maîtres. Nous ne pouvons que les mépriser pour ce qu’ils sont et pour ce qu’ils représentent.
    Vu cette alliance extravagante (pas tant que ça en fait) d’extrémistes de rachad (classé organisation terroriste en Algérie), nous ne pouvons que renouveler notre désaveu avec cette vile engeance. Pathétique!
    Mr Khaled Nezzar ne s’est donc jamais dérobé face à ses nombreux détracteurs. Il a toujours su remplir ses engagements tout au long de sa carrière et a su prendre ses responsabilités quand il le fallait.
    Cette ultime déclaration ci-dessus montrait bien qu’elle émanait d’une personne qui n’a jamais cherché à esquiver ou à se défiler même durant les situations d’épreuves et d’adversité.
    Il a même pris soin de répondre de la plus belle manières qu’il soit aux criminels, aux traîtres et aux nombreux lâches qui ont tenté, vainement, de tenter de porter atteinte à sa réputation à travers d’interminables et minables attaques contre sa personne, sa dignité et son honneur.

    Les mémoires du Général Khaled Nezzar sont là, à disposition de tous, pour témoigner de la vie et du parcours de ce personnage important qui doit être désormais considéré comme un acteur majeur de l’histoire algérienne.
    Une personne qui a su dire non à ceux qui ont tenté de mettre en péril l’état, une personne qui a su s’opposer et combattre ceux qui ont précipité le pays dans une décennie noire.
    Le Général Khaled Nezzar a assumé ses fonctions et a sauvé, par ses décisions responsables, l’Algérie du terrorisme des groupes islamiques armés.
    Pour tout cela, nous lui sommes reconnaissant. Reconnaissant car il a su répondre présent quand il le fallait pendant que d’autres s’étaient dérobés de leurs missions, voire allaient fricotés avec les ennemis de la nation algérienne.
    Merci donc à Monsieur le Général Khaled Nezzar.
    Mission accomplie mon Général.

    Allah y rahmo.

    Anonyme
    29 décembre 2023 - 21 h 17 min

    Le general Khaled Nezzar a servi la Patrie dans les moments les plus difficiles de son histoire,il a su par son courage et sa fidelite au drapeau organiser une lutte victorieuse contre les forces du mal,FIS et GIA ces groupes terroristes armes,finances et entraines par des pouvoirs obscurantistes pour depecer L Etat Algerien et le soumettre au nouveau pouvoir colonial du sionisme international…Le general Khaled Nezzar a detruit ce projet sioniste que d autres peuples ont vaicu ou vivent encore aujourd hui…La nouvelle Algerie s est relevee encore plus forte et puissante grace a son armee et l union de son peuple autour de l Etat…les resultats le prouvent.

    Kadour El Vingtquatre
    29 décembre 2023 - 21 h 12 min

    Sans être un fan, je suis convaincu que sans l’arrêt du processus électoralo-suicidaire par l’armée et à sa tête Khaled Nezzar, on serait un Afghanistan-bis. Pas la peine d’être un sociologue pour voir dans la régression féconde la sécrétion intellectuelle d’un puceau de la vie.vous voulez la preuve? Il suffit de prendre une approche empirique et demandez-vous que sont devenus les pays qui ont expérimenté l’islamisme pour avoir une bonne idée de ce qu’aurait pu être l’Algérie du FIS. Jugeons-en. On a l’Arabie des wahabite, l’anti-thèse de la civilisation qui commence à découvrir le néant dans lequel elle « vivait ». L’Afghanistan, pas la peine de brosser un tableau sur cette tragédie, le Pakistan qui ne sait plus sur quel jambe danser…Pour ceux qui veulent mettre la Turquie dans la liste, je leur dis stop. Erdogan est aussi islamiste que pape. C’est un nationaliste ottomaniste. Bref, sans l’arrêt du FIS, sans Nezzar il y aurait pas de Dz mais une entité peuplée d’illuminés à la recherche d’une oumma aussi illusoire qu’élusive. Cependant, je reproche à l’armée de ne pas être allée au bout de la démarche et s’attaquer aux racines du mal à savoir l’école et son contenu arabo-baathiste. Sans un diagnostique objectif et le courage de l’afficher on continuera à tourner autour du pot pour longtemps encore si tant est que les charognards néocolonialistes et leurs harkis n’ont pas déjà avalé notre belle et multimillénaire Algérie. Vive l’Algérie, gloire à nos martyrs et honneur à nos aghlid

      Abou Stroff
      30 décembre 2023 - 7 h 49 min

      « Cependant, je reproche à l’armée de ne pas être allée au bout de la démarche et s’attaquer aux racines du mal à savoir l’école et son contenu arabo-baathiste. » dites vous!

      c’est un reproche que j’ai, à maintes reprises, formulé à l’égard de feu le Général Nezzar (rabbi yerhmou) et de ses compagnons et qui a été confirmé, indirectement; par feu le Général Lamari (rabbi yerhmou) qui avança, lors d’une interview que l’islamisme avait été militairement vaincu mais qu’il conservait toute sa vigueur sur le plan idéologique.

      ceci étant dit, reconnaissons que le pouvoir actuel (depuis le fakhamatouhou déchu) continue à se servir de la religion pour enfumer les algériens lambda et qu’il applique (à l’insu de son plein gré?) le « programme » de la vermine islamiste.

      moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que la grandiose oeuvre du Général Nezzar, i. e la neutralisation de la vermine islamiste dans sa tentative de nous renvoyer à l’âge de la pierre taillée, demeurerait incomplète si les patriotes algériens ne se débarrassaient pas de la religion en tant que référence en la confinant dans le sphère privée dont elle ne devrait sortir, en aucun cas.

      wa el fahem yefhem.

        Sans l'islam, en Algérie, influençable qu'on est, dans dix ans, on finira en farouche "" LGBTISTE "" convaincu
        30 décembre 2023 - 12 h 29 min

        {Abou Stroff
        30 décembre 2023 – 7 h 49 min.. .}

        (…les patriotes algériens ne se débarrassaient pas de la religion en tant que référence en la confinant dans le sphère privée dont elle ne devrait sortir, en aucun cas…fin de citation)).

        Habituellement je vous lis et je suis d’accord avec vous, mais ici, je me demande si vous avez tenu compte du fait que la nature a horreur du vide ou .. .Pas ? !!

        La religion n’a jamais été en soi un danger, mais de ce que l’on fait d’elle et la confiner à la sphère privée serait une erreur que d’autres avant nous l’ont fait et on voit que cette spiritualité qui leur fart défaut a fait de leur société une société de dégénéré comme l’avait si bien défini le général et accessoirement président Poutine.

        Cette diabolisation de l’Islam a fait des adeptes autour d’elle, la preuve, on pense tous que rejeter l’islam pourrait nous mener vers la libération morale et une fois libéré d’elle, on sera plus fort et qui sait on se mettra à fabriquer des fusées et on deviendra des grands spécialistes en tout et n’importe quoi en même temps. Oubliant par là même que la richesse des uns avait été le fruit d’une violence reposant uniquement sur le rejet de leur fois et la mise en valeur de l’avidité à laquelle ils ont donnés le nom de démocratie !! La preuve, on en est jusqu’à se demander si l’islam est compatible avec la «  »démocratie » » ou pas (oubliant que dans les sociétés musulmanes les Chrétiens et les juifs vivaient ensemble sans heurt durant des siècles, jusqu’à l’arrivée de la philosophie reposant sur l’avidité (capitalisme vorace et néfaste), puisqu’il consomme plus qu’il ne crée, la preuve, l’humanité dévore l’équivalence d’une planète et demi, depuis à peu prés deux ans.

        Cher(e) inconnu, avec tout mon respect, ne pas vous fâcher, je ne fais qu’échanger avec vous un point de vue.

        Sans l’islam, en Algérie, on finirait par être les fervents défenseurs du LGBTISME et de la «  »dégénéré-sens » » en singeant les occidentaux dont on tend à les prendre en modèle comme si ils étaient le maitre étalon de la morale et la vertu ET dans ce cas, on aura trahi les hommes comme le général Khaled Nezzar et de nos pères fondateurs car à ce moment là, ceci aurait comme message d’avoir rejeté leurs combats pour se soumettre à la domination morale du plus fort, car possédant les armes pouvant imposer la «  »démocratie » » à l’occidentale (1), dont on sait en quoi celle ci est composé ou dit autrement, sur quoi elle repose.

        1 – l’Occident repose ses forces sur un rapport ayant pour finalité de soumettre les autres nations, non occidentale) comme des sociétés de seconde zone, ils pratique déjà cela entre eux, imaginez un instant avec les autres.
        IWEN

          Abou Stroff
          31 décembre 2023 - 7 h 44 min

          permettez moi de souligner que je ne rejette pas l’islam en tant que religion.

          je pense que chacun a le droit de donner un sens à sa vie et la religion peut aider certains à surmonter leur angoisse existentielle qui découle du fait que nous savons (contrairement aux animaux) que nous allons mourir.

          ceci étant dit, je critique simplement l’utilisation de la religion, par les couches dominant les pays dits musulmans qui « enfument » les individus lambda en leur faisant croire que le monde dans lequel ils vivent est régi par des lois divines.
          je pense que, pour limiter l' »enfumage », et permettre aux individus lambda de croire en eux mêmes et en leurs capacités intrinsèques, il nous faut écarter la religion de la gestion de la « cité ».

          en outre, reconnaissons que dans toute religion (quelle qu’elle soit), on peut toujours trouver la chose et son contraire. par conséquent, ceux qui nous dominent trouveront toujours des arguments au sein des textes religieux qui les confortent dans leur domination et qui pérennisent leur domination (voir les « féodalités » du golfe, et notre voisin de l’ouest, entre autres).

          PS: reconnaissons que la vermine islamiste nous a promis, grâce à sa propre interprétation de la religion, le paradis sur terre, tout en se préparant à nous faire vivre l’enfer sur terre.
          Heureusement qu’il y avait des Hommes de la trempe de Nezzar pour dire halte à la descente …………… aux enfers que la vermine islamiste nous avait échafaudé.

          Kadour El Vingtquatre
          31 décembre 2023 - 23 h 51 min

          Avec tout mon respect mon cher inconnu tu fais trop d’amalgames, trop d’approximations, trop de projections et trop raccourcis.
          Sur l’amalgame. La spiritualité n’est pas l’exclusif ou le monopole de la religion. Je peux puiser du sens ou de la félicité en contemplant une plante de tomate pousser, ou dans le dévouement désintéressé d’une maman pour son bébé ou encore dans le baisé passionné d’un couple amoureux. On peut vivre pleinement ces moments de grâce sans l’appel à un dieu ou à une religion. La modestie est d’accepter cette part du mystère qu’est la vie.
          Expliquer la dégénérescence lgbitiste par l’absence de religion est un raccourci fâcheux. Ce mouvement est le résultat d’un processus complexe qui ne saurait être réduit à un manque de spiritualité. Perso, je le mets sur le dos d’un programme planifié pour phagocyter les nations par le biais de cette chose qu’on appelle les minorités ( j’admets que j’ai un biais nationaliste).
          Concernant l’islam, je rejoins le propos d’Abou Stroff en le complétant par les précisions suivantes. L’islam, comme toute religion est un triptyque. Il faut distinguer l’islam culturel, de celui de la foi, de celui politique. L’islam culturel est une composante identitaire d’une nation. Tous les Dz s’y reconnaîtront quand j’évoque la célébration du l’aid lkbir, le mouloud, la circoncision, la table de ramadan…sans pour autant être un croyant. L’islam de la foi (cad l’islam en tant que religion) est de l’ordre de l’intime. Je vois dans l’ostentation religieuse au mieux un vulgaire exhibitionnisme, au pire un calcul politique de domination. Ceci m’amène au 3e islam, l’islam politique qui ne peut être qu’un fascisme. Et vu l’histoire de l’islam politique, c’est un impérialisme négateur des nations. Comme je suis nationaliste, l’islam politique (cad l’islamisme sous toutes ses variantes) est un ennemi existentiel. Je finis par re-préciser le disclaimer d’Abou Stroff, je n’ai rien contre l’islam. Mieux encore, l’islam (religion) gagnera s’il reste éloigné des charognards politiques et des polémiques stériles

    Hamid
    29 décembre 2023 - 21 h 10 min

    I was really shocked to read the sad news that my Hero General Nezzar passed away , with tears in my eyes , I sincerely express my heartfelt condolences to his Family .Lah yarhamo .A true Patriotic ! May Allah bless our country and its Chouhada ! Tahia Eldzair now and always ……………..

    Un géant s'en va !
    29 décembre 2023 - 20 h 11 min

    Il a su juguler le mal islamiste en faisant preuve d’un sang froid que seuls les hommes purs possède.
    Il a su organiser la résistance contre des assassins sans scrupules qui ont ciblé la population civile et notamment ses élites, ses intellectuels, ses femmes et n’ont même pas épargné les femmes qu’ils ont kidnapées, violées et lâchement assassinées.
    L’Algérie est fière de t’avoir compté parmis ses meileurs fils !
    Allah Yerahmek !
    Condoléances à toute ta famille.

    sabrina
    29 décembre 2023 - 20 h 03 min

    Bonsoir à vous tous , certaines peines de la vie sont difficiles à surmonter et perdre un être cher est la plus terrible de toute .Mais le souvenir de l’être aimé reste vivant en chacun de nous je vous présente mes sincères condoléances

    SDT
    29 décembre 2023 - 20 h 01 min

    Toutes mes condoléances à la famille de Khaled Nezzar.

    A di sgunfu di talwit.

    Khaled Nezzar connaissait les projets de destruction araboislamobaathistes dont les maîtres d’œuvre sont les mêmes conquérants et colonisateurs depuis toujours et les maîtres d’ouvrage ces marionnettes arabes, les interfaces de ces conquérants.

    Merci mon Général !
    29 décembre 2023 - 19 h 59 min

    Merci pour avoir nettoyé l’Algérie des rats et traitres, votre décès est un bras d’honneur à eux et à la Suisse car tu es mort dans ton pays.

    UN GRAND HOMME- ALLAH Y RAHMO
    29 décembre 2023 - 19 h 53 min

    Il y a des Hommes qui marqueront de leur destin l’histoire de leur pays.

    Le général NEZZAR est de ceux-là.

    Il a honorablement défendu son pays. Il l’a fait de façon désintéressé et avec noblesse.

    Il laissera dans nos mémoires et dans l’histoire une empreinte indélébile et les générations futures n’oublieront pas le nom du sauveur de l’Algérie.

    Sans lui, l’Algérie serait une république islamique dirigée de PARIS et de TEL AVIV.

    REPOSEZ EN PAIX MONSIEUR NEZZAR et que Dieu vous accueilli dans son vaste Paradis- Inchallah- Amine.

    Brahms
    29 décembre 2023 - 19 h 24 min

    Le stress de la justice Suisse a déclenché une maladie dans son corps,

    Condoléances à sa famille et courage, tout le monde y passera dans le linceul. La mort c’est le prolongement de la vie mais dans un autre monde, l’âme sort du corps pour partir ailleurs.

      Anonyme
      29 décembre 2023 - 20 h 14 min

      De quel droit la Justice suisse pouvait elle juger l’Etat algérien !
      Khaled Nezzar faisait partie de cet État !
      De la souveraineté nationale !
      Que la suisse ?? s’occupe du blanchiment de l’argent sale de la drogue du terrorisme du crime organisé …

      Adhrar DZ
      29 décembre 2023 - 21 h 32 min

      Ate yarhme Rabi in cha Allah
      Aye argaz la3ali.

    Merci à vous, mon général, pour la sauve garde de notre nation.
    29 décembre 2023 - 19 h 20 min

    IWEN

    Anonyme
    29 décembre 2023 - 18 h 53 min

    Un grand patriote s’en va , les Algériens ne t’oublieront pas , repose en paix nous appartenons à Allah et à lui nous retournons.
    Sincères condoléances à sa famille et à tous ses proches.

    Bamar
    29 décembre 2023 - 18 h 30 min

    la justice suisse n’est légitime en rien a jugé des anciens responsables Algérien plus généralement les tribunaux occidentaux obéissent a des intérêts qui leurs sont propres est surtout quand t’il s’agit de s’en prendre a des pays Africains en particulier qui n’obéissent pas a leurs intérêts par contre ils sont amnésique quant c’est leurs semblables …..

    Elgringaxchuchichulo
    29 décembre 2023 - 18 h 27 min

    Allah yrahmou un grand homme de perdu pour l’Algerie. Mes sincères condoléances à la famille. Général d’où que tu sois je te remercie du fond du cœur pour tes prouesses durant la décennie qu’on préfère oublier
    qu’il repose en paix InchAllah

    Nord-africain
    29 décembre 2023 - 18 h 08 min

    Toutes mes condoléances à la famille du défunt!C est un homme que j admire,il est (avec le défunt Ben Ali) le premier à juguler les islamistes en Afrique du Nord!Que Dieu ait son âme!LAlgérie vient de perdre un grand homme!

    ALLAH YARHAMEK YA SI NEZAR.
    29 décembre 2023 - 18 h 07 min

    Un symbole de l’anti-terrorisme vient de nous quitter. Nous gardons de lui l’homme intègre, courageux et profondément patriote. Il a toujours été égal à lui-même dans les conditions les plus difficiles, de la guerre anti sioniste sur le front égyptien, jusqu’à 1999 année de la fin des exactions du GIA et compagnie.
    REPOSE EN PAIX SI KHALED NEZAR et que Dieu t’accepte dans son vaste Paradis- Inchallah- Amine.
    Toutes mes condoléances à sa famille et ses compagnons de lutte.
    VIVE l’Algérie fière, Libre et indépendante. Vive l’Armée Nationale Populaire notre fierté et notre honneur.
    Gloire à nos martyrs. .

    Anonyme
    29 décembre 2023 - 18 h 03 min

    « ………Je ne serai jamais l’alibi commode qui permettra de salir l’Algérie, son Etat et son armée. »
    Jusqu au dernier souffle , l Homme est resté à la Hauteur de son Engagement ….Merci !

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