Oran : mise en échec d’une tentative de trafic de plus de 2 quintaux de kif traité

Les services de la gendarmerie d’Oran ont réussi ce week-end à mettre en échec une tentative de trafic de 228 kilos de kif traité, a-t-on appris samedi de ce corps de sécurité. Agissant sur renseignements et suite à la surveillance des mouvements des narcotrafiquants impliqués dans cette affaire, les gendarmes enquêteurs relevant de la section des recherches du groupement territorial d’Oran ont arrêté trois individus formant un réseau de trafic international de stupéfiants provenant du Maroc, a-t-on souligné de même source.

Ces narcotrafiquants ont été arrêtés dans la commune d’El-Kerma, à l’entrée sud du groupement urbain d’Oran, au niveau d’un point de contrôle de la sécurité routière de la Gendarmerie nationale. Leur véhicule, qui transportait cette quantité de drogue, a été également saisi. Un autre véhicule utilitaire et une importante somme d’argent représentant une des recettes de l’activité prohibée de ce réseau ont été aussi saisis dans la région centre du pays, dans le prolongement de cette opération et des investigations poursuivies par les enquêteurs, dans le cadre d’une autorisation d’extension de compétence.

R. N.

Comment (6)

    chark
    20 janvier 2018 - 21 h 22 min

    Cette ville d’Oran doit être impérativement assainie  » maison par maison  » de toute cette racaille qui tue notre jeunesse en toute impunité sous la bienveillance des autorités locales !

    Les prisons doivent être construites à 2000 au sud !!

    L'EPERVIER.
    20 janvier 2018 - 21 h 15 min

    en chine , on fait payer aux familles des executes , le prix de la balle.

    Moskosdz
    20 janvier 2018 - 20 h 02 min

    Si j’étais chef d’état,je ferais payer la balle avec laquelle devraient mourir ces narcotrafiquants,ils ont de la chance que je ne le suis pas.

    L'EPERVIER.
    20 janvier 2018 - 15 h 39 min

    PELOTON D’EXECUTION.

      Chaoui
      20 janvier 2018 - 16 h 00 min

      Mettre fin au moratoire sur la peine de mort et la mettre en application dans 3 cas :
      1) Haute trahison ;
      2) Atteinte à la vie sur les mineurs ;
      3) Trafic de drogue.

        Chaoui
        20 janvier 2018 - 16 h 58 min

        A « haute trahison », lui est assimilable les atteintes à la sûreté de l’Etat tel que les faits de terrorisme.

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