L’annonce que Bouteflika s’apprête à faire après le raz-de-marée de vendredi

Election annonces
Lors de la manifestation d'hier. PPAGencu

Par R. Mahmoudi – Le président de la République s’apprête à faire de nouvelles annonces destinées à tenter, dans l’urgence, à calmer un tant soit peu la rue, suite aux nouvelles manifestations populaires qui ont clairement exprimé un rejet massif de ces dernières décisions relatives, notamment, à la présidentielle et à l’organisation d’une conférence nationale dite «inclusive».

Faute d’annoncer directement et immédiatement son départ, tel que réclamé à tue-tête par les manifestants, le chef de l’Etat se trouve dans l’obligation de montrer une certaine souplesse, en acceptant de faire de nouvelles concessions au sujet des élections dont il a compris qu’il constitue bien le nœud gordien de cette crise. Selon nos informations, le Président va très vraisemblablement décider de fixer la date de la tenue de la présidentielle, comme pour rassurer l’opinion qui, tout comme l’opposition, le soupçonne de vouloir prolonger son mandat pour une longue durée. Ce serait aussi une réponse aux inquiétudes affichées à ce sujet par des capitales occidentales, comme Paris qui, par la voix du président Emmanuel Macron, avait apporté son soutien à la démarche du président Bouteflika, tout en souhaitant que la transition se fasse dans une durée «raisonnable».

Selon le nouvel agenda présidentiel, les élections pourraient avoir lieu avant la tenue de la conférence nationale promise par le chef de l’Etat pour préparer une nouvelle Constitution et des réformes politiques avec la participation de l’opposition et de la société civile. Il faut dire que les réactions plutôt négatives suscitées jusqu’ici par l’annonce de cette conférence – qui devraient ressembler à des états-généraux de la deuxième République – font craindre un fiasco si elle se tient dans un contexte aussi trouble que celui qui règne actuellement.

R. M.

Comment (129)

    MELLO
    16 mars 2019 - 15 h 47 min

    Croyez vous vraiment aux annonces que peut faire fakhamatouhoum ? Honnêtement, moi , personne, je n’y crois pas , au vu de son état de santé . D’ailleurs , en étant pragmatique, je ne vois pas d’interlocuteur de ce pouvoir pour remettre les clés de la maison Algérie aux représentants de la rue. Bouteflika , durant ses vingt années de règne, à vidé les institutions nationales de leurs cadres. A qui parler ? Les hommes de l’ombre doivent sortir de derrière les rideaux.

    Anonyme
    16 mars 2019 - 15 h 36 min

    Le président Bouteflika doit se retirer avant que Kaddour ne vende le sous-sol Algérien en entier.
    Kaddour multiplie les ventes en ce moment.

    Kahina-DZ
    16 mars 2019 - 15 h 34 min

    La rue bouillonne et le président ne fait aucune intervention télévisée pour s’adresser à son peuple.

    Trouvez vous que c’es normal. La présence d’un président est indispensable pour gérer un pays.

    Adda
    16 mars 2019 - 15 h 19 min

    N’importe quoi ‘élections pourraient avoir lieu avant la tenue de la conférence nationale promise par le chef de l’État pour préparer une nouvelle Constitution et des réformes politiques avec la participation de l’opposition et de la société civile’. Moi ce que je comprend ici c’est que le maffia au pouvoir actuelle prépare déjà l’agenda du futur président. On continue de prendre les algériens pour des c… restons mobilisés chers compatriotes: le départ de tout le système et rien d’autres

    Anonyme
    16 mars 2019 - 14 h 53 min

    La Nation Algerienne a besoin d un Monsieur le President et non d un charlatan

      Anonyme
      16 mars 2019 - 15 h 01 min

      un gérant des Zaouias

    DYHIA-DZ
    16 mars 2019 - 14 h 06 min

    Soyez sages pour le bien de l’Algérie…Pour éviter toute manipulation dangereuse venant de l’extérieure.
    Bouteflika, on ne sait même pas où il est. Unique dans l’histoire de l’humanité: Un peuple à la recherche
    des traces de son président…

    Faites une annonce qui va calmer la situation.

    Les manipulateurs marochiens ne chôment pas ces jour-ci.

    Mir
    16 mars 2019 - 13 h 58 min

    Autre chose : je ne pense pas que le séjour de Bouteflika en Suisse soit uniquement d’ordre médical. Il a dû se passer beaucoup de choses là-bas : des deals, des accords et autres plans pour assurer la sortie de son clan tout en assurant les intérêts de ses interlocuteurs. La réaction de Macron aux annonces de Bouteflika n’est pas un hasard.

      Anonyme
      16 mars 2019 - 14 h 38 min

      Il parait que Said et Gaid Salah ont été reçus à l’ambassade des émiratis en Suisse. Reste à vérifier.

      Anonyme
      16 mars 2019 - 15 h 21 min

      Il parait que c’est Said qui était à l’hôpital.
      Peut-être pour négocier dans la chambre de l’hôpital.

    Anonyme
    16 mars 2019 - 13 h 54 min

    Les enfants de 7 ans et plus n’ont jamais entendu la voix de Bouteflika.
    Le peuple a le droit de réclamer un président

    Khaled
    16 mars 2019 - 13 h 36 min

    A partir du Mercredi 27 Avril 2019 a minuit pile, Bouteflika ne sera plus le Président Légal de la République Algérienne et donc tous les décrets qu’il signe seront nuls, non-avenus et illégaux. Mais l’État et ses institutions continueront a fonctionner et Le Procureur de la République doit s’autosaisir au nom de la défense du peuple Algérien pour demander l’expulsion de Bouteflika et sa famille des palais présidentiels d’El Mouradia et de Zeralda.

      Sid
      16 mars 2019 - 15 h 52 min

      Exactement, barak allahou fik!

      Le 27 avril à minuit on a plus OFFICIELLEMENT de président! Plus aucun ordre ou décision qui émanent de cette instance ne sera écouté par le peuple et ses corps constitués ! Point barre !

      On leur a proposé de s’en aller sans histoire, mais s’ils continuent à s’entêter et à tenter le diable, alors non seulement ils partiront par la force en plus on les jugera pour haute trahision et un sort à la Khadafi leurs sera réservé!

      Le combat continue !

    Anonyme
    16 mars 2019 - 13 h 27 min

    Wa si mahmoudi tu as deux options pour se débarrasser du clan : ou le peuple va à Zeralda déboulonner le fauteuil de boutefs et le jeter fe wed el harach Ou tu attends une décision étrangère de lâcher si Saïd Bouteflika, puisqu’ils ont peur des crises Lybienne, syrienne et crise migratoires…. Sinon boutefs ne lâchera pas kursi

    Rissala min taht el Ma
    16 mars 2019 - 13 h 15 min

    …ou le mode de communication adopté entre el Mouradai, Zeralda, Genève … via Paris, Washington et Rabat.
    C’est à croire que même notre site patriotique vient de se brancher sur le réseau pour intercepter les évolutions des décideurs. Ou plutôt des décrypteurs des vrais messages des Algériens, pourtant écrits, clamés, scandés en clair, et que Brahimi et Lamamra s’évertuent à lire de travers.
    La chanson dont le titre est choisi comme pseudo se termine par … إني أغرق ، أغرق ، أغرق

    Anonyme
    16 mars 2019 - 13 h 01 min

    encore une fois MANIFESTANTES MANIFESTANTS JE PENSE QUE SI JE POUVAIT PARLER AU NOM DES CHOUHADAS JE VOUS DIRAIS MERCI MERCI DE VOTRE ACTION ,,,QUI FERA QU ON NE SOIT PAS MORT EN VAIN

    Abou Langi
    16 mars 2019 - 12 h 59 min

    Bon d’accord, vous êtes en train de donner raison à Boutef qui pense que le peuple est top immature pour être consulté.

    Alors je laisse tomber la constituante, la constitution et le référendum.

    Si vous m’élisez j’instaurerai un régime militaire, une dictature quoi !

    Je commencerai par abolir officiellement, la liberté et la religion,

    L’Algérie arrêtera d’être ZZarabo-muZzulmane

    Je déclarerai l’anglais langue nationale et l’arabe, le kabyle le chaoui, et toutes les autres langues de la poupilace, langues populaires , tipaghle sektivou chitwa.

    Comme il y a quelques siècles toute personne sans emploi sera considérée comme un vagabond, et sera conduit en prison où elle effectuera des travaux forcés.

    Je boucherai tous les puits de pétrole et de gaz car votre génération a consommé son dû.

    J’interdirai toute importation.

    Il sera interdit de consommer ce que nous même on ne produit pas.

    Aucun sou de l’état ne sera affecté aux individus ,tout servira aux équipements.

    Tout sera payant sauf likoul pour les mioches.

    Pas de soins à l’étranger.

    Pas de passeport pas de fizzas .

    Tous les algériens qui le souhaitent auront droit à un billet allez simple gratuit et un passeport valable un jour en échange de la déchéance de leur nationalité pour un pays Zzarabo-muZzulman de leur chwa.

      ben
      16 mars 2019 - 13 h 37 min

      Mr ABOU LANGI JE CROIS QUIL Y A UNE PLACE POUR VOUS DANS LE CONVOI DE BOUTEKLIKA ET SES MILLIERS DE VOLEURS
      UN BATEAU AVEC UN ALLER SANS RETOUR.

    Mir
    16 mars 2019 - 12 h 54 min

    Ils ont un agenda bien précis. Il ne faut pas les sous-estimer et croire qu’ils réagissent à l’improviste. Il ont ramené 2 diplomates pour rassurer les pays occidentaux. Le peuple est leur dernier soucis, ils lui ont mis Bedoui. Ils vont annoncer petit à petit leur plan, après chaque marche ils ajouteront une phrase, une date, histoire de nous faire croire qu’ils font des concessions. Mais c’est du pipeau, tout est planifié à l’avance. Si on refuse un Système on doit refuser tout ce qu’il propose !

      Danger
      16 mars 2019 - 13 h 20 min

      En effet en plus des diplomates que vous avez cité ils ont nommé au MDN un général major parmi les fidèles des fidèles du clan a savoir Bendaoud Abdelhamid dit Ali la boite noire de la famille Bouteflika en Suisse et en France où il était attaché, un très proche de la France où sa famille vit encore entre ce pays et l’Algérie.

      Que manigancent t-ils ?

        Mir
        16 mars 2019 - 13 h 47 min

        A mon avis ils manigancent une « transition » qui ne touche pas aux intérêts de leurs protecteurs occidentaux. Ils ont l’obligation d’assurer la continuité de ces intérêts quitte à passer sur dos du peuple, sinon ils ne seront tranquilles nulle part au monde quand ils partiront. Tous leurs biens et avoirs détournés sont planqués à l’étranger. Ce n’est pas un hasard s’ils font appel à 2 diplomates expérimentés pour faire face à la crise, alors qu’ils devraient faire appel à des gens écoutés par le peuple s’ils voulaient réellement s’adresser au peuple.

        Anonyme
        16 mars 2019 - 13 h 51 min

        Ils manigancent un ÉTAT de siege de 20 autres années.

    selma
    16 mars 2019 - 12 h 54 min

    Je crois que Bouteflika, sa fratrie et ses bouffons doivent déguerpir au plus vite.Il vaut mieux qu’ils partent tel que exigé par le peuple. Cette demande pacifique est à prendre au sérieux car les choses risquent de se gâter pour eux. Le peuple a dit basta, ni Bedoui, ni Lamamra, ni Brahimi et encore moins les bigorneaux du FLN/RND qui ont trop longtemps cautionné ce régime malodorant

    Ya bou guelb, ce sont des Arapèdes !
    16 mars 2019 - 12 h 53 min

    Chers compatriotes internautes une fois dans un de mes posts , j’avais dit que les gens au pouvoir sont des Arapèdes ! Qui m’a fait découvrir ces petits coquillages qu’on trouve accrochés à vie aux rochers des bords de mer et qui peuvent servir d’appât de temps à autres ? Eh bien c’est mon père l’amoureux de la pêche!

    Quand j’étais adolescent et que je l’accompagnais à la pêche, un jour il m’a demandé, pour me juger, de lui en enlever quelques Arapèdes. Même avec un canif ou un burin c’était impossible de les décoller car ils font ventouse ! Il m’a expliqué que la seule façon de les enlever c’est de les briser avec une pierre ou un outil de maçon ou de mécanicien ou arrache clou ! C’est pour dire leur ténacité ! Eh bien le pouvoir, c’est pire que ces Arapèdes , indéboulonnables, indéracinables sans la méthode forte !

      Passé Présent Futur
      16 mars 2019 - 13 h 29 min

      Cher compatriote amoureux de sa Patrie,
      Après ces Arapèdes viendront d’autres mollusques qui programment depuis des lustres ce moment fatidique.
      Le dindon de la farce dans l’histoire, tout le monde le connaît !
      Mais lui… peine à se reconnaître dans cette gigantesque mascarade habillement orchestrée…

      Vive l’Algérie Libre et Unie

    Anonyme
    16 mars 2019 - 12 h 43 min

    Les Algériens ne veulent plus entendre parler des Bouteflika et de leur clan. Ils ne supportent plus d’entendre le contenu des « lettres » lues en son nom. Ils exigent d’autres personnes pour gérer la période de transition. Refaire une élection présidentielle dans les conditions actuelles avec les hommes du pouvoir relève de la démence.

    Abou Langi
    16 mars 2019 - 12 h 21 min

    Ayavava , a peine vous m’avez zélu que vous commencez dija vos contestations !

    La constituante , moua zossi jiswi pas d’accord. C’est pour lui régler définitivement son compte, car je sais qu’ils n’arriveront jamais à s’entendre . Ipi je leur donne un délai , pas plus d’un an, la date du référendum sera fixée dans mon programme électoral.

    La constitution américaine a été rédigée par six hommes . Moua ce que je propose c’est que ces six hommes soient élus en même temps que moua. Puisque je donne leurs noms dans mon programme.

    D’abord janimar d’être barzidan, vous me prenez pour Boutef ou quoi? Je démissionne ! Avant d’être élu, ih!

      Muhand
      16 mars 2019 - 13 h 12 min

      Entendez par « participant de l’opposition  » que ce seront eux qui resteront au commande de cette énième mascarade. Ils feront tout pour sauver le système qu’ils voit chancelant. Ils peuvent même nous sortir qu’ils vont poursuivr en justice said bouteflika, sidi said, amardi ghoul, benyounes, ali Haddad ou même bouteflika lui même. Le diable les regarde avec envie se disant je ne sais finalement rien faire .

      Anonyme
      16 mars 2019 - 16 h 28 min

      Le seul plan possible pour respecter la constitution est d’organiser les elections présidentielles dans les 3 mois à venir. Il faut que Bouteflika créé une commission électorale indépendante et ensuite c’est au nouveau président de lancer la révision de la constitution et créer un cadre adéquat pour des elections législatives. Pour cela il faut dissoudre tous les partis et les obliger à élire des instances de direction et interdire l’utilisation du nom FLN qui doit rester celui du front d’avant 1962

    Fellag
    16 mars 2019 - 12 h 11 min

    Mr Bouteflika soyez sage et reconnaissant envers ce peuple qui vous a permis de régner pendant vingt ans,maintenant çà suffit,toute bonne chose ont un fin

      massinissa
      16 mars 2019 - 17 h 01 min

      faut pas que le peuple marche dans ces combines …ce pouvoir et autiste il n’entend rien du peuple ….qui ne veut plus de ce pouvoir il doit dégager et ces solutions les remballer…y a rien a en attendre le peuple dit DEGAGEZ …..POINT BARRE…

    Attention à un autre dérapage !
    16 mars 2019 - 11 h 43 min

    Monsieur R. Mahmoudi, à mon avis la proposition d’organiser au préalable des élections dans le climat actuel, et en plus avec le pouvoir toujours en place sera une catastrophe avec des conséquences plus désastreuses que la derrière lettre du pouvoir pour proposer « le retrait 4+ » de Bouteflika !

    Anonyme
    16 mars 2019 - 11 h 13 min

    s’il possède toutes LES capacités a diriger un pays,qu’il vienne expliquer ses intentions a la TV nationale,et non pas, par des moyens détournés ! si ce n’est pas le cas,on peut penser qu’il n’ est plus apte a gouverner et la solution c’est qu’il se retire!!

    Reda
    16 mars 2019 - 10 h 59 min

    La proposition de Abou Langui est totalement incongrue et ouvrirais la voie à de graves dérapages. A supposer deux constitutions pour voter: Une islamiste et autre laïque libérale. Comme les islamo-arabisants sont plus nombreux ils adopteraient la constitution basée sur la Charia qui seraient remportés et la première victime serait la langue Amazigh ! Les kabyles seraient totalement écartés de leur pays ancestrale par lesou bakr descedants des banou Hillel et Abou bakr… La solution soudanaise serait à ce moment là évidente et s’imposerait naturellement! le MAK et Ferhat Mehenni auraient alors tout à fait raison.. Les islamistes n’attendent que la oindre occasion pour en découdre avec les kabyles! C’est pourtant simple et tu ne l’as pas vu mon cher Abou Stroph. Toi qui prétend être matheux et kabyle , tu donnes des arguments à la peste verte pour te battre! T’es pas compétent en politique , alors évite d’en parler ca sera mieux pour tout le monde!

      riad
      16 mars 2019 - 11 h 14 min

      On vous parle de la corruption Pourquoi vous nous parlez des islamistes, des terroristes etc…marre de vos manipulation…

        Clair-Obscur
        16 mars 2019 - 13 h 52 min

        @Riad, arrêtez de voir de la manipulation partout. Il faut être pragmatique et regarder la réalité en face.
        OUI il y’a un problème islamiste, oui ça sera le futur combat islamisme vs laïcité. Oui il faut s’en inquiéter maintenant.

      M'hand OUQAVACH
      16 mars 2019 - 11 h 43 min

      Arrêtez de déverser votre haine régionaliste ! Et c’est un KABYLE qui vous l’ordonne. Votre manoeuvre PROVOCATRICE ne servira absolument à rien car le Peuple Algérien désormais est UNI de l’Est à l’Ouest et du Nord au Sud ! IL NE FAIT PLUS QU’UN !!!
      Vous êtes la HONTE de la KABYLIE. DÉGAGEZ de ce site réservé UNIQUEMENT aux ALGÉRIENS !
      PERSONNE NE VOUS SUIVRA !!!

      Abou jissipluki
      16 mars 2019 - 12 h 06 min

      Un président E.L.U et une constituante.
      Premièrement dans mon programme électoral je joue carte sur table.

      Su je suis élu je swi zélu et j’applique mon programme.

      6 personnalités les plus irréprochables et indépendantes dont je donnerais les noms parmi une vingtaine d’autres avant mon électionnage. Et des élus idem qui rédigeront deux constitutions.

      Justement parce que moua je swi contre cette constituante car je crains qu’elle ne soit dominée par les islamistes ou qu’il lui soit impossible de faire consensus. C’est pour cette raison que je fais une contre proposition , il appartiendra au peuple de trancher.

    le fennnec
    16 mars 2019 - 10 h 58 min

    s’il vous plait faut nous le montrer ce president nous faire cette annonce en direct faut qu’il vienne parler au peuple si non ses annonces il peut les garder car nous on croit pas que c’est lui qui dit et qui fait-il ses brsoins seul est-t’il vivant j’espere qu’il degagera et sa clique avec car au mois d’avril il sera plus president donc

    Soldat schweik
    16 mars 2019 - 10 h 52 min

    Afin de pouvoir bien cerner la situation actuelle, il est necessaire de repondre a quelques questions auquelles je tenterai d’apporter mes propres reponses :
    1. Qu’est ce qui a fait que tout d’un coup le peuple Algerien, que l’on croyait definitivement anesthesié, se revolte avec un tel degré de consciense politique faisant l’admiration et forcant le respect de la planete entiere ?
    Reponses : Ceci est le resultat principalement de l’arrogance du pouvoir maffieux qui se croyait tout permis intouchable et tout puissant, mais aussi du travail de conscientisation et de luttes successives menées par tout les opposants sans exception et de tout les courants, qu’ils soient dans les partis politiques, les syndicats, les associations, la societé civile…. Etc… et ce depuis l’independance.
    Un autre outil a contribué de facon tres importante a cela : les reseaux sociaux et les nouveaux moyens de communication ont permis aux algeriens et algeriennes de se parler mais surtout apprendre a s’ecouter.
    2. Quelle est notre situation actuelle ?
    Reponse : le peuple a engagé un bras de fer avec le pouvoir en rejetant son passage en force et en lui lancant un serieux avertissement afin qu’il revienne a la raison.
    Le pouvoir repond par une enieme ruse et de la magouille en voulant prolonger le 4 iem mandat, en essayant de manipuler l’opinion publique et forcer le mouvement afin de lui designer des portes-parole afin qu’il puisse le decapiter par la corruption ou l’invective de ces leaders.
    Donc le pouvoir persiste dans son entetement et ne veut donner aucun gage de bonne volonté en reponse a celui du peuple, aussi la balle est dans le camp du pouvoir et qu’il n’y a pas de raison que ca soit le mouvement citoyen qui fasse encore un second pas.
    Aussi le peuple et le mouvement citoyen doit maintenir la pression et la mobilisation tant que le pouvoir ne montre pas sa volonté sincere de venir a la table des negociations.
    3. C’est quoi le pouvoir ou le système ?
    En dehors de ses clienteles maffieuses et predatrices, sa colonne vertebrale est l’armée et rien ne pourra se faire sans elle ou contre elle, des signes de changement de sa position ont été donnés a travers l’inflexion des discours menacants de G.Salah en affirmant qu’elle est du coté du peuple, meme si pour le moment aucune preuve de la veracité de ce discours n’a été fournie, si ce n’est la non utilisation de la violence envers les manifestants, ce qui est déjà une avancée considerable au regard de ce que l’on a connu en Algerie jusqu’à present.
    L’armée Algerienne ce n’est pas seulement les « gininars » kerchistes et affairistes au devant de la scene symbolisés par le plus vieux soldat du monde G.Salah et consorts, mais elle est aussi composée d’officiers integres, instruits, fils du peuple, et a tout les echelons, qui peuvent etre nos freres, nos amis, nos voisins… etc… qui ont fait le choix d’une carriere militaire par conviction et non pas pour s’enrichir indument ou par la corruption mais pour vivre honnetement et en paix avec leurs familles et parmi le peuple.
    C’est au sursaut d’orgueuil de ceux là et qui sont les plus nombreux au sein de l’ANP que nos devons faire appel afin qu’il se range du coté du peuple pour sauver notre chere Algerie pour nous aider enfin a la mettre sur les bons rails du devellopement et de l’edification d’un etat civil et d’une republique Algerienne reellement democratique sans exclusive et ouverte sur le monde.
    4. Quelle doit etre la suite maintenant ?
    – L’urgence absolue selon moi et de mettre fin au coup de force de la maffia Bouteflikienne en revenant a la legalité constitutionnelle dans les plus brefs delais :
    – Que l’ANP dise des a present que Bouteflika ne sera plus president a partir du 28 avril prochain.
    – Inviter le mouvement des a present a negocier afin de trouver ensemble une structure a installer de facon provisoire a la tete de l’etat afin d’assurer sa continuité.
    Nommer un gouvernement technocratique afin de gerer les affaires courantes, assainir le fichier electoral et reviser la loi electorale.
    – Lancer un processus constituant, a travers une constituante ou autre a discuter, afin d’elaborer une constitution consensuelle.
    – Fixer une date butoir a ne pas depasser pour tout ce processus de transition evoqué
    – Organiser des elections generales a tout les echelons : presidence, APN et locales .
    – Nous retrousser toutes et tous les manches et enfin travailler serieusement pour tenter de ratraper nos retards dans tout les domaines.
    Yaw a3likoum el 3afia
    PS: Bien entendu, l’armée après s’etre portée garante de tout ce processus de transition jusqu’a sa finalisation, rentrera dans les casernes et reviendra a ses strictes prerogatives constitutionnelles et surtout a ne plus jamais se meler de politique.

      Anonyme
      16 mars 2019 - 15 h 39 min

      Trop compliqué pour moi, quand j’ai fini de vous lire, je ne me souvenais plus du début et le but de votre post, pourriez-vous synthétiser vos mots afin que, je puisse comprendre vos maux. Cordialement

        Soldat Schweik
        16 mars 2019 - 16 h 47 min

        Avant toute chose, je tiens a vous rassurer  » douktour » je ne souffre d’aucuns des « maux » que vous m’attribuer.
        En revanche vous semblez avoir un sacré probleme pour la simple comprehension des « mots »
        Heureusement pour moi, je suis au regret de vous annoncer que je n’ai pas les compétences nécessaires pour donner des cours en maternelle afin de vous permettre de combler vos lacunes…. cordialement

          Anonyme
          16 mars 2019 - 21 h 08 min

          Je me doutais bien que vous n’aviez pas les compétences requises, pour disserter sur un sujet aussi complexe, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple. Cordialement

      Anonyme
      16 mars 2019 - 18 h 04 min

      La 1 ere condition est la dissolution du FLN et autres partis demi-frères! Le ministère des moudjahidines( il en reste très peu) et les associtions des enfants des chouhadas et les petits enfants qui en redemanderont, ca n’en finira pas.

    Citoyen Karim
    16 mars 2019 - 10 h 46 min

    Le propre d’une révolution pour un corps céleste et de revenir périodiquement là où elle a marqué son passage précédemment, telle se décline la mécanique humaine ancestrale qui règle les profondes aspirations des peuples aux réalités de l’époque. De mon humble point de vue.

    Il me semble que comme pour le moi individuel, le Nous collectif a toujours existé, si je dois en tirer mes premières conclusions des marches historiques ayant débutées un 22 février, avec cette extraordinaire capacité d’ensemble à marcher en parfaite harmonie intuitivement, en si grand nombre, avec cet exploit d’être rééditer en mieux sur quatre semaines.
    Les deux Êtres semblent avoir un fonctionnement caractéristique propre à chacun, et fait distinguer l’un de l’Autre par des objectifs soit de court terme pour le moi, soit pour le long terme pour le Nous.

    Lorsque le Nous décide, le moi s’exécute. Vérité implacable et inéchangeable depuis l’homme de Aïn Boucherit jusqu’à celui de notre ère des réseaux sociaux et de l’intelligence artificielle, qui ont rendu possible notre Révolution à nous Peuple Algérien.
    Le propre de ce sentiment du Nous lorsque qu’il resurgit, ne saurait exister que s’il apporte aux communautés concernées et aux différents moi qui les constitues les solutions qui conviennent à leurs aspirations et qui soient pérennes. Dans le cas contraire, il re-disparaîtra par l’effet néfaste du détournement d’un moi surdimensionné, pour des projets obscures malveillants, en attendant de réapparaître, de manière cyclique, dans un temps long avec l’expérience humaine en plus pour les contemporains, offrant une nouvelle chance unique au peuples de se réaliser.

    Le Nous semble se nourrir de la culture de la citoyenneté.

    L’opposition algérienne comme force politique salvatrice est à revoir de fond en comble, depuis sa forme jusqu’à son fond.
    Nous devons et c’est primordial, nous Algériens d’ici et d’ailleurs, apprendre patiemment, d’abord et avant tout autre projet, à nous écouter mutuellement même si cela doit nous prendre du temps. C’est la première clé. C’est dans le travail de notre capacité à écouter l’Autre qui permettra aux futurs politiciens d’entreprendre le vaste chantier de consolidation de notre conscience collective naissante.

    Proposition d’un citoyen :

    Le premier gage de la bonne foi du pouvoir encore aux affaires en Algérie est de procéder au changement radical de tout le gouvernement, sans exception, en maintenant la formule du Premier ministre qui s’occupera de la gestion et du bon suivi des institutions et administrations algériennes, et le vice-Premier ministre chargé de la relation entre le pouvoir en place et la nouvelle opposition.

    elhadj
    16 mars 2019 - 10 h 40 min

    pour éviter le chaos ,il parait judicieux d assurer une paisible transition en faisant appel a son excellence M ZEROUAL Lamine pour un ultime sacrifice de sa part afin d assurer a partir du 28 avril 2019 les fonctions de président de la république et la mise en place de cette fameuse commission chargée d initier les projets de la saine réhabilitation des institutions selon les vœux du peuple. les personnages ,coopérants techniques de circonstance,qui font actuellement l actualité sont discrédités par le peuple et leur maintien ne fait compliquer et pourrir davantage la situation en exposant le pays a des risques majeurs.quand même le pays dispose de grandes compétences neutres pour composer cette fameuse commission tels que MM AIT Larbi,B OUCHACHI, TAbBOU, BOUMALA et tant d autres.

      Trés bonne idée
      16 mars 2019 - 10 h 51 min

      elhadj
      16 mars 2019 – 10 h 40 min

      ça serait sage que des algériens comme le Grand Zeroual de gérer cette transition qui sera composée de juristes, journalistes de haut niveau et des personnalités politiques anti le systéme partant

    Evitez les trés jeunes sans aucune expérience pour la transition
    16 mars 2019 - 10 h 39 min

    Pour la transition que constituera le peuple (sans said, nacer, iméne, zhor …. Bouteflika) évitez les étudiants et ceux avec zéro expérience en politique.

    Anonyme
    16 mars 2019 - 10 h 30 min

    Après avoir affaibli l’opposition, joué la division, créé le vide autour de lui, torpiller volontairement la relève et la succession, sclérosé les institutions dans le but de s’éterniser au pouvoir, aujourd’hui, Bouteflika se prend pour le sauveur de l’Algérie.
    Le peuple réclame le départ immédiat de Bouteflika et son clan, une période de transition avec un changement de constitution (2e république), un état de droit et des élections libres et démocratiques.

    Rien ne doit se faire dans la précipitation, il faut du temps à cette transition politique (au moins 2 ans ) afin que la société civile puisse s’organiser, désigner ses leaders politiques et préparer l’avenir du pays.

    Cette transition doit être assurée a la tête du pays par une ou des personnalités connues pour leur intégrité et leur amour pour le pays et d’un gouvernement provisoire composé d’élites issus de différents ministères et de la société civile intègres et sans passé douteux.

    A bon entendeur

    Salim Samai
    16 mars 2019 - 10 h 24 min

    La Conference Nationale devrait PRECEDER toute autre entreprise!
    Il faut D`ABORD ORGANISER & PLANIFIER le CHANTIER avant de l´ENTAMER!

    Le Brexit, Chamharouche/Etat-Voyou á la Maison Blanche et NOS Elections Libres de 1991 sont des antecedents á considerer! Ce n´est pas une question de Flene et Feltene mais d`ETAT de Droit et d´INSTITUTIONS! On a beaucoup d´exemples qui fonctionnent á travers le monde!

    Bouzorane
    16 mars 2019 - 10 h 18 min

    S’il avait un minium d’honneur et de dignité, il aurait démissionné et partir avant même l’expiration de son mandat…Malheureusement, c’est des paroles dans le vide, il n’a strictement aucun honneur, aucune dignité

    Anonyme
    16 mars 2019 - 10 h 05 min

    Ce qu on veut, c est qu il annonce quitter son poste au terme de son mandat !

    1 le cercle présidentiel doit quitté le pouvoir au maximum en avril

    2 refonte totale du système politique et des administrations

    3 l’État c est a dire : l armée, les services de sécurité, la diplomatie doivent restés en place jusqu’à ce que la crise soit derrière nous et ensuite éventuellement les améliorés.

      Anonyme
      16 mars 2019 - 10 h 16 min

      mon enfant de 9 ans m’a demandé pourquoi il n’a jamais entendu la voix de ce président.

    Abou Langi
    16 mars 2019 - 10 h 04 min

    Je sais qu’avec mes trois neurones à peine encore valides je n’ai pas vu requis pour me permettre de ténébreuses extrapolations mais quant je lis ce genres d’envolée phraséologiques je ne puis m’empêcher de me taper le luc au plafond.

    Comment on peut écrire cela :

    «   les élections pourraient avoir lieu avant la tenue de la conférence nationale promise par le chef de l’Etat »

    En clair non seulement c’est lui qui va nous désigner le prochain président , mais c’est encore lui qui lui fixera son programme. Il tient à sa conférence nationale.

    Tout ce qu’il peut faire c’est D.E.G.A.G.E.R tidswit, le reste ne le concerne pas !

    Moua , quand je serais élu voilà mon programme

    je dissoudrai l’assemblée nationale et tous les partis politiques et onanisations syndicales patronales et association clientèles.

    Je désignerai 6 personnalités pour rédiger une constitution.

    Je ferai élire une constituante qui rédigera dans un délai d’un an sa constitution à elle-même.

    Je présenterai les deux constituantes au peuple qui choisira sa préférée.

    Je convoquerai de nouvelles élections

    Après cela je dissoudrai l’assemblée élue et je démissionnerai après avoir convoqué le corps électoral pour de nouvelles présidentielles et législatives.

      Anonyme
      16 mars 2019 - 10 h 49 min

      @ Abou langi
      Ya si Abou Langi…
      Oublis la constituante…on en a pas besoin pour perdre du temps…les Tunisiens ont en souffert l enfer jusqu au pugilat entre les elus,prevue pour un an elle a duree 3 ans, pour pondre une constitution ingouvernable et qui a coute des milliards,les principaux gagnants etaient les elus avec leurs indeminites primes et avantages sur le compte des contribuables…..tous les partis Tunisiens sont du meme avis….et projettent des reformes profondes….Pour nous Algeriens intelligents que nous sommes apprenons des experiences des autres…Aucun pays respectable et serieux ne s aventurera a elire une constituante pour rediger une constitution..nada…nous avons d excellents professeurs de droit constitutionnel et d experts
      universitaires dans tous les domaines,social, economique,pedagogique,syndical,ecologique,diplomatique,et,…et…etc.Il nous suffit que de former une veritable commission independante pour la redaction de notre nouvelle constitution qui rassemblera tous ces experts et professeurs
      sous une meme coupole pour debattre et rediger la nouvelle constitution…cela prendra au maximum 6 mois…ils ont leurs salaires l Etat ne deboursera que les frais qui en decoulent…Je suis sur et certain que ce sera la meilleure voie a suivre pour notre pays….une fois la nouvelle constitution terminee,l etat convoquera le peuple en un referendum pour l approuver en prenant en consideration les remarques et les revendications des partis politiques qui pourraient etre emises en forme de reformes s il serait necessaire…ce que j en douterais…Il est capital de ne pas perdre du temps et surtout de ne pas se contonner dans les palabres et les disputes entre des deputes d une eventuelle constituante qui ne seront jamais sur le meme level…imaginez le face a face des islamistes et des liberaux …les leiques et les conservateurs,
      et vous voulez qu ils redigent une constitution en un an…moi je leur donne 5 ans et ils n auront pas terminer….non ya si Langi vous proposez l enfer er l inconnu en meme temps..

      MELLO
      16 mars 2019 - 10 h 56 min

      T’es trois neurones , crois moi, fonctionnent mieux que toutes celles de fakhamatouhoum additionnées à celles de Bedoui. On ne veut pas qu’il annonce de nouvelles élections , surtout pas avant la conférence nationale. Les représentants de la rue , des têtes déjà connues de tous, peuvent reprendre le flambeau bien avant la date de fin de mandat. Des têtes , fort connues de tous, peuvent tracer un agenda des actions de remise sur rail des institutions. Une seule chose à demander à tous ces fonctionnaires des différentes administrations et ministères , c’est de se ranger du côté de la nouvelle République.
      Les clés de la maison Algérie doivent être remises à ces personnalités qui s’engager ont à assurer la transition .

    Chelabi
    16 mars 2019 - 10 h 00 min

    Franchement, cela vire au cauchemar. Le peuple demande son départ et lui ne trouve pas mieux que de finasser en voulant fixer une date pour l’élection présidentielle. Un président sur le départ , honni par son peuple ne peut rien proposer . Il peut juste partir. De plus, il s’autorise un eniem viol de la constitution en cherchant à proposer une date autre que le 18 avril 2019. Je vais finir par réellement croire que Bouteflika est mort et que le système ne sait pas comment faire pour obliger un mort à déposer sa démission. Cette rumeur qui me semblait farfelue me parait aujourd’hui assez plausible.

    Anonyme Utile
    16 mars 2019 - 9 h 57 min

    Mr Bouteflika doit absolument partir le 27 avril 2019, date légale de la fin de son mandat illégal conformément à la constitution, qui le lui interdit strictement depuis 2013.
    C’EST LE PRÉALABLE INCONTOURNABLE.

    Et en même temps, Mr Bouteflika doit absolument d’une part, annoncer la fin de mission immédiate de Mrs Lamamra, Bedoui et Brahimi, désignés illégalement, contre la volonté du peuple qui les a rejeté en bloc et d’autre part, annuler « sa conférence nationale », qui relève de la seule volonté du peuple Algérien et non de celle de Bouteflika, qui occupe illégalement le poste de président de la république, depuis 2013, pour incapacité.

    VOUS PARTEZ VEUT DIRE VOUS PARTEZ Mr Bouteflika.

    SEUL LE PEUPLE ALGERIEN fixera SOUVERAINEMENT la date des élections présidentielles.

    SEUL LE PEUPLE ALGÉRIEN organisera SOUVERAINEMENT la conférence nationale
    qui préparera une nouvelle Constitution et des réformes politiques profondes avec la participation de l’opposition et de la société civile. 

    SEUL LE PEUPLE ALGÉRIEN désignera SOUVERAINEMENT :
    1/- la personne qui présidera la conférence nationale ;
    2/- un gouvernement provisoire d’union nationale, chargé de s’occuper des affaires de l’état, en attendant l’élection du nouveau président, qui sera chargé de nommer le gouvernement légitime et d’organiser les élections législatives légitimes.

    Mr Bouteflika EST UN GROS PROBLÈME, POUR L’ALGÉRIE. IL EST LE VERROU, QUI BLOQUE LA SORTIE DE LA CRISE POLITIQUE, D’UNE GRAVITE INOUÏE, QUI FRAPPE L’ALGÉRIE ET QUI EST UNIQUE DANS L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ.

    Passassion de pouvoir dans le calme.
    16 mars 2019 - 9 h 55 min

    Je le répète une transition ne se fait pas d’un coup de claquement de doigts.
    Il y a un minimum de temps à consacrer à sa préparation.
    Sommes nous une république bananieres !!!!! NON .
    Alors pas de précipitations hâtives qui ne débouchera qu’à de très mauvaise surprise.
    Quand nous faisons un achat quelconque nous prenons nôtre temps de comparer les prix , la qualité des produits , les avantages et inconvénients etc …etc…
    Là c’est pareil ils doivent faire une passassion de pouvoir à un autre pouvoir suivre sera près à se mettre au travail immédiatement en reprenant les commandes et dirigé le pays à leurs convenances.
    Où doivent ils tous sortir de la présidence et la foule populaire investit tous les bâtiments , palais , ministères, et autres lieux gouvernementales et nous nous nommons , nous nous auto-proclamant chacun chacune ministre , députés , sénateurs , secrétaires d’état , etc…etc… et nous aurons comme ça plusieurs dizaines de président et des milliers de ministres et autres. ……….
    À nous comportés comme ça sans la moindre patience nous montrons que nous ne sommes pas logique et donc nous sommes comme eux.
    Moi aussi j’ai hâte d’en finir avec tout ce système politique et politiciens affairistes fainéants et incapables.
    Mais un pays ne peut en aucun cas se trouvé sans pouvoir pendant aucun laps de temps.
    D’autres mafia jouerait des coudes des gros bras par la force s’assoir les premiers sur le fauteuil en proclament par eux mêmes à tue tête de manière très organiser que c’est eux que le peuple à mis à la tête du pays.
    Où il va y avoir des confrontations sanglante entre parti d’oppositions politique , entre parti d’oppositions mafieuses , entre parti d’oppositions de représentants de leadership populaires.
    Et la croyez moi si ont en arrivent à ça , la décennie noir sera vraiment rien en comparaison à ce que la situation sera si nous nous affrontons entre nous pour avoir où revendiquer le fauteuil de président d’Algérie.
    Soyez raisonnable et un peux patients.
    Nous sommes déterminer et c’est ça qui compte.
    La rue nous pouvons l’occuper dès que bon nous semblent.
    Laissons les préparer leurs sorties selon nos demandes avec un calendrier temps.
    Et attendons patiemment qu’il soit minutieusement appliquer chronologiquement méthodiquement .
    Croyez moi si ont fait n’importe quoi nous le regretteront amèrement.
    Aucune fragmentation dans la passassion de pouvoir ne doit avoir lieu car se vide sera comblé par l’inconnu où d’autres mafieux putschiste venus de nulle part.
    À vous de voir.

    no news
    16 mars 2019 - 9 h 27 min

    il ne faut pas s’attendre a quelque chose de different de cette mafia. Il faut passer a la phase 2 par s’accaparer de l’institution constitutionelle et mettre des hommes honnetes et capables d’organiser une feuille de route avec un programme qui s’etale sure 3 mois.

    Souk-Ahras
    16 mars 2019 - 9 h 26 min

    « L’EGO », par ailleurs sur-dimensionné, j’ai nommé le « malade-président », n’a éprouvé que du mépris durant son règne despotique accablant de 20 ans. Ceci est une vérité incontournable, infalsifiable.
    Le « malade-président », après s’être illégitimement emparé de la paternité de la concorde (faussement) civile, veut aujourd’hui s’emparer, de la même façon, de celle de la transition pacifique vers un nouvel État démocratique de droits et de lois égaux pour tous. Le but ultime de son entêtement est de figurer vaille que vaille à une place honorable de l’Histoire de notre pays.
    En-est-il lui-même convaincu ? Rien n’est moins sûr.
    D’autant que Gaïd Salah, il y a tout juste quelques jours, affirmait publiquement que le Peuple et l’Armée ont les mêmes visions pour l’avenir. Ce changement de ton et de méthode de communication font penser qu’au sein même de cette honorable institution, des voix hautement gradées s’élèvent et s’indignent quant au soutien du chef de l’armée au grand « malade président ». Gaïd Salah a perçu ce qu’il considère comme étant un avertissement pointé vers lui. Il sait aussi que c’est la dernière carte que le système agonisant joue, alors il laisse faire en prenant du recul, c’est visiblement son dernier cadeau au sultan désormais sans royaume qui cherche vainement à inscrire son nom sur les tablettes honorables de la mémoire collective.
    L’Algérie que le « malade président » s’est faite sienne sans partage, était pour lui au dessus de tout ; sauf qu’en édictant ce postulat pour lui-même, tel le Narcisse mythologique vis-à-vis de sa soif, il a transgressé le principe infrangible qui proclame que c’est le Peuple qui est au dessus de tout, que c’est le Peuple qui fait l’Algérie et non le contraire.
    Qu’aura donc à proposer de nouveau le «  malade président » jusqu’au-boutiste, lui qui s’est fourvoyé une fois de plus et sans scrupule aucun pour le Peuple dans l’illégalité méprisante ? Tout son édifice, coquille vide de l’intérieur, repose sur l’illégalité institutionnalisée, le mensonge et la ruse, ses armes préférées qu’il utilise pour gouverner, car il n’a fait que cela durant son règne, ce Peuple et ses aspirations légitimes.
    La machine est en route et la vitesse de croisière est atteinte. Le cap est mis sur la république tant attendue et souhaitée. La jeunesse marche, le temps aussi marche. Le « malade président » abdiquera d’une façon ou d’une autre, soit par la volonté devenue inébranlable de notre magnifique jeunesse, soit par la volonté de la biologie.
    La porte de sortie entrevue, déjà petite, s’amenuise de jour en jour pour le « malade président » qui doit se sentir terriblement seul à quelques jours du « Printemps Algérien ». Il le veut bien. Il l’a bien voulu.

      anonyme
      16 mars 2019 - 10 h 48 min

      Finalement, à Soik Ahras, il y a des gens autrement plus intelligents que Gaid Salah ! Merci pour votre commentaire autrement plus patriotique !!

    Hibeche
    16 mars 2019 - 9 h 22 min

    Bouteflika n’est pas la solution, il est le problème.

    salah
    16 mars 2019 - 9 h 16 min

    IL FAUT QU’IL PARTE ET SON CLAN AVEC POINT BARRE

    Anonyme
    16 mars 2019 - 9 h 09 min

    Qu’il s’en ailles d’abord, il n’y aura aucun retour au calme sans la satisfaction de cette exigence qui est préalable à toute autre. Qui est-il pour vouloir imposer sa présence à tout un peuple et mettre le pays dans cet état. Encore une fois, l’Algérie n’est pas une monarchie, nous ne sommes pas dans son pays de naissance
    Quant à Macron qu’il se mêle des problèmes de son pays. D’après son insistance à vouloir prolonger le règne de Bouteflika (et non à le raccourcir comme vous n’entendez), il y a de gros intérêt en jeu pour la France.
    Serait ce des prix préférentiels sur le gaz comme le prétendent certain? Il y a là un champ d’investigation qui nous intéresse au plus haut point.

    zyriab
    16 mars 2019 - 9 h 05 min

    De toute évidence Même si Bouteflika part aujourd’hui ce qui intéresse certain c’est le chaos le néant l’aventure .Qui pourra organiser les futures élections s’il n’y a pas un pouvoir ne serait -ce qu’administratif ?La vacance total du pouvoir c’est l’ouverture du pays à DAESH et surtout aux trafiquant de drogue qui profiteront pour faire entre leur poison

    Alatriste
    16 mars 2019 - 9 h 01 min

    Pour ne plus jamais revivre ce cauchemar Bouteflikien, les algériens doivent exiger l’instauration du « RIC Révocatoire » en Algérie et son adoption dans la prochaine Constitution de 2e République. (Le référendum d’initiative citoyen révocatoire). C’est un système de contre-pouvoir institutionnel en vigueur uniquement en Suisse qui consiste à octroyer au peuple le pouvoir de destituer un élu de la république, y compris un président élu avant l’expiration de son mandat, par voie référendaire. En suisse et même en Angleterre je crois, avec seulement 200 000 pétitions citoyennes validées par le Conseil constitutionnel ou le parlement, le peuple peut convoquer à son initiative souveraine et non pas celle des élus du peuple ou des parlementaires, un « référendum révocatoire » pour destituer le président ou un quelconque élu. En France, certaines mouvances des Gilets Jaunes sont en train de réclamer l’instauration du « Ric Révocatoire ». Si on arrive en Algérie à faire adopter cette mesure dans la Constitution de la 2ème République algérienne, on aura même plus besoin de se risquer à sortir manifester par millions dans la rue pour faire respecter la volonté populaire. Le peuple aura tout le pouvoir souverain de destituer n’importe quel élu, maire, député, sénateur ou même le Président à tout moment en sirotant un thé bien tranquillement au chaud après une bonne grâce matinée, rien qu’en signant une pétition référendaire par internet. C’est l’occasion ou jamais, car dans les systèmes de gouvernance représentative traditionnelle, on n’a aucun pouvoir de contrôler ou de sanctionner un élu, en cours de mandat et une fois que le peuple a voté pour lui. Mais avec le « Ric Révocatoire », ça pourrait changer la donne. Personnellement, je trouve cette idée séduisante, qu’en pensez-vous messieurs de la rédaction d’algériepatriotique ?

      Anonyme
      16 mars 2019 - 13 h 14 min

      De Gaulles est parti suite a un referendum…le peuple francais a decide qu il s en aille et il est parti

    Anonyme
    16 mars 2019 - 8 h 46 min

    Il ne doit rien faire d’autre que ranger ses affaires….La peuple a parlé il doit juste écouter

    Salim
    16 mars 2019 - 8 h 38 min

    Cher compatriotes,

    Ce fut et ca restera dans nos livres d histoire c est indeniable, le caractère pacifiste des marches, la convivialité a cassé d un coup le séparatisme d’autant, que le regine avait cousu de fif d’or pour que jamais nous nous organisions , même les Mozabites et les Arabes ce sont réconciliés, c est dire ! Mais le temps joues contre nous….
    Lisez attentivement avant de me mettre un noeud au cou:

    En effet, le pouvoir en place et en place depuis toujours, cela veut dire qu’il sont des milliers de personnes sur les 42 wilayas a controler tout. Je dis bien tout.
    Entre wali,député, et hommes d affaires, ils ont souvent des lien de parenté. Cela veut dire qu ils controlent tout l appareil et qu’il sont indéboulonnable sans consensus, négociation et surtout OPPOSITION ! Or, le système le sait! Il n y a pas de personnage de la société civile qui represente et coordonne les revendications des manifestants.
    1- peut on continuer a marché sans objectif et sans projet réel.
    2- sanchant que l armée et du côté du peuple, pourquoi ne pas désigné un personnage emblématique represantant le peuple avec un programme politique.
    3- commencer a negocier avec Ramtame Lamamra idée contre idée, sont sommes une force et nous avons des leviers, et des menaces que l’ont peut mettre a exécutions ! Comme manifester et paralyser le pays a chaque désaccord.
    4-le raport de force et de notre côté nous y gagnerons les debats seront contradictoire et riche, lors d assemblée les universitaires émettront leurs idées etc

    Une nouvelle Algerie naîtra, ne gachons pas ce mouvements historiques par le pourrissement, le pouvoir a ouvert une brèche saisissons là.
    Nous donnerons au monde, comme pendant la guerre de libération, une lecon d’histoire et de civime.

    Vive l’Algerie, vive ANP

    chaoui 05
    16 mars 2019 - 8 h 37 min

    Nous voulons le respect de la constitution , le départ de l’ancien système … point final

    Anonyme
    16 mars 2019 - 8 h 28 min

    Il va faire une annonce? On espère que c’est la dernière car aux dernières nouvelles, il semblerait qu’il ne soit même pas allé en suisse, que le président avait rendu l’âme bien avant…c’est ce qui se dit. Maintenait si quelqu’un l’a vu en chair et en os entre temps qu’il nous le dise. Ça dementirait au moins cette information.

    nectar
    16 mars 2019 - 8 h 14 min

    Ah bon!! il est en mesure de faire une annonce? Il faut bien préciser que les perfides qui se cachent derrière lui, vont vouloir nous faire avaler une grosse couleuvre sortie du bois des planteurs à Zeralda…Ce pouvoir n’a pas honte de donner cette image de l’Algérie, sont ils réellement algériens? Bouteflika par sa hargne de s’accrocher au trône, sera la risée de siècle et le malheurs des algériens le poursuivra même dans l’au-delà..Un bon manager, quand il échoue, il sait quitter la table à temps…

    LES BOUTEFLIKA DOIVENT DESCENDRE DU TRÔNE
    16 mars 2019 - 7 h 54 min

    On ne changera pas de slogan, Bouteflika partez

    Nasser
    16 mars 2019 - 7 h 45 min

    Les Bouteflika ne feront aucune concession sérieuse. Ils vont tabler sur la lassitude du peuple. Stratégie d’usure. Parce que clairement c’est un bras de fer entre un clan et un peuple. Le clan a décidé de violer
    la constitution. L’armée est tenue de la protéger, mais sa position reste floue. Et pourtant son engagement à protéger les élections à été clairement annoncé par Gaid Salah. On va vers ou?

      Mohamed
      16 mars 2019 - 8 h 25 min

      Salam aleikoum,

      Un adage bien de chez nous « Es samet yeghleb el kbih », « rana 3igabkoum lel mamat », et un dicton egyptien « ana warek we zemane etaouil »

      La Viriti
      16 mars 2019 - 9 h 25 min

      Ce n’est pas à Bouteflika de décider de quoi que ce soit concernant les modalités de la fin de son règne.
      Il continue à prendre les algériens pour des idiots en lâchant quelques miettes ou en sacrifiant quelques larbins après chaque manifestation les vendredis.

      Pourtant les slogans sont clairs : BOUTEFLIKA DEGAGE.
      Emporte avec toi toutes les malédictions que sont ta famille, ta tribu de naturalisés et tes larbins jettables

    Anonyme
    16 mars 2019 - 7 h 25 min

    « Je dégage », c’est tout ce le peuple veut entendre !

      La Viriti
      16 mars 2019 - 11 h 41 min

      Bouteflika fait semblant de ne pas comprendre que le peuple algérien veut son départ AVEC tout son clan et ses larbins.
      Il est avec eux le fossoyeur de l’Algérie de son peuple et de ses institutions.

      Il ne peut pas se dire garant de quelque transition qu’il soit puisque c’est Lui et son petit ego de frustré qui est responsable depuis 20 ans.

      Sans sa maladie il aurait décrété un royaume en Algérie avec une succession familiale et tribale. Il avait déjà son plan machiavélique : Said, Hamel et Belaiz pour lui succéder.

      Il a voulu nous enterrer vivant et qu’on se prosterne devantses géantes affiches de lui digne d’un petit mégalomane de pacotille…Si au moins il avait une quelconque stature d’homme d’état….Même pas ça !

      P.s : les derniers larbins jetables de bouteflika continuent d’agiter le slogan Bouteflika ou le chaos ou parlant de daesch et de dangers en tout genre….C’est une ruse de marocain…

      Bouteflika n’a aucune dignité. C’est clair et définitif.
      Il n’a jamais aimé l’Algérie et son peuple mais uniquement l’ivresse du pouvoir absolu pour satisfaire ses pulsions destructrices d’un revanchard éternel.
      Un vrai loser.

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