Une Algérienne major de sa promotion à Harvard raconte son Algérie

Comment (11)

    Brahms
    9 juin 2019 - 4 h 40 min

    Être diplômé ne veut pas dire être compétent. J’en connais qui ont eu des diplômes grâce a des connaissances, en trichant à l’école ou en recopiant des thèses sur internet ou sur des livres. Je préfère l’intelligence réceptive. Regardez Bouteflika, il était diplômé mais au final, aucun développement dans le pays, le bonhomme ramenant tout à lui, moi je, moi je, moi je. Regardez Chakib Khellil avec son poste à la Banque mondiale, au final, il a escroqué le peuple algérien. Regardez Bedjaoui avec ses diplômes parisiens, au final cela à donner 900 millions de commissions occultes puis bye bye tout le monde. Méfiez vous des diplômés, très souvent ce sont des arnaqueurs, ils étudient pour apprendre à voler légalement.

    Pr Zellal
    5 juin 2019 - 15 h 10 min

    Toutes mes félicitations.
    Mais combien parmi nous et parmi nos enfants ont obtenu les plus grands diplômes et Doctorats dans les plus grandes universités du monde ! Sans faire ce genre de tapage. Pour mieux réussir, il faut à présent avoir le courage et surtout la volonté de revenir pour servir l’Algérie comme nous l’avons fait. PR Nacira ZELLAL, ….

    Tangoweb 54
    2 juin 2019 - 12 h 41 min

    Elle a profité des malheureux événements de la décennie noire des années 90 pour se faire passer pour une victime et se faire inscrire dans une grande et prestigieuse université Américaine, au final elle n a rien apporté à son pays d origine l Algérie, au contraire elle glorifie plutôt sa mère et la France bienfaitrice.

      Anonyme
      3 juin 2019 - 21 h 59 min

      Comme il est confortable de juger l’autre avec dédain sur son devenir qui assurément mérite quelques considérations tout de même. Major de sa promotion à Harvard, jeune femme algérienne, et en plus étrangère aux Usa… c’est quand même une belle performance de réussir ses études si brillamment.
      Autrement dit pour toi, ce qu’elle a réalisé n’est pas valable à cause de l’anecdote sur son passage par la France où elle a croisé des gens qui l’ont aidée à s’en sortir. Avec un tel raisonnement il est évident que nous resterons éternellement ce que nous sommes… Nous sommes vraiment au pays de ce ministre qui proclamait haut et fort que nous n’avions pas besoin de Prix Nobel, souviens toi.
      Et qu’est-ce qui te prouve que cette personne ne reviendra jamais au pays pour le servir?
      En tous les cas, elle apparaît comme une excellente ambassadrice de la jeunesse algérienne d’ici et d’ailleurs. Et surtout de la Femme algérienne. Même si elle ne parle pas du pays, elle n’en est pas moins une digne représentante.

        Algerien Pur Et Dur
        7 juin 2019 - 23 h 08 min

        C’est grave cette histoire de liste imaginaire dressee par la france et qui l’a sauvee d’une mort probable si elle etait restee en algerie. La france qui a entretenu la decenie noire, mene un boycott en regle contre notre pays y compris sur celui des armes, est presentee par cette jeune fille a l’imagination fertile comme une main salvatrice, un ange aux ailes blanches. Je la felicite pour ses reussites dans peut etre la meilleure universite du monde mais l’histoire qu’elle a raconte est simplement impardonable.

    Chercher midi à 14 heures ??
    2 juin 2019 - 11 h 20 min

    Cette algérienne major de sa promotion à Harvard ne raconte pas « son » Algérie comme c’est dit dans le titre, mais simplement elle raconte l’itinéraire d’une partie de son l’exil en France d’abord, premier pays, qu’elle a connu avec sa mère ! Elle a quitté l’Algérie 1994, donc au cours de décennie noire et de la de terreur du FIS, et elle raconte que c’est pas hasard que sa mère, qui se trouvé dans un marché public français, s’est rendue compte qu’une association française faisait une action de solidarité envers les exilés politiques et les sans papiers pour les aider auprès de l’administration française à être régularisé. Il arrive que des associations de ce genre se rendent sur les marchés de France pour faire des actions de ce type. Comme un des militants de cette cause s’est rendu compte que la bonne dame (la mère) était illettrée et analphabète, il lui a proposé d’inscrire lui même son nom sur la liste ! Point barre !

    Anonyme
    2 juin 2019 - 9 h 50 min

    Parlons de Meriam Bakri de l’ESI élue meilleure élève ingénieur informaticienne de l’année au Maghreb. Visitez le journal Huffpost Algérie pour en savoir plus.

    Précision
    1 juin 2019 - 20 h 35 min

    Un discours de propagande pour la France qui protégeait les Algériens en leur accordant l’asile au point de faire les marchés pour les enregistrer, ça sent la manip.

    terre à terre
    1 juin 2019 - 19 h 32 min

    Quel bol d’air pur !!!
    Imaginons cette demoiselle ministre des affaires étrangères, comparée à au sinistre messahel.

      Anonyme
      2 juin 2019 - 7 h 21 min

      oui et totalement sous les ordres des usa

        Anonyme
        2 juin 2019 - 8 h 31 min

        Ce qui veut dire pour toi que les algérien(ne)s sont tou(te)s des colonisables et ils n’en sortirons jamais de cet état. Quelle faiblesse d’esprit…

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