Contribution de Bachir Medjahed – Pourquoi nos ministres sont apolitiques

Comment (16)

Salim31
4 février 2019 - 19 h 24 min
Il n ya pas que les ministres qui sont designes et apolitiques mais tout le systeme de gouvernance nationale est : designe _ du ministre au wali chef daira directeurs de l executif sg de wilaya de communes , les seuls elus sont les maires qui sont utilise comme fusible en cas soulevement populaire _
Donc l organigramme de gouvernance dans sa totalite est concu de administratifs designe qui ne sont pas issue de suffrage du peuple ni de compte a lui rendre _ de ce fait on peut dire que l algerie est gere par une gigantesque machine administratif constitue de millers de cadres bureacratique qui obeillissent aux lois de la machine et non aux besoin de l homme ; ce systeme est dit bureacratique mais il est pire il est robotique il n a pas de dimension humaine ni humanitaire et comme toute machine ses seuls reperes sont les chiffres pour justifier la bonne marche et le bonheur de l homme par exemple : une personne en detresse n est pas prioritaire dans le logement c est un chiffre parmis les autres _ donc cette machine ne sert pas l homme mais plutot l algerien qui est a sa disposition par un budget enorme et un personnel plethorique a la charge du peuple , son emprise tend a s’ etendre de plus en plus et son pouvoir aussi etant meme les postes de ministres sont des administratifs enarquistes , ce qui rends les politiques c est a dire les voix du peuple des minoritaires face au parti de l’ ENA ecole nationale
d administration qui devient le 1 er partis politique en algerie _ et si on ajoute le pouvoir repressif et judiciare a la disposition de la machine et l effacement totale du politique on peut craindre que le pays est gere actuellement par une enorme macanique budgetevore sans humanite sans controle ceci n est pas de la science fiction .
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Le Conte d'Adam
4 février 2019 - 14 h 57 min
Conte que les Algériens connaissent certainement :
Un jour, deux amis d’enfance, arrivent à l’âge adulte, décident de voire le monde.
Au cours de leur pérégrination, il découvre un attroupement insolite dans un village. Ils s’approchent et s’informent. L’interlocuteur leur explique que leur Roi est mort et qu’il faut en désigner un autre. Par curiosité, ils questionnent leur vis-à-vis du mode et mécanisme du scrutin, ce dernier dit : C’est Dieu qui décide, vous voyer le chef du village debout sur la chaise tenant un pigeon. Il lâchera l’oiseau qui tournoiera au dessus nos têtes et finira par se poser sur l’un de nous et, c’est l’élu.
Par correction ils se retirent de quelques mètres et assistent au déroulement.
Coup de théâtre, le pigeon ce pose sur l’un deux et la foule enthousiaste, euphorique applaudi son nouveau souverain et le chef du village lui pose la couronne. L’élu surpris déclare qu’il est étranger, le chef le rassure, en lui manifestant que c’est la volonté de Dieu et toutes autres considérations sont exclues. Le non-élu dit son compagnon : Trêve de plaisanterie, continuons notre expédition et, à son grand étonnement l’élu refuse et accepte de régenter cette contrée.
Ils se séparent, le non-élu continu sa trotte seul et quelques années plus tard, décide de rentrer au bercail en rendant visite à son ami.
Arrivé au territoire, consternation, il découvre un pays délabré, indigent, ruiné, appauvri … Il rencontre son ami et le maudit en lui reprochant de ne pas avoir fait le bonheur du peuple en développant l’agriculture, l’artisanat, l’enseignement, la justice … (Si c’était aujourd’hui on parlera plutôt de fusées, bombes atomiques, satellites, Internet, scanners, informatique … vous devinez les reste car la liste est longue). Son ami le Roi (je ne vise personne) sérieux, imperturbable, prend tout son temps et lui répond : Si tu estime que cette population mérite ce que tu avance, alors expliques-moi pourquoi Dieu a fait descendre le pigeon sur MON épaule et non pas sur la TIENNE.
Ils se séparent une seconde fois.
Thamachahoutse Thékfa (le conte est terminé). A méditer, have good day. ——
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Tredouane
3 février 2019 - 21 h 08 min
En conclusion sommes nous improductif.
Nous devons changer cela et très vite.
L’avenir est à non seulement à la prise de bonnes décisions mais très vite.
Les bonnes décisions prisent ne serons efficaces que si et seulement si ceux qui les appliquent les comprends
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MELLO
3 février 2019 - 16 h 28 min
Sujet éminemment politique que celui abordé par Mr Bachir Medjahed. La politique , en terme très simple, veut dire la gestion de la cité. Mais comme nous avons hérité de la configuration française dans le domaine , la notion de politique émane du sommet de la pyramide, sous forme directive pour arriver à la base , au citoyen. Dans ce cas un refus peut se manifester. Comme la politique renvoie à l’organisation et au fonctionnement de la société , cette vision de haut en bas créé un véritable écart entre gouvernants et gouvernés. Dans les démocraties populaires ,tous les gouvernants sont élus et agissent en fonction de la demande et des revendications populaires. Ce sont les citoyens qui proposent tous les programmes à réaliser . Le drame de notre pays, se situe au niveau de ce « brassage » des différents pouvoirs : pouvoir exécutif, pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. S’il y avait cette indépendance des pouvoirs, chacun aurait agit et serait guidé conformément aux droits des citoyens.
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Argentroi
4 février 2019 - 8 h 04 min
Et le pouvoir occulte, tu l’occultes ?
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Felfel Har
3 février 2019 - 16 h 07 min
Ils ont certainement compris le message de J.P. Chevènement, ouvertement en conflit avec Mittérand quant à la participation de la France lors de la 1ère guerre du Golfe: « Un ministre, ça ferme sa gueule ou ça démissionne! »
Nous sommes sûrs qu’aucun de nos leaders ne remettra sa démission de si tôt; cela ne fait pas partie de nos traditions politiques. Plutôt mourir…. ou se faire renvoyer (manu militari s’il le faut)!
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Zarour
3 février 2019 - 18 h 24 min
Mr Falfel Har, le terme leader dans le contexte actuel est vu comme un gros mot, il est souhaitable de dire nos suiviste sans dignité ni redjla.
Merci a vous
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Anonyme
3 février 2019 - 15 h 40 min
Le problème dans les pays arabes.c’est que tous les presidents se prennent pour des pères de familles ,quand ils sont au pouvoir ils ne veulent plus partir.
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anonyme
3 février 2019 - 13 h 38 min
En Algérie comme dans tous les pays libéraux, les hommes et les femmes politiques passent. Seule la misère, la famine, la hogra, la guerre et autres bienfaits de la démocratie indirecte (bourgeoise). En Algérie, comme ailleurs, on réfléchir sur tout sauf sur l’essentiel : le mode de production. C’est du mode de production que tout découle et notamment la relation et l’interaction inter-humaine. Seul le partage des richesses, du travail et des responsabilités – exemple des sociétés « primitives » – permet aux communautés de vivre dans la paix, la prospérité et le respect. Les trois seuls termes abstraits auxquels l’homme devrait donner une réalité !
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Moi News
3 février 2019 - 13 h 23 min
Monsieur,Salim je vous en prie;vous parlez de quel Ministre;on a n’a pas de Ministres on a des commis de pouvoir;ou la majorité on été pistonnés par d’autres gros bonnets de la présidence;citez nous un nom d’un Ministre compétent;ni eux ni leur chef;KIF KIF.es-que un Ministre à démissionné pour désaccords avec son chef jamais;Ministre juste pour résider a Paris et soigner dans les Hopitaux Français
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Anonyme
3 février 2019 - 14 h 31 min
Tout a fait ce ne sont que des commis du pouvoir …sinon comment expliquer le blocage de plusieurs grands projets industriels et manufacturier dont ceux de Rebrab…et plusieurs autres projets d autres investisseurs internationaux….On parle du chomage des jeunes et on bloque les investissements grands pourvoyeurs de postes d emplois….allez comprendre ce qui se cachent derriere les tetes de la mafia qui dirige le pays vers la faillite. certaine.
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anonyme
3 février 2019 - 13 h 17 min
Pour être élu et devenir ministre, il faut nécessairement être membre d’un parti … politique. Comment pouvez-vous dire que les ministres sont a-politiques ? Dites plutôt qu’ils sont les exécutants a-cervelles d’une politique a-cervelle !
PS : le mot « écervelé » n’existait pas au moment de la parution de mon commentaire !
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Anonyme
3 février 2019 - 12 h 56 min
C E N EST AUTRE QUE LA STRATÉGIE DE OUYAHIA D INSTALLER DES ÉNARQUES A TOUT LES NIVEAUX DES INSTITUTIONS COMME PAR EXEMPLE LES SG ! WALIS QUI SERONT RAPIDEMENT MINISTRABLE AU SERVICE DE L ADMINISTRATION QUI A BLOQUE LE PAYS ET FAIT FUIR DES MILLIONS DE HARRAGUAS ET EN PLUS FRAUDENT LES ÉLECTIONS ET AINSI MAINTENIR OUYAHIA ET SA SUITE LONGTEMPS AU POUVOIR ! LA CONSÉQUENCE EST LA AVEC UN PRÉSIDENT FANTÔME !
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Argentoi
3 février 2019 - 11 h 07 min
Quand on analyse l’Algérie selon le moule français ou occidental, les conclusions sont forcément faussées ! En Algérie, un ministère n’est qu’une façade. La stratégie est élaborées ailleurs, les grandes décisions aussi mais sont signées chaque matin par le ministre; façade oblige ! Et gare au ministre récalcitrant. Qu’on se rappelle l’épisode de Benghébrit quand elle a été nommée ministre de l’éducation : on a vite dépêché un soi-disant barbu salafiste, agent provocateur bien sûr, devant les plateaux de télévision pour dire qu’elle était d’ascendance juive !
Du jamais vu cette hogra !
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nectar
3 février 2019 - 9 h 22 min
Soyons sérieux Monsieur Medjahed; nous n’avons pas de ministres, mais des pions d’un système pourri par les magouilles et la rapine..Un ministre, n’est pas un beni oui oui, ni désignait pour représenter un clan..Il doit être compétent dans son domaine et intransigeant sur les résultats et le choix de l’équipe qui l’entoure et assumant les résultats positifs ou négatifs de son ministère..
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Zaatar
3 février 2019 - 8 h 16 min
Tel que présenté, on a l’impression qu’avec ce mode de fonctionnement on est au moyen âge. Ou tout au mieux au temps des croyances des balivernes et de la magie noire. On a l’impression qu’il suffit que Monseigneur décrète une alternative, que celle ci se doit d’être réalisée quelles qu’en soient les circonstances et moyens dont disposent les exécutants. Ensuite si ça marche c’est Monseigneur l’initiateur de ce qui a marché, et si ça grippe ce sont les exécutants qui ont mal exécuté… sauf qu’à notre époque on leur tranche la tête d’une autre manière.
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