L’Etat doit tirer les leçons de vingt ans de prédation sous Bouteflika

patronat prédation
Le FCE dictait ses règles au gouvernement et à l'UGTA. New Press

Une contribution de Nouredine Bouderba – Le prix des hydrocarbures venant à peine d’augmenter, que le patronat revendique l’essentiel du surplus pétrolier au lieu que ce dernier soit consacré au développement économique et social du pays. Doit-on comprendre que le patronat algérien n’a pas changé et, surtout, qu’il est désormais plus puissant qu’au temps d’Ali Haddad ?

Il y a lieu, d’abord, de noter que dans son «compte rendu» adressé à la présidence de la République, la patronne de la CGEA ne contestait nullement le bien-fondé des amendes mais revendiquait, au vu de l’importance de leur montant et l’impossibilité pour les patrons de s’en acquitter, que les pénalités exigées soient «reconverties en obligation de lancement de projets d’investissements productifs dans leurs (ceux des patrons) domaines d’activité respectifs». Autrement dit, elle revendique ni plus ni moins que l’effacement de ces amendes au mépris du principe constitutionnel d’égalité devant la loi.

Tout le monde sait que l’une des caractéristiques fondamentales du patronat algérien est qu’il ne réinvestit pas ses profits, qui vont enrichir les patrimoines personnels des patrons et ceux de leurs familles, qui préfèrent les investir à l’étranger. Et c’est sur ce point que réside la deuxième revendication de la patronne de la CGEA, puisque, dans sa lettre au Président, elle n’hésite pas à affirmer : «Nous devons prendre en compte les particularités du pays, y compris le problème de la non-convertibilité du dinar et le problème du square. Tout homme d’affaires qui a fait des profits aspire à posséder des biens en Algérie et à l’étranger, comme c’est le cas pour tous les hommes d’affaires du monde entier, mais la loi algérienne ne permet pas ceci. Alors, comment traiter rationnellement cette question ? Est-ce en mettant en faillite les opérateurs concernés, en vendant ou en fermant leurs usines et en mettant des milliers de travailleurs au chômage?» On ne peut comprendre cela que comme une demande de légalisation de l’évasion financière.

Et la patronne de la CGEA de poursuivre : «J’ai adressé à votre haute autorité un recueil comportant des propositions pour répondre à la problématique des opérateurs qui ont investi à l’étranger ou qui ont des biens à l’étranger, qui ont exprimé leur volonté de régulariser leur situation, selon des mesures raisonnables bénéfiques pour toutes les parties.» Autrement dit, elle propose l’amnistie financière au lieu du rapatriement de l’argent objet d’évasion.

Il faut noter, ici, qu’avant ces nouvelles amendes exigées par le comité interministériel qui vient d’être gelé, le patronat en Algérie, malgré les nombreux cadeaux fiscaux et parafiscaux, ne respectait pas, dans sa majorité, la législation fiscale. Il n’y a qu’à lire le dernier rapport (2021) de la Cour des comptes sur la loi portant règlement budgétaire de l’exercice 2019, pour découvrir que le montant des impôts constatés, facturés et non recouvrés, s’élèvent à 5 000 milliards de dinars, soit l’équivalent de 50 milliards de dollars, auxquels il faut ajouter 8 000 milliards de dinars d’amendes non payées. A ces impôts non recouvrés s’ajoutent «les dépenses fiscales», c’est-à-dire, les «avantages fiscaux accordés par l’Etat » qui s’élèvent en 2019 à 693 milliards de dinars.

Et encore, cela ne représente qu’une partie du manque à gagner pour l’Etat, puisque la Cour des comptes, dans son rapport suscité, affirme : «En termes d’exhaustivité, l’administration fiscale ne détient pas une situation précise de l’ensemble des dépenses fiscales accordées en matière d’encouragements fiscaux. Elle se contente de recenser ces exonérations sans déterminer les dépenses fiscales associées aux régimes dérogatoires, et ce, en raison des retards qu’elle accuse dans la mise en œuvre d’un système d’information complet et intégré comportant les différents avantages octroyés.»

La patronne de la CGEA conclut sa lette par : «Je tiens à souligner que le secteur privé est le plus grand employeur de main-d’œuvre du pays et c’est la base de tout développement économique.» Rien de plus faux, comme je vais le démontrer.

1. Dans leur quasi-totalité, les entrepreneurs, en Algérie, ne respectent pas la législation sociale. Moins de 5% d’entre eux reconnaissent le droit syndical qu’ils réduisent à sa plus simple expression, alors que le droit à la participation (délégation du personnel et comité de participation) n’est quasiment pas reconnu, sans parler du détournement de l’argent des œuvres sociales dues aux travailleurs.

2. Le nombre de travailleurs salariés du secteur privé déclarés à la CNAS (2019) s’élève à 1 870 000. Cela représente à peine 33% du total des salariés, tous secteurs confondus (public et privé) déclarés à la CNAS, contre 3 765 000 pour le secteur public – soit 67% du total des travailleurs salariés déclarés par la fonction publique et le secteur économique public. On est très loin du secteur privé «employant 60%» des salariés.

3. A cela s’ajoutent les bas salaires appliqués dans le secteur privé et aussi les sous-déclarations des salaires. Ainsi, selon les budgets des caisses de sécurité sociales de 2019, le montant des cotisations de sécurité sociale versé par les entreprises privées au titre des 1,8 million de salariés déclarés, se s’est élevé à 244 milliards de dinars, contre 809 milliards de dinars versés par le secteur public au titre de ses 3,764 millions salariés déclarés. Ainsi, le secteur privé déclare 1,87 million représentant 33% des travailleurs déclarés à la sécurité sociale au titre desquels il ne verse que 23% des cotisations sociales totales collectées par la CNAS, contre 77% des recettes de cotisation versées par le secteur public au titre de 67% des salariés déclarés. Autrement dit, le secteur public déclare à la sécurité sociale deux fois plus de travailleurs et verse trois fois plus de cotisations sociales que le secteur privé.

4. Dans sa lettre, la patronne de la CGEA affirme : «La même inquiétude est observée chez les opérateurs du secteur de l’industrie pharmaceutique, eux qui se sont mobilisés durant la période du Covid-19 et qui se retrouvent, à présent, en proie à la bureaucratie et aux différentes inspections, à la limite du harcèlement.» La vérité est que, durant la pandémie, on n’a vu que les travailleurs et le personnel du corps médical du public, des hôpitaux surtout, qui se sont mobilisés au prix de leur santé et, parfois, de leur vie, au moment où les prix des consultations, des actes d’exploration et d’analyses et des vaccins dans le privé étaient inabordables pour le commun des Algériens.

Soyons clairs : sur le plan du principe, il ne peut y avoir de développement économique sans l’apport du secteur privé. Mais un secteur privé représenté par des entrepreneurs qui apportent une valeur ajoutée réelle au pays, qui respecte la législation fiscale et sociale et qui oriente l’essentiel de ses profits vers l’investissement au lieu de l’enrichissement des patrimoines familiaux.

Force est de reconnaître que ce sont là des qualités qui font défaut chez la majorité de nos patrons. Pourtant, durant les années 1980 et 1990, les patrons avaient un autre comportement que celui d’aujourd’hui. Le patronat en voie de formation ne constituait pas encore un lobby politique organisé et puissant pour prétendre imposer sa politique à la société. Les pressions néolibérales venaient de l’extérieur, plus particulièrement de la Banque mondiale et du FMI qui, profitant de la fragilité d’une Algérie endettée et de l’affaiblissement des forces patriotiques par le terrorisme islamiste, ont imposé le plan d’ajustement structurel aux terribles conséquences socio-économiques que l’on connaît.

La mutation du patronat algérien vers la prédation a eu lieu avec la venue de Bouteflika. Une prédation qui a fini par faire sortir tout le peuple dans la rue pour dire à la hâchia (clientèle) politique de Bouteflika et aux «capitaines d’industrie» sans industrie : «Klitou lebled ya serakîn» (vous avez pillé le pays, bande de voleurs).

Durant les années 2000, le FCE, l’instrument des patrons, a fini par dicter sa volonté aux PDG des entreprises publiques, aux ambassadeurs, aux ministres et même au gouvernement par le biais de la tripartite. Foncier et privatisation totale du secteur public et des services publics seront au programme du patronat. Même l’enseignement et la santé publique ne devaient pas y échapper.

Les subventions et les transferts sociaux qui constituaient aux yeux du patronat, jusque-là, une nécessité sur le plan social et un avantage comparatif sur le plan économique, étaient devenus nuisibles et il fallait les supprimer. Les patrons commencent, dès 2004, à revendiquer plus de précarité de l’emploi, un retour aux 48 heures de travail (en 2014) et l’augmentation de l’âge de la retraite à 65 ans (en 2016).

En conclusion, je suis un partisan convaincu du libre exercice du droit syndical et du droit d’organisation pour les patrons. Je suis aussi pour la transparence et le droit de défense et de recours pour tous en matière de politique fiscale, comme je suis pour la transparence dans l’octroi des licences d’importation revendiquée par une partie des patrons. Mais je suis aussi et avant tout pour l’égalité des citoyens devant la loi et devant l’impôt. Pour le respect par tous, des législations fiscales, du travail et de la sécurité sociale.

Par ailleurs, et c’est là que réside tout l’enjeu, le surplus financier du pays, généré par l’augmentation des prix du pétrole à partir de 2022, doit servir, en priorité, la relance et le développement économique et social du pays et non une catégorie de privilégiés. L’Etat doit tirer les leçons, toutes les leçons de vingt ans de prédation sous le règne de Bouteflika.

N. B.

Comment (57)

    Bouziane Al Kali
    3 octobre 2023 - 16 h 31 min

    L’histoire récente de l’Algérie nous enseigne qu’il existe deux types de personnes en Algérie : ceux qui ont tout donné, y compris leur vie, à l’Algérie et ceux qui veulent tout prendre legalement et illégalement pour eux et leurs enfants, dans cette même Algérie.

    Ayons un peu de NIF : construisons l’Algérie pour les générations futures, c’est à dire nos fils et nos filles, et leurs fils et leurs filles,.etc….Ne soyons pas égoïste.

    Pour ceux qui veulent investir à l’étranger, n’avez-vous pas appris ce qui est arrivé aux riches Russes qui ont tout perdu et dont l’argent et les avoirs ont été gelés dans les banques des pays occidentaux ces derniers mois?

    Vous avez envie de faire comme les autres et voici ce que font les autres :

    Voici une liste des plus gros dons des riches américains pour 2021.

    1) Bill Gates et Melinda French Gates (Microsoft) 15 000 000 000 $

    2) Michael Bloomberg 1 660 000 000 $

    3) William Ackman et Neri Oxman 1 200 000 000 $

    Le total des dons de Warren Buffett (l’un des plus riches des États-Unis) s’élève à plus de 50 milliards de dollars depuis 2006.

    Ces dons vont generalement aux hopitaux, ecoles, universites, etc…

    Faites de même, vous riches algériens, aidez le peuple algérien, ayez un peu de NIF et arrêtez vos exigences égoïstes.

    Anonyme
    2 octobre 2023 - 17 h 19 min

    Le peuple à le droit de leurs rendrent visite en prison et les humiliers avec des crachats et des pierres .

    BOUTEF a NORMALISÉ la CORRUPTION
    2 octobre 2023 - 8 h 38 min

    Les Poissons Pourrissent par la Tête et
    BOUTEFLIKA a NORMALISÉ la CORRUPTION dans les SECTEURS PUBLICS et PRIVÉS.
    .
    Exemple: SINGAPOUR – CPIB
    .
    La corruption à Singapour est généralement perçue comme l’une des plus faibles au monde.
    Les affaires sont principalement traitées par le Singapore Corrupt Practices Investigation Bureau (CPIB), un organisme gouvernemental singapourien qui enquête et poursuit la corruption dans les secteurs public et privé.
    ..
    Selon une enquête, une écrasante majorité de personnes à Singapour n’entendent pas de cas de corruption par des fonctionnaires ou des institutions publiques par le biais des médias au cours de leur vie.
    En 2020, le secteur public de Singapour a été classé au 4e rang des pays les moins corrompus au monde et les plus transparents d’Asie.
    .
    Cf public sources

    lhadi
    30 septembre 2023 - 19 h 02 min

    L’Algérie est un Etat, mais il existe aussi un Etat en Algérie. Dans le premier sens, le mot désigne une société politiquement organisée ; dans le second, le pouvoir qui s’exerce en son sein à partir d’une centre.

    Ces premières remarques incitent à penser la nécessité d’un double regard. En tant que territoire, il s’inscrit dans l’espace, se trouve matérialisé par des emblèmes aux frontières. Des individus l’incarnent : dirigeants politiques et fonctionnaires. Son action est repérable dans les domaines de l’éducation, de l’équipement, de la santé, de la sécurité, etc. Mais tout ceci ne prend qu’à travers des représentations mentales qui, elles, relèvent de l’ordre symbolique. Construites par un travail de socialisation politique intense et permanent, elles permettent de penser l’Etat derrière les pratiques quotidiennes, les comportements codifiés, les prises de paroles d’individus auxquels est reconnu ce pouvoir un peu magique de le représenter.

    Tout ceci ne prend sens si l’orientation et son intensité, les représentations qui prévalent tendent par exemple, à faciliter l’obéissance au pouvoir et l’acceptation de la loi.

    Au jour d’aujourd’hui, l’Etat, bien qu’unitaire et centralisé, doit laisser une large place à la volonté de décentralisation mais aussi à la déconcentration. Il s’agit là de la préoccupation de libérer l’Etat central d’un excès de taches qu’il n’est pas le mieux placé pour assurer le maximum d’efficacité ou de pertinence.On peut alors percevoir dans la volonté de décentralisatrice le souci de restaurer la capacité d’initiative et d’action du « centre », cette démarche s’inscrivant dans une plus large du « faire faire » plutôt que « faire ».

    Ceci étant dit, divers facteurs me conduisent à mettre en lumière le système algérien qui a institué le concept du néo-patrimonialisme comme mode de gouvernance. si on le circonscrit à l’analyse de l’Etat algérien, où derrière une éventuelle façade d’institutionnalisation, demeure la réalité d’un pouvoir personnel, orienté vers la satisfaction d’un clientélisme familial élargi, échappant largement aux contraintes du droit écrit, et entretenant, dans ses pratiques administratives, une frontière ambiguë entre la sphère du privé et celle du public. Ce fut le cas durant les vingt années du césarisme algérien qui a permis l’émergence d’une république de copains et de coquins et c’est le cas des quatre dernières années de la gouvernance actuelle qui administre le pays à hue et à dia.

    Pour moult raisons, le républicain algérien que je suis interpelle le Président de la république afin qu’il fasse sienne cette citation :  »Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir ».

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Nul contraintes en islam
    28 septembre 2023 - 16 h 00 min

    @ Anonyme
    27 septembre 2023 – 9 h 58 min
    Pense tu qu’ils vont emmener leurs constructions et leurs milliards avec eux dans leurs tombe.
    Pense tu qu’ils ne mourront pas.
    Pense tu que la vie sur terre pour tous les humains et toutes les espèces vivantes seront éternelles.
    Pense tu que les 10 plus grosses fortunes de la planète peuvent arrêter leurs vieillissement et leurs morts !
    Pense tu que tu serais vraiment heureux avec des milliards en banque si tu ne ferais pas profiter des nécessiteux autour et loin de toi !
    Et pour finir, penses-tu que tu pourrais dépasser en longévité 950 années d’existence comme nôtre prophète Noūḥ (Noé) (Sallallahu alayhi wa salam).
    Maintenant je te dis fais ce que tu veux et pense ce que tu veux, je n’ai aucun pouvoir sur toi, heureusement HAMDOULILLAH.

    Lila
    28 septembre 2023 - 7 h 50 min

    Bouteflila Allah yarahmou été otage (…)

    Brahms
    28 septembre 2023 - 3 h 48 min

    L’affaire Renault et la fameuse Rachida Dati, amoureuse d’argent avec une (commission de 900 000 €)

    Les parties attendent désormais les réquisitions du Parquet national financier (PNF) et la décision de la juge d’instruction d’ordonner, ou non un procès. C’est la prochaine étape après l’achèvement des investigations dans l’enquête sur des contrats noués par une filiale de Renault-Nissan, quand Carlos Ghosn en était le PDG, avec notamment Rachida Dati.

    La magistrate a adressé l’avis de fin d’information judiciaire aux parties le 12 septembre, selon une source judiciaire. Les avocats des parties peuvent désormais transmettre leurs observations.

    Aucune confrontation entre Dati et Ghosn.

    Dans cette information judiciaire ouverte en juillet 2019, Rachida Dati, maire LR du 7e arrondissement et ancienne garde des Sceaux, est mise en examen depuis juillet 2021 pour « corruption et trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public ».

    Les soupçons portent sur les 900.000 euros que lui a versés entre 2010 et 2012 RNBV, filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, alors qu’elle était avocate et députée européenne. Les investigations ont cherché à déterminer si ses honoraires correspondaient à des activités précises ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance ayant pu masquer un lobbying au Parlement européen, interdit pour les eurodéputés.

    « Rachida Dati ne comprend pas que les deux juges d’instruction puissent considérer leurs investigations terminées » alors qu’elle « est privée du plus élémentaire droit légitime d’être confrontée » à Carlos Ghosn, a réagi auprès de l’AFP son avocat, Me Olivier Baratelli. La maire du 7e arrondissement de Paris, qui conteste les accusations, demande que « cette confrontation ait impérativement lieu », a-t-il insisté.

    A l’époque l’arrogant PDG de Renault se targuait dans ses discours, et lors de ses réunions au sujet de l’Algérie, que la marque qu’il dirigeait s’implanterait dans notre pays «quand [il l’aura] décidé» et «à [ses] conditions».

    In fine, Carlos Ghosn et Abdeslam Bouchouareb sont cachés au Liban comme des taupes incapable de venir en justice pour se défendre car tout simplement de vulgaires délinquants de la finance. Tandis que Rachida Dati ne pourra pas être Maire de la ville de Paris avec une telle affaire de pot de vin.

    Brahms
    27 septembre 2023 - 13 h 33 min

    Les bandits se rencontraient avec le sourire heureux d’avoir pris la caisse,

    Haddad disait je vais investir, investir, investir avec un français cassé mais ça puait la corruption à plein nez à l’époque. Un syndicaliste qui tournait quant à lui comme une girouette avec les membres du Gouvernement de l’époque.

    Enfin, Mr Ouyahia qui avait l’art et la manière d’endormir le peuple en le faisant attendre constamment (attendez l’année prochaine ça ira mieux et dans 6 mois et dans 1 ans) et in fine, il ne faisait que de retarder les choses donnant la Issaba.

    Quel résultat aujourd’hui, les populations paient les ardoises laissées par le précédent gouvernement car quand on s’amuse avec le pays pendant 20 ans, à un moment donné, il faut passer à la caisse pour éponger les dettes, les déficits publics colossaux.

    Solution trouvée par le Gouvernement actuel, faire des opérations de Police pour capter l’argent de la drogue (affaire Kamel Chiki 100 millions de dollars de biens et de cash) afin d’effacer les ardoises de la Issaba (l’argent n’ayant pas d’odeur).

    C’est donc Kamel Chiki qui a payé une bonne partie des ardoises de Ouyahia et de Thakout.

    Vous avez aussi l’affaire des Cosmétiques à Bâb Ezzouar (30 milliards de dinars dans des cartons).

    Voilà, comment l’Etat va payer les dettes de la Issaba via la saisie de biens et d’avoirs financiers issus de trafics en tous genres.

    Anonyme
    27 septembre 2023 - 12 h 36 min

    Le pays change à une vitesse folle!
    La preuve, Total signe encore d’énormes contrats pour notre plus grand bien , vive l’indépendance…

    Pas JUSTICE , pas de BUSINESS PRODUCTIF
    27 septembre 2023 - 9 h 38 min

    Sans Une JUSTICE impartiale qui PROTÈGE les PATRONS, Les Employés et les CONSOMMATEURS …y a pas de BUSINESS, PRODUCTIF…
    Sans une JUSTICE un minimum INDÉPENDANTE et IMPARTIALE
    , il n’y aura pas d’Economie , il y aura de la SPECULATION , de l’INFORMEL et de la CORRUPTION…

    Lahouaria
    27 septembre 2023 - 8 h 05 min

    @@@@Anonyme 26 septembre 2023 – 15 h 58 min
    ————–

    J’ai assisté à un décès d’une parente à ma mère qui est parente de Bouteflika ex Président algérien Rabi Yarhmou, ce n’est pas lui qui démanteler l’Algérie, mais son ses frères et les zouavés aux grosses dents de cheval qui l’entouraient, des prédateurs de près ou de loin.
    Le président Bouteflika brillait en intelligence diplomatique et en finance et il a été attaqué dans sa santé pour que l’Algérie soit détruite encore une fois après le calme relatif de la décennie noire, les sionistes après l’avoir reçu dans leurs hôpitaux, ils lui ont fait payé cher son discours à l’Assemblée Nationale de Paris le concernant après avoir dit  » l’Algérie n’a pas été Collabo. »
    Suite à ces propos, il a été Lobotomisé au cerveau, comme ils ont fait à Jacques Chirac la même chose quand il a engueulé et bousculé les Juifs à Jérusalem (Qods) en 1996. Où la sœur de JFK Rosemary Kennedy quand elle tout raconté ce qui se passait aux anglais, à son retour, il lui ont supprimé un morceau de son cortex
    Bref, les sionistes ont aggravé la santé du Président pour s’approcher de ses frères et démanteler l’Algérie, ils ont refait les cachets ou parapheurs pour signer des marchés et voler avec ces taulards ici sur l’image, comment cela fait il que les bus d’Ouyahia sont en nombre de 400? Lui était premier ministre ou Chef d’entreprise de transport de voyageurs?
    Et son acolyte Haddad. Bouchouareb milliardaire avec Rebrab qui leur a prêté ces milliards pour faire des affaires alors qu’ils étaient de simples boutiquiers de quartier, c’est pareil pour les deux tlemceniens qui ont des malversations sur le dos
    Ould Kaddour, et Chakib, et tant d’autres mafieux.
    Nous avons parlé a sa famille pour que cesse cette mascarade, mais c’était un cercle vicieux, le président n’avait son mot à dire, il était entouré de mafia algériens et étrangère ce n’était pas le Président qui ne voulait pas démissionner, c’était la bande cette pègre qui voulait continuer à chaparder de l’intérieur et de extérieurs adeptes des valises pleines d’Euros qui voulaient qu’il contine à êtreprésident alors qu’il était malade et n’en pouvait plus sa santé qui s’est détériorée avec des médicaments poisons de « Madame la Suisse l’empoisonneuse des malades hospitalisés »
    Vous ne pouvez pas insulter des morts, sinon pourquoi vous n’insultez pas Sarkozy qui a démonté la Libye et ce Macron qui détruit la France et plusieurs pays d’Afrique pour du fric?
    De toute façon, n’importe quel président algérien est élu ou placé par une tierce personne, ne convient jamais au Peuple algérien, parce qu’il est de l’Ouest…
    Le Peuple algérien a subit des présidents originaires de l’Est plus de 5 présidents, qui n’ont pas apporté grand-chose, au contraire, Chadli ses fils se sont cassés avec plus de 65 milliards et un cargo de pétrole au Venezuela alors que le peuple n’avait rien à manger (ni farine ni beurre, nu Huile) et le premier président algérien a déporté les marocains d’Algérie de 1830 à 1975 a fini par être empoisonné par les sionistes marocains en URSS. et à incarcéré un Président durant 15 ans.
    Je ne crois pas qu’il y aura un jour un président algérien si parfait en Algérie, parce que maintenant tout le monde a des enfants ou des frères qui magouillent des zaffairettes teh ktilette zaffairettes teh srikettes!!!
    Maintenant faut arrêter de salir la mémoire des gens, l’après Tebboune, on ne veut plus des MECS comme président, il faut une faut une femme intelligente et démocrate, une fille du peuple, sans étiquette politique, juste une femme intellectuelle universitaire, pour assurer une bonne gouvernance au-delà de nos frontières et les Islamistes on doit les clouer au pilori pour se taire.
    Bonne journée

      IHAW HAW
      27 septembre 2023 - 11 h 52 min

      La réponse a ce commentateur a été adressée par erreur
      à Mr Amin99. Prière de rectifié ; avec toutes mes excuses.

      Bouteflika le traitre
      27 septembre 2023 - 13 h 06 min

      @Lahouaria, est ce tu pourrais nous dire pourquoi Zeroual a refusé toute les invitations de Bouteflika jusqu’à sa mort ? pourquoi Bouteflika a promu l’ex responsable du bureau de sécurité à notre amabassade en France les années 2000 Abdelhamid Bendaoud dit Ali de grade de colonel au grade de général major après son retout à Alger ?
      (…)

      Enfin tu dois savoir que le colonel Kafi était opposé au rappel de Bouteflika (…)
      Enfin, pour moi je voterais bien pour une femme présidente mais surtout pas démocrate mais nationaliste pareil si le candidat serait un homme.

      Quant on est un escroc on est un escroc qu’on soit de l’est de l’ouest du sud ou du nord, tous et toute méritent la corde.

        Anonyme
        27 septembre 2023 - 20 h 18 min

        C’est toujours assez comique de voir des individus sur internet insulter de traitre un moujahid qui a vécu les maquis les armes à la main.

        Ces petits branleurs insignifiants dont le passage sur terre se résume à des éructations baveuses, ne valent pas plus que le pet qui les a mis au monde

          Anonyme
          27 septembre 2023 - 22 h 09 min

          Quoi???!!! Qu’est ce que tu es en train de fumer? Bouteflika a vécu le maquis les armes à la main? Mais tu radotes bon dieu! Bientôt tu nous dira que c’est un Amirouche ou si L’Houass. Le seul maquis que cet individu a connu est celui des boites de nuit surtout ceux de Madrid et avec les contributions des émigrés sur le chemin du Maroc pour joindre le clan d’oujda afin de faire son “rapport” à Boumedienne. En fait c’est Boumedienne qui l’a sauvé d’une mort certaines aux mains des colonels offusqués par ses comportements indignes en l’envoyant s’abriter au Mali ou rien ne se passe. Boumedienne est donc en partie responsable les 20 horribles années qu’a vécu l’Algérie sous son administration. Periode que n’aurait jamais connue l’algerie s’il avait laissé les colonels faire leur travail. Au Mali, on l’a affublé du nom de guerre de si abdelkader el mali avec beaucoup de rires????

          Anonyme
          27 septembre 2023 - 22 h 12 min

          Tu t’es trompé de trou.

    Amin99
    26 septembre 2023 - 23 h 01 min

    Excellente analyse !
    Nous sommes tous pour l’égalité des citoyens devant la loi et devant l’impôt. Pour le respect par tous, des législations fiscales, du travail et de la sécurité sociale.
    Les hydrocarbures doivent servir, en priorité à la relance et au développement économique et social du pays, non au pillage et non à l’anarchie.
    Les patrons doivent comprendre qu’ils ont des devoirs et des obligations à assumer et des règles à respecter, ils doivent oeuvrer dans l’intérêt du pays et pour le bien être de tous.
    A bon entendeur

      iHAW.HAW
      27 septembre 2023 - 11 h 39 min

      A c’est la meilleure d’entre toutes. C est par sa nature de Mr BOUTESRIKA a sali la gouvernance durant prés de 20 ans. Un bref rappel de ses agissements de
      ministre des AE ! …période où ($$$$$$=° °) IL S’EN REMPLISSAIT les poches en Suisse. Et la Cour des Comptes : les arrêts se sont oubliés à dessein.

      Elephant Man
      28 septembre 2023 - 21 h 50 min

      @Amin99
      Excellent commentaire.

    Algerien Pur Et Dur
    26 septembre 2023 - 22 h 22 min

    Honnêtement, je perds mon latin dans tout ça. Comment peut-on appeler cette entité « patronat » lorsqu’elle dépend des fonds publics pour sa survie ? Le véritable patronat possède un fonds de roulement qui représente les ressources financières nécessaires pour assurer le fonctionnement quotidien de l’entreprise, notamment pour financer ses activités courantes telles que les achats de matières premières, le paiement des salaires et d’autres dépenses opérationnelles. De plus, il génère des profits qu’il réinvestit dans son entreprise sans avoir besoin de solliciter des financements publics. Il est temps de dire à tout ce « beau » monde aux apparences trompeuses « non » et que vive qui vive et meurt qui meurt.

    Transparence des Finances Publiques et Feuilles de Route
    26 septembre 2023 - 21 h 51 min

    Avec plus de Transparence dans la Gestion des FONDS PUBLICS , tout serait plus Clair.
    Si en plus on avait une Stratégie et une VISION et une Feuille de Route Économique et Sociale ALGERIE 2030-2050 dans tous les SECTEURS ce serait mieux.
    Sinon , on peut Espérer des Bonnes Surprises ou pas …

    Nettoyage des consulats !
    26 septembre 2023 - 19 h 28 min

    En France les consulats, le centre culturel algérien, l’ambassade, la Grande Mosquée etc sont noyautés par les taupes de la bande d’escros de Bouteflika et Cie car beaucoup ont pris leis retraite et vivent soit en Algérie soit à l’étranger tout en continuant a saboter le pays et d’autres sont toujours en fonctions.

      Loco
      26 septembre 2023 - 22 h 15 min

      Quand allez vous comprendre que la grande mosquée de Paris est une mosquée Française.
      l’Algérie contribue à hauteur de deux millions d’euros par an, c’est tout.
      Ne pensez surtout pas que c’est l’Algérie qui gère cette mosquée qui ne lui appartient pas.
      Cela fait Mal de reconnaître cela, mais quand allons nous comprendre que nous ne sommes pas le nombril du monde, et que nous allons diriger des édifices qui ne nous appartiennent pas, alors que nous n’arrivons même pas à gérer la mosquée d’Alger. En disant cela je ne dis rien de mal , mais c’est juste la stricte vérité. Si cette mosquée nous appartenait
      vraiment comment peut-on laisser les choses telles quelles ?
      L’ima aussi, l’Algérie participe comme beaucoup, mais nous n’avons aucune prérogative.
      Donc arrêtons de nous torturer avec ces choses là, ce qui compte le plus, c’est le PAYS, Et l’état dans lequel il se trouve.

        Réponse
        27 septembre 2023 - 13 h 12 min

        Donc c’est la France qui nomme ces (…) à la Mosquée parce qu’ils sont ses taupes, idem pour l’ima.

          Loco
          27 septembre 2023 - 14 h 03 min

          Absolument, la mosquée et l’ima n’ont pas la protection diplomatique.

    Kahina-DZ
    26 septembre 2023 - 18 h 00 min

    Pour que notre pays avance, il faut toujours avoir la mémoire fraiche…
    Les pratiques qui ont fait mal au pays doivent être combattues par des lois fermes.
    L’Algérie avant TOUT ET TOUS. Autrement, c’est cultiver dans une terre salée…ou nager dans un sable mouvant qui nous tire vers le bas.

      Gardons l'espoir !
      27 septembre 2023 - 10 h 11 min

      @ Kahina-DZ
      Entièrement d’accord avec vous.

      Elephant Man
      28 septembre 2023 - 21 h 48 min

      @Kahina-DZ
      Excellent commentaire.

    CAFTAN ALGERIEN
    26 septembre 2023 - 17 h 27 min

    L’habitude est une seconde nature !
    La première loi du changement = Effacer les mauvaises habitudes du Bouteflikisme.
    Les patrons Algériens doivent investir dans leur matière grise et la créativité, pour financer leurs projets.
    L’ aide sociale n’est pas destinée à ceux qui se qualifient de patrons.
    PATRONS: Mettez vous au travail let oubliez vos anciennes caprices

    Anonyme
    26 septembre 2023 - 16 h 55 min

    Au moins sous Boutef, les citoyens ne se retrouvent pas en prison pour une phrase ou une parole. Pour la corruption, c’est kik kif car c’est le meme systeme qui est toujours en marche mais sous differents visages.

      Belveder
      26 septembre 2023 - 18 h 13 min

      Qui s est retrouvé en prison ???
      Sous BOUTEFLIKA l l’etat de droit n n’existait pas
      Tout s achetait de la justice a la presse

        Moh
        27 septembre 2023 - 20 h 01 min

        Bien dit Belveder, sous Bouteflika si vous déposerez plainte contre un responsable même si vous avez raison et avec des preuves solides vous serez condamné pour diffamation et emprisonné.

    Loco
    26 septembre 2023 - 16 h 54 min

    Le problème de l’Algérie il résulte d’une seule chose. Depuis l’indépendance,il n’y a eu aucune alternance. On prend toujours les mêmes et on recommence, ce qui donne automatiquement les mêmes résultats.
    C’est le recyclage permanent, c’est toujours les mêmes qui sont aux commandes.
    Quant à la Diaspora, malheureusement on ne veut absolument pas d’elle car elle risque de fissurée les fondations cramoisie de ce système. Donc les décideurs ne laissent aucune ouverture, sinon des centaines de milliers d’Algériens sont dans les starting-blocks pour apporter leurs aides au pays et Cela même bénévolement.
    Malheureusement aujourd’hui, rentrer au pays pour beaucoup est source de stress et de peur. Espérons qu’un jour prochain tout celà ne sera qu’un mauvais souvenir et l’Algérie prendra la marche du développement du vrai,pas celui des slogans, car le plus important est disponible à foison, La Matière Grise.

      Anonyme
      27 septembre 2023 - 12 h 30 min

      « Qui s est retrouvé en prison ??? »: Des innocents citoyens qui sont traités de tous les maux car ils ont simplement parlé ou écrit.

    Abou Stroff
    26 septembre 2023 - 16 h 36 min

    « L’Etat doit tirer les leçons de vingt ans de prédation sous Bouteflika » titre N. B..

    moua, je me permets d’avancer les points suivants:

    – Pendant des années, « on » nous a raconté que haddad, kouninef, tahkout, benamor, etc. étaient de grands capitaines d’industrie et que leurs diverses activités allaient booster l’économie algérienne.
    Aujourd’hui, ces « capitaines » d’industrie sont en prison parce qu’ils n’ont fait que recycler (en gonflant des pneus, entre autres) à leur profit exclusif et au profit de leurs parrains tapis au sein des structures de l’Etat, une grosse partie de la rente pétrolière dont la distribution était et est toujours monopolisée par la marabunta qui nous gouverne.

    – Ces « capitaines » d’industrie étant déchus, les nouveaux « capitaines » (représentés dans les « clubs » de neghza et de moula) d’industrie activeraient donc sous la supervision de parrains (anciens ou nouveaux, peu importe) et feraient la différence entre accumulation du capital (objectif essentiel de l’entrepreneur schumpétérien) et enrichissement personnel (caractéristique essentielle de toutes les couches pré-capitalistes).
    Les développements de N. B. montrent clairement que les nouveaux capitaines d’industrie n’ont strictement rien à voir avec l’entrepreneur schumpétérien mais ne sont que des avatars des capitaines déchus.

    PS: une question à un doro:
    En quoi le cgea de saida neghza ou le crea de kamel moula seraient ils différents du fce de ali haddad?
    la réponse à la question posée se trouve dans le fait incontournable que dans un système rentier, les soi disant entrepreneurs sont, d’abord et avant, des prédateurs rusés et sournois qui se placent au plus près des distributeurs de rente et profitent des largesses de ces derniers en les arrosant en retour. le reste, tout le reste n’est que prose insipide pour niais confirmés.
    En termes simples, tant que le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation domine la formation sociale algérienne, le seule activité reconnue et gratifiée est la prédation au sens large et le reste n’est que prose insipide pour niais confirmés.
    En termes crus, peut on faire du neuf avec du vieux ?
    wa el fahem yefhem.

    Le Chat Botté
    26 septembre 2023 - 16 h 28 min

    Un sage m’avait dit une fois: si tu vois des mouches roder autour d’une merde, il n’est pas util de les chasser, ils reviendrons tant et aussi longtemps que la merde est à la même place et n’est pas nettoyée.
    Parole d’un sage effectivement.
    Le ridicule ne tue pas, n’est-ce-pas?
    Depuis 1978 0n n’arrête pas de nous rabâcher les oreilles avec les mêmes rhétoriques des chimères, on ne peut pas faire du neuf avec du vieux. Quand est-ce qu’on va comprendre que c’est les mêmes personnes du temps de Chadli jusqu’à Boutef qui gouvernent le pays.

    Anonyme
    26 septembre 2023 - 15 h 58 min

    L’Algérie a enfanté des hommes et des femmes redoutables sur tous les plans-intellectuel, éducatif et scientifique, religieux et moral, diplomatique et stratégique, politique et culturel, bref tous les niveaux et les domaines- mais elle a laissé fleurir des voleurs, des voyous et délinquants, des corrompus et de corrupteurs, des criminels et des assassins, des félons et des individus à la solde de l’étranger, des despotes et des oppresseurs enfin le penchant de l’authentique et du glorieux digne et fier.
    Il est temps de se retrouver autour de la table et de dessiner une Algérie une vraie comme nous l’avions rêvée et fantasmée! Une Algérie que l’on redoutera dans les fora internationaux , dans les échanges bilatéraux , une Algérie fière de son histoire de sa géographie et de sa personnalité pleine de courage dignité honneur et fougue! Gommer tous les déviants et les profiteurs!Ce sera très facile et le citoyen pourra dévorer le bonheur et le progrès et offrira au monde la solidarité agissante et la ‘ténacité’ quand il s’agit de ses choix et de ses intérêts. Chiche! Gloire aux intrépides.

    Anonyme
    26 septembre 2023 - 14 h 47 min

    En attendant l’oeuf qui coûtait 9 dinars qu temps de Boutef fait 25 dinars à Alger.
    Et le reste c’est kif kif.
    On se demande bien à quoi à servi tout le chtih wa rdih du hirak ô combien béni par ceux qui tiennent les poulaillers.

      Anonyme
      26 septembre 2023 - 15 h 51 min

      Vous n’en mangerez que la moitié.
      L’obésité est un véritable fléau en Algérie.

        Anonyme
        26 septembre 2023 - 16 h 54 min

        Je n’en mange que un de temps en temps comment faire?

        La nouvelle Algérie n’a pas inventé le fil a couper le beurre, elle va surement inventer le fil à couper les oeufs en quattre

      Pas fichus de réfléchir un chuiya
      26 septembre 2023 - 16 h 56 min

      Celui qui te vend les œufs c’est un commerçant privé !
      Les œufs ce sont les poules qui les pondent !
      Donc, celui vers qui tu dois aller chialé et te plaindre, c’est auprès du commerçant, ou de la poule, à ton choix !

        Anonyme
        26 septembre 2023 - 20 h 31 min

        Tu as raison, je vais de ce pas demander à la poule pourquoi son oeuf coûte trois fois plus cher qu’avant.

        Boutef ne nous avait jamais donné une réponse aussi lumineuse.
        Sûrement à cause de son AVC.

        C’est la nouvelle technologie des startups de l’Algérie 2.0:
        les poules ont des calculatrices pour décider combien elle vont vendre leur progéniture.
        Bientôt elles auront des smartphone pour nous écrire sur whatsapp makache el bedh makan lah tjiw.

    Anonyme
    26 septembre 2023 - 14 h 27 min

    TEBBOUNE est la continuité de l ancienne Algerie bref l état si on peut l appeler ainsi devra se retiré ds ce cas . Perso aucun algérien ds le pays et qui il soit ne devrait accepter d être président sans le consentement de son peuple, je pourrais pas personnellement je serais mal à l aisé d être propulser comme une marionnette même si le pouvoir et les privilégiés suivent, non je préfère sincèrement ma place même de pauvre type mahlich mais qui peut tjrs de regarder ds la glace et srtt libre d accepter ou de refuser de dire oui ou non et surtt mais surtt pas être contre mon propre peuple,. Vous savez qd vous êtes choisi par une tribune ou ds un village comme chef par tt ces habitants alors qd vous échouez ds vos missions alors c est de leurs fautes car c est eux qui ils vous ont choisis mais qd c’est l inverse tu t es autoproclamé chef ou par arrangements entre amis alors qd tu tu échoues alors ils te lynche tt les autres. C est un image de ce qu il se passe chez Nous. Un vrai algérien refuse d aller à l encontre de son propre peuple sinon il est pas des nôtres tt simplement. C est une question conscience avt tout mais eux aux sommets n en ont aucunes sinon on n en serait pas là. L état n a pas à prendre de leçon son devoir est de servir le peuple algérien et de lui amélioré son quotidien, cet état fait l inverse et l a tjrs fait donc cet état fo vous faites allusion n a plus lieux d être ? Ben oui qd on regarde les choses de près.

    La réalité est tout autre
    26 septembre 2023 - 14 h 25 min

    Toute initiative de la diaspora algérienne pour contribuer au développement économique de l’Algérie est bloquée par un système qui ne souhaite pas avoir une concurrence professionnelle ayant la culture d’entreprise.
    Chaque régime protège son clan économique, le régime de Bouteflika s’appuyait sur le FCE de Haddad, aujourd’hui régime Tebboune s’appuie sur CREA de Moulay et la mosquée de Paris de Chems-eddine Hafiz.

    Hamid
    26 septembre 2023 - 14 h 07 min

    Qui n;a pas ruiné l’Algérie ? Le seul espoir, ils l’ont tué. Feu BOUDIAF.

    Anonyme
    26 septembre 2023 - 14 h 05 min

    Dites nous ce qui a changé. Pour 95% des algériens le pays est devenu pire.

    Juge et partie, la caste
    26 septembre 2023 - 13 h 08 min

    La vraie tard de l’Algéristan en sourdine, est que la bourgeoisie étatique qui tient en main les  » entreprises publiques  » est au même t le bénéficiaire des  » entreprises privées « ! C’est pour perpétuer cette mainmise que le régime finira par loger pour l’État islamique assumé!
    Sans une discontinuité du pouvoir feindrait la  » séparation  » des pouvoirs pour amuser la galerie mais les enjeux déterminants resteront tels qu’ils furent.
    Où serait elle la différence entre hier et aujourd’hui?

    Chaoui
    26 septembre 2023 - 13 h 05 min

    Au « Patronat » en Algérie :

    Vous nous assenez que « Tout homme d’affaires qui a fait des profits aspire à posséder des biens en Algérie et à l’étranger, comme c’est le cas pour tous les hommes d’affaires du monde entier, mais la loi algérienne ne permet pas ceci. »

    Encore HEUREUX que La loi Algérienne ne le permette pas. et on espère bien qu’il en sera ainsi longtemps encore.

    Ne comparez pas la Loi Algérienne, son Histoire et sa culture avec ce qui se passe en occident.

    Vous oubliez que les hommes d’affaires occidentaux, avant d’investir pour posséder des biens à l’étranger, au sortir de la guerre de 39-45 n’ont eu que pour unique DROIT et tâche (imposée par leurs États) que celle de d’abord développer leurs propres pays dans TOUS les secteurs économiques et sociétaux, les rendre autonomes en même temps que construire une économie forte. C’est uniquement après qu’on les a autorisé à pouvoir investir leur surplus à l’étranger.

    Aussi, au jour d’aujourd’hui « vos profits » (faits sur le dos du Peuple) quand notre Pays reste en phase de développement et manque cruellement de nombre de structures pas davantage qu’il n’est autonome sur le plan alimentaire doivent-ils obligatoirement rester et être réinvestis en Algérie. Nulle par ailleurs.

    De plus, gardez vous de vous comparer et/ou de singer dans vos pratiques et attitudes économiques en Algérie les mondialistes impérialistes. Leur « modèle’ leur est propre et résulte d’un long processus.

    Il reste qu’à l’échelle de la vie des États, l’Algérie est et reste encore un bébé. Pour grandir, elle a besoin de TOUTE son économie et de l’énergie de TOUS ses enfants.

    Le « Patronat » en Algérie ne doit se préoccuper que du seul intérêt de l’Algérie, et doit s’interdire de promouvoir, faciliter ou suggérer que les hommes d’affaires en Algérie « investissent » leurs « profits » ailleurs qu’en Algérie. Maintenant, rien n’empêche de faire des partenariats gagnant-gagnant dans certains domaines d’activités avec d’autres pays en développement et/ou des pays véritablement amis. Mais là encore, les bénéfices engendrés doivent être réinvestis aussi bien pour renforcer leurs activités à l’étranger qu’en Algérie.

      Anonyme
      26 septembre 2023 - 14 h 00 min

      J ajouterai qu ils paient leurs impôt……..comme le font les patrons US ou allemands ou Espagnols…..
      Peut être que ces Zzzaffairistes ne savent pas qu que dans ces États , ne pas honorer sa part d Impôts équivaut à une Traîtrise vis à vis de son Pays ….
      Allez expliquer cela a un Tahkout ou à un Haddad ou à toute cette «  Crème nauséabonde » qui croyait avoir floué tous les Algériens ….

      Jazayria
      27 septembre 2023 - 10 h 07 min

      @Chaoui. Amine, puissent t’ils vous entendre. Car ce qui les préoccupent sont leurs intérêts uniquement. Faire le plus d’argent possible en un minimum de temps et avec le minimum d’efforts. Tel est la devise de l’algérien. Pour ces parvenus, l »Algérie est une vache à lait. Les personnes honnêtes qui portent l’Algérie dans leur coeur et qui ont le pouvoir de changer les choses sont peu nombreuses.

    Belveder
    26 septembre 2023 - 12 h 48 min

    SECOND Article déstiné a TAPER sur le Privé Algerien….VOUS SURFEZ SUR LA VAGUE
    il faut fermer la page BOUTEFLIKA
    IL faut séparer le MAUVAIS grain du BON GRAIN
    l état a fais enormement sacrifices en devises fortes pour édiffié les equipements de BASES (ROUTES ports liaison féroviére….)
    mais l état N EST PAS la POUR crée des emplois
    les histoires d emploi de jeunes et tous ces dispositifs sont inéfficaces
    de l extreme ASIE a L ouest de cette planéte
    il y une recette et UNE SEULE
    UN PAYS est fort avec des compagnies privé fortes qui gagnent des parts de marché interieure et exterieure

    On prend les mêmes et on recommence
    26 septembre 2023 - 12 h 40 min

    La promesse du président Tebboune de libérer
    l’Algérie du lobby économique n’est qu’un leurre, des figures du régime Bouteflika recyclés pour imposer leur dictat afin d’assurer le financement de la campagne présidentielle 2024 au président Tebboune.
    L’Algérie est prise en otage par des incompétents jusqu’à 2029 fin du régime Tebboune , le Bouteflika bis

    Anonym3
    26 septembre 2023 - 12 h 24 min

    La question a se poser,pourquoi Mr zeghmati était remercier juste quand il avait commencer a nettoyer avec son mendjel l’herbe qui rester. Autres questions,Est ce que ces sois disant hommes d’affaires ont ils investit notre argent sur la recherche,dans l’industrie ,lagriculture etc etc ,ont ils créé des emplois et et la richesse, ont ils construit des hotels au sud pour le developement du tourisme, NON ILS ACHETENT LES HOTELS ET LES VILLAS DE LUXE CHEZ MAMA FRANCE, le 1 euros ou dollars qui gagnaient été transfere en France ou en suisse.on a qu’a voir les spots publicitaire dans nos televisions khorda pour comprendre qu’ils ont juste remplacés L’onaco,sogedia,l’onalait,la snmc et autres Sona.dans el djazair el djadida les responsables d’un aussi grand pays comme le nôtre ne jettent pas chaque mois les milliards de dinars dans le foot ball et decident qui les representes comme ministre de la FAF qui a même pas un diplome universitaire .galek bled el Kanoun wa dimocratia.cela fais 4 ans qu’on parle d’el djazair el djadida et cela fais 30 ans qu’on a pas avancé un centimetre que du bricolage,du bla bla.chaque responsable qu’il soit élu, designer ou parachuter ,tous ils choisissent des gens mediocres pour mieux les controller.

    Qu'ils finissent tous leurs vies en prison.
    26 septembre 2023 - 12 h 02 min

    Le clan des Bouteflika ont ruinés l’Algérie par le pillages tout azimuts pour eux et leurs familles au sens très arge.
    Et ils ont engraisser la Fronce et l’Europe par des milliers de contrats de gré à gré avec des ristournes versées sur des comptes bancaires à l’étranger en Suisse et dans les paradis fiscaux.
    Et que fait le trésor publics et l’état algériens pour récupérer tous ces milliards volés à l’Algérie.
    Les mandats d’arrêt international contre truands ont-ils été lancer.

      Anonyme
      26 septembre 2023 - 14 h 26 min

      Maintenant ils engraissent la tunisie, la russie et la palestine.

        Nuance
        26 septembre 2023 - 18 h 29 min

        @ Anonyme
        26 septembre 2023 – 14 h 26 min

        ALLAH nous demande de nous entraider entre frères dans la difficultés.
        Eux le clan de Oujda nous ont envoyer à l’âge de pierre et un pays tiers mondiste.
        Par contre le bien que l’ont fait nous sera plusieurs fois multiplier.

          Anonyme
          27 septembre 2023 - 9 h 58 min

          @Nuance: Si ce que tu dis est vrai pourquoi les saoudiens n’attendent pas Allah pour faire de l’argent ou aller au paradis ? Ils sont en train de construire une nouvelle ville sur la mer rouge pour faire des centaines de milliards de benefices et pour que leurs enfants et leurs citoyens savourent la vie sur terre. Continue a vivre d’espoir pendant qu’ils font ce qui est utile. Continue a dormir.

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