L’intervention de Mouloud Hamrouche : mise en garde ou offre de service ?

présidentielle Hamrouche
Mouloud Hamrouche avec le frère du Président. PPAgency

Par R. Mahmoudi Le seul message à décrypter dans la dernière intervention de Mouloud Hamrouche, dans laquelle il analyse les soubassements historiques de la gouvernance algérienne sans évoquer directement l’élection présidentielle d’avril prochain, qui est pourtant l’objet réel du débat, est celui où il récuse clairement l’implication de l’institution militaire dans le jeu politique.

Selon lui, «une armée nationale trop impliquée dans des conflits avec des civils ou des groupes armés perd de son agilité et de sa capacité opérationnelle. La nature de ces conflits et de ces confrontations ne procure pas de batailles décisives, ni de victoire définitive». Cette observation vient apporter de l’eau au moulin de ceux qui, au nom de la préservation de la neutralité de l’armée dans la vie politique, se sont permis de s’attaquer impunément à d’anciens dirigeants de cette même institution et qui, paradoxalement, enfoncent davantage l’armée dans le jeu politique.

Hamrouche cherche-t-il, comme à la veille de l’élection de 2014, à s’assurer de la neutralité – ou de l’appui tacite – préalable de l’institution militaire pour briguer les élections ? Le choix du timing de cette intervention laisse, en effet, penser que l’option qui sera adoptée au final par les décideurs n’a pas encore été tranchée. C’est l’impression qu’avait donnée sa fameuse conférence de presse à l’hôtel Es-Safir en 2014, avant que l’actuel chef d’Etat annonce sa candidature.

Aussi, l’appel de Hamrouche à tirer les leçons de «nos failles, nos erreurs, douleurs et malheurs d’hier», pour le parachèvement de la mise en place de l’Etat national, ressemble bien à une ébauche de programme politique. Il reprend ainsi les fondamentaux de sa pensée politique qu’il a déjà eu à exposer par le passé.

Pour Mouloud Hamrouche, l’édification d’un Etat national souverain doit passer par «l’instauration d’une gouvernance fondée sur un exercice institutionnalisé des pouvoirs séparés, la garantie de l’existence des contre-pouvoirs, des contrôles et des voies de recours».

R. M.

Comment (54)

    Kahina-DZ
    15 janvier 2019 - 14 h 53 min

    Les gens ont la mémoire courte.
    Si on avait écouté Ait Ahmed et Hamrouche, une partie de l’Algérie serait devenue une wilaya des Mollahs (Iran)…et l’autre partie serait devenue une willaya des Al-Saoud ( Arabie Saoudite). Le Qatar aurait eu sa part aussi…
    Heureusement que des patriotes ont réagi vite, pour éviter l’apocalypse historique et géographique.

    Allah yerahou, mais je n’ai jamais compris les positions bizarroïdes de Ait-Ahmed.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 23 h 52 min

    C est cet homme qui avait demandé jadis à l armée de sortir de ses casernes ; il a donc la mémoire courte . l ANP l armée se doit de jeter un œil meme discret mais se doit car son rôle est aussi de demandé au politique au pouvoir civil de respecter la constitution et ses institutions donc la nation . Depuis l AVC en 2011 du président , ses mêmes aux pouvoirs civils ont fait de l Algerie leur propriété et pour commencer son premier cercle au président Bouteflika et d autres sont surement à la solde de pays puissants que nous connaissons bien et qui n ont pas l Algerie dans leur cœur ; Oui l ANP a le rôle de protéger l Algerie air terre mer et ses biens et populations comme dans d autres pays européens qui eux a notre différence connaissent la démocratie et l état de droit surtout depuis très longtemps ce qui n est pas du tout notre cas en Algérie et vous en conviendrai soyez honnête , nous nous commençons et c est pour cela que l ANP a vous en déplaire certains au pouvoirs civil politique oligarques et autres qui aimeraient l écartée ou la bâillonnée ; ceux ci se trompe et vous savez pourquoi , si notre pays est attaqué demain par des forces extérieures ennemies avec le soutien de pays puissants occidentaux ; les premiers a partir ou se sauver plutôt avec l argent amassé vivrent chez nos ennemis et ceux seront les mêmes qui demande aujour dhui a notre armée de se taire et de rester cloitrée ce pouvoir politique civile en Algérie ; ceux qui ont des biens dans ses pays justement , mais notre armée elle ira au front et défendra l Algerie jus qu au derniers de ses soldats pour l amour de son pays l Algerie et sa souveraineté , pas les autres au pouvoir civil . l armée les a laisser faire depuis bien longtemps Bouteflika avait tout les pouvoirs mais depuis son AVC les choses ont bien changé en Algerie et le peuple et l armée ont constaté que des vautours au pouvoirs civil avait dépassé largement les militaires d autant et s affiche sans vergognes et font de l Algerie un cirque ; l état mental et physique du président n est plus acceptable pour aucuns individus dans ce monde pas seulement en Algerie Allah y jib chifa au président et mérite un bon repos mais c est l armée qui l a gardé depuis 2011 ou les vautours au pouvoirs qui n arrêtent pas parlé en son nom ; il y a un temps pour tout et Algerie avec son peuple seront faire un choix honorable et intelligent et que l armée y veille est une bonne chose me concernant en attendant d être une vraie démocratie et un vrai etat de droit pour s écarté totalement de ses ingérences dans le civil et nous irons dans ce sens si dieu le veut .

      MELLO
      15 janvier 2019 - 14 h 22 min

      Si on avait écouté Mouloud Hamrouche , avec son ami feu Hocine Ait Ahmed, on serait jamais dans cette situation . La sagesse des deux hommes nous aurait épargné de tant de pertes.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 23 h 17 min

    ils se sont tous maintenant transfomer en expert mais ios ouboient qu’ils ont tous contribues a la situation catatrophique que vie acctuellement le pays et que l’ultime solution est le retour a la legitimite populaire le politique sur le militaire la revision profonde de la constirution la separation des pouvoirs etc…

    citoyen sans patrie
    14 janvier 2019 - 22 h 07 min

    @Hamrouche
    TAISEZ VOUS MONSIEUR HAMROUCHE , vous resterez a jamais l’homme qui a enfoncé son pays dans les tenebres , vous et vos acolytes aujourd’hui refugiés en france …oui le peuple ne vous oubliera jamais et si dans cette vie vous ne serez pas jugé , dans l’autre certainement vous le serez .
    Vous et vos reformes , vous et votre pseudo marché libre ou Marché de Dupes , nous y voila et on ne trouve toujours pas comment s’en sortir …alors pour l’Histoire et par respect a ce peuple :TAISEZ VOUS MONSIEUR HAMROUCHE

    Tredouane
    14 janvier 2019 - 22 h 07 min

    Doucement ,doucement,mais surement,mais effectivement y’a des terres à l »ouest qui sont vraiment Algérienne. mais restons fidèle à nos principes de paix toute en ayant la force de frappe dissuasif.

    Chibl
    14 janvier 2019 - 22 h 02 min

    Un porteur de parapluie peux devenir président en Algérie, normal, un type qui a fait la guerre au Mali peut devenir président, vous pouvez etre président même si vous avez fait la guerre dans des chiottes.

    Le Parapluie Amnésique
    14 janvier 2019 - 21 h 21 min

    C’est grâce à ce parapluie que les scéniques Aribi et Salhi s’arrogent le droit de nous toiser et de nous insulter du haut de leur siège à l’APN, avec leur acerbe débilité,sans vouloir mentionner tous ces chefs de partis religieux qui ont enfoncé le pays dans leur idéologie morbide. Après avoir résolument tiré le trait sur une décennie sanglante, le vieux parapluie a le culot de venir nous parler de renouveau, à seulement 3 mois de l’échéance électorale. De quoi donner l’envie à un pauvre crabe tranquillement installé sous son rocher de vouloir s’étrangler avec ses propres pinces.
    Pôvre Algérie.

    belmehdi
    14 janvier 2019 - 21 h 11 min

    Êtes vous un Algérien ou un Trumpiste ?

    Karamazov
    14 janvier 2019 - 20 h 19 min

    Un de mes professeurs nous disait : si quelqu’un vous promet de faire ceci cela face à une situation donnée, regardez dans son passé comment il a agit quand une même situation s’est présentée à lui, et vous pouvez parier tout ce que vous avez qu’il refera exactement la même chose plutôt que ce qu’il vous promet.

    Alors moua du fond de mon scepticisme je suis prêt à mettre ma main au feu que si Hamrouche revenait au pouvoir, il va re-légaliser le parti des zombies et il leur organisera des élections qui les porteront au pouvoir, et on repartira cette fois-ci pour un siècle des ténèbres.

    Tredouane
    14 janvier 2019 - 20 h 15 min

    La séparation des pouvoirs et les contre pouvoirs ,des institutions fortes ,une trouvaille bien maigre car tout citoyen lucide et droit dit cela,comment les instaurés est une autre question;par contre j’ai une remarque que je pense très importante et une question en même temps ,pour quoi dit il « avec le réserve l’a t il dit » un État National et non pas un État Nationaliste?personnellement je suis pour un État Nationaliste.
    Autre point très important,j’estime aussi que l’opinion du militaire politisé sur les questions politiques National et/ou géopolitique doit être au cœur de la politique de défense globale mais certainement avec de la retenue et de la réserve car le militaire reste aussi citoyen d’un point de vue constitutionnel. .

      Tredouane
      14 janvier 2019 - 21 h 55 min

      je m’explique État Nationaliste dans le sens Arabe الدولة الوطنية

    Rayés Al Bagriya
    14 janvier 2019 - 18 h 40 min

    Tiens le revenant … sans parti pris politique…
    Le SPPP…
    LE MUET LE LÀ GRANDE MUETTE MÛREMENT MURE DANS BLOCKHAUS…
    il attendant son heure pour sortir des murailles de Chine….
    Quoi dire , de son discours, un fleuve tranquille…
    Quand il n’est pas là, il nous manque.
    Remarquez même quand il est là il nous manque aussi…
    La boîte de pandore a accouché d’un machiavélisme sans machiavel….
    La politique du wait and see a vécu…
    Pourtant il prônait la liberté d’expression des AcP ..mais il est murer dans un silence assourdissant…
    Tiens où était ce M.H durant les années rouges de sang, les années 1990 ?…
    Il gérait ses affaires bien entendu…
    Le peuple algérien n’est pas un peuple de béotiens…
    À bon entendeur salut…

    MELLO
    14 janvier 2019 - 18 h 33 min

    Il n’est jamais facile ,pour un ancien homme politique, de se prononcer sur la situaient calamiteuse de notre pays. Il parle ,il est « tué « , il se tait il est « tué « , alors qu’il parle . Mouloud Hamrouche qui avait rallié les positions du FFS et de son leader feu Hocine Ait Ahmed, reste un visionnaire de la situation politique Algérienne. Dans cette situation opaque, que cherchent les Algériens ? LA PAIX , la paix au sens propre du terme. Les Algériens veulent se parler ,se regarder les yeux dans les yeux sans se haïr , sans se detester. Or l’Algérie , depuis bien 1954, passe d’une tragédie à une autre avec des sacrifices incommensurables . Après l’independance , le peuple ne cesse de payer un lourd tribu. L’armée Algérienne s’est retrouvée ,malgré elle, prise dans le tourbillon du terrorisme créé par les politiques. Le risque de la voir impliquée dans les manoeuvres politiciennes pourra lui être fatal. Mouloud Hamrouche , en homme averti, veut lancer cet appel de coeur pour se faire entendre par les responsables militaires, afin que nos officiers ne puissent agir que pour l’intérêt national et non l’intérêt de l’un des clans.

      Zilhou
      14 janvier 2019 - 21 h 53 min

      S’il a rallié les thèses du FFS c’est sûr que c’est un très grand visionnaire.Comment pouvait-il l’être autrement ? Un grand visionnaire épris de paix qui a plongé son pays dans une décennie fratricide la plus sanglante de son histoire.

    Rayes Al Bahriya
    14 janvier 2019 - 17 h 41 min

    Tiens le revenant … sans parti pris politique…
    Le SPPP…
    LE MUET LE LÀ GRANDE MUETTE MÛREMENT MURE DANS BLOCKHAUS…
    il attendant son heure pour sortir des murailles de Chine….
    Quoi dire , de son discours, un fleuve tranquille…
    Quand il n’est pas là, il nous manque.
    Remarquez même quand il est là il nous manque aussi…
    La boîte de pandore a accouché d’un machiavélisme sans machiavel….
    La politique du wait and see a vécu…
    Pourtant il prônait la liberté d’expression des AcP ..mais il est murer dans un silence assourdissant…
    Tiens où était ce M.H durant les années rouges de sang, les années 1990 ?…
    Il gérait ses affaires bien entendu…
    Le peuple algérien n’est pas un peuple de béotiens…
    À bon entendeur salut…

    UMERI
    14 janvier 2019 - 17 h 26 min

    Après s’ être éclipsé pendant plus de vingt ans, de la scène politique algérien,sans la moindre déclaration, sur les nombreux événements graves, qui ont marqué le pays,il est revenu en 2014,pour se placer en homme providentiel, capable de résoudre la crise, en souhaitant, que l’A N P, lui fasse appel, comme il n’a pas été entendu, il est reparti bredouille. Croyant le moment propice, avec le flou actuel, Il revient a la charge, en changeant le fusil d’épaule, pour dire que l’armée, ne doit pas s’impliquer dans le débat public. Sauf, que l’A N P, dispose d’archives,sur la mauvaise gestion de la gréve déclenchée par le F I S, elle ne le lui pardonnera pas, parce qu’il a mis le pays en danger. Enfin, comme beaucoup d’internautes,Président, à 80 ans, il ne pourra pas faire bouger les choses,mais, la possibilité de se faire soigner, comme Bouteflika, au Val de Grace français et laisser encore une fois de plus, le peuple algérien, patauger dans de nombreuses difficultés.

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 16 h 46 min

    point de salut car aucune nation ne s’est construite avec comme fondement une histoire falsifiée…un projet national commun se fonde sur des faits historiques AVÉRÉS!!! il y va de la crédibilité de ses promoteurs
    quand on demande la repentance à l’ancienne puissance coloniale on oublie sciemment de se repentir vis à vis des siens de la KARITHA qu’on a occasionner aux Algerien-ne-s depuis des lustres…On a touché le fond et aujourd’hui comme mode d’expression les chaines et cadenas on CREUSE!!!

    Tam
    14 janvier 2019 - 16 h 44 min

    point de salut car aucune nation ne s’est construite avec comme fondement une histoire falsifiée…un projet national commun se fonde sur des faits historiques AVÉRÉS!!! il y va de la crédibilité de ses promoteurs
    quand on demande la repentance à l’ancienne puissance coloniale on oublie sciemment de se repentir vis à vis des siens de la KARITHA qu’on a occasionner aux Algerien-ne-s depuis des lustres…On a touché le fond et aujourd’hui comme mode d’expression les chaines et cadenas on CREUSE!!!

    La colère d'un peuple qui gronde
    14 janvier 2019 - 16 h 01 min

    @Hamrouche Président Epicitou! Moi je suis même prêt à voter pour Mickey, il est certain qu’il ne fera pas pire qu’un 5ème mandat, qui fera passer en perte et profit 10 ans minimum de présidence pour nous faire passer dans le sous développement de façon définitive. Comment en est-on arrivé à cette situation? Vouloir reconduire une personne malade, handicapé, inaudible et peut être plus en état de penser, c’est un crime contre l’humanité, les décideurs devront être jugé et dénoncé à la face du monde. Des comptes seront demandés et des poursuites seront entamées contre les prometteurs de cette option que ce soit des militaires, des fonctionnaires, des politiques et des hommes d’affaires. Jamais les algériens ne l’accepterons et validerons cette option. L’histoire devra s’écrire avec GRAND H par le peuple le moment venu. La résistance et la révolution vont se mettre en place dans l’optique de ce viol qui serait ce 5ème mandat. Le châtiment et la justice populaire seront intransigeants envers les faibles, les traîtres et les corrompus qui auront opté pour cette voie sans issue.

      Kouder Belala
      14 janvier 2019 - 21 h 07 min

      La colère d’un peuple qui gronde ,oui il y a qu’a voir les scènes de répétition qui s’organise dans nos stades avant le GRAND RUSH pour avoir une idée de GRANDEUR NATURE Allah Yestore liyem lijaya. Et il lui veule encore un 5ème mandat à ce malheureux bonhomme???????

    Chadli
    14 janvier 2019 - 15 h 57 min

    « Quelles réformes de Hamrouche ? Les réformes, c’est moi ! Pour mener des réformes, il faut posséder le pouvoir et le pouvoir, à l’époque, c’était moi qui l’avais. Je voulais que l’Algérie tire les leçons de l’empire soviétique et ne tombe pas dans les mêmes travers. » Chadli insiste. « Il n’y a pas de réformes Hamrouche. C’est moi qui ai, dès mon accession au pouvoir, poussé vers la réhabilitation de l’Etat de droit et la transition vitale vers une Algérie rénovée et rajeunie.
    …………………
    Les réformes, ça ne m’est pas venu comme ça, par hasard. C’est une vieille obsession de jeunesse. J’ai toujours voulu arracher l’Algérie aux monopoles de la pensée et de l’économie. Je regrette seulement de n’avoir pas eu le temps de rendre irréversibles ces réformes politiques et économiques. Alors, quand j’entends parler de « réformes de Hamrouche »… Laissons faire le temps. Je ne cherche pas une place dans l’histoire, mais il arrivera vite l’époque où l’on se rappellera qui est véritablement l’instigateur, en Algérie, du pluralisme politique, de l’ouverture du champ médiatique et de la culture des droits de l’Homme… »………………..
    A-t-il été surpris, alors, que le FIS ait réussi à s’imposer largement aux législatives ? « Oui, car nous avons été trompés par les sondages officiels et officieux qui parvenaient régulièrement à la Présidence, qui faisaient fausse route totale et qui attribuaient au parti de Abassi Madani moins du quart des suffrages. Mais de là à suspendre le processus électoral… »
    Il assume son choix d’avoir refusé de mettre fin aux élections. « C’était mon choix de poursuivre le processus électoral, d’affronter l’énorme incertitude et de faire confiance en l’avenir Je ne voulais pas abdiquer à la volonté d’un système qui avait vieilli. Alors, entre ma conscience et mon poste, j’ai choisi ma conscience.

    In: Confessions de Chadli Bendjedid

      Lghoul
      14 janvier 2019 - 17 h 34 min

      Chadli a fait quand même une erreur ! Il a fermé les yeux sur quelque chose de flagrant. Laquelle ?

        Khoubzi Salim
        14 janvier 2019 - 18 h 41 min

        @ Lghoul@ Erreur tactique oui. Chadli avait lâché Hamrouche sous la pression des gardiens du temple. Ghozali l’homme au noeud pap le remplace, les élections législatives sont convoquées, le FIS rafle la mise au 1er tour.
        Au 3éme trimestre de l’année 1991, Le 2éme tour est annulé pour cas manifeste d’aliénation du peule disent les forts en thèmes.
        Chadli fut le premier à nous permettre de sortir, de voyager, de voir d’autres libertés pour nous imprégner et d’en faire bon usage.
        Ceux qui sont venus après lui peuvent –ils se targuer de nous avoir offert une autre liberté ?
        Pas sur, car depuis, l’eau a coulé sous les ponts sans soupir d’une Algérie qui depuis la nuit des temps n’a pas toujours réservé le meilleur aux meilleurs de ses enfants.Et pour une fois, un mort ne servira pas de bouc ni d’émissaire à personne.

          Lghoul
          14 janvier 2019 - 21 h 08 min

          @Salim – La reponse au puzzle:
          Chadli a evite la prison a quelqu’un de coupable…

    FAID
    14 janvier 2019 - 15 h 47 min

    C’est drôle voila une personne qui refait surface, qui cherche sa place dans le nouvelle configuration politique à venir.

    Khoubzi Salim
    14 janvier 2019 - 15 h 37 min

    Hamrouche rêve toujours. Oui, tous les rêves sont permis et il lui faudrait une réforme par jour et aller, au contraire de Proust, à la recherche du temps arrêté il y a 27 ans

    Lghoul
    14 janvier 2019 - 15 h 05 min

    En effet, la présence « discrète » de Said Hilmi – l’homme au chapeau – a l’arrière plan, présage bien une belle comédie de grande envergure. Elle dépassera celle d’ould abbas. Sauf que le dénominateur commun entre Said Hilmi at Haddad est qu’ils sont tous les deux natifs d’azeffoun. Tien, tien, tien, les retrouvailles en comédie, sauf que Fellag est absent …

    Lghoul
    14 janvier 2019 - 14 h 57 min

    Moi je veux une autre « feuille de route » ou plutôt d’autoroute et des « prérogatives », avec un autre nouveau programme « bien ficelé » par le cou. Moi j’adore les programmes bien ficelés surtout ceux qui parlent de football sud américain et des voyages. En fait ou est ould abbas pour nous expliquer le programme précédent qu’il n’a cessé de vanter ? On a compris, selon ses dires – qui sont synonymes de la « vraie » vérité – , qu’il était en congé maladie depuis maintenant des lustres ? l’audiance commence a s’impatienter !

    Hamrouche Président Epicitou!
    14 janvier 2019 - 14 h 53 min

    Entre le Président actuel pour un 5ème mandat et Harmouche Président en 2019, il y a pas photo. On ne peut pas faire pire que le président actuel, qui nous laisse une situation économique au bord du dépôt de bilan, une situation sécuritaire anxiogène à haut risque ou nous sommes critiqués, attaqués, insultés de toutes part, une situation sociale au bord de la dépression nerveuse, une situation culturelle inexistante envers la jeunesse. Au moins Hamrouche parle, marche, écoute, voyage et il a des compétences. Il peut faire consensus.

    DYHIA-DZ
    14 janvier 2019 - 14 h 50 min

    Hamrouche devrait avoir honte. L’Algérie paye encore sa gestion catastrophique.
    Qu’il ferme son parapluie et qu’il se taise, c’est beaucoup mieux pour l’Algérie.

    Lghoul
    14 janvier 2019 - 14 h 42 min

    Que fait Said Hilmi avec son chapeau de cuir a l’arriere du groupe ? Préparant une nouvelle comédie ?

    Abou Langi
    14 janvier 2019 - 14 h 12 min

    « Les temps sont difficiles » , chantait Léo Ferré.

    Ces temps sont propices au messies de tous bords et au revenants. Si le Mahdi ou Godot ne radinent pas, ils auront raté une fenêtre, une faille temporelle, qui ne se reproduira pas avant la prochaine. ,

    Hamrouche de son placard ou de son nuage n’a rien trouvé de mieux que de s’abstraire totalement dans une contribution sensée le faire remarquer et qui laisse croire qu’il nous viendrait du futur et non du passé. Tout l’artifice théorique n’est qu’un palimpseste qui voudrait effacer les traces de sa propre histoire. Hamrouche nous a fait son auto-hagiographie.

    Ne dit-on pas que la nature a horreur du vide ? Tant qu’elle n’a rien trouvé de mieux que de faire des trous, noirs dans ce vide obscur pour marquer son temps. Hamrouche n’est pas venu nous parler d’un temps que les mioches de vingt ans et même leurs parents n’ont pas pu vraiment connaître ou ont oublié . Il profite de la confusion pour y rajouter une couche à l’opacité.
    Mwa aussi j’ai lu sa contribution publiée dans le journal des makistes et des brobros recyclés. Hamrouche a oublié d’être concis. Oui j’ai dit concis.
    Hamrouche en châtiant son langage et en le complexifiant à l’extrême a fait montre d’un ésotérisme qui n’a d’objectif que d’effaroucher les quidams lambda que nous sommes et qui n’avions pas la maîtrise de la langue de Fafa que les butindeguerristes ont gardée pour eux et leur héritiers. Il aurait voulu nous y égarer pour qu’on ne s’y retrouve pas , qu’il n’aurait pas agit autrement.

    Aussi , je dirais à Monsieur Hamrouche : en théorie , en théorie seulement. Car en pratique on vous a vu a l’oeuvre , et on sait ce que vous avez fait !

    Kahina-DZ
    14 janvier 2019 - 13 h 59 min

    On a l’impression que personne ne cherche l’intérêt du pays.
    Quand Hamrouche croyait qu’il serait le candidat future, il sillonnait tout le pays pour dire que l’armée est garante de la stabilité de l’État. Apparemment il a perdu l’espoir de sa candidature en Avril…Alors Hamrouche change d’avis.
    Hamrouche doit rester tranquille. Ses réformes économiques étaient une calamité pour le pays. Sa gestion catastrophique de la crise provoquée par les barbus afghans des années 90 nous a couté 10 années de braise.
    A-t-il un autre projet catastrophique pour le pays ??

    صالح/ الجزائر
    14 janvier 2019 - 13 h 56 min

    La pluparts des responsables algériens n’ont la capacité de voir au clair le sort et le devenir de l’Algérie qu’après avoir terminer leur mission au sein du pouvoir .
    L’ancien chef du gouvernement , de septembre 1989 à juin 1991 , âge de plus de 75 ans , devrait se reposer et laisser la place aux plus jeunes afin de pouvoir écrire ses mémoires ( et ses expériences ) et les laisser aux générations montantes et futures .
    Les Algériens n’ont pas besoin d’être rappeler , par l’ancien chef du gouvernement, que l’édification d’un Etat national souverain doit passer par des institutions crédibles , des pouvoirs séparés , la présence d’une opposition de contre-pouvoir qualifiée et autonome , qui a les deux pieds dans l’opposition , et non un à Mazafran et l’autre au palais présidentiel et  » secrètement « .
    Il faut rappeler à l’ancien chef du gouvernement que meme les empereurs ( au Japon )et des rois ( en Malaisie) laissent le pouvoir en démissionnant volontairement .

    elhadj
    14 janvier 2019 - 13 h 44 min

    qu on le veuille ou non un simple sondage d opinions a travers la société fera ressortir le dégoût et le rejet de la politique menée en l absence physique du président.les citoyens sont convaincus que l amélioration de la gestion du pays ne pourra intervenir qu avec le départ des actuels gouvernants .

    Hamrouche rêve toujours ...!!!
    14 janvier 2019 - 13 h 28 min

    Je suis désolé de dire à Monsieur Mouloud Hamrouche qu’il n’est pas sincère quand il dit qu’il récuse l’implication de l’institution militaire dans le jeu politique. Mouloud Hamrouche est un ancien officier de l’armée, il est un enfant de l’armée, il a fait partie du pouvoir politique et il sait mieux que quiconque que l’institution militaire a toujours fait de la politique en Algérie, et ce sans interruption depuis 1962 ! Pourquoi l’armée va t-elle brusquement ne plus faire de politique ? Au nom de quoi ??? Au nom de ses beaux yeux ??!!!!

      Koubzi Salim
      14 janvier 2019 - 15 h 29 min

      Hamrouche rêve toujours. Oui, tous les rêves sont permis et il lui faudrait une réforme par jour et aller, au contraire de Proust, à la recherche du temps arrêté il y a 27 ans !

    Ya hassraaah!!!!.
    14 janvier 2019 - 13 h 27 min

    Je connais ce monsieur depuis le temps de boumediene,je me rappel de son découpage électoral,mon village était petit,calme et propre,ce monsieur pour zaama gagner des points au partis fln avait rendu mon village de familles à une daira,le reste tout le monde connais dès cités partout,la population à triplé,coupure d’eau et d’électricité avaient commencé,les bus de tranaports remplis de ghachis sans parler de la violence, wallah ses gens ont détruit la beauté de notre pays avec leurs politique de boumsselek.

    Felfel Har
    14 janvier 2019 - 13 h 20 min

    Il est vrai que la gouvernance de Bouteflika est critiquable, mais a-t-il oublié la sienne, quand il livrait l’Algérie aux fourches caudines du FMI en nous annonçant pompeusement : « Ça passe ou ça casse! » à propos de ses réformes menées à la hussarde.
    Lui aussi s’était entouré de pseudo-experts, auto-proclamés « mortellement patriotes » qui sont passés de défenseurs acharnés de la planification centralisée (Mr. Ghazi Hidouci) en chantres du libéralisme sauvage du FMI qui dictait de brader/privatiser les entreprises publiques et d’abandonner le « filet social » (les miettes destinées au peuple).
    Est-ce la perspective du retour du FMI qui le pousse à sortir de son hibernation?
    Je le répète, la solution aux multiples problèmes de l’Algérie ne viendra pas de ceux qui ont, à un moment ou à un autre, ont géré le pays et qui ont contribué à le mettre à genoux. Place aux jeunes: du sang pur et des idées nouvelles! Notre salut viendra d’eux.

    Singing In The Rain
    14 janvier 2019 - 12 h 58 min

    Le renard souhaite revenir sur les devants de la scène et rejouer une partition musicale de « Singing in the Rain » sous son emblématique parapluie ! Et à peine à 3 mois avant les élections SVP! Pathétique! Il a tordu le cou à notre constitution, et il ose venir réclamer une ovation ! Pas de crainte, les islamistes sont là pour l’acclamer! Cache toi sous ton parapluie, et tire ta révérence!

    Anonyme
    14 janvier 2019 - 12 h 41 min

    les vieilles têtes qui ont fait le malheur de l Algérie par leur choix hasardeux osent encore donner des leçons ??
    Allez vous reposez SVP,laissez des gens compétents prendre la relève

    Karamazov
    14 janvier 2019 - 12 h 26 min

    Encore un épouvantail !

    Ma parole, il nous prend vraiment pour des amnésiques!!!. Il croit donc que nous avons oublié comment il a livré l’Algérie aux zombies malgré tous les avertissements et contre toute raison.

    J’ai lu sa contribution où il noie son lecteur dans un étalage pompeux…
    En confondant profusion et précision Hamrouche a fini par ne rien dire et à noyer le pauvre poisson qu’il a cru avoir péché pour nous dans les profondeur abyssale de la connaissance.
    Au delà de la forme qu’a t-il dit qui puisse nous changer de tout ce dont on nous gave depuis un certain temps ?

    Nous avions entendu cette rengaine sous tous les tons et dites plus simplement , que n’a t-on besoin de revenants qui nous rappellent nos plus mauvais souvenirs et qui viennent hanter notre présent !

    C vrai
    14 janvier 2019 - 12 h 00 min

    Bien dit .tous le monde est satisfait a part le petit peuple

    Yacine
    14 janvier 2019 - 11 h 54 min

    Le problème avec des personnes comme Hamrouche , c’est qu’il se réveille seulement à la veille de chaque élection présidentielle pour une offre de services et donc demander indirectement l’appui des faiseurs de rois et passé cette période , il repasse au congélateur pour au moins cinq ans , le temps d’un prochain rendez -vous électoral !

    Le Duc D'Alger
    14 janvier 2019 - 10 h 17 min

    Trop tard il fallait intervenir avant,les caisses sont vide et les valeurs sont a l’abri,et les juges sont satisfaits ainsi que le président et l’Assemblée…

    Khaled
    14 janvier 2019 - 9 h 50 min

    N’en déplaise a Mr. R. Mahmoudi, Mr. Mouloud Hamrouche fera un très bon Président et avec des citoyennes et citoyens algériens sincères et désintéressés, ils construirons une vraie DÉMOCRATIE où la séparation des pouvoirs legislative, judiciaire et exectutif sera vraiment ressentie et appréciée par tous les Algériens.

    Zaatar
    14 janvier 2019 - 9 h 13 min

    Moi j’ai aimé et retenu un seul passage dans cet article, c’est celui là « Le choix du timing de cette intervention laisse, en effet, penser que l’option qui sera adoptée au final par les décideurs n’a pas encore été tranchée ». Le terme qui a retenu mon attention est « Décideurs ». Donc on a bien un H’mida chez nous qui décide de tout. Il donne les cartes, écrit les règles du jeu et tient le calepin pour le suivi des points.

    Brahms
    14 janvier 2019 - 8 h 10 min

    Saïd Bouteflika, nouveau Président de la République. Il gouvernera en binôme avec son frère. Il investira avec l’argent de la Sonatrach et tout sera merveilleux comme dans un conte de fées.

    Djeha Dz.
    14 janvier 2019 - 7 h 59 min

    Quelles que soient les intentions de M.Hamrouche, concernant les prochaines élections, il n’en demeure pas moins, qu’il démontre dans sa longue contribution, avec clarté et précisions, ses idées pour une Algérie certainement meilleure et en totale rupture avec le pouvoir comme forme de gouvernance.
    Il ne négocie d’aucune manière la liberté, l’indépendance et la souveraineté du pays, il sépare les différents pouvoir dans un cadre légale, il exclut toutes formes de pouvoir occulte, met au centre la construction d’un Etat fort, un gouvernement responsable et comptable de ses actions, etc.
    De nobles et louables intentions en mesure de séduire et fédérer un très grand nombre d’Algériens pour rompre définitivement avec toutes les anciennes formes de pouvoirs et construire enfin, un Etat de droit.

    K. DZ
    14 janvier 2019 - 7 h 26 min

    Le décor est planté, il ne manque que l’illuminé Boukrouh pour éclairer de ses  »lumieres » la scène théâtrale qui se met en place. Tata Louisa elle, est indécise sur la bonne  »position » à adopter en absence de clarté.

    EL Che
    14 janvier 2019 - 6 h 34 min

    A present et après les interventions de certains politiciens Algérien je devine 2 candidats présidentiables , Benbitour et Hamrouche …….les 2 ont un projet respectable Hamrouche ayant un avantage en vue de son experience politique…Tahya AL Jazayer w Allah Yerham echouhada

      Argentroi
      14 janvier 2019 - 8 h 42 min

      De quelle expérience politique peut se prévaloir Hamrouche ? Celle d’avoir tordu le cou à la constitution en légalisant sur le terrain des partis religieux bien que que cette dernière, la constitution, l’interdisait nommément. L’arrière-pensée était donc de fausser le jeu et surtout la vie démocratique. Nul ne peut nier cela aujourd’hui après tant d’années de remous et d’expérience politique !
      Ce n’est pas cette couverture médiatique qui va nous impressionner et nous faire apparaitre Hamrouche comme un fin analyste de la situation politique actuelle puisque son constat, certes plus affiné, a été maintes et maintes fois répété par des simples républicains et militants sincères de la démocratie.

      Blakel
      15 janvier 2019 - 4 h 14 min

      Benbitour, l’arabo-islamiste masqué ?? On connaît ce type d’hypocrites. très démocrates tant qu’ils sont dans l’opposition, mais dès qu’ils ont le pouvoir, leur vraie nature ressurgit. L’Algérie a assez régressé comme ça !

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