Après l’armée, la police et la gendarmerie : Saïd Bouhadja limoge

APN Bouhadja
Vers le retour de Saïd Bouhadja ? PPAgency

Par R. Mahmoudi – La décision prise, dimanche, par le président de l’APN, Saïd Bouhadja, de limoger le secrétaire général de l’Assemblée et de le remplacer le jour même par un intérimaire n’a pas été du goût de la direction du FLN, son parti, et même, apparemment, des cercles de décision.

Situation inédite pour Bouhadja, qui paie ainsi sa longue convalescence et qui ne s’attendait sans doute pas à des tirs de barrage qui allaient crescendo ces deux derniers jours, et qui le visaient lui personnellement. Ce qui a obligé le bureau de l’Assemblée à réagir dans un communiqué rendu public mardi, alors que ce n’était pas dans ses traditions de répondre aux critiques les plus virulentes ciblant l’institution.

Dans ce communiqué, l’Assemblée affirme que la décision récente prise par son président «s’inscrit en droite ligne de ses prérogatives et sur la base de données d’appréciation», tout en insistant sur le fait que «c’est une décision très normale». Et de poursuivre : «Le prestige du Parlement tient au bon fonctionnement et à la performance de ses fonctionnaires.»

Conséquence d’une lutte interne ou reflet des circonvolutions qui traversent actuellement le sérail, avec la vague de changements sans précédent dans les corps de sécurité, cette mini-crise qui secoue l’APN n’en est pas moins révélatrice de l’atonie qui frappe l’institution législative en général, déjà largement discréditée par sa soumission indiscutable au pouvoir exécutif.

D’après certaines sources, la situation peut rapidement se corser si les contestataires décident de maintenir leurs pressions sur la direction du parti majoritaire pour destituer prochainement Saïd Bouhadja. Un scénario qui risque, à ne point en douter, d’aggraver l’instabilité politique du pays, à quelques mois d’une échéance électorale capitale.

R. M.

Comment (33)

    H-B
    18 octobre 2018 - 0 h 24 min

    Et alors que le président de la République continue d’opérer des changements de dirigeants au niveau des institutions militaires, la révue El Djeich, dans son dernier numéro du mois de septembre, est revenu sur ces changements pour les placer dans leur véritable contexte

    Dans un édito intitulé « Sur la voie de l’aquisition des facteurs de puissances », l’organe central de l’ANP écrit que « les dernières nominations viennent consacrer le principe de l’alternance aux postes de responsabilité sur la base des critères de la compétence et du mérite et qui participe, comme l’a souligné le général de corps d’armée, d’une tradition ancrée dans les rangs de l’ANP en ce qu’elle constitue une opportunité.

    Une opportunité pour « «encourager les capacités humaines, conforter leur expérience et les pousser à redoubler d’efforts au service de notre ANP qui continuera, avec l’aide d’Allah Le Tout-Puissant, de bénéficier de la compétence, des expériences et du professionnalisme de ses cadres là où ils se trouvent», poursuit la revue qui reprend les propos du Général de Corps d’Armée Ahmed Gaid Salah.

    La signification de ces changements , rappelée dans ce contexte, est loin d’être fortuite mais doit se lire comme une réponse, un démenti aux interprétations et autres supputations les imputant à « une guerre des clans » au sommet de l’Etat.

    Gérontocratie Quand Tu Nous Détruit
    26 septembre 2018 - 18 h 36 min

    @Algerien Révolté; Milles excuses si on vous a blessé et mes respects les plus sincères pour nos anciens. Ce qui nous hérite, ce sont les personnes qui sont aux commandes depuis l’indépendance, qui ont failli au développement du pays, qui ont privatisé ce pays en prétextant qu’ils étaient indispensables. Il y a eu plusieurs générations de sacrifier, des gens brillants, jeunes, anciens, moins jeunes qui végètent dans le pays par mépris et/ou qui ont quitté le pays par dégoût. En Algérie, il y a des patriotes dont vous faites certainement parti qui ont été passé en pertes et profits malgré leurs intégrités morales, leurs compétences. Ils (vous êtes) sont des assets que l’on a sacrifié au détriment de la médiocrité, de l’incompétence, du népotisme. Pour terminer il y a des jeunes c…, des vieux c… et des c… qui s’ignorent avec une minorité de géroncrate qui au prétexte de la légitimé historique se pense indispensable, qui emmène le pays dans le mur, entouré/accompagné d’une bande mafieuse qui spolie et ruine le pays au détriment des 98% des Algériens sincères et patriotes. Mes respects et mes s’excuses si vous avez été offensé , nos anciens sont sacrés et à 99% ne doivent pas prendre au premier degré les frustrations maladroites de toute une jeunesse en désespérance.

    Zina
    26 septembre 2018 - 16 h 31 min

    Rebi setar pour ce qui va arriver les prochains jours

    Lghoul
    26 septembre 2018 - 15 h 21 min

    D’après les dernières rumeurs – les vraies, venant de la source – (vous savez de qui et de quelle source) quand les gens n’ont rien a faire dans la vie, mais pour juste montrer qu’ils méritent des salaires et des avantages faramineux que la providence du ciel leur fait neiger sur la tête 24H/24H, ils « limogent » tout ce qu’ils voient. Eh bien même moi, j’en est ras-le-bol; je vais commencer a limoger mes moutons ensuite mes poules et si les vaches essayent de comprendre ce qui se passe, elles n’échaperont pas a ma foudre de limogeage. Ould abbas nous manque,au secour car on veut comprendre ce qui se passe, on veut la vérité a la source.

    MELLO
    26 septembre 2018 - 14 h 27 min

    Après l’armée, la police, la gendarmerie et maintenant l’APN, bientôt ce sera au tour du limogeage du peuple. Pour que tout ce beau monde soit tranquille, le peuple doit être limogé. Le limogeage devient une règle de gestion des plus forts sur les plus faibles, mais attention aux limogeurs qui seront à leur tour limoges y compris par la force divine. Lorsque les règles de nomination ne se reposent pas sur des critères de compétence, mais reposent sur des affinités régionales ou familiale, ces opérations de limogeage ne sont que de la poudre aux yeux.

    karimdz
    26 septembre 2018 - 14 h 16 min

    Le changement est en marche, cela se confirme, dans les institutions de l’Etat, dans l’Armée, et je suis même convaincu que le Président Bouteflika ne se représentera pas.

    Ces changements sont nécessaires, car certains s’accaparaient trop de pouvoir, créant de la sorte des états dans l’Etat algérien, aggravant du coup, le bon fonctionnement les rouages de l’Etat et générant du coup la corruption, les détournements, le gaspillage…

    Il est également nécessaire de remplacer des élus avachis, déconnectés de l’évolution de la société algérienne à l’heure de la mondialisation, par de nouvelles élites à même d’apporter les solutions de notre époque et des exigences des nouvelles générations. Les présidents de l’APN et du Sénat n’ont plus rien à faire au perchoir…

    Ces changements ne seront une réussite qu’à condition que l’économie soit libérée et ouverte, l’Etat pouvant se réserver les grand projets.

    Autre condition sine qua non, amorcer des réformes, principalement la décentralisation de l’Etat. Un pouvoir centralisé ne peut tout faire, et on constate des disparités énormes entre le nord et le sud, et meme entre villes. Il faut transférer certaines compétences de l’Etat et les ressources qui vont avec, forcément, pour permettre à des élus locaux, qui connaissent mieux les problèmes et les besoins de leur territoire, de mieux servir leurs administrés. Bien entendu, il faudra également renforcer le contrôle de l’Etat via son représentant, le préfet, sur les dépenses publiques, afin d’éviter tout abus de la part des élus.

      Anonyme
      26 septembre 2018 - 15 h 13 min

      Le changement est en marche comment? on remplace quelqu’un par son sosie ou son équivalent. Un changement de personnes dans les institutions sans changer le mode de gestion et de fonctionnement à quoi bon. Etre convaincu que le président ne se représentera pas je me demande comment, cela prouve tout au contraire que l’on ne connait pas le président qui a torpillé la constitution pour le 3eme mandat et s’est représenté en fauteuil roulant pour le quatrième.
      Les changements sont nécessaires c’est évident pour tout le monde, certains s’accaparent trop du pouvoir, cela date de 62 et ce n’est pas prêt d’en finir.

        karimdz
        26 septembre 2018 - 15 h 25 min

        Remplacer des personnes qui étaient avachis sur leur siège depuis belle lurette, c est déjà un changement.

        Ce changement comme je l’ai écrit doit nécessairement être accompagné de réformes et d’une libération économique.

          Farida
          26 septembre 2018 - 15 h 59 min

          En effet « liberation economique » veut probablement dire « Donner tout a haddad ».

          karimdz
          26 septembre 2018 - 16 h 40 min

          C’est votre lecture farida pas la mienne. Et tous les investisseurs algériens sont les bienvenus.

          Vous savez rebrab ou hadad, c est la même catégorie, le premier n’est pas plus blanc que le second…

          Anonyme
          27 septembre 2018 - 7 h 42 min

          Oui c’est sa lecture, celle de farida, qui n’est pas nécessairement fausse. Pour cela et pour l’affirmer, il faut avoir l’avis des autres. Ce qui me semble compromis pour que ça soit faux.

          karimdz
          27 septembre 2018 - 11 h 54 min

          anonyme zaatar, je revendique mon droit à ne pas être d’accord avec Farida, pas plus qu’avec toi.

          Sa réponse est partiale, c’est évident, la mienne était objective, c’est toute la différence.

      Lghoul
      26 septembre 2018 - 15 h 45 min

      « Je suis convaincu que le Président Bouteflika ne se représentera pas » As tu au moins parlé a ould abbas d’abord avant d’être certain ? Moi je vois une photo et un cheval devant la photo. C’est tout ce que je peut prédire. Le reste est entre les mains de notre fakir ould abbas car il nous confirmera que le président va cette fois, non seulement marcher mais prendra part au marathon du sahara qui se tiendra bientôt. Sincèrement je le croirai car il n’a jamais raté la vérité même d’un kilomètre.

        karimdz
        26 septembre 2018 - 17 h 45 min

        Je ne suis pas membre du FLN, et ould abbas ferait mieux de prendre sa retraite, pour moi, nous n’avons pas les mêmes références…

          Anonyme
          26 septembre 2018 - 22 h 26 min

          Mais toi tu n’es rien du tout à côté d’ould abbés qui lui a du poids. Donc par voie de conséquence ta parole et ton jugement ne valent rien à côté de ceux d’ould abbés.et la référence pardonne moi en l’état c’est bien lui.

          karimdz
          27 septembre 2018 - 11 h 59 min

          Commence déjà par enlever tes oeillères, je me fous de ould abbas, qui est un guignol pour moi.

          Et il n’a aucun pouvoir, et il n’est en aucun cas la référence, peut être pour toi, pas pour moi. Ceux qui valent pour moi, ce sont les militants pas le secrétaire général.

      Chrikh krbzb
      26 septembre 2018 - 20 h 21 min

      Karim,si bouteflika n’était pas décidé à se présenter,il l’aurait annoncé ou aurait dû le dire bien avant.de manière à ouvrir le champ aux éventuels candidats. Lui est médiatisé depuis 19 ans,comment voulez vous que les éventuels candidats se fassent connaître en quelques mois?? Sans télés,sans débats,sans autorisation même de se réunir où? Sur ,es télés publiques ou privées non agréés mais tolérées on n’entend et ne voie que FLN RND taj….??? Meme ruse qu’en 2014, annoncer sa décision à la dernière minute pour priver les autres de communication. Gt 100% bouteflika 1 er et 2 eme mandats quand bouteflika etait pétillant mais depuis c un cafouillage qui ne lui ressemble pas.

    Anonyme
    26 septembre 2018 - 14 h 04 min

    S.V.P, quitter les institutions du pays malades, vieilles, et en faillite morale, et de valeurs,…..
    Avec dignité, et honneur, la retraite a sonné, bon repos, au suivant,…..

    Lghoul
    26 septembre 2018 - 13 h 41 min

    Est ce qu’il a examiné le cas de cette salhi qui represente un parti « de la politique la la religion » qui a au total un nombre de 5 militants: 3 chats et 2 souris ? Doit elle d’abord passer une séance de 8 heures chez belhamar qui lui presrira 200 comprimés de RHB avant de passer devant « la justice » de l’APN ? Il ne doit pas aussi oublier ceux qui veulent des passports « diplomatiques », des salaires faramineux qui vont bientot atteindre les 100 millions d’anciens, des retraites a vie de 50 millions comme hors d’oeuvre, des rappels en centaines de millions comme plat de resistance et des voyages a l’étranger et des résidence (non surveillées) comme desert. Chers concitoyens, saviez vous pour quel genre de travail ils recoivent tous ces cadeaux tombés du ciel ? Lever une fois par an son doigt pour dire « oui » car si le doigt n’est pas levé, le député, « représentant » le peuple (qui ne la jamais élu), va rembourser les frais de travail pour l’année: 12 calories = 12 bitcoins. Chez nos député, la calorie a dépassé la valeur du bitcoin depuis que les places a l’APN s’échangent en milliards d’anciens (ou de nouveaux car dans quelques années, il n y aura plus de difference).

    Zaatar
    26 septembre 2018 - 13 h 03 min

    Pioché d’un quotidien:
    Selon l’actuel ambassadeur de France à Alger, l’ex-ambassadeur de France à Alger ne représente pas la France. Au chapitre de ceux qui disent n’importe quoi selon ceux qui ne disent pas n’importe quoi, Bajolet ne représente donc pas la France mais Haftar ne représente pas la Libye non plus et Trump également ne peut pas représenter les Etats-Unis vu le nombre d’inepties qu’il produit.
    Ould Abbès représente-t-il l’Algérie ? Non, alors qui ? Ouyahia ? Bensalah ? Haddad ? Peut-être. Mais un président comme Trump peut-il ne pas représenter le pays qu’il représente en tant qu’élu par sa population pour la diriger ? Alors Bouteflika représente-t-il l’Algérie ? Le bourrage des crânes et/ou des urnes est-il lui-même représentatif ? En tout cas, il aurait, lors d’une récente réunion avec ses ministres, ordonné de réfléchir un peu plus avant de parler, pour ne pas accentuer ce sentiment de confusion qui s’est profondément installé chez la population.
    Ce à quoi un ministre, sous le couvert de l’anonymat, aurait répondu à l’adresse d’un autre ministre sous le couvert de l’anonymat en soulevant cette idée que le Président devrait à l’inverse parler avant de réfléchir. Mais bref, Bajolet a écrit un livre, Haftar et Trump pas encore, ils sont trop occupés. D’où la question : le président algérien ayant beaucoup de temps libre, pourquoi n’écrit-il pas un livre puisqu’il ne peut plus parler ? Peut-être parce que Boumediène n’a pas écrit de livre, pas plus que Zeroual, et en dehors des mémoires de Chadli — qu’il n’a pas écrites mais dictées — finalement le seul qui ait écrit un livre est le président Boudiaf, avec son célèbre Où va l’Algérie ? C’est aussi le seul Président qui a été assassiné. L’un n’a peut-être pas de rapport avec l’autre, mais dans les mémoires de Bouteflika, un livre qui va peut-être paraître un jour, peut-être nous dira-t-il qui a tué celui qui a écrit Où va l’Algérie ? Mais il semble certain que même lui ne pourra pas répondre à cette question posée par Boudiaf.

      anonyme
      26 septembre 2018 - 15 h 57 min

      @zaatar à part des copiés et des banalités, what else ?

        Zaatar
        26 septembre 2018 - 21 h 11 min

        il fait 22°C dehors…

    Anonyme
    26 septembre 2018 - 12 h 19 min

    L’heure des grands changements, des grandes réformes des institutions malades du pays, Et des grandes restructurations de l’économie, des finances et du commerce extérieur d’importations a sonné. Pour sauver le pays de la faillite et de la disparition .
    Dignité, honneur et respect pour les anciennes élites et les anciennes générations, Dans la paix et la stabilité du pays.

      Zaatar
      26 septembre 2018 - 12 h 40 min

      C’est plutôt l’heure des règlements de compte dans le respect de la corruption interne et des liens entre diverses clans en faction. Seul souci, comment préserver ce pouvoir, avec les élections qui approchent, dans l’optique de la conservation du monopole de la rente. C’est tout régit tout le monde, c’est tout ce qui fait bouge tout le monde, c’est tout ce qui anime toutes les classes politiques et c’est tout ce qui est dans le viseur de chacun. C’est naturel non?

    Anonyme
    26 septembre 2018 - 10 h 50 min

    c’est un pays massacré par la corruption…

    Zaatar
    26 septembre 2018 - 10 h 09 min

    Ils donnent l’impression de se taper dessus, mais en fait le cirque tout le monde le connait. Les « barons » du système sont bien boulonnés, il arrive que l’un d’entre eux soit dégommé mais c’est extrêmement rare. Par contre les thuriféraires de bas métier en recherche constante de strapontins à squatter au sein du système sont interchangeables à tout bout de champ. Et pour faire bonne figure vis à vis de la plèbe et donner l’impression de la constance et du travail acharné que fait le système dans l’intérêt du pays, il n’hésite pas à faire quelques sacrifices et donner en pâture certains d’entre eux. Ce rituel est connu maintenant depuis quelques dizaines d’années, et quelques un des éjectés se sont rassemblés en opposition par simple esprit de vengeance. La connaissance des rouages du système pourtant ne les a pas servi pour autant, puisqu’ils finissent tout le temps à se retrouver sur le carreau vis à vis de l’objectif ultime « l’enrichissement ».

    Gatt M'digouti
    26 septembre 2018 - 8 h 41 min

    Allez oust tout le monde barra ! dehors ! on n peut plus vous supporter !!!
    Des députés et sénateurs véreux corrompus, affamés, vivant sur le dos du citoyen avec des privilèges incroyables alors que vieilles femmes et enfants se nourrissent dans les poubelles !!
    Que le président ou ceux qui parlent en son nom procède(nt) à le dissolution de ces deux chambres à ….. manger !

    Ladjel Djamel
    26 septembre 2018 - 8 h 30 min

    Je ne pense pas qu’il y ait reconciliation peut etre plutard quand toutes les generations d’avant la guerre de liberation et celles qui sont entre 1950 et 1960 auraient disparu. Les harkis ont perpetre des pires atrocites aussi bien pour nos combattants que pour les populations locales et ca ne pourrait s’oublier.

      Algerien révolté
      26 septembre 2018 - 16 h 53 min

      Je suis de ceux que vous appelez l’ancienne generation , ceux que vous souhaitez qu’ils disparaissent TOUS et pourtant je ne suis ni un bouffeur ,ni un corrompu , je n »ai jamais occupé un poste de responsabilité comme nous pouvons l’entendre c’est a dire qui peut décider la vie ,la mort ou le bagne , je suis pour une vraie démocratie ou les jeunes soient aux commandes de ce pays meurtri ,des comme moi il en reste encore et beaucoup ; je souhaite qu’il n y ai aucune confusion , et chacun doit etre responsable de ses actes et uniquement ses actes .ALORS vous voulez toujours ma disparition ?

    aile brisée
    26 septembre 2018 - 7 h 54 min

    Allez vous en tous chacun par son nom

    Anonyme
    26 septembre 2018 - 7 h 31 min

    Salam a tout le monde de cet article c est cet phrase de la dernière ligne qui a retenu mon intention ((d’aggraver l’instabilité politique du pays)) es un aveu et reconnaître que la situation n est pas stable et un manquement d autorité ??

    Gérontocratie quand tu nous détruit
    26 septembre 2018 - 7 h 23 min

    Je ne vais pas pleurer sur son sort. Plus de 80 ans, j’aimerais le voir lui et les autres à la retraite. Ils en ont fait assez, voir beaucoup trop pour détruire le pays. Pour moi, ce sont les ennemis de la République, ils n’ont plus leurs places aux seins des institutions.

    nectar
    26 septembre 2018 - 7 h 13 min

    Qu’elle se bouffe la rate cette maudite race, qui a développé la fainéantise, la rapine et le laisser aller dans toutes les strates du pays..Une assemblée nationale mafieuse au service de la nomenklatura, ne peut en aucun cas être au service du pays, si ce n’est leur enrichissement personnel..Au diable Bouhadja et sa bande de prédateurs…

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