L’affaire Khalifa Bank de nouveau devant la Cour de justice de Blida

Abdel l’affaire Khalifa
Abdelmoumene Rafik Khalifa, l’ex-PDG du groupe Khalifa. D. R.

Le procès en appel des accusés dans l’affaire Khalifa Bank s’est ouvert, dimanche, devant le tribunal correctionnel près la Cour de Blida, suite à un pourvoi en cassation interjeté auprès de la Cour suprême, rapporte l’APS.

Le principal accusé dans cette affaire, l’ex-président-directeur général du groupe Khalifa, Abdelmoumene Rafik Khalifa, et 11 autres accusés parmi les cadres de la banque et des responsables d’entreprises sont poursuivis pour plusieurs chefs d’inculpation dont «constitution d’association de malfaiteurs», «vol en réunion, escroquerie, abus de confiance», «falsification de documents bancaires», «corruption», «trafic d’influence» et «falsification de documents officiels».

Cette affaire a fait l’objet d’une jonction avec une autre affaire relative à l’ex-gouverneur de la Banque d’Algérie, Abdelwahab Karamane, car liée aux mêmes faits. L’affaire met en cause Karamane Abdelwahab, son frère Abdennour et sa fille Yasmine, poursuivis pour «participation à vol en réunion».

Le procès a été ouvert, dimanche matin, sous la direction de la présidente du tribunal, Rahali Hassiba, avec l’audience d’Abdelmoumene Khalifa par visioconférence, à partir de l’établissement pénitentiaire de Chlef, alors que le reste des accusés ont été auditionnés dans l’après-midi, au même titre que la poursuite de l’audience de l’accusé principal.

R. N.

Comment (6)

    Lahouaria
    10 juin 2022 - 21 h 08 min

    Il m’a volé 2 billets de retour vers ORN TLS, Janvier
    On est partie maman et moi en Algérie sur Khalifa Airways ’hôtesse de l’air était une actrice algérienne, enfin, elle est devenue principale actrice.de Kouloub Fi Siraa
    Retour, on a pris Air Algérie, on était obligé de se faire prêter de la somme de deux billets par ma tante, on ne savait que les avions Khalifa était cloués au Tarmac, le lendemain est revenu et on a pris le vol Air Algérie, on était que 6 personnes à embarquer, les autres ont pris le Bateau Tarik.
    Maalich, je pardonne koulchi fout Baqi Allah

    Brahms
    9 juin 2022 - 4 h 55 min

    La java, la nouba mais après la descente aux enfers ?

    Le paraître, la frime, les gouts de luxe ça coûte cher. Une vie de mensonge et de vol. Dans ces conditions, l’escroc vivra bien pendant un certain temps mais dès que sa supercherie sera décelée par les autorités, la chute sera terrible.

    Ce Monsieur Khalifa avait un problème dans son rapport à l’argent, dans la valeur travail, la valeur des choses et surtout, il recherchait le plaisir de plaire et d’être aimé via le cash le poussant à commettre l’irréparable.

    Je dis souvent l’argent est un bon serviteur mais un mauvais « Maître », il peut vous pousser à faire des choses terribles dans la vie et ce, juste pour en avoir plus et si vous ne savez pas le gérer ou le maitriser, il peut vous faire commettre des crimes, des vols, prostitution, des escroqueries sans que la personne puisse s’en rendre compte jusqu’au supplice finale.

    C’est donc l’argent qui a contrôlé sa vie.

    Anonyme
    7 juin 2022 - 2 h 50 min

    Dans la prison…
    Il faut le mettre au boulot, tout
    les jours, de 05h à 21h. Avec 3
    pause de 30 minutes. Il faut bien le nourrir.
    Faut pas qu’il meurt à
    tâche.
    Pour une dette qu’il ne
    remboursera jamais .
    Même traitement pour le reste
    des pourris de la bande des
    corrompus.
    Une prison, avec un cimetière
    doit être construite dans le
    désert pour les corrompus.

    Avec des tombes sans épitaphe.

    lhadi
    6 juin 2022 - 16 h 48 min

    Cette affaire, ô combien préjudiciable aux intérêts les plus élevés de la nation algérienne et du citoyen, réanime la question de l’indépendance de la banque centrale vis à vis de tout type d’influence politique.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Brahms
    6 juin 2022 - 11 h 52 min

    L’époque BOUTEFLIKA,

    Khalifa était l’arbre qui cachait la forêt.

    En effet, Khalifa n’avait aucune comptabilité, aucun commissaire aux comptes, aucun bilan comptable, aucun comptable, aucun audit financier pour vérifier sa comptabilité ou ses transactions financières.

    Il gérait au jour le jour en tapant dans la caisse.

    Une fois, je suis allé dans la Banque Khalifa a Relizane car à l’époque cette banque était à la mode. Quelle surprise en y rentrant. Le banquier de l’époque voulait déjà me remettre une carte bancaire internationale pour retirer des devises et moi même, j’avais refusé auprès du guichetier car je sentais que ça manquait de sérieux et en sortant, je me suis dis cette banque va s’écrouler, elle me faisait penser à la Banque BCCI
    qui avait été fermée par l’Amérique.

    In fine, l’ardoise a été de plus de 5 milliards d’euros pour le contribuable algérien et la France a gardé notre argent en lançant des contentieux pour pomper notre argent via des frais de procédures exorbitants comme les (honoraires d’avocat, TVA à 20 %, frais d’huissiers, frais de saisies) et tous les anciens ministres corrompus (Ouyahia, Bouchouareb, Bedjaoui, Saadani) n’ont jamais rien fait car ils étaient tous mêlés dans des affaires financières avec la France.

    Ce qui fait que l’algérien a en réalité perdu sur les 02 tableaux d’où le Hirak.

    Anonyme
    6 juin 2022 - 11 h 23 min

    Pourriture ce type, il a peter l argent des pensions des retraités algériens ce chien pour la France et Londres , jet set genre le gratin qui lui ont vider les poches , … Il mérite le goulag en Sibérie à vie. Le peuple algérien vomi ces types et ne veut plus les voir et encore moins libres .

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