Un seul héros !
Par Ali Akika – L’Algérie, en lutte pour sa liberté, a choisi «un seul héros, le peuple». Ce sont des mains anonymes d’un peuple en lutte qui ont écrit ce mot d’ordre sur les murs d’Alger et des villes du pays,
Par Ali Akika – L’Algérie, en lutte pour sa liberté, a choisi «un seul héros, le peuple». Ce sont des mains anonymes d’un peuple en lutte qui ont écrit ce mot d’ordre sur les murs d’Alger et des villes du pays,
Par Nabil D. – Trois nostalgiques de l’Algérie française, Saïd Sadi, Kamel Daoud et Farid Alilat, ont prêté qui sa plume, qui sa voix pour étoffer un dossier fleuve concocté par Le Point sur «le peuple kabyle».
Par Lhadi – La lutte contre l’insécurité routière est un grand chantier auquel le président de la République se doit de demander au gouvernement de faire porter un effort particulier et une grande priorité.
Par Khaled Boulaziz – Noëlle Lenoir incarne un paradoxe toxique : la femme de pouvoir qui, au lieu d’élargir l’horizon, le rétrécit. Qui transforme son expérience institutionnelle en arme idéologique.
Par Anouar Macta – Que cherche la France ? A sauver la face ? A détourner l’attention d’un déclin qu’elle refuse de nommer ? Ou à tester jusqu’où Alger est prêt à aller pour préserver un canal de dialogue ?
Par Mrizek Sahraoui – La posture martiale du locataire du vacillant palais de l’Elysée dissimule mal les convulsions d’une France en déclin, engluée dans les échecs diplomatiques et les impasses politiques.
Par Sid-Ali Mokhefi – Les émirs bédouins, au lieu de tourner leurs regards vers Al-Aqsa, se plient devant des puissants qui les traitent comme des serviteurs dociles qu’on récompense d’un sourire méprisant.
Par Saad Hamidi – Gaza est la promesse du sursaut. Car, sous les gravats, elle refuse de mourir sans nom, sans poème, sans combat. Elle est la dernière flamme qui brûle dans la nuit morale de ce monde.
Par A. Boumezrag – L’Europe de ce XXIe siècle, affaiblie et fragmentée, suit la politique étrangère américaine comme un second violon fatigué, malgré ses propres intérêts stratégiques souvent divergents.
Par Anouar Macta – Ce n’est pas l’accord de 1968 qui dérange, c’est ce qu’il rappelle : une dette morale, un passé pesant et une Algérie qui tient tête à cette France qui pleure sur un «cadeau empoisonné».