La culpabilité des Alliés dans les crimes de la Seconde Guerre mondiale

Hiroshima Holocauste
Les Alliés n'ont pas protégé les juifs de la «solution finale». D. R.

Par Mesloub Khider – Depuis plus plusieurs années, chaque année, le 27 janvier, les chefs d’Etat de nombreux pays s’invitent à la cérémonie dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, pour célébrer la libération des 7 000 survivants des camps de concentration, en particulier le camp d’extermination d’Auschwitz, libéré le 27 janvier 1945 par l’armée soviétique. Chaque année, les médias diffusent en boucle les mêmes insupportables images des derniers survivants faméliques au corps affreusement décharné, en hommage aux millions de juifs, Tziganes, exterminés. Cette overdose d’images diffusées par le camp des vainqueurs, le «camp démocratique», a pour dessein d’occulter et la responsabilité de ce «camp démocratique» dans l’extermination des juifs et ses crimes perpétrés contre les populations civiles au cours de cette guerre impérialiste, sans oublier les bombardements massifs sur Dresde et Hambourg, pour ce qui est de l’Allemagne, Hiroshima et Nagasaki, pour le Japon.

En effet, sa responsabilité est depuis longtemps établie par l’historiographie objective. Les classes dirigeantes du «camp démocratique» persistent à éluder cette sinistre vérité historique : non seulement les gouvernants alliés étaient informés depuis 1942 de la «solution finale» instituée par le régime nazi, mais, complaisamment, ils ont délibérément occulté ces massacres de masse et, plus grave, ont favorisé cette entreprise d’extermination par leur refus de sauver ces victimes du nazisme. Ce silence approbateur et cette complicité criminelle illustrent la nature impérialiste de cette Seconde guerre mondiale, produit du capitalisme décadent, au sein duquel les deux camps étaient des protagonistes criminels. Mais, surtout, il confirme la coresponsabilité des gouvernants des Alliés et du régime hitlérien dans les génocides. En vérité, le «camp démocratique» a volontairement livré au massacre les juifs, pour ne pas avoir à s’encombrer de leur présence indésirable – sur leur territoire.

Historiquement, les camps de concentration étaient principalement des camps de travail, pépinière de main-d’œuvre gratuite entièrement vouée à contribuer à l’effort de guerre. Jusqu’à 1942, ces camps servaient à enfermer les opposants allemands, principalement communistes et socialistes, et les personnes indésirables, notamment les juifs. Ce n’étaient donc pas des camps d’extermination. Cependant, avec les premières défaites militaires subies par l’impérialisme allemand, le régime hitlérien était confronté à l’impossibilité de nourrir sa population et son armée. Aussi, dans l’urgence, décide-t-il de se débarrasser de ses populations surnuméraires internées dans les camps. Et de quelle manière ? Par la mise à exécution de la «solution finale» matérialisée par les fours crématoires et les chambres à gaz. Dès lors, la machine exterminatrice s’ébranle, s’emballe et se généralise à l’ensemble des territoires occupés par les troupes nazies. Cette politique d’extermination de masse est l’œuvre d’un régime aux abois, vaincu sur tous ses fronts de guerre. Acculée par l’offensive irrésistible des troupes alliées, forcée de soutenir financièrement son arsenal de guerre, la bourgeoisie allemande nazie a été contrainte de sacrifier certaines populations indésirables internées dans les camps, devenues encombrantes.

Entre autres solutions expéditives employées par le régime hitlérien pour tenter désespérément de renflouer le trésor de guerre asséché, le lancement de négociations avec les Alliés dans le dessein de se délester des millions de prisonniers encombrants en échange d’argent ou de matériels. Pour ce faire, des rencontres ont été organisées. La plus célèbre entrevue a été dirigée par Joël Brand, responsable d’une organisation semi-clandestine de juifs hongrois. Joël Brand a rencontré à Budapest le chef des SS chargé de la question juive, A. Eichmann. Ce dernier lui a confié la mission de négocier auprès du gouvernement anglais la libération d’un million de juifs en échange de 10 000 camions. Eichmann était disposé à revoir à la baisse ses exigences par l’acceptation de la fourniture d’autres marchandises moins onéreuses. Eichmann, pour preuve de sa bonne foi, a même proposé de libérer immédiatement 100 000 juifs, aussitôt l’accord tacite de négociation obtenu. Or, comme Joël Brand le rapporte dans son compte-rendu, le gouvernement anglais, par la voix de Lord Moyne, responsable du gouvernement britannique pour le Proche-Orient, a décliné la proposition de négociation. Voici ce qu’écrit Joël Brand dans son compte compte-rendu : «Il le supplie de donner au moins un accord écrit, quitte à ne pas le tenir, ça ferait toujours 100 000 vies sauvées, Moyne lui demande alors quel serait le nombre total, Eichmann a parlé d’un million. Comment imaginez-vous une chose pareille, mister Brand ? Que ferai-je de ce million de juifs ? Où les mettrai-je ? Qui les accueillera ? Si la terre n’a plus de place pour nous, il ne nous reste plus qu’à nous laisser exterminer, conclut Brand.»

Ainsi, contrairement à la propagande humanitaire du «camp démocratique», les Alliés n’ont jamais voulu accueillir des juifs, jamais souhaité sauver les juifs. Pas pour 10 000 camions, pas pour 5 000, même pour rien. En vérité, les gouvernants de la coalition impérialiste «démocratique» ont délibérément ignoré tous les rapports établis par leurs services de renseignement dès le début de la mise en œuvre de la «solution finale» faisant état des multiples génocides perpétrés dans les nombreux camps de concentration, Dachau, Auschwitz, Treblinka. Dans un article publié par Le Monde le 27 septembre 1996, le journal français a écrit : «Un massacre [celui perpétré dans les camps] dont un rapport du parti social-démocrate juif, le Bund polonais, avait, dès le printemps 1942, révélé l’ampleur et le caractère systématique, fut officiellement confirmé aux officiels américains par le fameux télégramme du 8 août 1942, émis par G. Riegner, représentant du Congrès juif mondial à Genève, sur la base d’informations fournies par un industriel allemand de Leipzig, du nom d’Edouard Scholte. A cette époque, on le sait, une grande partie des juifs européens promis à la destruction étaient encore en vie.» Ainsi, il est clairement établi que les puissances impérialistes «démocratiques» étaient informées des génocides dès 1942. Le silence complice réel des Alliés dévoile l’hypocrisie de leur indignation affectée postérieure, proclamée chaque année depuis 1945.

Comment expliquer ce silence complice du «camp démocratique» des Alliés ? D’aucuns ont invoqué notamment l’historiographie israélienne – manière de reconnaissance à ses protecteurs toujours complaisants à l’égard de l’entreprise sioniste de colonisation de la Palestine –, l’antisémitisme ancestral des gouvernants des pays Alliés. Cette explication n’est pas convaincante, d’autant plus que ces gouvernements étaient dirigés par des juifs ou étaient proches des organisations juives. L’explication froidement rationnelle se niche dans la logique économique du système capitaliste lui-même. A l’instar de l’Allemagne nazie, tous les moyens financiers et matériels de la coalition impérialiste «démocratique» étaient réquisitionnés au service de la guerre. Toutes les forces vives étaient embrigadées pour l’effort de guerre ; par conséquent, aucune bouche inutile à nourrir. Chacun devait participer à la guerre totale, soit sur les champs de guerre, soit dans les usines de fabrication de l’armement.

Aux yeux de ces pays alliés impérialistes belligérants, l’accueil des populations libérées des camps, des enfants et des personnes âgées impossibles à envoyer au front ou à l’usine, sans oublier toutes les personnes gravement malades inutiles pour le combat militaire, aurait perturbé l’organisation efficiente de la guerre. Aussi avaient-ils décidé sciemment de fermer leurs frontières pour empêcher ces populations juives de pénétrer dans leurs pays respectifs. En 1943, en pleine phase d’extermination finale, un ministre britannique, sur la demande officielle de Churchill, avait ordonné qu’«aucun navire des Nations unies ne peut être habilité à effectuer le transfert des réfugiés d’Europe». Au même moment, Roosevelt avait martelé que «transporter tant de monde désorganiserait l’effort de guerre». Ainsi, les véritables motivations d’absence de réaction des Alliés pour venir en aide aux populations juives internées dans les camps de concentration, vouées pourtant à la mort, étaient cyniquement financières et militaires. Leurs sordides intérêts capitalistes et leurs impératifs besoins bellicistes primaient sur les considérations humanitaires.

Au reste, leur cynisme s’est illustré dans leur politique des opérations de bombardement de l’Allemagne. Tandis qu’ils n’ont pas hésité à déverser un déluge de bombes sur des populations civiles allemandes résidant dans des villes dépourvues d’infrastructures militaires, ils ont refusé catégoriquement de mener la moindre opération stratégique en direction des camps de concentration, notamment en bombardant les voies ferrées menant vers les camps afin de saboter l’acheminement des juifs vers les camps de la mort.

Cette politique de désaffection du «camp démocratique» à l’égard du sort des populations juives menacées d’extermination n’est pas l’expression d’une criminelle insensibilité circonstancielle suscitée par les nécessités impératives de la guerre à livrer contre le fascisme, mais de la logique implacable du capitalisme pour qui le sort des populations indésirables surnuméraires, inutiles pour la production et l’effort de guerre – comme la récente guerre en Syrie l’a amplement prouvé, avec l’abandon des millions de Syriens réduits à survivre dans les multiples camps d’internement au Liban, en Syrie et en Turquie, dans lesquels ils sont en train de mourir à petit feu.

L’antifascisme, contrairement à la propagande bourgeoise, n’exprime pas l’antagonisme entre deux systèmes diamétralement opposés, mais l’épouvantail agité par le «camp démocratique» pour dissimuler le caractère inter-impérialiste de la guerre – pour le repartage du monde entre les grandes puissances capitalistes –, afin de justifier l’embrigadement de la classe ouvrière dans la guerre contre le «camp dictatorial ». Or, démocratie et fascisme constituent les deux modes complémentaires de gouvernement du capital, c’est l’avers et le revers de la domination politique exercée alternativement, selon les besoins – ou plutôt la menace révolutionnaire – au sein du même mode de production capitaliste.

En conclusion, au-delà de la Shoah exploitée à des fins de colonisation sioniste, ne jamais oublier le plus grand des Holocaustes : les 60 millions de victimes décimées par les deux camps impérialistes, les Alliés et les Nazis. Pour l’humanité opprimée, historiquement lésée et «mémorialement» spoliée, son hommage ira toujours à ces 60 millions de morts, sans distinction religieuse ni hiérarchisation ethnique, oubliés par l’histoire de classe (occidentale).

M. K.

 

Comment (15)

    Rayes Al Bahriya
    14 février 2020 - 22 h 16 min

    C’est 5 annees de guerre et ses horreurs
    Inter europeens devant 132 annees de
    Colonisation francaise en Algerie..??
    Aucune comparaison…

      Anonyme
      14 février 2020 - 23 h 50 min

      Hors sujet!!!

    Propagande.
    14 février 2020 - 15 h 31 min

    Hitler n`a juste pas accepté que son pays l`Allemagne soit colonisé et contrôlé par les juifs comme c`est le cas actuellement aux USA, le Canada et l`Europe (en cours). Les juifs même avant le sionisme avaient une main mise sur toute l`Allemagne : les finances, la culture, la justice, l`information et le reste des ministères et Hitler avait promis que s`il arrivait à la tête du du pays il débarrasserai l`Allemagne de cette emprise des juifs sur les points névralgiques de l`état et c`est ainsi qu`il fut porté au pouvoir. Il a eu les yeux plus gros que le ventre et ce qui l a coulé. La plus grande force du sionisme c`est leur grande capacité de s`inviter, s`accommoder et s`intégrer comme citoyens et accéder aux poste de pilotage des pays puissants et riches. L`un des pilier du judaïsme est l`instruction. On ne les retrouve jamais dans les pays pauvres.

    chaoui40
    14 février 2020 - 13 h 58 min

    Il n’y a jamais eu de chambres à gaz dans les camps de concentration. Ni de fours crématoires autres que pour brûler les morts. Les gaza auraient tué toute vie alentour … Les camps de concentration étaient des camps de travail. C’est la famine et les maladies qui ont eu raison des internés. Les Américains et les Britanniques ont tué plusieurs centaines de milliers d’Allemands et de Français lors de leurs bombardements. Que dire des deux bombes atomiques sur un Japon qui perdaient chaque jour davantage la guerre avec l’avancée des soviétiques au Nord. L’histoire de la Seconde guerre mondiale est aussi fausse, que le procès de Nuremberg est inique. L’Histoire, avec un H, reste à écrire.

    lhadi
    14 février 2020 - 13 h 37 min

    A l’automne 1929, une crise économique et financière sans précédent s’abat sur le monde. Elle naît aux Etats-Unis puis, avec plus ou moins de retard, selon les pays, elle s’étend dans les mois ou dans les deux années qui suivent. Par ses manifestations et ses conséquences, elle est un événement considérable de l’entre-deux-guerres.

    – Elle a eu pour cause l’effondrement de la confiance faisant suite trop brusquement à une prospérité trop vantée, et pour origine la chute précitée des cours à la bourse de New York. Elle se propage immédiatement mais d’abord dans les pays les plus liés au capital américain.

    – Crise profonde, elle a des répercussions économiques multiples : baisse des prix, faillites de nombreuses entreprises, réduction de la consommation, crise de surproduction et destruction des stocks, effondrement des monnaies et développement du chômage.

    – Les conséquences politiques furent graves. Les dictatures en furent considérablement renforcés. En Allemagne où l’étoile de Hitler monte rapidement, s’instaure un régime d’autorité qui canalise dangereusement bien des ardeurs troubles, et propose la mystique du chef à un peulle qui souffre beaucoup de la crise et incline d’instinct aux manifestations de la force. Du coté des démocraties occidentales l’embarras est grand pour trouver parlementairement des remèdes assez prompts et assez énergiques à la catastrophe. Les dictatures ont signalé depuis longtemps leurs faiblesses. Elles se préparent désormais à profiter de leurs embarras et d’abord à bouleverser en Europe l’équilibre des forces.

    En 1930-1932, la décadence de la république se précipita en Allemagne. Hitler obtient 13 millions de voix aux élections présidentielles quand Hindenburg est réélu avec 19 millions de suffrages (avril 1932). Le 30 janvier suivant, il accède au ministère appelé par le vieux maréchal. Ses partisans, les Nazis, sont déjà 232 au Reichstag. S’ils sont parvenus au pouvoir, encore sans majorité, l’obtenir rapidement ensuite n’est plus qu’une affaire de moyens. En quelques mois les forces politiques (syndicats, partis, associations) et les forces spirituelles (presse, librairie, écoles) sont mises au pas.

    A partir du racisme et de l’antisémitisme, les Nazis espèrent bien reforger l’âme du peuple allemand. Les élections du 5 mars 1933 leur ont donné plus de 17 millions de voix contre 12 millions aux marxistes. A la mort d’Hindenburg, Hitler devient Président du Reich et chancelier. Le dictateur a désormais les moyens de transformer l’Allemagne de fond en comble, avant de chercher à rompre les chaines du « DIKTAT » de Versailles.

    Quant aux morts de confession israélite, il serait très intéressant que le mystère soit soulevé sur la réunion de juillet 1937 au Caire entre Eichmann, le père de la solution finale – et les responsables de l’organisation terroriste la Hagannah fondatrice de l’entité sioniste fasciste.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Elephant Man
      14 février 2020 - 14 h 43 min

      @Lhadi
      Excellente conclusion.
      La Hagannah qui va donner l’Irgoun organisation armée sioniste à l’origine notamment de l’attentat de l’hôtel King David de Jérusalem 22/07/1946, les terroristes se déguisèrent en arabes, coordinateur de l’attentat Menahem Begin futur premier ministre d’IsRatHell.
      Des éternelles victimes…
      Puis création du mossad en 1949.
      Des éternelles victimes…

        Anonyme
        14 février 2020 - 19 h 52 min

        @Elephant Man
        L’antisémitisme du Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini et ses liens avec le nazisme sont indéniables. Ainsi, «en 1929, il inspire le premier grand pogrom à Jérusalem et se rapproche dans les années 1930 des nazis qui le financent. À partir de 1939, il installe au sud de Berlin une radio qui émet en arabe vers le Proche-Orient, diffusant des programmes antisémites et en 1941, il suscite le putsch pro-allemand en Irak. En 1940, dans un brouillon, il écrit : «L’Allemagne et l’Italie reconnaissent aux pays arabes le droit de résoudre le problème juif.» Il ne cesse de souligner les points communs entre islam et nazisme… En 1943, lorsque Himmler veut échanger 20 000 prisonniers allemands contre 5 000 enfants juifs qui auraient émigré en Palestine, le grand mufti combat avec succès ce projet, de même qu’il empêche plusieurs milliers d’enfants juifs bulgares, roumains et hongrois, d’émigrer au Proche-Orient. Il est donc responsable de la mort de milliers de juifs…».

        Des éternelles victimes… ???

          lhadi
          15 février 2020 - 14 h 04 min

          Méfiez vous de la déformation historique surtout quand elle provient d’un pays laïc où son président de la république se voit porter la kippa symbole ostentatoire religieux de la communauté juive.

          Fraternellement lhadi
          ([email protected])

    loklan
    14 février 2020 - 13 h 18 min

    Comment ne pas considérer le génocide Algérien de plus de 5 millions d’ Algériens en 132 ans (1830-1962) opéré par la france comme étant égale à la shoah ?? L’ argument de cette immondice consiste à dire que l’ on ne peut comparer la shoah au génocide Algérien car la shoah visait une race, un peuple, une religion. Les 5 millions d’ Algériens n’ ont ils pas subit une extermination en tant que peuple car Algérien ?? Les 5 millions d’ Algériens n’ ont ils pas subit une extermination religieuse car Musulmans ?? Après le génocide juif ( shoah) opéré par les nazis, il est grand temps de reconnaître le génocide Algérien opéré par la france ! Une reconnaissance officiel « non en tant que victime » car les 5 millions d’ Algériens génocidés sont morts bravement aux combats les armes à la main et pour d’ autres, enfumés ( femmes, enfants, vieillards) sont morts fièrement par insoumission. Une reconnaissance officiel « non en tant que victime » la vaillante guerre de libération que l’ Algérie a menée nous l’ interdit mais une reconnaissance officiel du génocide Algérien pour leur dignité et honneur, par valeur et triomphe, par souvenir et mémoire à nos génocidés. Que chaque Algérien fasse son devoir pour que hommage à nos génocidés, justice et reconnaissance de la france du génocide Algérien soit reconnu ! La revendication du massacre français pendant la guerre d’ Algérie est chose encrée dans la tête des Algériens. La reconnaissance officiel de la france du génocide Algérien, voici le nouveau combat de la nouvelle Algérie et de son intrépide génération ! Nous le voulons et nous le demandons ! Que le gouvernement suive la volonté du peuple !!

      Anonyme
      14 février 2020 - 15 h 39 min

      Arrêtes ton khorti avec ce chiffre folklorique de 5 millions sorti de nulle part

        loklan
        14 février 2020 - 17 h 21 min

        Pourtant je ne fais que redire ce que ton papa tebboun et ton maitre erdogan ont dit… Il n’ y a que le chiffre de 6 millions qui est exacte pour toi apparemment. La rognure qui ne se supporte plus elle même est de partout même ici. …

    La shoah ..et le reste ???
    14 février 2020 - 12 h 59 min

    Merci Monsieur Mesloub Khider pour votre article ! Merci aussi d’avoir rappeler qu’il y a eu plus de 60 millions de morts durant la seconde guerre mondiale. Les médias occidentaux ont toujours évité de reconnaître que le plus lourd tribu a été payé par la Russie (ex URSS) avec ces 27 millions de mort. Ces pays (surtout la France) ne se focalisent que sur les 5 millions de morts juifs comme si c’était les juifs qui ont payé le plus lourd tribu ce qui est complètement faux ! Mourir dans des chambres à gaz ou sur les champs de batailles avec des millions de tonnes de bombes et un déluge de feux qui vous tombe sur vos tête c’est du kif-kif au même !

    Lors des célébrations de la victoire des alliés sur l’Allemagne nazie (Normandie ou ailleurs) , la Russie a toujours été ignorée alors que c’est grâce aux Russes venus par le front Nord, Nord-Est et Est que la victoire a été déterminante. D’ailleurs ce sont les Russes qui sont arrivés jusqu’au bunker de la chancellerie à Berlin où s’est caché Hitler avec ses proches ! Quelle ingratitude de ces occidentaux ! Heureusement que Poutine leur a prouvé qu’il n’attendait pas de remerciements de leur part et qu’il les emmerde en long et en large !

      Anonyme
      15 février 2020 - 0 h 02 min

      Hitler et Staline sont de la pire espèce humaine!!!
      L ex URSS a payé un lourd tribut à cause du tyran Staline
      Les deux ont poussé leurs peuples à se faire massacrer juste pour leur propre ego…..
      L histoire en a connu bien d autres et risque d en connaître encore…

    Zombretto
    14 février 2020 - 11 h 47 min

    Avec la Grande Dépression de 1929 le Capitalisme mondial faisait face à un danger de mort imminent. Sa survie était en jeu. Il a tout misé pendant la guerre 39-45 pour rester en vie. Il n’allait pas avoir de scrupules devant quelques dizaines ou centaines de millions de morts, que ce soit sur le champ de combat ou de manière collatérale, par les privations causées par l’effort de guerre. Aujourd’hui, 75 ans après, le Capital est de nouveau prêt à détruire la planète toute entière par le réchauffage planétaire et autres agressions contre la Nature, sans compter celles contre les humains. Le feu et les inondations menacent sérieusement de détruire la Californie, la Floride et l’Australie pour de bon, pour commencer. Réaction du Capital : Booff !!…

      Anonyme
      14 février 2020 - 15 h 43 min

      Les idées complotistes résistent encore…

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