Saïd Bouteflika, Chakib Khelil, Nicolas Beau : Khaled Nezzar s’exprime et révèle

révolution Nezzar
Le général à la retraite Khaled Nezzar. PPAgency

Algeriepatriotique publie la déclaration du général à la retraite Khaled Nezzar sur les événements qui ont cours dans le pays depuis l’annonce de l’ex-président Bouteflika de briguer un cinquième mandat. Il revient sur l’arrêt du processus électoral en 1992, les affaires de corruption, sa rencontre avec Saïd Bouteflika et les écrits mensongers de l’agent de la DGSE Nicolas Beau.

Les rues algériennes démontrent tous les jours le degré de maturité des Algériens, tous âges et toutes catégories sociales confondus. Le mouvement jailli des profondeurs du peuple ne s’arrêtera pas tant qu’il ne sera pas fait droit à ses demandes claires et simples : la naissance d’une république où la voix des citoyens sera respectée sans fraude ni manipulation et une justice indépendante qui dira la loi sans injonction, ni pression. La transparence des urnes et l’application sereine et équitable de la loi sont le socle de l’Etat de droit.

Je sais ce que j’encours en écrivant ces mots. Je suis, selon ce qui se dit çà et là, l’homme qui a «refusé» le verdict des urnes et a fait «avorter» une révolution démocratique et sociale en janvier 1992. J’assume d’avoir répondu avec le gouvernement et le Haut Conseil de sécurité à l’appel de l’immense majorité des Algériens pour éviter à l’Algérie l’instauration d’un Etat théocratique. J’assume donc de m’être opposé à un mouvement rétrograde. C’est clair, j’assume !

Avant d’aller plus loin, j’aimerais rappeler qu’une fois les choses clarifiées en ce qui concerne l’intégrisme et le pays mis en état de résister à ses entreprises violentes, j’ai quitté volontairement le pouvoir, y compris mes fonctions de ministre de la Défense. J’ai donné ainsi la preuve que toutes mes actions n’étaient guidées que par l’intérêt de mon pays et non pour préserver des acquis ou des privilèges.

En ce qui concerne Abdelaziz Bouteflika, j’ai été le premier à dénoncer sa gouvernance. J’ai écrit un livre en 2003 pour fustiger le régionalisme, la corruption, la folie des grandeurs, la vassalisation de toutes les institutions du pays, l’achat des consciences par cet homme qu’un accident de l’histoire a placé dans la proximité de feu le président Boumediene et qui a abusé de la bonne foi de ceux qui ont placé en lui leur confiance en 1999. Ce livre sera très prochainement réédité dans les deux langues pour l’édification de beaucoup.

Le résultat de vingt années de faits accomplis et de passé-outre à toutes les règles de bonne gestion, d’aveuglement, d’irresponsabilité et d’addiction maladive au pouvoir a fragilisé le pays.

Le clan, prisonnier de ses phantasmes et s’adonnant à tous les excès et à toutes les provocations, n’a jamais imaginé, jusqu’à la chute finale, que les Algériens, qu’il pensait définitivement anesthésiés, pouvaient se dresser comme un seul homme du nord au sud et de l’est à l’ouest pour dire «assez !».

Une coterie faisant assaut de flagorneries a voulu, sur commande, imposer un cinquième mandat pour un vieil homme cloué sur une chaise roulante. Les courtisans en ont fait une sorte de demi-dieu garant providentiel de la stabilité du pays. C’en était trop pour les Algériens. On connaît la suite.

Jusqu’à la dernière minute, le porte-parole du Président – son frère Saïd – s’est accroché au pouvoir, multipliant les tentatives de diversion, les manœuvres, les manigances désespérées pour garder la haute main sur les affaires du pays.

Pour l’histoire, j’aimerais apporter un témoignage pour dire jusqu’où était décidé à aller cet homme qui ne voulait pas comprendre, qui ne voulait pas imaginer, que le rideau était définitivement tombé.

Je n’ai jamais rencontré Saïd Bouteflika, l’hologramme du Président, excepté, brièvement, une fois au cimetière de Ben Aknoun, à l’occasion de l’enterrement de feu le général Boustila. La discussion – en aparté – avait porté sur la procédure ouverte contre moi par les juges suisses. Tant que j’étais le seul concerné dans cette affaire, j’ai fait face depuis maintenant plus de huit ans. Du moment que les choses prenaient une autre tournure et touchaient l’ensemble de la hiérarchie de l’ANP avec des commissions rogatoires qui prétendent enquêter sur toute l’institution militaire, je devais en référer aux hautes autorités de l’Etat. J’ai demandé à Saïd Bouteflika, au cours de cette rencontre du cimetière, de remettre une lettre au président de la République pour l’informer du glissement de la procédure.

Poursuivi désormais es qualité, en tant qu’ancien ministre de la Défense, sachant que des listes de dignitaires militaires sont établies, prélude à de futures inculpations, et que des enquêtes portées par des commissions rogatoires sont parvenues en Algérie et qu’elles ciblent directement l’institution militaire dans son ensemble, je me devais de saisir le président de la République.

C’est donc la seule fois, et pour cette affaire suisse précisément, que j’ai rencontré Saïd Bouteflika, avant les deux autres contacts, à son initiative, dont je vais parler maintenant.

Le 7 mars 2019, j’ai reçu un appel émanant de lui par l’intermédiaire d’un ami. Il voulait me voir. Après quelques moments d’hésitation, j’ai décidé d’accepter. Nous nous sommes donc vus. L’homme était visiblement dans le désarroi. Il voulait connaître mon opinion sur ce qui se passait dans le pays et sur ce qu’il pouvait entreprendre pour faire face à la contestation populaire.

Je lui dis : «Etant donné que le peuple ne veut pas d’un cinquième mandat, qu’il veut aller à une deuxième République et qu’il rejette les membres de la classe politique en charge actuellement de responsabilités, j’estime qu’il faut répondre à ses demandes. Je vous suggère d’étudier les deux propositions suivantes :

La première proposition :

– Prendre comme base de travail la lettre du Président qui parle de conférence nationale, la compléter en précisant les délais quant à sa durée de vie.

– Donner la date exacte du départ du Président qui ne devrait pas excéder 6 à 9 mois.

– Remplacer l’équipe gouvernementale actuelle par un gouvernement de technocrates.

Inconvénients de cette première proposition : la population pourrait la comprendre comme une tentative de passage en force, de même qu’elle pourrait être rejetée par les autres acteurs politiques comme pour les deux premières lettres.

La seconde proposition, la plus raisonnable :

– Que le Président se retire soit par démission, soit par invalidation par le Conseil constitutionnel.

Parallèlement :

– Désignation d’un gouvernement de technocrates.

– Création de plusieurs commissions indépendantes qui seraient compétentes pour préparer les futures élections et mettraient en place les instruments pour aller vers la deuxième République.

Je suggérais également à Saïd la démission du président du Conseil constitutionnel et ceux des deux chambres du Parlement. Le nouveau président constitutionnel assurerait la vacance du président de la République et légiférerait par ordonnances.

Inconvénient : une maîtrise moins aisée du processus du changement.

Avantage : cette solution aurait toutes les chances d’être acceptée par l’opinion publique du moment que la décision serait entre les mains d’une instance de transition crédible parce qu’indépendante.

Saïd Bouteflika rejeta d’emblée cette seconde proposition, la trouvant, à son sens, «dangereuse pour eux». A la question : «Et si cette énième lettre était rejetée, que feriez-vous ?» Il me répondit : «Ce sera l’état d’urgence ou l’état de siège !» J’étais surpris par tant d’inconscience. Je lui répondis : «Si Saïd, prenez garde, les manifestations sont pacifiques, vous ne pouvez en aucun cas agir de cette manière !» A cet instant, je me suis rendu compte qu’il se comportait comme le seul décideur et que le Président en titre était totalement écarté.

Avant de le quitter, j’ajoutai : «La balle est encore dans votre camp. Surtout, ne perdez pas de temps, le mouvement est en train de faire boule de neige, bientôt il sera trop tard !»   

Les jours suivants, ayant eu quelques échos de ce qu’il tramait, j’ai compris qu’il avait décidé de n’en faire qu’à sa tête. La solution de sagesse que je lui avais proposée ne lui convenait donc pas.

Le 30 mars, vers 17 heures, nouvelle tentative du même Saïd Bouteflika pour me joindre,   cette fois-ci au téléphone. Après m’être demandé s’il était encore utile de lui répondre, j’ai finalement décidé d’écouter ce qu’il avait à me dire. Au son de sa voix, j’ai compris qu’il était paniqué.

Il me dit que le vice-ministre de la Défense et chef d’état-major de l’ANP était en réunion avec des commandants des forces et qu’il pouvait agir contre Zéralda d’un instant à l’autre. Il voulait savoir s’il n’était pas temps de destituer le chef d’état-major.

Je l’en dissuadai fortement au motif qu’il serait responsable de la dislocation de l’armée en cette période critique.

Je suis revenu à la suggestion déjà avancée par moi lors de notre précédente rencontre, à savoir l’application de l’article 7 réclamé par le hirak et la désignation de membres de la société civile représentatifs pour assurer la transition et, ensuite, faire savoir immédiatement après que le Président se retirait.

La balle était de nouveau dans le clan des Bouteflika. Je pensais qu’ils allaient agir rapidement, d’autant que Saïd – il le disait – craignait d’être arrêté à tout moment.

La mise en pratique d’une telle proposition nous aurait sortis de la crise. Ils n’ont pas voulu le faire.

Les calomnies, la rumeur sont à la mode en ces temps de toutes les licences. La désinformation remplit les réseaux sociaux. Nul n’est à l’abri.

Je suis un militaire de carrière. Je sais que le voltigeur de tête attire les feux croisés des tranchées en face. Les tirs n’ont pas manqué. Ils m’ont atteint, sans me toucher. J’ai ma conscience pour moi.

Je n’ai que mépris pour ces montages qui ont été longtemps l’affaire du MAOL, et depuis qu’Internet est devenu une arme de destruction massive, l’instrument des officines du Makhzen et de certains milieux de l’Hexagone agissant par la calomnie et le mensonge derrière des camouflages qui ne trompent personne. Les autres, ceux auxquels je me suis opposé au nom des valeurs que je partage avec des millions d’Algériens, font chorus. Ceux-là ne se tairont jamais. Dans le chaos ils prospèrent. Par le chaos et les divisions ils espèrent aboutir. Il faut rester vigilant !

Je subis depuis 20 ans, devant des juges étrangers, leurs assauts répétés et furieux. J’assume et je fais face avec l’aide de quelques compagnons, sans céder un seul pouce de terrain.

Hier, dans l’armée, j’ai lutté contre la corruption. J’ai écrit et rendu public ce que j’ai tenté de faire et ce que j’ai réussi à faire pour mettre hors d’état de nuire les corrompus qui occupaient de grands postes de responsabilité au sein de l’institution militaire. C’est moi qui ai porté à la connaissance de l’ex-DRS les prévarications de l’ancien ministre de l’Energie Chakib Khelil, en donnant des précisions et des détails. J’ai fait de même pour Orascom dont les agissements ont coûté très cher au pays.

Je n’ai jamais utilisé mon pouvoir pour obtenir un quelconque passe-droit, ni le moindre privilège. Rendu à la vie civile, j’ai créé une entreprise à la sueur de mon front. Je n’ai aucune dette à l’égard de qui que ce soit : banques, administrations fiscales ou personne privée. Je n’ai aucun marché avec l’Etat. Que celui qui soutient le contraire s’avance. La justice tranchera.

Leurs sponsors trouvent constamment de nouveaux moyens pour agir.

La dernière en date de ces manipulations est un article de Nicolas Beau alléguant que mon fils aurait blanchi 200 millions de dollars en Espagne. L’article du 26 avril est un cas d’école de ce que peut commettre un mercenaire au service du Makhzen. Le site Algeriepatriotique, qui renaît pour le service de l’Algérie, ne manquera pas de répondre, point par point, aux élucubrations de Nicolas Beau : le prétendu blanchiment de millions de dollars par mon fils, la soi-disant appropriation des fréquences appartenant aux services algériens, la présumée illégalité des attributions et les imaginaires interventions des hommes du chef d’état-major pour imposer la fermeture de site Algeriepatriotique. Une brochette de mensonges.

Nicolas Beau et le site Mondafrique devront en apporter la preuve devant les tribunaux.

Khaled Nezzar

Comment (160)

    Kamel2018
    30 avril 2019 - 6 h 47 min

    … où se sont passés les centaines d algériens qui ont été arrêtés et ne plus revus par leurs familles qui se rassemblaient chaque jour devant le palais du gouvernement

    Zaatar
    30 avril 2019 - 5 h 39 min

    L’état d’urgence se prépare. C’est ce que j’ai retenu de ce que rapporte le général Nezzar. C’est ce que j’ai retenu car dans ma tête connaissant H’mida, celui-ci ira jusqu’au bout pour conserver ses acquis. Peu lui importe le peuple, les institutions, le pays et toute la vitrine qu’il a sacrifié et continuera à être sacrifié. Le clash finalement aura bien lieu… à moins d’une sagesse qui viendra s’élever au-dessus de tous. Chose qui m’étonnerait mais qui est souhaitée par tous.

    Re-Med
    30 avril 2019 - 5 h 19 min

    Le peuple fidèle aux idéaux de Novembre et le peuple de AP sont avec vous. Merci à vous et à tous ceux qui comme vous ont défendu notre pays contre la peste verte et autres dangers de déstabilisation.

    Mme CH
    30 avril 2019 - 1 h 02 min

    Alors, on se demande pourquoi Saïd n’a pas été arrêté jusqu’à ce jour….pourtant il a été accusé ainsi que Toufik d’intelligence avec FaFa….! Drôle de monde…!

    Justice
    29 avril 2019 - 23 h 38 min

    Fantasmes et non phatasmes.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 23 h 12 min

    Bravo général Nezzar pur ces révélations extrêmement graves, ce malade de Saïd Bouteflika voulait d’un 5e mandat pour continuer ses magouilles alors que son frère est incapable de diriger le pays depuis 2013, et même quand il était en santé. La famille Bouteflika se croyait au Maroc d’où elle est issue, elle s’est comportée en famille régnante dans une Algérie digne, révolutionnaire, n’ayant rien à voir avec le Maroc bien heureusement. Saïd Bouteflika doit être arrêté sur le champ, le peuple le réclame ardemment depuis toujours. Bouteflika a exposé l’Algérie à tous les dangers, il est responsable de toute la corruption qui a gangréné l’État algérien et l’Algérie toute entière, ce malade de Saïd doit finir ses jours en prison pour usurpation de la fonction présidentielle pour pillage de l’Algérie e plus tôt possible , lui le minable parasite qui a paniqué, le faible lâche face au peuple qu’il a méprisé au point qu’il lui a voulu imposer un 5e mandat. Et il a osé demandé à l’armée l’État d’urgence et l’État de siège en Algérie. Pov type tu vas payer pour ce que tu as fait, et rembourser tout l’argent que tu as volé. ARRÊTEZ EN URGENCE SAID BOUTEFLIKA LE TRAITRE, LE VOLEUR, LE MINABLE LE MINUS ET J’EN PASSE.

    salim A
    29 avril 2019 - 22 h 58 min

    Je viens de visionner la vidéo de la dame qui harangue la foule et demande explicitement et sans sourciller les points suivants:

    1. Traduire des généraux algériens à la CPI
    2. Ne pas payer les taxes dont la vignette
    3. Démettre le chef d’état major
    4. Désobéissance civile
    5. etc…

    Ce qui est impressionnant, c’est qu’elle ne s’est pas arrêtée durant toute la durée de son speech. Il est clair que c’était bien préparé. La question est de savoir si elle fait partie des gens munis d’un bidon d’essence à qui on a demandé de se préparer pour enflammer tout le pays.

    La deuxième république tarde à venir mais avec tous les pyromanes aux alentours, cela risque de prendre du temps.

    Achille
    29 avril 2019 - 22 h 49 min

    L’histoire dira à nos enfants ce qui c’est réellement passer en Algérie. Allah yerhamhoum Chouhadas li matou min ajli el houria et sans marchandages.
    Said doit yefhem rouhou
    Le vrai visage est enfin visible.
    Mr Khaled Nezar on lui doit le respect un point c’est tout. Il a le droit de profiter et vivre sa retraite.
    Laissons le tranquille.
    Ces expériences sont précieuses !

    Azulaman
    29 avril 2019 - 22 h 44 min

    J espère que le general Nezzar a formé bcp de petitd nezzar dans notre armée.

    Moskosdz
    29 avril 2019 - 22 h 43 min

    En évitant un chaos certain à l’Algérie,il est tout à fait clair que cet homme soit critiqué de partout,inutile de le rappeler ici qui sont-ils et pourquoi le font-ils?

      Anonyme
      30 avril 2019 - 8 h 13 min

      « il est tout a fait claire .. » ???carapelle kelkun

    IMED
    29 avril 2019 - 22 h 06 min

    Pourquoi n’avoir pas signalé tout ça plus tôt ???
    Il a fallu que ce clan tombe pour révéler tout ça

    Idhourar
    29 avril 2019 - 21 h 46 min

    Ce qui est lamentable à constater, c’est de voir, qu’après toutes les exactions, meurtres et méfaits que ce courant intégriste du FIS a fait subir au peuple algérien, notamment aux algériens modestes et aux intellectuels ainsi que de nombreuses dégradations et années de retards à notre économie, que des algériens(je me demande s’il convient de les considérer comme tels) continuent, bien qu’ils paraissent minoritaires, à soutenir cette idéologie religieuse oh! combien dévastatrice et nuisible pour notre pays, les générations futures et l’Algérie de demain, que nous aimerions moderne, brillante et pas du tout lugubre et sombre.
    Si Khaled Nezzar, après avoir été actif durant la décennie noire, peut contribuer, bien qu’il soit retraité et quelque peu âgé, par son influence au sein de l’Institution militaire pour que cette dernière demeure vigilante parce que les extrémistes religieux, ceux du FIS dessous dont le courant est toujours actif, comme le commun des mortels a pu le constater lors de l’enterrement récente de Abassi Madani, les Salafistes dont les militants ont exprimés leurs mécontentements de voir les marcheurs par millions du Mouvement populaire s’en prendre à ce qu’ils appellent « hakem ».
    Si Khaled Nezzar devrait aussi, dans la mesure du possible, tenter d’influencer le Commandement militaire pour que ce dernier choisisse la voie du Peuple et décide sans aucune ambiguïté de l’accompagner dans ses revendications des plus légitimes.
    Enfin Si Nezzar, sera certainement très utiles en vue de l’assainissement de notre armée, qui est loin d’être à l’abri de tout reproche, notamment certains de ses officiers, ainsi que pour faire en sorte que nos soldats puissent regagner les casernes après cette période de transition, qui risque d’être difficiles à plus d’un titre.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 21 h 34 min

    Nezzar a sauvé l’ Algerie d’ une talibanisation génocidaire du pays.
    L’histoire jugera.
    Les trolls et chauves souris peuvent vivre en Algérie comme les Amish aux USA mais pas de parti politique confessionnel ni de charia .
    Ceux qui veulent cela n’ont qu’ à aller en Arabie saoudite, au Pakistan ou en afghanista.
    L’islam algérien ancestral est ouvert et tolérant, nous n’avons s pas de bourka, ni de hijab, ni de jalbab ni de hijab.
    Nous avons s le hayek, les belles tenues traditionnelles kabyles, chaouis, constantinoises, tlemcenien ainsi que celles d’autres régions!

      Anonyme
      30 avril 2019 - 12 h 20 min

      et les 200 000 algériens morts, ça compte pour du beurre dans tes calculs…..

        Anonyme
        2 mai 2019 - 11 h 30 min

        Les 200000 morts sont à mettre au compte de l’internationale intégriste islamiste saoudo-americano-pakistano-qataro-emirati-koweito-afghane avant tout!
        S’ils avaient gagné, il y aurait eu 4 millions de morts , un genocide polpotointegriste!

    Redouane
    29 avril 2019 - 20 h 48 min

    Merci, mon general.
    Un citoyen.

    Tahar
    29 avril 2019 - 20 h 43 min

    A mon avis, votre carrière et les fonctions que vous avez occupées dans la haute sphère de L’État, normalement vous connaissez le système politique comme votre poche.
    Alors, il est temps de dire la vérité, la machine stalinienne Algérienne a fait du mal à ces Algériennes et Algériens innocents, beaucoup de personnes ont souffert gratuitement.

    Parler c’est sortir du silence. Dire la vérité est un Devoir, une gratitude. Un Salut pour Une Algérie Unie et Libre.
    Merci pour votre déclaration. Il faut dire toooouuuuuuuuuut.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 20 h 43 min

    C’est terrifiant. Ce Said Bouteflika doit aller en prison. C’est un psychopathe ! Il a vendu la santé de son frère pour sa folie de pouvoir. Cet homme est malade, c’est un psychopathe.

      SoyonsLogiques
      30 avril 2019 - 1 h 08 min

      Gaid Salah ne touchera pas à un seul des bouteflika.ll en a donné l’assurance aux qataris qui continuent à s’immiscer dans nos affaires et proteger les ennemis jurés de notre pays,de notre peuple et de notre facon de vivre comme ils ont protégé le criminel Abassi Madani dont el magharibia appartenant à l’un de ses fils financée egalement par les predateurs qataris qui tente d’eriger madani en heros.Ce
      Abassi en 1992 a rejeté tous nos symboles en l’occurence notre emblème national que nos jeunes arborent dans tous les coins et recoins du globe,emblème qu’il a troqué avec celui de l’arabie saoudite .Ses troupes lors des marches en tenues afghanes arboraient l’emblème saoudien.
      Or samedi,le jour de son enterrement ,ses fidèles résidus ont salis notre emblème en l’ayant utiliser pour couvrir son linceul,histoire de dire que madani est un pur algérien patriote,alors qu’il a fait sombrer dans le chaos son propre pays selon la feuille de route qatarie.

    Nasser
    29 avril 2019 - 20 h 29 min

    Nicolas Beau se permet parce que nos médias et certains de nos malfaisants lui ont ouvert les portes !
    Nicolas Beau est connu pour sa haine et ses manipulations rémunérées de l’Algérie !
    Souvenons-nous !
    Saadani a fait condamner, en France, Nicolas Beau pour diffamation ; depuis, il a fermé sa gueule ! Il n’a pas déposé de plainte contre les médias algériens bien que l’ayant malmené en reprenant, presque mot pour mot, les affirmations de Nicolas Beau que les mêmes médias critiquaient pourtant pour ses positions contre l’Algérie !
    Dès que ce Nicolas a été condamné par la justice Française cette presse algérienne s’est subitement tue en n’ayant
    même pas eu l’honnêteté de rendre compte du jugement !
    Même notre Gle Khaled Nezzar n’a pas échappé à la diffamation de cet énergumène et son « Mondafrique »!
    Citation de Nezzar « J’ai choisi cette période qui tombe à point pour déposer plainte contre Mondafrique et la journaliste auteure de ces élucubrations » (en 2016 ?)…L’a-t-il fait ?

    Anonyme
    29 avril 2019 - 20 h 03 min

    ce que je me rappelle de la position de Nezzar concernant Bouteflika, et cela est consigné dans les journaux de l’époque, c’est qu’il avait dit ceci  » c’est le moins mauvais des candidats » autrement dit, il estimait que Bouteflika était meilleur que Ait ahmed, Hamrouche, Ahmed taleb al Ibrahimi et tous les autres réunis !!!!!!! Aprés 20 ans le resultat est la….Comme quoi les opinions de nezzar reste de simples opinions par toujours justes

    Apulée de SALDAE
    29 avril 2019 - 19 h 57 min

    « Je sais ce que j’encours en écrivant ces mots. Je suis, selon ce qui se dit çà et là, l’homme qui a «refusé» le verdict des urnes et a fait «avorter» une révolution démocratique et sociale en janvier 1992. J’assume d’avoir répondu avec le gouvernement et le Haut Conseil de sécurité à l’appel de l’immense majorité des Algériens pour éviter à l’Algérie l’instauration d’un Etat théocratique. J’assume donc de m’être opposé à un mouvement rétrograde. C’est clair, j’assume ! » » Rien que pour cette vérité assumée et que je partage avec vous comme des millions d’autres algériens qui ont connu les affres de cette hydre voulait via un état théocratique renvoyer l’Algérie au moyen âge , Je VOUS dis mes respects mon Général. Le pays vous doit beaucoup , l’histoire le confirmera.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 19 h 15 min

    je salue le rrtour d’algerie patriotque .je rejoinds le point de vue de chalabi .on connait bueb l’histoire de l’algerie .on connait ceyx quu ont lutte pour la sayvegarde du pays .on n’est pas avec el ouaguef on n’est oas regionaluste .on connait comment finctionait le pays ay temps de chadli et de zeoual .on connait cet adage quu disait celui qui n’a pas etudie au temps de bouledienne n’etudiera jamais celui qui ne s’est pas enrrichi au temps de chadli ne s’enrrichira jamais et celui qyu b’est pas mort au temps de zeroual ne mourra jamais .el fahem yafhem

    Anonyme
    29 avril 2019 - 18 h 47 min

    Attention !.
    La révolte 5 Octobre 1988 qui a mené à une ouverture démocratique a été détournée par le FIS et ona eu 10 ans de terrorisme et 20 ans de bouteflikisme avec des résultats catastrophiques, en particulier, sur le plan économique . La révolution du 22 Février 2019 qui demande une transition démocratique peut être détournée par le MAK et il est facile de deviner les conséquences par ‘Algérie

      Ammimourad
      29 avril 2019 - 21 h 57 min

      Mr Nezzar, une question:

      Said Bouteflika est il toujours au poste de. Conseiller du président?

    Mahrez
    29 avril 2019 - 18 h 44 min

    Merci pour tout ce que vous avez fait..

    MOHAMMED BEKADDOUR
    29 avril 2019 - 18 h 39 min

    Ya Seyiddi Khaled Nezzar, vos compatriotes lisent, et notent, si contre vents et marées El Jazaïr a survécu, elle le doit aux êtres comme Vous, pas aux dormeurs évidemment ! Il y a tant à dire, et tant à faire !

      NoublionsPas
      30 avril 2019 - 12 h 45 min

      Noublions pas que le fis ,lorsqu’il a repris les APC,tous les anciens employés qui n’étaient pas barbus ont été congédiés et remplacés par des barbus.Je sais de quoi je parle puisque mon propre cousin qui était en charge de l’état civil dans l’APC de ma ville natale a trouvé un barbu à dans son bureau au retour de son congé d’aout.Il es alors resté sans occupation jusqu’à ce qu’il soit parti.Les agents du FIS,des qu’ils ont pris place dans les APC,n’ont pas attendu pour se partager les biens de l’état,des terrains à batir,des commerces etc,sans compter l’utilisation à des fins personnels des moyens de l’APC
      (voiture de service,engins de travaux publics etc..).
      Avec le FIS,tout individu qui n’était pas de leur coté n’etait plus algérien.
      Et lorsqu’ils etaient certains de leur succés aux presidentielles,ils n’ont pas attendu l’issue du scrutin pour annoncer par le biais de Mohamdi Said ,les couleurs et annoncer leur facons dont ils envisageaient gérer notre société qu’ils comptaient talibanniser en rejetant tous les symboles de notre société.
      Il ne faut pas oublier aussi que ce mème FIS affichait dors et dejà les personnes civiles politiques et militaires dans des listes affichées partout dans les lieux publics condamnées à ètre supprimées physiquement.La suite on la connait.
      Et à présent on tente de rehabiliter Madani tel un heros alors qu’il a envoyé à la mort violente des milliers de jeunes qui ont cru naivement à ses discours rédigés au qatar.On tente de le rehabilite en couvrant son linceul avec notre embleme national qu’il a rejeté,pietiné en 1992 lui preferant celui d l’arabie Saoudite.
      Sans le courage,l’abnegation du General Nezzar,que serions nous aujourd’hui:des sous-fifres du qatar et des saoudiens.Noublions pas que tous nos islamistes (Msp,Nahdha etc..) ne sont que des executants des feuilles de route des moyens orientaux ennemis de notre devenir.
      ElMagharibia joue un jeu dangereux !!!!

    MELLO
    29 avril 2019 - 18 h 28 min

    Pourquoi le message de la RUE est dévie et usurpé ? Le premier qui devrait répondre à la justice est bien Said Bouteflika ,avec cet acte gravissime d’usurpation du Cachet officiel de la RADP.
    Mon Général, vous devrez répondre à cette devance , en vous mettant du côté du mouvement.

    Hamoud
    29 avril 2019 - 18 h 20 min

    Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur Khaled Nezzar et le jugement que l’on peut porter sur son action dans les années 1990, il faut lui reconnaitre cette qualité rare : il a toujours été cohérent dans sa démarche, fidèle à ses convictions, ne s’est pas dérobé face au feu adverse et s’est inscrit en faux, à chaque jonction critique qu’a eu à traverser le pays, contre les compromissions viles et les calculs délétères auxquels se sont adonnés ses collègues hauts gradés et anciens subalternes pour non pas sauvegarder le pays mais leurs propre personne et intérêts matériels.

    Rappelons que Khaled Nezzar a été l’un des seuls à s’opposer ouvertement et publiquement, et contre l’avis de la quasi totalité de ses collègues qui dirigeaient le pays, contre le parachutage du « canasson » Bouteflika comme il l’avait si justement qualifié. Nezzar n’avait manifestement pas oublié que le « canasson » en question s’était débiné la que entre les pattes, en 1994, au plus fort de la décennie noire, lorsqu’on lui avait proposé de diriger le pays. Il est vrai que diriger le pays en 1994, dans un pays sans le sou, empêtré dans une guerre sans nom, isolé internationalement, n’était pas une sinécure et demandait des qualités d’un vrai leader. Face à cette forfaiture, il a donc fallu faire appel à Lamine Zeroual qui lui n’a pas hésité un seul instant à relever le défi.

    Aujourd’hui, Khaled Nezzar prend l’histoire à témoin en révélant le machiavélisme pathétique d’un Raspoutine en papier-carton qui, pour perpétuer l’autocratie, a tenté de l’impliquer dans ses nauséabondes manigances, essayant de jouer un général contre l’autre, Nezzar contre Gaid Salah, comme il l’avait fait avec l’ancien chef du DRS quelques jours plus tôt, et comme son mentor de frère l’avait fait auparavant avec d’autres hauts gradés.

    Mais, comme dit le dicton, on n’apprend pas à un vieux singe à faire la grimace… Et, en un coup de main, Nezzar qui n’était demandeur de rien, a soupesé le Raspoutine en herbe qui voulait le rouler dans la farine, lui fit savoir sèchement d’aller se servir un verre d’eau et de prendre ensuite le chemin du musée des antiquités en attendant les bancs du prétoire.

    Car comment se porter au secours et encore moins se montrer complice d’un régime qui, en 20 ans de règne, a incrusté au plus profond du corps social algérien la culture de la corruption, l’incompétence, le renversement des valeurs de travail et de civisme, la flagornerie, la rapine et, surtout, la servilité – une servilité qui a conduit des hommes et des femmes – premiers ministres, ministres, députés, sénateurs, walis, etc. – à servir à un vieil homme, paralysé et aphasique, du « fakhamatouhou » et du « moudjahed el kabir » à chaque détour de phrase et toujours de manière ostentatoire, à se prosterner devant son portrait comme au temps de la djahilia ou des sociétés primitives et, comble de l’indécence, à offrir à son portrait en papier glacé un canasson, un vrai celui-là.

    Peut-être que dans leur idôlatrie, ces thuriféraires sans honte et sans décence, pensaient-ils que leur canasson en papier photo allait soudainement prendre chair et os et enfourcher leur offrande pour une cavalcade dans le ciel crépusculaire !

    Qui donc aurait pu imaginer que dans l’Algérie du million de martyrs, des hommes et des femmes, adultes et apparemment en bonne santé mentale, en arriveraient, 50 ans après l’indépendance, à adorer le portrait d’un malade en fauteuil roulant et à le qualifier d’envoyé de Dieu ? Envoyé de Dieu !

    Mais offrir un canasson, fut-il racé, à un homme que Nezzar avait justement décrit comme un canasson a été peut-être, et sans que l’on se rende compte sur le moment, le déclic, le moment fort, le tournant du règne d’un homme et de sa fratrie qui, dès le départ, avaient pour ambition maladive non pas de servir l’Algérie mais de se venger de ce pays et de ses hommes en tentant de demeurer au pouvoir contre vents et marées quitte à faire de l’Algérie la risée du monde entier, attenter à la fierté et la dignité reconnues des Algériennes et des Algériens et, s’il le fallait, conduire le pays dans les abysses les plus profondes. Tout ce qui comptait était l’addiction pathologique du clan au pouvoir.

    Alors, au général Nezzar, merci de prendre à témoin l’opinion publique algérienne et bravo pour votre prise de position pour l’histoire en dévoilant cet épisode scabreux ! Maintenant, aux autorités actuelles de prendre leurs responsabilités.

      SI KOUIDER BOUNETEF
      30 avril 2019 - 6 h 52 min

      Ce que vit aujourd’hui notre Pays n’est qu’une suite logique depuis 1962 et l’avènement de la prise de pouvoir par l’armée des frontière, jusqu’à ce jour l’Algérie avait toujours été gérée en dépit du bon sens, un moribond restera un moribond même si d’aucuns ont voulu faire de lui une divinité, non pour gommer son passé mais pour continuer à avoir la main mise sur notre pays et ne pas oublier que le président déchu était le colistier de feu Mohamed Boukharouba, tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la gestion catastrophique du pays depuis l’indépendance et qui sont encore en vie, doivent rendre des comptes à ce peuple pour qui ils n’ont eu que dégoût et mépris, même si comme beaucoup de peuples il n’est pas parfait.

    MELLO
    29 avril 2019 - 18 h 13 min

    Mon Général, on a comme l’impression que le train est déjà passé. Vous venez de nous dire et de nous avouer que Said bouteflika représente une personnalité politique du pays , du moment que vous lui accordez autant d’importance. Vous le voyez, vous l’écoutez et vous lui remettez une missive pour le président , alors que vous pouviez le faire vous mêmes et directement. Vous nous révélez ce que l’Algérien lambda connaissait depuis …. des années. Il ne fallait pas lui donner cette importance. Vous nous dites que l’arrêt du processus électoral de 1992 était pour sauver la République , c’est une vision et une approche sous un angle émanant des tenants du pouvoir , ce qui ne correspond pas à la vision prise sous un autre angle. Cet autre angle qui nous aurait épargné la venue des Bouteflika et la perte de milliers de vies d’Algériens toutes catégories confondues. En 1999, la candidature de Bouteflika , soutenue par l’armée a fait recaler des candidatures de la trempe de Hocine Ait Ahmed, Ahmed Taleb Ibrahim, Mouloud Hamrouche, Mokdad Sifi et Youcef Khatib. La République Algérie démocratique , vraiment Démocratique aurait pu naître de l’une de ces personnalités. Aujourd’hui, le train du changement est conduit par des jeunes , ces jeunes qui ne connaissent rien et qui ignorent les événements de 1992, alors inutile de se fixer sur ces événements tragiques qui ont endeuillé des milliers de familles. Mon General, J’aurais attendu de votre part une tournure autre que celle qui nous bloque actuellement . Vous savez bien que le problème actuel est purement politique, pas juridique , donc faire référence à la constitution est un coup d’épée dans l’eau. Que tout le monde dégage avec leur constitution.
    La seule personnalité que vous devez convaincre de revoir ses calculs , c’est bien Gaid Salah. Il faudrait sortir de cette constitution.

      ZORO
      29 avril 2019 - 19 h 01 min

      Salem Mello .
      A quelques virgules pres ,c est ce que je dirais a monsieur Nezzar ,quoique je n appartiens a aucun des partis, au dessus , au dessous ou dissout.
      SigneZORO. ..Z…

    Momo
    29 avril 2019 - 18 h 01 min

    Je dois comprendre qu’Algérie patriotique a rouvert son livre pour continuer à fournir de l’information. Je ne cherche pas à comprendre les raisons, mais cela constitue une bonne nouvelle.
    Par ailleurs, le cas de Saïd Bouteflika me rappelle le cas de Saddam Hussein et de l’Irak avant son invasion et sa destruction finale par les « forces du bien.» Les informations qui fusaient de toutes part, par les médias occidentaux, était alarmantes et alarmistes quant à la capacité de nuisance de Saddam. On avait même classé son armée comme la troisième puissance mondiale. Les gens sont tombés dans le piège. C’est normal, la désinformation était telle qu’on pouvait croire même au retour du Messie. Mais quand les forces américaines ont envahi l’Irak en quelques heures, on se demandait où était cette troisième puissance mondiale. La suite des évènements tout le monde la connait. Ni arme nucléaire, ni armes chimiques ni armée puissante. Ce n’était que des mensonges pour justifier la barbarie qui suivi l’invasion de l’Irak.
    En Algérie et en ce moment on entend que ça. Saïd a fait ci et Said a fait ça. Et comme lui ne fait aucune déclaration, tout ce qui est dit est pris pour argent comptant parce que les relayeurs de ces informations ne chôment pas les crédules ne cherchent que vengeance contre le monstre qu’on a construit dans leur imaginaire et qui leur aurait tout pris. On a tellement gonflé la baudruche que lorsqu’elle éclatera on ne verra que du vent. Je ne dis pas que Saïd Bouteflika est innocent, mais je reste prudent parce que la démonisation du personnage est flagrante et sortirait des registres des fables tel que El Ghoula. Ce qu’on voit actuellement surtout c’est que des personnes essaient de saboter ce mouvement d’indépendance au sein de la justice parce qu’ils ont des choses à se reprocher ou des privilèges à perdre.
    Enfin, si on est honnête et on a soif d’une justice efficace et indépendante on pousserait dans ce sens pour que toutes les étapes menant à un troisième pourvoir réellement indépendant soient tracées et réalisées. Ainsi, on soumettra à notre DAME JUSTICE et avec confiance toutes personnes ayant de près ou de loin aidé à la spoliation du peuple algérien de sa liberté, sa richesse et sa dignité.

    Brahms
    29 avril 2019 - 17 h 58 min

    Un homme politique doit veiller au bien être de sa population, il s’engage en politique pour réussir cette mission. Or, chez nous, c’est l’inverse qui s’est produit. Tous les citoyens sont pauvres et pour cacher cette misère, on va inaugurer une mosquée ou un tramway ou encore l’aéroport d’Alger afin de faire diversion. Nous sommes très loin du haut niveau. Chassez les voleurs, les brigands, à défaut, on passera pour des clowns.

    youssef nath mohamed
    29 avril 2019 - 17 h 50 min

    une chose est sûre, ce n’est pas Boutef qui a vaincu le terrorisme. vous êtes assurément l’un de ceux qui ont été à l’origine de sa défaite militaire. pour le reste l’histoire jugera chacun sur ses actes. je reste convaincu que vous avez fait ce que votre devoir vous a dicté lors de cette période particulièrement pénible. nous autres simples citoyens ne pouvons juger que sur les actes visibles.nous ignorons tout de ce qui se passe dans les coulisses. a cause de cela nous sommes tout le temps dans l’erreur de jugement. bon retour à Algeriepatriotique, sa disparition aurait été une vraie catastrophe nationale. bon vent et merci d’être revenu.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 17 h 36 min

    Faire la part des choses, c’est prendre en compte les circonstances. Prendre en compte les circonstances, c’est comprendre à quel point il est très aisé de porter des jugements que d’affronter les réalités.

    SaidZ
    29 avril 2019 - 17 h 30 min

    Ouuufff, soulagé et très content de retour de AP. j’avoue que j’étais perdu ces derniers jours…..
    bref, Kahled Nezzar doit s’imposer et faire barrage à ce said boutef qui joue avec l’avenir de toute une nation!
    Nous n’avons plus droit à l’erreur cette fois-ci, nous devons agir et faisons vite.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 17 h 29 min

    En résumé:

    M. Nezzar a dit NON à la venue de Bouteflika. Ça n’a jamais été un secret.
    Toufik a dit oui à la venue de Bouteflika.

    Nous demandons à toufik de ramasser ses intégristes une bonne fois pour toute.

      Anonyme
      30 avril 2019 - 7 h 35 min

      Il faut arrêter avec cette exagération du pouvoir de Toufik, il n’était pas le seul décisionnaire. S’il était si puissant que ça, il aurait refusé, et placé lui même un président fantoche à son service, et il ne se serait pas fait éjecter si facilement, comme un malpropre en 2015.
      Un des principaux responsable du retour de Bouteflika, était parait-il le général Belkheir.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 17 h 28 min

    Chers algériens,ce que vous êtes en train de faire(mains propres)pourrait avoir des conséquences indésirables.Toute la population de l Afrique du Nord est coupable.Les gouvernants ayant été malhonnêtes au départ ont poussé les gouvernés au dérapage.Aujourd hui c est toute la région qui est au bord du fossé.Les voleurs d en-haut forts de leur pouvoir,suçaient le pays impitoyablement franchement au point de pousser les gouvernés à faire de même,chacun à son niveau!Tout le monde trompait tout le monde!La patrie a été livrée,quelque temps après l indépendance,aux charognards,les lions,les hyènes,les loups,les vautours et le reste est dévoré par les fourmis!!Quel procès pourrait-on faire dans cet imbroglio?Arrêter les uns ils vous montreront d autres jusqu au dernier citoyen,le petit fonctionnaire ou employé qui se procure des certificats pour voler un morceau de travail!Tout le monde a volé,tout le monde a triché les uns encourageant les autres.Tout le monde a fait du mal à l Afrique du Nord.L heure des vérités arrive.Des assemblées doivent se tenir dans les quatre coins de notre région,des assemblées où on demandera à Dieu de nous corriger,de nous ramener au droit chemin.Des invocations en masses semblables à celles que nous faisons en pleurs à la Mecque doivent avoir lieu dans les grandes agglomérations de l Afrique du Nord au cours desquelles nous demanderons à Dieu de nous pardonner et lui promettrons de contenir nos pulsions et impulsions,soigner nos actes et répandre la miséricorde.Les voleurs d en-haut restitueront les biens mal acquis et les dévoyés d en-bas se prépareront à la honnêteté.Ainsi personne ne se sentira opprimée

      Algérien
      29 avril 2019 - 20 h 09 min

      D’abord ici ce n’est pas l’Afrique du Nord mais l’Algérie.
      Les voleurs les Algériens les connaissent et ils et elles finiront tous et toute passer devant la justice, n’asseyez pas de noyer le poisson dans l’eau, c’est suspect tout ça.

    nectar
    29 avril 2019 - 17 h 01 min

    Je ne vous connais pas personnellement, ni j’admire ce qui a été fait en 1992..Par contre, je reconnais que c’était le seul remède contre la bête immonde, qui voulait nous replonger 14 siècles en arrière. Jusqu’à ce jour, la vermine islamiste n’a pas disparu de notre quotidien, elle travaille toujours en sourdine avec la complicité de beaucoup d’officines du pouvoir mafieux. Le pouvoir des bouteflika a permis à beaucoup d’assassins d’algériens, au nom d’un islam sorti des ténèbres, de narguer encore ceux qui ont un peu d’amour pour ce pays. Ce samedi passé, on a permis à un criminel notoire d’être enterré avec faste, certainement à côté de celles et ceux que ses hordes barbares ont décapité. Enfin! on ne peut que vous souhaite beaucoup de courage dans votre lutte contre les partisans du désordre et les assassins de conscience…

      Fetzara
      29 avril 2019 - 17 h 26 min

      Les terroristes et leurs idéologues, auteurs d’apologie du crime, ont activement participé à la répression du peuple algérien.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 16 h 58 min

    Ce que je conclus:

    Said n’est pas facile à éjecter. D’où provient la force de Said .
    Said a sûrement le soutien des extra-terrestres.

    ALGÉRIENS
    29 avril 2019 - 16 h 51 min

    Le FIS n’a jamais gagné les élections.
    C’est la violence du FIS et ses menaces devant les bureaux de vote qui ont gagné.
    N’oublions pas que le FIS avait les communes/ daira sous son emprise. Il a eu tout le temps de trafiquer. Le FIS a fait voter même les morts. L’islam de Abassi.
    Les barbus se sont partagés les terres et les logements en excluant le reste du peuple.

    On a respiré quand vous avez dit STOP aux afghans pseudo-Algériens.
    MERCI et l’histoire s’en souviendra….

      Fetzara
      29 avril 2019 - 18 h 01 min

      M. Nezzar, j’ai personnellement été victime du terrorisme, en 1994 et je n’ai pas de mots assez forts pour vous dire combien, dans ces conditions, la présence de l’Armée nationale populaire était rassurante et réconfortante. Aujourd’hui comme hier, certains milieux intentionnés profitent des quelques problèmes inhérents à toute organisation –qu’il faut bien sûr condamner et vous l’avez fait- pour jeter le discrédit sur cette belle institution du peuple dans sa globalité. La réponse du peuple est dans « Echaab El-Djeich khaoua khaoua » ; un mot d’ordre qui résonne comme un serment éternel. Aujourd’hui, au moment où l’Algérie s’apprête à écrire l’une des plus belles pages de son histoire, nos pensées doivent aller à ce militaire, qui scrute le ciel et les horizons pour s’assurer que nous sommes collectivement à l’abri de tout danger et à cet autre djoundi simple, enfant du peuple, intrépide et vigilant qui, au fin fond du désert, veille à la sécurité de notre pays.

      EXACTEMENT, le FIS n'a jamais gagné les elections
      29 avril 2019 - 18 h 01 min

      Il faut dénoncer très fort que le FIS n’a jamais gagné les élections, si je me souviens bien (car j’étais relativement jeune) le FIS avait le numéro 7 pour les élections, on m’a raconté de bouche sûre et certaine que ces barbus acharnés se mettaient devant les APC et inscrivaient sur les mains des vieux le numéro 7 et leur disaient voter pour l’Islam en plus de la violence et de la terreur.

        Anonyme
        29 avril 2019 - 18 h 47 min

        EXACTEMENT.
        ILS ONT USÉ MÊME DE LA VIOLENCE POUR QUE LES SIMPLES CITOYENS VOTENT POUR ALLAH DE ABASSI MADANI.
        Quelle arnaque.
        Chadli et Hamrouche étaient aussi des spectateurs complices.

      Chers algériens
      29 avril 2019 - 18 h 32 min

      Souvenez-vous, lors d’un discours de ce abassi madani à la place des Martyrs, les afghans ont écrit au Laser Allah dans l’atmosphère et tout le monde a commencé a crié ALLAH ouAkbar, les afghans faisaient croire au peuple que abassi était descendu sur terre comme un prophète, malheureusement beaucoup d’ignorants ont été emportés dans cette vague de terreur.

        Anonyme
        29 avril 2019 - 22 h 08 min

        exactement! les agfans sont alors monté sur le rocher de la pêcherie et ont commencé à lancer des flammes avec leurs …, et la foule des islamistes crédules s’est mise à lancer des youyous en criant au miracle..Alors ali belhadj est arrivé sur un chameau vert couvert d’un drap jaune en portant le drapeau du mak en entonant le dernier tube de matoub lounès….Ce fut une vraie nuit folie…..

      Blakel
      30 avril 2019 - 7 h 20 min

      @ ALGÉRIENS
      Exactement, c’est ce que je voulais dire.
      Sans oublier en plus, que le principal parti, à l’époque était déjà celui des abstentionnistes.
      Le FIS avait obtenu au 1er tour des législatives de 1991 :
      3 260 359 voix (soit 47,27 % des 6 897 906 suffrages exprimés).
      Mais rapportées aux 13 265 204 d’Algériens inscrits sur le fichier électoral, cela ne représentait que 24,58 %
      Bravo à tout ceux qui ont empêché l’Algérie de sombrer dans une très longue nuit obscurantiste, en interrompant ce processus électoral biaisé par les intimidations du FIS.

    Fetzara
    29 avril 2019 - 16 h 43 min

    Les forces les plus rétrogrades, profitent de ces formidables instants de liberté d’expression pour jouer aux victimes. Non messieurs ! La guerre livrée aux terroristes, ne peux pas s’apparenter à la répression. Elle a même servi d’alibi au pouvoir autocratique pour perdurer

    Samurai
    29 avril 2019 - 16 h 19 min

    Vous avez tout mon soutient mon générale, et merci pour votre engagement continue pour le pays.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 16 h 05 min

    Tout a été dit: Said = forces anti-constitutionnelles.
    Les Algériens le savaient, mais quand on a la confirmation de Nezzar c’est encore mieux.

      Anonyme
      29 avril 2019 - 16 h 28 min

      Ce qui interpelle c’est qu’il ne dit pas mot sur Gaid Salah !….

        Chaoui
        29 avril 2019 - 17 h 50 min

        Et que veux-tu qu’il dise !
        Mais tu as mal lu, il en parle justement recommandant à l’usurpateur du pouvoir de ne pas s’aviser à tenter de démettre le vice-Ministre de La Défense de ses fonctions. En s’exprimant ainsi, le Generel Nezzar s’est soucié autant de l’intérêt supérieur du pays que la stabilité de l’ANP.
        Et que voudrais-tu reprocher au vice-Ministre ! Le fait d’avoir jusqu’ici su préserver la stabilité du pays et veillé à ce que les marches pacifique – La Révolution du Peuple – se déroule sans accroc !
        Qui es-tu TOI pour juger de la sorte un Général ! On dirait que cela t’ennuie devoir régner en Algérie la silmia !

          Anonyme
          29 avril 2019 - 18 h 56 min

          D’abord c’est vous !et non tu!on a pas élevé les brebis ensemble. Ensuite votre hymne dithyrambique sur Gaid Salah c’est bon pour un cerveau aussi décérébrè que le votre ,pas le mien .Commencer par analyser déjà ses célèbres galimatias qui lui ont valu ces incessant rétropédalage pour en déduire que non seulement il protège les rejetons mafieux de Boutef mais que lui aussi est aussi scabreux . A bon entendeur salut.

        Anonyme
        29 avril 2019 - 18 h 09 min

        À mon avis
        Said menace tout le monde
        Il a un soutien externe

    Hkm Chao
    29 avril 2019 - 16 h 01 min

    Monsieur Nezzar,
    Pour les Physiocrates, vos  » Révélations » si j’ose les pistes des caméléons seraient un patrimoine justiciable. Caid et son Said encourent la cassation pour absence de motivations patriotiques, c’est bien là ma tristesse prolongée qui heureusement est pleine d’espérance!

    Nadjma
    29 avril 2019 - 15 h 53 min

    Merci de nous éclairer par votre témoignage, on se doutait bien qu' »ils n’allaient pas vouloir lâcher le morceau » comme ça, « ils » croyaient quoi qu’ils allaient rester au pouvoir ad vitam aeternam ! C’est bien aussi de rappeler l’arrêt du processus de la honte, il fallait oser, vous l’avez fait et vous avez bien fait, sinon je ne sais pas où serait l’Algérie aujourd’hui peut-être explosés en 1000 émirats et le peuple algérien vassalisé aux saoudiens puisque ce sont eux que l' »Empire » avait désigné pour nous donner des ordres. A Londres dans ces années là deux journalistes anglais lors d’une conversation m’avaient annoncé que l’Algérie était désormais vassalisée à l’Arabie, un vent de folie avait traversé mon crâne de part en part. Mais grâce soit rendue à dieu ce genre d’aberration que voulait imposer la Grande bretagne qui se prenait pour le maître du monde est de l’ordre de l’impossible. Ils l’ont appris à leurs frais, nous avons certes passé un sale moment pendant la décennie noire, mais nous avons certainement été leur Waterloo. Ils avaient plié la Yougoslavie et jugé son armée, explosé l’URSS et ruiné, ils avaient mis en morceaux l’Afghanistan, l’Irak et d’autres pays encore et c’est en Algérie qu’ils ont mordu la poussière, ils prétendaient tout simplement mettre à jour leurs accords Sykes-Picot en faisant fi de notre glorieuse révolution et de la défaite de l’occident à travers la france. Enfin bref, je crois que les britanniques ont compris deux ou trois trucs, reste la france qui est un peu dure à la comprenette mais ils ne vont pas tarder à comprendre ceux là aussi surtout maintenant qu’ils n’ont plus leurs petits camarades sur place pour les aider. Soyez béni général!

    Anonyme
    29 avril 2019 - 15 h 51 min

    Pour ce Nicolas Beau , pkoi ne pas lui intenter un procès pour diffamation tt simplement , ce n est pas à AP meme si votre fils fait parti des actionnaires principaux d apporter la vérité elle serai d avance flouée mais bien à la justice pour plus de clarté , moi un simple citoyen si quelqu un me diffame à tort je m empresse d aller laver mon honneur et de faire comparaitre l individu en question . Rappelez vous pour Bouteflika avec l affaire » Paradise papers  » le journal qui avait diffamer le president par l apparition de son visage dans un quotidien , le journal Français est aller jusqu’ au bout c est lui Bouteflika qui c est désister a la fin encore une humiliation faite aux peuple algerien qu il incarnait , le journal l attendais pour régler justement cette affaire au tribunal et était sur de ce qu il avançait apparemment ce journal , c est le president algerien qui a abandonné les poursuites et vs savez pkoi vous , j ai une p’tite idée , il aurai pu nous épargner ceci car ca nous a couter des sous encor pour les frais de justice et avocats et voyages de Paris a Alger et vis versa ect pour ses avocats payer au frais de la princesse tt en sachant que cetait juste pour calmer le peuple algerien pour lui montré que le president ne laisse pas l Algerie et celui qui ;incarne d etre salie mais dans ce cas il fallait aller jusqu’ au bout mais lui savait tres bien que le journal l avait coincé .

    larabi
    29 avril 2019 - 15 h 39 min

    pourquoi en arrete oas saeed bouteflika – qu’est ce que la justice attends avec tous ses dossiers et declarations de Zeroual Jusqua Nezar???????

    Antisioniste
    29 avril 2019 - 15 h 37 min

    Des diversions et encore des diversions, qu’est ce qui se passe j’ai/nous avons fumé la moquette ou quoi ?
    Dis par ma petite personne les choses paraissent louche ou idéaliste, mais voilà que Monsieur Khaled Nezzar dit exactement ce qu’on a tous pratiquement dit depuis le 22 février concernant ce qu’il faut faire pour, d’une part faire dégager l’ensemble du système au sens tridimensionnel du terme, et d’autre part pour préparer la transition dans la paix et avec souplesse qui doit se faire selon nos conditions et dans les plus brefs délais, le temps n’est pas notre ami dans cette phase.
    La singulière arrestation et détention de Monsieur Rebrab à titre d’exemple, bien qu’elle soit aussi injuste que désolante, mais le hirak auquel Monsieur Rebrab a participer en marchant dans la rue comme n’importe quel autre citoyen algérien n’est pas née pour défendre une ou quelques personnes aussi innocente qu’elles puissent être. Les objectifs initial du hirak n’ont pas encore était atteint, et depuis le début on n’a pas cessé d’assister à toute sorte de manœuvre visant à briser ou divisé ce hirak aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. Mes très chers compatriotes femmes et hommes, je vous prie de bien vouloir ne pas vous disperser intellectuellement et physiquement. Car aujourd’hui ; plus qu’avant, nous avons grand besoin de nous regrouper non pas pour chanter, mais pour faire en sorte que cette désignations de représentants apolitique compétant de cette révolution inédite qui a donné des fruits que je n’osé même pas espérer pour l’an 4000, mais c’est fait. Maintenant il faut continuer et persister inlassablement jusqu’à ce que nous obtiendrons nos droits, tous nos droits, et réaliseront notre rêve de ce que nous sommes, c.a.d d’être un vrais peuple libre, lucide, prospère et responsable.
    Merci Monsieur Khaled Nezzar pour cette mise au point et cet éclairage sur les récents rebondissements qui ne font que renforcer notre détermination inébranlable.

    Anon-yyme
    29 avril 2019 - 15 h 37 min

     »J’assume donc de m’être opposé à un mouvement rétrograde. C’est clair, j’assume ! »
    Ces deux phrases valent mille articles ! Bravo et merci Général, pour avoir stoppé les islamistes avec tous les autres. Nous vous sommes reconnaissants, hier, aujourd’hui et demain. Bon retour pour le site.

    A Monsieur Khaled Nezzar
    29 avril 2019 - 14 h 59 min

    Monsieur Nezzar,

    Continuez à protéger l’Algérie, merci. Apres vos aveux dans cette publication par AP, agissez en urgence pour jeter said bouteflika en prison, pourquoi est-il encore libre et libéré ? alors qu’il a déformé l’Algérie par une corruption unique au monde. Il aurait vendu le pays si le peuple n’a pas réagi un certain 22 février 2019, date qui sera inscrite dans l’histoire de l’Algérie, date de la fin de 20 années de corruption grave autorisée et assistée par messieurs les bouteflika, le vieux et son frère.

    Un détail, Monsieur Nezzar, auquel il faut une attention particulière c’est le cas des ligues des soit disant droits de l’homme caritas, médecin sans frontières et ainsi de suite sont aussi présentes pour l’effondrement du pays donc que vous même et que des hommes comme vous, certainement forts, agissent pour mettre fin à ce genre d’activités dans notre pays. l’Algérie est jeune et pas encore construite, pas d’hôpitaux, ni universités ni centres de formations dignes de leurs noms n’existent en Algérie après 57 ans d’indépendance et avec des hydrocarbures qui coulent à flot. Il est donc impératif d’éliminer ces activités inutiles des ligues et d’associations des droits humains, implantées chez nous au temps de bouteflika. Ces ligues sont présentes en Algérie que pour nous envahir par des centaines de milliers de peuples étrangers venus des fins fond des déserts pour casser et casser l’Algérie à tous les niveaux.

    Anonyme
    29 avril 2019 - 14 h 53 min

    Pourquoi ne pas constituer une partie civil groupons des citoyens des avocats et juristes pour déposer une plainte pour trahison ou usurpation d’identité et pire la volonté d’atteinte au pays contre Saïd bouteflika avec comme témoin à la barre Nezzar, chihab du RND, benflis et quelques politiciens et ancien ministres?! Cela dis, il est peut être conseillé du président donc pas justiciable

    Sabrina-DZ
    29 avril 2019 - 14 h 41 min

    WOOW, RESPECT M. NEZZAR !! Toujours présent quand l’Algérie a besoin de votre intervention.

    Celui qui n’a pas compris votre message, ne mérite pas la nationalité Algérienne.
    Bravo pour votre courage !

    Anonyme
    29 avril 2019 - 14 h 27 min

    Khaled Nezzar a été le 1er à refuser la candidature du soit disant candidat indépendant,  » candidat du consensus » Abdelaziz Bouteflika qu’il a traité de  » vieux canasson  » .
    D’autres éminentes personnes ont aussi alerté sur la dangerosité à introniser Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême.
    Hélas ils n’ont pas été écoutés, le hableur  » dribbleur » a pu tromper la vigilance des décideurs et en 20 ans de règne despotique a fait reculer le pays plus que ne l’a fait le colonisateur en 132 ans !
    Le résultat est là 20 ans plus tard ! Jamais pareille calamité ne s’est abattue sur l’Algérie.
    Quand aux révélations extrêmement graves faites par Khaled Nezzar sur Saïd Bouteflika elles devraient conduire sans plus tarder le frangin cadet d’Abdelaziz devant la cour martiale, ni plus ni moins.

      Anonyme
      29 avril 2019 - 16 h 14 min

      Mais qui l a apporté Bouteflika apres Boudiaf Allah y rhamo , dis moi stp?

        Anonyme
        29 avril 2019 - 16 h 26 min

        Bouteflika a été imposé à l’Algérie.
        Si je comprends bien, Toufik l’a accepté.

    Tinhinane-DZ
    29 avril 2019 - 14 h 06 min

    La victoire du peuple et son ANP contre les monstres en tenue afghane des années 90 a été volée par Bouteflika qui s’est présenté comme l’ultime sauveur…Une falsification de l’histoire de plus.
    Zeroual, Nezzar et les patriotes qui ont combattu les monstres en tenue afghane ont été marginalisés.
    Le bouteflikisme doit prendre fin. La place aux patriotes Algériens.
    Merci Nezzar
    Merci Zeroual
    Merci à tous les membres de l’ANP qui ont su mettre la daech-isation de l’Algérie en échec. Et n’hésitez surtout pas d’intervenir quand il s’agit de sauver l’Algérie des monstres en tenue des princes charlatans d’Arabie.
    Nezzar, vous êtes un vrai courageux qui n’a pas peur de confronter les situations.

      NNezzar a fait son devoir de Patriote 10 sur 10 Bravo Mon General ...te
      29 avril 2019 - 14 h 28 min

      Le Général Nezzar c pas lui qui a reçu le Terroriste Madani Merzag qui s est inventer de Tuer Nos Djounouds et puis recu en VIP par Ouyahia et Boutesika …. Vive Nezzar le courageux Patriote et vive L ALGÉRIE !!! On sera tjs la avec vous Dezou M3ahoum….

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