Bouteflika annule les décisions d’Ouyahia : un scénario Tebboune bis ?

Ouyahia Bouteflika
Ahmed Ouyahia en compagnie d'Ali Haddad et Abdelmadjid Sidi-Saïd. New Press

Par M. Aït Amara – Le Président de la République aurait décidé de remettre en cause les décisions prises par Ouyahia d’orienter la politique du gouvernement vers une privatisation à outrance des entreprises publiques, hormis celles relevant des secteurs stratégiques. Les quotidien arabophones El-Khabar et Echorouk, qui rapportent l’information, croient savoir que l’instruction du chef de l’Etat aurait été transmise au Premier ministre ce jeudi.

Ahmed Ouyahia, nommé au lendemain du limogeage de l’éphémère Abdelmadjid Tebboune, a fait plein cap sur des réformes économiques brutales visant à accélérer le processus de privatisation des entités publiques qui souffrent de graves dysfonctionnements et qui empêchent un véritable décollage de l’économie nationale. Un choix qui a fait beaucoup de bruit. Mais Ouyahia s’est solidement appuyé sur son partenaire social, le puissant Abdelmadjid Sidi-Saïd qui, à la tête de la centrale syndicale, a pris sur lui de rassurer les travailleurs quant à l’impérative nécessité d’ouvrir le capital des entreprises publiques concernées par le plan Ouyahia, tout en maintenant une minorité de blocage en faveur de l’Etat.

L’instruction du président Bouteflika signifierait que le pays pourrait s’acheminer vers un scénario Tebboune bis, mais dans le sens inverse. Le prédécesseur d’Ouyahia ayant été écarté pour s’être attaqué de front et de façon brutale aux opérateurs privés nationaux, au premier rang desquels le patron du FCE, Ali Haddad.

Les tergiversations du pouvoir quant à la voie à suivre pour abandonner le tout-hydrocarbures est symptomatique des craintes qui réfrènent la volonté de Bouteflika d’aller vers de véritables réformes, seules à même de sauver le pays d’une grave crise économique et financière à plus ou moins court terme. C’est à un véritable choix cornélien que le président Bouteflika fait face car il sait que la rue l’attend au tournant et qu’elle n’est pas prête à se départir des mauvaises habitudes auxquelles le pourvoir l’a habituée depuis 1999 : l’assistanat et les rétributions sans aucune exigence de rendement en contrepartie. Le tout sur fond de corruption et de prédation.

M. A.-A.

 

Comment (44)

    Anonyme
    15 janvier 2018 - 16 h 50 min

    Il n y a pas une autre voie que de revoir la gestion des entreprises etatiques lourdement deficitaires pour mauvaise gestion.L Etat ne peut supporter les deficits abissinal pendant des dizaines d annees,dans ces cas pareils il faut privatiser une partie du capital et trouver le chemin de mieux motiver les employes a mieux produire
    et ameliorer la competivite et la qualite des produits afin d eviter a ces entreprises deficitaires l irreparable.Il n y a pas de sentiments dans ces cas,ou bien rendre ces entreprises profitables,modernes et competitive ou bien c est la faillite.

    hami
    15 janvier 2018 - 0 h 53 min

    Bravo Mr Le President.Vous allez entrer de l’histoire algérienne avec la seconde gifle que vous avez assénée aux pourfendeurs de notre identité et notre économie.
    YENNAYER reconnue comme notre nouvel an par excellence,pilier de notre identité est une 1ere gifle aux arabo-islamistes qui oeuvrent tout azimut afin de nous éloigner de notre authentique identité,
    La préservation de nos entreprises publiques,une seconde gifles aux oligarques représentés par sidi said,haddad et ouyahia qui tentent de réediter les scenario de Benachenou ,temmar qui avait détruit le tissu industriel mis en place par feu boumédienne (des entreprises performante comme sonitex,sonipec,el hadjar etc..)

    Fuji Yama
    14 janvier 2018 - 22 h 28 min

    MEDEF=Syndicat patronal
    Français. Sa mission principale:
    défendre les intérêts des dirigeants
    d’entreprises vis à vis de l’État et
    des syndicats des salariés dont la CGT. Les droits des travailleurs sont relégués au 2eme plan.
    2eme objectif du MEDEF: :créer de l’emploi, via son collectif d’entreprises pour
    résorber le chômage. Mais ce
    scénario n’est pas aussi évident,
    ni en France, ni ailleurs.

    benchikh
    14 janvier 2018 - 21 h 32 min

    Un grand respect à notre président de cette note ministérielle ,pour stopper cette destruction des usines nationales, que je les considère comme un acquis précieux de qualité de notre révolution ,non Mr Haddad et compagnie ces usines sont une ligne rouge arrêtons de saccager l’argent du trésor.Celui qui veut travailler qu’il nous montre ses capacités loin des relations douteuses .

      Anonyme
      15 janvier 2018 - 7 h 14 min

      Vous êtes soit de mauvaise foi soit intéressé par le marasme actuel qui pousse notre pays vers le bas.A qui profite ce crime?Je vous le demande vous qui êtes prêt à sortir la brosse en dépit de toute logique.

        benchikh
        15 janvier 2018 - 8 h 31 min

        Je suis contre le marasme économique et contre le monopole et contre les usines (sois disant) privées la clé à main ,mais plutôt avec la concurrence et que le meilleur gagne.

        benchikh
        15 janvier 2018 - 8 h 38 min

        je vous invite cher Anonyme de voir l’usine nationale à Constantine ,Tarik ben Ziade qui fabriquée le carrelage de bonne qualité .Elle était vendue pour un privé ,il y a maintenant plus que 8 ans encore fermée ,venez Mr voir la destruction .Ce n’est pas du marasme ??!!

      hami
      15 janvier 2018 - 14 h 21 min

      @bencheikh
      Je suis d’Accord avec toi.à
      À qui profitera la privatisation.C’est aussi évident qu’une verue en plein visage.La privatisation profitera à ceux qui bcp d’argent,et non aux travailleurs qui se verront exploiter.N’est ce pas que bcp d’employés de Haddad n’ont pas reçu ou trés en retard leurs salaires.
      Et ceux qui ont bcp d’argent,ce sont les oligarques qui sont connus et dont je tairais les noms.

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 18 h 22 min

    Quoi qu’on dise quoi qu’on pense il n’y a pas meilleur que Ouyahia pour diriger l’Algérie.Il dit la vérité au peuple et gére bien l’économie du pays.Mais les vautours et les privilégiés du système n’en veulent pas car tôt ou tard il remettra chacun à sa place y compris la secte d’Oujda qui a crée un makhzen local semblable à celui du pays d’où ils sont tous venus pour squatter l’Algérie…..

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 17 h 59 min

    Je pense qu’il faut aller sur le terrain et faire des enquêtes approfondies sur la question de l’entreprise Étatique et l’entreprise privée, les faire passer au peigne fin, nous avons besoin d’avoir toutes les données sur le dysfonctionnement et les obstacles rencontrés par les deux types d’entreprises. Revoir la législation comme j’ai eu déjà à le soulever il n’est nul honteux ou handicapant de voir les législations des autres pays qui sont arrivés en fin de compte à s’en sortir et à se classer comme pays émergent. Doter la nouvelle législation pour qu’on ne puisse pas la contourner au profit de tierce ou d’une minorité suceuse de sang.

    mehsis
    14 janvier 2018 - 17 h 51 min

    Bouteflika annule les décisions d’Ouyahia : un scénario Tebboune bis ?
    « OUI »

    karimdz
    14 janvier 2018 - 17 h 43 min

    Plutôt que de brader nos entreprises publiques, on sait ce qu il est advenu de ceux qui ont été vendus dans le passé, il faut les restructurer et pourquoi pas, impliquer le privé algérien.

    La priorité donc, ce n est pas le bradage mais d encourager une politique d investissement productif.

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 17 h 27 min

    Non et Non – HAMROUCHE fait partie des siens. Il a cautionné BOUTEFLIKA en 1999 en poussant les 5 à se retirer, pour soit disant, je cite: « les laboratoires ont travaillé pour BOUTEF, donc il est complice puisqu’il le sait. Mieux encore, il doit répondre, en principe, sur l’assassinat (par empoisonnement, semblerait-il) de Feu HOUARI Boumediène. A mon avis, tous les espoirs de ce pays sont entre les mains d’une jeunesse «  »Fort Calée » » et vivant à l’ombre.

    Kahina-DZ
    14 janvier 2018 - 16 h 59 min

    Deux clans deux visions différentes
    Clan Tebboune et Clan Ouyahia
    Je crois que le plan B sera comme suit: l’ANP dirigera le pays jusqu’au nouvel ordre.

    Frida
    14 janvier 2018 - 16 h 54 min

    La marmite commence à bouillir et il y aura sûrement un débordement brûlant. Gare à celui qui sera victime.

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 16 h 30 min

    il faut un plan « B » vu l’urgence ! un certain Mouloud Hamrouche peut l’actionner vu son expérience!

    Numidia-Dz
    14 janvier 2018 - 16 h 08 min

    Bonne nouvelle ??

    Tinhinane
    14 janvier 2018 - 16 h 00 min

    Ne pas vendre les entreprises publiques à la aveuglette est une bonne nouvelle.

    Je ne comprends pas les réactions.

    Kahina-DZ
    14 janvier 2018 - 15 h 35 min

    Je me demande si la décision n’est pas liée à l’affaire de Air -Algérie ??

    Peut-être que l’objectif était vraiment de salir Air-Algérie pour anticiper sa vente.
    Si c’est le cas, alors les complices ont eu la réponse qu’il faut de la présidence.

    Grave
    14 janvier 2018 - 15 h 30 min

    le secteur etatique n’a pas besoin de privé pour sortir du trou mais bcp plus de competence et de la volonte humaine pour faire reanimer et faire decoller se parage de nouveau , quand on regarde air algerie ou sonatrach on peu se rendre compte facilement que la gerance et la gestion font defaut

    MELLO
    14 janvier 2018 - 15 h 02 min

    La démarche, si démarche il y a, est discutée d’abord entre le premier ministre et son président. Ils se sont mis d’accord que l’un ( Ouyahia) lance la pierre de la privatisation des entreprises publiques pour faire du FCE son allié , mais de l’autre le président annonce l’annulation de l’annonce . Résultat des courses Ouyahia dira à HADDAD & Co que c’est le président qui freine la démarche.
    Dans un pays où tout se négocie dans l’ombre, le seul perdant reste ce peuple qu’on continue à mener à la barque sans aucune implication dans la gestion des deniers publics. Si l’ouverture du capitale des entreprises publiques est mis sur la table, les premiers concernés, à consulter, restent les employés de ces entreprises .
    Alors cessons d’être bernés par cette  » sage décision » du président, c’est archi faux.

    Rascasse
    14 janvier 2018 - 14 h 53 min

    Effectivement Ouyamoute a été roulé dans la farine avec un sens inverse de rotation du pétrin qui a broyé zoro de Tebboune pardon( zéro), ainsi ouyahia est éliminé de la course au présidentielle, Chakibos a la voie libre dans le cabinet noir des machiavels on comprend pourquoi Ould Abbas confirmait que Machiavel ne sera pas candidat, les Zaouia sont à l’Algérie ce qu’est la franc maçonnerie aux occidentaux et la messe est déjà dite, ouyahia n’a eu que ce qu’il mérite, les alliances avec le diable précipitent inéluctablement en enfers

    Felfel Har
    14 janvier 2018 - 14 h 37 min

    Par calcul politique, Mister O ne rate pas une occasion pour dire qu’il ne fait qu’appliquer le programme du président dont la privatisation des EPE et des PME publique. Son annonce se voulait sans doute un ballon d’essai. Les réactions diverses n’étant pas favorables, il est alors aisé de faire marche arrière en accablant le PM de dérive anti-nationaliste. C’est une façon pour le président de faire coup double: se faire passer pour un défenseur du secteur public et en même temps glisser une peau de banane sous les pieds de son PM. .. Mr. O devrait tirer sa révérence et laisser Machiavel avec ses combines. Mais……

    Umeri
    14 janvier 2018 - 14 h 27 min

    Bouteflika, trace une feuille de route au premier ministre et a son gouvernement, mais comme la mémoire lui fait défaut, dés qu’il entend des voix critiques,il sursaute et se ravise pour zaàma rectifier le tir.Ceux qui travaillent sous son autorité, doivent souffrir, de ses sauts d’humeur, car, il paralyse leurs actions sur le terrain.Il n’ y a qu’ Ould Abbas, qui doit être a l’ aise …, il est à la fois ami et ennemi de Haddad, le président du F C E et de son copain Sidi Saïd, qui est dans la même situation, un pied chez les travailleurs, un autre au patronat.

    Mhand
    14 janvier 2018 - 14 h 13 min

    Bouteflika ne décide rien depuis 2006? Qui décide à sa place? Pourquoi l’ambassadeur des Etats-Unis doit-il rencontrer .. ould abbess ?

    Fuji Yama
    14 janvier 2018 - 13 h 51 min

    Haddad se veut à tout prix dans les chaussures de Pierre Gattaz et Haddad & Co veulent à tout prix faire du P.P.P. un MEDEF ……à l’Algérienne.
    Seulement, ils oublient que ce même MEDEF n’a pas vraiment réglé le problème du chômage en France, vu qu’il ne fait qui enrichir le patronat et laissé les chômeurs sur la brèche. Ce MEDEF est la bête noire et des travailleurs français et de la CGT qui, elle, défend bec et ongles les droits de ses travailleurs.
    Chez nous, l’UGTA est d’emblée du côté du patronat.
    Qui va défendre les travailleurs en cas de faillite ou de fermeture de telle ou telle entreprise? Monsieur Djamel Ould Abbés? La belle blague!

      AÏT Chaalal
      14 janvier 2018 - 15 h 39 min

      Mais qu’est-ce que vous racontez là monsieur ? Le (MEDEF) le mouvement des entreprises de France n’est pas une organisation qui se charge de réglé le problème du chômage en France. C’est le rôle de gouvernement via son ministre de travail et le ministre de l’économie de de s’occuper de problème de chômage de ma connaissance. A moins que les choses ont changés depuis l’arrivé de nouveau président au pouvoir en France !..il y’a une règle dans l’économie , si le pouvoir public est en pagaille, tout le reste est en pagaille..c’est le cas de notre pays..De matin au soir..Le gouvernement décide le matin et juste après-midi la présidence annule les projets de loi. s’il y’a un manque de confiance ou de coordination entre le chef de l’état et son chef de gouvernement ( qui est le chef de chantier ) alors là ! je peux dire qu’on n’est pas vraiment sorti de l’auberge dans ce pays.

    صالح/ الجزائر
    14 janvier 2018 - 13 h 44 min

    l’ex premier ministre s’était attaqué aux compradores opportunistes et parasites comme le patron du fce (il aurait dû faire de même avec l’hypocrite de l’ugta) et non au secteur privé qui a existé même dans les année 70 au lieu de ceder le patrimoine (entreprises) publiques au dinar symbolique à certains amis du fce, de l’ugta et autres clans et membres de la mafia politico financière. pourquoi ces mêmes amis ne creent pas, s’ils en sont vraiment capables, leurs propres boites au lieu de convoiter le secteur public???

    Yacine
    14 janvier 2018 - 13 h 41 min

    Moi , je propose qu’on rentre dans le secteur public (étatique ) même les cafés , les restaurants , les hammam, les épiceries ..etc.. et les subventionner par les fonds publics à chaque fois que leurs caisses sont vides . C’est comme cela que les assistés ne râleront plus !
    2019 , quand tu nous tiens !

    Zaatar
    14 janvier 2018 - 12 h 34 min

    ça me fait rappeler le fameux film de « Boubegra » (Hassan el Hassani) paix à son âme avec Rouiched (paix à son âme aussi)… Tigoule wala Tigoule pas? Tigoule wala Tigoule pas? et Rouiched qui réplique, mais qu’est ce je vais gouli… Alors ici on est dans le même scénario. On PPP ou on ne PPP pas. On vend les entreprises ou on ne vend pas les entreprises… on sirote un bon café en attendant.

    socrate
    14 janvier 2018 - 12 h 30 min

    Bouteflika peut devenir le Gorbatchev de l’ Algérie mais il sait que de VERITABLES réformes conduiraient à l’anéantissement de son régime déliquescent. C’est pour cela qu’il tergiverse, veut faire une chose et son contraire, tourne autour du pot .

    MoiNews
    14 janvier 2018 - 12 h 26 min

    les héros parlent moins et agissent plus (…)

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 12 h 13 min

    Merci monsieur le président d avoir retarder la vente du pays

    Lghoul
    14 janvier 2018 - 12 h 10 min

    Ce qui va être vraiment rigolo maintenant est que tous les trois vont commencer à jaser et dire le contraire de ce qu’ils nous chantaient. Normalement, dans un pays logique, ils doivent tous démissionner. Mais ont ils honte ou froid aux yeux ? Jamais, autrement on ne verrait jamais les mêmes têtes depuis plus de 25 ans. Un KDS ne peut être autre chose que la serpillière du pouvoir de circonstances.

    nectar
    14 janvier 2018 - 12 h 01 min

    ça ne change rien à la donne, c’est seulement une comédie dell-Arte.. La république des copains et des coquins a de beaux jour devant elle, jusqu’au pourrissement total…

    lhadi
    14 janvier 2018 - 11 h 36 min

    Il est des affirmations que l’on retrouve fréquemment au détour de discussions, dont la portée fait souvent office d’argument massue, mais sans que ne soit jamais remise en cause sa pertinence. Parmi elles : l’affirmation que la loi fondamentale de la république a beau tracé la voie, le Président de la république marche dans la sienne. En effet, les décisions unilatérales prises à l’emporte pièce par celui qui est sensé défendre les intérêt de la nation algérienne m’amène aussi à la triste conclusion : que le juste et l’injuste sont devenus chez le florentin d’Alger termes de convention, vagues, indéterminables.

    La république algérienne démocratique et populaire, celle dont la voix était respectée et si souvent entendue, n’est-elle pas devenue, sous les mandatures du césarisme algérien, une république de copains et de coquins ; une mare à canards où ils font bon marché l’honneur du pays ?

    Seule l’instauration de la mythique main étrangère permet l’expression du césarisme algérien que je juge comme corrompu, ne servant pas les intérêts de la nation et inefficace face à ce monde de globalisation politiquement et économiquement injuste.

    Les vrais Algériens, ceux qui veulent le meilleur pour l’Algérie, ne veulent plus de ce « petit dictateur » qui insert son destin en lettre cousue de trahison et de lâcheté.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    LOUCIF
    14 janvier 2018 - 11 h 12 min

    çà y est maintenant Sidi Said et Haddad vont changer d’avis comme des toutous et vont relayer comme des perroquets ce que vient de dire Bouteflika, c’est à dire le contraire de ce qu’ils ont dit il y a quelques jours !

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 10 h 46 min

    Bouteflika a mis a verrou de sécurité supplémentaire dans l’ouverture du capital du secteur public au prive: tout doit passer par lui. Avertissement aux vautours et leurs complice dans les rouages de l’Etat.

    elhadj
    14 janvier 2018 - 9 h 13 min

    M TEBBOUNE dont les citoyens apprécient la justesse de ses décisions permettre un terme aux interférences de l oligarchie financière demeurera toujours comme l homme de la situation pou sauver les interets du pays.c est dommage il a ete hélas victime d un trio qui a repris les rênes.les citoyens n ont pas la mémoire courte pour oublier que les privatisations des sociétés nationales ,la mise au chômage des milliers de travailleurs ont ete l oeuvre de l actuel premier ministre et actuel responsable de l UGTA et voila que les mêmes personnages tentent de fourguer une nouvelle procédure de liquidation des entreprises publiques par un pseudo et inexpliqué programme de participation du prive qui ne profiterai qu a ceux qui ont ete a l origine de l éviction de M TEBBOUNE. Sans prospective durable et réfléchie pour l avenir du pays il semble qu on improvise selon les circonstances du moment et des calculs a dessein quant a la prochaine élection présidentielle pour naviguer a vue en l absence d un pilote physiquement actif et efficace.

    Dyhia-Dz
    14 janvier 2018 - 7 h 47 min

    Espérons que la décision ne vient pas des importateurs de vers de terre et des abats de reptiles.

    Amasch-Hô
    14 janvier 2018 - 7 h 20 min

    Comme il y a ceux qui créent l’événement, il y a, du coup, ceux qui le subissent…

    Anonyme
    14 janvier 2018 - 6 h 39 min

    Tebboune est sortie grandi en héros , contrairement à ouyahia

      Merzak
      14 janvier 2018 - 16 h 01 min

      Espérons un retour de Mr. Tebboune comme président de la république. … .

    marr....
    14 janvier 2018 - 6 h 17 min

    he ho, on n’est quand meme pas au marrok !

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