Le ministre du Commerce visite les usines du groupe Condor

commerce Condor
Le ministre Saïd Djellab recevant des explications du président du groupe Condor. D. R.

Le leader algérien des produits électroniques et technologiques Condor a reçu, jeudi 6 septembre 2018, dans une ambiance fraternelle la visite du ministre du Commerce, Saïd Djellab, et ce dans le cadre de sa visite de travail effectuée dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj.

 

Le ministre du Commerce a été reçu par le président du conseil d’administration de Condor Group, Abderrahmane Benhammadi et a pu visiter les unités de production les plus importantes du constructeur algérien, à savoir l’unité photovoltaïque ainsi que celle spécialisée dans la production de réfrigérateurs.

Le ministre du Commerce a assuré lors de sa visite qu’une stratégie nationale sera mise en œuvre dans les cinq prochaines années (2019/2023) à travers l’adoption de mesures organisationnelles de diversification des exportations. «Nous ambitionnons, a-t-il dit, de commercialiser le produit national sur de nouveaux marchés à travers la participation à des salons en Amérique du Nord, en Belgique pour l’Europe et en Mauritanie pour l’Afrique.»

«Cette stratégie permettra la diversification de l’économie nationale, notamment les exportations hors hydrocarbures qui devront atteindre, à la fin de l’année en cours, 1,6 milliard de dollars», a affirmé le ministre qui a souligné «l’importance dans ce processus du rôle des investisseurs privés, à l’instar du groupe Condor de Bordj Bou Arréridj dont les exportations avoisineront, à fin 2018, près de 40 millions dollars».

Condor, acteur incontournable dans l’économie algérienne, n’est pas juste un exemple de réussite et de succès, à travers ses réalisations et ses performances. Il est aussi le modèle par excellence de la compagnie qui marque son époque par son innovation et son avant-gardisme, avec des articles «Made in Algeria» à la pointe de la technologie, certifiés aux normes de qualité́ et de sécurité́ les plus strictes.

Condor n’est pas seulement un label marchand mais un opérateur et un compagnon du quotidien de chaque Algérien, en proposant concrètement plus de confort et d’accessibilité́. L’enseigne «amie» inspire par son succès et sa fidélité́ ; c’est précisément cette proximité́ et la détermination d’élargir les horizons et d’anticiper sur les innovations qui permettent à Condor d’être un leader.

Au fil des années, Condor a construit une histoire, un parcours où toutes les mutations reflètent aussi l’attachement à nos valeurs et nos aspirations vers l’excellence.

C.  P.

Comment (3)

    Anonyme
    10 septembre 2018 - 13 h 46 min

    A travers Condor, Cobra, Géant,…..,et autres entreprises, et P.M.E algériennes à Bordj Bouarreiridj, dans les Hauts plateaux, et ailleurs,…..en Algérie , il existe de grandes potentialités humaines,matérielles, industrielles
    Techniques, et technologiques en Electronique, Electro-technique, Electro-mécanique, et Mécanique
    En Algérie, la préparant à devenir un leader africain exportateur de biens, et d’équipements
    A moyen, et à long terme
    Pour peu, d’organisations, de coordinations inter-entreprises, de suivis, de disciplines,
    De respects de normes, d’études du marché africain difficile, ces dernières années, et de soutiens de l’état,
    Au lieu de soutenir les importateurs-fraudeurs-trafiqueurs de surfacturations,
    De produits de qualité douteuse, et d’ouverture de comptes à l’étranger, et de fuites de capitaux beaucoup
    Les P.M.E algériennes doivent donner beaucoup d’importance aux formations,
    Et aux recherches-développements de haut niveau, et de haute qualité
    (P.M.E – Centres – Ecoles – Instituts – Universités)

    Anonimi
    8 septembre 2018 - 9 h 37 min

    Exporter dîtes vous ? Mais il y a quelques mois seulement ce même bonhomme Benhamadi a annoncé en fanfare la création en Tunisie d’une usine ultra moderne de montage d’équipements audio et électroménagers destinée à l’exportation vers les pays africains. Bien sûr l’argent investi en Tunisie a été amassé en Algérie grâce aux facilités, aides et soutien accordés sans contrepartie. Et ce ministre qui encourage cette délocalisation annoncée par sa simple visite chez condor.

    Gatt M'digouti
    8 septembre 2018 - 8 h 50 min

    «Cette stratégie permettra la diversification de l’économie nationale, notamment les exportations hors hydrocarbures qui devront atteindre, à la fin de l’année en cours, 1,6 milliard de dollars», a affirmé le ministre qui a souligné «l’importance dans ce processus du rôle des investisseurs privés, à l’instar du groupe Condor de Bordj Bou Arréridj dont les exportations avoisineront, à fin 2018, près de 40 millions dollars». ?????
    Super !!!
    Dites nous svp monsieur le ministre, à combien monte l’enveloppe des importations des composants qui permettent à Condor de réaliser ce chiffre d’affaires, sachant pertinemment que cette boite est incapable de produire localement un vis ?
    Et à combien s’élève la fraude fiscale qui consiste à importer des produits finis avec le label  » made in bladi » en bénéficiant des taxes réduites destinées aux kits?
    Chaba3touna kdeb !!!!

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