Contribution – Réponse à Amira Bouraoui : barakat d’insulter le peuple !

peuple
Une manifestation de Barakat en mars 2014 à Alger. New Press

Par Kaddour Naïmi – Encore une fois, on lit des affirmations (1) qui exigent des réactions. «Une nation est avant tout la conscience d’un peuple». Mais, étant donné que ce «peuple» est composé majoritairement de chômeurs, de travailleurs manuels, de techniciens, d’employés de niveau hiérarchique inférieur, c’est-à-dire de personnes dominées et exploitées, donc dans l’impossibilité matérielle de se doter de conscience, laquelle s’obtient par l’instruction, la lecture, la formation, ce qui suppose disposer de temps libre et ne pas être exténué par la journée de travail, comment ce peuple, donc, aurait-il pu acquérir cette «conscience» ?

Par contre, la personne qui dispose de cette «conscience» aurait-elle pu l’avoir si elle était soumise aux conditions matérielles épouvantables de ce peuple ? Evidemment pas. La personne qui a pu disposer de conscience bénéficie de conditions matérielles assez favorables (2) pour avoir le temps (et l’argent) pour se consacrer à l’acquisition de cette conscience, par la lecture, par les discussions et par la pratique militante.

Donc, la «conscience d’un peuple» n’est-ce pas d’abord celle des personnes qui ont le privilège de disposer des moyens matériels pour disposer de cette «conscience» ? Donc, la «conscience d’un peuple» n’est-elle pas, d’abord, celle de cette partie privilégiée qui a les moyens matériels de la posséder ? Aussi, si l’on dispose d’une suffisante connaissance socio-historique, notamment concernant un peuple, une nation et une conscience, on devrait plutôt dire : une nation est avant tout la conscience d’une intelligentzia qui est la partie la plus éclairée d’un peuple. Parce que nulle part on a vu une conscience de peuple si elle n’a pas été fournie par sa composante capable de l’acquérir : la minorité d’intellectuel-le-s ayant eu la possibilité d’accéder à un savoir.

Par cette explication, on comprend que la citation en examen, mentionnée au début de ce texte, évacue (par ignorance, sinon par opportunisme) le facteur «intelligentzia» pour ne considérer que le peuple, ce qui permet, alors, de le considérer seul responsable de la conscience.

On lit encore : «Sans conscience, il n y a pas de peuple». Je viens d’expliquer quel agent social devrait d’abord, parce qu’il bénéficie de moyens matériels, avoir cette conscience. La réalité devrait formuler donc la phrase autrement : sans une minorité de privilégiés matériels qui ont, malgré cela, le sens «de la liberté, de la justice et de la dignité», comment cette conscience existerait ? Et qu’est-ce, alors, que cette «conscience», sinon la capacité de la concrétiser par une résistance, une lutte pour réaliser cet idéal de «liberté, justice, dignité» ?

Ah ! Mais voilà l’argument qui justifie la prémisse formulée sur la conscience : «Je ne militerai plus jamais pour des soumis !» Doit-on militer uniquement pour des insoumis ? N’est-ce pas trop commode ? La militance ne se justifie-t-elle pas, d’abord, en faveur des «soumis» pour tenter de les convaincre en leur proposant des moyens pour se libérer de cette soumission ?

Puis on lit : «J’ai milité contre le viol de la Constitution en 2008, j’ai milité contre un quatrième mandat en 2014 et je militerai contre un cinquième mandat pour 2019 !» Très bien ! Mais voici la suite : «Ceci dit, s’il y a un cinquième mandat malgré tout, je quitte l’Algérie». Et quel est le motif présenté ? «J’estime que si un peuple accepte un tel mépris, il faut changer de peuple et de pays».

Les considérations sur le peuple et l’intelligentzia, que j’ai exposées auparavant, permettent de corriger cette «estimation» ainsi : «si un peuple accepte un tel mépris», c’est parce que l’intelligentzia qui prétend le représenter et parler en son nom est, elle, d’abord, responsable de l’acceptation de ce mépris par le peuple. Dès lors, ce qu’il faudrait changer, c’est d’intelligentzia ! Parce qu’elle s’est révélée incapable d’être à la hauteur de son rôle social. Partout et toujours, c’est ce que l’histoire humaine montre.

Dans l’article (3), le journaliste, à propos de Amira Bouraoui, intitule un chapitre : «Héritière de Djamila Bouhired», et dit que Amira Bouraoui «évoque les femmes qui l’ont précédée sur le chemin de la révolution dans l’histoire du pays comme des héroïnes. Parmi elles : Hassiba Ben Bouali et Djamila Bouhired, figures de la lutte pour l’indépendance, ou encore Kahina». Très bien ! Alors, posons la question : imagine-t-on la Kahina, Hassiba Ben Bouali ou Djamila Bouhired déclarer, dans la période où leur peuple était soumis à la féroce dictature des conquérants arabes moyen-orientaux ou français, et avant le déclenchement de la résistance : «S’il y a une autre période de domination coloniale, je quitte l’Algérie. J’estime que si un peuple accepte un tel mépris, il faut changer de peuple et de pays» ?

Ainsi, une personne qui change de peuple comme on change une chemise, pour choisir un peuple et un pays estimés «sur mesure», que penser de son sens de la liberté, de la justice et de la dignité ?

On lit cette autre justification : «Je ne veux pas mourir pour une cause perdue !». La Kahina, Hassiba Ben Bouali et Djamila Bouhired étaient-elles certaines de gagner leur cause, comme condition pour lutter ? Ceci dit, apprécions la sincérité de la déclaration. Comme dit le proverbe italien, «la più belle donna non puo’ dare che quello che ha» (la plus belle femme ne peut donner que ce qu’elle a). Cependant, ce désir de «ne pas mourir pour une cause perdue», pourquoi l’imputer au manque de conscience du peuple et non pas à notre incapacité de prétendu intellectuel ou/et militant ne sachant pas donner au peuple la conscience qu’il devrait avoir ?

Autre justification : «Savoir aimer c’est avant tout s’aimer soi-même pour savoir aimer ceux qui partagent le même sens de la dignité, de la liberté, de la justice.» Est-ce à dire que ceux qui manquent de ce «même sens» sont exclus de l’amour ? Est-ce leur faute s’ils manquent de ce «sens» ? Les personnes qui ont eu la malchance d’être les victimes d’un système social qui les a abruties par le manque de travail pour survivre, ou un travail exténuant servant à peine pour survivre, par la négation de toute éducation et par un conditionnement idéologique obscurantiste, donc des personnes qui n’ont jamais eu l’occasion de savoir ce qu’est la dignité, la liberté, la justice, ces personnes ne méritent pas d’amour ? En outre, si l’on veut «aimer» uniquement «ceux qui partagent le même sens», où finit-on, sinon par se replier à former un groupuscule se limitant à admirer son propre ego de petite communauté élitaire ? Le mouvement Barakat ne fut-il pas et n’est-il pas ce genre de groupuscule ? Sinon, pourquoi aucun impact sur le peuple, mais seulement des éloges médiatiques d’une certaine presse pour certains «leaders» ?

Encore ceci : «J’ai su aimer mon pays, je saurai en aimer un autre avec lequel je partagerai la même définition de la liberté, de la justice et de la dignité». Où est donc le pays sur cette planète qui pratique réellement la liberté, la justice et la dignité, selon la définition que leur donnent les penseurs qui ont écrit et lutté pour les authentiques liberté, justice et dignité ? Certes, dans ce domaine, des différences appréciables existent entre l’Algérie et certains pays. Mais cela permet-il de parler de «pays» comme la citation les décrits ? Quelle est donc cette «même définition» ? Et les peuples de ces pays de «liberté, justice et dignité», qu’en est-il de leur situation ? Ne sont-ils pas soumis aux mêmes dirigeants politiques («socialistes» ou «libéraux» en Europe, «démocrates» ou «républicains» aux Etats-Unis) et à la destruction systématique de leurs acquis sociaux et économiques, comme au conditionnement idéologique des mass medias possédés par les castes dominantes-exploiteuses ?

Enfin, nous lisons : «S’il y a un cinquième mandat, je refuse de cautionner, pas même au nom de ce qui fut ma nationalité. J’en aurais honte». Très bien ! Mais ce refus justifie-t-il de «changer de peuple et de pays» ?

Certes, on a le droit d’être fatigué de militer, de vouloir quitter le pays dont on possède la nationalité, de «changer de peuple», de perdre l’espoir de «réussir» une action militante par un immédiat résultat, de se battre pour ce qu’on considère une «cause perdue». Partout et toujours, des «héros» se fatiguent ; cela fait partie de la dynamique sociale. Mais ces «héros» ne devraient-ils pas, cependant, par sens de la justice et de la dignité dont ils se réclament, assumer leur fatigue et leur désillusion, sans les justifier par le mépris du peuple ? N’est-ce pas là accuser son «chien» de rage pour s’en débarrasser et, dans le cas examiné ici, pour trouver un «chien» plus adéquat ?

Pour éviter tout malentendu, je me vois obligé de fournir une information aux personnes qui l’ignorent, afin d’apprécier à sa juste mesure la réponse qui vient d’être écrite.

J’ai quitté le pays en 1973, parce que j’avais été empêché d’y poursuivre mon travail théâtral et social (4) et, depuis lors, j’ai vécu à l’étranger, en retournant rarement au pays. Mais jamais je n’ai pensé accuser mon peuple de ce choix. Je considérais et considère toujours que la faute en incombe, principalement, à mon incapacité personnelle de savoir comment continuer à lutter et, accessoirement, à l’inexistence d’un mouvement assez puissant pour me permettre d’y adhérer afin de continuer à lutter. Ajoutons que je considère tous les peuples de la terre avec la même estime, sans distinguer entre peuple «méritant» et peuple à «mépriser» ou qui «se méprise». Car où serait alors mon sens de la justice ? Et, étant né dans une famille où le père était ouvrier et la mère d’origine paysanne pauvre, j’ai appris que mépriser un peuple ou l’accuser de carences, avec dédain, c’est, d’abord, manifester une arrogance de privilégié ignorant. Celui-ci ne sait pas, d’une part, ce qu’est un peuple (ses misères matérielles et culturelles, imposées par ses dominateurs) et, d’autre part, quel est le rôle des personnes qui prétendent «militer» pour lui.

Quant à évoquer une période d’action militante pour se faire une gloire de bon citoyen et une justification pour mépriser le peuple, l’argument est irrecevable. Quelle que soit leur obédience idéologique, les bourgeois, les petit-bourgeois, les aventuriers, les opportunistes qui considèrent leur militance comme investissement de carrière politique, tout ce «beau» monde, aussi, a «milité», «milite» et même, parfois, fut ou est emprisonné, torturé, assassiné. Militer ne justifie en aucune manière mépriser un peuple, à moins d’utiliser ce peuple uniquement pour «réussir» une carrière «militante» afin de faire partie d’une nouvelle caste dominante. Militer à la seule condition de vaincre, à la seule condition de disposer d’un «peuple» qui favorise cette action, n’est-ce pas faire preuve d’opportunisme, ainsi que d’une vision étriquée de ce qu’est l’authentique action militante ?

De tout ce qui vient d’être dit, si le président de l’Etat actuel aura un cinquième mandat, est-ce la faute du peuple ou de celles et ceux qui, détenant un savoir, sont incapables de donner à ce peuple la conscience pour savoir où réside son intérêt de peuple ? Dès lors, ne doit-on pas dire à toutes ces personnes qui justifient leur retrait du combat social par les carences du peuple «barakat (ça suffit !) d’imputer au peuple, en l’insultant, votre personnelle incapacité !» ?

Retirez-vous, allez où vous voulez, mais en gardant, au moins, le sens des authentiques justice et dignité, lesquelles exigent le respect de tout peuple, quelles que soient ses carences, qui sont d’abord les vôtres. Et si vous ne le comprenez pas, vous n’êtes pas méprisables, mais simplement incapables. Et, au moins, n’insultez pas le peuple, mais raisonnez correctement. Et si, dans le pays et le peuple que vous estimez dignes de vous, vous employez votre passé militant pour vous faire une confortable place au soleil (en nouveau privilégié, au détriment du peuple), nous ne vous mépriserons pas, mais, simplement, nous penserons que c’est là votre sens de la «liberté», de la «justice» et de la «dignité». Quant au peuple, tôt ou tard, sans vous, il finira par ne plus supporter le mépris que vous et ses dominateurs lui jetez à la figure, et il montrera sa valeur, avec le concours de celles et ceux qui savent qu’aucun peuple ne mérite le mépris, mais notre solidarité, selon nos possibilités.

K. N.

(1) Voir http://www.algerie-focus.com/2018/03/cinquieme-mandat-amira-bouraoui-menace-de-quitter-le-pays-si/

(2) «Il est vrai que je suis heureuse au quotidien, mais peut-on être heureux quand tout le monde souffre autour ?», a déclaré Amira Bouraoui, dans l’article de Allaoua Mezian, du 22 mars 2014, in http://www.france24.com/fr/20140320-amira-bouraoui-medecin-opposante-algerie-presidentielle-barakat-bouteflika/

(3) Déjà cité.

(4) Voir http://www.kadour-naimi.com/f-ecrits_theatre.html

Comment (75)

    Anonyme
    23 mars 2018 - 20 h 06 min

    @ Anti Khafafich,
    Vous dîtes : « En avant la
    féminisation de la société
    Algérienne, comme s’il n’y avait
    pas d’hommes. »
    Je trouve votre commentaire trèss
    discriminatoire et dégradant, vis
    à vis des femmes Algériennes,
    quelque soit la couleur de leur
    militantisme. Hassiba Benbouali
    et Djamila Bouhired, ne sont-elles
    pas des héroïnes de la révolution,
    au même titre que Larbi Ben M’Hidi
    ou Zighout Youcef?
    Je voulais juste vous rappeler que le militantisme et le patriotisme n’ont pas de sexe. Ni de couleur par ailleurs.

    MELLO
    23 mars 2018 - 17 h 36 min

    A tous ceux qui, de près ou de loin, démontrent une quelconque animosité à ce pays de nos pères, de nos grand-pères et de nos de nos ancêtres Imazighens , je leur dirais que le destin de ce pays est de loin , très loin des considérations personnelles , infinitésimales plus petites. J’ai beaucoup de choses à leur dire, moi citoyen lambda. Mais à qui parler et qui croira à tout ce que je dirai? Il vaut mieux que je me taise sinon les gens me prendraient pour un paumé, un pauvre chimérique qui s’invente des histoires pour impressionner. Ces gens courent après la richesse, la gloire et le pouvoir, le reste ne les intéresse pas. Ces gens n’aiment pas s’encombrer avec des choses qui risquent de les mettre face à leur conscience. Mais de l’autre coté, je me dis pourquoi me taire, je ne dois de l’argent à personne et je n’ai rien à me reprocher. Je ne traîne aucune casserole derrière moi. Alors pourquoi cette peur, pourquoi autant de complaisance et de complicité envers cet ordre ambiant fait de mensonges, de trahisons et de lâchetés? Je n’ai pas peur de mourir et je ne suis pas un lâche, pour quitter mon cher pays. Alors pourquoi j’ai tellement peur et pourquoi je fuis tout le temps? Pourquoi j’ai tant peur de quitter ma solitude? Mes ennemis qui m’ont fait tant de mal je les connais un par un; je connais tout de leurs familles et de leur passé douloureux, vraiment ils sont beaucoup plus à plaindre qu’à blâmer. Les pauvres, longtemps ils ont pensé pouvoir se substituer à Dieu, au destin et à la providence; longtemps ils ont cru pouvoir venir à bout de l’intelligence, du savoir et de la science avec le mensonge, la calomnie, l’anathème, la corruption, le crime et l’imposture.
    Mes ennemis voient partout des menaces, des signes divins leur annonçant les mauvais présages qu’il faudra déjouer…
    Pourquoi m’ont-ils pris pour une menace, pour un mauvais présage, moi le petit citoyen? Pourquoi ont-ils tenté de me supprimer, alors que leur passé glorieux qui n’a jamais existé, leurs fortunes, leur pouvoir n’ont jamais suscité en moi un sentiment de révolte ou de curiosité?
    Je ne suis pas ambitieux et je ne rêve pas non plus de gloire et de pouvoir. Au fait, tout ce que je veux se résume à peu de choses: la liberté de construire une Algérie forte et juste.
    Est-ce que rêver d’une Algérie forte est un crime, une menace qui mérite la mobilisation d’autant d’agents schizophrènes? Mes ennemis peuvent-ils détourner le cours de l’histoire, aller contre Dieu, le destin, la providence, la science et le savoir. Mais, mais et mille fois mais, voila ce qui arrive quand un pays est gouverné par un tas de cons et d’imbéciles heureux. Pendant plus d’un demi siècle, ils ont fait la guerre à l’intelligence, au savoir, à la vérité et à l’aptitude, qu’aujourd’hui on ne sait plus ce que signifie être Algérien, car notre mémoire a été si manipulée par des idiots déguisés en supers patriotes qu’on ne sait plus ce que signifie être aujourd’hui un citoyen Algérien. On a fait de notre mémoire un instrument d’oubli, un outil de reniement collectif. C’est ça votre prouesse messieurs les dirigeants!

      Anonyme
      23 mars 2018 - 22 h 20 min

      Toujours plus loin ; toujours plus haut ; j emprunte la voix du Mellow…hihihi.. c’était juste le refrain du chanteur Mellowman » la voie du mellow ».

    Mohand
    23 mars 2018 - 17 h 34 min

    ….

    Je ne peux pas la blâmer, je fais la même chose qu’elle. Je le regrette oui et non. J’ai appris une chose dans ce bled bénit. On ne gagne jamais contre l’ignorance, et c’est bien valable ailleurs aussi. Peu importe ta façon de te battre contre l’ignorance elle va toujours avoir le dessus. Moi je trouve c’est un combat non conventionnel, si comme si tu pars en guerre avec ton sabre et tes fléchettes contre ton adversaire lui avec des armes de destruction massive. T’as beau à tirer sur la cible, mais d’un seul coup il te balaie toi et tes fléchettes et ta maison ta famille ton bétails ton champs.
    Ce qui me rage ceux sont les gens supposés comprendre vite et facilement, Hélas ceux sont eux qui vont finalement être la barrière ou l’obstacle qui t’empêche de passer et la encore tu tombes à terre à 4 pattes et encore tu essaies de te relever.
    Pour être franc je n’ai jamais caché mon athéisme, parce que je n’ai jamais trouvé la foi. Très jeune j’avais déjà ce sentiment-là ou cette incapacité à nouer une relation avec le soit disant créateur.
    Dans le petit village ou j’ai grandi personne et jamais quelqu’un des ainés m’avez jugé ou condamné ou menacé, j’étais toujours respecté parce que pour ce petit peuple malgré son ignorance des mathématiques approfondies, de la géographie mondiale ou de la physique nucléaire, a des outils de mesure de la valeur d’un Homme, Pour ce peuple la valeur d’un Homme se mesure, par son travail bien fait, sa ponctualité, son honnêteté, sa justice, sa disponibilité, son sérieux, ….
    Mais finalement quand un doctorant me menace et me terrorise avec les feux de l’enfer, moi je regret mon petit peuple.
    Mon choque fus brutal après les années 90, le terrorisme, les décapitations, les horreurs, l’élimination physique des intellectuels des élites capables de faire une petite différence. Je suis resté comme même en me disant à moi-même, il est utile de se battre pour la noblesse et pour un idéal.
    Mais quand je réalise ya Monsieur Kadour, qu’un certain Journaliste, écrivain intellectuel Algérien assassiné par ces fanatiques de la religion, devant sa maison. Et que vingt ans plus tard je vois sa femme dans un reportage : ELLE PORTE LE VOILE LE HIJAB ! je suis découragé, plus capable!
    Là tu vas me dire : Ouai elle est une personne faible, peut-être menacée aussi,…
    Non ya Si Kadour elle prie pour que son mari soit pardonné par les criminelles qu’ils ont tué, et que peut-être avec ces prières, il ne souffrira pas assez longtemps dans l’autre enfer de l’au-delà. c’est ça la motivation!
    Quand c’est une personne qui pense comme ça, je comprends aussi. Mais quand c’est presque la totalité du peuple Algérien. Là, je suis convaincu que c’est moi le seul qui nage à contre courant. Et que peut-être vivre un peu loin, je le mérite aussi.
    Si c’est ça la définition d’un traitre et bien j’en suis un.

    ZORO
    23 mars 2018 - 17 h 28 min

    @ ABOU STROFF 23 mars 8h 19. Avec un esprit hippie des temps modernes,rêvant « Peace and love for the humanité » »Camarade Aboustoff bien tranquille dans son coin s offre l outrecuidance de villipender les Foutouhates en les qualifiant naivement de razzia.
    La Shoah est un mot juif , Razzia est un mot Arabe, deux mots sciemment utilisés par l occident a des desseins opposés et machiavéliques. La shoah victimise les David et les lave de tout péché, la razzia charge les arabes parce qu elle fut pour l occident leur invention destructrice autrement dit leur sale bombe atomique qui aurait pu leur servir a aneantir les jaunes d’Heroshima et Nagasaki n etaient ce les aimables blancs americains qui s en sont chargé à temps en un laps de temps.
    Ceci est dit pour la razzia ,quant aux raisons du declin de l empire musulman , avec un minimun de bonne foi que tu me conseilles , tu n es pas sans savoir que le cycle vie ( gestation ,naissance , grandeur et decadence ,s impose au tout le monde et nul n y echappe,
    و تلك الايام نداولها بين الناس. صدق الله العظيم.
    SIGNE ZORO. …Z…

    Anonyme
    23 mars 2018 - 15 h 11 min


    Qu’on le veuille ou non, madame Bouraoui fait partie de ce peuple, et libre à elle de s’exprimer comme on le fait tous ici. Elle a milité pour ce dont elle croyait être juste, elle sent qu’elle est à bout de souffle, et ça s’arrête là.
    Seulement que l’on comprenne une fois pour toute, que toute tentative d’essayer de diviser et de semer la zizanie entre les Algériens est VOUÉE à L’ ÉCHEC. Le peuple a reçu plein de coups, et de coups bas, sur la tête et sur le dos à ce jour, avec un lourd tribut de victimes innocentes sur les bras, mais il résiste UNI, et INDIVISIBLE. Tous UNIS, un rempart d’hommes et de femmes pour défendre le pays. Le peuple en a ras le bol de la démagogie, du pipeau, de la politique politicienne,des querelles creuses, des insultes,des calomnies de tout genre, et des promesses non tenues. Ce qui compte c’est résister à ce marasme MAINTENANT, pour pouvoir avancer. Tout vient à qui sait attendre. Nous ne voulons pas d’une deuxième décennie noire, Algérie,ni Tunisie ni Libye. Tout le monde nous prend pour des moutons, seule voilà, les moutons Algériens ont le courage de la résistance dans le sang, du coeur pour leur patrie, et un cerveau, aussi petit soit il, mais il est sensé.

    .

    Anonyme
    23 mars 2018 - 13 h 42 min

    Mme Bouraoui est connue et ce qu’elle a fait est connu mais mr Kaddour Naïmi est inconnu , je vote Mme Bouraoui.

    Mohamedz
    23 mars 2018 - 9 h 29 min

    Bizarrement tout ceux qui s’attaquent à l’Algérie, insultent son peuple (ghachi…) et/ou revendiquent l’ouverture des frontières de l’Ouest sont dans au moins une des catégories ci-après :
    1/- vivent à l’étranger (France, Maroc, pays du Golfe, Liban…) et par conséquent, leurs enfants ne sont pas exposés à la guerre narcotique que mène Escobar6 contre nos enfants,
    2/- détiennent au moins un second passeport et donc savent qu’ils sont morts politiquement depuis l’avènement de la dernière Constitution,
    3/- ont des relais directs et/ou indirects avec les officines des pays ennemis endémique de l’Algérie (France, Maroc, pays du Golfe).

    Dans ce répertoire je peux citer à titre indicatif, en plus de cette Amira Bouraoui, la brochette d’individus ci après : Amar Saidani, Wahid Bouabdallah, Chakib Khalil, Aribi Machin, Abderazak Mokri, Ali Belhadj, Sofiane Djilali, Mohcine Belabbes, Boukrouh Machin Bis, L’hadi Ould Ali.

      LOUCIF
      23 mars 2018 - 10 h 46 min

      Cher @Mohamedz , on peut très bien comprendre que vous êtes contre les algériens qui vivent à l’étranger, les algériens qui ont la double nationalité ou qui ont des relais directes avec les pays ennemis, mais mettre dans un même sac sans discernement Amira Bouraoui, Amar Saidani, Wahid Bouabdallah, Chakib Khelil, Hassen Aribi, Abderazak Mokri, Ali Belhadj, Sofiane Djilali, Mohcine Belabbes, Boukrouh, Hadi Ould Ali, çà décrédibilise complétement votre propos , çà désavoue complément votre point de vue !

    Ali8
    23 mars 2018 - 5 h 58 min

    Notre pays est foutu et pour bien longtemps;les traitres ont gagner et le peuple Algérien a perdu;lorsque un dirigeant ferme l »oeil et meme tolérée la corruption que reste-il de ce pays;lorsque le grand chef allait pleurniché sur la tombe de l’ennemi de la nation,cela prouve qu’on a été vendu;lorsque nos dirigeants préfèrent vivre chez l’ex occupant que reste-il de notre soi-disant indépendance;lorsque on réhabilite les traitres et les ennemis de la nation et le peuple ne dit rien;cela montre que les vrais hommes sont mort et nos femmes essaient de reprendre le flambeau

      Anonyme
      23 mars 2018 - 22 h 44 min

      Tant qu il y aura des hommes…cher monsieur vs avez oublié tt ses hommes de l ANP de la gendarmerie de la police ; de la société civile ; de tt ses algériennes et algériens qui aime leur Algérie et qui ne l ont jamais abandonné même dans ses temps les plus douloureux comme la décennie noire avec une économie et un baril très faible mais l Algérie est resté debout ; non monsieur l Algérie n est pas foutu et ne le sera jamais quoi qu il arrive ; à l avenir ne parlez pour le peuple algérien ds son ensemble.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 23 h 24 min

    Ouyahia a signé le Plan kalergi
    Désormais, les africains noirs peuvent nous envahir à leur guise

    Pauvre peuple Algérien devenu spectateur de la disparition de sa patrie qu’il a tant défendue pendant des millénaires. Les harkis ont vendu le pays.

      Anonyme
      23 mars 2018 - 22 h 35 min

      vous désinformez les algériens ; le protocole de la libre circulations des gens a été reporté ;seulmt le protocole des biens économiques l a été par compte Ouyahia a refusé de signé celui de la circulation des personnes car il représente le président algérien qui connait le problème migratoire liés à l insécurité et la déstabilisation du pays surtout en ce moment.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 22 h 50 min

    J ai oublié de prouver ce que j avance ; ce mouvement apparait tjrs avt les élections ensuite on n en entend presque plus parlé ds le quotidien qui touche les algériens ; ou étaient ils depuis la dernière élection car il est né ds la foulée des dernières élections contre le 4 eme mandat rappelez vous ; voila c’est juste un mouvement anti Bouteflika pour moi ; pour qui roule t il ? surement pas pour le peuple algérien en tt cas. ca devrai interpellé bcps d algériens et d algériennes sur leur objectifs et leurs vocations et stratégies ; me concernant ils essaient de démarré un printemps ou une déstabilisation du pays avt élection ; c’est mon opinion et ca n engage que moi…mais je vs laisse analyser et observer par vs même et je pense que bcps me rejoindrons car ceux qui veulent prendre Algérie et la détruire ont plusieurs cartouches dont Nekkaz .

    Alilou
    22 mars 2018 - 21 h 30 min

    De toutes les plaies qui frappent ce pays, de de les dangers qui le guettent , de les outrages qu’i subit et qu’on continue de lui faire subir Mr Kadour Naimi , n’a vu et ou n’a voulu voir que cettereflexion de desespoir du Dr Amira BOURAOUI.
    J’ai suivi cette honorable femme depuis qu’elle est apparu avec une poignée de camarades pour s’insurger contre le 4éme mandat; je visite sa page souvent et j’ai toujours trouvé desparoles dignes , responsables et respectueuses de la société et de ses us et cotumes; Cette dame a beaucoup donné pour ce pays et elle s’est sacrifié et depensé sans compter; Lui jeter la pierre en dessertant sur l’intelligentsia à l’air d’une fatwa Trotskyste; D’aucuns pourraient dire aussi pendant qu’on y est quiconque ne vit pas à plein trmmps intra muros n’a pas le droit de porter un jugement sur ce qui subissent la dictature et le viol de leur libérté en Absudistan

    Anonyme
    22 mars 2018 - 21 h 14 min

    c’est quoi une femme fehla face a un homme qui ne vaut pas plus qu’une epluchure d’oignon ? c’est un mec , alors ou mieux encore , 1000 mecs , L’AMIRA.

    bref :
    22 mars 2018 - 21 h 03 min

    Amira est à l’algérie d’aujourd’hui , ce qu’était hassiba BB il y’a des décennies ….

    justice
    22 mars 2018 - 19 h 54 min

    Le régime a de tous temps usé de tous les moyens pour faire du peuple un troupeau, si il a réussi, Bouraoui a raison. J ai beaucoup de respects pour cette compatriote pour ne pas intervenir et la soutenir

    ZORO
    22 mars 2018 - 17 h 52 min

    Pour defendre le peuple contre Amira qui l insulte, Si Kaddour nous rappelle que kahina ne pouvait declarer quitter le pays durant les periodes où le peuple etait soumis AUX FEROCES DICTATURES DES CONQUERANTS ARABES ET MOYENS ORIENTAUX.
    Si kaddour est libre de penser ce qu il veut des arabes mais il ne doit pas oublier que les arabes ont quitte leur peninsule pour les FOUTOUHATE DE l ISLAM et non pour conquerir des terres ou convertir des peuples a leur arabité. C est au nom de l islam que les musulmans de toute origine ont progressé pour arriver a poitiers avec parmi eux les enfants de la Kahina.
    Considerons donc que ce parallele entre le colon francais et les foutouhate islamiya n est qu une coquille qui s est glissé par inadvertance dans une contribution qui se veut patriote.

      Abou Stroff
      23 mars 2018 - 8 h 19 min

      tu as oublié de préciser que les foutouhates ouvraient droit à la razzia (ou au pillage et à la rapine halal) que ne s’empêchaient pas de pratiquer, à grande échelle, les « foutouheurs » musulmans.
      ceci dit, les foutouhates n’avaient qu’un objectif palpable et quantifiable: contrôler le commerce entre l’asie et l’europe.
      d’ailleurs chacun aura remarqué que l’empire musulman a commencé à s’effondrer dès que les européens ont découvert l’amérique et contourné l’afrique.
      moralité de l’histoire: il faut être d’une mauvaise foi certaine ou d’une certaine mauvaise foi pour différencier entre les foutouhates musulmanes et les invasions mongoles, vandales, romaines, byzantines et toutes les conquêtes coloniales (résultat de l’expansion du mode de production capitaliste à l’échelle mondiale.)
      PS: si on suit ta logique de foutouhates, on peut alors considérer que la vermine islamiste n’a qu’un but et un seul: nous islamiser pour nous envoyer au paradis, à l’insu de notre plein gré!

    S.salim
    22 mars 2018 - 17 h 48 min

    AMIRA BOURAOUI vaut une centaine de moustachus!!!

    Abou Jouli
    22 mars 2018 - 17 h 01 min

    99 pour cent des algériens sont prêts à quitter l’Algérie sans combattre et par la petite porte. Elle, elle part mais après avoir perdu son combat. Car si effectivement il y a cinquième mandat que reste-il comme honneur est dignité ? A part et remuer la m… au stylo et s’en faire des fumigations ?

    lhadi
    22 mars 2018 - 16 h 04 min

    L’élément primordial pour mener à bien ce qu’on croit nécessaire d’entreprendre reste la volonté politique d’y parvenir et, à travers elle, le refus de céder à ces maux si répandus qui s’appellent le fatalisme et la résignation. L’un et l’autre sont étrangers à mon tempérament et, plus encore, à l’idée que je me fais de notre pays

    J’ai pleine confiance, quant à moi, dans la capacité du peuple algérien à relever les défis de tous ordre auxquels il sera confronté et dans son aptitude à jouer un rôle de premier plan dans l’évolution du pays.

    L’Algérie, avec ses cicatrices, ses fractures, ses inégalités, ses exclus mais aussi avec son ardeur, sa générosité, son désir de faire du rêve une réalité, est une nation jeune, enthousiaste, prête à libérer le meilleur d’elle même pour peu qu’on lui montre l’horizon.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      MERCI Lhadi
      23 mars 2018 - 11 h 12 min

      bien dit , sauf qu’il faut axer le combat contre l’hydre islamo-salafiste , les FEMMES libres seront d’un inégalable support pour la démocratie , des FEMMES comme Amira la courageuse qui vaut vraiment et de trés loin des milliers de barbus et de niqabiyates qui ne servent d’ailleurs à rien dans la contruction d’un socle solide pour une société civile compatible à l’ére moderne .

    Nadir
    22 mars 2018 - 16 h 02 min

    Apres la victoire du fis en 1991, Said Saadi (Psychiatre) et homme politique a bien dit « on s’est trompé de société » le mépris est bien là. Boukrouh, intellectuel à la plume acérée a dit lui que le peuple est un « ghachi » méprisable.
    Cette jeune femme est épuisée par la lutte qui est devenue pour elle une cause qu’elle pense qu’elle va perdre. Elle a un courage que la majorité n’a pas et elle dit ce qu’elle pense PUBLIQUEMENT, ce que la majorité ne fait pas.

    hibeche
    22 mars 2018 - 16 h 02 min

    M. Naimi, au lieu de vous attaquez à Amira Bouraoui, en jouant sur les concepts de l’intelligentsia, du peuple, de l’élite et que sais-je encore. Le mieux c’est de s’attaquer à ce système maffieux qui pousse ses meilleurs enfants à partir. On nous a floué en nous proposant de faire barrage à l’Hydre islamiste et nous construire un pays moderne, démocratique, ouvert, prospère etc…. On y a cru et agi pour. Après qu’est-ce-qu’on a eu? Boutef, Haddad, sellal, tahkout, sidi Saïd, saidani, tliba, ghoul, amara, ouyahia… et la liste est aussi longue que nauséabonde. Est ce qu’on a eu la liberté, la démocratie, la modernité? que dalle! On a un état basé sur la corruption, le clientélisme, le népotisme et la répression.
    Dans ce milieu, les gens honnêtes et consciencieux n’ont pas de place pour le moment. Le pot de terre contre le pot de fer.
    Y en a qui résistent sans fin, sans relâche; d’autres, comme Amira désespèrent. Doit on leur en vouloir ? pas du tout. Tout être humain a sa philosophie propre, ses engagements politiques, citoyens, qui durent un temps T (ce T varie de 0 à trépas) nul n’a le droit de lui exiger quoi que ce soit.
    Si Bouraoui a déclaré quitter le bled, c’est en désespoir de cause, ce n’est ni un mépris du peuple, ni un renoncement à une responsabilité que personne ne lui a confiée. C’est juste un cri de ras-le-bol, BARAKAT. On aura à discuter du rôle de l’élite, l’intelligentsia, le peuple après avril 2019 et on saura si c’est la tête qui fait bouger le chien, ou c’est le chien qui fait bouger la tête. Démocratiquement votre.

    Bouzelouf
    22 mars 2018 - 15 h 55 min

    Vous dites: « La personne qui a pu disposer de conscience bénéficie de conditions matérielles assez favorables pour avoir le temps (et l’argent) pour se consacrer à l’acquisition de cette conscience, par la lecture, par les discussions et par la pratique militante…. »
    Et COMMENT alors, ont-ils pu faire nos valeureux chouhada et moudjahidines, qui étaient majoritairement analphabètes pour avoir une conscience et dégager la France de leur pays ????

    Anonyme
    22 mars 2018 - 15 h 15 min

    Amira Bouraoui fahla, wa mraâ w’nass. Ça n’est pas à elle qu’il faut s’en prendre, mais à la caste de magouilleurs corrompus et des chiyates, qui ont plongé le pays dans un immobilisme immuable.
    Amira, une véritable intello, une battante et une militante engagée et convaincue.
    Le pays a besoin d’hommes et de femmes de son calibre pour faire bouger le pays, et non pas des Salhi, Tliba, Oud Abbés, ou du gus de la centrale syndicale.

    Djeha Dz.
    22 mars 2018 - 14 h 53 min

    Celui qui méprise le peuple, c’est celui qui l’a réduit à ce qu’il est aujourd’hui, depuis 1962 à nos jours. C’est-à-dire un grossier tube digestif, amorphe et acerbe.
    Celui qui méprise le peuple c’est celui qui a tout fait pour l’abrutir. Celui qui a poussés les meilleurs enfants du peuple à l’exil quand il ne les a pas bâillonné celui qui est sourd à toutes les voix discordantes avec le discours officiel, celui qui continue à détourner et occuper les esprits des personnes par des faux problèmes. Celui qui a érigé la corruption et l’injustice en système, celui qui a fait des terroristes d’hier des seigneurs mafieux d’aujourd’hui, celui qui finance et encourage les zaouias pour des fins électorales et le renseignement , et surtout celui qui entretenait une école qui formait des ignorants, etc.ect…
    les listes des crimes est encore longue, il n’y a rien que le peuple Algérien ne sache, et il n’y a que les rentiers du système et les baltaguias qui diront le contraire.

    Mépriser le peuple c’est se mépriser également.

    Abou Stroff
    22 mars 2018 - 14 h 51 min

    je pense que, contrairement à certains idéalistes (K. N.. et dans une moindre mesure, A. Bouraoui), il n’y a pas de « peuple » en algérie si on entend par peuple, un ensemble de classes et couches révolutionnaires (la révolution n’étant pas nécessairement violente) à un moment historique donné. en algérie, il y a, d’une part une couche de rentiers (composée de divers clans) qui monopolise la distribution de la rente (en se gavant par la même occasion) et un ensemble de tubes digestifs ambulants dont l' »activité » principale se résume à attendre que les rentiers du système leur balancent des miettes (sous diverses formes) de rente. la couche de rentiers et les tubes digestifs ambulants trouvent leur compte dans la pérennité du système (peut on, un seul instant, imaginer une révolution menée par des tubes digestifs ambulants?)
    en d’autres termes, contrairement aux système capitaliste ou au système féodal, le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation, qui nous avilit et nous réduit à des moins que rien, ne produit pas ses propres fossoyeurs (le tube digestif n’a ni les moyens ni la conscience nécessaire pour changer les choses puisqu’il ne travaille pas, ne saisit pas la tridimensionnalité du temps et ne peut donc pas être considéré comme un être humain à part entière). ce qui revient à dire que ceux (les intellectuels « critiques », entre autres) qui réalisent que le système devrait être dépassé pour que nous puissions réintégrer l’histoire de l’humanité qui se fait sans nous, se retrouvent, lorsqu’ils agissent, seuls face à la « matraque » qui est au service exclusif des rentiers du système.
    PS1: chacun aura remarqué que, dès que les commerces formel et informel ont été « offerts » par le pouvoir en place à la vermine islamiste, plus personne ne pense à ériger la dawla islamia (ceci corrobore mon hypothèse que la marabunta qui nous gouverne et la vermine islamiste, loin d’être en opposition, ne sont que deux facettes d’un même pôle (le pôle des rentiers du système.
    PS2: je pense que A. Bouraoui est une grande dame qui mérite tout le respect que nous devons à quelqu’un qui continue à se battre pour le bien-être de tous pour au lieu de « cultiver » tranquillement son jardin.
    PS3: je pense que le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation ne pourra être détruit que par un choc externe (une baisse prolongée des prix des hydrocarbures, par exemple). autrement, les algériens continueront à végéter dans la médiocrité qui sera, à l’avenir enveloppée d’une couche épaisse de religiosité étant donné que la religion dans sa version islamiste est l’idéologie idoine d’un système où le travail (productif, en particulier) ne constitue point la valeur essentielle autour de laquelle s’articulent toutes les instances de la formation sociale algérienne.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 14 h 43 min

    Heureusement que nos femmes sont la ! Vive ses moudjahidates !

    SILENCE, ON NOUS BRAQUE !
    22 mars 2018 - 14 h 41 min

    La question est avec quel pays l’ALGÉRIE est t’elle partagé ?

    Anti khafafich
    22 mars 2018 - 14 h 15 min

    En avant la feminisation de la societe algerienne, comme s il n y avait pas d hommes !!!

      lyes oukane
      22 mars 2018 - 22 h 04 min

      @ Anti khafafich . le problème n’est pas qu’il y ait assez d’hommes ou pas . Il est que les femmes sont sous représentées du point de vue pouvoirs décisionnelles dans notre société alors qu’elles en représentent la moitié . Un pays qui ne compte avancer que sur un seul pied ne peut que se traîner ,se fatiguer et trébucher . Avec deux jambes et beaucoup de persévérance s’est déjà difficile d’être dans le peloton des qualifiés il faut y rajouter de l’entrainement professionnel,de la technique et une sacrée dose de travail pour espérer finir le parcours … Tu sais bien que les femmes ,chez nous comme ailleurs dans le monde ,sont souvent meilleurs élèves que leurs camarades masculins . Pourquoi vouloir étouffer cette chance ?

        anti khafafich
        23 mars 2018 - 4 h 04 min

        akhir Lyes : oui d’accord avec toi pour les statistiques, mon commentaire est d’ordre génétique. les femmes ont un penchant naturel vers la stabilité la monotonie et la paix, les hommes ont un penchant vers la confrentation, le risque et le changement, c’est naturel et c’est dans nos gênes, vouloir forcer à égaliser coute que coute les deux « piliers » qui n’ont pas les memes rigidités et flexibilités c’est l’instabilité assurée de la société. mon avis

          Lyes Oukane
          23 mars 2018 - 9 h 17 min

          @ Anti khafafich . Bonjour ,je vais m’appuyer sur ton avis pour étayer le mien .
          D’après ton ressenti :
          la femme = stabilité ,monotonie et paix .
          L’homme = confrontation ,risque ,changement .
          Je reste persuadé que si nous faisions un sondage ou même un vote pour demander ce pour quoi chacun aspirerait pour son avenir personnel ou pour notre pays il opterait pour la stabilité et pour la paix .
          Plus loin dans ton commentaire tu rajoutes  » vouloir égaliser … c’est l’instabilité assurée de la société … « . Je ne veux pas que la femme l’emporte sur l’homme et je ne veux pas l’inverse non plus .
          Pour qu’il y ait la stabilité il faut l’égalité .Si tu veux que l’aiguille de ta balance ne vacille pas ,il faut mettre le même poids sur les deux plateaux . Sinon , tu es dans le déséquilibre flagrant . C’est le fameux yin – yang des asiatiques .L’interaction des deux opposés crée l’harmonie. Il n’y a pas de jour sans nuit et inversement . Merci d’avoir pris le temps de me répondre .

          Anti khafafich
          23 mars 2018 - 13 h 59 min

          Akhir Lyes’ content de discuter avec toi. Justement c est ce que je dis, la synergie des 2 opposes de nature differente, ce n est nullement une question de mombre alors, la force de la femme est dans sa faiblesse et inversement pour l homme

    Salamate
    22 mars 2018 - 14 h 12 min

    Chère internaute @Anissa , si par hasard Madame Mme Bouraoui décide de quitter l’Algérie ,(je vous apprends qu’elle n’est pas encore partie car elle ne le fera que si Bouteflika fait un 5 ème mandat) ,on espère que vous allez la remplacer pour combattre pour la liberté d’association , pour la liberté d’opinion, pour la liberté politique , pour l’Etat de droit, pour la démocratie etc… etc…

    Et comme çà vous allez vous-même être digne des Hassiba, Kahena, Fadhma N’soumer, Ali la pointe et de nos glorieux chouhadas qui ont combattu pour la libération de notre pays, pour la liberté, pour la justice, pour la démocratie, pour une république démocratique libre et sociale ! Et donc à ce moment là, et vous aurez raison de le dire, on peut alors se passer de Mme Bouraoui qui … « abandonne son peuple ».! « Allah Ihdik comme on dit chez nous, ya Madame @Anissa » (c’est la seule formule qui me vient à l’esprit) ! On en a marre d’être gavé de « slogans creux » , comme des … Oies !

      Anissa Bouchelaghem
      22 mars 2018 - 18 h 00 min

      Monsieur Salamate. Avec tout le respect que je vous dois et sans trop vouloir m’étendre sur cette question, je ne vous demande qu’une seule chose. QUI EST RÉELLEMENT Madame BOURAOUI ? Et surtout : QUI EST SON PÈRE ? Et QUELLE FONCTION occupait-il AVANT son départ à la retraite ? Sa video existe sur UTube… à vous de la consulter. Je ne suis ni oie gavée… ni encore moins une oie écervelée qui voudrait détruire son pays pour le mener vers une guerre civile comme cel s’est passé en Syrie et dont vous pouvez constater aisèment les résultats pour le peuple Syrien, à présent, dispersé aux quatre vents du globe….. JE NE SUIS PAS PRENEUSE DE CE GENRE DE CONTRAT CONCLU AVEC DES PAYS TIERS….. JAMAIS ! JAMAIS PLUS CELA !!!

        Anonyme
        23 mars 2018 - 18 h 50 min

        Entre ce qu on dit et ce qu on fais ; la vérité d aujour dhui n est pas forcement celle de demain …ni vous Madame ni quique ce soit pourrai détruire l Algérie ou même la déstabilisé meme si l en avait envi car les piliers des institutions régaliennes sont solides ; elles l ont prouvé pdt la décennie noire qd même des pays puissants essayer de s emparé indirectement de l Algérie malgré qu elle saignait avec son peuple ; vs le serez bien avt avec tt vos semblables si vs ou autres pensez un instant détruire l Algérie avec des tiers et quoique ce soit pays ou groupes particuliers ect ect même des martiens l Algérie n est pas la Syrie déjà car on joue pas avec ses choses la très sensible le sureté nationale et sa stabilité ainsi que la souveraineté de l Algérie . l Algérie et son peuple a mangé son pain noir avt les autres. l Algérie aura tjrs des hommes et des femmes pr la préservé et la défendre ctre tt ennemis internes et externes.

    bara quatre
    22 mars 2018 - 13 h 52 min

    «Ceci dit, s’il y a un cinquième mandat malgré tout, je quitte l’Algérie». Et quel est le motif présenté ? «J’estime que si un peuple accepte un tel mépris, il faut changer de peuple et de pays». Bon réveille ….Vous êtes en retard de raisonnement logique depuis longtemps. L`Algérie s`est vidé de ses cerveau et même de son peuple sans matière grise. Et tout ces gens qui ont survécu à la traversé méditerranéenne erre à travers le monde (comme les juifs) à la recherche d`une stabilité séquestré par des dinosaures qui ont trahis la mémoire de ceux qui sont tombés en martyrs pour une Algérie libre et fière. L`illégitimité au pouvoir de nos dirigeants les place en position de faiblesse. Donc croire que notre pays est souverain dans ses décisions stratégiques est juste une apparence. Ceux qui dictent et conseillent à l`Algérie sont comportement actuelle le font pour une implosion sociale programmée ver 3.0 différente des précédentes. Avec son quatrième mandats notre président a ouvert la voie à M. Poutine, M. Merkel …mais le problème est ailleurs Je lance un défi à nos dirigeant et spécialement Monsieur Ouyahia qui a dit avec sa vision minimaliste que tous les Algériens vont à l`étranger cueillir la tomate dans les champs, Puisque vous nous avez fait fuir de notre Algérie natale donnez nous un lieu quelque part dans le monde ou tous les Algériens exilés se regrouperons et en dix ans nous serons plus puissants que vous économiquement, scientifiquement et tout domaine confondus.

    Adel
    22 mars 2018 - 13 h 47 min

    Moi, si je trouve la route, je quitterai le pays avant le 5 ieme mandat héhéhé.

    DYHIA-DZ
    22 mars 2018 - 13 h 42 min

    : «Nous n’avons rêvé que d’une vie comparable… à la vie.» ( Mahmoud Darwich, palestinien).

    Le peuple Algérien a perdu son énergie qui le distinguait des autres peuples.

    On lui impose même des migrants pour lui rendre la vie impossible. On lui interdit de réfléchir.
    Réalité amère, mais c’est une réalité.

    AMINOU
    22 mars 2018 - 13 h 36 min

    bravo madame je suis entièrement d’accord avec vous vous parlez de conscience du peuple j’aurais aimé que cela soit un sujet de doctorat , a remettre a nos chers dirigeants afin qu’ils puissent voir cette écart ou plus précisément ce gouffre entre eux et le peuple si en peut pas parlé de peuple comme il a dit lui ce (rachi )
    C’est quoi être algérien en ce moment ? dans un monde qui avance inexorablement vers le progrès ou nous algériens sommes spectateurs de ce fait
    Vraiment je suis déçu par mon peuple par mon environnement ou tous simplement par l’Algérie qui devient une terre inhospitalière pour moi et mes enfants.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 13 h 25 min

    Beaucoup d’Algériens quitteront le pays et abandonneront leur nationalité si le 5eme mandat sera imposé.
    Il ya des limites à tout. L’Algérien est devenu un minus à cause du 4eme mandat.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 13 h 23 min

    Avant d’exprimer mon avis, j’aimerais préciser que je ne suis pas pour les principes de Mme Bouraoui. La nature humaine est sacrée pour moi. Les autres natures extra- nature sont une perversion qui se soigne en psychiatrie. Non à l’homosexualité…Oui au respect de la nature humaine.

    _______

    Il y a une réalité qu’on ne peut nier: Le peuple Algérien a été métamorphosé. L’Algérien a perdu son nationalisme/patriotisme, sa fierté..je peux même dire qu’il a développé un complexe d’infériorité surtout après le 4eme mandant. L’Algérien est réduit à un tube digestif qui attend un logement depuis 20 ans et court derrière un sachet lait comme un affamé…

    Peut-être que c’est le résultat du dégout, la surcharge des problèmes au quotidien…Depuis dés années qu’aucun président ne s’est adressé au peuple…Qu’on le veuille ou pas, ça a beaucoup clochardisé la société Algérienne.
    Sans oublier le Haschisch marocain qui contrôle la jeunesse, et touche même les adultes tombés dans le désespoir. Les charlatans ont dominé l’intellectuel, le compétent est marginalisé par les incompétents, l’honnête est chahuté… Les voleurs en liberté…La justice n’existe plus.

    Où va l’Algérie avec ce charlatanisme en couleur???

    Merabet
    22 mars 2018 - 12 h 52 min

    Ce qui est important ce n’est ce régime ,c’est l’education De nos enfants ,Socrate se pleignait des jeunes de son temps parce qu’ils ont des mauvaise manière et ils respect pas leurs aînés ceci passait à athéne il y a 2500 ans et nous nous plaignons toujours de nos enfants ,on veut qu’ils soient pareils que nous comme les singes et conditionée (si tu fait pas ça tu vas en enfer etc…) je parle de nous ,parce que l’occident a appris compte de leurs vie et leurs intérêts.
    Ce que je veux dire que nous sommes pas capable de mourir psychologiquement de tout ce qu’ont à connu comme attachement et comme dépendance . Je vais pas critiquer notre régime ni monsieur Bouteflika qui a fait un énorme travail pour son pays lui qui a compris qu’est ce que c’est d’etre Algérienne. Ce n’est pas kabile ou arabe ou autre mais Algérien tu le sens dans ton cœur dans ta respiration et dans ton âme et quand tu as tout ça,là tu est libre et tu peux changer les choses pour ton pays.

    Anissa
    22 mars 2018 - 12 h 51 min

    En pensant et en réagissant de la sorte, Amira Bouraoui démontre clairement qu’elle n’a pas de vraie conscience politique envers le peuple Algérien. Aussi, je lui pose la question fondamentale suivante :

    Si, Hassiba, Kahena, Fadhma N’soumer, Ali la pointe et tous nos glorieux CHOUHADAS et SI, les cinq pères de notre Glorieuse Révolution avaient « pensé » comme le fait aujourd’hui Amira et bien la RÉVOLUTION N’AURAIT JAMAIS ÉTÉ DÉCRÉTÉE NI ENCORE MOINS ENGAGÉE POUR LIBÉRER L’ALGÉRIE ET LE PEUPLE ALGÉRIEN DU COLONIALISME FÉROCE ET INHUMAIN !

    Et même si vous quittez VOTRE pays l’ALGÉRIE, en ABANDONNANT VOTRE PEUPLE, la terre n’en continuera pas pour autant de tourner AVEC VOUS ou SANS VOUS…..

    Vous faites preuve, là, d’IMMATURITÉ POLITIQUE TOTALE. Car vous n’avez pas encore saisi pleinement – LE SENS DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ. Celle d’une roue qui ne cessera JAMAIS de tourner ad vitam aeternam, yal GHALTA !!!

      abdel
      22 mars 2018 - 16 h 11 min

      autre époque autres,moeurs,ces personnes avaient un objectif, »liberer le pays » aujourd’hui on est face a un peuple décultiralisé, somalisé, éxilés pour certains ,et ultime mépris on veut lui imposer a ce peuple, un homme malade et agé, incapable d’assumer ses fonctions et donc de défendre les intérets du pays, dans un monde en plein changement sécuritaire et économique.

        Anissa
        23 mars 2018 - 2 h 51 min

        « Autre temps autres moeurs » dites-vous ? Là, vous sortez volontairement du contexte très spécifique qui a toujours marqué à travers les siècles, le passé Historique marqué par la lutte et la Résistance Héroïque du peuple Algérien pour la défense de sa patrie depuis Massinissa, Yougourtène, la Kahina, Abdelkader, Fadhma N’soumer, Hassiba et autres Chouhadas….. Vous ne pouvez DÉGOMMER d’un seul trait de votre plume criminelle toute cette Résistance Ancestrale en avançant une contre-vérité historique de « Autre temps autres moeurs ». Le peuple Algérien a TOUJOURS su se relever face à ses ennemis qui ont cru avoir « réussi » à anesthésier son âme et détruire sa DIGNITÉ ! Demandez à la France qui a cru avoir détruit ce peuple après 132 ans de colonisation affreuse et impitoyable….. DEMANDEZ-LUI, CHER monsieur !!! Un vieux proverbe de chez nous dit : DJOUZE AÂLA OUED EL HARHAR OU MA DJOUZECHE AÂLA OUED ESSAKET… En d’autres termes beaucoup plus simples : IL FAUT (TOUJOURS) SE MEFIER DE L’EAU QUI DORT…..
        Oui, cher monsieur. L’ALGÉRIE EST UNE LIGNE ROUGE ! ET PERSONNE N’A LE DROIT D’INSULTER LE PEUPLE ALGERIEN OU DE PORTER ATTEINTE A SA PROPRE DIGNITÉ NI ENCORE MOINS A L’INTÉGRITÉ DE L’ALGÉRIE !!!
        On souffre et on est dans la mélasse MAIS….. ON SE RELEVERA ET ON S’EN SORTIRA !!! NE VOUS EN FAITES PAS. MAIS PAS EN DETRUISANT NOTRE PAYS COMME LE VEULENT CERTAINS ET CERTAINES ECERVELÉS MANIPULES PAR DES FORCES TOTALEMENT OCCULTES MAIS CONNUES…..

          abdel
          23 mars 2018 - 12 h 03 min

          madame,loin de moi l’idée d’occulter le passé de ce pays,je fais référence a la periode post indépendance ou ce peuple a ete décultarilisé sur tous les plans y compris sur le plan politique ce qui a débouché sur cette décennie noire,par ailleurs madame vous parlez des exactions de la france,que personne ne nie ici

        Anonyme
        23 mars 2018 - 18 h 29 min

        Dans ce cas toi le premier ; c est un com de marocains que tu nous fais la ; t a commencé à dénigré le peuple algérien pr finir par son président. un peuple déculturalisé et somalisé …et ..?

    Anonyme
    22 mars 2018 - 12 h 38 min

    Facile de s en prendre à Amira Bouraoui pendant que vous vous vivez à l étranger !!!
    Amira Bouraoui et ses collègues sont les seuls a être sortis bravés des centaines de policiers en tenue et en civil pour montrer leur refus du quatrième mandat….
    L intelligentsia ( journalistes,artistes,fonctionnaires,avocats,médecins,etc)a été assassinee et broyée dès le début de la décennie noire justement pour que personne ne s oppose au plan établi pour gouverner avec les islamistes et changer les lois en leur faveur.
    Ceux qui ont permis à l état algérien de continuer à se maintenir ont abandonné le combat car trop inégal où se sont exilés.
    Reste quelques Amira Bouraoui et autres qui luttent et c est à leur grand honneur car la partie n est pas gagnée,la corruption et la Violence sont les maîtres mots de ces baltaguias qui utilisent la religion pour assouvir leur soif de pouvoir.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 12 h 32 min

    Mme Bouraoui a dit tout haut ce que tout le monde pense bas.

    Réseau
    22 mars 2018 - 12 h 29 min

    Si seulement insulté le peuple sa peut passer;mais la ils ont dépasser tout les limites,humiliation;intimidation;chantage;et autres;meme l’ex occupant n’a pas fait autant

    Anonyme
    22 mars 2018 - 12 h 28 min

    Désolé pour le nom mauvaise frappe.Mme Bouraoui je voulais dire.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 12 h 25 min

    Mme Bouraoui à dit tout haut ce que tout le monde pense si bas.

    Mehadji Rahi Saïd
    22 mars 2018 - 12 h 21 min

    Bon débarras, on n’insulte pas un peuple pour se faire une place au soleil, qu’elle aille rejoindre ses maître en outre mer et de d’insulter encore le peuple algérien sur les plateaux de télé comme l’on fait d’autre avant elle, casse toi.

    awrassi
    22 mars 2018 - 12 h 13 min

    Qu’elle s’en aille ! Quant on gynécologue, le meilleur moyen de servir son pays, c’est de pratiquer au mieux son métier. La politique est un domaine où la femme n’a pas de place. Ceux qui lui en font une ont tort. La féminisation du pouvoir et des institutions tue ! Qu’on regarde ce qui se passe en Occident … Mme Bouraoui fait partie de ces femmes qui veulent être sur le devant de la scène. Soit, qu’elle se présente aux présidentielles !!!

      abdel
      22 mars 2018 - 15 h 36 min

      vous etes sérieux ,? en algerie depuis 62 le pouvoir a toujours etait détenu par des hommes et souvent corrompus et incompétents, si non on serait pas dans cette situation ou des citoyens hommes ou femmes , veulent s’éxiler par tous les moyens

        awrassi
        23 mars 2018 - 12 h 15 min

        Je suis très sérieux. La femme n’est pas meilleur que l’homme. Allez voir ce qui se passe dans les pays où la femme s’est « libérée » …

      ferhat
      23 mars 2018 - 12 h 02 min

      MDR, vous devez changer de pseudo. Awrassi, si vous êtes des Aures, EL KAHINA (DIHIA) aura bien honte de vous…..Cette mentalité est a bannir, les Hassiba Ben Bouali et compagnie ont bien eu le courage de déposer des bombes et plus apte à la politique que vous. Il n y a que dans la désert d’ARABIE qu’on enterrait les filles à leur naissance et cette mentalité découle bien de la… de grâce si vous n’avez pas de commentaires constructifs à faire taisez vous….!

    Ferhat
    22 mars 2018 - 11 h 50 min

    Amira Bouraoui a bien raison, le peuple a perdu toute conscience, des BAC + 10 se font tabassé depuis 4 mois et ont trouve ça normal… le clientélisme, la corruption et les passes droits sont devenus l’héritage social du peuple algérien ces dernière années, au lieu d’avoir celui du travail, de l’honnêteté et du mérite. Comment osez vous pointez du doigts les paroles de Mme Bouraoui qui a fait juste un constat. On n’acquiert pas une conscience que par l’instruction ou l’argent. L’instruction et l’argent ne sont qu’un atout en plus. Nos grands parents et arrières grands parents n’avaient pas autant de moyens et d’instruction qu’aujourd’hui, mais ils étaient moins corruptibles, il avaient des valeurs de respect d’honnêteté avant tout. Ceux qui ont mené la révolution de Novembre n’étaient pas autant instruits, mais ils avaient tout simplement des valeurs. Le NIF comme ont dit en langage commun algérien.

    Anonyme
    22 mars 2018 - 11 h 23 min

    C’EST UN MEC , AMIRA.

      Anonyme
      22 mars 2018 - 19 h 04 min

      a anonyme ; non monsieur c est une femme fahla ! qui vaut au cours actuel 1OOO algeriens et peut etre plus !

        Anonyme
        23 mars 2018 - 18 h 33 min

        Vs en faites pas parti vous monsieur des 1000 algériens?

    Dzézaïr
    22 mars 2018 - 11 h 19 min

    Voilà ce Que toutes les presses algérienne unis en rang serrés, vous devez de concert systématiquement, méthodiquement, contre-attaquer les presses françaises le torchon jeune Afrique laquais de m.6 ainsi que yablaidi.net et toutes les autres presse hostiles à l’Algérie aux algériens.
    CONTRE ATTAQUEZ SANS SUJET TABOU, SANS MÉNAGEMENT!!!.
    Algeriepatriotique soyez le chef de file en prenant contact avec d’autres collègues journalistes dans d’autres journaux.
    Tous en rang de bataille et livrez leurs une guerre de la plume sans pitié.

    LOUCIF
    22 mars 2018 - 11 h 11 min

    Monsieur Kaddour Naïmi , de mon point de vue Amira Bouraoui n’insulte pas le peuple. Elle dit simplement qu’elle a fait ses jours, ses mois et ces années de militantisme comme elle a pu (d’ailleurs vous savez qu’en Algérie ce n’est pas facile de militer sans encombres) et elle ajoute: «ceci dit, s’il y a un cinquième mandat malgré tout, je quitte l’Algérie».

    Amira Bouraoui a le droit de penser que si Bouteflika arrive a « empocher » un cinquième mandat cela signifiera que les Algériens peuvent être considérés comme des « soumis » et qu’ils acceptent le statu quo alors que le pays risque de plonger dans l’incertitude et l’instabilité politique… si rien ne change. C’est son point de vue !
    Si on réfléchi, Il est en effet anormal que le peuple accepte encore une fois que Bouteflika engrange un autre mandat avec son état de santé ! Ce n’est pas sérieux pour notre pays, vous en conviendrez ! Un quatrième mandat avec son état de santé ok, çà passe à la limite, mais un 5 ème, c’est trop,, c’est de l’insouciance pour ne pas dire de l’irresponsabilite ! Et c’est ainsi qu’elle arrive à la conclusion que dans ce cas là, elle va quitter le pays !
    Cela ne veut pas dire insulter l’Algérie. Là aussi c’est sa liberté, son droit de choisir de baisser la garde et de partir vers d’autres cieux ! Cela ne veut pas dire comme vous l’insinuez qu’elle insulte le peuple, je ne suis pas d’accord avec vous ! A un moment donné, on le droit de reconnaître sa défaite, de cesser le combat quand l’adversaire arrive à amadouer et à neutraliser vos troupes ou bien qu’on n’a pas réussi à mobiliser large pour « x » ou « y » raisons! Quoi de plus normal ! Maintenant, vous de votre côté vous avez le droit de défendre le 5ème mandat, d’accepter et de lutter politiquement pour que Bouteflika soit élu encore une fois, peut-être au motif que personne d’autre n’est capable de le remplacer ! C’est votre droit le plus absolu, c’est légitime politiquement parlant, même si on sait que dans notre pays il existe un gros, gros déficit démocratique ! Salutations respectueuses.

    Algérie
    22 mars 2018 - 11 h 03 min

    Elle a raison

    RasElHanout
    22 mars 2018 - 9 h 59 min

    Pourquoi donne-t’on autant d’importance aux fils et filles de Harkis (Amira Bouraoui, Sofiane Djilali، Saïd Saadi, Mohcine Belabbes, Amar Saidani, Boukrouh etc…) qui vivent avec leurs enfants à l’étranger (France, Maroc, Liban) et ne ratent aucune occasion pour revenir via ces medias et sur instructions de leurs pourvoyeurs (Maroc, France, Arabie Saoudite) pour insulter l’Algerie, ou exiger l’ouverture des frontières du Haschich du moment que leurs enfants n’y sont pas exposés etc..etc…etc…

      abdel
      22 mars 2018 - 12 h 07 min

      vous faites la confusion entre opposants au régime, personnalités corrompues et harki,pour moi saidani est un corrompu et bourraoui est une opposante politique,un harki est celui qui a pris les armes contre son pays,les mots sont importants

      FAUX
      23 mars 2018 - 11 h 17 min

      et donc tu mets dans le méme sac aussi l’émir A;K puisqu’il vivait en syrie ….
      etre algerien et vivre à l’etranger pour une meilleure baguette de pain , ne change en rien en l’algeriannité de la personne ….

    Anonymaoui
    22 mars 2018 - 9 h 33 min

    En tous les cas Madame Bouraoui à milité pacifiquement contre le régime en place et si elle décide de quitter le pays si rien ne change c’est son droit absolu. (…)

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