Professeur tué par des étudiants à Khemis Miliana : l’université livrée à la délinquance

Tahar Hadjar, ministre de l'Enseignement supérieur. L'université sombre dans la violence. New Press

Des sources concordantes ont confirmé, lundi, le meurtre d’un enseignant de droit à l’université de Khemis Meliana, Karaoui Serhane, victime, dimanche, d’une agression à l’aide d’une arme blanche (un marteau). Selon les premiers éléments d’information, l’enseignant aurait été attaqué par deux de ses étudiants qui lui auraient reproché son «intransigeance» sur la question des notes d’examen.

En attendant les résultats de l’enquête qui déterminera les raisons et circonstances exactes de ce forfait abject, cette affaire sonne comme une alerte qui interpelle aussi bien les pouvoirs publics que la société. Car, loin d’être un simple «fait divers», ce crime pose un vrai problème de société et d’autorité dans le pays et suscite des interrogations légitimes sur l’incapacité des autorités à juguler le phénomène de la violence dans le milieu scolaire et universitaire. Le gouvernement avait, à plusieurs reprises, annoncé des mesures pour réduire ce fléau qui a pris une grande ampleur ces dix dernières années mais, pour si peu de résultats, si l’on se fie aux statistiques et aux informations effrayantes que rapporte quotidiennement la presse.

Dans ce décor où de plus en plus d’enseignants agressés par des élèves, parfois en pleine classe, et d’élèves qui s’adonnent à des bagarres violentes, parfois mortelles, et à des actes de destruction par divers objets, ministère de tutelle et parents d’élèves se rejettent la responsabilité, alors qu’il s’agit d’unir les efforts pour trouver une solution urgente à cette dangereuse dérive.

Phénomène mondial, la violence juvénile s’était, jusqu’à il y a quelques années, confinée dans les stades ou pendant les émeutes sociales, où le gros des émeutiers sont des élèves de collèges ou de lycées. Le fait s’est confirmé lors des troubles de janvier dernier à Béjaïa où la première cible des manifestants fut le siège de la Direction de l’éducation. L’apparition de la violence dans les établissements scolaires est, selon des observateurs avertis, le résultat direct de l’état de déliquescence et d’instabilité chronique (grèves, incommunicabilité entre syndicats et tutelle, manque d’effectifs, surcharge des classes et des amphis…) dans lequel se débat l’école en général, et qui est cycliquement aggravé par les scandales comme celui de la fuite des épreuves d’examens aussi importants que le baccalauréat.  

Alors, les autorités vont-elles, face à ce crime abominable, se montrer cette fois plus fermes ?    

R. Mahmoudi 

Comment (121)

    anonyme
    20 juin 2017 - 14 h 36 min

    Les plus grands délinquants
    Les plus grands délinquants sont ceux qui tiennent les clefs du trésor public et la justice.

    Même le président de la Sonatrach est un repris de justice protégé par le ministre de la justice et le président de république

      anonyme
      20 juin 2017 - 19 h 19 min

      bien dit!

      bien dit!
      Un Etat délinquant!

    Expression
    20 juin 2017 - 14 h 26 min

    Tué un professeur parce que
    Tué un professeur parce que il dénonce la triche c’est fou c’est dingue cela où on va.je les toujours dis on et gouverné par une bande de mafia qui ne sont même pas musulmans ….. qu’es qui arrive par la suite des choses Haram un peuple aux aboie un pays qui fait marche arrière en conclusion rien ne va et rien n’iras sa seras encore pire tant que cette bande seras au pouvoir tout le monde le sais et rien n’ai fait pour les chassé !!…

    Mohammed El Maadi
    20 juin 2017 - 14 h 21 min

    Il faudra plusieurs années
    Il faudra plusieurs années pou éradiquer la violence en Algérie .Tout ceci est du a la réconciliation National que vous le vouliez ou pas .Cette loi a ouvert l’impunité total.

    Stroump Rieur.
    20 juin 2017 - 14 h 04 min

    Allah y’a Rhmou . .La peine
    Allah y’a Rhmou . .La peine à Perpétuité pour ces Criminels , des Sauvages , des Idiots , des Déchets , qu’ils meurent en Prison. .En plein Ramadan des Sauvages pensent à tuer et au marteau en plus . .Ils n’ont rien d’humains…ils ont apporter la douleur à la Famille de la Victime et ont apporté la Honte à leurs parents . .Du mépris pour ces barbares. .

    Messaoud Messaoud
    20 juin 2017 - 13 h 35 min

    C est la conséquence d.un
    C est la conséquence d.un système qui opte pour l.ignorance et qu.il cultive juste pour ses calculs etroitsl

    Kouzeh
    20 juin 2017 - 13 h 26 min

    Algériens sexagénaires et
    Algériens sexagénaires et plus ! Nous avons perdu notre pays.
    Adieu éducation,savoir, respect, travail, honnêteté, propreté, civisme et j’en passe!
    La question n’est pas « où allons nous? » mais « où en sommes nous? »
    Quel gâchis!

      Méditorial
      20 juin 2017 - 14 h 39 min

      Notre école » fondamentale » n
      Notre école » fondamentale » n’a rien enseigné de fondamental

        Algerian
        20 juin 2017 - 16 h 11 min

        Ecole Faouadamentale…….
        Ecole Faouadamentale……..ou en apprend la violence,la triche,reyrey,la salete jamais le savoir ask benbouzid……

      PIRE
      20 juin 2017 - 20 h 42 min

      Pire encore : il nous reste
      Pire encore : il nous reste quelques années avec la langue de Moliére …..ensuite une fois toute notre génération enterrée , plus aucune langue structurée !!!! ouah

    Anonymous
    20 juin 2017 - 13 h 18 min

    kemlet!!!! des déllinquants
    kemlet!!!! des déllinquants fréquentent les facs de droit !!!!!!!!!!!

    Catharsis
    20 juin 2017 - 13 h 17 min

    Quelle catastrophe ! Et le
    Quelle catastrophe ! Et le mot est faible devant une telle tragédie. L’université – qui devrait briller par la production du savoir et des sciences, qui devrait être une source de lumière, un lieu de création intellectuelle et artistique, de tolérance et de respect – devient une fabrique de crétins assassins. Ce qui vient de se passer, cet acte ignoble, abject, renseigne fort bien sur l’état de délabrement moral et mental de notre société dans son ensemble et sur la faillite du « régime » en place.
    Il me semble qu’il sera très très dur de redresser la barre. Il faut espérer un sursaut de la société civile car il n’y a plus rien à attendre de ce pouvoir définitivement disqualifié.

      Fort-Matage
      20 juin 2017 - 14 h 59 min

      Vous accusez systématiquement
      Vous accusez systématiquement le pouvoir même lorsque le comportement des citoyens est en cause.
      Une posture de délinquant intellectuel.
      Sachez que « le pouvoir » (pour reprendre votre vocabulaire) est là pour permettre le vivre ensemble.
      Sans lui l’anarchie et le désordre atteindront jusqu’à votre vie même.
      C’est un vrai comportement de bédouin (au sens khaldounien du terme) comme on en rencontre trop souvent.

        Catharsis
        20 juin 2017 - 21 h 24 min

        Vous parler d’un pouvoir qui
        Vous parler d’un pouvoir qui nous évite l’anarchie , mais voys vivez sur quelle planète ? La situation de l’algerie d’aujourd’hui à dépassé de très loin l’anarchie .
        Un pays gangréné par la corruption à tous les niveaux . Un pays qui ne produit rien , à part une richesse en hydrocarbure qui est le fait d’ un accident géologique et en rien à un effort quelconque . Une jeunesse quI ne rêve que de fuir le pays , même sur un radeau . Ce pouvoir pour acheter la paix sociale et durer à transformé l’algerie en zaouia , un ministre de la santé qui fait la promotion d’un charlatan ( Zaibet) , un ministre de l’éducation qui reste en poste plus de 30 ans !
        La vie des simples citoyens est devenue un enfer .
        L’école produit des terroristes et des criminels à la place du savoir . La santé est nulle part dans nos hôpitaux , nos villes sont devenus de grands bidonvilles et vous venez déblatérer sur ma prétendue  » délinquance intelectuelle » . Je suis sûr que faites partie de ceux qui profite pleinement de cette catastrophe . La population elle est le reflet exact de ses dirigeants. Allez sur YouTube et tapez  » algerie des années 70″ et vous verrez à quoi ressemblait le peuple algérien . Les algériens ressemblaient à des européens sur tous les plans . Aujourd’hui on est plus proche du Soudan . Pourquoi on est on arrivés là ? A cause des choix politiques qui ont été fait par cette racaille qui dirige . A quelle moment le peuple a été associé à un choix quelconque ? A aucun moment .
        Donc mettez vous ça dans votre petite tête une fois pour toute , le peuple est à l’image de ces dirigeants .

          Fort-Matage
          21 juin 2017 - 15 h 35 min

          Si on vous suit, c’est le
          Si on vous suit, c’est le pouvoir qui a demandé à ces 2 jeunes d’aller tuer un prof de fac et qui vous a également demander de le critiquer et de l’insulter.
          Lorsque la France aide sa population, c’est une démocratie sociale lorsque l’Algérie le fait, elle achète la paix sociale.
          Lorsque des hommes de paix et de bonnes intentions apportent la bonne parole ce sont des zaouïas.
          Je vous l’accorde, le niveau de l’Algérie est loin du standard européen mais c’est pas avec des critiques faciles que vous pouvez prétendre arranger les choses. La situation est plus compliqué que ça.
          Les algériens des 70 dont vous parlez, ce sont ceux qui été formé aux bonnes manières et au bon gout du génie français.
          Du temps de la colonisation, les bédouins n’étaient pas accepter à Rouiba (que je connais par ma famille) à cause de leur moeurs en déphasages avec les civilisés (hazles).
          Après l’indépendance, l’exode rurale ont amené des paysans, des bédouins en ville avec leur mentalités de sauvages. Ils ont gangréné tous les niveaux de la société jusqu’au pouvoir. Aucun respect des institutions, des personnes, des manières de voyoux, …
          Par exemple, vos insultes faciles ne reflètent par le niveau d’une personne civilisés ayant des connaissances suffisantes pour se rendre compte que la situation est plus compliqué que ce que vous laissez entendre.

          Si le pouvoir a beaucoup de défaut, il était là et Dieux merci il a eut raisons des justiciers de la décennies noires qui avaient décidés de l’abattre.
          La seule différence que vous avez avec eux, est que eux ont décidés de passer à l’action.

        Nasser
        20 juin 2017 - 21 h 31 min

        Si ! C’est le pouvoir qui est
        Si ! C’est le pouvoir qui est incapable de mettre fin à ces crimes, dépassements, abus etc…C’est son rôle! Par ses calculs politiciens, égoïstes etc il laisse faire tout ce que réprime les lois. On ne s’étonne pas de la débandade qui y règne, qu’il ne voit pas, et qui ne touche pas les privilégiés qui eux n’ont pas de difficultés à se faire protéger !

    omar m
    20 juin 2017 - 13 h 16 min

    c est horrible ,avec ce
    c est horrible, avec ce dernier crime le rubicon est franchi; la coupe est pleine et le vase a deborde.! nul algerien n est en securite ni a l abri d une agression, d un crime ou d un vol, exceptes ceux qui ont des vehicules blindes et des gardes du corps payes par le tresor public. un jour de piete du ramadan, un crime commis par deux etudiants sur un professeur d universite… le seuil extreme de la barbarie humaine est franchi!!! Ou est etaient les services de securite???? peut etre a gerer des marches ou des greves pacifiques ! les dirigeants de l algerie sont directement responsables des drames qui touchent en particulier les elites de la nation algerie ! il n y a plus d excuse: vous etes incompétents. comment vous voulez attirer les elites exilées et vous êtes incapables de proteger les locaux? Vous avez failli, partez, tous comme vous êtes. Ayez un atome de dignite et démissionnez……!

      Catharsis
      20 juin 2017 - 14 h 21 min

      Cher ami

      Cher ami
      Ceux et celles qui sont partis ne reviendrons pas . La question et comment retenir au pays cette infime minorités qui peux encore apporter quelque chose au pays et aux algériens . Mais vu l’état de délabrement de la société , je crains qu’il ne soit trop tard , tous ceux qui auront l’opportunité de quitter le pays pour aller vivre sous cieux plus cléments oû les valeurs morales ont encore un sens , ils partirons sans regarder derrière eux .

        omar m
        20 juin 2017 - 22 h 21 min

        Ca fait mal et c est dur je
        Ca fait mal et c est dur je ne peut pas quitter mon pays Je n ai rien a perdre j ecris pour soulager ma conscience et mon coeur!………Pardon je vomis le FLN de 62 a ce jour ..et ceux qui nous gouvernent!!!!!!

          Catharsis
          21 juin 2017 - 5 h 41 min

          Cher amï,

          Cher amï,
          L’algerie est le pays des miracles , ce libérer d’un colonialisme de peuplement , seul l’algerie la fait.
          Notre pays a produit le meilleur et le pire à la fois .
          Malheureusement c’est le pire qui a pris le dessus .
          L’algerie de Ben Mhidi, De Zirout Youcef , de Ferhat Abbas et de dizaines de milliers d ‘autres patriotes sinceres et honnêtes auraient pu ressembler à un pays du nord . Malheureusement se sont les planqués de l’armée des frontières qui avec l’aide de la france et un coup d’état ont confisqué l’indépendance des algériens et ceux là sont les pires et ils sont toujours à la tête du pays . Il faut espérer qu’un jour toute cette génération disparaisse, mais nous ne serons peut être plus là pour le voir.

    yugarithen
    20 juin 2017 - 13 h 11 min

    la violence est le résultat d
    la violence est le résultat d’une gestion mafieuse. il suffit de se rappeler des circonstances qui ont donné lieu aux événements d’octobre 88: rareté des produits de première nécessité et discours provocateur du premier responsable du pays; ensuite la décennie noire, les crimes politiques – dont l’assassinat d’un président en direct -; le crime impuni qui a donné lieu aux événements de 2001 en Kabylie et le nombre de victimes ayant perdu la vie… Le crime a fini par être banalisé. Quand je vois les images choquantes de la séquestration perpétrée à l’encontre d’un écrivain par une chaine de télévision, il y a de quoi se demander s’il n y pas une politique destinée à occuper le peuple par des affaires de délinquance pour le détourner des questions politiques et laisser le champ libre aux prédateurs qui ont fait de ce pays une propriété privée.

    Algérie
    20 juin 2017 - 13 h 09 min

    RÉTABLIR LA PEINE DE
    RÉTABLIR LA PEINE DE MOOOOOORT…SEULE SOLUTION

      elkhayam
      20 juin 2017 - 14 h 39 min

      Il faut récupérer la chaise
      Il faut récupérer la chaise électrique des USA qu’ils n’utilisent plus remplacée par l’injection létal .

      papa
      20 juin 2017 - 14 h 51 min

      Oui je suis pour
      Oui je suis pour

      Catharsis
      20 juin 2017 - 14 h 54 min

      La peine de mort ne peux pas
      La peine de mort ne peux pas etrêtre une solution , les criminels n’ont pas disparus dans les pays où elle est appliquée. L’éducation est une valeur plus sûr et plus efficace .

    NIHAYA
    20 juin 2017 - 13 h 07 min

    on a l’impression que les
    on a l’impression que les gens se font justice eux-memes. Pourquoi? Eh bien parceque nous avons une justice a 2 poids 2 mesures, une police spectatrice. Le pire c’est que j’ai vu un policier se faire tabasser en public, j’ai pleure et j’ai vomi!!!
    L’administration est corrompue et la liste est longue. Les chiens qui ont voulu mettre l’algerie a genoux ont reussi. (…)

    HANNIBAL
    20 juin 2017 - 13 h 05 min

    L’absence de l’état qui a
    L’absence de l’état, qui a failli dans plusieurs domaines ne remplit pas sa mission première: l’éducation (…). Les juges peuvent dès lors se poser des questions puisque les avocats sont formés a « l’école du crime » dans ce cas précis nos futures robes noires sont un danger pour la société, et plus menteur qu’un avocat y’a pas !

    Anonymous
    20 juin 2017 - 12 h 48 min

    Alors M. le Ministre qu
    Alors M. le Ministre qu’attendez vous pour réagir à cette situation de déliquescence totale de vos universités. Ces deux assassins doivent être jugés immédiatement sans attendre les résultats de l’enquête. Qu’importe le mobile: ils ont assassiné. Ils ont commis le crime avec préméditation. C’est donc la peine de mort. La sale graine doit disparaître.

    khlet!
    20 juin 2017 - 12 h 44 min

    cette violence n’a qu’uen
    cette violence n’a qu’une seule explication : l’absence d’éducation!!!! il ne suffit pas de faire des enfants pour les laisser jouer dans la rue ou dans les escaliers de l’immeuble, il faut les éduquer, leur apprendre la valeur du travail et le respect d’autrui… Or ça n’est pas le cas! ne parlons pas de l’école qui devrait d’abord recruter des enseignants éduqués pour donner l’exemple, car au moins 50% des enseignants sont arrivés là suite à des echecs scolaires et tout le monde sait d’où la plupart sont issus! La seule solution est l’éducation, or le ministre ne peut pas le faire, il faudrait qu’il soit hypercompétent et qu’il saisisse de quoi il s’agit et comment y remédier… Oui mais là on peut rêver ! Ces gens perçoivent leurs salaires, s’embourgeoisent et n’en n’ont rien à f… des problèmes des sauvages ! Allah yerham ce pauvre homme et que la justice algérienne fasse son travail le plus durement possible, inchallah peut-être !!!

    Bekaddour Mohammed
    20 juin 2017 - 12 h 33 min

    ATTENDEZ ! Dans l’article il
    ATTENDEZ ! Dans l’article il est bien écrit : « En attendant les résultats de l’enquête qui déterminera les raisons et circonstances exactes de ce forfait abject »… La précipitation médiatique cause un tort immense… Nous sommes une société sans saints, il y a tant de doubles personnalités, dans lesquelles cohabitent victime et coupable. Tuer est révoltant, c’est indiscutable, dans quelque milieu que ce soit, lorsque le résultat de l’enquête sera publié, alors en parler sera correct. Cet article ne nous apprend rien sur le mort, ni sur ceux qui la lui ont donnée ! Quand on pense nous sommes devenus une vraie poudrière, aurons nous les artificiers… Les miracles existent… Le miracle par lequel il y aura l’ordre, le bon… BI IDHNI ALLAH… INCHALLAH !

    NORMAL
    20 juin 2017 - 12 h 31 min

    et vous vous attendiez à quoi
    et vous vous attendiez à quoi ??? ne voyez vous pas que la violence verbale est déjà partout, les femmes ne s’habillent plus comme elles veulent, ne sortent plus quand elles veulent? Il y a des délinquants partout, le lavage de cerveau fait rage dans les mosquées (pour diaboliser tout ce qui ne ressemble pas aux « stéréotypes islamistes »), des enfants qui ne savent que se battre, insulter l’autre…. pourtant ça sort des mosquées tout ça…
    Puis ensuite vers l’age de 20-25 ans ça devient des islamistes (dans leur raisonnement) et ça tue tout ce qui ne leur ressemble pas….
    quelle honte sociétale , un échec qui devient trop visible (…)

    ALILI
    20 juin 2017 - 12 h 30 min

    Peine de mort , peloton d
    Peine de mort , peloton d’exécution , pour faire un exemple et dissuader .

      Anonymous
      20 juin 2017 - 12 h 42 min

      Tout à fait d’accord avec
      Tout à fait d’accord avec vous.Peine de mort avec exécution sur le champ.

    Anonymous
    20 juin 2017 - 12 h 27 min

    il y a t-il une relation
    Y a t-il une relation entre les cours dispensés par les facultés de « droit » et la violence voire la criminalité qui relève des prérogatives de cette discipline? A M’sila deux agressions en une semaine sur deux profs dont l’un était dans le coma; il y a quelques mois un étudiant militant du MCB a été poignardé à mort par un islamiste à la fac de droit de Ben Aknoun. Le défunt président Boudiaf était-il visionnaire dans son livre « Où va l’Algérie? »

      Anonymous
      20 juin 2017 - 16 h 31 min

      je voudrais dire il y a
      je voudrais dire il y a trente ans environ que ça s’est passée à Ben Aknoun

    ANTI JAHILIYA
    20 juin 2017 - 12 h 24 min

    Quand on sème la médiocrité .
    Quand on sème la médiocrité ….faut pas être étonné des résultats récoltés .
    ( Médiocrité quand tu nous tiens ! )

    Tin-Hinane
    20 juin 2017 - 12 h 21 min

    Mon dieu quelle barbarie,
    Mon dieu quelle barbarie, pauvre homme qu’il repose en paix. Après on se plaint que ceux qui le peuvent quittent l’Algérie que faire d’autre quand on veut vivre normalement et ne pas mourir bêtement. Car c’est bien de ça qu’il s’agit la bêtise qui tue l’intelligence. Nous sommes confrontés aujourd’hui au résultat de la politique de la « Rahma ». Ils ont tué, ils ont massacré des familles entières mais ils continuent de se pavaner dans leurs quartiers libres et nantis. Il est leur est plus facile de tuer un professeur que d’étudier, de réviser et d’obtenir des notes qu’ils méritent. Je suis désolée je vais rentrée dans un terrain miné, mais ça c’est le salafisme, à partir du moment où on accomplit le rituel religieux on peut tout faire même tuer, surtout tuer, je dis bien rituels religieux car cette mouvance islamiste ne tient pas compte de la spiritualité et du comportement humain, et si on revenait à notre propre Islam? car malheureusement c’est bien de ça qu’il s’agit, tuer est devenu facile pour certains algériens car ils déshumanisent leurs prochains alors que ce sont eux qui n’ont plus rien d’humain.

    Tun-Hinane
    20 juin 2017 - 12 h 20 min

    Mon dieu quelle barbarie,
    Mon Dieu quelle barbarie!!! pauvre homme, qu’il repose en paix. Après on se plaint que ceux qui le peuvent quittent l’Algérie!! Que faire d’autre quand on veut vivre normalement et ne pas mourir bêtement?? Car c’est bien de ça qu’il s’agit: la bêtise qui tue l’intelligence. Nous sommes confrontés aujourd’hui au résultat de la politique de la « rahma ». Ils ont tué, ils ont massacré des familles entières mais ils continuent de se pavaner dans leurs quartiers, libres et nantis. Il leur est plus facile de tuer un professeur que d’étudier, de réviser et d’obtenir les notes qu’ils méritent. Je suis désolée d’entrer surun terrain miné, mais ça c’est le salafisme: à partir du moment où l’on accomplit le rituel religieux on peut tout faire, même tuer, surtout tuer. Je dis bien « rituel religieux » car cette mouvance islamiste ne tient pas compte de la spiritualité et du comportement humain. Et si on revenait à notre propre Islam? car malheureusement c’est bien de cela qu’il s’agit: tuer est devenu facile pour certains algériens car ils déshumanisent leur prochain alors que ce sont eux qui n’ont plus rien d’humain.

    Vangelis
    20 juin 2017 - 12 h 15 min

    Les parents, face à leur
    Les parents, face à leur propre échec, ont baissé les bras ; ils sont incapables de maîtriser leur progénitures laissant le « soin » aux zautorités d’y remédier mais ces dernières ne feront rien face à ces dérives barbares. toutes les structures de l’école et de l’université sont à revoir. Fakhamatouhoum a fait bâtir des lycées et des universités sans y mettre les moyens humains, surtout des personnels de sécurité, indispensables au vu de l’aggravation de cette crise. Il a fait aussi construire ces structures à la va vite comme il le fait pour les cités dortoirs qui ramassent tout le rebut de la société algérienne et ce n’est que peu de le dire, il va y avoir un aussi grave problème puisque des immeubles sont livrés à des revendeurs de drogues et autres trafics. Les zautorités ont forcément oublié qu’il ne suffit pas de contruire, encore faut-il donner du travail afin que ces personnes s’occupent et vivent décemment au lieu de trafiquer.

    à bon entend...
    20 juin 2017 - 12 h 12 min

    wallah que le problème vient
    wallah que le problème vient uniquement de la passivité de ceux qui sont censés maintenir justement l’ordre . on a qu’à voir : des filles sont insultées , voire tabassées dehors …personne ne lève le doigt à commencer par ceux justement qui sont payés pour …. c’est insensé car cela n’arrive que dans notre pays ! allez insulter une personne à new york : SUR PLACE VOUS ETES EN ETAT D’ARRESTATION .

    Bled Mikki 62
    20 juin 2017 - 12 h 05 min

    Depuis le rejet du projet
    Depuis le rejet du projet éducatif universaliste proposé dans les années 70 par le regrette Mostafa LACHRAF et son remplacement par un système idéologique arabo-islamiste charlatanesque (M-C Kherroubi + Benbouzid) l’école et l’université algériennes ne forment plus que des terroristes , des muftis et des tricheurs.

      Lemdigouti
      20 juin 2017 - 12 h 29 min

      Mostefa Lachraf a été nommé
      Mostefa Lachraf avait été nommé d’avril 1977 à 1979 ministre de l’éducation nationale par Boumédiene. Le système idéologique arabo-islamiste charlatanesque avait déjà été mis en place par Med Chérif Kharroubi, un kabyle précédemment wali à Tizi Ouzou (le comble) malgré le désir de Boumédinne de stopper un tant soit peu l’ardeur de « l’arabisation » à outrance, notamment en faisant appel à Lachraf. Mais la puissance du lobby islamo-conservateur avec à sa tête le bien nommé Hadjar a été déterminante malgré la puissance de Boukharouba (à ne pas confondre avec Kharroubi quand même) : Mr Lachraf a été renvoyé au poste qu’il occupait précédemment au Mexique en qualité d’ambassadeur. Le Fln parti unique est passé par là et l’école fondamentale allait avoir de beaux jours devant elle.

        Bled Mikki 62
        20 juin 2017 - 13 h 30 min

        Ce zélé de M-C Krerroubi
        Ce zélé de M-C Krerroubi originaire de sidi naamane (T.Ouzou) était un marabout imprégné jusqu’à la moelle de l’idéologie islamo-baathiste, prof(?)d’arabe pur produit d’une zaouia moyenâgeuse. La décadence du système éducatif a commencé avec lui: il a substitué l’école des lumières l’école des ténebres.

    Lemdigouti
    20 juin 2017 - 12 h 02 min

    Vous mettez la photo du
    Vous mettez la photo du ministre (Tahar) en lui attribuant le prénom d’Abdelkader, le fameux fouteur de m…. au Fln et homme des besognes basses. Digne fils ou digne père ; l’illustration résume on ne peut mieux la situation. Plus que les écrits cela nous donne une idée précise de tout ce qui a présidé à l’assassinat de ce brave professeur de…..droit.

      ap_dz
      20 juin 2017 - 12 h 06 min

      mea culpa!!!
      mea culpa!!!

    langar
    20 juin 2017 - 11 h 36 min

    Pas de surprise, c´est dans
    Pas de surprise, c´est dans la logique des choses et l´air du temps. Dans un pays où l´on ne respecte plus rien ni personne: pas les hommes de savoir, ni les sciences, ni l´expérience, ni les vieux, ni la nature, ni les animaux, ni la morale, ni… c’est le nihilisme grandeur nature… Et le bout du tunnel n’est pas en vue, puisque les parents sont démissionnaires et n éduquent plus leurs enfants. À quand le réveil???…

      ABOU portan
      20 juin 2017 - 12 h 13 min

      JAMAIS MONSIEUR … CAR AU
      JAMAIS MONSIEUR … CAR AU LIEU DE RÉGLER LES PROBLÈMES DE NOTRE PAYS, NOS GOUVERNANTS CONTINUENT DE VOULOIR NOUS FAIRE CROIRE QU`IL Y A UN CAPITAINE QUI GOUVERNE LE TITANIC ALGÉRIE. TOUS FONT SEMBLANT DE FAIRE SEMBLANT. MAAZA OUA LAOU TARETE. LE MONDE MERVEILLEUX DE MICKEY OU TOUT LE MONDE SE SUCRE SANS LIMITES AVANT QU`IL NE SOIT TROP TARD.

    Abdelkader Brahmi
    20 juin 2017 - 11 h 34 min

    Nous payons les conséquences
    Nous payons les conséquences d’un régime totalitaire du 19 juin 1965 qui a enfanté une progéniture qui lui a succédé tout en mettant en application le système ayant permis aux illettrés et aux corrompus de prendre les commandes du pays et de ne plus les lâcher. Attention si vous dénoncez ces pratiques c’est vous qui deviendrez la personne à surveiller et plus tard soupçonnée d’un quelconque crime fabriqué de toutes pièces pour leur permettre de vous encager pour vous faire taire. Voila où nous en sommes arrivés après plus d’un demi siècle d’indépendance. D’autres pays pendant la même période ont réalisé des miracles avec des moyens dérisoires alors que notre pays a -avait- la puissance du pétrole…

      Anonymous
      20 juin 2017 - 12 h 14 min

      A comparer entre l’Algérie
      A comparer entre l’Algérie(indépendante 1962) et le Vietnam réunifié(1975) c’est deux monde diamétralement opposés, le premier fait un retour vers le moyen age le second des grands pas vers la modernité et le développement

        62=El Bandia
        20 juin 2017 - 13 h 34 min

        Au Vietnam , ils n’ont pas le
        Au Vietnam , ils n’ont pas le clan des criquets mercenaires…

      benyoucef miliana
      20 juin 2017 - 13 h 57 min

      c’est vrai notre pays recule
      c’est vrai notre pays recule mais en réalité, il reflète le niveau de nos chefs décideurs.l’Algérie ne peut plus avancer tant que ces oppresseurs ignorants ont le privilège de tenir les rennes du pouvoir pour toujours.
      comment ALLAH accorde le secours à un régime assassin? hier il tue abominablement ses enfants pour falsifier l’image de l’Islam et ce jour-ci il encourage le crime entre-eux par des lois fragiles bénissant les malfaiteurs.
      vous voulez montrer votre bonne intention? tenez une solution simple:TUEZ UN TUEUR!

    Nasser
    20 juin 2017 - 11 h 18 min

    même si ce phénomène n’
    même si ce phénomène n’épargne aucun pays, cette délinquance devrait être de facto répréhensible et ses auteurs devraient se trouver sous les verrous. Pas de pitié pour ces CRIMINELS. Malheureusement, dans les sociétés actuelles, il y a des valeurs qui se perdent; les jeunes ne respectent plus l’ autorité et les parents en sont les premiers responsables et donc condamnables car il y a une démission dans l’éducation de leurs enfants. De mon avis c’est un manquement à leur devoir. Etre professeur devient un métier à risque. L’état doit prendre la mesure de ce qui se passe dans les universités, lycées et collèges, il doit agir en conséquence et surtout SEVIR pour marquer les esprits de ces individus malintentionnés. Enfin, je pense aux victimes dont le seul « tort » est d’exercer leur métier par amour, de transmettre le savoir, alors que d’autres ne sont attirés que par l’appât du gain….

      atlassien
      20 juin 2017 - 12 h 07 min

      il y a quelques années de ça
      il y a quelques années, un crime identique s’est produit au sein de l’université de Mostaganem où le professeur Benchehida fut assassiné de sang-froid par un étudiant en raison de la note qui lui avait été décernée. a-t-on tiré les enseignements de cette déferlante qui est en train de tuer l’université à petit feu??? il est clair que cet abominable crime a été traité comme un simple fait divers et certainement le dossier de cette affaire – qui avait défrayé la chronique à cette époque – gît dans les sous-sols, dévoré par la poussière et les toiles d’araignée. Les seuls qui souffrent et peinent à sortir du malheur qui les a frappé un jour sont ses enfants et les siens.

    Saloua
    20 juin 2017 - 11 h 16 min

    Hier, c’était Boudjedra ! Et
    Hier, c’était Boudjedra ! Et durant la décennie noire, c’étaient Boucebci, Djilali LYABES et tant d’autres….. et cela continue, aujourd’hui. Mais, où est l’Etat ? C’est INADMISSIBLE ce qui nous arrive ! Mais que veulent-« ILS » faire de nous ?

    Erracham
    20 juin 2017 - 11 h 07 min

    Au secours, on assassine les
    Au secours, on assassine les savants, le savoir, la lumière, l’intelligence et la connaissance. Et les hérétiques en sont responsables! Sont-ils les seuls? Quid de ceux qui les tolèrent et les manipulent? A en croire Shakespeare, « l’hérétique n’est pas celui qui brûle dans la flamme, mais celui qui allume le bûcher. » L’Etat qui tolère l’intégrisme et l’instrumentalise quand cela l’arrange peut-il aujourd’hui se soustraire à sa responsabilité de garant de la sécurité des personnes et de la protection de ce sanctuaire qu’est le temple du Savoir, qu’est l’Université? Est-ce le retour de l’Inquisition? Pourquoi n’écoute-t-on pas la voix des sages, comme l’Emir Abdelkader quand il conseille: « Le savant est l’homme par lequel s’opère la franchise et le mensonge dans les paroles entre la vérité et l’erreur dans les convictions, entre la beauté et la laideur dans les actes. » Ils doivent faire l’objet d’une protection particulière et ne pas être désignés à la vindicte des intégristes. Toute nation qui se tait quand on assassine ses savants est condamnée à végéter dans les ténèbres. Repose en paix confrère!

    moh
    20 juin 2017 - 10 h 56 min

    il faut retablir la peine de
    il faut retablir la peine de mort ,l’unique et la seule solution.

      hami
      20 juin 2017 - 12 h 56 min

      Les ministres font de la
      Les ministres font de la figuration et ne s’occupent que leur intérêts et ceux de leur proches.
      Sont-ils incompétents ou alors ont-ils les pieds et poings liés ,auquel cas, s’ils ont des principes et de la fierté, qu’ils prennent leur courage à deux mains et rendent le tablier. Non, ils s’accrochent à leurs postes et aux avantages qu’ils leurs procurent.
      L’exemple Benghebrit est édifiant. Elle est arrivée au pouvoir déjà aisée, bardée de diplômes, tres compétente dans son domaine, avec plein de projets pour redresser la situation de l’École Algérienne. Elle a fait face à une levée de boucliers de la part des islamo-conservateurs qui l’ont traînée dans la boue, la traitant de tous les noms. Finalement ils ont eu le dessus. L’École reste sous leur emprise,elle baigne dans la médiocrité. De guerre lasse Benghebrit a fini par rentrer dans le rang, elle gère la continuité, ses relations avec les syndicats et les moyens de contrer les fraudes.
      Les vrais problèmes – tels que l’élévation de la qualité de l’enseignement, les réformes – ne sont plus à l’ordre du jour… et plutôt que de tirer sa révérence sachant que ce qui se passe à l’École est contraire à ses principes et à sa véritable mission, elle reste quand même au pouvoir, se contentant de s’occuper des affaires courantes.
      Les années 90 ainsi que les années Bouteflika ont avili le peuple et l’ont fait sombrer dans une religiosité débridée incarnant la médiocrité, la facilité, l’assistanat avec pour corollaire le rejet du mérite, de la fierté, des valeurs. Quand des parents sans honte fêtent à grand frais le succès non mérité de leur rejeton, on ne peut que s’inquiéter de la dérive de la société.

      amir
      20 juin 2017 - 17 h 51 min

      L’acte en lui-même est
      L’acte en lui-même est abominable et la violence sous toutes ses formes doit être sévèrement punie et condamnée sans aucune circonstance atténuante.Toutes nos condoléances à la victime et notre compassion pour sa famille. Maintenant, il faut s’attaquer aux causes du fléau et pas seulement à ses effets.Tout le système scolaire est à refonder de fond en comble et non pas seulement le réformer.Une réforme quelque soit son ampleur reste toujours un replâtrage qui s’attaque à l’apparence et néglige nos défauts cachés.

    IZEM
    20 juin 2017 - 10 h 54 min

    Où est « l’Etat » ? Bon dieu de
    Où est « l’Etat » bon dieu de bon dieu ! Il n’y a plus d’Etat, ce n’est pas possible. Un assassinat dans un lieu du savoir et de connaissance. Incroyable ! Que veulent faire les « décideurs » de ce pays? Un bled arriéré où la peur et l’insécurité règnent partout? Veut-on forcer le peu de profs qui nous restent encore à l’université à faire leur valise et partir à l’étranger ? QUEL AVENIR POUR NOS ENFANTS ET NOTRE PAYS….?

    Anonymous
    20 juin 2017 - 10 h 46 min

    Non mec tu aurais du mettre
    Non mec, tu aurais du mettre le titre suivant : arabisation de l’école en Algérie: 30 ans après, état des lieux.

    Farida
    20 juin 2017 - 10 h 41 min

    L’université et l’école en
    L’université et l’école en particulier qui forment ces futurs « universitaires » ne sont plus des lieux de savoir.
    A l’ école on apprend déjà aux enfants comment mourir. Alors ne soyez plus surpris de voir que la mort est devenue un jeu et un loisir pour certains.
    Le niveau général a énormément baissé. Personne n’a encore décidé quelle langue utiliser à l’école primaire. Et les gens qui peuvent instruire sont chassés du pays. Il ne reste qu’une majorité de charlatans et de détraqués!!!
    Le trabendisme et la religion nous suffisent pour résoudre tous nos problèmes!!! Nous sommes au 21ie siècle…

      Mello
      20 juin 2017 - 11 h 23 min

      J’ai like votre post, en
      J’ai liké votre post. En effet l’ecole est devenue cette arene ou le sang circule d’un cours a un autre. Au lycee, les eleves dictent leur loi et les proviseurs sont obliges de se plier à leurs exigences de peur de les avoir tous sur le dos. Des conseils de professeurs arrivent a decider d’expulser un ou deux eleves perturbateurs et meneurs, le proviseur avec l’aide du directeur de l’education -sous la pression –
      intervienennt pour reintegrer les eleves. Que pensent les eleves de leurs professeurs? . Au BAC , les autorites ont lache sur les deux sujets au choix devenue une regle – constante nationale – que nul ne peut remettre en cause. Les epreuves de cet examen sont devenues un cauchemar pour les autorites, mobilisant des milliers de policiers, des milliers de surveillants et un systeme de filtrage digne de l’acces aux centres nucleaires, pourtant il y a qqes annees, c’etait un examen comme tous les autres. Pour exploiter les resultats et proceder aux orientations, les autorites font appel a une machine (ordinateur) pour rester loin de toute reclamation. Une orientation virtuelle qui a pour consequences un remplissage des facultes, des etudiants qui sont là ou ils ne doivent pas etre, des professeurs agresses par faute de l’incomprehension des eleves qui n’arrivent pas a suivre… Toute cette melee doit etre revue de fond en comble, il y a urgence de retablir cette ecole a la derive, car il n’existe qu’une seule ecole , celle du savoir et de la discipline.

    Expression
    20 juin 2017 - 10 h 07 min

    En ce mois du Ramadan il ya
    En ce mois du Ramadan il ya un drame dans un complexe du savoir où va l’Algérie dite moi ?…

    Grave
    20 juin 2017 - 10 h 07 min

    les premier responsable c’est
    les premier responsable c’est les parent dont l’éducation doit être dans les principe du respect et de la considération d’autrui , aussi le changement du mode de vie des algérien la plupart des couple travail et abandonne les principes de civilité a donner a l’enfant a la maison et en de-hors , le niveau alarmant des enseignants sur-tout dans le palier primaire , se qui pousse la majorité des époux a recourir au cour de soutien qui sont pris en charge par les même enseignant qui en réalité ne donne aucun plus , internet le plus grand fléau que les parent doivent combattre on instaurant un contrôle parentale permanent , aussi il faut souligné la complicité de l’état qui peut par exemple bloqué ou ralentir certain type de trafic qui nuit a la croissance morale et comportementale du citoyen , l’accès facile qu’ internet donne a la pornographie , cybercriminalité , prédateur , spam , désinformation , tout doit être revu par le département de feraoun

    nasroran
    20 juin 2017 - 9 h 59 min

    Dans quelques semaines, on
    Dans quelques semaines, on entendra parler d’une condamnation à quelques années de prison!!! Un crime pareil devrait être réprimandé de la peine capitale…. pour que cela ne se reproduise plus. Tous les crimes qui se déroulent actuellement sont dus à l’absence de charia.

      Anonymous
      20 juin 2017 - 10 h 21 min

      Absence de charia?

      Absence de charia?
      C’est justement la charia règles inventées par des hommes à une certaine époque, et qui n’a rien à voir avec le divin et le Saint Coran, qui a mené le pays où il est c’est à dire dans le chaos.

      Kamel
      20 juin 2017 - 10 h 56 min

      En amérique du nord et bien d
      En amérique du nord et ailleurs, vous pouvez être en prison toute votre vie, cela n’empêche pas qu’il y ait de la délinquance.
      Pour cette malheureuse histoire qui aurait pu se passer n’importe où dans le monde, c’est à la justice de faire son travail.
      Pour ce qui est de la charia, notre ami a donné la juste réponse, je crois qu’elle est inutile et inventée de toute pièce par de cruels masos…

    Omar
    20 juin 2017 - 9 h 53 min

    Allah yarhem ce Messager du
    Allah yarhem ce Messager du Savoir et de la Connaissance qui est mort en Martyr. Il faut rétablir la peine capitale et PENDRE ces 2 criminels!!! Qu’ils brûlent en enfer !!!

      ALGERIEN PUR
      20 juin 2017 - 10 h 05 min

      C’EST SUR QU’IL FAUT RETABLIR
      C’EST SUR QU’IL FAUT RETABLIR LA PEINE DE MORT , POUR LES TUEURS D’ENFANTS DE PERSONNES AGE , ET LES VIOLEURS EN TOUS GENRE…

    m.omar
    20 juin 2017 - 9 h 49 min

    qui a peur des intelectuels
    qui a peur des intelectuels ? voila encore un acte qui donne a reflechir aux intelectuels et a l intelligentsia en general… le choix entre l exil ou le silence des competences. Imaginons leretour de 100000 elements de qualite de l etranger , et bien ce sera le branle-bas et l alerte dans les etats-majors du pouvoir composes d opportunistes et d incompetents qui verraient en ces retours une menace pour leur existence.
    les elites pensent, analysent, decortiquent la situation avant de s engager. Tant que l intelectuel est meprise et humilie, aucune intiative d integration ne peut se realiser. la competence est un gage de credibilite pour la population algerienne et pour les relations internationales. trop de degats a rattraper, le systeme politique dans son ensemble est a revoir et il est imperatif et urgent de passer a la qualite du service.

    mess belba
    20 juin 2017 - 9 h 44 min

    les autorités n’ont rien à
    les autorités n’ont rien à voir
    c’est le produit de notre ecole depuis sa déliquescence totale apres l’année 1976.
    donc c’est le serpent qui se mord la queue.
    l’ecole algerienne a rate l’occasion lacheraf puis brerhi et maintenant avec certain urluberlus celle de benghebrit qui mene actuellement un combat de david contre goliath.
    tant pis pour une société qui a atteint le fond et continue de creuser.
    quel est le vrai taux de réussite du bac depuis les années 70, sans la fraude? 0.00%celui des diplômes d’étude supérieures sans les copie collé des thèses archivées et des soutenance superficielles .-0.00%pour peu que l’on fasse un ptit décompte on s’aperçoit plus on va à l’université plus on devient analphabète et par voie de conséquence incultes et complètement déforme. a cela s’ajoute les esprits orientalisés avec leur ta3ribize synonyme d’abrutissement.Alors , vas trouver toi,un soupçon d’intelligence ou de raison dans la société yerhem bouk.
    pour peu que les anciennes generations soient complètement éteintes la boucle sera bouclée.

    Abou Stroff
    20 juin 2017 - 9 h 32 min

    l’université en tant qu
    l’université en tant qu’appareil idéologique du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation ne peut pas ne pas développer l’idéologie qui sied le mieux au système qu’elle sert et qu’elle doit servir, puisque c’est son rôle essentiel. Moralité de l’histoire: l’université est livrée à la délinquance parce que la délinquance est une valeur essentielle grâce à laquelle le système (basé sur la distribution de la rente et sur la prédation) se renouvelle « NORMALEMENT ».
    PS: il faut être d’une niaiserie maladive pour ne pas remarquer qu’en algérie, seuls les voleurs, les menteurs, souvent les tueurs – les « délinquants » en général – progressent dans l’échelle sociale et finissent par devenir des chakhsiate (…).

      integre
      21 juin 2017 - 9 h 09 min

      Tu es pris sur ton propre
      Tu es pris à ton propre système, tu veux nous montrer comme fleuron de ton académie. Tous les voyants sont au rouge. La triche rien que la triche, le plus beau c’est la faute à l’autre.

    ALGERIEN PUR
    20 juin 2017 - 9 h 23 min

    TOUS LIEU PUBLIC ET LE REFLET
    TOUt LIEU PUBLIC EsT LE REFLET DU MAL-ETRE DE LA SOCIETE DANS LAQUELLE ON VIT… L’ACTUALITE DU MONDE EST BANALISée, L’HUMAIN N’AS PLUS AUCUNE VALEUR ET LA SOCIETE EST DEVENUE AVEUGLE AUX DRAMES… ALLAH IRAHMOU. QU’ALLAH DONNE DU COURAGE A SA FAMILLE OU ALLAH YAHDI MA KH’LECK.

    Anonymous
    20 juin 2017 - 9 h 21 min

    Le résultat de 25 ans de
    Le résultat de 25 ans de Benbouzid à la tête du Ministère de l’Education nationale. Il a ruiné 2-3 générations d’élèves par incompétence, dogmatisme et lâcheté. La mort de ce professeur devrait le hanter jusqu’à la fin de ses jours. Dans un pays ou le Président et son gouvernement passent plus de temps à s’occuper de la construction de mosquées, à persécuter les minorités, les non-jeûneurs et à se taire face aux à l’extrémisme par lâcheté et pédagogisme religieux, on ne peut s’étonner de la violence dans les Universités et la déliquescence de l’Education Nationale.
    Une respectueuse et sincère pensée à ce jeune professeur ainsi qu’à sa famille, son épouse. Il a été tué par des barbares car il a su faire face à la médiocrité de la société. Rendons lui hommage à travers les réseaux sociaux et toutes les formes de communication pour que cela ne se reproduise plus, afin que la justice passe à travers un procès exemplaire sans complaisance. Que font la police, la justice? Un pays ou les lois de la République sont bafouées, la loi de la rue s’est imposée, les gangs de jeunes délinquants règnent en maîtres, les armes et la drogue rentrent dans les écoles et dans les foyers, les extrémistes de tout bord prennent les citoyens en otage pour nous entraîner dans l’obscurantisme….
    Nous sommes devenus une République bananière ou les mafieux en tous genres font leur loi, dans une économie de bazar qui navigue à vue depuis plus de 60ans. Faisons du bruit pour Karaoui Serhane, pour dire « plus jamais ça » et forcer la justice et le gouvernement à agir dans les plus brefs délais.

    Anonymous HXTW
    20 juin 2017 - 9 h 06 min

    Voilà le résultat de l’arabo
    Voilà le résultat de l’arabo-baathisme et de l’islamisme qui gangrènent l’Algerie depuis des décennies et que la société algerienne a embrassé avec enthousiasme. Toutes les valeurs universelles à même de rendre une société civilisée ont été volontairement pietinées (éducation, civisme, tolérance , objectivité, respect…) pour laisser place à la médiocrité et l’obscurantisme dans toutes leurs splendeurs. Ajouter à cette indigence intellectuelle l’indigence économique, couverte par une rente pétrolière éphémère et le « tout-importation » donnant aux Algériens l’impression d’être ce qu’ils ne sont pas… le tout saupoudré d’une fierté mal placée où l’Algerien objectif ou en recherche d’analyse qui ne partage pas les postulats régnants dans la société commet un crime de « lèse-societé (peuple et pouvoir) » et est relégué au statut de « Non-Algerien » et « d’apostat »….
    Ainsi, les ingrédients de la voie vers le sous développement sont réunis. Ce qui est en somme normal. À force de rester 50 ans en voie de développent sans se développer, on finit par régresser. Comme dit le dicton : qui n’avance pas recule !!. On y est rentrés de plain-pied.

    Oulhaci
    20 juin 2017 - 9 h 01 min

    Comment un peuple aussi
    Comment le peuple algérien peut en arriver là ??
    Ce professeur n’a t il pas un père,une mère, des frères, des sœurs, des enfants?
    Quelle intransigeance des notes ?? Qu’est-ce donc que ces agissements?
    Allah Yarahmou wa wisser ahlih !
    Malheureusement, nous les arabes, ne comprenons que la force, pourtant cela ne se passe pas ainsi dans d’autres pays arabes !
    Notre président Allah ichaffih wa itowour el âmr inchallah lors d’un de ses fameux discours avait encouragé les Algériens à se retrousser les manches et il avait employé un mot très important qui m’avait tellement touché: SÉDUISEZ.!!! Y’a ben 3emmi séduisez! Séduisons ! Prouvons qu’on est du top car on l’est !!!
    Soyons classe dans tous les domaines. Ne réduisons pas l’héritage de nos martyrs à un lointain souvenir ou folklore! (…)
    Maintenant c’est entre nous qu’on doit faire le travail, on doit être bienveillant entre nous, classe, pour le plaisir d’être algérien, musulman et ensemble.
    Et nos autorités ont une grande responsabilité: la prévention -toujours – mais la sévérité et la fermeté aussi, quand des actes comme ceux-là se produisent. Cela doit servir d’exemple. Notre société civile a besoin d’une présence forte de l’Autorité pour lui faire accepter l’ordre et le respect.

    Anonimousse
    20 juin 2017 - 8 h 59 min

    Trop bien nourris par
    Trop bien nourris par Bouteflika. Aucun sens de la vraie vie. Ça se voit même dans la rue et sur le physique des gens. Gras comme des taureaux d’abattoir, butés comme des bœufs. À 25 ans on dirait qu’ils en ont 50.

    khaled chaoui
    20 juin 2017 - 8 h 38 min

    Condamnation a mort voila
    Condamnation a mort voila ecole de benbouzid

    Moulay Chentouf
    20 juin 2017 - 8 h 32 min

    L’université au lieu d’être,
    L’université au lieu d’être, un lieu des savoirs et de la connaissance, l’espace du foisonnement des idées et du débat contradictoire a chuté dans le raidissement de la pensée, la paresse intellectuelle et la fraude, et la violence.
    Après la fatwa prononcée par un obscur imam contre le romancier Kamel Daoud, après la cabale et le traquenard par la télévision algérienne « ENAHAR » lancé contre l’éminent écrivain Rachid Boudjedra, c’est au tour d’un enseignant de « l’université » de Miliana Qaroui Serhane d’être assassiné d’un coup de marteau porté par ses propres étudiants, qui auraient été empêchés de frauder durant un examen que l’universitaire surveillait.
    C’est le résultat de l’existence du FIS dans les années 90, et de sa responsabilité des assassinats de milliers d’Algériennes et d’Algériens, vu que ces étudiants sont nés durant cette période de violence.
    Repose en paix Serhane.
    Moulay Chentouf.

      Anonymous
      20 juin 2017 - 10 h 18 min

      C’est le résultat d’une école
      C’est le résultat d’une école débilisante, aliénante arabo islamiste durant plusieurs décennies, c’est aussi le résultat d’un régime illégitime corrompu mafieux qui a fait de l’école algérienne un terreau d’islamistes illuminés, de débiles mentaux, d’analphabètes de tous bords, d’ignorance, de négationnistes de l’histoire authentique algérienne, une école qui a donné des robots arabisants qui ont pris les armes pour commettre du terrorisme par la plume et par les armes. C’est aussi le résultat d’une perte de repère identitaire, d’histoire, de fierté de notre peuple.

        Kamel
        20 juin 2017 - 11 h 15 min

        Malheureusement cher ami,
        Malheureusement cher ami, beaucoup de nos compatriotes trouvent merveilleux de vivre dans de telles conditions pourries, et ils en sont tout fière de leurs débilités inhumaines.
        Voyez vous cher ami, peut-être que j’étais niais, mais depuis la décennie noir, je n’ai plus espoir d’amélioration et n’attend plus rien de bon.
        Le seule gloire que nous tirons, c’est notre révolution (qu’il ne faut pas regarder de près), mais depuis notre indépendance, c’est comme si ce qui faisait de nous des êtres humains s’était envolé subitement et ne reste que les corps ne sachant quoi faire si ce n’est que les mauvais choix par plaisir à chaque fois et dans tout.
        Je n’écrit pas ça pour dénigrer les nôtres ou par plaisir, ça me fait beaucoup de peine de l’écrire.

    Anonymous
    20 juin 2017 - 8 h 23 min

    C’est tiute l ‘Algerie sui
    C’est toute l ‘Algerie qui est livree a la delinquance, pas seulement l’universite. Bouteilles, epees, couteaux… que reste-t-il de bon dans ce pays???

      ALGERIEN PUR
      20 juin 2017 - 9 h 36 min

      IL RESTE LES GENS , BIEN…..
      IL RESTE des GENS BIEN…. PAS BEAUCOUP, MAIS IL EN RESTE . C’EST PAS « MADE IN ALGERIA » ENCORE UNE FOIS, C’EST LE MONDE QUI EST DEVENU FOU, MALHEUREUSEMENT. Quand UNE PERSONNE SE FAIT AGRESSER DANS UN LIEU PUBLIC PERSONNE NE BOUGE , QUE ce SOIT EN ALGERIE, EN EUROPE OU AILLEURS….

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