L’ambassadeur d’Algérie à Paris appelle à une conférence «urgente» de la diaspora

Daoud Paris
L’ambassadeur d'Algérie à Paris, Mohamed-Antar Daoud. D. R.

Par Houari A. – «La redéfinition de la cartographie consulaire, répondant aux exigences de la cohérence pour ce qui est de la couverture territoriale, s’impose tant les contraintes générées par l’éloignement et la charge pesant sur certaines représentations consulaires représentent des facteurs contrariant la mise en œuvre d’une politique proactive en direction de notre communauté», a indiqué l’ambassadeur d’Algérie à Paris, lors de son intervention à la réunion des chefs de postes diplomatiques et consulaires. «A cet égard, une réflexion doit être engagée, par notre ministère, en vue d’une redéfinition du schéma de couverture consulaire, en prenant en compte les paramètres liés au nombre d’immatriculés, leur répartition, la distance entre les chefs-lieux des départements et le siège des représentations consulaires, l’adaptation des locaux, etc.», a-t-il ajouté.

Mohamed-Antar Daoud a appelé à la mise en place d’une structure de représentation «à l’échelle globale, à l’image du Conseil consultatif de la communauté nationale à l’étranger». «Cadre prévu par les textes mais jamais mis en œuvre», a-t-il affirmé. Cette instance «est de nature à concourir à la participation la plus large des membres de notre communauté dans la réflexion, l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques initiées en leur direction», a-t-il estimé, en soulignant qu’«une stratégie visant à créer une véritable synergie entre les différentes associations et favoriser des activités pérennes doit être pensée et mise en œuvre, tant la situation qui caractérise le mouvement associatif révèle une dispersion des énergies et renseigne sur l’absence d’une véritable vision d’ensemble et unitaire».

L’ambassadeur a pointé «l’étiolement des associations communautaires, les luttes intestines de leurs dirigeants et l’absence d’un objectif commun qui ont induit un manque d’influence de notre communauté», en faisant remarquer que «le cadre associatif censé porter ses préoccupations et servir d’outil pour sa mobilisation et la réalisation de ses ambitions s’est avéré inopérant et réduit à une coquille vide». La meilleure approche susceptible de permettre l’adhésion des membres de notre communauté à des opérations de structuration, selon lui, serait celle favorisant son organisation par catégories socioprofessionnelles. «Autrement dit, il s’agira de fédérer, en premier lieu, les médecins au nombre de 15 000, dont la plupart formés en Algérie et qui ont été mis devant l’obligation de repasser leurs équivalences pour s’imposer dans la sphère médicale française, les chirurgiens-dentistes et pharmaciens, les informaticiens, les auteurs et artistes du monde du théâtre et du cinéma, les sportifs de haut niveau, les hommes d’affaires, les patrons des PME-PMI et les élus d’origine algérienne soutenant les principes cardinaux de notre politique extérieure».

«A tous ceux-là, il ne faudra pas omettre d’ajouter les héritiers des porteurs de valises du réseau Jeanson, pétris des valeurs de paix, de liberté et de justice que leur ont inculqué leurs parents», a encore affirmé Mohamed-Antar Daoud qui a été rappelé à Alger pour consultations suite à la crise diplomatique provoquée par le président français Emmanuel Macron. «L’intérêt affiché à l’égard des élites de la diaspora, resté au stade de vœux, et les initiatives parcellaires conduites çà et là n’ont pas produit, jusqu’ici, d’effets probants», a regretté l’ambassadeur, pour lequel «la réussite de cette politique de mobilisation des compétences expatriées au profit du développement national nécessite la mise en place d’une stratégie, exige l’identification et la réalisation d’un ensemble de conditions rationnelles […] et dépend de l’existence de bases de données sur les compétences expatriées».

«Cet objectif de mobilisation des compétences algériennes ne peut être atteint sans la bonne coordination entre l’ensemble des départements ministériels et institutions nationales avec le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger comme cadre pivot», a noté l’ambassadeur qui a appelé à l’organisation «urgente» d’une «grande conférence réunissant de larges pans de notre communauté à l’effet d’adopter des recommandations réalistes et consensuelles en vue d’une réelle mobilisation de nos ressortissants à l’étranger». Daoud n’a pas manqué de signaler, par ailleurs, «l’état de délabrement» des édifices abritant certaines des représentations algériennes en France et leur exiguïté, ce qui, a-t-il dit, «porte préjudice à l’image de marque de notre pays» et nécessite une révision «en profondeur» du dossier du patrimoine immobilier de l’Etat à l’étranger.

H. A.

Comment (45)

    Mellah hocine
    13 novembre 2021 - 16 h 44 min

    Au final il n’y a rien dire sur ce grand monsieur . Un grand monsieur ne laisse jamais marcher sur les pieds , mais impose sa « dictature » a qui veut l’entendre.
    Il est de la responsabilité de chacun de la diaspora de venir l’écouter et de proposer des idées qui seront recuperees par ce grand monsieur pour pouvoir les transmettre a Alger en son nom. Voila ce qu’est un grand monsieur.

    Karamazov
    12 novembre 2021 - 13 h 24 min

    Cet artcle m’a sorti de mon hybernation .

    Quand j’entends notre ambassadeur qui s’est offusqué pour nous de la cherté du prix des billets pratiquée par Air Algérie je me dis qu’il part avec de bonne intentions et que ce n’est pas la distance qui nous rappelle à ses souvenirs et je me laisse emporté par un rêve d’idylle affectueuse avec les institutions de mon piyé. Notre ambassadeur m’a saisi par mon point faible , et attrapé comme un gogo j’ai failli m’embarquer dans un rêve onanique et m’y perdre dans des songes doux et envoûtants.

    Quand, soudain, mon démon de gauche me sort de mes rêveries.

    Un ambassadeur c’est un diplomate , ya darbouka ! Tu entends ? Un diplomate ! Me hurle-t-il sur le qamum. Un diplomate et un politique . C’est dire combien il est porté sur la tchatche et la parlotte. Et le notre n’en démérite en rien en la matière.

    Un di-plo-mate continua mon démon de gauche, visiblement plus allumé quecmoi aujourd’hui et furieux de m’être laissé attrapé, en appuyant sur chaque syllabe : « Di-plo-mate  » , insista-t-il.

    Diaspora : Je ne te dis pas la croix et la bannière. El hidjra wa tekfir. L’exode d’Egypte? La croisière s’amuse, il a dit lui. Algérie mon beau piyé Guezgata , c’est mon village .

    La « diaspora » , si c’est pas poupon c’est pompeux . Quel honneur , et quelle précaution pour ne pas dire un troupeau de moutons ces émigrés.

    Bien sûr qu’un ambassadeur ne connaît pas la relation à la populace. Son excellence ne s’abaisse pas jusqu’à ce niveau qu’il laisse aux consulats. Il ignore ce que c’est le mépris. Non pas ce que ce mot veut dire , mais comment il est ressenti. Normal, ma iset’hes beldjemra ghir li kouatou.

    Il n’y pas de diaspora, il y a des individus, qui pour la plupart d’entre eux ont quitté le pays la mort dans l’âme et la rage aux dents et qui mènent leur barque chacun à sa manière mais individuellement. Ils n’ont gardé de lien avec leur pays que la famille. Ou seulement une nostalgie coriace dont il n’ont pas pu s’émanciper. Dans les pays d’accueil certains ont réussi d’autres rament. Les uns pourraient être d’un apport considérable pour le pays d’autres un poids de plus. Alors la diaspora ?

    Je peux dire que j’évolue dans un certains milieu où je encontre les plus éminents d’entre nous. Je ne vois pas un seul d »entre eux entrer dans cette combine qui n’a d’autre objectif que leur caporalisation. Pour tous ceux-là il faut autre chose que des discours pour les séduire . Ceux qui sont établis, avec de solides compétences, et qui ont fait leur trou, sont des électrons libres, ils ne se dérangeront pas ni ne tomberont dans le panneau.

    Mais il a des opportunistes en tout genre qui ne se gêneront pas pour animer la galerie. Des prisonniers du communautarisme au simples curieux .Ou des comme Y.B, K.M ? A.A, qui crachent le feu et ch… sur la place congrue où Fafa les a relégués. Mais ils n’ont que que leur hargne et leur verve à apporter.

    Je ne cherche nullement à décourager les bonnes intentions, il y a des cerveaux disponibles. Mais ,
    Monsieur l’ambassadeur vous avez des écuries d’Augias à balayer . Le personnel des consulats, Air-Algérie , là douane:rien, que ça déjà . Et arrêtez avec ahebba men ahhaba wa karaha men karaha . Soignez d’abord la relation, Ce n’est vraiment pas le moment d’organiser des conférence avec …. comment vous l’appeliez déjà ? La diaspora ?

      Aboutdesouffle
      12 novembre 2021 - 18 h 37 min

      Et s’ils commençaient par nous permettre de rentrer dans notre pays sans être « rackettés » par une compagnie aérienne au bord de la faillite?

      Anonyme
      13 novembre 2021 - 11 h 16 min

      Excellent commentaire !!!
      Qui de la diaspora qui n est pas opportuniste se laissera berner par un tel discours???
      On a dans l âme l amour de l Algérie et on aimerait bien contribuer d une manière ou une autre à la construction de «  la nouvelle Algérie » mais serions nous libres de remettre en cause certains dogmes?

    Bouzelouf au miel
    11 novembre 2021 - 20 h 14 min

    Bonne soirée,
    J’ai lu et relu attentivement tous les commentaires et 2 m’ont touché au coeur et semble indispensable à la bonne marche.
    C’est @LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AUX ALGÉRIENS et Anonyme
    11 novembre 2021 – 16 h 45 min.
    Aussi un autre @Anonyme qui remet â leurs places les non positif.
    Attention c’est pas un concours pour gagner de l’argent.
    Merci et bonne continuation, le président de la république teboune il est conscient des enjeux majeurs envers la diaspora Algérienne qui est d’une importance capitale pour l’avenir du pays.
    Exclu les médiocres et les profiteurs.
    Bonne de nuit.

    Brahms
    11 novembre 2021 - 19 h 36 min

    Billet d’avion (Paris – Alger) avec 03 options possibles en fonction des bagages (poids) :

    – Basic 854 € Plus + 78 € Max + 160 €

    – Billet : Vol aller-retour – Bagages à main – 1 pièce + 1 accessoire (Total: 10kg) – 20 kg – 30 kg

    * 854 € : Prix par personne
    * 932 € : Prix par personne
    * 1 014 € : Prix par personne

    A ces prix, il faut rajouter le test PCR a effectué en amont (aller comme retour) prévoir 250 € par personne + le train ou le taxi ou encore la voiture + péage autoroutier + chambre d’hôtel entre 50 € à 250 € pour ceux qui habitent loin de l’aéroport.

    Prévoir également 1 000 € de budget pour tourner en Algérie et faire face aux besoins de la vie courante.

    Au final, les déplacements en Algérie coutent chers, revenant à environ 300 € par mois pour financer ce genre de voyage. Enfin, si vous avez des cadeaux à faire, prévoir encore 1 000 € minimum donc à la fin ce sont des vacances entre 3 500 € à 6 000 € en fonction du nombre de personnes.

    Pour résumer, c’est un gouffre financier donc si vous faîtes 5 fois (l’aller et le retour), vous pouvez acheter une Mercedes C230 moteur V6 en Allemagne à moins de 50 000 km pour à peine 9 500 € et il vous restera encore de l’argent.

    Mon choix est donc vite fait.

    Droopy Smail
    11 novembre 2021 - 14 h 59 min

    Il y a eu tellement de promesses jamais tenues dans les passé que personne n’y croit plus a rien.

    Ferid Racim Chikhi
    11 novembre 2021 - 14 h 56 min

    Attention aux effets de prisme !!
    En général les problématiques des immigrants Algériens diffèrent d’un pays à l’autre et il reste entendu que certaines sont communes à tous.
    Penser trouver les solutions aux problèmes est une chose et les consulats sont fait pour aider à souder les liens avec le pays et ses nationaux à l’étranger mais réfléchir au développement des communautés algériennes à l’étranger et en faire des relais est tout une autre vision. Une maturation des grands axes s’impose et doit être abordée avec circonspection.
    Si une conférence doit réunir les représentants de l’État à l’étranger est une bonne chose réunir des représentants des communautés algériennes à l’étranger n’est fait pour aider sachant que les causes des uns ne sont celles des autres. Des préalables devraient être conçus pour ne pas se perdre dans les diatribes traditionnelles générées par les causes des immigrations et leurs effets sur les organisations nées sans le soutien des institutions diplomatiques et souvent loin de leur ‘’emprise’’.
    Par ailleurs, l’éventuel choix basé sur les compétences doit être mis de l’avant pour éviter la ‘’diplomite’’ et des ‘’succès’’ locaux certes reconnus mais par forcément positif pour les communautés nationales à l’étranger.
    Il importe qu’un code de déontologie et un code d’éthique soit aussi mis de l’avant.

    émigré de France
    11 novembre 2021 - 13 h 36 min

    Les émigrés, dont je suis, sont encore algériens de coeur et de sang, mais notre algérianité s’arrête là. Laissez-nous tranquilles. Si vous nous aimez, montrez-le, en nous autorisant à revoir nos familles par exemple ! Les autorisations de vol sont suspendues depuis le 30 octobre …

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 15 h 36 min

      c’est une réponse qui n’a aucun rapport avec l’enjeu. Vous êtes dans une position de client, quand il s’agit d’œuvrer ensemble et saisir toute opportunité pour grandir ensemble

    bévue diplomatique ?
    11 novembre 2021 - 13 h 32 min

    Je ne comprends pas ce dérapage de notre grand diplomate Mohamed-Antar Daoud qui demande à fédérer des « élus français d’origine algérienne » pour soutenir les principes cardinaux de notre politique extérieure. S’ils ont été élus en France c’est qu’ils sont français, comment vont-il donc faire pour défendre des intérêts qui ne sont pas ceux de la France ? Je ne comprends pas cet appel de notre ambassadeur.

      Remarque
      11 novembre 2021 - 15 h 02 min

      Vous avez tout a fait raison.

      Pour être élu (e) c’est que l’enquête sur la personne d’origine algérienne par les services concernés a été positive autrement dit elle sera plus française que les français par rapport a l’Algérie, a moins d’être naïf et de croire a la (démocratie).
      C’est comme ça que ça se passe .

    Anonyme
    11 novembre 2021 - 12 h 35 min

    …..Et Dalida ( que Dieu ait son âme )chantait : » Paroles, paroles, encore des paroles, toujours des paroles, toujours des mots, les mêmes mots ………… ».
    Des actes Mister Daoud : Belkecir, Saadani, Bouchouareb, Khellil, Bedjaoui sont toujours en vacances à l’étranger avec les sommes d’argent faramineuses qu’ils nous ont volées.
    Le jour où ces zombies seront ramenés pieds et poings liés et notre argent restitué, ce jour là et ce jour là seulement notre diaspora magnifique répondra présent comme un seul homme à toutes les sollicitations.

      Zyriab
      11 novembre 2021 - 17 h 35 min

      Comme d’habitude Personne ne fait rien et dés que quelqu’un propose de faire il est démoli pour ne rien changer il faut toujours « NE RIEN FAIRE »

    LA DIPLOMATIE EXPLIQUÉE AUX ALGÉRIENS
    11 novembre 2021 - 11 h 49 min

    Les beaux discours ne servent à rien. Il faut des actes!
    Peut être qu’avec Macron, l’Algérie « n’a pas voulu faire le 1er pas dans la réconciliation », mais avec la diaspora, c’est bien l’état Algérien qui doit faire le 1er pas!
    2 mesures faciles à mettre en œuvre doivent être prises en toute urgence pour rétablir la confiance et mettre fin à la politique d’exclusion et de marginalisation :
    – Améliorer l’offre Air Algérie en proposant plus de vols et à des prix raisonnables
    – Autoriser les particuliers à importer des véhicules d’occasion. Cibler particulièrement la diaspora, l’inciter à envoyer vers l’Algérie des véhicules de tourisme et même des poids lourds, sans intermédiaire et sans monopole
    La confiance est jusque là quasi inexistante (la diaspora a été accusée d’introduire la Covid en Algérie alors que le 1er cas déclaré fut un italien travaillant dans le sud, et alors meme que la maladie venait de chine et que des milliers de chinois faisaient le va et vient entre la chine et l’Algérie, et eux n’ont été soupçonnés!!!)
    à moyen terme, il faut maitre fin à la prédation des barons de l’import-import qui bloque l’Algérie et crée des pénuries dans tous les domaines. La pénurie de véhicule est un parfait exemple de ce blocage provoqué par des prédateurs puissants mais complétement incompétents. Des barons qui n’ont aucun apport, aucune plus value dans l’économie Algérienne. Ni ils font ni ils laissent les autres faire !!
    Si l’on veut vraiment régler ce problème, il faut donc cibler les particuliers et plus particulièrement les émigrés. Les encourager et les inciter à exporter des voitures depuis leur lieux de résidence vers l’Algérie et ça n’aurait rien couté à la caisse de l’état.
    Un autre sujet qui montre le mépris dont la diaspora fait l’objet de la part des autorités Algériennes, c’est le tourisme. Depuis des années on parle de relancer le tourisme. Un coup on veut cibler les européens, un coup les asiatiques, un coup les orientaux… et en fin de compte on ne fait rien!! là aussi, c’est la diaspora qui aurait du être ciblée, car ce sont bien les émigrés qui chaque année se rendent par millions en Algérie. Pourquoi alors tourner le dos à cette manne? pourquoi ne pas les cibler en créant des infrastructures dignes de ce nom et en rendant possible la réservation de séjours tout compris depuis l’étranger et le paiement en devises étrangères? les émigrés seront les 1er à répondre à l’appel.
    Vraiment tout est à revoir dans ce pays!

    Tikkuk
    11 novembre 2021 - 11 h 40 min

    Dites plutôt: une conférence « sur » la diaspora .

    Avec tout le respect que je dois à notre ambassadeur , je pense qu’il n’a rien compris à la diaspora qu’il prend pour des ambassadeurs ou des représentant de leur pays dans le pays d’accueil. Il n’en est rien , il n’ y a pas de diaspora . Les émigrés ne constituent pas une masse mais des individus qui ont chacun son histoire avec l’immigration. L’approche par corporations n’est pas fortuite.

    Malgré toutes les tentatives de fédérer autour d’une simple idée commune aucune n’a réussi. Et ce n’est pas la « triste » amicale des algériens en Europe qui me contredirait.

    Quant au rapport des représentions officielles à la diaspora , le mot exécrable pour le qualifier , serait un euphémisme . Le prix des billets n’ayant rien arrangé ni empiré car les consulats ont veillé à pourrir complètement la relation.

    Si l’ambassadeur tient vraiment à organiser la diaspora malgré elle il devrait commencer par soigner cette relation.

    À méditer
    11 novembre 2021 - 11 h 10 min

    Que serai Israël sans sa diaspora?

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 23 h 39 min

      L’exemple le plus pertinent est la Chine, c’est en faisant appel à sa diaspora qu’elle a pu décoller. Tous les chinois à l’étranger, leur diaspora, ont répondu.

      Ce qui bloquerait la diaspora, c’est la peur que ce soit des paroles en l’air et que le problème du mépris par les intermédiaires perdurent. Les intermédiaires sont ceux qui ont profité de Bouteflika et qui par exemple sont pistonnés dans les entreprises publiques comme Air Algérie ou dans les ambassades.. Sinon elle est quasiment entièrement prete à participer à l’avancée du pays.

      Il suffit de s’engager auprès de la diaspora, car elle se mettrait en danger de toute part. Mine de rien, elles ont des familles à nourir et pour cette raison elles ont le droit qu’on ne joue pas avec leur stabilité. Tout le monde a ce problème précis partout sur terre, donc il faut prendre soin de cette diaspora et préparer son intégration par un repérage de leurs compétences, des facilités administratives pour les investisseurs, des logements disponibles et par l’accès à l’apprentissage des langues nationales et par des infrastructures pour tous.

    Anonyme
    11 novembre 2021 - 10 h 47 min

    il n y a pratiquement aucune unité avec la soi disante communauté algérienne de France. elle est très divisée . entre ceux qui sont arrivés dans les années 1950 1970 et ceux arrivés après il y a un gouffre, sans compter ceux qui se considèrent berbère et les autres,les religieux etc…entre ceux qui vivent dans les centre villes et ceux dans les banlieues très pauvres, etc… l Algérie ne doit pas compter sur sa « diaspora » . de plus, certains éléments de cette diaspora n aiment pas l algerie..
    l algerie ne doit compter que sur elle même, ne pas chercher des ententes ici ou là.
    c est toujours la même chose, le plus important pour un pays jeune, c est l éducation, la scolarité, l université, ensuite l agriculture, les hôpitaux, puis les industries..
    il faut être humble et ne pas brûler les étapes. les occidentaux respectent les asiatiques parce qu’ ils travaillent pour leur pays sans avoir de pétroles ni de gaz.
    il ne faut pas chercher avoir un téléphone portable dernier modèle quand on a pas d eau chaude toute la journée ni 3 repas complets.. c est la base .
    et puis faire 3 enfants quand ni le mari ni la femme ne travaillent, c est voué à des douleurs futures très grandes

      Brahms
      11 novembre 2021 - 16 h 48 min

      A Anonyme,

      En réponse, je vous félicite c’est tout à fait ça. Très bien dit, très bien résumé. J’ajouterai, avant de compter sur la diaspora que le Gouvernement épingle tous les escrocs partis à l’étranger avec leur magot étant précisé que l’émigré ne voudra jamais payer des billets à 1000 € et +.

        Anonyme
        12 novembre 2021 - 14 h 34 min

        vous avez simplement peur de ne pas etre seuls à penser du haut de votre escabeau

        l’Algérie a de nombreux enfants et tous ses enfants comptent

        ce n’est pas la diaspora qui a dilapidé les richesses et les a sorties du pays, à mediter…

      Anonyme
      12 novembre 2021 - 14 h 32 min

      quand on est divisé c’est qu’il y a une absence de dialogue et de confiance

      je vous laisse par déduction conclure ce sur ce qu’il faut faire

      la diaspora est algérienne

      vous parlez de groupes et d’enjeux de pouvoirs quand d’autre parlent de l’appel à tous pour la protection du pays

      si la diaspora ne vient pas ce seront des étrangers qui viendront faire ce pays, dans 100 ans ce pays deviendra alors dirigée par des étrangers

      notre diaspora est préférable et elle sort de nos familles

      a moins que vous vous satisfaisiez des séparations

      cette diaspora a joue un grand role dans les années difficiles de notre pays de 1890 a aujourd’hui

      autre argument pour une éducation optimale : ils faut trois générations pour changer les choses, donc ou ce sont des algériens ou ce seront des étrangers à qui il faudra faire appel pour que l’Algérie existe sur le long terme

      peut-etre préférez-vous la venue de francais, pas moi

    Abou Stroff
    11 novembre 2021 - 9 h 42 min

    « L’ambassadeur d’Algérie à Paris appelle à une conférence «urgente» de la diaspora » titre H. A..
    ce qui urge, monsieur l’ambassadeur, est la neutralisation, c’est à dire le renvoi rapide (et leur remplacement rapide par des patriotes au service des intérêts de l’Algérie, en tant qu’Etat et Nation) de tous les pistonnés qui occupent les consulats algériens grâce à leurs « connexions » avec des membres de la marabunta qui nous gouverne et dont le seul objectif est de ramasser des devises au frais de la princesse.
    quant à la diaspora, il suffit que le pouvoir en place soit à son écoute pour qu’elle apporte sa contribution palpable et quantifiable à l’émergence d’une Algérie basée sur le travail et la production et non sur la distribution de la rente et la prédation.

    Trafalgar
    11 novembre 2021 - 9 h 20 min

    Je me demande quand l’Algérie , c’est à dire le pouvoir pour être précis, se décidera à dépoussiérer tous les consulats de France et plus particulièrement celui de Nantes gangrené par la corruption, la vénalité des services dont la prestation expresse se fait au plus offrant et l’arrogance agressive des agents qui vous toisent de haut dès lors que vous réclamez un minimum de considération.

    Quant aux lieux , je peux vous dire que vous devriez dès l’entrée vous boucher les narines à cause des odeurs pestilentielles qui sortent des toilettes noyées d’urine.
    Les passe-droit y sont légion et tout le monde réclamait vainement l’équité.
    Cela se passait dans les années 2010.

    Brahms
    11 novembre 2021 - 7 h 21 min

    Pour le patrimoine Immobilier,

    L’Algérie possède des Immeubles sur le territoire venant de l’ancienne Amicale des Algériens en Europe et la plupart sont laissés vacants. Ils ne sont même pas loués. Aucune rentrée en devise pour le pays.

    Il y a donc une perte de cash – flow.

    Un Immeuble doit être rentabilisé financièrement et normalement avec ce genre d’acquit, on achète un second Immeuble avec l’argent du premier et ainsi de suite.

    Sincèrement, il y a des personnes qui n’ont rien à faire à des postes car carrément incompétent n’ayant aucune vision, aucun cap laissant volontairement ces Immeubles vides alors qu’ils pourraient tous être loués.

    Il serait bon enfin de mettre tous ces Immeubles dans une fondation ou dans une SCI (Société civile Immobilière) pour les rentabiliser dans un parc privé. Regardez le VATICAN, il a 500 millions d’€ de biens immobiliers sur Paris lui rapportant des revenus colossaux mais chez nous, c’est l’abandon, on ne fait rien.

    La Communauté Algérienne de France c’est la moins bien organisée alors qu’il y a beaucoup à faire.

    Loook
    11 novembre 2021 - 6 h 46 min

    Une question qui me taraude…

    Le Rêve…
    Si, par bonheur pour les caisses de l’État, le pétrole reviendrai à 150 ou 200 dollars le baril. Durant une période de 5 ans par exemple… on peut rien exclure…… dans le monde du règne de l’incertitude permanente…
    Ou, un quelconque événement imprévu peu chamboulé, les émotions du marché, et les bourses Internationales.

    Le Cauchemar…
    Alors, serai le retour en force, du régime autoritaire, de la corruption, et du clientélisme. Ravageur.
    Tout cela, se résume en faite toujours, en une seule question, de moyens financiers à disposition.

    L’argent, c’est le diable.

    Dès lors, serions nous en face d’une politique commandée par dès circonstances, de caisses vides, ou d’un volontarisme de politique déterminante… Par un choix politique, sur du long terme. Irréversible.

    La maltraitance, l’absence de toute considération, de la diaspora, est un fait établi à bien des égards. Les exemples sont légendes.

    J’ai un souvenir, où j’ arrivais avec un bateau, où il y avait entre 1800 et 2000 personne et à l’arrivée, il y avait que deux guichets, et deux personnes, pour les formalités.

    J’ai vu que certains de nos concitoyens illettrés, ne pouvant pas remplir le formulaire, en attente depuis presque 48 heures, sur place, au port d’Alger, alors qu’ils habitaient sur Batna.

    La perfection n’est pas de notre monde, mais dieu merci, que tout le monde peut t’être perfectible…
    C’est une question de volonté politique comme toujours…

    Néanmoins, vous avez le grand mérite, de soulever la question du sort réservé à la diaspora.

    En projection… il est certain que la diaspora, doit prendre toute sa responsabilité, et sa place pour construire le pays.

    Anonyme
    11 novembre 2021 - 2 h 41 min

     » à l’image du Conseil consultatif de la communauté nationale à l’étranger» ».
    Ce sera une bonne initiative mais si c’est pour nommer des personnes proches de l’ex Amicale des algériens en Europe ou leurs proches comme ça été le cas avec Djamel Bouras et Cie se sera se tirer une balle dans le pied car ces personnes sont mal vu par la communauté algérienne en France a cause de leur passé de corrompus.

    Le consulat de Créteil Mr l'ambassadeur !
    11 novembre 2021 - 2 h 35 min

    C’est un consulat miné par des vipères qui font tout pour faire détester le consulat a nos compatriotes, il va falloir un grand nettoyage Mr l’ambassadeur.

      Le consulat où cheb Khaled est roi
      11 novembre 2021 - 11 h 26 min

      Merci d’avoir soulevé le cas de ce consulat car les comportements sont les mêmes de l’époque de Bouteflika et sa bande de traîtres et escrocs, que du mépris même pour les votants du dernier vote des députés, on dirait que rien n’a changé a ce jour, mais Cheb Khaled et sa Marocaine immatriculés dans ce consulat sont reçu comme un roi et une reine même quand le consulat était a Vitry Sur Seine avant de déménager a Créteil.

    Racontez ça à d'autres
    11 novembre 2021 - 0 h 23 min

    Que du bla bla bla qui ne sera jamais suivi d’effet.

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 11 h 57 min

      Il n’y a pas de place pour ceux qui, passifs et attentistes, comme vous, ne font que juger une situation sans mouiller leur propre chemise pour le bien commun.

    Elephant Man
    11 novembre 2021 - 0 h 20 min

    Je renvoie aux excellents commentaires de @Selecto sur le sujet nettoyage au kärcher javelisé des consulats où même des makhnaz naturalisés traîtres à la Patrie travaillent et y compris la mosquée de Paris et payés par l’État Algérien !
    Et encore une ÉNIÈME fois cessez de financer l’IMA qui ne fait qu’exclusivement la promotion de la narco-terroriste-monarchie et boycotte tout ce qui est Algérie et Sahara Occidental.
    À titre personnel, lors des élections présidentielles et autres j’ai été systématiquement reçue comme si j’étais en territoire et administration french c’est à dire en psycho trip harcèlement et persécution avec des « actor studio » donc le harkisme, encore →→@Selecto, bien présent !!

    Il est temps
    10 novembre 2021 - 22 h 43 min

    De considérer la diaspora comme une richesse et une valeur ajoutée et pas comme une menace. Le changement de paradigme nécessite de passer des paroles aux actes avec des resultats!

      Anonyme
      10 novembre 2021 - 23 h 39 min

      Quand l’Algérie est menacée, ils débarqueront de France et d’ailleurs sans contrat préalable, nous ne marchanderons rien quand notre pays est en danger

      Pour le reste il faut se faire confiance, nous n’avons plus le choix, l’hostilité environnante est suffisamment claire

      nous n’avons qu’un seul pays qui nous met dans cet état, c’est TAMURT : DZAYER

      C’était en latence depuis longtemps, depuis les années noires, maintenant c’est le réveil

      Anonyme
      14 novembre 2021 - 0 h 13 min

      Article 51 de la Constitution…
      Au bon souvenir de la diaspora.

      On ne construit pas un pays, avec
      une vulgaire grosse paire de ciseaux
      de la division.

      Le renforcement de l’unité nationale,
      passe par une grosse aiguille, et
      beaucoup, beaucoup de fil à coudre,
      et à recoudre, encore, et encore…

      Les hommes, et les femmes, de la
      diaspora, et de leurs enfants, ont inconditionnellement,
      toute leur place en Algérie.
      Hier. Aujourd’hui. Demain.
      Sans l’ombre d’une opposition,
      ou d’une contestation.
      Personne ne peut bousculer
      l’ordre naturel des choses.

      Conformément à l’ordre naturel,
      auquel s’ajoute le droit
      constitutionnel d’une démocratie,
      dans un état de droit.

      Nul, ne peut défaire les lois
      de la nature. Seul le divin on a le
      contrôle de la dictée.

      Juste un petit rappel, pour les
      mémoires courtes …
      Une mise au point…
      Ce ne sont pas des membres de
      la diaspora, qui ont dépouillé, ruiné,
      volé, et exporter les actifs, en
      monnaie sonnante et trébuchante,
      de l’Algérie, vers le reste du monde.
      Et tout particulièrement vers
      la France.
      La graine des traîtres, n’a pas été
      totalement éradiqués.

    lhadi
    10 novembre 2021 - 21 h 52 min

    Le sentiment des responsabilités nationales nous fait juger indispensable d’offrir une solution claire et constructive aux grands problèmes qui se posent aujourd’hui au pays.

    Le citoyen algérien que je suis n’est pas le seul à le die : l’Algérie est en crise. Les nouveaux dirigeants prétendent la construction d’une nouvelle Algérie. Après deux années, les résultats sont là : aucun des grands problèmes nationaux dans la vie économique, sociale et morale du pays n’a trouvé de solution.

    L’économie du pays souffre de distorsions graves, de gaspillages énormes et, dans certains secteurs, d’un véritable retard. D’immenses potentialités matérielles et humains sont laissées en friche. Le chômage s’amplifie, frappant particulièrement les jeunes. Des millions d’algériens – notamment les personnes âgées – vivent dans le dénuement, dans la gêne. Des millions d’autres voient leurs revenus rongés par une inflation galopante. Des millions de familles rusent avec la faim.

    Sur le plan politique. Le Parlement est resté une chambre d’enregistrement des décisions ministérielles. Les collectivités locales sont tenues en bride et privées des ressources nécessaires à leur activité normale. Si la « participation » et la « concertation » sont souvent invoquées dans les discours officiels, les ouvriers, tous les travailleurs manuels et intellectuels, l’ensemble de notre peuple est en fait privé de la possibilité de participer à la direction et à la gestion des affaires publiques, que ce soit à l’échelle nationale, à l’échelon local ou dans les entreprises.

    Pour masquer leurs objectifs égoïstes et en favoriser la réalisation, les hautes autorités appellent à « l’effort national », à la « solidarité nationale », mais elle traite en mineurs politiques les créateurs de tous les biens matériels et spirituels.

    Ceux qui ont le souci des destinées du pays ne peuvent qu’être préoccupes aussi des aspects moraux de la crise actuelle. La république « pure et dure » annoncée naguère est en vérité une mare à grenouilles où l’on fait bon marché de l’honneur du pays.

    Dans cette société sans âme, soumise à la seule loi de l’argent, la diffusion de la drogue prend des proportions préoccupantes, la délinquance augmente. Ceux qui dirigent notre pays s’en prennent aux jeunes, dont un petit nombre se laisse parfois démoraliser par l’absurdité de la vie qui leur est faite. Mais qui désespère ces jeunes, qui engendre en fin de compte de tels fléaux ? C’est le régime, incapable d’offrir à la jeunesse une vue d’avenir, un objectif exaltant.

    En résumé, nous sommes devant une crise profonde de la société algérienne. C’est la raison pour laquelle cette situation atteste la profondeur du mécontentement des couches les plus larges de notre peuple qui aspirent à une transformation réelle de la vie quotidienne, de la société dans son ensemble. Aujourd’hui, dans les secteurs les plus divers, des voix tendent de plus en plus à mettre en cause le pouvoir et sa politique.

    L’Algérie est à l’envers. Il faut la mettre à l’endroits. Il faut instaurer un système où les richesses reviennent enfin à ceux qui les créent, où les hommes décident enfin réellement des affaires qui les concernent, un régime dont l’objectif suprême soit – non pas le profit égoïste de quelques-uns – mais la satisfaction de tous. C’est la seule société qui soit véritablement nouvelle, c’est la seule société dont l’Algérie a besoin.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 16 h 45 min

      Tout l’héritage de
      Bouteflika,
      au niveau des consulats et
      ambassades doit -être
      dégager.
      Toutes les réformes, doivent
      se faire par le remplacement
      des hommes. De haut en bas.
      Priorité absolue, sinon
      c’est l’échec garantie.
      Un audit, des enquêtes, doivent être
      effectuer
      sur l’état de fortune de tout ce
      personnel de consulat et
      ambassade. En Algérie et à
      l’étranger.
      Grandes seront les surprises.
      C’est un nid de pistonnés, qui a
      transformé, ambassades et
      consulats, en centre d’affaires
      Privés exclusifs.
      Charité bien ordonnée commence
      par soi-même et une devise très
      bien appliqué au niveau
      ambassades et
      consulats.
      Le transporteur-livreur
      attitré, gratos, c’est Air Algérie.
      Quand, la culture de la
      magouille, devient une véritable
      institution politique à part entière.
      Le chemin vers l’intégrité morale,
      éthique, et intellectuelle, sera long.
      Mais l’espoir réside, sans aucun
      doute, c’est une question de travail
      politique.

    Anonyme
    10 novembre 2021 - 21 h 51 min

    Déjà commencer par remplacé tout les employé qui sont détaché du bled car l’incompétence laissé à desirè, et sa ferais une grosse économie, ensuite tout réorganisé consulat par consulat et la on pourra enfin agir dans le bon tempo !!!

    Anonyme
    10 novembre 2021 - 21 h 29 min

    Diagnostic effarant. Beaucoup de gabegie durant des décennies, surtout des frustrations et des injustices à l’égard des citoyens, irréparables ou trop tard pour y remédier. Merci aux saboteurs et traitres

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 8 h 36 min

      Tous ceux qui se sont servis dans la caisse doivent revenir se faire juger et rembourser.

      Il faut une loi qui leur interdira éternellement de revenir au pays, en ne renouvelant plus leur passeport si le leur devait être périmé et qui stipule que s’ils ne se présentent pas pour répondre de leurs actes de vols de biens nationaux, la nationalité algérienne leur sera définitivement ôté ainsi à qu’à toute leur descendance. Il les faut tous revenir ici, s’expliquer et rembourser l’argent pris. Saadani, Bouchareb et tout le reste, ils doivent revenir. TOUS.

    Anonyme
    10 novembre 2021 - 20 h 23 min

    Pas seulement les élites monsieur l’Ambassadeur, mais toute la diaspora : nous avons besoin de tout le monde. Ouvriers, boulangers, sportifs, médecins, enseignants, éditeurs, militants associatifs et même chômeurs.

    Tous, car tous auront à apporter quelque chose, chacun à leur niveau, selon leurs compétences et leur situation : celui qui réfléchit, celui qui organise, celui qui soutient, celui qui fabrique, celui qui sait se battre, celui qui comprend, celui soigne, celui qui se déplace.

    Tous les Algériens ont un rôle à jouer et une responsabilité à assumer. TOUS !

    Ces clivages socio-économiques sont des valeurs étrangères aux nôtres, nous avons besoin d’un corps organique : notre peuple en entier.

    ferial
    10 novembre 2021 - 20 h 06 min

    La première chose à faire pour gagner la confiance de la diaspora c’est de la respecter !
    On est reçu comme du bétail dans les consulats , on te renvoie pour un oui ou pour un non.
    Ils ne répondent jamais au téléphone ce qui nous obligent à nous déplacer souvent pour rien .
    Le site internet des Consulats n’est pas à jour. Les prises de rdv aléatoires etc etc….
    J’ai l’impression qu’ils fonctionnent comme ils fonctionnent au bled d’ailleurs la plupart des salariés sont du bled.
    Pourquoi n’embauchent-ils pas des locaux algériens qui connaissent mieux la sensibilité des émigrés algériens ?
    Tout cela n’est pas pour aider à restaurer une confiance bien entamée et c’est dommage.

      Anonyme
      10 novembre 2021 - 21 h 11 min

      C est l inverse en Algérie c’est rapide et l accueil est chaleureux svt ds les wilaya ou mairies postes ou agences en tt cas ds ma wilaya et pour ta gouverne la plus part qui travaille ds les consulats ont la double ou sont résidents en France , ça peut arriver des remplacements arrangés venant du bled à la sauvette pour manque d effectifs pour x raisons maladie ect . Mais sur le reste je te rejoins sur la réaction l acceuil la rapidité pour obtenir un document c est clair bcps ne sont pas au service du public et svt hautain arrogant pas tous heureusement et c’est dommage mais en même tps ss jouer leurs avocats , déjà nous sommes très nombreux pour peu de personels administratifs consulaires I faudrait songer à ouvrir des annexes ou consulats en plus et la où c’est concentré srtt et enfin le public qu ils accueillent n est pas dénuder de tt reproches , il n a aucun savoir être et montre peu de civisme hacha les autres et qui empatissent aussi , il faut tt dire aussi?

      Anonyme
      11 novembre 2021 - 0 h 55 min

      Il faut changer tous les personnel consulairre , les remplacer par des bi- nationaux nés en France !
      Qui connaissent mieux le terrains , et qui certainement plus avenants , plus sympa avec leurs compatriote…
      Je me souviens de vitry sur seine , les gens se battaient avec le personnel de sureté , c était la cohue , la bousculade, à l intérieur ça ressemblait à un garage d élevage de poulet blanc…Le personnel consulaire nous regardait avec mépris, ecorchait les noms de famille kan ils nous appelaient …

    Anonyme
    10 novembre 2021 - 20 h 03 min

    Ben oui il a raison il était temps , je n arrêtai pas de le dire votre véritable force à Alger contre des attaques de l Europe dont la France ou autres pays c’est bien votre diaspora Algérienne ds le monde mais srtt en France ou nous sommes très nombreux. On peut tt faire ensemble pour que notre pays soit grand beau et respecter par le monde et plus nous pouvons le rendre attractif et une puissance inch Allah , il faut d abord la motivation politique et à tt les niveaux , l ambassadeur algérien sous l impulsion de Lamamra ont tt compris , il faut que le sommet suive et tt les algériens du pays aussi. C est un challenge et un défi que nous pouvons tous ensemble relevé inch Allah mais il y a un mais et il est important de le souligner pour ça il faut changer et enlever ttes mauvaises habitudes en haut et en bas pour arriver à ce but .

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.