L’ambassadeur de Russie : «On attend l’aval pour vendre notre blé à l’Algérie»

Russie
L'ambassadeur de Russie, Igor Beliaev, lors de son point de presse. AP

Par Houneïda Acil – L’ambassadeur de la Fédération de Russie à Alger, Igor Beliaev, a confirmé l’information relative à l’approvisionnement de l’Algérie en blé auprès de son pays à partir de l’année prochaine. Un marché détenu par la France qui, jusque-là, était le premier fournisseur de blé tendre à l’Algérie, un marché de près d’un milliard de dollars.

«Il a été annoncé qu’en 2019, l’Algérie recevra un lot pilote de blé russe pour estimer son niveau de qualité et déterminer s’il correspond aux besoins des Algériens. Si la partie algérienne donne un avis favorable, la Russie livrera son blé à l’Algérie à un prix compétitif», a annoncé Igor Beliaev lors d’un point de presse organisé ce jeudi au siège de l’ambassade.

L’ambassadeur de Russie a exprimé sa satisfaction quant à l’évolution des relations entre l’Algérie et la Russie pendant cette année 2018. Il en veut pour preuve les «contacts fréquents à des niveaux et des domaines différents» entre les responsables des deux pays. Dressant le bilan du développement des relations algéro-russes et déterminant les perspectives, l’ambassadeur de Russie a fait savoir que «l’un des domaines prioritaires de notre coopération est le commerce», précisant que durant l’année 2017, le volume des échanges commerciaux entre l’Algérie et la Russie avait atteint 4,6 milliards de dollars. «Ce qui est pour nous un record», a souligné Igor Beliaev. «S’agissant des chiffres de cette année 2018, nous les aurons dès le début de l’année 2019, mais nous pouvons d’ores et déjà dire que de janvier à octobre 2018, le volume des échanges a été établi à 3,3 milliards de dollars», a-t-il précisé.

A notre question de savoir si l’année 2019 connaîtrait une diversité des échanges entre la Russie et l’Algérie, notamment dans le domaine de l’agriculture, l’ambassadeur a avoué que la coopération dans les autres domaines est loin en termes de chiffres de la coopération militaire. Selon lui, il y a des facteurs objectifs et subjectifs, dont le principal est la «similitude des structures de nos deux économies». «Nos économies ne peuvent pas se compléter d’où ce niveau de coopération faible», a-t-il expliqué, en notant que l’autre facteur réside dans le fait que l’Algérie est orientée vers des pays proches géographiquement et avec lesquels elle a une histoire – allusion à la France. Pour lui, la Russie et l’Algérie sont de grands marchés. «Ils trouveront de l’espace si les deux sont intéressés». «On peut se mettre d’accord sur l’importation et l’exportation de certains produits agricoles. Aujourd’hui, tous les pays font face à un déficit budgétaire et la diminution des dépenses. Et, dans ce contextes précis, notre blé et très compétitif vu le prix que nous proposons qui est plus bas que le prix du blé que l’Algérie achète ailleurs», a insisté l’ambassadeur de Russie à Alger.

H. A.

Comment (24)

    Anonyme
    29 décembre 2018 - 18 h 25 min

    Où est la politique de l’indépendance alimentaire de l’Algérie, jadis grenier de Rome ???,…
    L’Algérie doit absolument réformer, et restructurer son Economie, et son Agriculture sacrifiée par le béton
    Structurellement déficitaire, et importatrice de tout, l’Agriculture,les Elevages divers, l’Hydraulique, et les PME doivent etre la priorité des priorités de l’état, du gouvernement, et du patronat du FCE
    Ce dernier (Patronat) est, malheureusement, constitué d’oligarches importateurs, et actifs
    Dans les services, et les infrastructures, secteurs non productifs, et non rentables
    Pour une économie algérienne rentière (pétrole) en grave crise de création, et de diversification
    De ses richesses,
    Pour exporter autres que le pétrole dont les réserves stratégiques diminuent dangereusement
    D’une année, à une autre
    La Russie ne cherche que ses interets stratégiques, et les marchés prometteurs,pour renflouer ses caisses
    En Euro, en Dollar, en Yuen chinois, où en Yen japonais, avec un stock de guerre constitué d’or
    Le 5ème au monde (1998,50 tonnes d’or), l’Algérie n’est qu’à la 22ème place avec 173,60 tonnes d’or
    Les secteurs d’exportations russes sont (Armements (missiles,aviations), centrales nucléaires,
    Et thermiques, Transformations des métaux (or, platine, cuivre, uranium,surtout en Afrique…)
    Gaz (Gazprom avec quasi monopole en Europe), Pétrole (Rosneft, et autres,…), et Sidérurgie

    Anonyme
    29 décembre 2018 - 0 h 11 min

    @iwen
    Ne crache pas trop sur tes fameux occidentaux que tu considères comme minables car ce sont eux qui achètent notre pétrole et ce sont eux qui nous fournissent ce que nous ne produisons pas ou pas assez.
    Maintenant vu l’état actuel de notre économie et le dernier bilan du Commerce extérieur, le niveau de l’inflation qui s’établit à 4,5%, la planche à billets qui a crée 1200 milliards supplémentaires en novembre, les exportations d’hydrocarbures en baisse, les réserves de change qui ont baissé de 15,21 milliards de dollars pour s’établir à 82,12 dollars…vu un tel bilan économique cela devrait amener n’importe quel citoyen conscient et responsable a plus de clairvoyance et à moins de fanfaronnades.
    Maintenant croire que ce sont les Russes et les Chinois qui vont reconstruire la Syrie, l’Irak,… tu risques d’être déçu. D’abord Daech existe encore dans la région et exerce toujours son capital de nuisance; pour reconstruire, il faut des capitaux que les banques russes n’en n’ont pas. Quant aux Chinois, avec le ralentissement économique qu’il subissent actuellement, ils risquent de ne pas s’engager à long terme.
    S’il n’y avait que 200 mille algériens en France ce serait une bonne nouvelle mais non, il y a beaucoup plus d’expatriés. Malheureusement pour nous car ce sont des gens diplômés et motivés pour la plupart. Il y a plus de 30 000 étudiants, 15 à 16 000 expulsables, plus de 13 000 personnels médicaux de nationalité algérienne, en tout la dernière évaluation se situe à 2,5 millions dont plus de 800 000 inscrits sur les listes électorales des consulats.
    Enfin, il faut dire que quand on achète notre pain, peu importe qu’il provienne de Russie ou d’ailleurs, l’important c’est que nous en mangions. Car si par malheur, pour toutes les raisons possibles il arrivait que nous en manquions, les gens qui jouent les importants et les délicats s’apercevront bien vite qu’ils ne sont pas grand chose face à la faim. Il suffit d’une sécheresse sévère dans l’hémisphère nord pour que la production mondiale de céréale s’écroule. Et nous en serions les premières victimes.

    Anonyme
    28 décembre 2018 - 12 h 07 min

    L’Algérie, malheureusement, va devenir petit à petit dépendante économiquement de la Russie,
    Après l’avoir été militairement
    Des importations politiques de Russie, pour défier la France, et l’Europe, ?!,…, c’est insensé
    L’Algérie paye avec Euro, et Dollar, le défi , et l’offensive russes du 8ème Dan du Kremlin sur l’Europe
    La Russie joue au Echecs avec l’Europe avec des pions algériens, égyptiens, syriens, iraniens, et memes
    Turques
    L’Algérie doit s’occuper à résoudre ses problèmes internes avec démocratie, modération, pragmatisme
    Et sagesse, dans un esprit d’indépendance, d’autonomie, et des interets de l’Algérie avant tout
    Et avant les interets de la France, de la Russie , et d’autres empires qui cherchent de nouveaux espaces
    D’expansions, et de dominations

      MELLO
      28 décembre 2018 - 13 h 46 min

      Comment dire des choses aussi insensées, car la Russie reste ce grand pays qui n’a pas besoin de « dominer » qui que ce soit , mais dommage que la colonisation occidentale ait pu touché les consciences. Justement de cette esprit colonisé, présent dans le cerveau de nos gouvernants , que viendra l’idée de se tourner vers la France pour racheter du blé pourri. DOMMAGE

        Kamel
        1 janvier 2019 - 13 h 48 min

        La Russie est soumise à des sanctions économiques par les pays de l’Union européenne et nous utilise comme passerelle, comme la Turquie aussi.

    Khoubzi
    28 décembre 2018 - 10 h 42 min

    S’il nous impossible de savoir où va le blé des hydrocarbures, on est en droit de se poser la question: Où va le blé importé? Et que fait-on de toutes ces quantités dignes des réserves de tous les Ramsès réunis? L’Algérie rafle tout ce qui est épi ou qui y ressemble. Jadis grenier à blé de l’Europe, l’Algérie devient silo sans fond d’un pays qui réfléchit par la panse. Autosuffisance alimentaire, dit-on, depuis toujours…Un champ de blé hypothétique affronte mille parcelles bétonnées: le bon grain est dévasté par l’ivraie. Ministère de l’agriculture, lit-on sur le fronton d’un imposant immeuble du boulevard Amirouche. Ministère du blé, d’ailleurs, serait la définition exacte de cet organisme totalement suranné. Je «panse» donc je suis…La vue sur champ vire au cauchemar et le blé…tendre en drogue dure !!!

    Anonyme
    28 décembre 2018 - 8 h 50 min

    Il serait temps d’exporter quelque chose vers la Russie ,histoire d’équilibrer quelque peu la balance des échanges économiques.

      Anonyme
      28 décembre 2018 - 22 h 37 min

      Exportons notre pétrole et notre gaz en Russie comme ça fafa sera bien embêtée: plus de pétrole plus de gaz pour les gaulois. Fafa sera foutue et ne se mêlera plus de nos affaires.

    Chaoui Ou Zien
    28 décembre 2018 - 3 h 16 min

    J’ai deja offert un debut de solution a ce probleme dans un autre commentaire. Organizons les producteurs de ble algerien en cooperatives et achetons leur leur production en partie en devise. Commencons avec 10% ou meme cinq et augmentons progressivement la part jusqu’a que ce probleme ne se pose plus. Ce pourcentage en devise ne nous coutera pas autant que ce qu’ on depense couremment sur le ble qu’on importe. Je parie qu’on finira meme par l’exporter en devises d’ici quelques annees. Bien que les importateurs de ble ne laisseront jamais leur part du gateau leur echapper aussi facilement, ce government, ou celui qu’il lui succedera devrait y penser. Pourquoi le ble et pas la tomate ou la pomme de terre? Tout simplement parceque le ble est une denree essentielle et strategique pour tout pays qui se respecte. Ceci n’est qu’une opinion de quelqu’un qui s’inquiete pour son pays.

      Chaoui Ou Zien
      28 décembre 2018 - 20 h 10 min

      Cette solution aura aussi d’autres retombees benefiques pour notre pays: elle protegera les terres arables qui nous restent contre la montee du ciment. On reflechira a deux fois avant de mettre une villa ou une fabrique sur une terre qui peut produire du ble.

      BELAID Djamel
      1 janvier 2019 - 21 h 41 min

      Votre idée de coopératives céréalières paysannes est intéressante. Nos céréaliers doivent être encouragés fiscalement (exonération des impôts sur les bénéfices) à se grouper en coopératives de service avec 1) achat de parts sociales 2) recrutement d’un directeur (révocable à tout instant) 3) possibilités de moudre leur grain pour produire de la semoule et de la farine 4) recrutement de techniciens tournant sur les parcelles pour délivrer des conseils.

      Les CCLS ne peuvent remplacer de vraies coopératives paysannes libre.

    Anonyme
    28 décembre 2018 - 0 h 01 min

    L’ amitié du clan Bouteflika en particulier le conseillé du président avec le monde occidental, la France, USA, Israël, l’europe en général et le monde arabe n’est pas au bon fixe surtout avec cette histoire du 5eime mandat.
    Il essais donc de se tourner vers d’autres horizons. Quoi de mieux que les Russes. l’Algérie est le premier acheteur d’arme russe et nous faisons d’autres affaires avec Poutine dans le seul but de nous protéger en cas d’intervention étrangère … (Main étrangers). Le clan à peur d’une Algérie similaire à la Syrie. Perdre le pouvoir.

    Lamia
    27 décembre 2018 - 22 h 12 min

    Ce qu’il faut ,travailler la terre et exporter vos blé a l’étranger ils profite de nous les étranger,il faut faire comme l’Iran (.autosuffisant ).
    Si les Algériens ne travaillent pas la terre ,alors main d’oeuvre étrangère.

      BELAID Djamel
      1 janvier 2019 - 21 h 55 min

      Pour que le fellah sème plus de blé au lieu d’élever des moutons sur ses terres, il faut que le blé rapporte plus. Pour le moment certains fellahs procédent à une sorte de « grève des labours ». Comme l’Etat a moins de moyens financiers pour augmenter les subventions, la solution passe par la réduction des coûts de production des céréales. Techniquement, il s’agit de remplacer le labour par la technique dite du « semis direct ». Mais il nous faudrait plusieurs centaines de semoirs adaptés à ce mode de semis.
      Il existe bien une entreprise publique qui peut en fabriquer. C’est CMA-SOLA de Sidi Bel-Abbès. Cette société a fabriqué un seul exemplaire et attends qu’il y ait de la demande. C’est une façon ahurissante de procéder. On pourrait dire que c’est un véritable crime économique. La solution passe donc par l’initiative privée. A El Oued, des artisans soudeurs ont su fabriquer de petits pivots rotatifs plus adaptés à leurs besoins. Espérons qu’à Sétif ou Tiaret, un artisan soudeur en collaboration avec un fellah se lancent dans la création de ce type de semoirs. Les plans de fabrication ont été donné à l’Algérie par des experts australiens (dont Mr Jacky Desbiolles, expert internationalement connu pour son savoir faire). Ces plans sont consultables sur internet. Mais nous attendons…
      A notre humble avis, le dossier devrait être repris par la SNVI et l’institution militaire tant le sujet est stratégique. Nous espérons être lu par quelques décideurs qui ont l’amour du pays chevillé au corps.
      Djamel BELAID Ingénieur agronome.

        Belaid Djamel
        3 janvier 2019 - 21 h 20 min

        Une précision. Je viens d’apprendre que la société CMA-SOLA à Sidi Bel-Abbès a fabriqué 15 semoirs pour le semis direct. On ne peut que les féliciter de même que sont à encourager les cadres du secteur agricole qui développent des efforts afin de mieux faire connaître cette technique révolutionnaire.

    karimdz
    27 décembre 2018 - 20 h 49 min

    Il vaut mieux effectivement acheter le blé russe plutot que francais ou américain, mais il serait encore mieux, de le produire chez nous.

    Notre agriculture a fait un grand bon, l etat doit poursuivre ses efforts pour qu’à court ou moyen terme, nous n ayons plus à exporter notre alimentation.

    Bibi
    27 décembre 2018 - 20 h 48 min

    A mon avis ce changement soudain c’est une question de Tchipa, les Russes (oligarques) lâchent vite des commissions en euros pour prendre la part de marché. Dans 1 à 03 ans, le fils ou la fille de quelqu’un aura son petit appartement gratuit (un pied à terre) à Paris ou à Cannes, merci qui,,,,,,,,,,,,, merci au blé. La combine est bien ficelée, je comprends mieux pourquoi, la politique de Houari Boumédiène n’intéressait guère nos députés et sénateurs.

    MELLO
    27 décembre 2018 - 20 h 28 min

    Iwen – 18h44 , entièrement d’accord avec vous , la Russie s’est reconstruite avec ces sanctions de l’embargo de Août 2014 des produits agricoles Européens et occidentaux. La Russie a amélioré ses productions agricoles pour réaliser des exportations de l’ordre de 17 milliards d’Euros en 2017. Selon les responsables de l’agricultures Russes , le pays a enregistré une réduction drastique des importations en sucre, en viande et produits laitiers .
    Le marché du blé reste prépondérant pour notre pays qui peine à relancer son agriculture, Autrefois grenier de l’Europe , notre pays est devenu l ‘ un de plus grands importateurs de blé. Mais , après l’importation d’une grande quantité de blé français dont le taux d’ergot dépasse largement la norme, notre pays veut substituer ce marché par le blé Russe. Nos amis les Russes seront les bienvenus chez nous , non seulement en blé mais dans d’autres secteurs.

      Iwen
      27 décembre 2018 - 22 h 13 min

      Les RUSSES ont toujours offert une stabilité dans leurs engagements avec leurs partenaire, et je ne parle même pas de ce qui c’était passés dernièrement au moyen orient ! Ou le TON et le SOUTIEN aussi bien diplomatique que militaire (parapluie = protection!) ont étés d’une constante sans égale !
      Une poignée de main RUSSE vaut tout les discours du monde !

    Ch'ha
    27 décembre 2018 - 19 h 32 min

    Le blé russe est d’excellente qualité et à des prix inférieurs. Les exportations de blé russe de 2018 ont battu les records mondiaux de ces 30 ans.
    Quelle attache et histoire avec des pays comme la France : une relation dominé-dominant.
    La question ne se pose même pas donnant-donnant gagnant-gagnant avec la Russie.

    zad
    27 décembre 2018 - 19 h 01 min

    il faut plus aider la France que la Russie…mon opinion est que la France acceuille des MILLIONS d’Algériens donc s’il faut préviligier un pays c’est bien la France

      Iwen
      27 décembre 2018 - 22 h 22 min

      zad
      27 décembre 2018 – 19 h 01 min

      Tu dis des millions d’Algériens, tu dois rêver, sûrement ! Cependant, ce n’est pas grave, allons jusqu’au bout de ce « raisonnement » Pourquoi, dans ce cas, les millions d’Algériens ne peuvent pas envoyer de l’argent à destination de l’Algérie, via la Banque Française (Société général Française) à destination de la banque Algérienne, et ne me sorts pas ton baratin que les banques Algériennes ne sont pas ceci et ne sont pas cela!
      Elles sont, à mes yeux et de beaucoup de gens, tout ce qui a de compétent.

      Et je te fais dire qu’il n y a pas de millions d’Algériens en France, ou alors tu dois compter avec eux les Harkis et autres pieds noirs!
      Car en réalité, y a pas plus de 250 000 à 300 000 Algériens !

    L'histoire parlons en.......
    27 décembre 2018 - 19 h 00 min

    Je cite :
    l’Algérie est orientée vers des pays proches géographiquement et avec lesquels elle a une histoire – allusion à la France.
    L’histoire que l’Algérie a eut et qu’elle a maintenant avec la France.
    C’est 1 million et demi de morts de nos valeureux chouhadas.
    La répression des indigènes que nous étions à leurs yeux.
    Et quand il sont partis d’Algérie ils ont laissés l’équivalent de 24 heures de biens alimentaire pour le peuple algérien.
    Le pillage à outrance de l’Algérie, pendant et après leurs départ.
    Et depuis , ils tentés de renversés l’Algérie par la décennie noir et d’autres subversion qui ont tous échoués les uns après les autres.
    Et ça continue toujours avec la complicités du Maroc de l’Espagne et de pays voisins à leurs soldes installer par leurs soins à la tête de ces pays africains.
    L’histoire que nous avons avec eux est maculés de sang , fait de traitrises , de complot , et de mépris.
    Nous voulons avoir à faire à 100% avec la Russie de Poutine .
    Nôtre fidèle ami et alliés.
    Un point c’est tout.

    Iwen
    27 décembre 2018 - 18 h 44 min

    Il y a quelques années de cela, les Européens, avec à leur tête Sarkozy avaient instaurés un embargo de 2 ans à destination de la Russies! Quel choc, lorsque POUTINE avait rajouté 3 ans de plus à l’embargo et fait dire aux Européens d’allez se faire f****re et que dorénavant La Russies de maintenant, ne ressemble plus à la Russies d’il y a 20 ans, c’est fini cette belle époque ou les Européens pouvaient narguer la Russies et la Chine. . .Etc, c’est fini, maintenant, ce sont eux qui donnent le « ton »!

    Il existe un tas de marcher pour les Russes, aussi bien pour vendre que pour acheter !
    Le moyen orient que les occidentaux ont détruit, devinez qui va les construire, ils sont des géants, aujourd’hui et ce sont les Russes et la Chine et qui va venir tenir tête a ces puissances !?

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