Hyène domestiquée

Boualem Sansal
Boualem Sansal. D. R.

Par Mohamed El-Maadi – Il est des écrivains qui dérangent le pouvoir et d’autres qui servent les puissances. Boualem Sansal appartient à la deuxième catégorie : celle des intermédiaires dociles, des hyènes dressées, des intellectuels de service qui se nourrissent de la haine qu’ils jettent sur leur propre peuple – à la demande d’une clique internationale bien huilée, toujours prête à récompenser la soumission maquillée en courage.

Boualem Sansal ne parle pas de l’Algérie, il la dévore. Il ne la critique pas, il la condamne sans appel, avec l’acharnement d’un homme qui a troqué toute loyauté pour une carte de visite dans les cénacles parisiens. L’Algérie est pour lui un décor d’horreur perpétuelle, une terre sans salut, un peuple perdu, une langue abîmée – tout est bon à jeter, à piétiner, à vendre en paquet cadeau au public occidental friand de récits indigènes d’autodestruction.

Mais attention : Sansal ne travaille pas seul. Il n’est pas un loup solitaire. Il est l’expression littéraire d’un système globalisé. Derrière lui, une clique internationale : éditeurs bien-pensants, journalistes orientés, institutions littéraires occidentales en quête de «bons Arabes» bien obéissants. Une meute feutrée, mais puissante. Elle sélectionne ses «voix dissidentes», les façonne, les expose, les félicite. On les appelle «écrivains libres». Ce sont surtout des relais dociles d’un empire culturel sournois.

Sansal est leur modèle. Il parle comme ils veulent qu’il parle. Il ne dit jamais ce qu’un peuple blessé pourrait entendre – il dit ce que l’Empire veut que le monde croie : que l’Algérie est un gouffre, que l’islam est un cancer, que l’arabe est une impasse, que la jeunesse est irrécupérable. Aucun espoir, aucun combat, aucune nuance. Seulement du poison bien conditionné, à destination des salons littéraires, des colloques en Sorbonne, des revues postcoloniales où l’on applaudit dès qu’un indigène tape sur les siens.

Mais que vaut un écrivain sans lecteurs ? En Algérie, on ne lit plus Sansal. On le connaît, on l’a entendu, on l’a traversé – et on l’a laissé derrière. Il est devenu un corps étranger, un auteur d’exportation, un produit calibré pour la consommation culturelle européenne. Il n’écrit plus pour son pays. Il écrit contre. Et c’est précisément pour cela qu’on le célèbre là-bas et qu’on le rejette ici.

Il ne faut pas s’y tromper : il n’est pas censuré. Il est désavoué. Par la rue, par les jeunes, par ceux qui vivent l’Algérie réelle, complexe, imparfaite – mais vivante. Sansal, lui, a choisi l’Algérie morte. Celle qu’il enterre à chaque roman, à chaque discours, à chaque prix.

Il aurait pu être une conscience. Il a préféré être un complice. Il aurait pu être une voix de réforme. Il est devenu un porte-voix de dégoût programmé, l’écho d’une clique sans racines, sans mémoire, sans lien avec la chair du peuple.

Boualem Sansal est aujourd’hui le visage littéraire d’un mépris globalisé. Il est la preuve que la littérature peut être utilisée non pour libérer, mais pour servir une entreprise d’humiliation, contre rémunération symbolique.

Et dans l’histoire de l’Algérie, son nom restera. Non pas comme celui d’un écrivain libre, mais comme celui d’un ex-fonctionnaire devenu hyène de l’empire, au service d’une clique internationale qui ne cesse de chercher des plumes pour faire le sale boulot.

M. E.-M.

Comment (22)

    salim Bensalem
    3 juillet 2025 - 18 h 00 min

    BRAVO M.E.M !
    J’aurais pu rajouter autres choses et il y’en a comme tu dois le savoir.

    1°Je l’ai vu venir depuis qu’il a écrit son torchon intitulé  » le village de l’allemand  » dans lequel il a voulu salir l’histoire de la guerre de libération nationale, seule guerre engagée par nos vaillants moudjahidines pour libérer notre nation.
    Nous n’avons aucune gêne à affirmer que nous sommes presque la seule nation à avoir arraché sa liberté et son indépendance par un lourd sacrifice. Rien nous a été donné ! Nos ancêtres ont tout arraché avec dignité !

    2°Je l’ai vu continuer en se mettant au service de l’extrême droite quand il a stigmatisé les jeunes de l’émigration lorsqu’ils sont sortis fêter le sacre des verts à l’occasion du trophée de la CAN 2019.

    3° Conclusion:
    Que veux tu ?
    La colonisabilité ne touche pas uniquement des citoyens ordinaires, elle atteint même des diplômés (intellectuel: je le lui réfute) comme Sansal.
    Lorsque Rachid BOUDJEDRA, les a qualifié de contrebandier de l’histoire, il avait déjà commencé à sonner l’alarme, mais comme tu le dis si bien, il a été traversé, pour finir dans la poubelle de l’histoire.
    Merci M.E.M.

    Dr Kelso
    3 juillet 2025 - 17 h 55 min

    Pour reprendre @Médiocre Pour Les Nuls
    6 novembre 2024 – 5 h 47 min
    Cela me fait vraiment plaisir de voir ce genre de récompense décerné à un scribouillard comme Daoud, la France a atteint un niveau de médiocrité on se demande si dans ce pays il y a eu des écrivains ou poètes, avec des pseudos écrivains ou pseudos philosophes tel que bhl ou attali la France n’est en aucun cas un pays de littérature ce pays est une arnaque.

    Abou Stroff
    3 juillet 2025 - 17 h 30 min

    parlant de sansal, M. E.-M avance un « ex-fonctionnaire devenu hyène de l’empire, au service d’une clique internationale qui ne cesse de chercher des plumes pour faire le sale boulot. »

    -primo, dans un monde qui est tout sauf un monde des Bisounours, chacun a le droit le choisir son camp et de défendre, bec et ongles, ………………….. son camp.

    -secundo, un « boulot » peut être considéré comme « sale » par une partie (celle dont le dit boulot est en opposition à ses intérêts palpables et quantifiables) et tout fait clean par une autre partie (celle dont le dit boulot renforcent les intérêts ….. palpables et quantifiables).

    -tertio, il n’y a aucune raison de croire que, dans un monde où la contradiction est le moteur de l’histoire, il y aurait des « gentils », d’un côté et des « méchants » de l’autre, les gentils étant, bien entendu, ……………. nos augustes personnes.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part qu’en tant que produits d’une lutte anticoloniale de plus d’un siècle et d’une guerre d’indépendance de plus de 7 années, nous, les algériens, avons l’obligation d’être anti-impérialistes et …………… anti-sionistes et de considérer que sansal et ceux qu’il sert, sont nos ennemis sans que nous nous sentions, en baissant le …………. niveau, obligés de traiter le sansal d’hyène ou de ………. gnou

    wa el fahem yefhem

    Anonyme
    3 juillet 2025 - 16 h 44 min

    on devrait décerner le prix de la naiveté a l’agerie, rappelez vous lors de l’affaire du drone, les etudiants maliens presents sur le territoir voulaient sagager alger,d’autres voulaient envahir le bled en 24heures,quant aux marocains, pour eux l’ennemi principal c »est l’algerie et pas l,entité sioniste,donc, continuons a déverser du fric sur l’afrique'( un milliard) en esperant une hypotétique reconnaissance qui ne viendra jamais et on s’etonne que sansal qui a bénéficie de tous les privileges crache sur son pays d’adoption !

    Cubano1997
    3 juillet 2025 - 15 h 05 min

    Avant d être un larbin de l extrême droite française revancharde et nostalgique de la colonisation, il est d’abord un agent du Mossad et bénéficie par la même du soutien puissant et inconditionnel du lobby israélien qui a fait main basse sur tous les médias et la majorité de la classe politique ainsi que du pouvoir judiciaire en France. Beaucoup de français se rendent compte de cette situation mais sont neutralisés par les menaces de répression avec cette épée de Damocles au-dessus de notre tête : l accusation d antisémitisme avec toutes les représailles qui vont avec. Certains disent même qu ils ont l impression que la France est traitée comme une république bananière voire pire pour un protectorat ou une colonie israélienne. Le profil de la très grande majorité des soutiens fanatiques de Sansal est exactement le même que celui des partisans enragés de Netanyahu.

      Dr Kelso
      3 juillet 2025 - 16 h 01 min

      @Cubano1997
      Exactement et excellente conclusion.

    DBoudiaf
    3 juillet 2025 - 14 h 19 min

    Ainsi, il a été canonisé grand écrivain devant l’éternel par cette classe de journaleux et autres écrivaillons putrides. Sur un plateau de débiles qui l’encensent et déblatèrent à longueur de journée, il est à parier que plus de 90% n’ont pas lu ses livres ou alors ils n’ont pas idée de ce qui y est écrit. Tout le monde se réclame comme son ami : X. Driencourt, B. Retailleau, P. De Villiers, toute la fachosphère qui émarge au Quai d’Orsay

    « En Algérie, on ne lit plus Sansal. On le connaît, on l’a entendu, on l’a traversé – et on l’a laissé derrière. Il est devenu un corps étranger, un auteur d’exportation, un produit calibré pour la consommation culturelle européenne. Il n’écrit plus pour son pays. »
    Très bien dit, et depuis belle lurette, il n’y a qu’à retrouver les traces de plusieurs grandes plumes qui, depuis plus de 10 ans, ont dénoncé les dérives de ces renégats (B. Sansal, K. Daoud et d’autres qui alimentent maintenant les rubriques des journaux Le Point, Marianne, Le Monde, etc. pour baver sur l’Algérie contre une assiette de lentilles), dont l’illustre R. Boudjedra avec « Les contrebandiers de l’Histoire ».

    « … un produit calibré pour la consommation culturelle européenne. »
    À ce propos, sans indicateur sur la portée des écrits de BS et KD en dehors de la France, au risque de me tromper, je pense que même si traduction il y a, les lecteurs ne doivent pas être légion et l’adhésion à leur « idées » encore moins. Je pense qu’un Britannique, un Allemand, un Italien, un Espagnol, un Slovène, et j’en passe peut avaler une pilule ou deux dès qu’il s’agit de taper sur l’Islam et les musulmans, mais un esprit européen éclairé comprend très vite qu’ils sont des agents de la DGSE qui les utilisent pour régler des comptes avec l’Algérie.
    Le problème, c’est qu’il nous faut une armada de grandes plumes (Algérie Patriotique en regorge) et d’intervenants sur le Web pour contrer les campagnes enragées menées par les Français au niveau du Parlement européen par exemple. Comment faire comprendre aux Européens, peuples, parlement et exécutifs, qu’il n’est pas dans leur intérêt de soutenir « bêtement » les Frenchies qui les induisent en erreur ?

    Bou-vilène
    3 juillet 2025 - 13 h 45 min

    Il n’y a pas lieu que de s’attarder avec ce minable , un détail pour les défis d’aujourd’hui et de demain de l’Algérie . Les petites pédales et mal biaisées des déchets de la France si cela leurs sied de continuer à se pisser dessus pour cette insignifiant .

    Abou Stroff
    3 juillet 2025 - 13 h 38 min

    « Hyène domestiquée » titre M. E.-M.

    je pense que,du point de vue littéraire, le texte de M. E.-M. est un chef d’oeuvre. par contre, du point de vue de l’analyse politique, le texte est d’une pauvreté remarquable et d’une stérilité avérée.

    en effet, le lecteur naïf que je suis, ne vois qu’une critique superficielle d’une posture (celle de sansal) qui mérite beaucoup plus que de simples insultes qui ne font pas bouger, d’un iota, le schmilblick.

    wa el fahem yefhem.

    Aucun pays, pas même une puissance, ne fera jamais ce que la france à fait pour ce traître-espion. Le service rendu par cet espion Sang-sale au régime de paris est à peine imaginable. Même pendant les deux guerres mondiales, aucun français n’a reçu un soutien aussi important que cet traître-espion… Il y a donc quelque chose derrière toute cette tromperie. Je ne crois jamais que ce soit parce qu’il écrit en français, parce qu’il y a de meilleurs écrivains dans la langue de Molière, même ceux qui ont sacrifié leur vie pour la france.

    Il y a des milliers de prisonniers français dans le monde, dont 13 condamnés à mort à l’étranger, mais ni les médias, ni les moutons de Panurge, ni les politicards corrompus du régime parisien n’en parlent quotidiennement, comme ils le font du cas de l’espion traître «sang sale». Ce dernier sera naturalisé français en juin 2024 pour services rendus à la france et, surtout, pour pouvoir utiliser sa nationalité française à 1/75 % comme moyen de pression contre son pays d’origine, l’Algérie.

    Avez-vous déjà entendu Rotuyo, Marine Lapeine, Zemmour ou Chiotty pleurer leurs prisonniers comme ils l’ont faite pour Sang-sale? Pourquoi ne pleurent-ils pas leurs compatriotes d’origine française? Plus précisément, ils ne sont d’aucune utilité pour augmenter les taux d’intérêt personnels des politicards lors des élections, leurs noms ne pèsent pas lourd face aux noms des Algériens critiqués et insultés sur les plateformes médiatiques racistes, ils ne peuvent pas être cité en exemple dans l’espionnage et les complots contre l’Algérie et, qui plus est, ils sont détenus ailleurs, soi-disant, et devraient l’être, en Algérie. Ce sont donc des citoyens français inutiles, à but non lucratif, dont les noms sont gravés s-o-u-s les bureaux des politicards du régime voyou de paris.

    Ne vous méprenez pas, la france n’abandonnera pas l’Algérie aussi facilement et ne la reconnaîtra pas comme un pays souverain, libre et indépendant. Le régime voyou parisien et ses nostalgiques n’oubliera et ne pardonnera jamais à ceux qui ont soutenu l’indépendance de l’Algérie, comme je l’ai écrit à maintes reprises, et il a une politique et un traitement de faveur à l’égard de l’Algérie, ponctués d’actions sournoises, de conspirations et de complots visant à forcer l’Algérie à se soumettre à la france.

    Bref, il y a aussi la jalousie des moutons français. Cependant, la jalousie nostalgique de la droite et de l’extrême droite peut être le motif sous-jacent ou la cause de certains crimes, déstabilisant le gouvernement, influençant la politique, y compris ceux qui peuvent être considérés comme ayant des implications politiques, n’est-ce pas, M. Xavier?

    Lee Chung
    3 juillet 2025 - 12 h 32 min

    Article très mordant et très vrai avec lequel je suis d’accord sauf quand son auteur dit que Sansal est un intellectuel et un écrivain. Boualem la fofolle n’est ni l’un ni l’autre. C’est juste un marchand de tapis qui a trouvé la combine pour vendre sa camelote. Et je me demande quelles étaient ses intentions en allant provoquer les Algériens sur leur territoire ? Provoquer une crise diplomatique ? Une guerre? S’ériger en martyr? Etre canonisé par le pape? Obtenir le prix Nobel ? Sinon,l’autre jour, Abdou  » le tocard » Semmar a invité Mohamed Sifaoui et Sifaoui a parlé d’Islam et a même voulu nous la jouer expert en Islam . Ils ont vraiment trouvé le bon filon ces empaffes

      Anonyme
      3 juillet 2025 - 15 h 26 min

      De sentsal, il s en servent uniquement pour s en prendre à l Algérie : si Tebboune le gracie, il crieront sur tous les toits qu ils ont fait plier l Algérie, redevenue toute petite grâce aux grands français comme retato et autres zigotos.
      Si Tebboune ne gracié pas sentsal, comme l attend tout le peuple d Algérie, il feront tout au sein de l EU pour nuire aux intérêts économique de l Algérie.

    MADANI
    3 juillet 2025 - 12 h 24 min

    L’Algérie est prodigue, elle accueille les immigrés du voisinage, les instruit, les soigne, leur offre des poste de responsabilité, elle consacre des milliards de dollars pour aider les pays du Sahel, annule des dettes sans rien demander en échange et pour quel résultat ?
    La félonie, la trahison, la calomnie des individus et des « états ».
    Il faut en finir avec l’angélisme et le romantisme anachronique car l’Algérie dérange, ses principes érodent la politique de la jungle des « grandes » puissances (USA, Russie, GB, Chine, France, Inde,…) d’où des campagnes hostiles venant de « frères », « d’amis », d’alliés, de partenaires, de l’ex colonisateur, de voisins girouettes visant à l’intimider ou à la freiner dans sa démarche de souveraineté ombrageuse.
    La morale de l’histoire : faire le ménage à l’intérieur, adoption d’un code pénal plus sévère pour les cas de trahison, d’atteinte à la sûreté de l’État, à l’intégrité territoriale, déchéance de nationalité des aboyeurs médiatiques de Paris et d’ailleurs, conditionner toute aide à des positions politiques cohérentes avec les nôtres, remplacement des dons par l’investissement rentable pour les populations et les infrastructures restant notre propriété.

    Simba
    3 juillet 2025 - 12 h 18 min

    Dans la savane les hyènes se font bouffer par les lions, moralité :On a toujours besoin d’un plus féroce que soi.

    Vous qualifiez boualam sansal de hyène domestiquée. Moi je dirais plutôt que c’est un chien de l’enfer. Un de ces canidés de couleur grise que ses maîtres n’ont pas eu du mal à apprivoiser. Un sale harki fils de marokki harki.
    Les chiens gris ne font pas de chats gris. Et ce chien gris de sansal est bien aigri.

    Anonyme
    3 juillet 2025 - 11 h 13 min

    Deux choses: je ne me réfèrerais pas à lui comme étant un intellectuel et qui vous dit que c’est un algérien; du moins de souche.

    Brahms
    3 juillet 2025 - 10 h 45 min

    Il a une coiffure à la Johnny,

    Il ne fait ni sa prière, ni le ramadan et ni la zakat ça se voit sur sa tête. Il a trahit son pays d’origine en vendant des secrets pour avoir des modestes prix à 3 000 € pensant ainsi être le centre du monde.

    Que la France nous redonne l’argent de Abdeslam Bouchouareb (500 millions d’euros détournés) et on lui enverra son paquet de cadeau.

    Enfin, les hsitoires sur l’islam radical sont archi-connues, c’est la cia américaine et les saoudiens qui ont planté ce poison dans le monde à partir de 1977.

    Partant de là, ces livres ne servent à rien.

      Foued
      3 juillet 2025 - 11 h 39 min

      Il a plutôt une coiffure « à la jaunie ». Un jaune pipi! 😂

    boualem sansal a mis sa plume et sa parole au service de puissances étrangères et de groupes hostiles à l’Algérie et à son peuple. Son carburant c’est la haine.
    Cet écrivaillon ne se reconnait pas dans l’histoire algérienne tout simplement car elle lui est étrangère. Lui le fils de marocain originaire du rif qui se réfugia dans notre pays pour y trouver un avenir plus sûr. Quelle ingratitude!
    Ses racines et sa mémoire ne se trouvent pas en Algérie mais dans notre voisinage, à l’ouest. Ses attaques continues et sa profonde aversion envers notre nation sont à chercher de ce côté là. Il fait le job et son job est l’action subversive. Car boualem sansal est bien un agent subversif qui a été actionné par ses maîtres dans le but de chercher à déstabiliser notre pays en y semant les graines de la discorde.

      🇩🇿 Fodil Dz
      3 juillet 2025 - 11 h 36 min

      boualem sansal est bien un agent subversif. Il faut arrêter de le présenter comme un intellectuel. Son activité liée à l’écriture n’était qu’une couverture. C’est un être mauvais et pervers. Un néo harki avec une sale gueule de camé.

      Z
      3 juillet 2025 - 12 h 44 min

      sang sale repete a qui veut l entendre quil est marocain comme beaucoup de marocain vivant en algerie et pour qui leur coeur bat pour leur roitelet faut etre realiste ces marocains defendrons t il l algerie si elle est agressee ? en iran des milliers d afgans sont expulses pour espionage en faveur de l entite comme quoi faut etre prudent sur la presence d etranger sur notre territoire

      Algérie Patriotique
      3 juillet 2025 - 13 h 03 min

      Il faudrait peut-être faire des recherches sur le père de cette chèvre de boualem sansal pour vérifier s’il était dans le commerce de fruits et de légumes. Lol

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