Cinquième mandat ou mise en route du plan de succession ?

mandat
Abdelaziz Bouteflika. New Press

Par Hani Abdi – Pourquoi le FLN est-il passé de responsable affichant un soutien zélé au 5e mandat à une position plutôt mesurée, voire réservée sur le sujet ? Lorsqu’on sait la fidélité de Djamel Ould-Abbès au président Bouteflika, qu’il a toujours soutenu depuis sa première candidature en 1999, il est difficile de penser que le désormais ex-secrétaire général du FLN ait pu faire de telles déclarations de son propre chef. Y a-t-il eu, entre temps, un changement au sommet de l’Etat ? Un changement qui ne pourrait visiblement être traduit au FLN avec un Ould Abbès qui s’est trop engagé dans l’option du 5e mandat qu’il soutenait et défendait corps et âme depuis plus une année.

C’est vraisemblablement ce qui expliquerait la «mise au point» de Mouad Bouchareb sur la question du 5mandat, pas en tant que président de l’APN, mais plutôt en sa qualité du président du directoire du FLN. C’est peut-être aussi pour cette raison que la Présidence a déchargé le bureau politique de la mission de diriger le parti jusqu’à l’élection par le comité central d’un nouveau secrétaire général ou la tenue dans les meilleurs délais d’un congrès extraordinaire.

Le 5e mandat est-il toujours une option sérieuse pour le régime ou s’agit-il d’un leurre ? Possible. Lorsque Djamel Ould-Abbès avait déclaré Bouteflika candidat du FLN pour la présidentielle de 2019, les médias internationaux se sont emparés du sujet en se focalisant sur l’état de santé du président dont les apparitions sont de plus en plus rares, rendant ainsi son agenda présidentiel difficilement gérable.

Cette option a-t-elle été évacuée ? Le président Bouteflika aurait eu tout un mandat pour organiser sa succession. De par son état de santé chancelant et son âge avancé, il savait, ainsi que son entourage, qu’il pourrait, d’un moment à l’autre, être dans l’impossibilité de continuer à diriger le pays. Face à une telle éventualité, ni lui ni son entourage ne pouvaient rester les bras croisés. Pendant tout ce temps-là, un plan B a été assurément dégagé. Ce plan pourrait être appliqué à tout moment. Autrement dit, le cercle présidentiel disposerait d’au moins un joker pour pallier l’éventuelle défection du président Bouteflika. Si le cercle présidentiel voit qu’un 5e mandat pour Bouteflika sera encore plus difficile à gérer que ne l’était le 4e, il passerait automatiquement au plan B, celui de la succession, pour laquelle une short-list de personnalités de confiance a déjà été établie. Même la «guerre de succession» dont on parle semble plutôt un déplacement bruyant de pièces pour reconstituer le puzzle de cette feuille de route déjà préétablie. Autrement dit, le mouvement à la tête de certaines institutions et à la direction du FLN obéit à des considérations dictées par les impératifs de la mise en place de cette feuille de route. Pour parer à toute mauvaise surprise !

H. A.

Comment (36)

    Je SaisTout
    28 novembre 2018 - 0 h 12 min

    C’est une statut au musée Grévin? lol

    Anonyme
    27 novembre 2018 - 16 h 18 min

    Wellah, je ne pense pas que le président veut un cinquième mandat. Je pense qu il est entrain de finir quelque tache avec l aide de son staff..il peut ne pas finir et demanderais une autre année pour finir ..mais pas un 5ieme mandat…il est fatigué..wellah je l ai vu sur YouTube…j ai eu une larme aux yeux ..il a vieillis et pas de force aussi..il faut l aider à finir ce qu il a à finir avant 2019 pour qu il aille reposer … salam.. il a vraiment vieilli…

    Anonyme
    27 novembre 2018 - 15 h 22 min

    Depuis qu `on a relaché les generaux quelque chose est entrain se passer derriere les rideaux epais de la presidence. Les chose se developpent dans le bon ou plutot logique sens. On a du dire assez c`est assez …..On a mis fin aux clownerie de Ould abbas ….on ne parle plus de 5 eme mandat …. croisons les doights de pieds et attendons peut etre qu`il ya une force invisible qui a decidé de prendre le devenir de l`Algerie en main… Peut etre les cinq generaux eux meme .et pourquoi pas….. in cha allah

    Himoun
    27 novembre 2018 - 7 h 01 min

    Il était une fois un voleur à qui on a volé une succession qu’il croyait sienne. Par miracle de dame magouille il grimpa jusqu’au trône et depuis il jura qu’il blanchira tous les voleurs et recréera Ali Baba et les 40 voleurs. Grâce à sa bande il a pu tout voler même la dignité de tout un peuple.. Alors j’ai fait un rêve : Boutef va effectuer son ultime du haut du minaret de la grande mosquée…..

      La Viriti
      27 novembre 2018 - 13 h 17 min

      Il était une fois une famille qui voulait faire de l’Algérie un Maroc bis….Qui pensait le peuple algérien servile et aveugle, qui pensait l’acheter avec des logements, qui pensait marocaniser toutes nos intitutions…Raté !
      La roue va tourner.

    Anonyme
    27 novembre 2018 - 5 h 08 min

    je ne connais personne de confiance ou intègre ,,,,alors je vote pour moi je me connais assez pour savoir JE SUIS intègre

    Anonyme
    27 novembre 2018 - 4 h 48 min

    quelle succession?? ON est pas aCuba ni dans une monarchie ;tout doit se passer dans le respect (pour le peu qui reste)de la constitution

    ripper
    26 novembre 2018 - 22 h 59 min

    Ainsi naquit la mamlaka bouteflikia ….

    Anonyme
    26 novembre 2018 - 21 h 37 min

    moi je dis Ouyahia pour president et qu’on arrete tout ce brouhaha. il est clair que rien ne changera en algerie alors qu’on arrete toute cette gymnastique.

    Rascasse
    26 novembre 2018 - 21 h 36 min

    Le fln est entrain de se restructurer en catastrophe pour faire face aux élections présidentielles, dans la hâte il se jauge pour voir quelle seront ses chances de parrainer un poulain ( Louh??) , le rnd parti de l’administration a pris une avance avec ouyahia qui a roulé dans la farine le sénile debile chahid inventeur Ould Abbès on lui faisant croire qu’il croyait au 5 eme mandat , le clown a essuyé la foudre du support du cadre , maintient qu’il n’y a pas de consensus et donc pas de fumée blanche attendue, la guerre sera rude , Il n y aura pas de 5 eme mandat voilà tout simplement pourquoi il n’y a pas eu officiellement candidature de boutef

    Mir
    26 novembre 2018 - 20 h 48 min

    Si Mr Appel Anonyme et Mr Main invisible tombent d’accord. Ils vont nous bricoler un Mr Main Anonyme pour nous présider. Nous on va juste bourrer les urnes et bouffer un sandwich au cachir. S’il yen a.

    Mesbah
    26 novembre 2018 - 20 h 12 min

    Le changement apparent dans la pyramide supérieure du parti FLN est que la séparation du cinquième mandat n’est plus une option. Par conséquent, la possibilité de prolonger le mandat de deux ans jusqu’en 2022 peut être l’option réaliste pour les dirigeants au pouvoir caché. L’état d’antithèse et la combinaison de deux fonctions, ce qui constitue une violation de la constitution actuelle et gêne le système

    karimdz
    26 novembre 2018 - 20 h 02 min

    Je pense aussi que le Président Bouteflika ne se représentera pas, vu l’état où il est, c’est évident. Notre actuel président a besoin de repos et de terminer sa vie sans avoir à subir les tourments du pouvoir en plus de la maladie. Il a beaucoup œuvré pour son pays, il restera un des grands présidents, en tout cas, celui qui aura métamorphosé le pays sans aucun doute.

    Mais il reste encore de boulot, et cela demande un travail à plein temps pour assurer normalement le bon fonctionnement de de l’Etat, de nos institutions. Les enjeux sont importants, il y va de l’avenir de notre pays, qui doit entreprendre des réformes importantes, et des choix stratégiques… pour qu’en 2022, l’Algérie ne se retrouve pas dans une situation financière délicate.

      La Viriti
      26 novembre 2018 - 22 h 40 min

      Bouteflika a détruit le pays et s’est entouré de personnes à son image qui aujourd’hui le manipule.
      Il s’est pris à son propre piège.
      C’est le président du baril à 140 dollars pas à 20 dollars et isolé du monde comme ce fut le cas pour Mr ZEROUAL

      Anonyme
      27 novembre 2018 - 11 h 38 min

      A condition qu il fasse enfin une declaration dans ce sens ou mieux encore qu il annonce des elections anticipees avant que l article 88 de notre constitution ne lui tombe sur la tete car il en est de plus en plus question.Le president Bouteflika n est plus en mesure depuis le debut de sa maladie de diriger un Etat du gabarit de l Algerie dans une conjoncture actuelle des plus dangeureuse et tellement compliquee.Soyons clair et honnete et fidele a notre Patrie et ses interets .Al JAZAIER au dessus de nous tous.

    le niveau
    26 novembre 2018 - 19 h 38 min

    des annee et des annee la jeunesse .antoum goudwat el watan
    une jeunesse perdu dans le mideteranee vous avez detruit les piliers de l’algerie.
    ezhaw ezhaw…

    Anonyme
    26 novembre 2018 - 19 h 15 min

    L’idée de mettre en application l’article 88 de la constitution qui stipule la destitution du président de la République pour cause de maladie grave et durable a été mise sur la table par certains partis politiques comme le RCD. Plus prudents, certains se sont gardés d’évoquer cette question, tandis que d’autres ont parié sur le renoncement d’Abdelaziz Bouteflika à briguer un cinquieme mandat et exclu la possibilité qu’il puisse avoir son mot à dire quant au choix de son successeur. Jamais la maladie d’un président n’a soulevé autant de polémique. En 2005, lors de sa première hospitalisation, les médias et l’opposition s’étaient bien gardés de soulever la nécessité ou non de mettre en application l’article 88. Le monde vit une conjoncture extremement complexe et compliquee et les dangers sont a nos frontieres,aujourd hui Israel est au Tchad avec l accord du president Tchadien,et des forces speciales Allemandes,Americaines et francaises stationnent au Niger et au Mali.L Annee 2019 est l annee de tous les dangers et notre peuple en est pleinement conscient qu une election presidentielle transparente rassemblant en competition legale les meilleurs de nos hommes politiques et le dernier choix reviendra de plein droit au peuple Algerien.La temperature monte chaque jour d un cran dans cette incertitude alimentee par le pouvoir Algerien qui est candamne a se plier au choix du peuple afin d eviter une lame de fond.La colère du peuple sera irréversible et toute patience a des limites.1.5 millions de Chouhadas se sont sacrifies pour nous,pour nos enfants afin que nous puissions vivre libres,independants dans ce merveilleux pays que Dieu nous a octroyes,nous sommes prets a tous les sacrifices pour defendre notre Patrie et l arracher des mains des opportunistes et des profiteurs egoistes sans foi ni loi….Qassaman.
    Tahya Al JAZAIER horra abada eddahr

      Anonyme
      26 novembre 2018 - 20 h 04 min

      Article 88.
      Lorsque le président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel, se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement.

      Le Parlement siégeant en chambres réunies déclare l’état d’empêchement du président de la République, à la majorité des deux tiers de ses membres et charge de l’intérim du chef de l’État, pour une période maximale de quarante-cinq jours, le président du Conseil de la nation, qui exerce ses prérogatives dans le respect des dispositions de l’article 90 de la Constitution.

      En cas de continuation de l’empêchement à l’expiration du délai de quarante cinq jours, il est procédé à une déclaration de vacance par démission de plein droit, selon la procédure visée aux alinéas ci-dessus et selon les dispositions des alinéas suivants du présent article.

      En cas de démission ou de décès du président de la République, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit et constate la vacance définitive de la présidence de la République.

      Il communique immédiatement l’acte de déclaration de vacance définitive au Parlement qui se réunit de plein droit.

      Le président du Conseil de la nation assume la charge de chef de l’État pour une durée maximale de soixante jours, au cours de laquelle des élections présidentielles sont organisées.

      Le chef de l’État, ainsi désigné, ne peut être candidat à la Présidence de la République.
      c est clair et net.

    Metek
    26 novembre 2018 - 19 h 14 min

    Le futur « brizidane » li yekhredj men sendouk el 3adjayeb en avril est Mr Bouchareb meme contre Bouteflika, Obama, Merkel, Mandela et Gandhi réunis comme concurent …les jeux sont faits, on lui a pas organisé 2 putchs successifs en 2 mois pour le propulser comme une comete a la tete de l’apn et du FLN pour rien
    On fume du thé et on este eveillé, le cauchemar continue

    L'utopiste
    26 novembre 2018 - 18 h 57 min

    On dit toujours que l’ANP est la digne héritière de l’ALN est cela fait consensus au sein du peuple algérien. Mais alors pourquoi cette unique institution à laquelle tout le peuple algérien fait confiance n’intervient pas pour mettre un holà à ce cirque et rétablir le peuple dans son droit. Il lui suffit d’imposer des élections loyales et de fixer les lignes rouges à toute partie qui prendra les règnes du pays. En cas de moindre écart le peuple sera encore derrière elle pour remettre à sa place tout contrevenant.

    momo
    26 novembre 2018 - 18 h 37 min

    Mouad Bouchareb candidat du système ……pour la présidentielle

    La Viriti
    26 novembre 2018 - 18 h 00 min

    Le 5e mandat sera le 3e de trop.
    Nous ne sommes pas un régime makhzenique malgré le rêve que caresse tous ces algériens de papiers de souche marocaine qui ont infestés et pillé l’Algérie depuis 1999…

    MELLO
    26 novembre 2018 - 17 h 35 min

    En Mai 2012 , à Setif – oui Setif – Bouteflika fit son dernier discours :  » Je m’adresse aux jeunes qui doivent prendre le témoin, car ma génération à fait son temps  » phrase qu’il répéta trois fois. Face à lui une salle archicomble , et ce jour là, il y avait au premier rang une personne qui le suivait attentivement. C’était le député de Setif Mouad Bouchage. L’ironie du sort , cinq année après, soit un mandat parlementaire, lui il en a fait deux et demi , pour devenir le nouveau président de l’APN. Tour de force ? On peut le qualifier , mais la cerise sur le gâteau , il est mis à la tête du Directoire du FLN. Hasard de calendrier ? Ure ment pas , puisqu’on connaît le travail de coulisse de ces laboratoires du système pour nous faire sortir un nouveau candidat potentiel .

      MELLO
      26 novembre 2018 - 19 h 32 min

      Erratum Mouad Bouchareb.

    fatigué
    26 novembre 2018 - 16 h 30 min

    5eme mandat non
    istimraria oui
    c’est pourtant clair
    ould abbes n’avait pas percuté et il a été éjecté

    Arrêtons la comédie
    26 novembre 2018 - 16 h 20 min

    Le 5e mandat est-il toujours une option sérieuse pour le régime ou s’agit-il d’un leurre ? L’auteur qui écrit cette phrase est-il un naïf ou un inconscient ou un manipulateur? Comment peut on être sérieux? On est en plein théâtre de Guignol qui joue devant un public Algérien que l’on pense inculte, immature et mineur. Arrêtons la comédie, on pouvait en rire au début tellement la ficelle était grosse et risible mais là, on a atteint le summum de l’irresponsabilité et de l’inconscience . Les risques multi dimensionnels qui nous guettent dans le cadre de cette option sont abyssales et peuvent être irréversibles si il n’y a pas un sursaut National.

    anonyme
    26 novembre 2018 - 16 h 18 min

    boutef est mort vive boutef on’est devenue la risée du monde voila ce qu’il faut dire et vous vous demander pourquoi le peuple va se révolter
    tout les pays du monde commence a humilié l’algerie parce que on’a pas un président capable de défendre ces interets et le pire de tout ça on ose donner des leçons aux autres

    Derih
    26 novembre 2018 - 14 h 29 min

    Je vous assure qu’ il n y aura pas d élection il y aura la prolongation de boutef jusqu a sa mort. Le système restera plus long q prévu.

    Rabah
    26 novembre 2018 - 14 h 21 min

    Elli yahseb wahdou ichitlou !

    Lghoul
    26 novembre 2018 - 14 h 20 min

    Et le peuple dans tout cela ? Il est utilisé pour juste faire la chaine, soit pour « voter » ou prendre le cadeau de la providence sous forme du couffin du ramadan.
    Si au moins chaque mois est un ramadan, tous les couffins d’Algérie seront remplis chauqe jour et personne ne se souciera du lendemain car un tube digstif n’a pas le temps de se soucier de quoi que soit en dehors de se charger et se décharger comme une batterie de 1.5 Volt.

    LOUCIF
    26 novembre 2018 - 14 h 04 min

    Naalou chitane ya el khaoua ! Boutef c’est fini. Le pouvoir ne peut plus continuer avec lui et donc la réponse est pour moi claire (officielle) : c’est la mise en route du plan de succession.

    Si d’aventure le pouvoir n’a pas encore trouver l’homme consensuel dans son réservoir, il peut possible qu’il fasse une chose comme par exemple trouver une astuce pour reculer la date de l’élection présidentielle ! L’actuel président de l’APN Mouad Bouchareb a même évoqué lui-même il y a quelques jours la question de la dissolution de l’APN. C’est du temps de gagner pour le pouvoir. Bouchareb a déclaré, alors que personne ne lui a rien demandé : le président Bouteflika peut dissoudre l’APN !! Tout le monde le sait mais il l’a dit !

      fatigué
      26 novembre 2018 - 16 h 33 min

      depuis le début de l’affaire Bouhadja on savait que l’APN serait dissoute avant la fin de 2018 ou au plus tard janvier 2019.

    Trappeur
    26 novembre 2018 - 13 h 45 min

    Mr Ould Abbes ainsi le Drebki Amar ont été nommés à la tête du FLN juste pour salir les vrais Moudjahid et la révolution Algérienne,ni Mr Ould Abbes,ni Drebki Amar n’ont ni le titre,ni le parcours,ni l’expérience,ni la carrure., d’assurer la fonction de SG d’un symbole riche histoire et de courage, seule nation où monde qui à sacrifiés un quart de sa population, pour avoir sa liberté,aussi tôt confisquée par des traîtres venant de ses rangs,la majorité de dirigeant ce pays ont une résidence où pays chassé par nos héros combattants

    Anonyme
    26 novembre 2018 - 13 h 36 min

    On ne sait pas qui va gagner la loterie du recyclage

    anoyme
    26 novembre 2018 - 12 h 47 min

    C’est le systeme même qu’il faut déraciner

      Adam
      26 novembre 2018 - 15 h 40 min

      Et qu’est ce que le système, pour vous ?  »Anonyme » ou un autre pseudo, en informatique c’est la même chose. A bon entendeur.

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