Islamisme apatride et berbérisme racialiste : deux entités antinationales (II)

MAK 2 approches
Lors d'une manifestation des partisans du MAK célébrant le printemps berbère en Kabylie. D. R.

Contribution de Khider Mesloub – Par-delà ces deux approches rétrogrades, l’Algérie doit s’atteler à la redéfinition de son identité nationale sur des fondements résolument modernes, appuyés sur des réalités contemporaines sociales, des déterminismes sociaux. Il en va de la survie de l’Algérie prise en tenaille par ces forces archaïques et obscurantistes, à caractère religieux et ethnique.

Aujourd’hui, l’Algérie est confrontée à une situation critique. Sa viabilité est menacée par les forces centrifuges et les puissances étrangères ennemies. Après l’assaut avorté porté par les islamistes au cours des années 1990, forces neutralisées au prix de centaines de milliers de morts, de nouvelles entités sécessionnistes s’affirment sur la scène nationale, soutenues et financées par des puissances étrangères, notamment l’Etat sioniste et la monarchie marocaine. Ces entités séparatistes, s’appuyant sur les anciennes revendications linguistiques légitimes relatives à la langue kabyle, ont transfiguré, sous l’instigation de puissances impérialistes (notamment sioniste et marocaine), ces revendications en projet politique sécessionniste ou communautariste conquérant. Ce faisant, ces mouvements berbéristes indépendantistes ou communautaristes visent, par leurs revendications, tout simplement le démembrement de l’Algérie, sa partition, sa dislocation.

De surcroît, depuis peu, la mouvance berbériste se livre à la surenchère revendicative linguistique. Lors de l’année scolaire dernière, au cours de multiples manifestations, elle appelait au boycottage de la langue arabe dans les établissements scolaires de la Kabylie. Au-delà de l’aspect folklorique de cette nouvelle lubie linguistique «arabophobe», on ne peut que s’inquiéter de l’avenir de ces jeunes adolescents étudiants, embrigadés dans une lutte politicienne identitaire et communautariste idéologique berbériste. Quand bien même cette revendication serait-elle satisfaite, en quelle langue ces jeunes écoliers manipulés voudraient-ils étudier ? En langue kabyle ? En langue française ? Dans la première hypothèse, sa réalisation est impossible à mettre en œuvre faute de moyens pédagogiques et de personnels enseignants formés. Et dans quel cadre institutionnel étatique ? Toujours algérien ou indépendantiste ? C’est donc une revendication irresponsable et séditieuse. Dans la seconde hypothèse, cela revient à renouer avec le colonialisme, à réintroduire la langue de l’ancien colon français comme langue d’enseignement. Quoi qu’il en soit, pour neutraliser ces deux tendances réactionnaires à l’œuvre, qui œuvrent tendanciellement au dépeçage du pays, le peuple laborieux algérien, animé par des convictions modernes dans l’édification de l’identité algérienne, comme il l’a prouvé lors du massif unificateur mouvement du Hirak, doit unir ses forces pour endiguer ces constellations fossilisées.

L’Algérien de Kabylie est libre de cultiver et de vivre librement son «amazighité», aussi bien au plan linguistique qu’au niveau culturel. De surcroît, la langue amazighe doit être librement enseignée dans les régions berbérophones. Tout comme la culture amazighe doit ouvertement s’épanouir dans ses territoires naturels d’implantation. Mais le Kabyle ne doit pas imposer à la majorité des Algériens arabophones et sa langue et sa culture, encore moins édicter sa conception berbériste archaïque et anachronique de l’identité nationale. Tout comme l’islamiste ne doit pas prescrire à tous les Algériens sa pratique salafiste de l’islam, ni sa perception islamiste moyenâgeuse orientale de l’identité nationale algérienne (l’Algérie, certes, appartient à l’aire civilisationnelle arabe et islamique, mais avec ses spécificités culturelles nationales et historiques ancrées dans un espace géographique méditerranéen nord-africain, avec ses séculaires particularités cultuelles musulmanes fondées sur la tolérance). Malheureusement, ces deux entités réactionnaires ont fait de l’ignorance une vertu. Elles s’évertuent à propager leur ignorance sur les questions religieuse et identitaire à l’ensemble de la population nationale. Il revient donc au peuple algérien, animé d’un esprit de modernité, de combattre cette ignorance. D’abattre l’infamie ! De redonner ses lettres de noblesse à l’Algérie, affadie par ces fanatiques d’un autre âge.

En outre, tout comme le croyant doit apprendre à vivre sa foi dans l’intimité, sans devoir l’afficher de manière ostentatoire sur les plans vestimentaires, rituels, et encore moins l’imposer aux autres concitoyens algériens, le Kabyle doit se résoudre à vivre son amazighité dans son périmètre berbérophone dans toutes ses dimensions linguistique et culturelle, sans devoir l’édicter à la majorité écrasante des Algériens arabophones disséminés sur l’ensemble du territoire algérien. Autant la religion doit être reléguée dans la sphère privée, autant la culture amazighe pareillement circonscrite dans son dernier territoire survivant. Elle n’a pas à envahir les autres régions arabophones, à coloniser culturellement et linguistiquement les régions arabophones.

Depuis l’indépendance, nous disposons d’une langue vernaculaire (darja) pour communiquer entre nous Algériens. De la langue littéraire arabe (al-fous’ha) comme langue administrative. Qui plus est nous permet de communiquer avec des millions d’autres arabophones du monde entier. Sans compter la langue française, maîtrisée également par la majorité des Algériens, qui nous permet également de dialoguer avec des millions de francophones à travers le monde. C’est une richesse de parler ainsi trois, quatre, voire cinq langues (en incluant l’anglais). En effet, en plus de notre langue maternelle (darja ou le kabyle), il faut ajouter l’arabe littéraire (al-fous’ha), le français, l’anglais. Un Algérien maîtrise ainsi jusqu’à cinq langues. Le Kabyle parle souvent couramment l’amazigh, l’arabe vernaculaire (dardja), l’arabe littéraire (al-fous’ha), le français, parfois l’anglais, voire plus. Quelle richesse !

Dire que certains berbéristes luttent pour l’instauration de la seule langue kabyle. De surcroît, établie dans un Bantoustan kabyle. Une langue parlée par les seuls Kabyles. Pour les seuls Kabyles. Parmi les seuls Kabyles. C’est la défense de la pureté de la «race» kabyle dans toute sa laideur. Sa dimension tribale ! Quel recul ! Quelle régression ! Quelle pauvreté en matière de revendications !

D’aucuns s’évertuent à enrichir leur intelligence par l’élargissement de leur horizon culturel. D’autres s’acharnent à appauvrir leurs aptitudes intellectuelles par l’étroitesse de revendications identitaires étriquées. Certains militent pour faire entrer leur pays dans le Village planétaire. D’autres se débattent pour réduire la planète à la dimension de leur village. C’est le combat de l’universalisme contre le tribalisme. L’appartenance de classe générale transcende l’identité culturelle particulière. Le particulier se dilue dans le général. Non l’inverse. Les particularismes culturels et religieux frondeurs et séditieux sont dangereux pour l’unité du peuple algérien et l’intégrité du territoire de l’Algérie. Une minorité linguistique doit savoir minorer ses prétentions. Délimiter ses ambitions. Car la majorité, même si elle fait preuve de compréhension, sait aussi instaurer des limites aux empiétements de la minorité. L’acquiescement ne vaut pas abdication.

Tout comme l’Algérie a su réduire à néant les prétentions des islamistes à régenter théocratiquement la société, à imposer leurs visions moyenâgeuses orientales, à s’emparer des rênes du pouvoir, à transformer le pays en territoire annexé par les monarchies salafistes du Golfe dans le cadre d’une oumma internationalisée, elle saura neutraliser, voire anéantir les forces centrifuges sécessionnistes berbéristes œuvrant au profit des puissances impérialistes, désireuses d’accaparer les richesses pétrolières de l’Algérie ou de transformer le territoire en base militaire de l’Etat sioniste avec la complicité de son vassal makhzénien.

Ironie du sort, si l’islamiste, avec sa vision religieuse moyenâgeuse orientale, à la faveur de l’expansion planétaire de l’islamisme au cours de ces quatre dernières décennies, s’était acharné à transformer l’Algérie en une vaste mosquée à ciel ouvert, annexe d’une oumma fantasmée, aujourd’hui, le berbériste, avec sa conception tribale archaïque, profitant du discrédit et du déclin de l’idéologie arabo-islamiste orientale, s’échine à transfigurer (défigurer ?) l’Algérie en une immense tribu berbère culturelle mythique, ressuscitée de ses sépultures antiques.

Au reste, l’Algérien est, à l’image de ses successifs dirigeants kleptomanes et mythomanes, bâti sur la manipulation historique. L’Algérien use et abuse avec beaucoup de ruse du mensonge. Il adopte volontiers une élégante posture pour occulter son indécente imposture.

Il en est ainsi des Kabyles berbéristes du MAK, ces imaginaires persécutés, sectateurs du discours victimaire. A les entendre, les Kabyles seraient victimes d’ostracisme, de racisme de la part du pouvoir, en particulier, et des «Arabes» algériens, en général. A entendre leurs lamentations, ils vivraient emmurés dans un pays d’apartheid. D’aucuns, notamment les partisans de l’organisation séparatiste le MAK, emploient même l’expression de «régime colonial» pour désigner le pouvoir algérien.

En vérité, il n’y a jamais eu en Algérie de politique officielle d’éradication de la langue kabyle, ni de politique d’anéantissement de la culture kabyle, ni, à plus forte raison, de persécutions perpétrées spécifiquement contre les Kabyles. Les répressions politiques, opérées par les différents régimes monolithiques et despotiques installés au pouvoir depuis 1962 se sont exercées contre tous les Algériens, sans distinction d’ethnie, ni de sexe. El-kazoula (la matraque) s’est abattue sur tout le peuple algérien.

La Kabylie ne détient pas le monopole de la répression. En revanche, sa composante berbériste frondeuse et séditieuse détient le record des fausses impressions. Des mensongères diffusions et des tristes confusions. Ainsi, pas de politique officielle d’éradication de la langue et de la culture kabyles. Pour preuve : les deux sont encore plus que jamais vivantes. En vérité, la langue et la culture kabyles s’épanouissent librement partout en Algérie. Jamais la culture kabyle n’a connu autant de rayonnement que depuis l’accession de l’Algérie à son indépendance. Elle est sortie de ses montagnes inexpugnables pour conquérir toute l’Algérie, le monde entier, notamment grâce à ses célèbres chanteurs et autres artistes de renommée internationale. Sans oublier, depuis quelques années, la création de multiples médias audiovisuels de langue amazighe, l’apparition d’une presse écrite berbérophone, les diverses manifestations culturelles kabyles programmées tout au cours de l’année en Algérie et dans de nombreux pays.

Pour un pays neuf et jeune, sur le chapitre de l’éducation nationale, l’Algérie a réussi ce prodigieux défi d’alphabétiser quasiment l’ensemble de ses enfants. En dépit de ses carences, de ses dysfonctionnements, le système éducatif algérien a réussi cette prouesse de permettre à des centaines de milliers de jeunes d’accéder chaque année à l’enseignement supérieur (1 700 000 étudiants pour l’année universitaire 2018/2019). Notamment en Kabylie. En outre, pour une langue orale, l’amazighe connaît depuis quelques années un début de transcription écrite et de publication, notamment dans plusieurs universités. Cela constitue un notable progrès. La langue amazighe écrite n’a historiquement jamais existé. La langue kabyle n’a connu au cours de son histoire qu’une diffusion orale. Par conséquent, on ne peut pas soutenir que le pouvoir algérien a interdit officiellement la langue amazighe. C’est un non-sens. On n’interdit pas quelque chose qui n’existe pas !

Que dirait alors la majorité des Algériens dont la langue maternelle est l’arabe dialectal (dardja) ? Leur langue ancestrale orale a toujours été privée de toute reconnaissance nationale et de toute politique d’officialisation en vue de sa promotion comme langue écrite enseignée à l’école. Pourtant, la «population» algérienne arabophone n’a jamais impulsé un mouvement de revendication linguistique, instrumentalisé la langue dardja à des fins sécessionnistes. Elle n’a jamais tenté de politiser la question linguistique arabe dialectale. Cette frange majoritaire de la population a accepté comme fait accompli la langue arabe littéraire promue langue officielle de l’Algérie : seule langue arabe homogène dotée des outillages grammaticaux et lexicaux opérationnels, pourvue d’une richesse littéraire séculaire et de potentialités conceptuelles indéniables. Surtout, c’est la langue du Coran, de la religion musulmane, religion de la majorité des Algériens depuis plus de quatorze siècles.

Historiquement, au lendemain de l’indépendance de l’Algérie, tout en maintenant l’enseignement en langue française, le régime, confronté à la nécessité de scolariser l’ensemble des enfants algériens, dut recourir à des expédients pédagogiques pour institutionnaliser l’enseignement de la langue arabe avec des moyens matériels et humains rudimentaires. Or, en l’absence d’un personnel éducatif suffisamment formé, il recourut à la politique de coopération fournie par de nombreux pays «frères» arabes désireux d’aider l’Algérie à développer son système éducatif embryonnaire. Le nouveau pouvoir n’eut ni les moyens ni le temps d’initier une politique d’enseignement de la langue orale kabyle. Ou plus exactement n’éprouva pas, à cette époque de panarabisme exacerbé, la nécessité de procéder au développement d’un dialecte minoritaire (du fait également du choc suscité parmi le gouvernement et la population algérienne «arabophone» à la suite du soulèvement insurrectionnel de la Kabylie contre le pouvoir. On l’oublie souvent : le premier mouvement subversif et insurrectionnel armé de l’Algérie postindépendante, cornaqué par Hocine Aït Ahmed, naquit en Kabylie. A l’époque déjà, bien qu’Aït Ahmed affirmât que son mouvement rebelle insurrectionnel ne prônait pas la sécession de la Kabylie, le président Ben Bella dénonça la collusion entre les insurgés kabyles et le Maroc. Ce coup de poignard porté par la Kabylie insurgée contre les institutions souveraines de l’Etat traumatisa tous les Algériens, particulièrement les dirigeants, devenus désormais méfiants à l’égard des «Kabyles» tenus en suspicion. La fermeté gouvernementale manifestée à l’encontre des berbéristes depuis 1963 trouve son explication dans ce tragique évènement insurrectionnel de la Kabylie, et non dans quelque haine ou racisme institutionnel à l’endroit des Kabyles. Le régime, certes, tarda pour s’atteler à la reconnaissance de la langue amazighe comme langue officielle, et ainsi favoriser son enseignement dans les établissements scolaires. Mais cette mesure commence à prendre corps. Grâce notamment à la reconnaissance et l’officialisation de la langue amazighe intervenues récemment.

Par surcroît, à entendre les Kabyles berbéristes, notamment sa frange séparatiste du MAK, les «Arabes» nourriraient une haine inexpiable à l’égard des Kabyles (sic). Entre autres falsifications répandues par les berbéristes du MAK : les Kabyles seraient victimes de discrimination, d’ostracisme. Ils seraient des citoyens de seconde zone. Les Arabes détiendraient tous les leviers du pouvoir, de l’économie, colporte la petite bourgeoisie kabyle affiliée au MAK.

Au risque de choquer certains Kabyles, c’est tout le contraire. Les Kabyles sont intégrés dans tout le tissu économique de l’Algérie. Ils sont socialement insérés dans toute la société algérienne. Politiquement, ils ont toujours disposé de partis spécifiquement kabyles. Ils sont amplement représentés dans toutes les instances étatiques du pays, au Parlement comme dans les communes. Les Kabyles sont établis partout en Algérie, dans le plus petit village jusqu’aux grandes villes. Ils occupent souvent des métiers prestigieux, aussi bien dans le commerce et l’industrie que dans les administrations et les institutions culturelles (cinéma, littérature, art, etc.). Ils sont intégrés dans tous les secteurs de pointe, dans l’enseignement, la recherche, la médecine, la culture, les médias, l’armée, l’administration, sans oublier les instances de l’Etat. Ils résident dans toutes les villes et dans tous les villages de l’Algérie, sans subir le moindre ostracisme. Ils peuvent acquérir un commerce, une maison, un bien dans n’importe quelle ville d’Algérie.

A contrario, dans les dizaines de villes et des centaines de villages que compte la Kabylie, on ne rencontre pas de résidents arabes. En effet, impossible pour un «Arabe» algérien d’acquérir une maison ou un bien dans un village kabyle. Il s’opposerait aussitôt à la réprobation des habitants du village réfractaires à toute immigration extra-ethnique. Pareillement, dans les multiples secteurs d’activité privés ou publics établis en Kabylie, la majorité des postes sont exercés par les «autochtones».

Contrairement aux assertions du discours victimaire des berbéristes du MAK, on serait tenté d’affirmer que l’ostracisme se nicherait plutôt dans cette région kabyle récalcitrante à tout métissage ethnique et à toute «incursion étrangère». De toute évidence, en la circonstance, les Kabyles berbéristes du MAK propagent des contre-vérités. A les lire et à les entendre, la Kabylie ferait l’objet d’une véritable politique discriminatoire. «Le pouvoir colonial» reléguerait les Kabyles à des citoyens de seconde zone. Ils seraient défavorisés sur les plans culturel, professionnel, politique, économique. «Même Israël traite mieux ses colonisés palestiniens !» se risquent à proférer certains berbéristes extrémistes, notamment les partisans du MAK.

Drôle de discrimination pour une région kabyle qui détient, depuis des décennies, le record de réussite au baccalauréat, d’universitaires, d’artistes, de célébrités de renommée internationale, de patrons fortunés !

Cette posture de victimisation n’est pas sans rappeler celle de certaines communautés établies dans d’autres pays, constamment affairées à se livrer aux sempiternelles lamentations pour mieux monnayer leurs indemnisations, négocier leur propulsion au sein des institutions étatiques et politiques. De fait, les Kabyles berbéristes du MAK s’adonnent-ils aux mêmes impostures pour persuader les authentiques Algériens kabyles de les rejoindre dans leur irresponsable entreprise sécessionniste ou leurs chantages et surenchères communautaristes en vue d’obtenir des avantages économiques, des sinécures et des prébendes pour leur élite ?

K. M.

(Suite et fin)

Comment (61)

    Anonyme
    4 septembre 2021 - 8 h 20 min

    Eh bien c´était la langue arabe qui véhiculait cette formidable civilisation arabe, et non tamazight.
    Restons objctifs quand meme!
    Il est dommage que moi-meme, je ne parle pas cette belle langue parce que n´éyant pas eu la chance
    l´apprendre à l´école.

      Ma Maison n’est Ni langue, Ni Tribu, Ni Culture
      4 septembre 2021 - 11 h 19 min

      Ma Maison n’est Ni Arabe, Ni Berbère, Ni tribale, Ni Culture.
      Ma Maison, L’Algerie ne peut pas être définie par une Langue ou par un Référant Tribal ou Culturel.
      …..
      Ma Maison ALGÉRIE est une une NATION DE LIBERTÉ, DE DIGNITÉ et de SOUVERAINETÉ.
      …..
      – L’ALGERIE ma MAISON, est une NATION DE LIBERTÉ et DE DIGNITÉ et de SOUVERAINETÉ
      – un ALGÉRIEN est un CITOYEN LIBRE et DIGNE chez lui et protégé par sa NATION SOUVERAINE
      – Une ALGÉRIENNE est une CITOYENNE LIBRE et DIGNE chez elle protégée par sa NATION SOUVERAINE
      C’est Tout !
      Nous l’avons Payé très Cher, Nous sommes Libres et entendons bien le Rester.
      Tahya El Djazair

        Agrata
        16 décembre 2023 - 17 h 40 min

        Si le Berbère n’est pas enseigné dans les régions où résident les colons arabes, l’arabe (langue conloniale) doit être exclut des régions berbérophones.
        Mesloub n’est ni algérien ni arabe, c’est un judéo-arabe qui cherche provoquer une guerre civile en Algérie.
        Ne vou inquiètez pas Le Mak s’ en chargera.
        Vous n’êtes pas chez vous en Algérie, sale juif arabe de Médiapart.

      Ajdir
      15 décembre 2023 - 8 h 34 min

      c’est une manifestation Bebère, qui dénonce le racialisme arabe et le terrorisme arabo-islamiste, qui s’apparente au sionisme du peuple élu.

      Oussam
      28 décembre 2023 - 12 h 26 min

      @ Anonyme Bic Bic
      Le patois arabe (ou hilalien), n’a jamais été la langue de l’Algérie. C’est Napoléon III, en créant les bureaux arabes et les écoles Coraniques pour abrutir les hilaliens, qu’ on commençait à parler arabe bédouin.
      Avant c’était de Ottomans non arabes.
      Pour la première fois dans l’Histoire on a imposé dès 1962 la « langue » arabe coloniale (ou égyptien) en Algérie (pays Berbère).
      La langue arabe est une langue, morte qui ne sert à rien (sauf pour les amulettes), mais on l’a imposée juste pour gommer tout ce qui est Berbère autochtone. Y a jamais eu de civilisation arabe ni de langue arabe en pays Berbère (…).
      Ce qui est bizarre chez toi Anonyme, tu n’aimes que les langues coloniales arabe / français.
      L’ arabe, est une langue attardée de 15 siècles (langue de l’Arabie et non de l’Algérie).
      Le Français est une langue qui recule de plus en plus (langue qui se maintient pour l’instant grâce aux asiatiques et (…) arabes, qu’ils la parlent (comme toi).
      Mais d’ici 2050 le français comme l’arabe peuvent disparaître. l’Américain est la langue universelle et non l’anglais. (…)
      Les Berbères refusent la colonisation Horizontale (une grande chance pour aller de l’avant).
      Les arabes et sous arabes (voleurs dealers), vont disparaître dès la disparition des énergies fossiles, de plus ils ont Israël aux trousses.

    Anonyme
    3 septembre 2021 - 20 h 49 min

    Cet article va dans la même ligne des discours de Salhi, Bengrina, Benzaïm et consort envers les kabyles.
    Tant et aussi longtemps que cette haine persistera envers une composante pleine et entière de la société algérienne, il y aura des extrêmes de tous bords ce qui pourraient mener à de graves problèmes. Je reste cependant convaincu que la majorité des algériens n’éprouvent pas de haine envers leurs frères de kabylie, nous savons qui sont les incendiaires ils sont extrêmement minoritaires

      Anonyme
      3 septembre 2021 - 22 h 45 min

      Une minorité d’incultes d’ignorants d’insolents irrespo sables qui travaillent à diviser le peuple uni depuis des millénaires par Massinissa. Des diviseurs qui pour maintenir le statut quo politique et leurs intérêts personnels sont prêts à l’embrasement du pays
      Nous n’avons pas de M’henni pour diviser le peuple il y a pire que lui.

      Anonyme
      4 septembre 2021 - 13 h 34 min

      J´ai beau lire et relire cette contribution, aucune « haine du Kabyle » n´y est manifestée.
      Arretez alors vos fantasmes.
      Les Algériens des autres régions ne haissent pas leurs concitoyens de la région kabyle, bien au contraire!

    Anonyme
    3 septembre 2021 - 10 h 16 min

    Partout dans le monde, on trouve des traces des grandes civilisations anciennes (égyptienne, perse, grecque, romaine, arabe, inca, asiatiques etc…) mais , on ne trouve pas grand chose, à part quelques vestiges chétifs de la prétendue grande civilisation amazigh.
    Une civilisation et grande par le travail et le génie des hommes.
    Une langue devient vivante par ce quelle véhicule (l´hébreu par exemle).
    Tout le reste devient n´est que du bla bla bla.
    Je suis Algérien, donc Amazigh.

      Anonyme
      3 septembre 2021 - 13 h 23 min

      Tu peux nous en dire plus sur ces traces de civilisation « arabe »?

          Anonyme
          3 septembre 2021 - 23 h 32 min

          Le monde musulman et le monde arabe c’est deux choses différentes…

          kalatouss
          4 septembre 2021 - 7 h 34 min

          @Anonyme du 3 septembre 2021 – 13 h 23 min

          réaction épidermique attendue.
          le monde arabe et le monde musulman utilisent un moyen de transport commun : la langue arabe.
          l’unesco veille jalousement à sa préservation car elle est la génitrice des progrès actuels.

          Anonyme
          4 septembre 2021 - 12 h 00 min

          Le monde musulman utilise l’arabe? La majorité du monde musulman ne parle pas arabe

          kalatouss
          4 septembre 2021 - 14 h 57 min

          @Anonyme du 4 septembre 2021 – 12 h 00 min

          dans le monde musulman, où que tu ailles, tu entendras lire et réciter le Coran, et faire la prière en arabe.
          iraniens, pakistanais, afghans et d’autres encore, bien qu’ils ne s’expriment pas en arabe, utilisent l’écriture arabe comme support linguistique officiel. des textes en langue arabe ont été découverts chez certaines tribus indiennes d’amérique du nord.

      Anonyme
      3 septembre 2021 - 15 h 03 min

      Voici les traces de la civilisations amazighe https://www.bing.com/images/search?q=Vestiges+berbere+en+Alg%c3%a9rie&form=HDRSC2&first=1&tsc=ImageHoverTitle.

      La haine de soi = la haine de l’amazighité, de l’Algérie, de son histoire, de sa culture

      En plus des grands tombeaux Numide l’un à Tipaza et l’autre à Batna entre autres.
      (…)

        kalatouss
        3 septembre 2021 - 16 h 35 min

        vestiges ne veulent pas dire civilisation.

        arabo/musulmane
        4 septembre 2021 - 12 h 33 min

        ^Anonyme
        3 septembre 2021 – 23 h 32 min
        Le monde musulman et le monde arabe c’est deux choses différentes…

        Vas y lire les historiens ils parlent tous d’une civilisation arabo-musulmane
        Même le saint coran est écrit en arabe

      Abcdef
      4 septembre 2021 - 9 h 36 min

      Donnrz moi un seul nom d’in savant, d’un philosophe ? D’un homme de science arabe avant la venue de l’islam. Même celui qui a élaboré la grammaire de la langue arabe est musulman, de confession mais persse d’origines.

        STOP VOS MENSONGES
        4 septembre 2021 - 21 h 51 min

        @Abcdef
        4 septembre 2021 – 9 h 36 min

        (…)
        «Pendant les premiers temps de l’islam, la moralité des Arabes fut plus élevée que celle de tous les autres
        peuples vivant alors,…. Leur justice, leur modération, leur bienveillance et leur tolérance à l’égard des peuples
        vaincus, le respect de leurs engagements, leur caractère chevaleresque, sont frappants et contrastent
        étrangement avec la conduite des autres peuples, notamment avec celle des Européens, à l’époque des croisades.»
            Gustave Le Bon (1884) La civilisation des Arabes.
         
        «L’islam,écrivent Louis Massignon et Roger Arnaldez,a joué un role trés important dans l’épanouissement scientifique du Haut Moyen Âge.Les Arabes ont fait mieux que transmettre la science :ils en ont éveillé le gout et ils ont commencé à confronter les concepts grecs avec l’expérience ils ont mené une immense activité d’observations critiques où l’on peut voir à juste titre,un prodigieux éveil de la raison scientifique.)»
         Sources ; APPORTS DE LA CIVILISATION ARABO-MUSULMANE DANS LA CONSTITUTION DES PRINCIPES  PHILOSOPHIQUES DE L’OSTEOPATHIE.

                                       Alors basta à votre racisme

          Awthem
          15 décembre 2023 - 8 h 30 min

          les arabes et les musulmans sont très différents, mais ils ont le terrorisme islamique en commun (conformément aux préceptes d’Allah qui ne tolère que le racialisme arabe).
          Au dessus d’Allah, y a Israël peuple sioniste élu par Yahvé, pour coloniser les arabes racailles, terroristes et soumis.

    Les Terroristes et leurs Maîtres Fachos ?
    2 septembre 2021 - 16 h 53 min

    – Ils sont Anti-Nation pour les Indigènes mais Ultra-Nationalistes Chez eux.
    – Ils MANIPULENT L’INDIGÈNE en EXIL Social.
    – Ils aiment les ESPRITS FAIBLES des INDIGÈNES Dociles..
    – Ils se Cachent derrière le VERBE HAUT, l’ARROGANCE et les MANIÈRES d’ESCROCS mais ils Cultivent la HAINE, la VIOLENCE et la RANCUNE
    – Ils prêchent et Diffusent leur POISON de la PURETÉ Originale et Originelle et la SUPERiORITE d’une Race, d’une Civilisation, d’une Culture ou d’une Religion..selon les Contextes
    – Ils nie le Sens de l’HISTOIRE et la Dynamique d’evolution des PEUPLES INDIGÈNES
    – Ils pratiquent le Terrorisme Idéologique de la PENSÉE
    – Ils EXCOMMUNIENT de la “TRIBU”
    – Ils EXCOMMUNIENT de la “RELIGION”:
    – Ils préparent et s’imposent par de la TERREUR et la VIOLENCE
    – Ils parient sur toutes les PEURS
    – Ils ne jurents que par les Ideologues FASCISTES et les SECTAIRES
    – Ils forment des GOUROUS qu’ils placent a la Tête de troupes INDIGÈNES VIRTUELLES ou en EXIL
    – Ils forment les PROTO-TERRORISTES
    – Il utilisent les DROITS DE L’HOMME mais ils CHOISISSENT les HOMMES dignes de DROIT
    ……
    Ils OBÉISSENT et ils ORDONNENT
    Ce sont les FACHOS

      Gober
      15 décembre 2023 - 8 h 45 min

      les hilalien d’algérie ou les ben saouds d’ Arabie ne connaissent aucune civilisation et n’ont aucun esprit scientifique.
      Ce sont les peuples non arabes qui avaient une civilisation , pas les les bédouins concentrés sur le racialisme arabe et le terrorisme

    Anonyme
    2 septembre 2021 - 16 h 03 min

    Comme je lis et je vois, et évidement pas la majorité, certains « kabyles » aimeront ou verront d’un bon oeil une Algérie disloquée , défigurée, anéantie rien que pour le fait que d’autres Berbères utilisent journalièrement la langue de Ibn Khaldoun. Il faut le faire et avoir un certains culot. J’espère que je me trompe.

    Ayweel
    2 septembre 2021 - 13 h 46 min

    Vous avrz tout à fait raison Monsieur K.M le kabyle ne doit pas imposer ni sa langue ni sa culture à l’arabophone, de même aussi le chaoui, le tergui, le mouzabit, le chenoui, le snoussi, le chelhi ne doivent pas imposer leur langue et leur culture aux arabophones. Sachez Monsieur K.M que ttout ce monde que je viens de nommer n’ont jamais imposé ni langue ni culture, au contraire on leur a imposé une langue et une culture qui leur sont étrangères. Dommage, très dommage pour un journaliste, un intellectuel dont l’analyse qui porte sur un point très sensible, surtout en ce moment crucial, se base sur une hypothèse fausse et erronée, une hypothèse qui considère de facto que l’algerie esy un pYs arabe et le nord africain est un maghreb arabe. Où est ma place dans tout ça moi le montagnard des aurés, moi le chaoui qui n’a connu l’arabe qu’a l’âge de 10 ans et juste entre les quatres murs d’une classe et par un enseignant palestinien qui parle dans un dialecte et écrit dans un autre, et moi le montagnard des montagnes rocheuses comme puis-je savoir qu’en arabe entre le parler et l ‘ecrit il y a toute une montagne. Et pourtant ni mon père ni mes oncles et cousins martyres de devoir pour l’indépendance de mon pays n’ont mposé aux autres nk leur langue ni leur culture. On lisant votre article j’ai senti un malaise, je me suis dit mon dieu on edt pas sorti de l auberge des oumaouiyines . Avec cette mentalité on doit s’attendre au pire , on doit s’attendre aux milles ferhat meheni. Heureux les espagnoles qui ont su prendre la décision qu’il faut au moment qu’il faut. Et pour terminer j’aimerais bien vous préciser que ceux qui sont à l’origine du mal , tout le mal de l’algerie et ke peuple algerien , sont ceux du parti de l ‘arabo baathiste et ceux de elouma elarabiya. Ce ne sont ni lez berberistes ni lez mouslamines. Et là je parle pas des islamistes qui sont en réalité les enfants des arabobaathistes.

    Anonyme
    2 septembre 2021 - 13 h 40 min

    Ce texte de Mouloud Mammeri sera sûrement utile à ceux qui à tous ceux qui utilisent à tort et à travers le mot berbère.
    « J’ai une explication personnelle et je crois qu’elle est fondée. Quand on me traite de «berbériste» je suis d’accord si l’on donne à ce terme le sens de quelqu’un qui veut récupérer une réalité algérienne linguistique et culturelle qui s’appelle le berbère et qui veut lui donner le développement le plus grand.

    Je considère que l’Algérie se fait avec des Algériens en chair et en os, pas avec des Algériens abstraits.
    On peut définir l’Algérie abstraitement mais, à mon avis, c’est une mauvaise méthode sur le plan scientifique ou politique.
    Il faut définir l’Algérie réellement et je considère que la berbérité est une dimension absolument fondamentale de l’Algérien, mais ce n’est pas un ghetto.
    Quand je travaille à la berbérité, c’est à l’algérianité que je travaille, à quelque chose de tout à fait fondamental dans l’algérianité.
    Je considère que ceux qui ont fait dans la presse une interprétation erronée de ma démarche sont eux, anti-algériens.
    Ma façon de vivre ma berbérité est à mon avis la façon la plus profonde, la plus authentique, la plus réelle de vivre mon algérianité…
    Jamais dans mon esprit il n’y a eu d’opposition entre les deux choses : je suis berbère et algérien jusqu’au bout et je considère que les deux choses vont très très bien ensemble. »
    Mouloud Mammeri

      Souk-Ahras
      2 septembre 2021 - 18 h 32 min

      @Anonyme du 2 septembre 2021 – 13 h 40 min

      « je suis berbère et algérien… »
      Oui, c’est ainsi que se présentait l’homme (pas l’écrivain) Mouloud Mammeri là où il passait. Il s’empêchait de se décliner sous le sigle inverse : « je suis algérien et berbère ».
      Pourquoi et pour quel motif ?
      Il le dit lui-même clairement : être algérien tout court c’est être un peuple « abstrait », qui veut dire, dans les faits,un peuple non figuratif.
      Désolé de le dire, mais comme pensée séparatiste dans l’absolu, et comme mépris des « autres » clairement déclaré, on ne peut faire mieux.
      De son côté, Saïd Saadi a dit, allant dans le même sens que Mammeri, qu’il s’était, lui, trompé de peuple. Le trait d’union fut ainsi réalisé, devenant de fait le vecteur portant des « revendications » sécessionnistes de M’henni.

        Anonyme
        2 septembre 2021 - 23 h 17 min

        Mépris des autres? Vous parlez de qui? Pour Mammeri être algérien et berbère c’était un pléonasme. Algérien berbère ou berbère algérien c’est pareil. C’est valable pour 100% des algériens car les arabophones aussi sont berbères algériens

          Souk-Ahras
          3 septembre 2021 - 10 h 14 min

          « Mépris des autres? Vous parlez de qui? »
          Quelle question ! Auriez-vous des doutes là-dessus ?
          Je laisse volontiers Mammeri vous répondre : être Algérien tout court c’est faire partie d’un peuple « abstrait », donc non figuratif au sens propre du mot. En clair, sans sa berbèrité il ne saurait être question pour un Algérien de l’être tout simplement. Peut-être pensait-il à une République Bebère Algérienne Démocratique et, rajouterai-je, forcément……….. Impopulaire.
          Nieriez-vous le fait que l’Algérien arabophone est considéré par une certaine catégorie d’Algériens comme étant un Arabe, avec tous les sous-entendus péjoratifs qui s’y rattachent ?

          Si pour Mammeri (c’est vous qui le dites, lui ne l’a jamais prétendu), algérien et berbère est un pléonasme, pourquoi alors se présente-t-il et insiste-t-il sur le fait qu’il est berbère d’abord et algérien ensuite ? Peut-on, objectivement et honnêtement voir un pléonasme dans cette variante ?

          « C’est valable pour 100% des algériens car les arabophones aussi sont berbères algériens »
          En Algérie il n’y a que des Algériens d’ABORD. Votre tort principal consiste à ne pas vouloir en tenir compte.
          Je vous engage, à titre amical, à vous documenter sur ce qu’est un ensemble et ce qu’est une fragmentation. Vous saisirez avec plus de clarté le sens de « peuple abstrait ».

          Anonyme
          3 septembre 2021 - 13 h 35 min

          La réponse est évidente. A l’époque Mouloud Mammeri s’adressait aux partisans de l’arabisation et de l’élimination de toute référence à la berbérité de l’Algérie. Pour lui l’algérianité c’est la berberité. La langue d’expression et la culture c’est deux choses différentes. Les mexicains ont beau parler espagnol, ils ne sont pas espagnols mais descendants d’aztèques

          NON ET NON
          3 septembre 2021 - 22 h 21 min

          @Anonyme
          2 septembre 2021 – 23 h 17 min
          car les arabophones aussi sont berbères algériens

          Désolé nous sommes des arabes et nous le resterons à tout jamais

        moho
        3 septembre 2021 - 12 h 23 min

        Faux, vous reprochez à votre interlocuteur ce que vous faites vous même à savoir parler à la place des autres sauf que votre interlocuteur lui, à parfaitement résumé la pensée de mouloud Mammeri. Mammeri n’ a jamais dit qu’ il était berbère puis Algérien comme vous le dites, il a dit qu’ il était berbère car Algérien tout comme je dis que je suis Algérien car berbère. Mouloud Mammeri affirme en effet que berbère et Algérien est un pléonasme pour dire que s’ il est berbériste il est de fait Algérianiste et ainsi répondre aux affidés arabo- baathiste idéologiquement apatrides qui considèrent que la berbérité est pratiquement un oxymore à l’ Algérianité, hors nous sommes Algérien à partir de notre berbérité et je suis berbère à partir de notre Algérianité.

          Souk-Ahras
          3 septembre 2021 - 16 h 22 min

          « Jamais dans mon esprit il n’y a eu d’opposition entre les deux choses : je suis berbère et algérien jusqu’au bout… »
          Serait-ce moi qui ai prononcé ces mot ?
          Vous tournez en rond cher ami intervenant. Vous n’arrivez pas à vous extraire du cercle pervers.

    Mokh
    2 septembre 2021 - 8 h 18 min

    Prenons l’exemple Suisse et sitout. mais quand?

    Souk-Ahras
    1 septembre 2021 - 18 h 43 min

    @Moho

    Summum du séparatisme, vous dites : «  Nous sommes d’ accord aussi sur le fait que l’ arabophone doit se résoudre à vivre son arabité dans son périmètre arabophone. »
    Comment définissez-vous ce périmètre ?

    Summum du déni, vous questionnez : « Omettez vous les millions et millions de berbérophones qui ne comprennent mot de cette derja ?? ».
    Vous êtes-vous, une petite fois seulement, penché, de manière objective, dépassionnée, et surtout rationnelle sur ce refus déclaré de parler la derja  et son rejet « fièrement » arboré par ces millions et millions ? Votre logique, visiblement, vous l’interdit.

    J’avoue que j’ai arrêté là la lecture, la direction prise par votre commentaire s’étalant ostensiblement en ces quelques mots. Votre logique a parlé, sa densité étant plus grande que celle de votre raison.

    Le motif qui a arrêté ma lecture est qu’en deux seules phrases, sus-citées, vous entriez de plain-pied dans un mouvement de pensée circulaire perpétuel, itératif, reproductible à l’identique : la revendication victimaire qui tourne en boucle. À chaque fois qu’un « ethnicisme » particulier est cité ou mis en cause.

    Nul ne détient la science infuse, n’est-ce-pas ? Ni vous, ni moi, encore moins quelqu’un d’autre.

    Voyez-vous, votre réaction à l’article en cours me mène à repenser à la théorie du cercle dit vicieux, ou pervers selon l’usage, dont l’image la plus répandue est celle du chien qui court après sa queue. Cette théorie, associée à celle du chaos, par ailleurs dûment expérimentée par la mathématique, la physique et la métaphysique, indique dans un de ses nombreux développements, qu’il est extrêmement aisé de pénétrer dans son aire. Cependant, Le quêteur qui y fait irruption à l’assaut de « vérités », armé de ses seuls moyens « logiques », ignore qu’il va être, dans sa quête exclusivement liée à sa logique, le promoteur du chaos dans lequel il va se débattre pour s’en extirper. En vain.
    Pourquoi en vain ?
    Parce que cette même théorie indique aussi, qu’il ne peut exister, pour le quêteur non initié, entraîné bien malgré lui dans cette aire, de solution fiable, se référant à sa « logique », qui puisse l’en extraire dans le calme et la sérénité. Le demi-tour envisagé alors exclut de facto la facilité de l’expédition car le chemin inverse à parcourir se trouve semé d’embûches, qu’il a lui-même implantées lors de son voyage aller en terres méconnues – le cercle -, pouvant mener jusqu’à l’implosion de l’aire ainsi que son contenu. On parle alors de radicalisation de la pensée. La radicalisation n’étant autre que le fait de murer en interne les fonctionnalités actives de la raison.

    Cette contradiction fondamentale des effets vicieux et pervers de ce cercle, synonyme d’aberration logique, trouve sa raison d’être dans le fait que la rationalité a fait défaut à la démarche entreprise dans la recherche de la réalité. On entend sans écouter. On regarde sans voir. On juge sans fondement.

    Logique et rationalité possèdent chacune sa méthode propre de travail. La première s’’exécute de façon horizontale. Dans votre cas elle fait écho à une transmission orale mais aussi à une forte croyance, inculquée dès la naissance et réactivée tout au long de votre vie, en une différence d’appartenance génétique, sociétale et comportementale. Comme le montre votre réaction, votre « logique » vous a amené à vous fabriquer une appréciation et un point de vue foncièrement séparatistes, et surtout très restrictifs.
    Quant à la seconde, elle s’exerce de façon verticale et méthodique. Quand la première ne s’intéresse qu’à la forme, la seconde trouve sa vocation et sa voie dans le fond.
    Observez autour de vous, voyez comment les « langues » sont vues aujourd’hui : un simple outil de communication qui ne reflète aucunement une personnalité ou une identité particulière. Les langues ont été inventées pour se faire comprendre et non pour créer la division.

      moho
      2 septembre 2021 - 21 h 57 min

      Epargnez moi donc votre pseudo intellectualisation, prolixe, logorrhéique qui se résume à quelques phrases en réalité. Simesleyen isfan, bel kilem bassit : Vous considérez ma réponse comme séparatiste et pourtant, elle n’ est que le parallélisme, le reflet par miroitement des dires de Mr Khider mais j’ y pense, avez vous repris Mr Khider pour ces mêmes dires ? Vous parlez de refus mais comment expliquez vous qu’ en plus de 60 ans, près de 60% des Algériens ne savent parler la langue Amazigh, langue racinaire reliée à l’ identité, particularisme élémentaire, supplémentaire qui forge naturellement la jalousie souveraine de l’ Etat Nation ? Vous en connaissez la cause. Le constat n’ est pas e la victimisation, y mêler l’ affect comme vous le fait, si. Il y a là une différence raisonnable entre la logique et le raisonnement par l’ absurde qui par l’ ironie, dévoile le tropisme corrompu qui se jette dans les méandres tortueux de la bassesse analytique de certaine nature impulsive et pavlovienne, démontrant de fait, les limites et la farce à mouvoir un semblant de savoir .
      Pour ma part, votre réponse est inconsidérée au vue de la partialité dont vous faites preuve.

        Souk-Ahras
        3 septembre 2021 - 15 h 18 min

        La seule phrase cohérente qui ressort de votre ??? est : « mais comment expliquez vous qu’en plus de 60 ans, près de 60% des Algériens ne savent parler la langue Amazigh, »
        Soit ! Mais en quoi cela vous dérangerait-il ?

        Si les 60% des Algériens (ils sont plus nombreux en réalité) ne savent pas parler la langue Amazigh c’est pour une raison très simple : les « amazighs », Mozabites compris, ont toujours affiché au grand jour leur préférence pour une existence régionalisée de type autarcique, disposant de leurs propres règles (ça se constate encore aujourd’hui), repliés sur eux-mêmes avec leurs us et coutumes, refusant la mixité de quelque nature qu’elle soit. Afin, disent-ils, de préserver et de ne pas « altérer » la particularité ethnique. Cette « logique » basée sur une structure tribale sectariste, les a installés, au fil des temps, dans l’aire du cercle que j’ai évoqué. Aujourd’hui encore, nombreux sont ceux qui persistent à y demeurer contraints et forcés par leur croyance en une pureté ethnique, déjà encouragée en son temps et dans sa pratique par le père blanc colon.
        Allez-vous le nier ?
        Je suppose que, face à ce comportement séparatiste, les « autres » ont du s’abstenir de les solliciter pour la formation d’un ensemble commun pour un avenir commun.

        En considérant vos réactions et vos questionnements/revendications redondants – inutiles en ce 21ème siècle de progrès fulgurants qui nous échappent chaque jour un peu plus – sur les supposés rôles prépondérants que peuvent jouer langue et culture dans l’édification d’une nation forte, alors que cette dernière ne peut se construire que par un ensemble actif soudé et homogène, je soupçonne que vous-même vous trouvez dans cette aire d’hétérogénéité dans laquelle tout tourne en rond pour un résultat qui entraîne – le constat en est fait quotidiennement – une véritable marche en arrière de la raison et de la notion de citoyenneté entière et acceptée de tous.

        Quant à ma supposée impartialité, il est clair que vous n’avez pas bien saisi la finalité de mon précèdent commentaire. Ce qui y est décrit s’applique, de la même façon, à tous les genres d’extrémismes. Absolument tous.

        Vous me trouvez encore logorrhéique ? Faites donc ? Je prendrai un verre pour savourer.

        Je vous dis bonne suite, sans rancune.

    Abou Stroff
    1 septembre 2021 - 16 h 25 min

    « l’Algérie doit s’atteler à la redéfinition de son identité nationale sur des fondements résolument modernes, appuyés sur des réalités contemporaines sociales, des déterminismes sociaux. » souligne M. K..
    je pense que l’appréhension d’une quelconque « identité nationale » est inséparable des rapports sociaux dominant une quelconque formation sociale.
    en termes simples, au sein du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui domine la formation sociale algérienne, l’identité nationale (ou la personnalité nationale) se réduit aux caractéristiques essentielles du rentier, qu’il soit prédateur (c’est-à-dire proche du robinet de la rente) ou tube digestif ambulant recevant des miettes de rente du premier nommé, doublé d’un zombie décérébré attendant de mourir pour pouvoir vivre.
    en termes crus, l’identité de l’algérien du moment transparaît, clairement pour autant qu’il exhibe des capacités (le trafic, le trabendo, la magouille, le vol (légal ?) généralisé..), des talents (la débrouillardise pour contourner la loi, le comportement de la girouette, l’à-plat-ventrisme, le beni-ouiouisme..) et des tendances (l’attente du messie pour le sauvetage général, le culte des apparences qui cachent l’être minable, les tartufferies, etc.).
    La personnalité du rentier (la spécificité de la personnalité algérienne ?), comme mode d’existence de l’individu algérien (qu’il soit prédateur ou tube digestif ambulant), est alors exhibée par la mise en exergue de ces qualités fondamentales. Et ces qualités fondamentales constituent l’essence de l’algérien du moment pour autant qu’elles sont des conditions nécessaires à la reproduction du système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui nous avilit et nous réduit à des « infra-humains».

    quant à la question de la langue, je pense qu’au même titre que l’« identité nationale », elle reflète des rapports sociaux historiquement datés.
    je persiste donc et signe: l’arabe classique que personne ne parle et le tamazight que quasiment personne ne veut apprendre, sont des langues mortes et bien mortes.
    concernant l’arabe dit classique, cette langue figée, fixée et fossilisée par la texte coranique ne reflète pas le vécu en perpétuel transformation des peuples dits arabes. en d’autres termes, les peuples concernés ont évolué (dans le bon ou le mauvais sens, peu importe pour le moment) et les rapports sociaux qui lient et opposent les couches sociales qui composent ces peuples ont été bouleversés par la dynamique d’histoires singulière et générale (d’où le ridicule de parler d’une soi disant identité définie une fois pour toutes). ces cataclysmes au niveau de l’infrastructure ont nécessairement produit des chamboulements au niveau de la superstructure en général et des langues usités, en particulier (d’où l’apparition et le foisonnement de « darijates » (parlers locaux). ces darijates sont en fait les langues (qui reflètent les bouleversements qui ont lieu au sein de l’infrastructure) qui devraient être prises en charge par les spécialistes en vue de les codifier afin qu’elles se transforment en langues à part entière.
    quant au tamazight, je pense que ce dialecte n’a aucun avenir étant donné que le pragmatisme et la rationalité que véhiculent les valeurs dominantes du moment (les valeurs qu’imposent les formations sociales développées) ne laissent aucune place à ceux qui ont raté le train de l’histoire (peut on, un seul instant, imaginer que les zoulous imposent leur dialecte comme langue nationale au côté de l’anglais en Afrique du Sud ou que les hopis imposent leur dialecte comme langue nationale des USA, au côté de l’anglais-américain?).
    moralité de l’histoire: au lieu de pratiquer la masturbation à grande échelle en essayant de matérialiser un mirage, n’est il pas plus pertinent de retrousser nos manches, de travailler, de produire et enfin d’inonder le monde de nos marchandises, y compris de la langue qui nous aura servi à dépasser notre statut actuel de tubes digestifs ambulants » doublés de zombies décérébrés pour nous réinsérer dans le règne de l’humanité que nous avons, pour diverses raisons, abandonné?
    PS1 : les linguistes ont une tâche historique à accomplir, codifier l’arabe algérien (la darija), seule langue (un dialecte se transforme en langue dès que ceux qui l’utilisent prennent le pouvoir) à même de répondre aux divers besoins de la formation sociale algérienne.
    PS2: les chinois, par exemple, n’ont pas besoin d’aduler ou de sacraliser leur langue. cette dernière progresse et s’impose parce que les chinois travaillent et produisent. les chinois n’ont pas, non plus, besoin de rechercher une pseudo identité figée. leur identité transparait et s’épanouit grâce au travail qui fait d’eux des êtres humains en perpétuelle transformation.
    qu’en est il des «arabes » et des « amazighs»?

      moho
      2 septembre 2021 - 22 h 20 min

      Ca y’ es, tu es devenu MAKiste toi aussi, décidément et arabistes et MAKistes se nourrissent et tiennent tout deux par la barbichette. Puis sache que ton message ne gène que les Amazighs Algérianistes fidèle encore à l’ Algérie car pour un MAKiste par exemple, que tu considères que Tamazight n’ a aucun avenir ou non etc pour l’ Algérie, pour lui ca ne le fait ni chaud ni froid car il ne sent pas ou plus Algérien, ce que tu penses de Tamazight l’ importe peu, à vrai dire dire son souhait et l’ enlèvement de tamazight de la constitution qu’ ils trouvent contre nature et insultant en pays arabe, votre message l’ importe que peu mais parcontre il importe éventuellement aux patriotes Algérianistes de tendance et sensibilité Amazigh dont certains ont regagné les rangs du MAK devenu irrésistible par les perches que vous lui tendez. Si votre logique final est de faire qu’ il n’ y es que des patriotes arabistes, sachez qu’ il est logique que les coriaces et farouches patriotes Amazighs vous déclarent vous arabistes ( derjaïstes) ennemis de l’ Algérie au même titre que le MAK.

    DZ
    1 septembre 2021 - 15 h 48 min

    « La langue Amazigh existait et existera, elle existait au temps de Massinissa et lui même écrivait en tifinagh, écriture Amazigh… » ??? Elles sont où tes bibliothèques ?
    (…)

      Zenaty
      2 septembre 2021 - 6 h 31 min

      qu’on va sortir le pays de cette crise.

      Zenaty

      12 juin 2021 – 18 h 28 min

      Solutions une évolution vers un débranchement du Religieux comme référence de société serait déjà une Révolution Culturelle mais aussi du Respect de l autre qui est différent dans le Comportement durant la Période du Ramadan… Ils faut Accepter que des Algériens ou des Algériennes, n ont pas Envies de pratiquer. Sans ce justifié par un motif Médical… La ont pourras discuter de Sociologie et de Philosophie dans le CALME…. VIVE L ALGERIE AVANT TOUT UNE DEUXIÈME RÉPUBLIQUE DE CITOYENNES ET DE CITOYENS DU Nord au Sud et de l Est à l’Ouest… VIVE L ALGERIE AVANT TOUT…..

    Selecto
    1 septembre 2021 - 15 h 10 min

    Comme par hasard les islamistes et les berbéristes soutiennent le Maroc en évitant de condamner la colonisation de la RASD et appellent a l’ouverture des frontières ouest.

      Elephant Man
      2 septembre 2021 - 0 h 06 min

      @Selecto
      Parfaitement dit et bien résumé, je ne reviens pas sur ce que j’ai déjà écrit à maintes reprises et précédente contribution ce sont les 2 faces d’une même pièce ils ont les mêmes maîtres et dessein final.
      MAK = QG à Paris formation par le mossad à meknès chez la narco-terroriste-monarchie.

      Anonyme
      2 septembre 2021 - 12 h 51 min

      Les berberistes soutiennent tous leurs frères berbères de toute l’Afrique du Nord. On peut soutenir un berbère marocain tout en condamnant leur soit disant roi trafiquant de drogue. Ton racisme anti-berbere te fait dire n’importe quoi…

    Anonyme
    1 septembre 2021 - 14 h 53 min

    Pour diviser et coloniser le proches orient,la france et l Angleterre ont mis l accent sur les differences ethniques et religieuses et les ont diviser en groupuscules pour les monter les uns contre les autres puis les diviser en petits etats sur des bases ethniques ou religieuses…exemple de l accord Syskes_Picot…Cette strategie est revenue au galop ces 20 dernieres annees avec l arrivee de l Otan et Israel au proche Orient d abord avec le nouvel ordre mondial et les deux guerres d Irak instrumentalisant Chiites contre Sunnites,pour donner un justificatif et installer leurs bases militaires au Qatar,Saoudie et Bahrein…et coloniser l Irak…Une fois installes les USA et leurs allies ont commence l etape suivante ,faire des guerres par procuration contre la Syrie avec des milices qu ils ont prealablement entraines,finances et armes sous l etandard de DAECH et Jabhat Ennosra soutenues par les freres musulmans d Erdogan et Ghannouchi….La Syrie fait appel a ses allies Russes et resiste grace au front de la resistance Iran,Irak, Hisboullah Libanais…Bon bref,et de tout temps,depuis 3 decennies,ils ont tout essaye pour destabiliser l Algerie,patrie de plus de 2 millions de chouhadas…plus de 300.000 chouhadas dans les annees 90..L Algerie a fini par resister puis par vaincre cette horde de fous de Dieu soutenue par certains pays du golfe,et plusieurs services occidentaux dont la France,l Allemagne et le Maroc… En france les cellules du MAK et de Rachad restent actifs ,elles sont soutenues principalement par la France,Israel et le Maroc.. Aujourd hui elles sont declarees organisations terroristes par L Algerie..et de ce fait il est de notre droit d exiger l extradition des membres de ces organisations terroristes..L Algerie quoiqu ils fassent,restera unie et l Algerien restera imperturbable aux chants des cygognes…Notre vision d une Algerie une et indivisible,forte de sa diversite culturelle ,de son developpement scientifique et culturel,restera notre objectif…La caravanne passe ..les chiens aboient

    Du recule SVP.
    1 septembre 2021 - 13 h 42 min

    IL y à un sourd muet et un aveugle. Comment peuvent ils communiquer et se mettre d accord s ils commencent les deux au départ de se reprocher leurs différences et se taper dessus?

    La paix
    1 septembre 2021 - 13 h 20 min

    Pour ce debarrasser du racisme et cimentie l’unite national pour les futures generations bsure les langues officiales devraient etre enseigner sur tout le territoire algerien. une chose qu’ils trouveront naturelle des leurs enfance donc y aurra pas du racisme

    EncoreUnBonArticle
    1 septembre 2021 - 12 h 25 min

    Enfin un super bon article qui asséne les 4 vérités,sans parti pris sans opportunisme,sans politique.Bravo AP.
    Chaque région a ses spécificités linguistiques,culturelles qu’elle peut librement faire rayonner à travers le pays sans toutefois les imposer.
    La Corse,la Bretagne en France utilise leur patois ,leur culture sans toutefois les imposer au reste de la France.Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autre.
    LE KAbyle,la Dardja,Al Fousha ,le français ,le mozabite ,le Chaoui sont des richesses inestimables qui sont des socles de notre identités qu’il faut exploitées sans parti pris.

    Anonyme
    1 septembre 2021 - 11 h 56 min

    C’est ce qu’on appelle enfoncer des portes ouvertes. Quelques clichés et raccourcis gâchent l’article avec le mot berberiste utilisé à tort et à travers…

      Anonyme
      1 septembre 2021 - 15 h 54 min

      Ces séparatistes sont de vrais pessimistes , excusez-moi des (…) dans l’âme !Absolument rien à voir avec l’amazighité et le tamazight, on est à des années lumières, ils cherchent à mettre les gens contre les autres, aucun desseins socio-économiques au contraire de personnes bien pensantent , ils délirent comme des fous , aux nobles gens , aux Kabyles de sagesse de ne pas tomber dans leur piège, tout est fait pour déclencher le mal entre les algériens, ne tombez pas dans le piège tendu par ces prédateurs assoiffés de sang.

    Anonyme
    1 septembre 2021 - 11 h 12 min

    Algérie une et indivisible.

      Anonyme
      2 septembre 2021 - 9 h 14 min

      Tant qu’on y est tiens remontons jusqu’au temps des Phéniciens…

    Fairness.
    1 septembre 2021 - 10 h 02 min

    Tout a fait d’accord tamazight aux kabyles pas forcement aux regions arabophones, l’arabe aux arabophones pas forcement aux regions kabylophones, en top le francais et l’anglais. Et tout le monde serra content.

      Lghoul
      1 septembre 2021 - 11 h 28 min

      J’ajouterai la cerise sur le gateau: Et si le choix des langues scientifiques telles que le francais et l’angalis pourrait se faire par les régions ? En moins de10 ans on pourra évaluer les résultats compatatifs des niveaux d’instruction a l’échelle nationale. Si un chemin nous mène vers le mur, pourquoi le suivre ? Pourquoi engager l’avenir de millions d’enfants quand il est prouvé partout dans le monde, le moyen orient et l’Afrique inclus, que les langues de la science sont l’anglais ou/et le français ? Si quelqu’un voudrait se suicider pour des raisons religieuses ou politiques, il n’a aucun droit d’entrainer les autres avec lui. Qu’il se suicide seul. Au 21ieme siècle, seul le résultat compte. Pour le reste, on pourra jaser 24H/24H, on ne bougera pas d’un iota. Les suisses, les canadiens et les belges se portent tous bien.

        anonyme
        1 septembre 2021 - 14 h 59 min

        @Lghoul
        Votre seule phobie c’est tout ce qui est arabe et islam

          Lghoul
          1 septembre 2021 - 17 h 57 min

          Ou est le rapport avec les meilleurs outils de la science et du savoir ? A moins que notre but principal est la formation d’imams pour en avoir 45 millions.

          Anonyme
          1 septembre 2021 - 18 h 53 min

          C’est tout ce que tu as à dire. Soit tu penses ce que je pense sinon tu es contre l’arabe et l’islam. Je te conseille d’aller te présenter au consulat de l’Arabie saoudite et dis leur que tu as envie d’intégrer la société d’origine de tes ancêtres, tu seras surpris mon vieux toi qui tu te prends pour un arabe et pour un musulman.

      Ya si fairness
      1 septembre 2021 - 15 h 02 min

      Ne reduit pas la langue amazigh a la seule kabylie. Vos propos sont plus dangereux que ceux de Ferhat et Mokri reunis.

        Fairness
        1 septembre 2021 - 15 h 27 min

        Non pas moi je comments ce que l’article disait verifie bien mister

    Anonyme
    1 septembre 2021 - 9 h 44 min

    L Algerie est une et inseparable , forte de sa diversite et sa vaste culture…Nous sommes tous Algeriens et fiers de l etre…Notre histoire plusieurs fois millenaire le confirme et notre serment a nos Chouhadas restera notre guide eternel….Fiers d etre Algeriens..Qassaman….

    moho
    1 septembre 2021 - 8 h 29 min

    Mr Khider vous parlez de langue Kabyle, nous parlons de langues Amazighs, pourquoi tant de mépris envers les chaouias, les mozabites, les terguis, les chenoui, les chelhi snoussi ? Vous dites par ailleurs  » la langue amazighe doit être librement enseignée dans les régions berbérophones. Tout comme la culture amazighe doit ouvertement s’épanouir dans ses territoires naturels d’implantation. Mais le Kabyle ne doit pas imposer à la majorité des Algériens arabophones et sa langue et sa culture « . Nous disons que vous avez parfaitement raison, l’ arabe ne doit pas non plus imposer l’ arabe aux peuples berbérophones encore plus s’ il est dépassé déphasé datant de nacer et de michel afflak ! C’ est de tout logique. Nous sommes d’ accord aussi sur le fait que l’ arabophone doit se résoudre à vivre son arabité dans son périmètre arabophone. Ensuite voyez votre contradiction : Vous dites que l’ Amazighité doit restée dans la sphère des régions berbérophones et de l’ autre côté vous reprochez aux Amazighs Algérianistes d’ être égoïstes car ils ne partagent pas leur Amazighité au niveau National et que les Kabyles veulent une langue parlée par les seuls Kabyles, pour les seuls Kabyles. Il faut savoir ce que vous dites Mr Khider. Vous accusez d’ arabophobie ceux que vous appelez Berbéristes sans pensez de toute évidence que votre article est Kabylophobe venant d’ un probable arabiste. Vous dites aussi que  » Depuis l’indépendance, nous disposons d’une langue vernaculaire (darja) pour communiquer entre nous Algériens ». Omettez vous les millions et millions de berbérophones qui ne comprennent mot de cette derja ?? Désolé, je respecte la derja mais ce n’ est pas ma langue vernaculaire, ma langue vernaculaire à moi comme aux millions et millions d’ Algériens est l’ Amazigh. Vous dites aussi  » . Le Kabyle parle souvent couramment l’amazigh, l’arabe vernaculaire (dardja), l’arabe littéraire (al-fous’ha), le français, parfois l’anglais, voire plus. Quelle richesse », je vous répond que l’ arabophone lui ne sait pas parler l’ Amazigh, quel pauvreté ! Dans ce cas de figure nous aimerions devenir pauvre et eux riches ! Ce n’ est pas naima salhi qui disait que les Kabyles tenaient les postes clé de l’ Algérie et que les arabes n’ étaient nul part ?? Mensonge si c’ était le cas jamais les incendies n’ auraient eu lieu… La langue Amazigh existait et existera, elle existait au temps de Massinissa et lui même écrivait en tifinagh, écriture Amazigh, donc Mr Khider il est tout à fait possible d’ interdire quelque chose qui existe tout comme votre nihilisme existant devrait être interdit. Voila un article qui explique la croissance du MAK. Vous parlez des pseudos berbéristes, vous parlez d’ islamistes mais pourquoi ne parlez vous pas de la première colonne de loin la plus néfaste d’ où sont né les deux dernières en réactions à la première : l’ arabisme ??

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