La chaîne obscurantiste Al-Magharibia s’attaque à l’Ecole algérienne

La chaîne des basses besognes Al-Magharibia, basée à Londres, poursuit ses attaques ciblant l’Algérie, sa souveraineté et sa stabilité, à travers cette fois-ci l’orchestration d’une campagne délétère visant la personne de la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, et son projet avant-gardiste de réformer le système éducatif national. La chaîne des coups tordus a exploité à fond l’incident des fuites des sujets de l’examen du baccalauréat, édition 2016, pour taper sur un projet ambitieux et somme toute révolutionnaire, initié par une femme qui a lancé, depuis son installation à la tête de ce département, un grand chantier de réformes profondes de l’école algérienne. Un projet dont la finalité est d’assurer la formation de générations d’enfants de l’Algérie, pour leur permettre de vivre au diapason des progrès au niveau mondial, loin des idées rétrogrades, véhiculées par des groupuscules, déterminés à faire bloquer toute tentative de modernisation de la société. L’incident des fuites dans l’examen du baccalauréat constitue force est de constater, une autre indication qui montre clairement que les adversaires du projet progressiste et moderniste que porte Benghebrit ne ratent pas une occasion pour faire valider, à travers leurs relais médiatiques, leur stratégie funeste qui consiste à faire replonger l’Algérie dans les affres des années de plomb, où on incendiait les établissements scolaires, on assassinait les enseignants et on interdisait aux enfants de prendre le chemin de l’école. Pour justement mieux comprendre les desseins des adeptes du chaos en Algérie, il faut juste déplacer les pendules de l’horloge quelques années en arrière, pour revoir les péripéties d’un film d’horreur, dont le scénario a été l’œuvre d’un ramassis d’assassins, qui avaient mené une guerre dévastatrice en Algérie, ayant pris pour cibles l’intelligence, l’esprit d’ouverture et la créativité chez les Algériens. Même les institutions religieuses, dont la mission première consistait à véhiculer les préceptes d’un islam de tolérance de savoir et de coexistence pacifique, n’ont pas été épargnées par les tenants de l’idéologie de l’obscurantisme, qui avaient réussi à transformer les lieux de culte en tribunes politiques pour prêcher la violence, dans son expression la plus abjecte, le terrorisme. Cela étant, l’actuelle ministre de l’Education nationale, qui s’est engagée à rendre aux Algériens leur Ecole, est incontestablement dans le collimateur des ennemis de l’Algérie moderne, prospère et en avance. Sa vision d’une Ecole algérienne contemporaine constitue un véritable rempart devant la menace de l’autre Algérie, heureusement minoritaire, caractérisée par son archaïsme, sa médiocrité et qui est à la traîne des nations civilisées. En tout état de cause, l’incident des fuites dans l’examen du baccalauréat qu’Al-Magharibia tente bon an, mal an, de récupérer à des fins strictement politiciennes est en vérité un incident ordinaire, qui peut survenir dans n’importe quelle société, et ne peut en aucun cas remettre en cause un grand projet de réforme de l’Ecole de la République. Un projet ayant déjà suscité l’admiration d’un grand nombre d’experts internationaux, notamment lors du dernier forum mondial sur l’éducation à Londres. Des esquisses du projet présenté par la ministre de l’Education aux travaux de ce forum, consacré à l’éducation, ont été fortement applaudies par les participants de ce grand rendez-vous qui a réuni plus de 80 pays, un autre marqueur que l’Ecole algérienne est entre de bonnes mains et sur la bonne voie.
Boudjemaa Selimia
Londres

Ndlr : Les idées et opinions exprimées dans cet espace n’engagent que leurs auteurs et n’expriment pas forcément la ligne éditoriale d’Algeriepatriotique.
 

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