Le gouvernement veut «défolkloriser» le 20 Avril

La célébration du «printemps berbère» risque d’être tendue cette année. New Press

Dans le cadre de la célébration du 20 Avril, le wali de Béjaïa a enjoint aux chefs de daïra, à travers une note datée du 13 mars, et que nous avons pu consulter, d’inscrire cette commémoration, «au-delà des activités folkloriques», dans une vision devant inclure l’organisation de conférences thématiques qui «ne seront pas nécessairement liées à l’événement», mais sans en donner d’autres précisions.

Le premier magistrat de la wilaya demande également aux premiers responsables des dix-huit daïras que compte Béjaïa d’associer la population «à travers tous les canaux possibles» à ces festivités.

Tacitement, les chefs de daïra sont invités à éviter toute activité dans la rue ou des galas, contrairement à ce qui a été décidé l’année dernière, lorsque les autorités locales avaient été instruites d’organiser, partout en Kabylie, diverses animations à caractère festif et culturel dont des galas musicaux et des rassemblements de commémoration sur des places publiques. Une initiative qui a été relativement bien accueillie par la population, mais a été vite estompée par les grandes marches organisées par des partis politiques et surtout par le MAK qui ont drainé des milliers de personnes.

Il est fort probable aussi que le souvenir des troubles qu’a connus la wilaya de Béjaïa et ses environs début janvier dernier aient amené les autorités à éviter toute action de rue dans une conjoncture socialement et politiquement si peu opportune. Les différentes forces en présence tenteront, à cette occasion, de faire des démonstrations populaires qui s’annoncent tendues à quelques semaines de l’entame de la campagne électorale.

Rabah A.

Comment (45)

    Anonymous
    20 avril 2017 - 13 h 12 min

    Oui bien entendu, le
    Oui bien entendu, le problème n’est pas Tamazigh ou Imazighenes peuples d’Afrique du Nord, ce qui dérange c’est la scessession du territoire kabyle ou une partie de cette région d’Algérie aux mains de renégats se prétendant être les portes-drapeaux d’une culture plusieurs fois millénaires et partager par de nombreuses personnes.

    Tamnaght
    21 mars 2017 - 11 h 55 min

    @_ Dziri3_Commentaires_du_[17
    @_ Dziri3_Commentaires_du_[17 Mar 2017 – 18:56]_et_[18 Mar 2017 – 11:27]_Partie_3_Monsieur, A. Dans votre lancée effrénée, à chaque fois qu’il s’agisse du « kabyle » d’ailleurs, vous ajoutez : « En 2017 certains kabyles n arrivent pas encore a s entendre sur les caracteres de takvailit et vous osez faire la comparaison.»

    Venons-en à l’état des choses actuel de la langue kabyle (taqbaylit). Taqbaylit est aujourd’hui à peu près à 90 % standardisée – par la seule volonté de ses enfants, souvent à leurs détriments, en subissant les affres de l’Algérie officielle, une précision de taille -. Elle est fixée à l’aide des caractères dit latins issus du punique, voisin de longue durée du libyque [Concomitance entre autre de Carthage/Dougga], ancêtre des tifinagh, comme évoqué brièvement en haut. Sa segmentation est de type morphosyntaxique. Si elle a accusée un retard dans sa fixation graphique, pour des raisons évidentes, étant, à ma connaissance la première langue, dont la standardisation se fera dans un cadre non institutionnel, en tous les cas pas algérien, pays officiel où elle est située géographiquement, elle va bénéficier pleinement de l’avancée de la linguistique, tel que le principe « d’un phonème = un graphème ». L’expérience de la fixation graphique du kabyle en caractères latins est datée selon les sources écrites de la publication de « Grammaire et dictionnaire abrégés de la langue berbère » de Jean-Michel de Venture de Paradis en 1824, Paris, édition Imprimerie Royale, ouvrage qu’il commença à composer à partir de 1788. C’est cet interprète de formation, certainement avec sa seule soif de savoir et l’éthique de sa formation, qui va redonner au kabyle, les caractères que son ancêtre, le libyque avait échangé avec le punique, au minimum à partir de l’an 139 Avant J.-C, après que ceux-ci aient subis des transformations / adaptations à travers les âges. Par carence de temps, je donnerai 2 graphèmes comme exemple. Le « T /t» et le (B/b), fixés en libyque pour le premier par un « ⵜ» et le deuxième par un cercle avec une ligne diamétrale « ⴱ», si ce caractère n’apparait pas comme il le faut, les lecteurs pourront eux-mêmes le vérifier sur le net, dans Wikipedia, par exemple, en saisissant le lexème « tifinagh ». Le « t » latin ainsi que le « B » ne sont que la transformation du « ⵜ» et « ⴱ» du libyque (tifinagh).

    B. Par voie de l’arrogance légendaire de l’idéologie arabo-islamique, à ses dépens, dont vous vous faite le champion, ici, juste après vous rajoutez « Un peu de retenue s.v.p .le temps de naissance des langues est revolu vous pouvez le constater avec internet. » Sur ce point, je porte à votre connaissance, et à votre grand dam, que le moteur de recherche « Mozilla firefox », avant lui Microsoft et Facebook, est entièrement fonctionnel en kabyle depuis quelques jours seulement, et, ouvrez bien les yeux, et cela par la seule volonté, le travail, la persévérance des kabyles jaloux de leur langue et surtout de leur pensée – cette pensée qui a été interdite à Aokas, une petite localité de Bgayet / Béjaia le 4 de ce mois de mars par le régime algérien – et pas par intervention d’un état tel que l’Algérie, qui n’a même pas daigné passer commande à un designer typographe pour la conception de polices de caractères répondant à la phonétique kabyle, langue amazighe, qu’il a « nationalisé » en 2002 et « officialisé » en 2016, mais qui utilise, comme si c’était naturel, la police tifinaghe de l’Ircam, commandée et financée par le royaume du Maroc, lui, qui n’arrête pas de critiquer ce pays, dans la compagne présidentielle de celui qui se fera élire pour un 4ème mandat consécutif pour des raisons démagogiques. Bien au contraire cet État ne fait que mettre les bâtons dans les roues, ce qu’il sait faire le mieux d’ailleurs.

    Je ne vais pas m’étaler Monsieur, ici, sur la production romanesque florissante en langue kabyle, de ces 40 dernières années, malgré le sabotage permanent de l’Algérie officielle et bien entendu par les arabo-islamistes, qui eux, sont plutôt dans leurs rôles.

    Comme vous venez de lire Monsieur, s’il y a quelqu’un parmi nous qui doit montrer de la retenu, et il est très grand temps de le faire, si ce n’est déjà trop tard, en vous mettant au travail, c’est bien vous, un produit de l’arabo-islamisme, cet épouvantail qui a fini par ne faire peur qu’à ses initiateurs, mais pas même à un petit roitelet, de passage !

    E.. Quand à votre phrase « La dichotomie la plus necessaire chez certains Algeriens doit s operer entre LEUR RAISON ET LEUR PASSION. », étant kabyle, je ne suis bien d’accord avec vous. La raison (opportunisme), en effet, m’aurait dicté de me ranger du côté du plus fort, comme vous me semblez l’avoir fait, cet ensemble vide et croque-mitaine de l’arabo-islamisme. Nein, Danke ! Ala tanmirt ! Non merci ! C’est un suicide certain pour quelqu’un qui aime la vie. Il y a comme incompatibilité pour un PASSIONNÉ de la vie. Nous je vous cite « certains Algériens » avons notre propre RAISON. Elle prend comme exemple de l’hébreu, ce fer de lance de l’État actuel d’Israël, que vous jalousez jour et nuit. Quand à l’ouverture vers le monde vous êtes très mal placé pour nous le recommander, à nous, Imaziγen, je vous cite « certains Algériens » ! On l’a tout le temps fait jusqu’à nous perdre (comme c’est peut-être le cas pour vous). Le temps est venu d’être nous même d’abord puis nous habiller du tweed anglais, du tergal français, du lin italien, etc.

    Tamnaght

    Tamnaght
    21 mars 2017 - 0 h 51 min

    @_ Dziri3_Intervention_du_[17
    @_ Dziri3_Intervention_du_[17 Mar 2017 – 18:56]_et_Intervention_du_[18 Mar 2017 – 11:27], Monsieur, je ne peux rien, si des Égyptiens, dans leur contributions à l’encyclopédie en ligne, Wikipedia, écrivent « Misri » en référence à leur koinè (égyptien) et du même coup pour se démarquer de l’arabe (classique, littéraire, standard, etc. pp), qui n’est la langue maternelle d’aucun arabophone.
    Bien à vous. Tamnaght

    berbere
    19 mars 2017 - 10 h 54 min

    BERBERISME ET MONDE DE L
    BERBERISME ET MONDE DE L’ISLAM : beacoup d’algériens par Mawalisme arabiste et par racisme anti-berbériste , par aveuglement idéologique et par parti pris pro oriental et se croyant plus musulmans que d’autres parce que wahabistes et mercenaires du Baath , des royaumes arabes du Golfe ou des prêtres égyptiens , croient que leur islamisme politique de 4 dollars c’est ça l’Islam et rien que ca !!! … Et que les berbères et les berbéristes n’ont pas leur propre vision et leur vécu de l’Islam , ou de l’Histoire musulmane ici et ailleurs ou n’ont pas leur propres opinions du monde arabo-musulman…. ils se trompent lourdement surtout actuellement ou une nouvelle génération de berbéristes lettrés en arabe est entrain de monter et ajoutent d’autres apports militants et intellectuels à ceux des générations berbéristes francisant , et d’autres synthèses théoriques …Les berbères algériens ( et autres ) musulmans à 99% pour ne pas dire 99,99% ne serait-ce que culturellement et sociologiquement , et historiquement marqués par cette religion et cette civilisation , ne vont pas facilement lâcher leurs Parts dans cet héritage , ni ne vont se taire devant le notariat de l’Histoire , pour se laisser dépouiller de leurs Droits dans cet Héritage .. d’abord les lieux saints de l’Islam en Arabie et en Palestine : les berbères vont exiger que ces lieux soient universellement musulmlans et non plus arabes ou saoudiens en Arabie et juifs à Jerusalem seulement et dans cette perspective les berbères qui sont très appréciés , écoutés et respectés , vont trouver des appuis dans la majorité des peuples musulmans même arabes : les perses , indiens , indonésiens , africians , malais , nubiens , égyptiens vont soutenir cette revendication et qui sera la grande bataille de l’ONU et des organisations islamiques les prochaines années .. Ensuite la Ligue Arabe ; il y a une tendance berbériste de sortie de l’Algérie mais il y a une autre tendance berbériste qui a une autre revendication qui consiste à faire prévaloir la voix de l’Algérie et son droit dans cette ligue géopolitique .. donc de quel droit les pays du Golfe qui représentent 2 % de population imposent-ils leurs décisions avec la complicité de l’Egypte qui monopolise cette Ligue .. Pourquoi cette Ligue est exclusivement arabe alors qu’elle devrait être afro-arabe puisque la majorité des pays sont africains et non arabes …Pourquoi le Sahara occidental est membre de l’Organisation Africaine et non de la Ligue arabe ? Pourquoi la Syrie est exclue par le Qatar et l’Arabie saoudite comme si cette Ligue est leur écurie ou leur Hôtel ??? ( A suivre )

    algerie
    19 mars 2017 - 8 h 43 min

    le berbérisme en Algerie a
    le berbérisme en Algerie a connu plusieurs évolutions : au début c’était une prise de conscience identitaire , puis linguistique vers les années 70 contre l’option baathiste imposée peu à peu au FLN algérianniste … , ensuite , après 80 et le printemps berbère en Kabylie , la berbérité a évolué vers des revendications démocratiques en Algérie , .. après 92 et les années d’agression islamiste wahabiste saoudienne est venu l’idée MAK , qui a cristallisé cette revendication dans un kabylisme régional et une tentation fédéraliste après le constat de la saoudisation de la société , mais entre temps le berberisme a été pris en charge dans les autres régions par des générations arabisantes et qui posent d’autres problèmes dans la sphère du monde musulman et surtout l’irruption des guerres du moyen orient .. les intellectuels algériens arabisants rentrent dans le problématique berbère dans l’Histoire generale algérienne .. actuellement tandis que que la Kabylie est partagée par deux options berbéristes , l’une régionaliste et l’autre nationaliste et patriotique , tandis que l’Etat a fini par inscrire cette dimension berbère dans le constitution dans son aspect identitaire et linguistique , tandis que la décantation en Algérie se fait entre les tenants d’un courant wahabiste califale ( frères muslmans) ou monarchiste ( salafistes saoudiens ) et les tenants d’un courant national … Le berbérisme algérien se cherche pour élaborer une nouvelle voie de rassemblement et de combat qui dépasse les aspects revendicatifs identitaires et linguistiques assumés désormais par l’Etat national algérien , mais vers des problèmes de stratégies géopolitiques pour inscrire historiquement les peuples et les nations berbères dans leur destin universel dans un monde globalisé

    MELLO
    18 mars 2017 - 16 h 35 min

    Le régime en place, le même
    Le régime en place, le même qu’en 1980, vient de se faire hara-kiri par l’entremise de son représentant à Bejaia.
    parler du 20 Avril, représentant le printemps berbère, est déjà une avancée fantastique. Pourtant, le même régime avait isolé la région de Kabylie du reste du pays et écrase le soulèvement après quatre jours d’affrontements violents (32 morts, des centaines d’arrestations).Le «Printemps berbère», ou «printemps Amazigh », démontre aussi l’ opposition au régime en place. Pour calmer la situation, le gouvernement avait fait des compromis. Il libère les personnes arrêtées, lève l’état d’urgence et promet de supporter la culture berbère. En août 1980, une conférence sera organisée pour faire le point sur la crise. Des projets sont élaborés pour l’avancement de la culture berbère, mais avec peu de résultats à court terme.
    Les Berbères continueront néanmoins leur lutte, la lutte continue.
    Je vous invite à lire et à relire les démons de l’époque:
    http://www.tamazgha.fr/Les-donneurs-de-lecons-l-article-ordurier-de-Kamal-BELKACEM,540.html

    Anonymous
    18 mars 2017 - 16 h 14 min

    les plus acharnés contre la
    les plus acharnés contre la langue Amazigh ont une personnalité d’islamistes c’est à dire trouble identitaire et trouble de la personnalité. leur grand désir, renvoyer le genre humain à l’état animal. leurs moyens, effacer toute trace de l’histoire humaine passée, tuer toutes mémoires. le syndrome de Palmyre.

    bobid
    17 mars 2017 - 21 h 29 min

    En Algérie, le kabyle n’a
    En Algérie, le kabyle n’a rien contre l’arabe il ne l’est pas c’est tout, par ailleurs l’arabe n’a rien contre le kabyle il ne l’est pas c’est tout……. Ya l’khawa ,et si on se met au travail…. MOI,je crois que c’est mieux.

      Anonymous
      18 mars 2017 - 12 h 50 min

      C’est insidieux , tu
      C’est insidieux , tu entretiens toujours le rapport Kabyle/Arabe sous zaama de bonnes intentions. La matrice de l’Algérie est Amazighe et nous avons hérité de plusieurs culture : phénicienne , romaine, vandale, byzantine, arabe, turque,française .Aujourd’hui , nous sommes Algériens riches de tous ces apports .Ne remuez plus le couteau dans la plaie .

    Anonymous
    17 mars 2017 - 18 h 55 min

    la diversité algérienne;elle
    la diversité algérienne;elle se compose de plusieurs régions;,et chaque région a sa propre spécialité une meilleure en chanson RAI. une autre en percussion derbouka;une autre des autoghoul;une autre les affaires et le commerce de tout genre;une autre gasba et les dattes;d’autre l’huile d’olive;sauf ma région on a rien mais tout nos dirigeants sont riche

    abdallah kerbadji
    17 mars 2017 - 18 h 52 min

    a TANGOWEB54 (17:04),

    a TANGOWEB54 (17:04),
    que vous le vouliez ou non, Massinissa , Jugurtha & autres sont tes ancetres, et si certains algeriens fiers le revendiquent et en sont fiers , ceci n’est pas du tout une « maladie destructrice » ou une « fitna » !,loin de la.
    vous devez etre vraiment sans reperes pour voir en la revendication berbere un « chaos dans le maghreb »,reflechissez-y !.
    par ailleurs, si le berbere est forme de 60% d’arabe et 20% de francais (?), c’est la faute a qui ??, la langue arabe etait la seule reconnue officielle et nationale depuis 62, et n’a fait qu’appauvrir la (et ta) langue berbere : il faut rendre grace a Dieu qu’elle ait survecu jusqu’a aujourd’hui grace a des algeriens courageux.
    Retrousse tes manches et travailles pour redonner a ta langue d’origine et tes racines leurs vigueur et place.
    Un algerien, berbere et fier de l’etre.

    Tangoweb54
    17 mars 2017 - 16 h 04 min

    Le dialecte Berbères composé
    Le dialecte Berbères composé de 60% d Arabe et 20% de Français n à jamais été reconnu par la France qui est resté 132 ans en Algérie,ce n’est qu en quittant notre pays par la petite porte qu elle a intrumentalise ce cancer pour semer la fitna au sein des pays Maghrébins.Pourquoi ne reconnaît t elle pas les vrais langues dans son pays celle de la corse, l ‘Alsacien, le Lorraine, le Breton etc..Pour revenir a l Afrique du Nord ce territoire est un territoire purement Africains il a appartenu aux populations noirs Africainne ,maintenant on veut facilier l histoire en parlant des combattants du Moyen-âge.tels Youghrta et Massinissa ou encore Chechnek.vraiment tout est pour semer le chaos dans le maghréb.C’est la faiblesse des systèmes en place qui a permis cette maladie destructrice, qui evolue exorablement vers l apocalypse

      Ali
      17 mars 2017 - 18 h 27 min

      Donc si je comprends bien l
      Donc si je comprends bien l’Afrique du Nord est arabe ou elle n’existe pas avant les bédouins les sauvages de béni hellal qui ont massacre et brûler et ces grands que vous citez avec méprisant l’un a combatu les romains et l’autre a combatu les égyptien et devenu le faraoun il 2967ans c’est pour cela qu’on fête yenayer pendant ce temps vos ancêtres abou djahel abi laheb enterrent les enfants femelles et s’entretient si j’étais à ta place j’aurais honte d’être aar abii et si tu te sens arabe t’as qu’aller en Arabie Saoudite l’Algérie est amazigh et elle restera

      Chelieth
      17 mars 2017 - 18 h 57 min

      « Pour revenir a l Afrique du
      « Pour revenir a l Afrique du Nord ce territoire est un territoire purement Africains…. » C’est bien tout ca, continue.  » il a appartenu aux populations noirs Africainne.. » Mais tu es un miserable toi. De quelle ecurie sors tu? Sais tu au moins que le mot afrique vient du lexique berbere? Surement pas. « maintenant on veut facilier l histoire en parlant des combattants du Moyen-âge.tels Youghrta et Massinissa ou encore Chechnek. » Mais sais tu au moins quand le moyen age commence et fini? Des abrutis comme toi, il y en a pas beaucoup. Impossible que tu sois un algerien. Epargne nous tes commentaires dignes de quelqu’un qui sort d’un asile psychiatrique ou on l’a prealablement mis a force de se denier. Esperons ne plus relire tes commentaires digne d’un abrutit. C’est a donner la nausee

        mouatène
        18 mars 2017 - 9 h 04 min

        il faut etre vraiment un SNP
        il faut etre vraiment un SNP pour tenir de pareils propos envers un compatriote. quel dommage !!! du pure racisme dans les veines. Allah yadhi ma khalaq.

          chelieth
          18 mars 2017 - 23 h 01 min

          Ya si el mouatene ca te plait
          Ya si el mouatene ca te plait qu’il ait dit que l’afrique appartient aux noirs d’afrique. Que les berberes c’est un concept abstrait. Qu’ils sont venus de ne ne sais d’ou? Moi, en tant que berbere, ca me touche. Dans ma reponse je n’ai insulte ni les arabes (comme toi) ni les berberes arabises (peut etre comme toi aussi) .Je me suis addresse directement a ce aghioul. Alors qu’est ce que tu fais la dedans. STP reste a l’ecart. Ca ne te concerne pas. Pour moi ce bonhomme n’est pas un compatriote, dieu merci. Les insultes, c’est lui qui a commence a les lancer, pas moi. « Men Fomou (bouche) ebdat. » Mouatene veut dire comme tu dois le savoir nationaliste, donc un homme qui aime son pays. Si ce pays appartient vraiment aux noirs commece bonhomme le pretend, alors ton amour pour ce pays est mal place puisque il a ete usurpe aux noirs. Son commentaire fait donc de toi et moi des usurpateurs. C’est comme ca que je vois la chose.

        Tangoweb54
        18 mars 2017 - 12 h 31 min

        Je suis un Algérien plus pur
        Je suis un Algérien plus pur que toi le raciste endoctrine par les pères blancs, je suis un Algérien digne et fière de ma famille qui à donne le meilleur d elle que se soit durant l’occupation Turcs ou pendant la colonisation Française, Moi je n’ai pas la haine de mes autres compatriotes, je ne suis pas régionaliste ni pro -Français, pro-juifs comme toi, je suis plutôt un bon musulman ni extrémiste ni fondamentaliste mais l Islam que hérité de mes parents, je ne suis pas vulgaire comme toi qui utilise un langage ordurier j appartiens à la Nation Arabo-Musulmane et fière de l être.

      Elguerroumi
      18 mars 2017 - 11 h 22 min

      Et si tu nous parlais de tes
      Et si tu nous parlais de tes vrais ancêtres ?
      Ces vandales chassé des côtes africaines et réfugiées dans nos montagnes par les bysantins !!!

    Anonymous
    17 mars 2017 - 14 h 56 min

    ces bédouins sont venaient
    ces bédouins sont venaient garder nos chèvres ils s’emparent de notre pays;le remerciement des ingrats

      Anonymous
      18 mars 2017 - 21 h 37 min

      ces bédouins ya bourourou t
      ces bédouins ya bourourou t’ont sorti de ta grotte où tu vivais tel un sauvage et t’ont enseigné l’islam

    Larnaque
    17 mars 2017 - 13 h 28 min

    Ainsi Mr. le Wali de Vgait a
    Ainsi Mr. le Wali de Vgait a instruit ses services d’inscrire la commémoration du 20 avril 1980, «au-delà des activités folkloriques», dans une vision devant inclure l’organisation de conférences thématiques ». Cela pue la manipulation et la récupération d’un mouvement toujours combattu par ces services aux ordres. S’il s’agissait vraiment d’une décision visant la promotion de Tamazight pourquoi alors avoir interdit, il y a juste quelques jours de cela, la tenue d’une conférence sur cette langue nationale et … officielle? Vous voulez tromper qui????????

    Anonymous
    17 mars 2017 - 12 h 40 min

    personne ne vous interdit
    personne ne vous interdit votre dialecte et ne venez pas le vouloir coller aux autres

      MELLO
      17 mars 2017 - 13 h 19 min

      Qui sont ces autres ? Il
      Qui sont ces autres ? Il existe un seul peuple en Algérie : il est BERBERE. Que tu le veuilles ou pas, car il va de soi que le 20 avril et le mouvement qu’il l’a incarné, en l’occurrence le MCB, n’appartiennent à personne. Privatiser un tel événement est indubitablement un acte grave. Bien que l’histoire retienne les noms des animateurs les plus habiles sur le plan de la communication, il n’en reste pas moins que le mouvement est fait et porté par des étudiants guidés par leur fougue et ayant un sens de responsabilité précoce par rapport à leur âge.

        Anonymous
        17 mars 2017 - 21 h 53 min

        @mello

        @mello
        D’où ponds tu cette absurdité en disant que nous sommes tous berberes, libre à toi si tu te dis berbère mais il y a bien en face 40 millions d’arabes, ceux là ne sont pas sortis du néant je suppose heureusement vous êtes une minorité autrement vous nous aurez éxterminé

          MELLO
          18 mars 2017 - 16 h 09 min

          Puis -je te refaire ton cours
          Puis -je te refaire ton cours d’histoire, l’histoire vraie qu’on t’a contorsionnée ? Le débat secouant la société algérienne sur la question cruciale de l’identité arabe ou berbère de l’Algérie nécessite un retour à la source de ce clivage. L’origine en est, bien entendu, l’expansion arabe en Afrique du nord.
          Fervent partisan d’un socialisme autoritaire, Houari Boumédiène, à la faveur d’un coup d’État le 19 juin 1965, mit en place un pouvoir autocratique C’est sous son régime que commencèrent les premières campagnes d’arabisation dans l’«Algérie nouvelle». L’arabisation devint l’«option fondamentale de l’Éducation nationale». La politique d’arabisation suscita de profondes tensions dans la population. Celles-ci aboutirent à des heurts parfois violents entre les étudiants, comme en mai 1975, à Alger et à Constantine. Comme le disait si bien Kateb Yacine: Si l’Algérie est Arabe, alors pourquoi l’arabiser ? Si l’Algérie est Amazigh, alors pourquoi l’arabiser ?
          Un cas de conscience , n’est ce pas ?

          Anonymous
          18 mars 2017 - 21 h 17 min

          Donc celon avant Boumedine
          Donc celon avant Boumedine nous n’étions pas des arabes (encore un autre oeuf pondu) et puis quel est ton problème avec l’arabe, libre à toi d’étudier ton dialecte mais ne l’imposez pas aux autres, je n’aime pas votre charabion, et libre à toi si tu n’aimes pas l’arabe
          vive Houari Boumediene paix à son âme
          je sais tres bien que vous ne le portez pas dans votre coeur
          l’algérie est arabe que ça vous plaise ou non et dez maahoum

          Anonymous
          19 mars 2017 - 15 h 27 min

          Voila le « alif » qui ne veut
          Voila le « alif » qui ne veut pas rentrer dans ta petite cervelle, car le problème ce guère BOUMEDIENNE, car seul Dieu peut le juger, il est entre ses mains. Mais c’est cette politique d’arabiser un pays qui se dit arabe.
          Dez maahoum, reste cette insignifiante réponse venue d’en bas.
          Pour revenir au sujet, des jeunes de kabylie ont compris que les droits de l’homme c’est d’abord le devoir d’être des hommes et de se battre pacifiquement pour la démocratie, le droit d’être des Algériens à part entière passe par le devoir d’assumer sa berbérité qui est irréductible au couscous et au burnous. Le même phénomène d ’automobilisation par la base fervente et responsable, la même réponse massive. Le résultat le plus concret a été le déblocage historique de l’opinion algérienne et la réactivation de la vie politique algérienne. A travers la survie de la langue berbére, les Algériens comprennent de plus en plus que l’enjeu est la démocratisation de la vie politique, économique et culturelle. Ceux qui dénient ce droit le traitent comme une simple survivance folklorique.
          Le berbère est la langue la plus ancienne du bassin méditerranéen la langue arabe n’est sortie de la péninsule arabique qu’au VII° siècle. Donc ne parlons pas de survivance berbère, mais de permanence culturelle avec une persistance linguistique phénoménale le tifinar est l’un des plus vieux alphabets du monde.

          MELLO
          19 mars 2017 - 16 h 13 min

          @Anonymous , merci cette
          @Anonymous , merci cette réponse sarcastique et méritée.

      muhand
      17 mars 2017 - 13 h 27 min

      Pauvre idiot
      Pauvre idiot

      muhand
      17 mars 2017 - 13 h 28 min

      Ce sont des gens comme toi
      Ce sont des gens comme toi qui nous ont conduit dans l’abîme. Le Tamazight est une langue comme toutes les autres ce n’est donc pas un dialecte. Ensuite si tu ne veux pas de cette langue ta place c’est ailleurs en Arabie chez les nomades du désert. Finalement tu faites pitié parce que tu as été façonné pour acquiescer sans même chercher à savoir.

      Anonymous
      17 mars 2017 - 14 h 15 min

      Idiot , vous ferez mieux de
      Idiot , vous ferez mieux de vous cultiver et de connaitre l’histoire de votre pays sans verser dans aucune extrême : vive le peuple Algérien dans toute sa diversité.

      Tamnaght
      17 mars 2017 - 14 h 32 min

      @_Anonymous: Personne ne vous
      @_Anonymous: Personne ne vous a non plus interdit la pratique du votre, sauf que comparé au notre, votre dialecte nous est imposé spatialement, sous ses formes orale ou scripturaire, partout y compris en Kabylie même: La justice, les medias de tout genre, l’éducation (l’école, lycée), l’administration, la rue (la police qui règle la circulation en Kabyle), … depuis 1962. Pour comprendre la situation terrible de la pratique langagière dichotomique (kabyle / arabe) en « Algérie », régie par la politique de « deux poids, deux mesures, il suffit – bien entendu pour ceux et celles parmi les lecteurs de AP, soucieux de l’avenir de ce pays – de renverser la situation, c’est-à-dire de substituer la pratique langagière « arabe » par « kabyle » et par extension « tamazight », pour ne citer que ces deux dialectes pour ainsi dire rester dans la réponse à « Anonymous ». Pour un débat constructif, néanmoins, je me sais redevable par cette contribution aux lecteurs d’AP de la définition donnée d’une « langue » et d’un « dialecte » sur le plan linguistique stricto sensu, donc neutre, selon le linguiste yiddish Max Weinreich. Selon ce linguiste, « une langue est un dialecte avec une armée et une flotte », ce qui fait qu’une langue est un dialecte qui est répandue par la force, la puissance, la détermination, … in fine une décision politique d’un État souvent au détriment des autres dialectes. Voir à ce titre la genèse de ce qui est aujourd’hui connu comme « langue française », qui au faite n’était au début la langue de la seule « Île de France », centre militaire de la France d’alors ! Où le cas justement de « l’arabe », communément appelé standard, aujourd’hui, langue au moyen duquel est fixé le coran était le dialecte des seuls Quraychites, et pas celui de Médine [Yathrib], où ont immigré et vécu des Qorayshites par exemple. Après qu’une femme, oui une femme, durant le règne du calife Othman, ait ordonné de rassembler les fragments du coran parmi les communautés musulmanes du temps, des années après le décès du prophète de l’Islam, pour en faire ce qui est aujourd’hui connu comme coran, il s’est avéré que les versions différaient les unes des autres, vraisemblablement en termes de variations régionales, remarque à partir duquel est prononcé l’acte de naissance de la langue arabe standard, par la formule suivant : « Wa aktubu-hu [Qur’an] εala lisan qurayc. Wa kulluma ixtalafa εen lisan qurayc, fa taxallu εen-hu». Traduit cela donnerait à peut près ceci « … et fixer-le [Coran] selon la réalisation phonétique arabe des Quraychites. Tout ce qui diffère de cette variante de l’arabe, ne le prenez pas en compte ». Vous l’avez compris de vous même, que même si l’Islam n’avait pas encore de flotte, pour défendre le dialecte des Quraychite, il avait en plus de sa sacralité, en tant que religion, une armée. CQFD. Bien à vous Monsieur « Anonymous ».

      [Tamnaght]

        Anonymous
        17 mars 2017 - 15 h 11 min

        Vous parlez de la dichotomie
        Vous parlez de la dichotomie Kabyle/Arabe ,je cite  » depuis 1962. Pour comprendre la situation terrible de la pratique langagière dichotomique (kabyle / arabe) en « Algérie »Q’en faites-vous du reste , vous auriez dû à mon avis de parler d’une pluralité Kabyle, Chaoui, Mzabi,Targui, Chenoui, Arabe Algérien Etc..ou d’une dualité de langues Amazighe/Arabe ? .Vous me semblez intelligent mais vous cultivez un peu la confrontation négative .Dépassionnez le débat et les spécialistes et les politiques s’en occuper.

          Tamnaght
          17 mars 2017 - 16 h 32 min

          @_Aninoumous: Monsieur, vous
          @_Aninoumous: Monsieur, vous auriez eu raison, si et seulement si, ma démarche était prescriptive, c’est-à-dire dire comment les choses DOIVENT être et ne pas comment elles le sont dans la réalité, or la mienne est descriptive.

          Ma référence est le papier [article] ci-dessus, où, comme vous pouvez le (re)lire vous-même, il est question du « 20 Avril », un événement produit par les Kabyles en Kabylie en 1980 et entretenu depuis par un travail de mémoire de réhabilitation, prise de conscience, sans relâche, et très souvent avec de lourds sacrifices, comme en 2001. Il est question, Monsieur, d’une manipulation, encore une, qui consisterait à « défolkloriser» le « 20 Avril » initié par le désigné préfet de Bgayet / Béjaia, en Kabylie, par courrier administratif, en direction de ses subordonnés, qui sont chargé de son exécution. Or c’est l’autorité de ce même préfet, cette-fois-ci je préfère dire « Wali », qui compte « défolkloriser » le 20 Avril, ironie du sort, que la conférence du professeur Younes Adli, qui devait se tenir 04.03.2017 au centre culturel d’Aokas autour de son livre La pensée kabyle, a été interdite par les autorités. «Sans avancer de motif, (…)
          Même l’érudit Alan Dundes se retournera dans sa tombe.
          Je préfère m’arrêter, ici, à exemplifier, tout en vous renvoyant vers la lecture du papier.
          Voilà, Monsieur, pourquoi la dichotomie (kabyle/arabe). Je demeure confiant d’avoir pu un tant soit peu vous éclairé ou tout en moins répondu à la question qui vous taraudait. Bien à vous.

          Tamnaght

          Anonymous
          17 mars 2017 - 17 h 35 min

          Même si votre démarche était
          Même si votre démarche était descriptive , il me semble, et ceci est pour l’intérêt du pays et de ceux qui suivent cette question ô combien importante, d’être explicite dès le départ . Pour la promotion de l’Amazighité , il me semble qu’il est temps de dépasser tous les clivages. J’ai un grand respect pour les Kabyles et tout autant pour tous les Algériens .Pour la mémoire , les plus concernés (parce que tous nous sommes concernés) doivent être libres de ce qu’il faut faire . Tout dans le respect et dans l’harmonie. Amicalement. .

        Dziri3
        17 mars 2017 - 17 h 56 min

        Bien avant l islam ,l arabe
        Bien avant l islam ,l arabe avait ses poesies suspendues sur la kaaba .En 2017 certains kabyles n arrivent pas encore a s entendre sur les caracteres de takvailit et vous osez faire la comparaison . Un peu de retenue s.v.p .le temps de naissance des langues est revolu vous pouvez le constater avec internet. Dans ce monde les langues ne sont plus que des denrees qui repondent au principe de l offre et la demande . Celle du francais etant en chute libre ,la langue de moliere commence à agoniser. L arabe si ce n etait le coran elle serait morte et enterrée depuis 5 siecles. Dans tout cela vous pensez honnêtement trouver une place a taqvailit ?..peut etre …dans un mouchoir ….. quelque part en Algerie.si c est votre vision vous aurez tres tres mal servi le futur de vos enfants. Soyez lucide et pragmatique Allez
        au plus vite à l’anglais , et puisque pour vous c est deja acquis ,l arabe vous ouvre son monde que vous ne saurez jamais negliger.

          Ahmed
          17 mars 2017 - 22 h 57 min

          @_Djiri3. Le niveau
          @_Djiri3. Le niveau intelectuel de discussion de Tamnaght en rapport à ce sujet vous est trop élevé. Elle parle d’ une chose, vous parlez d’ autre chose.

          Dziri3
          18 mars 2017 - 10 h 27 min

          La discussion tournait autour
          La discussion tournait autour d une langue dont l apport civilisationnel a l humanité est certifié et verifiable et d un dialecte qui se trouve sur la liste des parler en voie de disparition dans le futur proche. J ai sincerement pensé qu elle n avait pas lieu d etre. La dichotomie la plus necessaire chez certains Algeriens doit s operer entre LEUR RAISON ET LEUR PASSION. Pour eviter d hypotequer l avenir de leur pays et de leurs enfants.Enfin je ne savais pas Monsieur Ahmed que Tamnaght etait une dame. AVEC TOUS MES RESPECTS MADAME.

    MELLO
    17 mars 2017 - 12 h 26 min

    Le 20 Avril, n’est pas une
    Le 20 Avril, n’est pas une date uniquement Kabyle, bien plus elle est le symbole d’une revendication nationale de son Amazighité. Précurseur, le mouvement contribuera, huit ans plus tard, à l’éclosion du pluralisme en Algérie. Hélas, le processus étant biaisé à l’origine, l’Algérie demeure toujours bloquée et n’entre pas encore dans la vie démocratique effective. La célébration du printemps berbère (20 avril) doit constituer un moment de fête et de fierté et non de haine et de manipulation, ainsi, bien que le mouvement ait lieu en Kabylie, il n’en reste pas moins que les revendications reprennent, pour l’essentiel, celles des différents courants de l’opposition algérienne au double coup d’État de 1962 et 1965. le MCB (mouvement culturel berbère) développe les mêmes thématiques, à savoir la fin de règne du parti unique, l’ouverture du champ politique, le respect des droits de l’Homme .

    Azerzur
    17 mars 2017 - 10 h 27 min

    Avant de célébrer le 20
    Avant de célébrer le 20 avril,il faut d’abord mettre en application sur le terrain tamazight, qui est absente de l’environnement (enseignes,plaques des rues,affichage…) dans la ville de Vgayet où tout est écrit en français ou en arabe.Il faut aussi rendre l’enseignement de tamazight obligatoire en Kabylie et non facultatif comme c’est le cas aujourd’hui. L’Etat algérien doit lancer aussi en urgence, un quotidien d’informations en langue tamazight comme c’est le cas pour l’arabe et le français.Sans ça, cette célébration sera perçu comme une tentative de saborder les marches du MAK/GPK et une opération vouée à l’échec de récupération honteuse d’un événement historique qui appartient avant tout au peuple kabyle..

    bougamouss
    17 mars 2017 - 8 h 23 min

    Une commémoration politique
    Une commémoration politique ne peut être acceptée que si TOUT LE PEUPLE ALGERIEN le désire.Sinon,c’est
    du séparatisme.Surtout, quand on place sournoisement, un drapeau qui n’a rien à voir avec nos 1,5millions de martyrs!!Pour les autres commémorations (culturelles, scientifiques,régionales,etc…), chaque région est
    libre.

      MELLO
      17 mars 2017 - 12 h 32 min

      Séparatisme , quand tu nous
      Séparatisme , quand tu nous tiens…. Il y a 36 ans, jour pour jour, le printemps berbère éclot, provoqué de façon sous-jacente par le régime. En effet, tout commence le 10 mars lorsque les autorités locales, en l’occurrence le wali de Tizi Ouzou, Hamid Sidi Saïd, décident d’empêcher la tenue d’une conférence sur les poèmes (Isfera) kabyles anciens, que devait animer l’illustre écrivain Mouloud Mammeri. Hélas, dans un système déniant tout droit au citoyen, les manifestations sont systématiquement réprimées. De son côté, le régime ne se laisse pas impressionner. D’emblée, il mobilise ses plumes en vue de dénaturer le mouvement. Il confie cette tâche à deux plumitifs : Kamel Belkacem et Mohamed Benchicou. Si celui-ci voit la main de l’étranger, dans un article intitulé « qu’y a-t-il derrière le refus des Français et des Américains d’accepter un prix rémunérateur du gaz que leur vend notre pays », celui-là s’en prend violemment à la personnalité de Mouloud Mammeri. Pour les jeunes animateurs, ces insultes, de par le caractère obscène, les galvanisent. « Les réactions fusent de partout, à Alger, en France dans l’immigration, et bien sûr en Kabylie. C’est le début d’un cycle contestation-répression-arrestation »

      Anonymous
      17 mars 2017 - 12 h 39 min

      Mais vous êtes en retard
      Mais vous êtes en retard Mister Bougamous.Le MAK revendiquent la séparation à l’amiable,pacifique et démocratique.Le mythe d’une Kabylie algérienne est révolue.Etre algérien pour un kabyle c’est accepter la politique criminelle d’arabisation des kabyles.Le 20 avril est une date qui célébrée en Kabylie chaque année,rien ne vous empêche de le célébrer chez vous comme le font les kabyles depuis 1980.Or en dehors de la Kabylie,les algériens n’ont participé ni au printemps berbère de 1980,ni au boycott scolaire de 1994/95,ni au printemps noir de 2001.
      Le peuple algérien désire t-il célébrer le 20 avril j’en doute et je vous défie d’interdire aux kabyles de marcher le 20 avril pour l’indépendance de la Kabylie !

      algérien@mazigh
      17 mars 2017 - 14 h 07 min

      #bougamouss…Le drapeau
      #bougamouss…Le drapeau amazigh t’inquiète , mais le vrai danger c’est pas ça, le danger c’est tout autre chose,
      encore plus grave et plus profond. Pour ta gouverne, tu dois savoir, que toutes les régions des pays du monde on leurs drapeaux et leurs blasons, si on prend l’exemple de la Bretagne, l’une des régions françaises qui ont leur drapeaux hissés à coté du drapeau tricolore dans une France jacobine, la même chose des deux régions belges, la région du Quebec etc.

      Moi kabyle, j’accepterai jamais que notre région soit séparée de l’Algérie, la Kabylie c’est l’Algérie, ça c’est claire.
      Aujourd’hui on voit des séparatistes qui crient leur divorce avec l’Algérie, ça : c’est la résultat des 50 années de machiavélisme FLNeux avec sa politique de répression et de : « diviser pour mieux régner. »
      La situation actuelle de pourrissement dans laquelle se trouvait la Kabylie arrange bien les séparatistes du MAK, pourvu que ça dure le plus longtemps possible. Il est temps que le pouvoir réagit pour couper
      l’herbe sous le pied de ce mouvement séparatiste, la Kabylie a besoin d’oxygène, il faut que l’État consacre un plan Marchal à cette région meurtrie par tant d’années d’émeutes de banditisme et de terrorisme islamiste. le chômage fait des ravages dans cette région qui mène les jeunes directement dans la gueule du du loup,…MAK, il faut que l’État pense à ces jeunes, créer des emplois en installant des usines…je trouve pas juste que les grandes firmes automobiles comme Renault, Volkswagen, Fiat, Nissan..etc ont tous installé leurs usines dans le coté Ouest du pays. Le MAK ça l’arrange de voir la Kabylie livrée à elle même, sans projets et sans perspectives d’avenir pour les jeunes, c’est sa raison d’exister, par ce que il sait bien si un jour cette région devient économiquement prospère, que tous les jeunes travaillent ça sera fini pour lui et personne ne reparlera de lui.

      Autre chose a te signaler que tu dois bien mettre dans ta tête, la Kabylie qui a enfanté des géants de la résistance contre le colonialisme, comme Fadhema N’Soumer, Chikh El Mokrani, Krim Belkacem, Ait Ahmed, le colonel Amirouche..etc elle était et elle le restera toujours le dernier bastion de patriotisme algérien et les kabyles
      ont aucune leçons a recevoir de qui que ce soit en matière de nationalisme et de patriotisme pour l’Algérie
      Vive la Kabylie dans une Algérie unie, indivisible et souveraine.

      AHMED CHAOUI
      17 mars 2017 - 17 h 23 min

      MENTEUR ON A MARCHE A TKOUT A
      MENTEUR ON A MARCHE A TKOUT A ARRIS KHENCHELLA ET OUM EL BOUAGUI AIN MLILA ET BATNA

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