Selon les services secrets russes : l’Airbus de Germanwings aurait été abattu par l’Otan

Tout peut arriver ? C’est à le croire en lisant l’information selon laquelle le vol 9525 de la Germanwings qui est tombé dans les Alpes, le 24 mars dernier, a été, en réalité, abattu pendant les «manœuvres» de l'Otan qui se déroulaient dans le sud de la France. Autrement dit : c’est l’Otan qui a «descendu» l’A320 de Germanwings, entraînant la mort de ses 150 passagers. Cela peut paraître saugrenu, mais pas plus que la thèse du suicide du copilote avancée officiellement et qui a bénéficié du tapage médiatique fait autour de cela, dès le lendemain de l'«accident». La thèse du suicide du copilote a été, rappelons-le, lancée par le New York Times, de façon suspecte d’ailleurs. Elle a été abondamment étayée par plein de témoignages et de photos diffusés à petites doses mais qui, avec l’effet boule de neige, ont provoqué une avalanche de preuves incriminant le pauvre Andreas Lubitz, présenté comme bouc émissaire, sans se soucier des contradictions qu’elles peuvent renfermer. Sur une chaîne de télévision française, un spécialiste qui a fait 18 ans dans un A320, a relevé, parmi les incohérences de la thèse du suicide du copilote, les propos du procureur qui – sans doute mal informé et, pourquoi pas, désinformé – affirme que l’on entend la respiration du copilote pendant la descente. C’est impossible, dit ce spécialiste. C’est le BEA (bureau enquêtes et analyses) qui a donné les informations au procureur, or, le BEA n’est pas indépendant du pouvoir, fait observer ce spécialiste. «Que veut-on cacher alors ?» s’interroge un journaliste dans le débat. C’est un mystère que la version donnée par un rapport du Service de renseignements russe (SVR) vient éclaircir en révélant que c’est l’Otan qui a «descendu» l’avion à l’aide d’une arme mal contrôlée par les Etats-Unis et qui met en danger la sécurité des avions civils du monde entier. L'accident du Lufthansa Flight LH1172 en France, en mai 2013, serait dû à la même raison. Un rapport du ministère russe de la Défense (MoD) affirme qu’un test du Defense System High Energy Liquid Laser Area (HELLADS) de l'US Air Force consistant à abattre une ogive nucléaire de la Fédération de Russie en simulation a échoué, ce qui a entraîné le crash du vol 9525 de la Germanwings, tuant les 150 personnes à bord. Ce test laser a été tenté à nouveau le vendredi 27 mars, et a provoqué cette fois la fermeture catastrophique du réseau électrique en Hollande du Nord, y compris Amsterdam. On dit que parmi les passagers du vol 9525 de Germanwings se trouvaient deux ingénieurs du Pentagone «spécialisés dans les radars ou justement, peut-être spécialistes du système de défense Hellads qui sert actuellement secrètement, dans les opérations de l’Otan contre la Fédération de Russie». Barack Obama aurait été furieux et aurait refusé de rencontrer les dirigeants de l'Otan qui cherchaient à s’expliquer. Le rapport du ministère russe de la Défense fait remarquer que «de toutes les photos du site de la catastrophe du vol 9525 de Germanwings, qui montrent des milliers de fragments éparpillés sur une vaste zone de plusieurs centaines d'hectares, avec de nombreux ruisseaux et montagnes, aucune ne montre un seul point d'impact identifiable. Les auteurs du rapport estiment que l’on peut «naturellement venir à la conclusion logique que le vol 9525 Germanwings a explosé dans les airs». La thèse qui incrimine l’Otan dans le crash du A320 de la Germanwings est accréditée par le mystère qui entoure le MH370, un Boeing 777 qui devait relier Kuala Lumpur à Pékin le samedi 8 mars 2014, et qui a disparu avec à son bord 239 personnes dans le sud de l'océan indien. Des spécialistes avaient fait le lien avec son survol de la base américaine de Diego Garcia.
Houari Achouri
 

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