Une source proche de la Présidence : «Belaïz attend un ordre de Bouteflika»

Présidence Belaïz
Tayeb Belaïz en compagnie du président de la République. New press

Par R. Mahmoudi – Quatre jours après l’appel du général Ahmed Gaïd-Salah à appliquer l’article 102 de la Constitution pour déclarer l’état d’empêchement, le Conseil constitutionnel, sous la présidence de Tayeb Belaïz, rechigne toujours à se réunir, comme l’exige la Loi fondamentale, pour transmettre la proposition au Parlement, lequel devrait ensuite formuler la demande de destitution du chef de l’Etat au même Conseil.

Non seulement l’institution que préside l’ex-conseiller du Président ne s’est pas réunie, mais ne s’est aucunement prononcé sur cette question. Ce mutisme inexpliqué risque, s’il se prolonge, de provoquer une grave fracture politico-institutionnelle aux conséquences incalculables. Or, cette attitude montre clairement que le Conseil constitutionnel et son président demeurent sous l’emprise des décideurs de la présidence de la République. Une source proche de la Présidence a confié au quotidien français Le Figaro que Tayeb Belaïz «n’émettra pas le moindre son sans un ordre franc et direct».

Il faut donc chercher à connaître la stratégie du cercle présidentiel pour sortir de ce bourbier ou pour se chercher une «sortie honorable» après sa déconfiture. Le président de la République va-t-il rester jusqu’au terme de son mandat, au risque d’enfoncer tout le pays dans une nouvelle crise institutionnelle ? Peut-il décider, comme le suggèrent certains, de démettre le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, avant de déposer sa démission, histoire de rendre caduque l’application de l’article 102 de la Constitution qu’exige le chef d’état-major de l’ANP ? Cette situation peut, dans un sens, sauver l’honneur du Président mais va mener vers la même situation de vide constitutionnel, similaire à celle qu’a connue le pays en 1991, à la veille de la démission de Chadli Bendjedid, où le président de l’APN de l’époque, pour des raisons jamais expliquées, avait démissionné de son poste. Ce qui, sur le coup, obligea le Haut Conseil de sécurité de mettre en place un Haut Comité d’Etat.

Pour l’instant, les choses continuent à fonctionner normalement, et le président de la République assume toujours officiellement ses fonctions, faisant fi de l’injonction du chef de l’état-major de l’ANP. Pour preuve, il vient de charger Abdelkader Bensalah pour le représenter au 30e Sommet arabe prévu ce dimanche à Tunis.

R. M.

Comment (77)

    Anonyme
    30 mars 2019 - 19 h 19 min

    Le peuple algérien, et l’A.N.P doivent sauver civiquement, légalement, et pacifiquement
    Les blocages, et la paralysie (Blackout & Shut Down) de ses institutions, et de son économie
    L’avenir, et les interets stratégiques, et supremes du pays au dessus des interets, et des calculs
    Des personnes, des groupes, et des clans
    L’Algérie, son peuple, et son A.N.P habitués à surmonter calmement, pacifiquement, et sagement
    Les épreuves, les difficultés, et les problèmes

    -DZ
    30 mars 2019 - 18 h 05 min

    Où est la logique ? Belaiz attend l’ordre de bouteflika pour destituer Bouteflika. Qui a écrit la constitution ??
    La constitution est respectée juste quand il s’agit de sauvegarder leurs privilèges.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 17 h 12 min

    Dans quelques mois au plus, le traitre Belaïz aura à s’expliquer devant le peuple. …

    Adda
    30 mars 2019 - 16 h 45 min

    Petit correctif histoire de donner l’information exacte à notre jeunesse, en 1991 ce n’est pas le président de l’APN qui a démissionner mais c’est le président qui a dissout l’APN avant de démissionner lui même. En tous cas, c’est comme ça que l’information nous a été donnée et c’est cela qui a conduit à la création du HCE pour couvrir le vide laissé

    Suggestion
    30 mars 2019 - 16 h 44 min

    Je pense que la fratrie planque un terrible secret qui défie toutes les lois de ce pays,et peut être même le droit international. Ceci justifierait le silence radio du conseil constitutionnel et le propos  » Belaïz attend un ordre de Bouteflika ». Il est probable que le délai accordé par papa Schulz soit largement dépassé, et vu que cette situation commence très sérieusement à exacerber le peuple, et surtout à plonger le pays dans une crise institutionnelle sans précédent, papa Schulz a cru pouvoir y mettre un terme en adressant une mise en demeure au locataire du conseil constitutionnel, en lui soufflant l’application du 102.Cela expliquerait aussi la démission de Ouyahia, son ralliement hypocrite au peuple, et surtout à souffler à papa Schulz la démission, et non la destitution du chef de l’État. La première mesure est violente,la deuxieme est plus honorable. Je pense que l’enjeu dépasse largement les transferts de fonds, et il serait peut être lié au pseudonyme Abdemadjid Aïssa.
    Ceci expliquerait aussi le pourquoi de l’échec à vouloir trouver une issue immédiate au statut quo savamment entretenu par les affidés du régime.
    Ce qui est à craindre, c’est cette volonté morbide de vouloir pousser le pays vers un état d’urgence pour échapper à la justice. Une transition transparente mettrai à nu de terribles faits. Rabi yastor bladna.

    ABDEL
    30 mars 2019 - 16 h 16 min

    bouteflika reste un mystere,pour beaucoup de gens…comment expliquer,que ce président reste imperturbable devant un soulèvement généralisé? que compte T-il faire aprés le 28 AVRIL?? rester au pouvoir et assurer lui meme la transition ,et donc la feuille de route qu’il s’est fixé pour une durée indéterminée..,?. continuer a penser que ce peuple n’a pas a donner son avis, considéré comme médiocre ???,dans son ESPRIT,l’algerie est -elle une monarchie et c’est a lui,…. de désigner son sucesseur ??

    Anonyme
    30 mars 2019 - 16 h 14 min

    Allo Tayeb, ici Aïssa , commentça va ? Comment ? Tu ne sais pas qui je suis ? Ton pote ,Abdelmadjid Aïssa, pardi ! Ah OK mon cher, comment vas-tu ? Très bien. Je te prie de faire le nécessaire pour me déboulonner de ce siège qui commence à devenir vraiment inconfortable, ne tarde pas trop s’il te plait.

    Naturalisé
    30 mars 2019 - 15 h 08 min

    Chaque jour qui passe sans nouveauté est une aubaine pour les naturalisés et escrocs aux passeports diplomatiques car la planche a billet fonctionne a plein temps en DA qui sont échangés en € et $ au square.
    Ils ne rendront jamais le pouvoir par des moyens pacifiques, attendons nous a des mauvaises nouvelles dans les prochaines semaines.

    Felfel Har
    30 mars 2019 - 14 h 56 min

    Je suis étonné que nous soyons étonnés par la position de Bélaïz. Il a été placé par le clan pour les servir et non pas pour veiller au respect de la Constitution, pas plus qu’il n’est intéressé par la satisfaction des demandes sensées du peuple. L’ordre de ne rien faire lui a déjà été signifié par les frères du président, quitte à provoquer un affrontement avec l’armée et un soulèvement du peuple. Taghenant!
    Autant le peuple est pacifique et respectueux de la Constitution, autant ils se comportent en voyous provocateurs. L’affrontement est inévitable et, étant donné les forces en présence, ils risquent d’être balayés par la tempête qu’ils auront provoquée. Leur entêtement est suicidaire.
    L’armée doit passer à la phase II de la destitution du clan et le démembrement de toute la toile d’araignée qu’il a tissée pour perpétrer la main-mise sur le pays et ses ressources.
    Basta! ¡Fuera! Get lost!

    Mir
    30 mars 2019 - 14 h 48 min

    Donc l’article 102 ne peut être appliqué que sur injonction du principal intéressé. Un comble !
    Vous imaginez un Président ordonner au Conseil Constitutionnel de se réunir pour le déclarer inapte à présider ?
    On marche sur la tête.

      Trêves de caporalisme !
      30 mars 2019 - 16 h 16 min

      Par ce comportement totalement irresponsable, le Président du Conseil constitutionnel, et ses proches collaborateurs, considèrent-ils la loi fondamentale du pays comme une sorte de « self-services ». La réciprocité morale n’est-elle valable pour M. Belaïz qu’à sens unique ; au mépris de tout un peuple.
      Ce peuple que vous « déconsidérer » ne vous oblige-t-il pas conformément à l’Article 7 de cette même Constitution dont vous êtes le grand commis ; à lui rendre régulièrement des comptes au lieu de continuer de le regarder avec dédain.
      Ce peuple qui est la source de toute autorité, et La souveraineté nationale lui appartient seul, n’a-t-il pas donc au moins à votre niveau le droit de savoir où se trouve en ce moment son Président… dont vous attendez un ordre de lui … Pour activer un article constitutionnel que l’Institution militaire a jugé nécessaire dans une situation délicate que traverse le pays.
      Tout compte fait, savez-vous au moins dans quel état de santé se trouve le Président de la République! Que dit son dernier bulletin officiel de santé… s’il y a bien bulletin ! « On oublie souvent les injures, mais le mépris ne se pardonne jamais » comme disait l’Écrivain et homme politique anglais Philip Dormer Stanhope, dit Lord Chesterfield…

        Anonyme
        30 mars 2019 - 17 h 00 min

        Conseil Constitutionnel, Conseil de la Magistrature, Assemblée Nationale, Sénat, tout ce ramassis de structures ne sont que des coquilles vides aux ordres de Fakhamatouhou. Continuer à faire appel à ces structures c’est jouer le jeu du Clan.

    be or not to be that is the question
    30 mars 2019 - 14 h 32 min

    S’agit-il d’une préliminaire évaluation de la part de l’Etat-major en demandant solennellement au Président du Conseil Constitutionnel ; autrement un homme du Président de disqualifier son propre maître ; « celui qui l’a choisi et installé » de justesse à la tête de cette même Institution.!!!!
    L’attitude négative persistante de l’ensemble des membres du Conseil constitutionnel sans exception est-elle recevable vis-à-vis de l’initiative de l’Institution militaire. Ou y a-t-il quelque part « anguille sous roche »
    Le « respect soi-disant intégral » de la loi fondamentale longtemps triturée impunément dont veut subitement s’afficher à ce propos ces derniers, ne peut-il pas être interprété que comme une manœuvre sournoise de leur part. Les tergiversations des membres de ce Conseil ne sont-elles pas une sorte de fuite à l’avant.
    L’ANP et à ses flancs tous les Services de sécurité confondus qui portent en ces moments historiques le fardeau de la stabilité et de la sécurité d’un peuple actif, ne méritent-ils pas un peu plus d’égard, et d’y faire surtout attention…. Messieurs les membres du Conseil constitutionnel…

    Anonyme
    30 mars 2019 - 14 h 30 min

    Au lieu de régler le problème, ils transforment l’Algérie en une salle d’attente.
    Il n’a rien à attendre, le peuple lui dit  »DÉGAGE ».
    Belaiz peut attendre jusqu’au 27 Avril, après, lui et son attente ne seront plus légitime.

    Après le 27 avril, Belaiz et son roi doivent quitter avec leurs attentes.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 14 h 20 min

    Bouteflika et son clan ont kidnappé l’Algérie. Ils veulent provoquer le désordre dans le pays.
    Les intérêts de l’Algérie c’est leur dernier souci.

    Kahina-DZ
    30 mars 2019 - 14 h 01 min

    Cette phrase  » J’attends l’ordre de Bouteflika » c’est du déjà vu mais au niveau de l’APN…Bouhadja.
    Vont-ils cadenasser la présidence
    Belaiz sait bien que Bouteflika ne donne plus d’ordre. Il va attendre longtemps. L’Algérie se dirige vers une impasse dangereuse.

    bozscags
    30 mars 2019 - 14 h 00 min

    qu’ils degagent tous ces toquards on en a marre de les voir!!!

    Anonyme
    30 mars 2019 - 13 h 57 min

    Saïd bouteflika tien s’en fou des marches algérienne et provoque la 25eme armé mondiale… Quel courage

    Anonyme
    30 mars 2019 - 13 h 46 min

    Tayeb Belaiz (الطيب بلعيز), né le 21 août 1948 à Maghnia,
    Tayeb Louh (arabe : الطيب لـوح) (né le 17 juillet 1951 à MSirda Fouaga (Wilaya de Tlemcen)
    Abdelkader Bensalah (en arabe : عبد القـادر بن 17 mai 1942), Fellaoucene, (Wilaya de Tlemcen) 1 janvier 1958 Saïd Bouteflika, 1 janvier 1958 Oujda, Maroc, Maroc
    Abdelaziz Bouteflika, né le 2 mars 1937 à Oujda , Maroc

    ET TOUT SE ROULE ET SE DÉROULE AUTOUR DE LA FRONTIÈRE ALGÉRO MAROCAINE.

      Momo
      30 mars 2019 - 15 h 52 min

      Abdelmalek Sellal né à Constantine, il est originaire d’Ighil Ali
      Ahmed Ouyahia, né à Iboudraane, Tiziouzou
      Ali Haddad, né à Azeffoun, Tiziouzou
      Sidi Said, né à Michelet, Tiziouzou
      Gaid Salah, Ain yagout, Batna

      Est-ce que cela veut dire quelque chose !
      Arrêtons ce régionalisme à deux balles !

    Kahina-DZ
    30 mars 2019 - 13 h 41 min

    Il y’a un sérieux problème. Le peuple rejette tous les complices du 4eme et 5em mandat, mais ils insistent à afficher Belaiz ou autre.
    Des décisions irresponsables qui poussent à la pourrir la situation.

    Otman
    30 mars 2019 - 12 h 55 min

    Il attend la fumée blanche peut être
    C marocains ne veulent pas partir ils sonts honni au maroc et en Algérie.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 12 h 42 min

    Il ne fallait pas du tout laisser Bouteflika faire le 2éme mandat, il est terrible lui et toute sa tribu, des malfaiteurs qui haïssent l’Algérie, ils sont venus pour saccager le pays.

      ZORO
      30 mars 2019 - 15 h 34 min

      J ai horreur des extremistes de tout bord tout comme les esprits non reconnaissants L Algerie a eu besoin de Bouteflika pour une duree determinee qui ne devait depasser en aucun cas les deux mandats .Bouteflika comme bon nombre d humains a cru et on lui a fait croire qu il etait indispensable a l Algerie ,le voila qu il se trouve seul et handicapé , abandonné par tous ses troubadours ,Dommage pour le President qu il n ait pas cru en ce qu il disait dans ces discours  » tab jnani et 3ach men 3raf kdreh « . Dans cette extase et cette euphorie ne soyons pas lâches ,insolents et sans pitié laissons l homme dans son agonie partir sans jamais connaitre son bilan.
      SigneZORO. …Z….

        MELLO
        30 mars 2019 - 19 h 17 min

        Salut ZORO, fantastique ce que le président a fait de nous,
        Il a fait de nous un peuple qui regarde à la télévision ce président qui a été ramené par les militaires , ces militaires qui lui tournent le dos.
        Il a fait de nous des paysans qui ne travaillent plus la terre,
        Il a fait de nous des ouvriers qui ne travaillent plus en usine,
        Il a fait de nous des intellectuels qui ne peuvent plus aligner deux idées coherentes,
        Il a fait de nous des politiques qui disent aujourd’hui une chose et demain son contraire.
        Heureusement, en tant qu’Algériens et Amazighs, nous avons ce sens extraordinaire d’analyse et même de dérision . Au final , il a fait de nous ce qui nous arrive aujourd’hui.

        Anonyme
        30 mars 2019 - 23 h 14 min

        Pitié d’un individu ramené dans les chars de l’armée et a toujours méprisé le peuple algérien, il a détruit l’Algérie par son incompétence, son arrogance, son égos démesuré, il a instauré un système de gouvernance par la corruption, le régionalisme. Dieu tout puissant l’a puni lourdement, mais le problème c’est que dans sa déchéance physique il s’accroche au pouvoir au mépris du peuple. Pas de pitié pour cet individu qui n’a pa eu un seul égard envers le peuple.

    MELLO
    30 mars 2019 - 12 h 41 min

    Belaiz ? Mais qui est ce Belaiz ? Que fait et que représente ce Belaiz ? Président d’un conseil  » anti-constitutionnel » , serviteur de la fratrie présidentielle qui a fermé les yeux sur tous les dépassements de violation de la constitution. En acceptant un dossier de candidature d’un « handicapé  » , bel air à foulé du pied cette constitution qu’il manipule à leur guise. En laissant un chef d’État Major lui voler sa mission de constitutionaliste, belaiz est loin d’apaiser la rue qui lui dit que le seul article majeur et valable : partez tous.
    Le seul message qu’il puisse attendre , c’est celui du peuple et il l’a eu.

    Bas Les Les Masques
    30 mars 2019 - 12 h 34 min

    Les masques sont tombés. Le peuple soucieux de la cohésion interne de son pays, respectueux de son institution militaire, convaincu qu’il existe des officiers modernes et intègres, capables de concevoir une défense nationale fondée sur la citoyenneté, il demeure le dépositaire de la souveraineté nationale. Le peuple est aussi cette assemblée nationale hebdomadaire qui siège tous les vendredis à ciel ouvert dans les rues, et à travers les villes et villages du pays via ses marches référendum pacifiques.
    Kassaman sur le sang de nos chouhadas,que le peuple ne lâchera pas cette fois ci. Sa révolution est joyeuse, elle est celle du sourire, de la joie,de la renaissance de l’Algérie et de son peuple qui ont été bouffés,et enterrés vifs,par des voyous moribonds et sans scrupules.

    TOLGA - BISKRA
    30 mars 2019 - 12 h 06 min

    Est-ce que les articles de la constitution, dans le cas d’espèce, disposent que le « président » du « conseil constitutionnel » doit attendre l’aval ou recevoir au préalable le feu vert ou avoir le consentement préalable du « président » de la république ? NON !!! Sinon, qu’on me montre les dites dispositions… Elles n’existent pas !
    Par contre, il est stipulé que le président du conseil constitutionnel… DOIT S’AUTO-SAISIR !!! Donc, point n’est besoin de l’ACCORD du président malade et mourant ou peut-être même… QU’IL SOIT DÉJÀ DÉCÉDÉ !!!
    Trêve de driblage et de mourawaghat de la part de ce « président » du « conseil » constitutionnel. Ce n’est, tout simplement, qu’un opération de blocage de la volonté du peuple par ce « président » du C.C.
    Le 28 à minuit, IL FAUT PASSER OUTRE à toutes ces manoeuvre dilatoires. L’armée et le peuple constateront la vacance du pouvoir et l’incapacité totale du président de la république qui est sûrement MORT… et prendront le pouvoir pour instituer et instaurer la deuxième république.

    MOHEND OUALI
    30 mars 2019 - 11 h 58 min

    et si BOUTEFLIKA limoge GAID SALAH !!!!!!! c’est du lourd et et du sérieux n’est-ce pas?

    Vous vous moquez du peuple
    30 mars 2019 - 11 h 48 min

    Vous êtes à la fin, partez !!!!! malfaiteurs.

    En colère
    30 mars 2019 - 11 h 34 min

    Moi personnellement je blâme le DRS et les généraux du business qui n’ont rien à voir avec ni L’ ALN ni le peuple ni le patriotisme ni le pauvre pays pour avoir donné les clés du pouvoir aux Marocains parce que ils ont placés leurs intérêts et ceux de leurs enfants avant le bien du pays a commencé par ce maréchal qui vénère fakhamatou chaque jours et on nous jetant la poudre aux yeux avec le piège 102.

    Anonymous
    30 mars 2019 - 11 h 33 min

    Une serieuse et impatiale enquete finira par révéler au peuple algérien que depuis 1999 l’écrasante majorité des responsables politiques, administratifs, economiques et meme syndicaux sont des algeriens d’origine marocaine a divers degrés de filiation.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 11 h 26 min

    tous les commentares ne sont pas objectifs .ils emanent de personnes regionalistes .ild sont opportunustes avec el ouaguef .alors hier ils critiquaient l’armee.le president est dans. ses droits .il est legitime jusqu’au 28 avril .il n’est pas oblige de demissionner .il a proposer une sortie de crise en mettant le train sur les rails en rasant tous et on recommence meme lespartis tous a zero.ils veulent donner l’ordre au president du conseil constitutionnel.ce dernier est legaliste et fidel .il be recoit d’ordre que du president legitime.

    Mohamedz
    30 mars 2019 - 11 h 23 min

    Vivement et pacifiquement cette 2eme République Algérienne gérée par ses authentiqes enfants propres et patriotes.

      Naturalisé
      30 mars 2019 - 16 h 02 min

      Les naturalisés et délinquants en cols blancs ne lâcheront pas le Trésor Public quitte a provoquer une guerre civiles et ils sont capables.
      Leurs familles ont été déjà évacuées vers le France et le Maroc.

    Citoyen Karim
    30 mars 2019 - 11 h 21 min

    Le colonialisme en tant que doctrine de domination politique et d’exploitation économique, que l’Algérie et son peuple ont longtemps souffert, puise le gros de sa force conquérante dans la division des Algériens en les transformant en de potentiels ennemis jusque dans la cellule familiale et travers les populations que constitue le Peuple Algérien.

    Deux expériences militaires majeures en terre algérienne ont réussi à donner leurs fruits aux derniers envahisseurs : l’expérimentation de la bombe atomique et la division des Kabyles qui entraîne mécaniquement celles de toutes les autres ethnies qui forment notre identité.

    Postulat :

    L’idéologie colonialiste s’appuyait sur une soi-disant base juridique mise en place au seizième siècle par la loi internationale de fait, en vigueur depuis, celle du plus fort sur le plus faible et qui justifiait l’occupation des territoires considérés sans maître ou déclarés non constitués sous forme d’Etat, comme mode légal d’acquisition.

    Lorsque les événements du grand virage national de 2006 ont heurté de plein fouet ma modeste trajectoire professionnelle et m’ont fait comprendre en 2009, tout aussi effectivement qu’affectivement, ces réalités sous-jacentes à l’œuvre chez nous, de plus en plus prégnante trois années durant, en étant une des victimes collatérales d’un colonialisme nouvelle version, j’ai décidé de lancer une initiative citoyenne depuis une salle de réunion d’un quotidien national Alger, avec son premier responsable qui m’a facilité le contact avec d’autres personnes politiques. La démarche a fini par être torpillée à cause du manque de clairvoyance d’une situation globale inédite en ces temps, par une personnalité politique algérienne historique : feu Hocine Aït Ahmed, un proche parent ayant malheureusement mordu l’hameçon du jili tab jnanou.

    Le but de l’initiative –relancée peu avant l’actuelle grande révolution dans la perspective de l’anniversaire du printemps berbère- était de provoquer une catharsis comme action psychologique primaire afin d’entraîner par effet boule de neige, une réaction d’enchaînement collective qui puisse nous conduire à l’actuelle formidable conscience collective. Je savais que la chose de par son ampleur, relève du domaine de l’impossible, comme je savais aussi que le temps peut la rendre possible. La bonne graine est déjà semée dans une terre des plus fertiles.

    Le défi était de ne pas succomber aux multiples manœuvres mafieuses insidieuses qui ont suivi depuis, jusqu’à ce que l’actuel procureur général près la cour d’Alger accepte enfin d’ouvrir une voie qui ne manquera pas de mettre un faisceau de lumière sur le fonctionnement du système de ces dernières années, jusqu’à la date du 22 février 2019.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 11 h 20 min

    Ils doivent quitter dignement, et pacifiquement, ils doivent penser, et réfléchir,
    Que l’Histoire sévère ne pardonnera pas, à ceux qui ont entravé la marche de la roue vers
    La Justice, la Transparence, la Démocratie, les droits du peuple
    Mais tout le monde dit que le peuple algérien est un peuple civilisé, pacifique, prudent,responsable, et vigilant
    Alors on devrait garder notre retenue, et notre sagesse, jusqu’au changements, et réformes radicales
    Et totales de nos institutions, et de notre système dépassés

    El Kendy
    30 mars 2019 - 11 h 17 min

    Il ya quelques semaines , j’avais écrit un commentaire ou je demandais au President que la meilleure sortie pour lui
    et sa Cour est de désigner un autre président du Conseil àla place de Bensalah . Ce nouveau président par iterim doit être accepter par le peuple et c’est à lui d’organiser les élections législatives et présidentielle.

    L'arbitre, c'est le peuple !
    30 mars 2019 - 11 h 14 min

    Tayeb Belaiz est en train de jouer au malin, de faire des dribbles politiques mais çà risque de se retourner contre lui définitivement !

    Attention ya Belaiz, dans ce match important, l’arbitre ce n’est une personne en noir, mais c’est tout un peuple. Quand le peuple prend une décision, il n’a même plus besoin d’aller vérifier le VAR , l’assistance vidéo à l’arbitrage. Il sort le carton rouge et peut décider de l’interdiction de rejouer à vie tous les autres matchs ! Attention !

    EL KHOU
    30 mars 2019 - 11 h 06 min

    C’est ce qui explique , son allégeance en priorité à BOUTEFLIKA exprimée clairement lors de sa deuxième installation en qualité de président du Conseil d’abord au président puis à l’Algérie. Mais à priori il n’a rien compris mais semble avoir pris toutes ses dispositions dans le cas ou il prendra la fuite pour haute trahison au pays.

    el ghorba
    30 mars 2019 - 11 h 04 min

    Ce conseil constitutionnel est illégitime, il n’a pas rejeté la candidature frauduleuse de Bouteflika et en plus il a à sa tête un larbin de la mafia Bouteflikienne.
    Il faut le dissoudre.
    Idem avec le conseil de la nation avec à sa tête un naturalisé en plus d’être une larve au service de la pieuvre Boutesrikienne.
    Il faut le dissoudre à jamais.
    Ces institutions sont hors jeu et ne répondent plus aux aspirations et aux demandes du peuple.
    Ce sont des extensions du cancer bouteflikien qui sont là pour faire de l’obstruction.
    Au vu de la situation actuelle du pays, en insurrection calme mais déterminée , la constitution actuelle est devenue caduque.
    Il faut créer d’urgence un comité de salut national formé de personnalités faisant l’unanimité chez le peuple assisté d’un comité de sages de l’armée composé de quelques figures militaires respectées par le pays mais aussi par l’armée.
    Ce comité de sages de l’armée sera le lien entre le peuple représenté par le comité de salut national et de l’armée.
    Ce comité de salut national dégagera rapidement un gouvernement de transition formé de technocrates, de nouvelles têtes, si possibles jeunes, et d’anciens mais tous approuvés par le peuple et aussi par l’ armée.Ce gouvernement de transition aura à gérer les affaires courantes durant la période nécessaire pour écrire la nouvelle constitution et poser les jalons du nouvel état qui devra émerger afin de répondre à la demande du peuple.
    Un état de droit, démocratique et avec une bonne gouvernance et une transparence afin de pouvoir contrôler cette gouvernance et son bon fonctionnement.
    Il faut de vrais contre-pouvoirs, que ce soit au niveau parlementaire , au niveau constitutionnel, au niveau de l’information avec une presse réellement libre mais avec un code de déontologie et une éthique conforme à nos valeurs et surtout une vraie justice indépendante, le modèle étant la justice britannique qui est la seule vraie justice indépendante du monde occidental ( je ne parle pas des petits pays).
    Il faudra dissoudre tous les partis, le peuple le demande, il le crie haut et fort.
    Il faudra acter un certain nombre de gardes-fou dans la nouvelle constitution:
    Pas de parti confessionnel ni de parti se voulant être l’incarnation de la lutte de libération ( Pas de FLN bis). La lutte de libération nationale est un patrimoine national , elle appartient à tout le peuple, à l’Algérie entière et donc à tous les futurs partis sans exclusivité pour aucun d’entre eux. De même, l’Algérie est un pays majoritairement musulman mais pas islamique. L’islam traditionnel Algérien est un islam tolérant, d’ouverture et de la pratique de tous les jours.Un islam pragmatique et humaniste qui a été perverti par le satlafisme et le wahhabisme suite aux pauvres diables qui sont partis en Afghanistan , en passant par l’Arabie saoudite et les camps d’entrainement du Pakistan sous la houlette de pseudo théologiens made in CIA, avec l’argent saoudien et la collaboration de serviles pakistanais avec des instructeurs de la CIA. Tout cela pour aller combattre les russes en Afghanistan dans les années 70 80s et en faire un merdier inextricable. L’afghanistan ne se relèvera jamais de ça, les américains avec leurs larbins saoudiens et pakistanais y ont ouvert une des portes de l’enfer.
    Le rôle de l’armée et des services secrets devra y être défini précisément, à savoir la défense du pays des ennemis exterieurs, défense de l’intégrité territoriale et défense du peuple et de la constitution. Plus de jeu politicien en coulisse pour désigner qui dirige le pays.
    Les besoins de l’armée et ses impératifs devront être garantis par cette constitution.
    Il faut nommer des civils à la tête de l’armée et des services secrets.
    Les services secrets seront aussi encadrés pour éviter tous les dérapages que l’on a eu depuis l’indépendance.
    Ils devront être intégrés à l’armée et être contrôlable et peuvent rendre des comptes à des commissions parlementaires. Pas de Tewfik bis non plus. Personne ne doit être au dessus des lois, pas de police parallèle, pas de barbouzeries du style de celle qui a enlevé Mr le DG de echourrouk. Les lois au dessus de tout le monde. Si certains s’estiment diffamés, il y a la justice , ils doivent porter plainte et les médias doivent être rigoureusement soumis à un code de déontologie et à une éthique respectant les valeurs de notre pays.
    Il faut limiter les pouvoirs présidentiels de façon à créer un équilibre dans la gouvernance et éviter de se retrouver avec un pouvoir cadenassé et répondant aux ordres d’une personne où d’une petite clique comme cela a été le cas dernièrement avec la catastrophe que l’on sait.
    Il faut acter l’indépendance totale de la justice, voir le modèle britannique ( sans les références à leur monarchie bien sûr) en adaptant.
    Une fois cela réalisé, des élections propres auront lieu et dégageront les différents pouvoirs et la nouvelle gouvernance moderne du pays, il faudra s’atteler au plus difficile.
    Il faut reconstruire le pays sur des bases saines.
    Les priorités seront de reconstruire proprement l’école, l’université, loin de toute idéologie, et le système médical.
    Pour l’économie, l’urgence est de reconstruire une agriculture pour au moins assurer l’indépendance alimentaire dans un premier temps.
    Il faut protéger les terres agricoles, zéro construction dessus, et récupérer, par exemple au niveau de la Mitidja les terres fertiles qui ont été défigurées par des constructions hors la loi par des ABRUTIS égoïstes qui se sont foutus de l’avenir du pays.
    Il y a certainement d’autres terres agricoles à récupérer aussi dans les autres régions.
    Ensuite, il faudra développer un tissu de PME et de PMI qui serviront de socle pour des entreprises plus grandes avec l’impératif de répondre aux besoins de l’intérieur, en priorité.
    Pas de camouflage, du style montage ou sous-sous-traitance de bas de gamme avec de l’import export déguisé avec ses dérives de sur facturation et de la corruption qui s’ensuit et qui a mené à la catastrophe d’aujourd’hui.
    Exit l’économie de rente et de bazar.
    Il faut travailler réellement, créer de la plus value et pas de vendre ses ressources, ses biens et bientôt son âme!
    Assainissement du secteur tertiaire et son extension, c’est un bon pourvoyeur d’emplois.
    Dans un deuxième temps, se lancer dans des secteurs de pointe mais en partenariat avec nos voisins du sud de l’Europe et nos amis Maghrebins si on veut tenir la route face aux ogres US, Chine, Japon et dragons asiatiques.
    Il faut remettre au boulot les Algériens.
    L’Algérien quand il est respecté et mis dans de bonnes conditions est un travailleur.
    Il l’a déjà démontré, notamment à l’étranger.
    La richesse de notre pays est son élément humain, ces cadres, sa formidable jeunesse.
    Ensuite, seulement, vient les ressources naturelles, la situation géographique et l’immensité du territoire avec le grand potentiel agricole et énergétique.
    Il y a des cadres de très haut niveau et d’excellence tant en Algérie qu’à l’étranger avec une formidable diaspora qui ne demande, dans a majorité, qu’à participer au développement. Du pays mais à condition qu’il soit dirigé de façon honnête et par de vrais patriotes.
    Un dernier point, il faut cesser de distribuer des privilèges et des passe droits à gauche et à droite, sous couvert par exemple d’appartenance à la « famille révolutionnaire ».
    Ces chouhadas et enfants de chouhadas se sont multipliés sans cesse et ont demandé des privilèges exorbitant , trahissant l’idéal des vrais révolutionnaires de la lutte d’indépendance.
    Un enfant de chahid, une veuve de chahid et un blessé de guerre ont droit à une pension.
    Mais, une fois tirés d’affaire, il faut travailler comme tout le monde et pas demander
    des passe-droits, licences d’importations de véhicules, pas de droits de douanes etc…
    Y aurait-il des citoyens de 1ère, de seconde catégorie etc…?
    Si tout le monde se met au travail honnêtement, avec amour véritable de la patrie, le pays peut se relever et être parmi l’avant-garde des pays les plus avancés de la planète en 10 à 15 ans.
    Il y a des défis énormes à relever ou alors le pays va sombrer et peut-être disparaître au vu de l’avance prise par l’occident et maintenant une grande partie de l’Asie autour de la chine, la Corèe et du japon.
    Il ne faut plus s’accrocher au monde arabe-musulman, car ce monde est sinistré ou dominé entièrement par l’occident.
    Les pays du golfe avec l’arabie saoudite sont devenus des pions de l’occident ( surtout des USA)
    Et ils sont utilisés contre leur population et contre le reste du monde arabe-musulman pour le maintenir au fond du trou à tous les niveaux et piller ses richesses.
    Ils faut les dégager du pays, surtout pas de projets économiques avec eux, ce sont des chevaux de Troie pour la domination US et britannique et s’ensuivra un effondrement total du pays.
    Au travail maintenant, tout est possible, il faut du courage, de l’audace, de l’honnêteté, du vrai patriotisme.
    Vive l’Algérie, vive ses patriotes, vive sa jeunesse et gloire aux martyrs authentiques.

      SI KOUIDER BOUNETEF
      30 mars 2019 - 14 h 03 min

      @ El ghorba 30/03 11:06 – Cher Compatriote, vous savez aussi bien que tous les autres, celui qui occupe un poste de cadre ou haut-cadre à l’étranger est obligé dans la majeure partie des cas d’être de la nationalité du pays où il exerce, et que Da Hmed et ses compères ont promulguer une loi afin de couper tout espoir aux binationaux de revenir au pays pour participer à un haut niveau à la vie économique, sociale ou politique du pays.

        el ghorba
        30 mars 2019 - 18 h 23 min

        Cher concitoyen, ce n’est pas aux chacals de distribuer des certificats d’algeriannité et de patriotisme aux autres.
        En tout cas, cette clique de malfrats a démontré largement qu’elle n’aime pas ce pays et les traîtres ce sont eux.
        Leur loi scélérate sera abrogée vite fait avec le nouveau gouvernement dirigé par des gens honnêtes et patriotes s’ils veulent bénéficier de l’expérience et du savoir de la diaspora.
        On ne va pas nous faire croire que les charlots qui se sont succédés au poste de ministre de la santé valent mieux et apportent mieux qu’un Elias Zerhouni par exemple, s’il le désire et si on le sollicite.
        Il me semble être d’un autre calibres que les pauvres zigotos qui ont enfoncé le système médical en Algérie.
        On n’est pas nommé, en 2002, comme chef de la National Institue of Health aux USA par BUSH comme ça.
        Le Monsieur a vraiment du coffre et il est d’autre stature que les minables qu’on a vu défilé au poste de ministre de la santé en Algérie.

    aladin
    30 mars 2019 - 10 h 47 min

    on doit mettre immediatement les freres boutef en exament pour faux et usage de faux ainsi qu’usurpateur de fonction , tous le clan qui a soutenue cette maffia pendant des années en meprisant le peuple , pour preuve qu’ils avaient peur du peuple a chaque deplacement d’un ministre pas moin de 15 garde du corps l’accompagne on a tous vue ces mecs avec des lunettes qui regarent partous autour du misnistre en faisant croire qu’ils sont là par soutient, on a deja vue cela chez les chef d’etat chinois,poutine, shlomo6, et les roitelet du golf.

    ils ne sont pas du peuple ni de nous certains ont raison de dire que boutef c’est entouré que de marocain faites le compte c’est affolant, mais grace a dieu ils vont cavaler bientot la queue entre les jambes et rendre des comptes un par un

    Abou Stroff
    30 mars 2019 - 10 h 31 min

    je pense que nous traversons une période révolutionnaire et que le fait de s’attacher (bêtement?) à des textes juridiques qui ne reflètent guère les contradictions et les enjeux du moment relève d’une niaiserie ridicule pour ne pas dire d’une imbécilité flagrante.
    en d’autres termes, tous ceux qui aspirent au changement doivent inventer des procédures et des formules qui permettront de passer outre les textes juridiques sans donner l’impression de les « fouler du pieds » (il est inutile, dans la conjoncture présente, de se mettre à dos les « puristes », n’est ce pas?).
    moralité de l’histoire: les textes juridiques reflètent des rapports de force historiquement datés. lorsque les rapports de force sont bouleversés, les textes ne sont plus d’actualité.

      Abou Langi
      30 mars 2019 - 11 h 27 min

      Je dirai même plus !

      Belaiz attend que Boutef l’autorise à lui planter un couteau dans le dos , parce que’il
      n’a pas le courage de se faire harakiri tout seul.

      Wamma ba3d,

      Les textes juridiques ne sont là que pour entériner des situations données. Or la situation actuelle est inédite. Ce n’est pas seulement parce que le droit n’offre aucune alternative au pouvoir parce qu’il se croyait éternel et omnipotent. Aucune religion n’ a prévu de remplacer Dieu au cas ou il n’existerait pas .

      Concernant Boutef , il sait que ce n’est pas au peuple qu’il doit sa fonction mais directement à Dieu. C’est un président de droit divin dont la présidence n’est pas régie par les lois humaines.

      Or, le peuple dans son plus grand blasphème croit que c’est le peuple qui confère le pouvoir sous prétexte que c’est l’article 7 de sa constitution qui le dit.

      C’est là amounavi son l’erreur. Car koulchi bi idni allah.

      Alors, soit le peuple se met à genoux et prie que le Mahdi ou l’oracle oula Godot ga3 yestadjibou le nouveau droit qui leur permettra de dégommer le système , soit il dégomme le système que le droit vienne de lui-même ou ne vienne pas .

      Otman l
      30 mars 2019 - 13 h 04 min

      Avec quoi il va le limogé .avec une lettre !
      écrite par qui ? Said ,haddad,sid Said,
      Ou cheikh zaouiya d’ail oujda

    El Kendy
    30 mars 2019 - 10 h 27 min

    Tous illegitimes du président Bouteflika au conseil constitutionel en passant par l’assemblée, le conseil d’état et le Gouvernement. sauf le peuple et les revendications du peuple sont legitimes.

    Ya dada Tayeb Belaîz !
    30 mars 2019 - 10 h 16 min

    Tayeb Belaïz, Président du Conseil constitutionnel, n’a en principe à attendre aucun ordre de quiconque ! En effet, dans la dernière lettre Bouteflika lui-même a bien dit qu’il ne voulait pas se présenter et il a reconnu lui-même que ses capacités physiques et mentales sont très amoindri ! Qu’est-ce qu’il veut ce Tayeb ??? Qu’est-ce qu’il cherche ??? Qu’il ne joue pas trop au malin, çà risque de se retourner contre lui et çà va lui faire très, très mal. On ne joue pas avec un pays,avec son avenir !

    fecuoy
    30 mars 2019 - 9 h 59 min

    justement il est venu pour ça.il veut démolir l’Algérie d’une manière ou d’une autre.

      Anonyme
      30 mars 2019 - 11 h 21 min

      S’ils ont un minimum de conscience ils doivent privilégier la nation et se chercher une sortie honorable. C’est pas top tard. Sinon ils finiront comme kadafi et sadam dans des caniveaux et alimenteront la poubelle de l’histoire.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 9 h 57 min

    Il faut les généraux honnêtes ! Fassent pression sur gaid pour envoyer un message à cette smala suicidaire méprisant son peuple dont ils ne font pas parti que si ils ne démissionne pas , ils seront jugés et mis en prison ….il faut les laisser partir si non ils mettrons à feu et à sang ce pays. ….et laisser par la suite le peuple décider de leurs avenir avec des nouvelles élections présidentiel ou chacun pourra se présenté avec un programme politique et économique et non religieux ou ethnique. Il faudra nommer dans chaque wilaya un comité de surveillance des élections. Vive l’Algérie

    Anonyme
    30 mars 2019 - 9 h 50 min

    Un Conseil Constitutionnel inféodé à un Président de la République qui n’a pas cessé de s’assoir sur la Constitution sans jamais provoquer de réaction de la part de cette autorité censée être au dessus des gouvernants a perdu sa raison d’être. Ses membres indignes tenus en laisse doivent être jetés à la poubelle. Et en plus ils nous coutent de l’argent pour rien.

    BabElOuedAchouhadas
    30 mars 2019 - 9 h 24 min

    Moi maintenant je ne dis plus qu’ils dégagent tous chez eux au Maroc mais je dis qu’il faut les mettre tous en prison (je parle des marocains du Clan d’Oujda et de leurs soutiens oligarques à savoir : les freres Boutef, Bensalah. Belaiz, Louh, Ould Abbes, Amar Saidani, Ouyahia, les frères Haddad, Sidi Saïd, Amara Benyounes, Allioui de l’UNPA, Ghoul etc…etc…etc…

    maori
    30 mars 2019 - 9 h 03 min

    C’est la fuite en avant. Ils veulent mener le pays au chaos. Ils n’ont plus rien à fiche, après eux le déluge. C’est une opération suicidaire qu’ils mènent contre eux-mêmes et contre le peuple. Ils se font harakiri. bouteflika à bien balisé son système mafieux, ils sont prêts à se sacrifier pour lui, ils lui doivent tout. cela me rappelle gobells qui s’est suicidé avec toute famille pour hitler dans son bunker
    Eh bien! bouteflika les emmènera avec lui. La prochaine constitution devra prévoir que le président et les membres du conseil constitutionnel ne soient pas nommés par le président mais élus parmi les personnes les plus probes et les plus compétentes, soit par le peuple, en même temps que le président et les députés, soit par les deux chambres réunies parlement. Cela évitera, je l’espère, toute complicité et assurera l’indépendance du conseil constitutionnel.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 8 h 47 min

    Un vrai cancer cette bande de voyous.game over il provoque à mon avis leur lynchage

    Brahim
    30 mars 2019 - 8 h 41 min

    Les Bouteflika et ses chiffons partiront …

      yaya
      30 mars 2019 - 9 h 08 min

      je ne pense pas que le clan boutef partira ils vont mettre le pays à feu et à sang ils ont assuré leur arrières cela aussi leur permet de déguerpir sans être jugés ni inquiétés et croyez moi il y aura bcp de casse c’est 1 système mafieux

    Anonyme
    30 mars 2019 - 8 h 16 min

    est-ce qu’il arrive a ces types de se regarder dans la glace et de se mesurer à leur propre regard. De quelle trempe sont-ils pour être dépourvus de toute dignité, de tout honneur. ?. Sont-ils vraiment musulmans, sont-ils vraiment humains? On les a vu pendant des années plier l’échiner, proclamer même à haute voix qu’ils étaient fiers d’être des chiyatines…On les a vu comparer bouteflika à Adenauer, a jurer qu’ils étaient prêts à voter pour lui même dans la tombe, à mentir en son nom, à le comparer à un envoyé d’Allah…Finalement ils n’étaient tous qu’au service de son frère comploteur tapi à l’ombre du fauteuil; Aujourd’hui ils n’attendent que de voir le drapeau blanc de la reddition pour etre les premiers à applaudir la victoire du peuple..Tayeb belaiz, bensaleh, oud-abbès, benamara, ghoul, bouchoureb, ouyahia, etc…. de la simple valetaille sans passé ni avenir.;;;

    Lghoul
    30 mars 2019 - 7 h 53 min

    Il pourra attendre le reste de sa vie. Il peut meme continuer a jouer a l’aveugle. Rien ne changera : Le peuple ne vous lachera pas.

      Bouteflika est un traître à la nation
      30 mars 2019 - 8 h 15 min

      Bouteflika et sa famille sont des traîtres à la nation.
      Des jusqu’aux boutistes prêts à brûler le pays tout entier.
      Ni éthique ni morale…Comment des personnes de souche algérienne ont pu travailler et obéir à xes fossoyeurs ????? Les harkis ne sont jamais partis d’Algérie.

      Belaiz n’a qu’un pharaon c’est Bouteflika.
      Même à l’article de la mort il viole la constitution pour ka énième fois…

      Vous avez la preuve que TOUTES les personnes qui ont servi Bouteflika ne doivent plus jamais exercer de fonction publique. Il y a aussi un facteur pour expliquer cette situation : Bouteflika a recruter de nombreix marocains naturalisés pour le servir car ol n’a jamais fait confiance aux algériens.
      La aussi un article d AP ou un autre organe ne devrait pas tarder à confirmer cette réalité

        La Viriti
        30 mars 2019 - 10 h 09 min

        Je n’aurais pas mieux dit et c’est pas faute de l’avoir dit pendant des années avec parfois, à l’époque, mes propos censurés…

        Les Bouteflika et leur tribu doivent être rayés définitivement de notre pays.
        Il ne doit pas y avoir d’amnistie pour de tels traîtres et fossoyeurs.

    ben
    30 mars 2019 - 7 h 37 min

    QUEL SOMMET? IL NA PAS COMPRIS QUE L’ALGÉRIEN N’est pas ARABE

      Le peuple doit déloger belaiz
      30 mars 2019 - 8 h 44 min

      Ce belaiz est au service du peuple et non au service de cette famille Bouteflika, ce belaiz doit appliquer la loi même s’il est un …. de cette famille qui a détruit l’Algerie.

      Anonyme
      30 mars 2019 - 17 h 05 min

      Foutez nous la paix avec vos problèmes communautaires. L’Algérie fait partie de plusieurs organisations régionales dont la ligue arabe. C’est son intérêt. Si ça vous dépasse, ayez au moins l’intelligence de vous taire.

    Anonyme
    30 mars 2019 - 7 h 35 min

    Où était tout ce beau monde quand le président s’est assis sur la constitution; à commencer par Gaïd Salah. Lui qui prétend être son défenseur. Belaïz il ne faut pas l’oublier est celui qui a permis le premier viol de la constitution et qui s’apprêtait à en commettre deux autres en acceptant la candidature d’un impotent sans qu’il daigne présenter son dossier dans les formes voulues par la constitution.
    Belaïz est passible des tribunaux pour avoir permis le viol à plusieurs reprises de la loi. C’est une haute trahison par un voyou de la pire espèce. Les autres magistrat du conseil constitutionnel ne valent guère mieux.
    Et voilà qu’aujourd’hui tout le monde joue les juristes; art. 102 contre art. 07. Il n’y a que le peuple qui tient réellement à la légalité constitutionnelle. La clique de malfrats qui nous dirige n’en a cure. La seule chose qui l’intéresse c’est comment s’adapter à la nouvelle donne pour récupérer le pouvoir après le passage de la vague; et pour cela, il lui faut du temps; temps qu’elle est en train d’essayer de gagner par différentes manouvrières dilatoires. Elle a besoin de temps également pour mettre à l’abri ce qui peut l’être.

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