La confiance dans les médias français radicalement ébranlée (I)

BFM médias français
Les médias sont perçus par les Français comme les véritables virus menaçant les libertés. D. R.

Contribution de Mesloub Khider – Selon plusieurs récentes études consacrées aux médias français, la majorité des Français déclarent ne plus faire confiance aux professionnels de l’information, tous supports médiatiques confondus (TV, presse papier et en-ligne). Cette défiance, quoiqu’ancienne, s’exprime, aujourd’hui, de manière particulièrement virulente, voire violente, notamment lors du mouvement des Gilets jaunes et des actuelles mobilisations contre le passeport sanitaire.

C’est l’occasion, pour nous, d’analyser le rôle des médias, en général, en France, en particulier.

Du point de vue du capital, en France comme dans les pays capitalistes développés, les médias «produisent» et commercialisent une marchandise singulière : l’information. Celle-ci doit rapporter revenus et profits aux multinationales des communications, mais également bénéfices idéologiques par la diffusion de la pensée dominante. La corporation des médias œuvre dans cette superstructure, et sa fonction consiste à réguler le fonctionnement de ce système d’endoctrinement idéologique. Il s’agit, pour ces scribes de l’information, de formater l’opinion publique citoyenne afin d’assurer sa soumission pour tenter de désamorcer les récriminations politiques et annihiler les velléités subversives populaires. S’il faut faire la démonstration de la dévotion servile des grands médias français témoignée aux puissants et à l’Etat, le traitement informationnel du mouvement des Gilets jaunes de France aura été la parfaite illustration (1).

De manière générale, cette posture obséquieuse des médias officiels français révèle l’asservissement total des appareils idéologiques au capital. Depuis l’école, en passant par le cinéma et la littérature, jusqu’aux médias audiovisuels, internet et les médias sociaux numériques, tous ces instruments conceptuels de façonnement des esprits sont totalement monopolisés par le capital (ou l’Etat dans les pays dictatoriaux) pour lui servir d’instruments de propagande.

En France, la majorité des médias sont la propriété d’un petit nombre de grands groupes financiers, comme dans la majorité des pays du monde entier. La corporation médiatique française, sectatrice dévote de l’idéologie de la liberté d’information, a tendance à expliquer le dévoiement et la soumission des plumitifs journalistiques par la concentration des entreprises médiatiques : «Dix milliardaires ont pris le contrôle d’une grande partie des médias français. Ces oligarques, venus du BTP, de l’armement, de l’industrie du luxe et de la téléphonie, ont accaparé les grands quotidiens nationaux, les chaînes de télévision et les radios pour assoir leur influence. Avec, à la clé, conflits d’intérêts, censures, pressions, licenciements, ingérence malsaine […] Cette concentration des moyens de production de l’information entre les mains de quelques-uns met en péril l’indépendance de la presse dans notre pays. Et porte ainsi atteinte au fonctionnement démocratique. Comment garantir la liberté de l’information et le pluralisme de la presse ?» s’indignait un scribouilleur effarouché officiant au sein d’un organe de propagande français, ayant pignon sur rue et du pognon plein les banques.

Or, comme on va le démontrer, ce n’est pas la monopolisation des médias par quelques groupes capitalistes qui expliquerait l’à-plat-ventrisme légendaire des obséquieux journaleux des médias officiels français, jamais à court d’idées complaisantes pour se vendre au plus offrant, ni en défaut de flexibilité professionnelle courtisanesque pour se plier devant les puissants.

De fait, les médias français opèrent ouvertement comme des organes du pouvoir financier et de l’Etat. Pour preuve : au cours de la révolte des Gilets jaunes, les médias français ont ignoré délibérément la violence structurelle sociale imposée par les difficultés économiques, la violence entrepreneuriale des patrons, la violence des forces de l’ordre nazifiées perpétrée lors des manifestations, la violence de «terrorisme social» infligée à l’ensemble des travailleurs par l’Etat capitaliste totalitaire.

Pour ces médias officiels aux ordres, cette violence n’existe pas. Les plumitifs du capital sont conditionnés à ne voir que la violence circonstancielle et résiduelle matérialisée par la destruction de quelques vitrines de restaurants, de magasins ou de banques, les incendies de voitures, les tags sur les murs. Cette focalisation médiatique sur cette violence contingente, qui plus est réactionnelle et dérisoire, a pour dessein d’escamoter les violences structurelles et permanentes étatiques, politiques, économiques, sociales et carcérales. Et corrélativement d’inverser les responsabilités et les culpabilités.

Par une forme d’inversion accusatoire (processus de défense consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais à sa victime), pour ces médias stipendiés, la présomption de culpabilité s’applique, systématiquement, sans autre forme de procès aux manifestants, contestataires, protestataires, grévistes. En revanche, aussi bien le gouvernement, pourtant toujours le premier protagoniste à ouvrir les hostilités contre le peuple par ses mesures antisociales ou lois liberticides, que les policiers, dépositaires de la violence légitime assénée fréquemment sans discernement et de manière disproportionnée, auteurs de «bavures» et d’«éborgnements» des manifestants, ils ne sont jamais responsables, jamais coupables.

Il faut relever que ce comportement des serviles officiants médiatiques français n’est pas télécommandé d’en haut, depuis le propriétaire milliardaire ou employeur gouvernemental jusqu’au banal chef de service journalistique. Il est l’œuvre de clercs totalement acquis à la défense de l’ordre existant dominant. Pour décrocher un emploi dans ces grandes entreprises de fabrication de la marchandise informationnelle maquignonnée et falsifiée, ne serait-ce que comme pigiste, il faut avoir le profil de l’emploi : posséder la foi démocratique capitaliste chevillée au corps (prosterné), croire aux mascarades électorales, partager les valeurs bourgeoises libérales, être pétri de la fibre patriotique belliqueuse, autrement dit la foi inébranlable en la politique impérialiste de son Etat, et porté aux nues le sionisme matérialisé par l’inféodation servile à Israël. En résumé, avoir une personnalité servile et une âme vile.

Aussi, assuré de recruter des agents formatés selon ces valeurs dominantes libérales bourgeoises, quel besoin le milliardaire (ou l’Etat français) propriétaire de médias aurait-il de manœuvrer ses valets journalistiques ? Ils lui sont instinctivement dévoués. Souvent, avec un zèle fanatique et une ardeur courtisanesque inégalée. Qui plus est, il est de peu d’intérêt de constater que dix milliardaires contrôlent 80% des moyens d’information-propagande-aliénation en France (comme dans d’autres pays). Seraient-ils cinquante, le résultat serait le même. Et rien ne changerait en termes d’autocensure que s’imposent ces journalistes et directeurs de rédaction pour conserver leur emploi, servir obséquieusement leurs maîtres. Ce qui importe d’observer, c’est dans quel secteur économique ces milliardaires ont investi leur capital. Ce sont des marchands d’armes, des magnats de la construction, des marchands de produits de luxe et de la grande distribution.

Avec la révolte des Gilets jaunes, comme avec la période actuelle marquée par la pandémie outrancièrement instrumentalisée par les médias français, les dernières illusions sur la prétendue liberté de la presse ont volé en éclats. Et les journalistes, définitivement éclaboussés. Les Français ne croient plus ces menteurs professionnels stipendiés. Les médias eux-mêmes ont pris conscience de cette discréditation, disqualification, cette débâcle éthique et déontologique.

A cet égard, il est utile de souligner qu’en France la défiance envers les médias est ancienne. Dès sa fondation, la presse fut en proie aux critiques, aux anathèmes. En 1688, La Bruyère juge que Le Mercure galant, l’un des premiers périodiques français fondé en 1672, est «immédiatement au-dessous de rien», en termes contemporains, un média de caniveau. A la fin du XIXe siècle, à l’époque de sa forte croissance, la presse française est fustigée pour son rôle d’abêtissement du peuple et d’encouragement des déviances (de nos jours, elle continue à jouer ce rôle de conditionnement mental par ses discours apologétiques sur la théorie du genre et autres modes narcissiques sociétales petites bourgeoises, érigées en modèles identificatoires pour les enfants). Au XXe siècle, elle est fréquemment accusée de servir le pouvoir, d’être contrôlée par les puissants, de distiller un discours idéologique élitiste.

A notre époque, cette crise de confiance s’explique, selon la majorité des Français, par le manque d’indépendance des journalistes vis-à-vis du pouvoir politique et économique. Environ deux tiers de l’opinion publique jugent que les journalistes ne sont pas indépendants, ni du pouvoir politique ni du pouvoir économique. Qu’il soit dit en passant : depuis quand, dans le système capitaliste, un salarié est-il indépendant de son employeur ?

En vérité, tout salarié est asservi à son patron ; autrement dit, c’est un esclave rémunéré, et à ce titre ne dispose d’aucune liberté au cours de sa phase d’exploitation, c’est-à-dire son temps de travail aliéné. Il est corps et âme dévoué à son maître à qui il doit docilité, obéissance, soumission. Une fois franchi le portail de l’entreprise, tout salarié perd sa liberté (de pensée, de conception, d’élaboration, de programmation, de décision : facultés totalement monopolisées par son patron). Il est dépossédé de soi. Il appartient corps et âme à son maître employeur qui lui impose le planning de production, lui dicte le rythme de travail, lui prescrit les tâches à exécuter, lui assigne les objectifs commerciaux, lui ordonne de fournir une rentabilité toujours plus performante. Heureux l’esclave d’antan qui ne s’enorgueillissait pas de sa condition sociale servile, conscient de son assujettissement forcé.

Aujourd’hui, l’esclave-salarié est fier d’exhiber son contrat d’asservissement professionnel, sa fiche de paie d’aliéné heureux, fier de ses quatre semaines de vacances octroyées par son patron, par ailleurs employées à enrichir les capitalistes du secteur de loisirs par ses dépenses consuméristes.

«La confiance dans les médias à son plus bas historique en France», avait titré la chaîne de propagande BFMTV. Le journal Le Monde, l’organe officieux de l’Etat impérialiste et antisocial français, avait écrit au moment de la révolte des Gilets jaunes : «Selon les trois quarts des sondés, les journalistes sont jugés trop dépendants du pouvoir politique. Une critique entendue fréquemment au sein du mouvement, qui préfèrent les lives sur Facebook pour contrôler leurs propos et se méfient des porte-parole, comme de toute médiation.»

Même l’audimat de la télévision est en chute libre. Média jusque-là préféré des Français pour s’informer, la télévision recueille un niveau de confiance de seulement 38% (-10 points en un an). La presse écrite s’effondre à 44% (-8 points). Pareillement, les réseaux sociaux subissent la même érosion en matière de confiance. En effet, on pouvait penser que les activistes font confiance à internet, à Facebook, Google, aux médias du net. Or, la même suspicion de collusion avec les puissances d’argent s’exprime à l’égard des organes dominants de la Toile.

Preuve du pouvoir de nuisance des médias consécutivement à toute révolte populaire : les calomnies colportées sur les Gilets jaunes. Dans le sillage de toute la presse française, Le Monde avait propagé sans discontinuer la fable selon laquelle les Gilets jaunes étaient affiliés idéologiquement à l’extrême-droite (comme, aujourd’hui, les opposants au pass sanitaire ou au vaccin expérimental ARN-m sont qualifiés de complotistes, voire d’irresponsables. En revanche, les fabricants de ces vaccins en phase d’essai clinique, opposés à toute garantie médicale sur l’innocuité de leur nouveau produit chimique, opposés par ailleurs à toute responsabilité pénale ou financière en cas d’effets indésirables des vaccins, ils ne sont pas irresponsables).

Mais ce mensonge n’ayant pas eu l’effet escompté, les médias français ont agité le sempiternel épouvantail lucratif de l’antisémitisme (également brandi contre les opposants au pass sanitaire et au vaccin pour avoir exhibé l’étoile jaune lors d’une manifestation. Or, le port de l’étoile jaune par quelques manifestants, monté en épingle par les médias, n’a nullement de signification antisémite. Au contraire, il reconnaît le caractère raciste de l’étoile jaune et en fait un symbole de tous les ostracismes, donc de celui contre les non-vaccinés notamment. La perversité journalistique française transforme un hommage, par identification persécutive, rendu aux juifs contraints de porter l’étoile jaune, en outrage antisémite).

Le Monde des 20-21 janvier 2019 avait titré «Les Gilets jaunes, terrain d’influence pour la nébuleuse complotiste» (déjà les mêmes calomnies et accusations étaient employées par les journalistes pour disqualifier les protestataires). On pouvait y lire : «Des figures conspirationnistes de l’ultra-droite se servent du mouvement», «les dérapages se sont multipliés depuis le début du mouvement», «la colère contre les institutions démocratiques est le résultat d’une entreprise idéologique», «ces obsessions complotistes antisémites autour de Macron et de la banque Rothschild s’affichent désormais dans les cortèges», «en se servant du mouvement né le 17 novembre pour démultiplier leur influence, les complotistes et antisémites liés à l’extrême droite gagnent en visibilité depuis plusieurs semaines.» Et de conclure : «Le jour de l’acte X, des figures complotistes et antisémites et d’extrême-droite se sont finalement donné rendez-vous».

Ainsi, parce qu’il avait osé défier courageusement la classe dominante, le mouvement des Gilets jaunes a été outrageusement calomnié. Pour accréditer l’imposture de l’antisémitisme, les médias avaient brandi des images d’un fait divers où un dénommé Finkielkraut, philosophe de son état bicéphale, avait été traité de sioniste par un manifestant. Aussi, pour accuser l’auteur de l’apostrophe d’antisémitisme, les médias français avaient prétendu que la qualification de sioniste serait assimilable à de l’antisémitisme.

A l’époque actuelle, à la faveur de la crise sanitaire du Covid-19, les médias jouent un rôle négativement déterminant dans la propagation et la perception des risques et des conséquences potentielles liés au coronavirus. En effet, les professionnels de l’information, en particulier les journalistes, avec leur traitement de l’information délibérément catastrophiste, contribuent, depuis le début de l’épidémie, au processus d’amplification de la perception anxiogène de la crise sanitaire du Covid-19.

Une récente étude, effectuée pour les Assises du journalisme de Tours en partenariat avec France Télévisions, France Médias Monde, Le Journal du Dimanche et Radio France, publiée le 26 septembre 2020, a montré que l’opinion des interrogés envers les médias couvrant la crise du coronavirus est très défavorable. Le constat est sans appel : les médias sont sévèrement jugés par l’opinion. Ils sont 60% à juger la couverture médiatique de la pandémie de Covid-19 excessivement anxiogène, a indiqué l’étude ViaVoice. Concernant la manière dont les médias ont couvert l’information, 43% des sondés ont estimé que les médias ont alimenté la peur de la pandémie, et 32% ont pensé qu’ils l’ont exploitée pour faire de l’audience. Enfin, l’étude ViaVoice montre que la crise sanitaire et son traitement médiatique entraîneraient des conséquences dans le rapport des Français aux médias.

Actuellement, à la faveur des mobilisations contre la gestion sécuritaire de la pandémie, expression de la dégradation de la confiance dans les médias, de la détérioration de leur crédibilité, cette défiance s’exprime de manière particulièrement virulente, voire violente, à telle enseigne que certains médias parlent de «haine des journalistes». Avec la crise sanitaire outrancièrement instrumentalisée, le rejet des journalistes et la remise en question du rôle des médias dits «officiels» a atteint un niveau inégalé.

En effet, un véritable climat de défiance se manifeste vis-à-vis du gouvernement et des journalistes, perçus par les citoyens comme les véritables virus menaçant les libertés, la société. Ce phénomène est international. Au cours des récentes manifestations contre le pass sanitaire, plusieurs journalistes ont été agressés, injuriés, menacés, expulsés des cortèges, en France et dans de nombreux pays d’Europe. Après une nouvelle protestation samedi 31 juillet, des journalistes ont été pris à partie, des médias pris pour cible. Le même jour, les bureaux de la station radio France Bleu à Montbéliard ont été visés, ainsi que ceux du Dauphiné Libéré à Annecy. Dans la ville des Alpes, le tag «collabo» a même été inscrit sur les locaux du quotidien régional.

M. K.

1- Autopsie du Mouvement des Gilets jaunes, éditions L’Harmattan, 2019

(Suivra)

Comment (8)

    Elephant Man
    5 août 2021 - 11 h 22 min

    La France a refusé l’asile politique à Julian Assange vrai journaliste toujours incarcéré à Londres malgré la rétractation du témoin principal pour faux témoignage.
    À contrario le harki de service faux journaliste Drareni a eu son portrait sur toutes les devantures des mairies de France et de Navarre, « ÉTONNANT NON ? » pour reprendre le cultissime Desproges.
    Aux lecteurs d’AP vous omettez à l’insu de votre plein gré les Salamé pistonnés et autres france tv radio d’ailleurs tout ce « beau » monde ne vit que dans l’entre-soi et le culte de la pensée unique passant d’une chaîne tv à l’autre en toute simplicité…

    TOLGA - ZAÂTCHA
    3 août 2021 - 19 h 02 min

    C’est une réaction tout à fait normal. Car les gens commencent à comprendre, ENFIN !!! Par QUI sont détenus TOUS les médias en france et partout ailleurs dans le monde qui ne font que MENTIR et ATTISER LA HAINE entre les peuples….. Attention au retour de manivelle, messieurs des lobbies ça va finir par se retourner fatalement contre vous. C’est même INÉLUCTABLE !!! Un dictateur de triste mémoire peut toujours ressortir….. Faites gaffe !!!

    quasiement toute le paresse en france est entre els mains de sionistes!
    3 août 2021 - 13 h 17 min

    l’erreur qu’a commise les sionistes en france c’est de prendre les français pour des imbéciles. certes ils arrivent à manipuler les personnes agrées incultes, ou limitées intellectuellement, mais jamais la jeunesse française et surtout la classe moyenne qui est très très cultivée. pour vous dire et j’ai beaucoup d’amis français, toutes les familles aidées, catholiques (croyantes), les cadres et la classe moyenne, interdisent à leurs enfants de regarder la télévision. ils sont conscients que le lobby sioniste manipule les français, à les rendre haineux envers tout ce qui dérange israel et son colonialisme, ce lobby divise la france en deux blocs extrêmes, cette division qui renforce proportionnellement le lobby sioniste qui avec la situation sociale explosive et invivable, il tire son épingle du jeu, en plaçant ses hommes et femmes politiques sous leur domination: le système macron qui en réalité a commencé avec sarkozy et hollande, des présidents technocrates, qui ne sont que des pantins d’israel. d’où la démission du chef de l’etat major de l’armée française qui ne veut pas cautionner cette dérive française.
    je demande à tous les algériens ne jamais acheter une revue ou un journal français qui traite de la politique, des finances africaines et même de l’histoire, car ILS FALSIFIENT L’HISTOIRE ET ON L’A VU AU MUSEE DU LOUVRE OU LES SIONISTES ONT ORGANISE UNE EXPOSITION MENSONGÈRE PRO MAROCAINE; « le maroc médiéval: empire de l’afrique du nord à l’espagne » un empire avec aucun héros marocain, aucune victoire marocaine, aucun fait historique marocain daté et confirmé par les vrais historiens qui ne bénéficient pas d’un lieu de débauche au maroc!
    en outre 30% des revues sont franco marocaines comme jeune afrique, les afriques, afrique magazine, etc. toutes sont marocaines sionistes basées en france pour tromper le monde, à part « afrique-asie » qui demeure encore tiers mondiste et qui dit la vérité!

    la pensée unique est devenue insupportable en france et la crise du pass sanitaire en est un symbole de ce rejet de cette pensée dictée et imposée de gré ou de force. le régime en france est sioniste, la france est devenue sioniste, au point que macron allait interdire l’usage de mot sionisme le considérant comme terme antisémite.
    cette france sionsite a en outre depuis sarkozy a ouvert les vannes de l’immigration du maroc en bloquant nette celle de l’algérie, pour mieux diriger les français (d’où les marocains sont partout maires, députés, députés euroipéens, ministres, etc. ). si vous remarquez la racaille un peu partout en france, c’est normal CE SONT DES MAROCAINS. ILS SONT PARTOUT et le pire comme ils sont détestables, ils se font passer pour des algériens plus civilisés que les français qui refusent cette france sionistes apprécient beaucoup.
    JE VOUS AI DIT QUE LA FRANCE EN ETANT ENVAHI PAR LES MAROCAINS ET PIRE ENCORE ILS ÉCARTENT LES ALGERIENS DE TOUT, MEDIAS, POLITIQUES, POSTES DE RESPONSABILITÉ DANS LES ENTREPRISES, ETC. LA FRANCE VA CONNAITRE LA POISSE MAROCAINES. LA DESTRUCTION ET LA FIN DE LA FRANCE EST ENTAMÉE ET ELLE EST IRRÉVERSIBLE. LES REVOLUTIONS EN FRANCE NE VONT S’ARRETER ET IL Y AURA TOUJOURS DES ZEMMOUR, GOLDNADEL, BHL, ET L’AUTRE NOUVELLE RECRUE SUR LCI LE JUIF franco MAROCAIN qui a une haine contre l’algérie incroyable!
    ET C’EST ECRIT

    Touhami
    3 août 2021 - 12 h 58 min

    Il y a l’information qui arrive à l’état brut et le professionnalisme, invoqué par les organes de presse, des journalistes qui traitent ensuite l’information avant de la diffuser au grand public.

    En France, si vous regardez une chaine telle CNEWS, vous êtes écœuré à vie des chaines d’infos en continu. Parce que les organes d’information sont pour la grande majorité la propriété de puissants groupes. Il est alors impossible d’imaginer une seule seconde que l’information puisse être neutre et diffusée de manière intègre. C’est valable dans tous les pays. L’information est orientée selon les intérêts des uns et des autres. Ce n’est pas nouveau.

    Mais il existe des journalistes qui essaient tant bien que mal de rester intègres et d’assurer une information qui soit la plus proche de la réalité. C’est le cas, en France, d’une chaine comme LCI. Même si tout n’y est évidemment pas sans reproche. Je ne partage pas tout ce qui y est dit, mais je note une certaine rigueur dans la diffusion d’une information. Cela n’engage que moi, cela va de soi.

    D’où l’extrême intérêt pour tout citoyen de demeurer soi-même éclairé et de conserver toujours un esprit critique. On n’est pas obligé d’être d’accord avec tel ou tel journaliste ou tel ou tel intervenant. Il faut savoir se forger ses propres idées et faire la différence en une information pure et une analyse qui peut être parfois très orientée.

    CHAOUI-BAHBOUH
    3 août 2021 - 12 h 36 min

    Les Médias Français, ne peuvent pas se soustraire au Regime Gouvernemental, un colonialiste restera avec cet Esprit congrue et Haineux. Tout le Monde a observé le parcours des Gilets jaunes, mais d’autres gilets jaunes du Gouvernement a été introduit dans la pomme afin de la pourrir de l’interieur, les casse des vitrines des Banques et autres casses pour piller certaines vitrines aux Champs Élysée, pour incrimer le Mouvement des gilets jaunes, l’agression de BENALA en tant garde de corps du Président Mr Macron et le où les scandales declenches comme une Avalanche et du jour au lendemain personne ne parle affaire classée, les Régimes de la droite comme ceux des pseudos Socialiste, Bonnets Blancs, Blancs Bonnets, l’ALGERIE leur restera comme une sangsue et nous Algeriens nous connaissons cette SANGSUE qui suce toutes nos matieres, le PEUPLE, Les matieres premieres, nos biens toutes formes où Produits confondus, ils ne rassasient jamais Nous voila independant la Sangsue est toujours LÀ !!! Et dans toutes les anciennes colonies soit disant que nous sommes Indépendant=Dependant de cette SAGSUE – FRANCE !!! CORDIALEMENT: LORIOT D’EL-MADHER ET DES 50 WILAYATS DE LA PRUNELLE DE NOS YEUX !!!

    Balatons devant notre porte
    3 août 2021 - 12 h 09 min

    Avec l’arrivée du canasson Bouteflika au pouvoir, les médias déjà peu reluisant avant, ont été fossilisé. Contenu médiocre pour tous, manque de professionnalisme, ingérence du religieux dans les programmes, manque de pertinence dans les émissions et journaux TV, idem pour la presse écrite, toujours négatives, manque d’épaisseur dans les analyses,…ect ect ect On est encore aux années de l’URSS alors que le mur de Berlin est tombé et le monde est mondialisé et globalisé. Quand aux médias français notamment CNEWS, LCI et BFM qui sont un bruit de « chiottes » ininterrompu 24h/24h on sait tous pour qui ils travaillent et leurs idéaux: Drahni, Bollore et Bouygues qui cassent du bougnoule à longueur de journée mais aiment faire des affaires avec eux. Mais essayons de relever le niveau chez nous car lisant quotidiennement la presse nationale, j’ai envie de pleurer par la pauvreté des contenus et le décalage avec le monde. Il y a du boulot pour se réinventer.

    Belveder
    3 août 2021 - 11 h 15 min

    Il faudra Penser a faire une Analyse sur les Médias en Algerie
    LE JT de 20h qui n a pas changé en 60ans en ait la parfaite illustration
    si quelques semaines dans les années 90 avec Mr ABDOU B
    quant a la presse privé (vendeur de café et de cachir) on peut en dire des choses

      bds
      3 août 2021 - 13 h 13 min

      la france etant la réference mondial pour les libertés et surtout la liberté d expression cela fait d elle une réference . et ce qui fait dire a l article mentionné si dessus que cela concerne bien sur l algerie et toute la presse ecrite et tv dans le monde . cela va de soi . comme on dit un journaliste soit il fait la p…. soit il est au chomage . ils defendent les interets et la vision d une caste et rien d autre au detriment de leurs peuples
      juste un constat tout ce qui a fait de l occident une civilisation qui a dominer et influencé le monde depuis 300 ans ce sont c est lois . une police pour le respecté et une justice pour l appliquer . ce qui a fait naitre des démocraties et des républiques ansi que l etat de droit .
      de nos jours toutes ces lois sont dévoyer par le pouvoir de l argent et des hommes civilisé aux ames corrompu . ils n ont plus foi au createurs ce sont des societés dépourvu de bon sens et d humanisme . nous assistons la a la décadence et la mort du monde occidental . le covid est la pour accélerer leurs chute et transferé leurs pouvoir en une autre partie du monde ..
      une chose encore leurs media est une usine a fabriquer des abrutis ignorants et incultes
      pas besoin de journaliste pour comprendre le monde et etre son propre journaliste juste des connaissance en
      histoire . géopolitique . antropologie et théologie et la vous etes dans la realité et vérité .outils que les puissants maitrise a merveille c est pas pour rien .
      merci pour votre article et continué dans cette voie de neutralité d indépendence et d information .
      bien a vous tous

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.