Intellectuels «zombies» et faux «iconoclastes»

Daoud chambre à gaz
Les Algériens n’ont pas besoin d’intellectuels qui reproduisent les écrits de BHL et Zemmour. D. R.

Contribution de Mourad Benachenhou – «Il y a des mots aussi meurtriers qu’une chambre à gaz.» (Simone de Beauvoir). «Les idées ne sont pas des jouets. Elles blessent et souvent elles tuent.» (Edouard Helsey, journal Le Figaro du 20 janvier 1945). «Le talent est un titre de responsabilité.» (Charles de Gaulle).

Bien avant la fin officielle de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement provisoire de la République française, libérée de l’occupation nazie humiliante, a lancé une vaste opération d’épuration qui a touché tant les personnes engagées militairement aux côtés de l’armée allemande et de ses services de sécurité que les intellectuels qui avaient pris parti, exclusivement par la plume, pour l’idéologie du IIIe Reich. Le nombre des victimes de ces épurations se comptent par dizaines de milliers dont au moins trente-six mille ont été exécutées sommairement et sans jugement. D’autres, une faible minorité, plus chanceux, ont été traduits devant des juridictions d’exception créées pour la circonstance, et dont les membres étaient plus portés à la revanche, si ce n’est à la vengeance et aux règlements de comptes qu’à la froide reddition de la justice sur la base de principes humanitaires propres aux civilisations avancées.

Une épuration qui a durement frappé les intellectuels français «collabos» des nazis

On aurait pu penser que les intellectuels qui s’étaient fourvoyés dans l’idéologie nazie uniquement et exclusivement par l’écrit, et n’avaient pas pris part à la lutte armée contre les résistants français, auraient été épargnés par cette épuration – à la fois impitoyable et totale, n’épargnant personne parmi les collaborateurs de l’ennemi – parce que le seul crime dont ils pouvaient avoir été chargés ressortit de la sacro-sainte liberté d’expression, un des droits reconnus dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme dans le pays où elle a été conçue.

Or, il apparaît bien, à travers ces poursuites judiciaires – engagées dans un pays qui se targue des plus hautes valeurs de la civilisation «occidentale» – qu’aucune liberté n’est absolue, et que l’Etat a le droit de sanctionner l’abus des libertés les plus sacrées, si leur exercice porte préjudice aux intérêts supérieurs de la nation ou si elles sont employées pour appuyer un ennemi.

Selon ce que rappelle la citation qui suit, on peut trahir son pays sans avoir participé physiquement et/ou par les armes à aucune action soutenant directement et sans ambiguïté les forces armées ennemies, mais simplement en incitant, par la parole et par l’écrit, des puissances étrangères à intervenir militairement contre son propre pays et son propre peuple ou à réprimer sa résistance : «Le crime pour lequel ces intellectuels furent poursuivis à la libération était la trahison. L’arsenal répressif en la matière se composait des articles 75 et suivant, d’intelligence avec l’ennemi, de la peine de mort sans circonstances atténuantes, de l’article 83 réprimant les actes de nature à nuire à la défense nationale et de l’ordonnance du 26 août 1944 instituant le délit d’indignité nationale… Plus que toute autre catégorie sociale, les porte-plumes de la collaboration symbolisaient le crime d’intelligence avec l’ennemi : ils semblaient l’incarner.» (dans Giszèle Sapiro : Punir la violence des mots, le procès des intellectuels français au sortir de la Seconde Guerre mondiale, revue L’Esprit créateur, Vichy, France, vol. 50, num. 4, 2010, p. 4).

Parmi les 767 condamnés à mort et exécutés pour collaboration avec l’ennemi allemand se trouve un intellectuel, critique littéraire, romancier et écrivain célèbre, Robert Brazillac, fusillé le 6 février 1945, à l’âge de 35 ans, après que le général Charles de Gaulle, alors chef du gouvernement provisoire français, a refusé de le gracier et de commuer sa peine. C’était, suivant la description qu’a faite de lui Maurice Bardèche, son beau-frère, «un Catalan brun, à demi-espagnol, un peu maure du temps de Saladin, par son ascendance maternelle, très indifférent à l’apologie du grand Aryen blond» (dans : Peter D. Tame : La Mystique du fascisme dans l’œuvre de Robert Brazillac, éditions Palatines, Paris, 1986, p. 11).

Certains de ces auteurs «collabos» parmi «les mieux doués de leur génération», selon le même auteur cité précédemment, n’ont pas reçu le châtiment suprême, mais avaient été interdits de publier, sinon d’écrire, par le Comité national des écrivains (Bardèche ; op. cit. p. 8).

La liberté d’expression n’est pas un absolu

L’objet de cette évocation de la grande purge qui a frappé les intellectuels français ayant embrassé, par leurs seuls écrits, la cause nazie, n’est évidemment pas un appel à leur réhabilitation, mais seulement un rappel de ce qui pourrait apparaître comme une banalité : toute liberté n’est jamais absolue ; elle est limitée par les intérêts supérieurs de la nation en temps de crise, qu’elle soit pacifique ou armée.

Le gouvernement français devait-il recourir à la criminalisation de la collaboration, de caractère essentiellement intellectuel, apportée aux nazis dans la France occupée ? Si le principe de liberté d’expression ne souffre d’aucune limite et d’aucun autre frein que l’imagination et le talent de l’écrivain, comme on le laisse croire actuellement, le général De Gaulle a violé ce principe absolu en décidant de poursuivre ceux qui étaient opposés à sa propre vision de l’Histoire de la France. Et tous ces écrivains, condamnés à mort, proscrits, exécutés, devraient – selon la logique du respect absolu de la liberté d’expression, telle qu’on tente de le vendre et de l’imposer aux «pays arriérés» – bénéficier d’une mesure de grâce à titre rétroactif, et rétablis, même de manière posthume, dans tous leurs droits de citoyens français.

On continue même à poursuivre de la vindicte officielle Louis Ferdinand Céline, un romancier, mort il y a 60 années de cela, mais encore frappé d’une interdiction partielle de publication, quelque 76 années après la fin de la Seconde Guerre mondiale !

On pourrait longtemps attendre de la part des autorités françaises un geste qui ne fera que rétablir ces «honnis de l’histoire» dans leur droit d’exprimer, sans crainte, leurs propres opinions, qu’elles choquent ou non, car le principe de la liberté d’expression ne souffrirait d’aucune exception, quelle qu’en soit la nature. Le traître, qui prendrait position pour les ennemis extérieurs de la nation, devrait, sur ce plan, bénéficier de la même liberté d’expression que ceux qui refusent de mettre leurs plumes au service de ses ennemis.

L’étalon de la liberté d’expression établi par les pratiques de la patrie des droits de l’Homme

La France se présente comme un Etat démocratique exemplaire. Qu’elle n’ait pas fait preuve d’exemplarité dans le respect des droits de l’Homme et des libertés républicaines lors de son occupation de notre pays, occupation qui a duré cent trente-deux années, pourrait entrer en ligne de compte pour juger de la perfection de son régime politique.

Il n’en reste pas moins que l’étalon de la liberté d’expression est établi par la propre pratique de la France dans ce domaine, car c’est elle qui en a fait un des éléments essentiels, non seulement des droits de l’Homme, mais également de la définition de la démocratie.

La France n’est ni une république bananière, soumise à un dictateur à vie, ni un Etat neuf qui se cherche encore, et qui n’aurait pas définitivement établi ses règles de fonctionnement. Donc, quand un gouvernement français décide que la liberté d’expression ne saurait être considérée comme le droit de dire n’importe quoi, n’importe quand, contre n’importe qui, quelles que soient les circonstances, et qu’elle ne saurait englober la collaboration avec une force d’occupation ou un ennemi déclaré, elle établit un précédent fort qui guide les autres nations dans leurs propres définitions de cette liberté fondamentale.

On ne se souvient pas que les différents gouvernements français, qui se sont succédé depuis 1945, aient jamais décidé, au nom du sacro-saint principe de la liberté d’expression – si souvent évoqué dans les campagnes arabophobes et islamophobes en cours actuellement dans l’Hexagone – de réviser les procès intentés contre les intellectuels «collabos» (voir Gérard Loiseaux : La Littérature de la défaite et de la collaboration, éditions Fayard, Paris, 1984) et les peines infamantes qui leur ont été infligées. Donc, l’épuration qui a suivi la fin de l’occupation nazie constitue une jurisprudence encore valide.

L’écrivain est aussi membre d’une communauté dont il ne peut divorcer unilatéralement

Il ne s’agit nullement ici de rouvrir un débat de caractère exclusivement franco-français sur la culpabilité ou l’innocence des intellectuels «collaborateurs» de l’occupation nazie, mais simplement de constater, à travers l’exemple tiré de l’histoire de la «patrie des droits de l’Homme» que, si talentueux qu’il soit, l’écrivain ne peut pas s’autoproclamer, au nom de son droit à s’exprimer comme il l’entend, au-dessus de son peuple, et donc, échappant, dans ses écrits comme dans ses actes, à tout type de règles politiques ou morales l’attachant à son peuple.

Un créateur intellectuel ne peut justifier ses prises de position contre son peuple comme ne devant, du fait de son talent, s’inscrire que dans une grille d’analyse portant sur sa créativité et son talent littéraire.

Ce n’est pas parce qu’on a atteint la célébrité qu’on a le droit absolu d’insulter et de trahir sa patrie ou son peuple, sous prétexte de liberté de création littéraire.

Le droit sacré à la dissension politique n’est pas le droit à la trahison de sa nation

Il ne s’agit pas ici de récuser le droit à la dissension politique. Et tout un chacun doit rester libre de porter des jugements tant positifs que négatifs sur le mode de gouvernance de son pays, sans être inquiété ou menacé de perdre sa liberté ou sa vie. Mais, lorsque, dans ses écrits, l’intellectuel dénigre systématiquement son peuple, ses croyances, son histoire, et va jusqu’à lui refuser le droit d’exister comme nation, il entre dans un terrain miné qui peut le conduire à des actes hostiles à ce peuple, et donc être légitimement et même légalement classé dans la catégorie des traîtres.

On constate un grave glissement de certains auteurs algériens connus par une hostilité sans limite à leur propre peuple, qu’ils ont pris comme profession de dénigrer systématiquement dans les tribunes internationales comme, d’ailleurs, dans leurs créations romanesques. Ils ont gagné, dans les milieux d’outre-mer qui font profession d’arabophobie et d’islamophobie, une réputation qui leur vaut une couverture médiatique assurée et une audience abondante. Restent-ils, à ce compte, vraiment dans l’espace sacro-saint de la liberté d’expression ? Ou sont-ils devenus de simples commerçants vendant les idées et les opinions à la mode à un auditoire plein de haine pour tout ce qui est arabe ou musulman, donc acquis d’avance ?

Le peuple algérien a-t-il vraiment besoin de pasticheurs, d’Eric Zemmour, de Finkielkraut et de Bernard-Henry Lévy ? Ces écrivains confondent la dissension politique, qui est le droit de chaque citoyen, avec le rejet de leur peuple, qui est le premier pas vers la trahison. Aleksandr Issaïevitch Soljenitsyne (‪1918-2008), le célèbre dissident anti-soviétique, qui a révélé l’ampleur du système des goulags sibériens où étaient exilés les opposants au régime communiste, et a été célébré comme un héros dans le monde capitaliste, n’en a pas moins exalté le peuple russe et la religion orthodoxe et n’a jamais mis «dans le même panier» son peuple et les dirigeants communistes. On ne trouvera dans ses écrits puissants aucun mot de mépris, ni d’insulte contre le peuple russe et l’Eglise orthodoxe qui, pourtant, n’a pas été pour peu dans l’oppression et l’arbitraire du système tsariste dont les excès ont débouché sur la Révolution d’Octobre.

On peut être contre son gouvernement et l’accabler de toutes les critiques possibles et imaginables, mais on ne doit pas envelopper dans le même mépris ses propres concitoyens, en ne ratant aucune occasion de les insulter «urbi et orbi», et donc d’accroire l’hostilité des milieux racistes, xénophobes, arabophobes et islamophobes, qui ont redoublé de férocité au cours de ces deux dernières années.

Les Algériennes et les Algériens n’ont pas besoin d’intellectuels qui ne font que reproduire, sous une signature à consonance algérienne, et en les plagiant plus ou moins, les écrits haineux des BHL, Eric Zemmour, Alain Finkielkraut, Caroline Fourest et autre Michel Houellebecq. Si l’islamophobie serait – comme le prétendent ces écrivains «laïcs» mais néanmoins adeptes d’une idéologie qui prend sa source dans la Bible et qui ont en commun un appui sans réserve à la dernière colonie de peuplement occidentale en terre arabe – un terme dont l’objectif viserait seulement à faire taire les critiques contre l’islam, que serait-ce alors de l’accusation d’antisémitisme qui bloque toute critique du régime d’apartheid sioniste en Palestine historique, comme du fanatisme religieux et du racisme génocidaire de l’idéologie sioniste ?

Nos intellectuels sont supposés refléter nos valeurs et défendre notre société, tout en révélant ses travers, non se mettre au service stipendié d’idéologies qui font de la haine de l’Arabe et de l’islam leur seule raison d’être, leur titre de gloire, comme leur trace dans l’histoire intellectuelle et politique de ce siècle.

Les génocides commencent toujours par la déshumanisation de leurs victimes

De l’agression verbale à l’agression physique, le pas est vite franchi, et tous les génocides commencent par la déshumanisation de ceux que l’on veut effacer de la surface de la terre ! Ceux qui prêtent main forte par la plume et la parole aux ennemis de notre peuple et de notre culture ancestrale ne sont – malgré leur affirmation de leur «libération» des tabous ancestraux – que des «zombies» intellectuels, incapables de penser par eux-mêmes et totalement pris en charge par les idéologies hostiles à leur propre peuple. Ceux qui pastichent, en guise de production littéraire les sionistes islamophobes, racistes et fanatiques religieux, qui dominent les médias et les milieux de la «haute culture» dans l’ancienne métropole, peuvent-ils vraiment être considérés comme des porte-parole d’une partie de l’élite intellectuelle algérienne ou comme reflétant des valeurs universelles dignes d’être embrassées ?

Depuis quand attiser la haine contre son propre peuple et sa culture peut-il être considéré comme un apport positif à son progrès ?

Se faire l’écho d’une bande de fanatiques religieux et de racistes extrémistes, remplis de haine pour l’islam et les peuples arabes et déguisés en «iconoclastes post-modernistes», mais qui ne font que remettre en circulation, pour leur propre cause, les théories nazies condamnées par l’Histoire, ne saurait passer pour de la créativité intellectuelle et ne contribue ni à enrichir la littérature mondiale, ni à rehausser l’originalité de la culture nationale, ni à placer ceux qui suivent ce chemin parmi les bienfaiteurs de la nation algérienne, dignes d’être respectés et émulés.

En conclusion

A l’exemple de la France, cette patrie reconnue des droits de l’Homme, tout pays, dont des intellectuels sont considérés, du fait de leurs écrits, comme des menaces à la sécurité de l’Etat et comme des traîtres à la nation, devrait avoir le droit de les traiter comme cette «démocratie avancée» a traité ses citoyens qui ont eu la mauvaise idée de proclamer leur adhésion politique aux ennemis déclarés de leur pays, et/ou aux forces d’occupation étrangères, et de leur prêter, par leur plume, main forte.

A moins qu’il existe une hiérarchie des nations, certaines présentant des caractéristiques leur donnant le droit de se battre pour survivre et de considérer comme traîtres tous ceux qui, par leurs écrits et leurs pensées, menacent la survie de ces nations, et appuient les ennemis extérieurs, et d’autres nations «inférieures» n’ayant le droit ni d’exister ni même de défendre leur existence, et donc laissent à leurs intellectuels embrassant des causes ennemies le droit d’aller jusqu’au bout de l’expression du rejet de ces nations auxquelles ils appartiennent. Sur la base de quels critères classera-t-on les nations dignes de survivre et celles condamnées à disparaître ? La richesse matérielle ? La puissance militaire ? Le régime politique ? Ou simplement la volonté de puissances extérieures défendant leurs «intérêts vitaux», quel que soit le contenu de ces intérêts ou leur légitimité ?

De plus, les intellectuels de chaque pays ont leurs propres centres d’intérêts, leurs propres préoccupations et leurs propres finalités suivant les spécificités historiques et culturelles de leur peuple. Ils ne peuvent pas prétendre jouer leur rôle de phare de leur pays, s’ils se contentent d’emprunter des prises de position, des analyses, des idéologies aux penseurs et polémistes d’autres nations. Dans le contexte actuel et dans les pays occidentaux, il faut reconnaître que l’islamophobie et le racisme anti-Arabe, suscités en quasi-totalité par des milieux intellectuels appartenant aux franges extrémistes de l’idéologie religieuse et raciale sioniste, connaissent une popularité certaine dans ces pays. Ces prises de position qui heurtent la sensibilité des Algériennes et Algériens sont adoptées dans leur entièreté, et sans nuances, par des intellectuels algériens, au nom de la «liberté d’expression» et au nom du «non-conformisme iconoclaste». Mais, à y voir de plus près, on constate que ces positions ressortissent plus du mimétisme intellectuel que de la libre réflexion, qu’elles s’expliquent par la domination intellectuelle qu’exercent sur eux certains milieux de l’ex-métropole coloniale, et que, donc, malgré la liberté dont ils se réclament, ils ne sont que des «zombies» et de «faux-iconoclastes» sans originalité, et sans rien de positif à offrir à leur peuple, et asservis à des idéologies qui, par définition, rejettent même le droit à l’existence de leur propre nation et de sa culture.

On ne peut prétendre «faire la révolution» et «embrasser le hirak» tout en reprenant, quasiment à la virgule près, les thèses de l’extrême-droite occidentale pro-sioniste et nostalgique du système colonial ! C’est un acte d’indécence, si ce n’est de «délinquance» morale que d’exploiter le mouvement spontané et sincère du «hirak» pour se donner des justifications à sa trahison, et se parer d’une nouvelle virginité intellectuelle et politique.

Le hirak peut se passer du soutien de ceux qui s’associent avec les ennemis du peuple algérien, s’en glorifient et en tirent des bénéfices financiers !

Le temps où les Algériennes et les Algériens trouvaient leurs maîtres à penser dans les pages des publications et dans les colonnes littéraires étrangères est dépassé !

Il faut choisir son camps de manière non ambiguë : soit être avec son peuple jusqu’au bout, quelles qu’en soient les conséquences, soit reconnaître, comme le héros du roman policier de Boris Vian (‪1920-1959) : Jirai cracher sur vos tombes qu’on a «franchi la ligne» et qu’on ne se reconnaît plus ni dans le peuple algérien, ni dans sa culture, ni dans son histoire millénaire.

M. B.

Ancien ministre de l’Economie

Comment (31)

    Hmed hamou
    10 juin 2021 - 15 h 55 min

    @idir iguerbouchene,
    Comme je l’ai déjà souvent dis, je pense que nos frères Palestiniens ont sûrement besoin de notre argent et en auront toujours besoin, comme ils en ont sûrement aussi besoin de nos jeunes (filles et garçons) comme chair à canon et plus encore, mais n’ont certainement pas besoins de notre intelligence ni de nos intellos pour les défendre. Ils savent très bien le faire eux même s’ils le voulaient. La majorité des postes prestigieux des grand médias arabes (et pas que) sont tenus par des palestiniens. On parle de Azmi Bishara, mais ce n’est que le sommet de l’iceberg.
    Il suffit de voir al djazeera, al Araby,…ils y sont partout (dirigeants, journalistes, stratèges,…).
    En plus si tu pouvais sévir la Palestine t’aurais servi ton pays déjà !!
    Aussi, épargne nous tes pleurnicheries, préserves tes yeux, il yen suffisamment de malheureux chez toi si l’envie te prenait de pleurer.

    Autrement, Nos frères Palestiniens, en matière d’ intellectuels et de l’intelligence ils en ont à revendre. N’oubliez pas que c’est leur, entre autres, surplus d’enseignants, qui n’ont pas trouvé preneurs ailleurs, qui ont appris aux analphabètes algériens, post indépendance, à écrire alifoun, ba’oun,… Pour te dire, s’ils en ont plusieurs longueurs d’avance sur nous côté intellectuels.
    Autrement dit, comme dit le proverbe : li fatek b’lila fatek b’hila « , et eux ils nous ont dépassé de alaf lila wa lila (de mille et une nuits).
    Moralité de l’histoire. » Ebki 3la ch’kak, houma kadrin 3la ch’kahoum. Astru fal hamik dhwin tmourthik ayidhir guiguer bouchnaf »

    Ps. Une chose est sûre, ce n’est pas à un intellectuel palestinien que viendrait à l’esprit d’utiliser un pseudonyme différent pour chacun de ses commentaires dans le même sujet.

      Ali Ait Lajeb
      10 juin 2021 - 17 h 51 min

      On a toujours besoin d un plus petit que soi! L immodestie n est pas bonne conseillère! La forte présence des Palestiniens dans les médias internationaux ne peut pas servir de prétexte pour ne pas défendre la cause palestinienne. Il y a des milliers de juifs ayant des postes clefs dans les grandes capitales de ce monde . Ça ne les empêche pas de faire une fixation sur Israël, un pays dont ils n ont pas eu besoin pour réussir pourtant, et qui ne leur rapporte rien. Pourquoi donc le soutiennent-ils ?de plus les Israéliens n ont besoin de personne pour les défendre ! Ils ont des cafés , la plupart provenant des pays industrialisés! Pourquoi donc les députés juifs des parlements démocratiques ne laissent rien passer quand il s agit d Israël? P.e. Sur les quelque 69 membres juifs du parlement américain, un seul osé critiquer Israël, Bernie Sanders! Les autres font barrière et front unique quelque crimes qu Israël commette. Au fait, avant de terminer voir le rapport complet sur I apartheid en Israël et publié par Human right watch, sorti le 27 avril 2021( motus et bouche cousue dans les médias du monde libre) de 342 pages et l info du même think tank sur le refus d Israël de vacciner les Palestiniens!

        Hmed hamou
        10 juin 2021 - 19 h 18 min

        [« On a toujours besoin d un plus petit que soi! L immodestie n est pas bonne conseillère! »]

        Vous êtes incohérent dans vos idées!
        C’est vous qui semblez chercher plus petit que vous pour jouer au faux modeste.
        Car, moi je n’avais de cesse de vous répéter que nos frères n’ont pas besoin de notre intelligence, sauf de notre argent, mais en matière d’intellectuels ils sont et de loin mieux lotis que nous, ils en ont même à revendre, et vous vous me parlez du « besoin de plus petits que soi » et que « l’immidestie est mauvaise conseillère » .
        Vous palez pour vous donc ?
        Moi je vous dis qu’ils en ont même donné récemment un président (d’origine palestinienne) au Salvador !
        Et sans parler de chez nous; ils nous ont donné au moins le patron actuel de notre Fln. Et ce n’est sans doute que le sommet de iceberg.
        Alors, où est le plus petit que soi?
        Car moi je ne vois pas et je n’ai jamais considéré les Palestiniens plus petits que nous bien au contraire. Aussi, ya pas lieu de parler d’immodestie, en tout cas en ce qui me concerne .

        Pour le reste, relisez mon commentaire précédent.

        Ps. Enfin vous avez trouvez un pseudonyme qui vous convient; surtout ne changez plus. Ali Ait La3jeb. C’est phénomènal. Yufa uzedouz afussis. Nagh yufa ismiss ?

          akli oulefkir
          10 juin 2021 - 21 h 22 min

          a t’as aig our’en lmitheq’
          d’i eddenoub la’lleq’
          tçebih’ izga r’ef irri s
          our k ireh’h’em our k ia’theq
          d’essa’d is isaq’
          rebbi ilha d’echcher’oul is
          a i ah’nin isedhharen lh’eq’
          fih’el ma nent’eq
          amchoum ath id ias ouass is

    Hmed hamou
    10 juin 2021 - 9 h 26 min

    @ idir Berrahil

    [ » à choisir entre l intégrisme musulman algérien bavard, mais sans autre puissance que celle du verbe, et l intégrisme juif, connu sous le nom de sionisme, qui fait de l islamophobie élémentaire son gagne-pain et sa marque de fabrique, et applaudit au genocide en direct du peuple palestinien dans l état “juif” d Israël,le choix est clair . »]

    Le chiffre de 200 000 à 250 000 morts, sans compter les disparus, les veuves, les orphelins, les traumatisés divers et variés ; un pays renvoyé probablement sans billet de retour dans le passé, et qui a déjà atteint le moyen âge dans une régression féconde, qui s’auto-feconde et néanmoins constante,…tout ça n’est que verbiage, juste des mots sans puissance, sans effets et sans conséquences pour toi ? ben bravo. Sinon, il te faut quoi de plus concret ou de plus consistant pour que les choses commencent à sortir du domaine du verbe pour déborder dans le domaine du concret pour ne pas dire de l’horreur et de l’abjecte pour émouvoir ta sensibilité pourtant visiblement si sensible à tout ce qui se passe en Palestine? Bien que, sans vouloir verser dans la comparaison des malheureurs, ça reste sans commune mesure.

    Pour le reste ça se passe de commentaire ou plutôt ça confirme mon premier commentaire, et tous mes commentaire sur le sujet d’ailleurs. C’est ce que je disais donc : CHEZ NOUS, TOUT TOURNE AUTOUR DE LA CAUSE PALESTINIENNE. c’est notre instrument de mesure, c’est notre baromètre pour juger et distinguer un bon d’un mauvais patriote en fonction de sa sensibilité, sa fidélité et de son engagement vis à vis de la cause aumoins avec des mots (adh3af al iman, la moindre des choses) ! Car, il semble inconcevable pour nous d’ être algérien et de se dire patriote, ou prétendre aimer l’Algérie seule sans lui associer au préalable l’amour de la Palestine. À la limite on pourrait aimer la Palestine sans trop aimer l’Algérie, sans qu’on n y trouve à redire, que d’oser prétendre l’inverse (aimer l’Algérie tout court). Ce serait juste de l’hérésie !
    Et comme je l’ai mainte fois souligné, nos frères Palestiniens le savent que trop bien, nous connaissant parfaitement (mais l’inverse n’est certain), et le no1 du Hamas lui le savait encore mieux, ses propos le confirment, lui qui a osé nous balancer en pleine face , en des termes crus et à la face du monde sur une chaîne « algérienne » chourouk TV, y a, quelques jours, ceci : »le peuple algérien est très particulier pour les Palestiniens, c’est le seul peuple capable de soutenir la cause palestinienne et ce même aux dépens de son propre pays »! Sans que cela ne nous fasse réfléchir ; bien au contraire, on est content même qu’on en est fier (aulieu d’en pleurer) !
    Et moi j’ajouterais, que nous sommes le seul peuple capable de compatir à des souffrances se déroulant à des milliers de kilomètres de chez soi, à ghaza notamment et particulièrement, mais capable de demeurer zen et même de marbre face aux souffrances de son voisin de palier ou de ses compatriotes notamment vis à vis de certains sur qui on a des priori.
    Après on s’étonne pourquoi le viole collectif, ya pas longtemps, d’enseignantes dans le sud, ou la maltraitance d’autres femmes à travers le territoire,à différents moments …ou d’autres horreurs, oui, après on s’étonne que cela n’a suscité que des réactions tièdes ou mitigé de la part de la société ! Ah si seulement cela s’était passé à ghaza? S’aurait été un deuil national, des pleurnicheries non stop 7 années durant.
    Le pire, cette compassion à géométrie variable, ce transfert sentimental qu’on fait sur la Palestine, cette obsession pathétique, au point qu’il n’y ait plus trop de place pour compatir avec ses propres compatriotes (pourtant c’est eux qui devait être la priorité étant donné que c’est avec eux que tu construira et /ou défendra ton pays en cas de besoin et non avec des « frères » lointains), ce comportement pour le moins anormal, risque de nous coûter cher… Si on ne corrige pas la tendance.
    Ps. Faites un sondage et demandez aux gens, du gamin au vieillard, c’est quoi leurs rêves, s’ils préfèrent travailler dur et participer à transformer le pays en puissance auto suffisante, pour ne pas dire en Japon d’Afrique (capable d’envoyer un homme sur Mars) , ou plutôt participer à libérer à al Qods et vous aurez la réponse ; vous saurez si le verbiage instillé au sein de la société est sans conséquences pour l’avenir du pays !
    Pourtant on aime répéter le proverbe de chez nous : « khouk khouk, la ygharek sahbek « . Seulement, là aussi reste à déterminer ce qu’on entend par » khouk « ! Le proche ou le lointain, de sang, de destin,… ?
    Mais , ne mélangeons pas quand même les merles et les grives surtout que chez les grives il y en les litornes, les draines, les musiciennes,…

      Idir Iguerbouchene
      10 juin 2021 - 14 h 17 min

      C est une obsession qui n a rien de pathétique quand on voit la couverture donnée au moindre acte antisemite dans les démocraties occidentale, la transformation d une prix nobel de la paix en heroine de la démocratie au Myanmar, alors qu avant son expulsion de son poste de conseillère elle a été chargée par les militaires de mener à bien l expulsion de plus de 800000 birmans, qui n ont commis d autres crimes que d être des musulmans, et alors qu un opposant à Poutine, qui ne représente pratiquement que lui-meme, se voit couvrir le moindre de ses bobos par tous les médias du monde. Ici on parle des Palestiniens et du sort qui leur est donné par les racistes judéo-chrétiens-sionistes. Quant au sempiternel débat sur les islamistes, il ne transforme pas les sionistes en démocrates humanistes et , comme de juste, c est cet argumentaire islamophobe qui leur sort de couverture pour justifier leur siège complet et sans pitié de la bande de Gaza! On sait ce que les islamistes ont fait en Algérie , mais on ne peut pas utiliser les crimes qu ils ont commis pour justifier israel , mais également la prendre comme inspiration et comme soutien de causes secessionnistes perdues d avance . Au fait, Hamas est un mouvement de libération national qui comporte aussi des chretiens palestiniens parmi ses membres. Les seules églises détruites à Gaza l ont été par les bombes israéliennes ! Sans compter les mosquées, mais aussi les hôpitaux, les systèmes de distribution de l eau, les écoles, j en passe et des pires ! Répéter la chanson usée du terrorisme islamique pour justifier le racisme fanatique d Israel fait partie de la chronique pro sioniste justement répétée ad libitum par Zemmour et Alia.

    Hmed hamou
    9 juin 2021 - 18 h 02 min

    @ Arezki Kallou,

    Je ne savais pas.
    Maintenant, c’est sûr, si  » leurs noms apparaissent avec celui de Éric Zemmour sur une feuille de chou spécialisée dans la diabolisation des bougnoules sans distinction de race ou de religion. », ça change tout.
    En effet, ils aurait dû peut être faire apparaître leurs noms aux côtés de bengrina, naima salhi, Benzaim.,ben koula,. …sur Echourok, ennahar, ou numidia TV,…et casser une région entière de leur propre pays sans distinction de sexe, d’âge, de conviction, d’histoire, de passé,… Oui, aulieu de casser du bougnoul sans distinction de race ou de religion. Ils auraient dû se focaliser sur une seule région, une seule « ethenie » de « bougnouls » de leur pays et là par contre ils peuvent se lâcher, peu importe l’âge, le sexe, la religion, le passé, l’avenir,…

    Moralité. À chaque société ses Zemour. Comme on a les notres; à cette différence près que nos Zemour (nos olives) à nous, contrairement à l’original qui ne manque pas de substances (qu’on soit d’accord ou pas avec lui) , les notres, nos Zemour a nous, restent à longueur d’année vertes, n’arrive jamais à maturité, toujours pleines de fiel et pas une goutte d’intelligence, pas goutte d’huile à espérer. Tu peux les presser toutes comme elles sont; en presse traditionnelle, super presse, à chaud, à froid,… pas une goutte d’huile n’en sortira, que du fiel.
    Ps. Ça m’arrive d’écouter Éric Zemour, même si je ne partage pas toujours ses idées, mais à aucun moment je ne me suis senti insulté ni dans ma race, ni dans ma personne, ni dans ma religion… Et je préfère et de loin écouter et ne pas être d’accord avec zemour que de risquer d’être d’accord avec un de « nos » hamadache (au sens générique) cathodiques à nous , sur nos merdias à nous, choucroute TV, terfass journal,… Car, cela voudrait dire que quelque chose ne tourne pas rond.

      Idir Berrahil
      10 juin 2021 - 1 h 25 min

      Comme disent les Anglais “birds of the same feather flock together.” L’ auteur de cet article ne fait pas l article pour Bengrina et Alia. On ne peut pas lui reprocher de faire la publicité pour les islamistes, qui, par ailleurs, ne sont pas au pouvoir en Algerie. Mais à choisir entre l intégrisme musulman algérien bavard, mais sans autre puissance que celle du verbe, et l intégrisme juif, connu sous le nom de sionisme, qui fait de l islamophobie élémentaire son gagne-pain et sa marque de fabrique, et applaudit au genocide en direct du peuple palestinien dans l état “juif” d Israël,le choix est clair . Ces auteurs ont choisi leur camp en s associant à Zemmour et Alia et en partageant ses haines et ses mépris . Zemmour sait pour quelle cause il roule, pas celle de la démocratie pluraliste ou les droits de l homme, mais exclusivement pour la cause que lui dicte sa religion .Elle n est n est pas la mienne , ni celle de pratiquement tous ceux qui ont fait des commentaires!

    Un Algerien.
    9 juin 2021 - 13 h 30 min

    C’est difficile pour une personne qui vivait dans le noir,sous un figuier et un palmier et d’un seule coup il se retrouve au champ Élysées ,et c’est très difficile pour une personne adulte a s’intégrer et comprendre le système.ces deux vendus font partis de ceux qui ont découvert la France en retard .les harkis avec le temps ont tous regretté d’avoir vendu leurs pays.

    Karamazov
    9 juin 2021 - 9 h 02 min

    Bismi Allah erahmane errahim .

    Quand on descend dans la fosse à purin effrontément avec la volonté de blesser profondément en dépassant le summum de l’ignominie en assenant les coups les plus vils et les les plus bas avec l’assurance de ne pas en encaisser parce que ceux qui peuvent les rendre forcés par les fourches caudines de la modération à l’applaplatissement doivent déposer les armes à l’entrée , outre que c’est déloyal , pour employer un euphémisme forcé , mais non moins significatif, ce n’est pas d’une grande honnêteté intellectuelle et encore moins d’une grande témérité.

    Je dis les choses comme elle me viennent à l’esprit, brute de décoffrage, mais avec beaucoup de retenue .
    C’est ma nature , je suis trop modeste et trop modéré. Et qu’on ne me dise pas que c’est parce que je suis protégé par mon pseudo anonyme que je me le permets. Il y en a bien qui se drapent de leur notoirité, oui « no-toi-ri-té » , pour se donner le droit d’être outrageant.

    Comparer Sansal et KD à Céline comme si c’était eux qui conduisaient les trains qui menaient les victimes des nazis aux camps de concentration , ou comme si nous étions en guerre contre toute la planète et qu’eux sont passés dans l’autre camp c’est tout simplement grotesque et affligeant.

    Car cette comparaison ne concerne pas leurs oeuvres, il n’y a pas photo sur ce plan. Céline est un l’un des plus grands écrivains de tous les temps, incontestablement. Après B.Traven , qui n’est pas du tout un grand patriote lui aussi, évidement.

    Sansal et KD sont dans le camp ennemi , c’est à partir de là qu’ils écrivent. Sansal et KD sont des écrivains  » de l’extérieur » à dit un écrivain qui lui n’a pas réussi comme eux Et ô sacrilège eux ils ont été adoptés par Fafa « notre éternelle ennemie » : rappelez-vous-le bande d’amnéssiques !

    Et puis quelle simplicité , ya Boundyou ! Ils n’aiment pas les palestiniens donc c’est des harkis ! Wouaw !
    Safi plus de sakata que je bourlingue à travers le monde , j’ai rencontré de tout, y compris des pangolins, mais je n’ai jamais croisé un palestinien. Excepté par la propagande , je n’ai jamais pu me faire l’idée de ce que peut être un palestinien. Aussi je compatis , je ne suis pas anti-palestinien , je leur souhaite tout le bonheur , et un Etat digne de leur lutte, mais ne m’en faites pas des frères ta3 bessif. Suis-je pourtant un harki ?

    Je dis « frère » car chinou à Guezgata , ce mot est chargé de sens . Un frère c’est le frère biologique , Utérin. Et c’est uniquement de ce frère qu’on dit : kharhegh gma , kharhagh wa t’yewthen. Je hais mon frère , mais je hais encore plus ceux qui le frappent. C’est la version Guezgatie , de votre dhalimoun oula medhloumoun.

    Sinon, où Sansal et KD ont-il agit contre l’Algérie ? A quelle occasion sont-ils tombés sous le coup de la loi algérienne ? Qu’a-t-on à leur reprocher de complot conte L’Algérie?

    Leur seule faute , c’est d’avoir osé une indivuduation , un affranchissement des figures imposées par l’école butindeguerriste. Un autre regard qui nous libère de l’aliénation, de l’oedipe colonial chronique.
    Mais bien sûr quand est soi-même empêtré dans cet oedipe , Quand on est en mal de reconnaissance par Fafa , cette mère infidèle, elle aussi en déni de maternité, on a beau multiplier les demandes et les injonctions de reconnaissance, par toutes les contorsions langagières et les simagrées , rien n’y fait. Alors , bien sûr, on pisse du vinaigre sur tous ceux qui ,eux, ont réussi.

    Si vous n’aimez pas les raisins verts il ne faut pas en dégouter les autres , ipicitou !

    Karamazov
    8 juin 2021 - 20 h 12 min

    @Hmed Hemou

    Ah non a Hmed ! Pas les palestiniens kamim. Je trouve au contraire que tout Algérien qui écrirait un livre, ou même une chanson ga3, devrait y mettre un Palestinien , Au risque d’être dechwarisé de sa nationalité, comme dans les films ta3 Marikène on met bessif un noir sinon tu es raciste.

    Brahms
    8 juin 2021 - 19 h 34 min

    Barème des droits de succession en France.

    Un petit rappel pour les : Saadani, Bouchouareb, Bouteflika, Bedjaoui, Brahimi etc..etc..etc..

    Après abattement, la part de succession qui vous revient est Taux d’imposition
    Comprise entre 15 932 € et 552 324 € 20%
    Comprise entre 552 324 € et 902 838 € 30%
    Comprise entre 902 838 € et 1 805 677 € 40%
    Supérieure à 1 805 677 € 45%

    Les droits de succession, ou frais de succession, renvoient à l’impôt indirect prélevé sur la part du patrimoine du défunt qui revient à un héritier, après déduction d’un abattement. En principe, la personne qui hérite doit s’acquitter de l’impôt au moment du dépôt de la déclaration de succession mais elle peut également, en cas de problème de trésorerie, sous conditions, solliciter un délai de paiement supplémentaire pour différer le paiement des droits de succession. La demande doit être formulée en même temps que le dépôt de la déclaration et être assortie d’une offre de garanties minimales. A noter que l’administration fiscale n’est pas obligée de répondre positivement à la demande.

    Il faut donc que Mr Tebboune récupère l’argent du peuple sinon ça passera dans les caisses du Trésor Public
    donc sur 300 millions d’euros détournés par Saadani, il y a 125 millions d’€ qui vont aller à PARIS BERCY.

    Brahms
    8 juin 2021 - 17 h 26 min

    Mohamed Sifaoui a fait avant eux,

    Mohamed Sifaoui dénigre sans arrêt le gouvernement algérien, il parle de corruption, il joue l’histoire de l’islamisme radical pensant mieux connaitre que les autres mais au final, le français le surveille de loin et certains lui ont fait la remarque qu’il était venu avec un visa de touriste pour au final, resté en France.

    Je rappelle que l’islamisme radical a été conçu par Israël + les Saoudiens + les américains pour renverser tous les régimes arabes afin de faire diversion sur la Palestine mais aussi pour casser le Panarabisme Arabe qui menaçait l’existence d’Israël avec enfin, une touche de corruption (corrompus – corrupteurs) mis en place par les européens et qui a permis de renverser toutes les marmites arabes et africaines amenant émeutes, hirak, printemps arabe etc..etc..

    Voilà, la réalité et nous faisons que constater les dégâts. Donc pour être un homme politique, il faut de très grandes qualités dont celle d’incorruptible sinon c’est la catastrophe, on a vu d’ailleurs avec Ben Ali, Kadhaffi, Bouteflika et Moubarak tous gangrenés car quand on reste au pouvoir trop longtemps, on s’avachit.

    Tictoc
    8 juin 2021 - 17 h 08 min

    La crédibilité d’un intellectuel se mesure à sa capacité à taper sur les siens d’abord.

      Mouloud Oulhaj
      8 juin 2021 - 17 h 47 min

      ok mais pas aller jusqu’à se joindre aux ennemis des siens, ce qu’on appelle universellement la trahison! des intellectuels de toutes tendances ont critiqué la 3ème république, mais ça ne justifiait le fait que certains aient décidé d’aller jusqu’à collaborer avec l’occupant nazi!!! l’intellectuel doit certes jeter un oeil critique sur sa société, mais pas aller jusqu’à s’allier avec les ennemis jurés de son peuple et qui ne cachent pas leurs desseins. Ni Zemmour, ni BHL, ni Lehouellebeq ne sont des amis de l’Algérie, de manière générale, de son peuple de manière particulière. et donner créance à leurs déclarations haineuses va au delà de ce qui peut être acceptable pour un intellectuel qui tient à contribuer à améliorer son peuple; on sait quels sont les desseins de ces sionistes invétérés, pas en tout cas le bonheur des Algériens, toutes composantes éthniques réunies!

        Anonyme
        8 juin 2021 - 18 h 57 min

        Ce n’est pas une question d’amis ou ennemis. Une injustice, un délit, un crime , ça se dénonce sinon on devient COMPLICE!!

          Akli Adjerad
          8 juin 2021 - 20 h 31 min

          Bien dit! Et, en plus, court ! Mais, en général l ennemi ne nourrit ni bons sentiments, ni bonnes intentions et surtout s il se couvre de la modernité et des “ valeurs universelles “ qu il respect que quand ça l arrange et qu il en tire profit! Et ça va de la démocratie à la liberté d expression, sans oublier les droits de l homme, qui se restreignent exclusivement aux droits de ses coreligionnaires ou de sa race , et la laïcité à condition que sa religion en soit exclue !

          Tictoc
          9 juin 2021 - 8 h 58 min

          Un exemple : Feraoun. Il a fuit Fort National pour Alger pour échapper à un procès en sorcellerie de la révolution. Résultat : l’autre camp l’attendait au détour d’une cour de récréation. Bref je suis persuadé que Feraoun, Maameri (déjà fait) Dib, aujourd’hui, seraient vilipendés de la même façon que l’actuelle génération. La différence étant que l’ancienne était moins butindeguerriste (plus autochtone) pour reprendre le leitmotiv de karamazov

    Karamazov
    8 juin 2021 - 16 h 55 min

    Mince , je crois que j’ai abusé de l’eau roqyée; Moua qui n’ai jamais mis de glaçons dans mon bourbon. Je suis hydrophobe . Et je suis enragé . Je m’excuserais presque d’avoir été si conciliant.

    Iben moua je pense qu’un brulot comme celui-ci mérite une réponse avec un droit de licence langagière élargi. Mais à vrai dire je m’en fiche que KD et Sansal se fassent étrillés ainsi. Des réquisitoire pire que celui-ci ils en ont essuyé, et il n’en sont pas morts.

    Exepté peut -être B. Traven , j’ai toujours considéré la littérature anglosaxonne au dessus de toutes les autres . Je mettrais la littérature russe en deuxième et la littérature française en troisième position. Et j’ai lu ya boundyou ! J’ai lu.

    Mais la littérature algérienne me barbe , à suffoquer. Je la trouve pour le moins arrogante . je n’en dirais pas plus. Je ne l’aime pas ipicitou. Sur le plan purement littéraire , je pourrais dire une monstruosité sur chacun de nos écrivains. Y compris sur Sansal et KD. Je dis de nos écrivains . Parce que si on incluait les poètes j’excepterais Si Mohend Umhend .

    Et vouala que deux écrivains , sans être des parias, ni des grands innovateurs tentent une individuation, une sortie des sentiers battus , et qu’est-ce qu’on leur fait? on les bannis .

    Et ce n’est pas nouveau . Quand Mammeri a écrit  » la colline oubliée » , on l’a traité de collabo , de traitre .Son oeuvre a été comparée à « la colline inspirée » de Mauras, un écrivain nationaliste d’extrême droite. Et Pourquoi? Parce que Mammeri a extrait son oeuvre de l’apesanteur coloniale. Quel sacrilège ! Elle devait suinter la douleur du koulounizi , sinon la yadjouz .

    Sansal et KD essuient les mêmes reproches. Ils ne continuent pas l’oeuvre de Kateb Yacine. Au contraire, ils osent même semer le doute: c’est une profanation .

    Sansal et KD doivent suinter leur complexe de koulounizi et faire expier le kouloun par toutes les lignes. Ils doivent porter bessif le fardeau du koulounizi sinon c’est des harkis!

    Hmed hamou
    8 juin 2021 - 15 h 47 min

    À force de qualifier tous les vrais intellectuels patriotes de zombies et de faux iconoclastes (juste parce qu’ils sont un peu libres d’esprits, ou pire parcequils osent considèrer l’Algérie avant tout et avant la Palestine, et tinzaouatine avant ghaza, même s’ils n’ont rien contre le peuple palestinien) , ils ne nous reste plus que les vrais zombies iconodoules pour jouer aux patriotes.
    Après on s’étonne pourquoi les autres pays, rien que nos voisins, profitent mieux de leur élites, de leurs compétences, intellectuelles, économiques,…notamment à l’extérieur (diaspora) et de leurs influences et ce en dépit des penchants personnels de chacun (qui ne regarde qu’eux même)…
    Parce que pour ces pays là, ce qui compte pour être un bon compatriote, ou un bon patriote, c’est uniquement fonction de son rapport à son pays d’origine, de ce qu’il peut lui apporter directement ou indirectement (grâce à ces relations) et non par rapport à son club de foot préféré, ses engagements humanitaire envers d’autres causes ( qui restent après tout facultatives, des engagement personnels, des goûts et des couleurs); ils ne vont pas fouiller avec qui il couche, s’il a fait le haj combien de fois, ses penchants et ses préférences intimes, avec qui il prend son thé ou sa bière,…ça c’est sa vie privée qui ne regarde personne. Enfin, normalement.
    C’est pour ça qu’on assiste à une inversions de valeur chez nous. L’hypocrisie partout. Jouer la comédie à la face du monde, braire avec le troupeau puis en privé, en cachette, fait ce que tu veux, tu peux même coucher avec les hyènes.
    Et au final c’est l’Algérie seul qui perd ! Et le pire, sans que les « autres causes qu’on aime défendre » n y gagnent rien du tout !! Autrement ça se saurait. Les seul gagnants c’est les pays étrangers qui profitent de nos compatriotes et leurs compétences à force de les rejeter et de les jeter dans leurs bras.
    Aussi, mr Benachenhou, aulieu de nous effrayer avec des zombies, Halloween est encore loin, ne serait-il pas mieux inspiré de nous présenter quelques-uns de ses propres apports intellectuels et/ou économiques pour la patrie, pour qu’on s’en inspire un peu ? Un petit peu d’énergie positive nous fera beaucoup de bien.

      Arezki Kallou
      9 juin 2021 - 10 h 33 min

      Tout de même étrange que leurs noms apparaissent avec celui de Éric Zemmour sur une feuille de chou spécialisée dans la diabolisation des bougnoules sans distinction de race ou de religion . La couverture médiatique qui leur est donnée dans les médias qui bouffent du bicot matin, midi et soir, n a rien de surprenant . Les assoiffes du sang des ratons savent distinguer entre leurs adeptes et leurs ennemis. Assis imalayene, dite Assia Djebbar, malgré le fait qu elle a été élue à l académie francaise, et a juste titre, n a jamais reçu leur couverture médiatique. La lecture d une seule de ses phrases vaut pourtant que tous leurs écrits haineux! Pourquoi? Pourtant nombre de ses livres font un critique acerbe de la société algérienne ! Simplement parce qu elle a refusé de jouer le jeu du rejet de son peuple et de sa poubellisation. Le Figaro a censuré son nom et ses écrits , alors qu elle appartenait au gotta de la civilisation française !

    karimdz
    8 juin 2021 - 12 h 40 min

    Il a été effectivement constaté que des algériens ou plus précisément des néo harkis, motivés par le seul fait d’être reconnu, que ce soit sur le plan politique, sur le plan littéraire, sur le plan journalistique… se sentent obligés de dénigrer leurs compatriotes, leur religion… Ce sont en réalité des individus complexés en recherche de gloire et d argent, qui sacrifieraient père et mère, pour parvenir à leurs fins.

    Et bien entendu, ceux qui les reçoivent dans les plateaux de chaines télévisées, ou sur la toile, ou dans les colonnes de leurs journaux… c’est pain béni, car ces néo harkis sont en quelque sorte, leur caution visant à « crédibiliser » leur propagande.

    Ces néo harkis, sont même protégés, et tous ceux qui oseront les dénoncer ou les critiquer, tomberons sous la loi relative à la liberté d expression, qui soit dit au passage, se vérifie toujours dans un sens !

    Il est clair que dans les pays occidentaux, leurs propos sont diffusés à fond, bon nombre de gens tombent dans le panneau. Mais il y a aussi des gens qui savent faire preuve de discernement. Pour ce qui nous concernent, algériens, la malhonnête intellectuelle est évidente.

    Karamazov
    8 juin 2021 - 10 h 37 min

    Iben moua je suis forcé de ramer à contre courant.

    D’abord je vous avoue que dans un premier jus j’ai été très virulent à la limite du blasphème et de l’irrévérence . Aussi j’ai mis de l’eau roqiée dans mon vin pour le rendre plus recevable. Je n’ai pas besoin de rappeler que je pense complètement le contraire de ce qui se dit ici au sujet de Sansal et de KD dont j’ai lu tous leurs romans et dont pas un seul ne m’a vraiment captivé. Comme pour Zola dont j’ai lu par pure curiosité et masochisme tous les Rougons-Macquart.

    N’étant ni psychanalyste ni un littéraire je ne sais lire les livres qu’avec mon vécu et mes sentiments. Je ne cherche pas à analyser ce que je lis, d’ailleurs je ne sais pas le faire. Ne dit-on pas que le lecteur réécrit les livres qu’il lit. Le dialogisme et l’intertextualité n’apparait pas que dans la lecture il est aussi dans la lecture.

    Tout d’abord il faut savoir ne pas confondre l’écrivain et son oeuvre . Comme on le voit avec Céline . Il y en a d’autres dont les oeuvres sont pleines d’humanisme et qui en tant qu’hommes sont de véritables crapules. Faulkner est vu par certains comme un raciste et un esclavagiste.

    Je vous le dit en toute franchise , je ne situe pas KD et Sansal sur le même registre. Je trouve Sansal un tantinet provoquant et KD presque érotique . KD à le même rapport que Madame Claude à la langue française : wech la préciosité wech m’le raffinement surfait. Vas savoir si ce n’est pas les dégâts collatéraux du butin de guerre. Quant à Sansal , il n’a que le mérite de sortir de la gangue butindeguerriste qui conditionne et je dirais même qui bride la littérature algérienne.

    Quoi qu’il en soit , je vois pas les livres de Sansal et de KD comme des reniements , ni comme des oeuvres iconoclastes. Bien au contraire le fait que certaines les qualifient ainsi est la preuve dénote une certaine envie , pour ne pas dire une certaine jalousie de ne pas savoir faire comme eux.

    Je dirais donc que les littératures de KD et de Sansal sont des écritures émancipées du butindeguerrisme. Ou qui voudraient l’être. Une littérature de l’extérieur ou du postérieur, post-après-indépendance. Ou plutôt indépendante. Du butindeguerrisme, cela s’entend.

    Je crois que le procès, pour trahison, qui leur est fait est dû à cette émancipation.
    Pourquoi ils ne mettent pas leur talent au service de leur société et de leur pays !
    Eh , non les écrivains ne sont pas des fonctionnaires au service de leur société ou de leur pays. Bien au contraire , le roman est destiné à nous en sortir.

    Anonyme
    7 juin 2021 - 22 h 39 min

    La liberté d’expression n’est pas un absolu.
    Vous avez complétement raison mais faut-il expliquer aux lecteurs la différence entre Liberté d’Expression et Liberté d’Opignon pour ne pas verser et tomber dans le piège de l’absurde.
     »Peut-on tout dire même ce qui est blessant et offensant en invoquant la Liberté d’Expression. »
    B. Spinoza dans sa chronique bi-mensuelle s’était a longuement attardé là dessus.
    Les gens ont tendance à amalgamer entre Liberté d’Expression et Liberté d’Opigniom.
    Invoquer la liberté d’Expression pour dire des mots blessants et offensant n’est toléré dans aucune société démocratique qui se respecte.

    Anonyme
    7 juin 2021 - 20 h 27 min

    En chaque arabe sommeille un bachagha ! Ces 2 énergumènes ne seront rien du tout bientôt.

    Anonyme3.
    7 juin 2021 - 20 h 08 min

    J’étais dégoûté de voir l’ancien chroniqueur d’un quotidien (…) ,donner un interview à notre président dont je n’ai pas compris pourquoi Mr Tebboune essaye de se rapproché dès haineux a travers l’un dès médias le plus haineux envers L’Algérie.ces deux harkis peuvent se balader en France la tête haute ou lès lumières de paris ont fait mal a leurs yeux jusqu’à ou vendre dignité pour de l’argent,mais jamais il pourront t marcher avec fierté a Alger.

    Brahms
    7 juin 2021 - 17 h 59 min

    Ils se baladent à Paris,

    Ils pensent jouer aux intellectuels mais le français ou le juif se méfieront toujours d’eux. En France, on ne prend pas la place du Comte, pour eux, ce ne sera que de la perte de temps et d’énergie point barre.

    Quand on travaille avec la bonne foi son pays, le pays vous le rend mais quand vous trichez avec le peuple, un jour ou l’autre, vous serez trahi et vous perdrez tout.

    En France, il y a beaucoup de taxes et le chemin est bien balisé en matière d’impôts donc la France les laissera toujours dans un pantalon très court.

    L’État Français vivra toujours mais l’individu aura une durée de vie limitée donc si ces 02 personnages venaient à mourir en France avec un parc immobilier conséquent, le fisc passera avant la famille et ils devront s’acquitter d’un taux de 45 % chose qu’ils ne doivent pas savoir comme Saadani, Bouchouareb , Bouteflika.

    Travaillez pour L’État Français voilà ce qu’ils sont venus faire.

    Elephant Man
    7 juin 2021 - 17 h 06 min

    Pour reprendre @Anonyme 12/12/18 : Quand BHL et Finkielkraut soutiennent un arabe, il faut qu’il soit pro-israélien donc anti-Palestinien, anti-musulman, anti-Algérien et renégat. C’est la surenchère dans l’infamie qui consolidera sa réputation. KD l’a bien compris. Quand ils n’auront plus besoin de lui il deviendra un « magma » (le mot est de De Gaulle) infréquentable.. ».

    Elephant Man
    7 juin 2021 - 16 h 41 min

    «Depuis quand attiser la haine contre son propre peuple et sa culture peut-il être considéré comme un apport positif à son progrès ?» →→ excellemment dit.
    Maintenant les « frenchy » auxquels vous faîtes référence sans qui les Daoud Sansal et autres harkis n’existeraient pas et ne seraient pas publiés sont avant tout anti-Algérie primaire par excellence il est biaisé de faire référence au packaging musulman Islamophobie anti-arabe ce n’est pas le cas la narco-terroriste-monarchie et ses sujets fidèles serviteurs esclaves consentants ne sont jamais j’insiste jamais la cible en France idem pour les tunisiens en France.
    Voilà pourquoi @Selecto a largement dénoncé sur AP via ses commentaires perspicaces l’entourlope des consulats Algériens en France la mosquée de Paris infiltrés par des naturalisés et des harkis qui oeuvrent exclusivement j’insiste exclusivement pour leur narco-terroriste-monarchie.
    Je rejoins également @Loklan sur cette « solidarisation » avec les « africains » [pour ne pas être censurée] en France cf. le drogué traoré adama z–l et tutti quanti car dès lors que la vraie victime est Algérienne Franco-Algérienne étrangement ces « africains » [pour ne pas être censurée] sont toujours aux abonnés absents et même mieux toujours dans le camp des bourreaux.
    Pour le reste la liberté d’expression en France est un leurre il suffit de dire juif et vous vous retrouverez en moins de temps qu’il n’en faut derrière les barreaux par contre les Mila z–l et tutti quanti peuvent dire que l’Islam c’est de  » mot de Cambronne » sans être inquiété tout comme Philippe Tesson le pote de BHL « Ce sont les musulmans qui amènent la «mot de Cambrone» en France.
    Remplacez leur propos par juifs religion juive on en reparlera dans votre cellule en taule…
    La France est le culte de la pensée unique et l’absence totale de libre arbitre ….scientifiquement prouvé p<0,001.

      Anonyme
      8 juin 2021 - 20 h 19 min

      Attiser la haine?? Dénoncer est un devoir citoyen. Celui qui fait le beni-ouioui est un COMPLICE

    RRab3i
    7 juin 2021 - 10 h 51 min

    HELAS dans tout les conflits il y a de tout ,des trahisons des erreurs des dommages collatéraux des vengeances des fausses accusations et des vrais aussi autant de dénonciations des fourberies des lâches et des héros des assassinas
    et faut croire que les guerres font parties de l équilibre naturel sinon de nos jourss selon les statistiques) on dépasserai les cents milliards d être humains de quoi devier la planète de son orbites

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