Ahmed Boutache anime une rencontre avec les membres du Club International à Washington

Boutache 5 Juilet
Photo souvenir des invités de l'ambassadeur à l'occasion de la célébration du 5 Juillet. AP

Par Nacer F. L’ambassadeur d’Algérie aux Etats-Unis, Ahmed Boutache, et son épouse ont animé à Washington, quelques jours après le soixantième anniversaire de l’Indépendance, une rencontre avec les membres du prestigieux Club International, en conviant diplomates et dignitaires en poste dans la capitale américaine à partager une soirée aux couleurs et aux saveurs de notre pays.
L’occasion également d’évoquer longuement  les liens commerciaux et diplomatiques qui vont crescendo entre l’Algérie et les Etats-Unis.

L’ambassadeur Boutache a souligné, lors d’un bref discours : «Nous possédons des cadres jeunes et bien instruits, qui ont efficacement combattu le coronavirus, y compris à travers la création d’une usine de vaccins qui a aidé à approvisionner les pays environnants. Il a également abordé les défis de taille de l’Algérie, y compris les efforts du président algérien, Abdelmadjid Tebboune, pour promouvoir la stabilité mondiale, car «[…] sans paix et sécurité, le développement n’est tout simplement pas possible.
L’actuelle ambassadrice des Etats-Unis en Algérie, Elizabeth Moore Aubin, et l’ancien ambassadeur des Etats-Unis en Algérie, Cameron Hume, ont assisté à l’événement. Tous deux ont exprimé leur admiration de l’Algérie et leur espoir que davantage d’Américains aient l’occasion de la visiter. Brahim Chennouf, consul général d’Algérie à New York, a également assisté à l’événement.
Durant cette réception, l’historien John Kiser a offert des exemplaires de son livre, Commander of the Faithful: The Life and Times of Emir Abd el-Kader (1808-1883), un leader qui a combattu le colonialisme français tout en défendant les droits de l’Homme.

Le violon électrique du maître musicien Rafael Javadov a stimulé l’atmosphère pour les participants et pour le personnel de l’ambassade, échappant à leur confinement de deux ans.

N. F.

Comment (5)

    Salim Samai
    20 juillet 2022 - 8 h 02 min

    Mais c´est qui finalement « Le Commandeur des Croyants »?
    – Notre Emir? Le Roi du Maroc? Le Calife du « Caliphate » du NYTimes?
    – Les Chefs de l´E.I/IS/ISIS/Baghdadi/El Yemeni, 1001 noms & abreviations?
    – Les Mufti des Saoud, Ayatollah Sistani, Khomeini, Khameini ou ceux de Qom?

    Ou TOUT Moujahid d´El Haq contre Dholm/Hogra/Mepris/Domination? Donc Che, Castro, les Freres Guellil, Ben Boulaid, Sophie Scholl, Bernie Sanders, la Scandinavie & Sa Saintete le Pape Francois?
    PAR le CRITÈRE de la Justice/El Haq BEAUCOUP d´etats « musulmans » ne le sont PAS!

    Anonyme
    15 juillet 2022 - 5 h 54 min

    A ma frontière ouest, gesticulations,
    paradant ta force.

    Ami, avec mon détestable voisin, associés
    à mon pire ennemie.

    La politique, du faux cuisme, prends toute sa place…

    Le bal endiablé avec les anges, peut commencer.

    Reste à savoir… Qui mène la danse…
    L’ange ou le diable…

    Pas de faux pas… Les deux partenaires…
    Peuvent tomber… Dans l’enfer de
    l’incompréhension…

    Elephant Man
    12 juillet 2022 - 18 h 22 min

    Perfect ! Well done.

    Brahms
    12 juillet 2022 - 17 h 10 min

    Pour se faire respecter dans le monde, il faut faire ce genre d’invitations en expliquant les enjeux.

    Par la parole, le dialogue, les échanges, on arrive à diminuer le ressentiment que certains pays peuvent avoir contre nous étant précisé que l’Amérique reste une grande puissance et en général, les vassaux de l’Amérique comme la France, l’Espagne n’aiment pas quand nous faisons cela, ils enragent.

    Bravo à Mr Ahmed Boutache, il met en avant le potentiel de notre pays pour attirer le savoir américain chez nous et il n’y a qu’avec ce pays que l’on pourra avancer car il possède les technologies les plus avancées.

    Par contre, la France, l’Espagne ne nous donneront jamais rien, leur souhait nous confiner dans la misère sociale, le sous développement, la corruption afin de vanter les mérites du colonialisme.

    dz
    12 juillet 2022 - 11 h 58 min

    personnellement j ai pas trop confiance aux usa parlant de bonne relation avec l algerie en faisant des manoeuvres miltaires a nos frontieres jai un doute bon tout cela c est de la communication mais les algeriens ne doivent pas etre naifs car leur veritable allie est le voisin de l ouest faut toujours rester sur ces gardes quand ont vous souris ou vous mon ami ou mon freres on vous passe la brosse a reluire et apres on vous abat ex kaddafi saddam hussein les americains je men meffie et la france aussi u s ot

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