Ould-Abbès : «La grève du Cnapeste a été gelée sur instruction de Bouteflika»

Comment (26)

Umeri
6 mars 2018 - 22 h 25 min
La Cnapeste, refuse de négocier avec la ministre de l’Education, mais soudain, miracle, elle entend une voix qui lui demande de geler la gréve. Il n’y a que dans la tête d’ Ould Abbas, que de telles bêtises existes.Alors, pourquoi cette même voix miraculeuse, ne met pas fin au calvaire des algériens, né de sa politique désastreuse.
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Lestat
5 mars 2018 - 23 h 29 min
Un sombre idiot, il n’a pas de famille? des enfants, des petits enfants … ou même cousin germain peu soit-il pour le faire descendre sur terre et constater le niveau de bassesse qu’il a atteint a son age.
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Anonyme
5 mars 2018 - 17 h 07 min
Ah ! Que serions nous devenus sans fakhamatouhou ?
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Anonyme
5 mars 2018 - 16 h 39 min
«Abdelaziz Bouteflika suit de près toutes les questions nationales, dont les mouvements sociaux, et intervient pour y mettre fin dès que les signes d’un pourrissement surgissent».
Doit-on alors comprendre, monsieur le SG du néo-FLN, qu’il n’a de ce fait aucune intention d’intervenir pour mettre fin au pourrissement de la situation générale du pays qui perdure depuis ses quatre derniers mandats ?
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Anonyme
5 mars 2018 - 16 h 24 min
Certes, fakhamatouhou est président de tout ! Il a tous les pouvoirs et tous les dons ! Mais je ne savais pas encore que la Constitution du pays lui accordait, aussi, un droit de regard sur les décisions des syndicats autonomes voire à les instruire directement… à surseoir à leurs grèves ?!
Cela ne s’est encore jamais vu ailleurs dans le monde ! Et comment donc ne pas être fiers de pouvoir ainsi se distinguer du… reste du monde ?!
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Geronimo
5 mars 2018 - 9 h 53 min
Il est pire que Pinocchio. Il n’arrête pas de mentir pour essayer de glorifier son mentor. Le meilleur service qu’il pourrait rendre au Président est de démissionner de son poste et rejoindre sa tannière qu’il n’aurait jamais dû quitter.
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Anonyme
5 mars 2018 - 16 h 54 min
Démissionner ? Mais il ne sait même pas ce que signifie ce terme. Il n’existe pas dans son vocabulaire parce qu’il n’en a jamais vu autour de lui.
Mais si, par exemple, son président se décidait à donner l’exemple, il finirait peut-être par en comprendre le sens.
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Anonyme
5 mars 2018 - 0 h 03 min
Cocorico! Oyé ! Oyé ! Peuple de la basse cour, moi,coq de la basse cour, et messager de la haute cour, je viens par le présent cocorico vous informer que  » la grève du Cnapeste a été gelée,sur instruction de monsieur le président. » Cocorico !
N’ayez crainte dociles citoyens de la basse cour, le coq de la basse et de la haute cour est là, haut en couleurs, pour vous tenir au courant des affaires essentielles du pays. Cocorico !
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den
4 mars 2018 - 23 h 16 min
ce clown et beni oui oui devient maintenant ler porte parole de la cnapeste
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Aldjazairi
4 mars 2018 - 17 h 57 min
Heureusement que nous avons la chance d avoir un petit père des peuplades que nous serions aux yeux de celui qui a « étudié «  avec la Merkel …..
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Salamat ou Salam
4 mars 2018 - 17 h 10 min
….. «La grève du Cnapeste a été gelée sur instruction du président Bouteflika» ….. conclusion immédiate : le syndicat Cnapeste n’est pas fidèle à ses principes de défense des intérêts des travailleurs mais se veut un « machin » à la disposition et au service de Bouteflika ! Il n’obéit qu’au chef suprême, au zaim, au guide spirituel, au timonier et lâche les travailleurs sous une simple injonction du Brizidène !
PS : je comprendrais l’arrêt de la grève de ce syndicat le jour où il nous expliquera d’une manière précise, claire et transparente quels ont été les promesses, les garanties et les points réglés par Bouteflika ! Ce serait vraiment horrible et honteux de savoir que ce syndicat a juste arrêté sa grève parce que Bouteflika l’a exigé !
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lhadi
4 mars 2018 - 17 h 08 min
N’en déplaise à ce griot es en génuflexion.
C’est à force de courage, d’obstination, pendant des périodes difficiles pour notre pays, que nous pourront oeuvrer et à la transformation de notre société en une économie de marché, régulée, contrôlée avec en parallèle une politique sociale cohérente et efficiente.
fraternellement lhadi
([email protected])
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Anonyme
4 mars 2018 - 16 h 26 min
marre de toutes cette racaille! ils vont encore donner de l’argent a leurs amis sans consulter le peuple, l’argent de la terre algérienne et du blé algéien vont l’offrir a l’unesco, Mobarek la tunisie, le maroc le burkina sont des voyous.
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Mourad BELHOCINE
4 mars 2018 - 16 h 19 min
Le plus grand service que tu pourra rentre au pays c’est de disparaître.
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Erracham
4 mars 2018 - 16 h 10 min
J’aimerais bien croire Si Djamel quand, droit dans ses bottes, il OSE affirmer que c’est le président, et personne d’autre, qui a sifflé la fin de la récréation. Une question me torture les méninges, pourquoi alors n’est-il pas intervenu plus tôt pour nous épargner tant de maux de tête? Autre question: pourquoi n’utilise-t-il pas souvent ses « pouvoirs surnaturels » pour sortir le pays de son ornière, de ses difficultés et le mener sur la voie du progrès pour tous. S’il voulait vraiment entrer dans l’histoire, qu’attend-il pour remettre le pouvoir au peuple, seul garant de la pérennité et de stabilité du pays? Rappelons-lui cette prophétie d’Abraham Lincoln, « The government of the people, by the people, for the people, shall not perish from the Earth, »! Cet homme n’a-t-il pas laissé une empreinte indélébile dans l’histoire de son pays?
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Anonyme
4 mars 2018 - 15 h 56 min
Si la grève a été gelée par Bouteflika cela veut dire que c est lui et son clan qui l ont provoqué et soutenu ?
Qui était visé ? A qui le préjudice aurait bénéficié ?
Mettre en péril la scolarité de milliers d enfants juste pour assouvir ses desseins politiques est criminel….
La guerre entre les différents pilleurs va être rude et le peuple va en pâtir sérieusement…
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Abou Stroff
4 mars 2018 - 15 h 10 min
«La grève du Cnapeste a été gelée sur instruction de Bouteflika» dixit ould abbès.
je conclus que bouteflika est le premier responsable du cna-peste. autrement, comment un militant non syndiqué et de surcroit non-responsable pourrait il geler une grève?
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Anonyme
4 mars 2018 - 15 h 57 min
J ai eu la même réflexion….
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Le Ducs
4 mars 2018 - 14 h 47 min
Comme disait Pharaon, je ne veux pas de ministre intelligent; je veux des ministres obéissant et soumis, le reste je m’en charge!!! avant les échéances des élections présidentielles, meme si vous demandez la lune, vous l’obtiendrez!! après, El Harba Tsselek, c’est le retour des vautours, les drebkis,les bénis de zaouia, les autoghoul, Ali el goudroune, benyounes et les autres!!! cent trente deux ans de lutte pour ce résultat!!! Qu’es-ce qu’on fait au bon dieu pour mériter cela??!!
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Felfel Har
4 mars 2018 - 14 h 38 min
N’a-t-il pas l’air pathétique notre « berrah » national? Il pousse le bouchon un peu trop loin en attibuant à son seigneur et maître des pouvoirs surnaturels quand on sait que, Allah Ghalleb, il peine à gérer sa propre maladie. Puisqu’il travaille avec tant d’alacrité, pourquoi ne se concentre-t-il pas sur la résolution des problèmes qui plombent le pays: corruption, gabegie, prévarication, détournements, insécurité, paupérisation de la population, incompétence des décideurs (comme celà a été démontré au sujet des placements de la Banque Centrale en Bons du Trésor), perte de prestige du pays au sein des instances internationales illa akhirih?
Ni lui ni son parrain ne possèdent la bague de Sidna Souleymane pour nous émerveiller par leurs miracles.
En Algérie, avec de tels dirigeants, plus ça va… moins ça va. Mr. Ould Labess, taisez-vous SVP, épargnez nous vos déclarations ridicules!
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Anonyme
5 mars 2018 - 16 h 48 min
En effet, il fut un temps où le ridicule pouvait tuer. Mais ce n’est malheureusement plus le cas de nos jours, même si on peut parfois profondément le regretter.
C’est dire à quel point le bon vieux temps peut nous manquer, n’est-ce pas ?
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MELLO
4 mars 2018 - 13 h 53 min
Comme de coutume, Ould Abbes, s’affichant devant le portrait de son maître, ne rate aucune occasion pour afficher son allégeance . Au fond de lui , il sait que cette reprise des enseignants fait suite à une entorse des lois de la république. En effet, les enseignants grévistes qui étaient en passe d’être révoqués pour «abandon de poste», avec des mises en demeure envoyées par le ministère de l’Education nationale, savent que le décret exécutif n°17-321 du 2 novembre 2017 fixant les modalités de révocation du fonctionnaire pour abandon de poste, est en contradiction flagrante avec la décision. L’article 2 de ce décret — venu préciser l’article 184 de l’ordonnance portant statut de la Fonction publique — stipule :
«Est considéré en situation d’abandon de poste, tout fonctionnaire en activité qui s’absente sans justification valable.» Par justification valable, il est entendu tout empêchement ou cas de force majeure, lié notamment aux catastrophes naturelles, incapacité physique et poursuites pénales.
Ould Abbes ne semble pas en mesure d’assumer cette entorse de la Ministre de l’éducation , il vient nous déverser sa langue de bois.
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MELLO
4 mars 2018 - 13 h 28 min
Ould Abbes a déclaré à la presse que « le président Bouteflika a donné instruction de suspendre la grève illimitée », puis il ajouta « que cette décision est «le fruit du dialogue continu entre la tutelle et les syndicats concernés».
Soit que Ould Abbes ment, soit il ne sait pas ce qu’il dit. Dans les deux cas, il n’y avait ni l’intervention du Président et encore moins le dialogue!!
Comment parler de dialogue lorsqu’une grève, touchant tous les paliers de l’éducation, dure plus d’un mois?? Cette grève, qui aura duré près de trois mois à Blida, Tizi-Ouzou et Béjaïa, près d’un mois dans le reste des wilayas, a grandement perturbé la scolarité des élèves du palier secondaire essentiellement.
La décision prise par le CNAPESTE s’est faite après des débats houleux et longs. Il aura fallu aux membres du bureau national plusieurs heures de débats pour arrêter une décision après avoir entendu les rapports des 44 bureaux de wilaya et entamer des discussions entre eux, souvent enflammées.
Mais le poids le plus important de cette décision de reprise, ce sont ces centaines de lycéens qui ont investi les rues, réclamant un retour à la normale.
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Zaatar
4 mars 2018 - 12 h 37 min
Secret de polichinelle. Comme si personne ne le savait. c’est le contraire qui nous aurait étonné. Par contre ce qu’il faut savoir, car on ne le sait pas, c’est combien ont été lâché pour obtenir le gel de la grève. C’est comme le chiffre de 25 Milliards de dollars qui vient d’être divulgué, et qui a contribué à maintenir à flots les entreprises publiques de 2010 à 2015. Et tout le monde sait que les entreprises publiques fonctionnent sous perfusion…autrement on sait ce qui va arriver. Sauf que maintenant, le sou se fait rare , sauf celui tiré par la planche à billet mais qui à terme contribue à mieux envenimer et encore plus les choses…d’ou le dilemme. Et si l’on rajoute la grève des résidents de médecine, qui eux ne gèleront pas leur grève, car le président n’a rien à leur proposer en échange de leurs revendications, la situation risque d’être explosive d’ici peu…
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El Fellag
4 mars 2018 - 12 h 19 min
Monsieur SG du parti de la Faillite et la Liquidation de la Nation Algérienne, vous devriez respecter les morts et surtout ceux qui ont donné leur vie pour que les citoyens d’une nation puisse vivre librement;malheureusement s’est produit le contraire ou des corrompus affairistes s’emparent des commandes et pillent ce qu’a laissé l’occupant; vous les avez trahis, pour n’avoir pas respecté le serment fait a ces héros.
aujourd’hui à des fins politiques, vous revenez sur leurs tombes et vous les insultez a nouveau; Haram Allikoum!! la vie n’est pas éternelle; tous ces héros et quarante millions de victimes demanderont leurs dus!!! ni cheikhs Zaouia ni Pharaon viendront a votre secours!! je n’aimerais pas etre a votre place.
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Anonyme
5 mars 2018 - 17 h 05 min
Ils doivent très certainement le savoir, et la question qui se pose donc est la suivante : Mais pourquoi ils s’accrochent ainsi au koursi, même à l’article de la mort et aux détriment des intérêts du pays et du peuple en entier ?
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