Israël n’est pas habité par un «peuple juif» mais par un magma de colonialistes

Israël colons juifs
Un magma de sionistes colonialistes. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – L’histoire fourmille de récits confectionnés pour les besoins de la cause. Souvent d’une cause perdue d’avance, tant sa justification tout comme sa légitimité est historiquement infondée. Les récits mythiques, souvent élaborés pour imposer une histoire rapiécée et épicée de contrevérités, emplissent les livres d’histoire.

Malencontreusement, souvent, les mythes s’incrustent, comme les mites dans les literies, dans les mémoires collectives. Or, tout comme il est difficile de se débarrasser des mites qui colonisent une maison, il est malaisé de se défaire des mythes qui polluent l’histoire. Certains mythes ont la vie dure. Ils s’imposent comme vérité historique malgré la flagrance de leur caractère mensonger.

Il est vrai que, comme le disait le ministre de la propagande du régime nazi, Goebbels, «un mensonge, à force d’être répété, finit par devenir vérité». Et le mensonge une fois enfoncé dans la mémoire collective, il acquiert force de loi. Pis, il n’hésite pas à recourir à la loi de la force pour se perpétuer.

L’histoire est ainsi truffée de ces impostures érigées en vérité. Et de vérités longtemps réduites à des impostures, avant de triompher historiquement. Galilée était fausseté aux yeux des pouvoirs absolutistes royal et ecclésiastique, avant de devenir certitude scientifique aux yeux du savoir universel. «Et pourtant, elle tourne», avait-il lancé à ses détracteurs du tribunal de l’Inquisition, adepte fanatique de la théorie géocentrique.

La falsification de l’histoire est vieille comme le monde. De nos jours, beaucoup de pays se drapent dans le manteau de l’imposture. De la posture historique frauduleuse. La fraude historique est l’œuvre de pays aux mœurs de voyous. Ils refusent de s’acquitter honnêtement de leurs devoirs de vérité au trésor public de l’Histoire. Ils préfèrent user d’escroquerie historique pour détrousser, avec effraction, le passé afin de tresser, en totale infraction, des couronnes à leur gloire usurpée présente. Les faussaires de l’histoire agissent en toute impunité pour usurper la mémoire collective, enrôler les annales, piller le passé. Plus gravement, annexer un pays au nom d’une histoire frauduleusement fabriquée dans les ateliers des annales fallacieux de la mythologie. Pour justifier leur projet de création d’un Etat, imposer leur récit national bâti par la force des baïonnettes, griffonné en lettres maculées du sang des peuples lésés et abusés. Pour légitimer leur colonialisme.

Il en est ainsi d’Israël, ce pays voyou qui a commis le pire hold-up de l’Histoire en accaparant la terre de Palestine. Vol (viol) perpétré au nom d’une mythologie talmudique érigée en vérité historique. En effet, cet Etat artificiel (sacrificiel du peuple palestinien), construit de toutes pièces (historiquement rapiécées), à l’aide de lambeaux d’individus hétérogènes ramassés dans les ghettos de multiples pays, s’est offert avec l’argent de ses souteneurs un mythique peuple bigarré et bagarreur, qui n’a de commun que la religion judaïque.

Aujourd’hui, tous les historiens honnêtes et consciencieux s’accordent sur cette vérité historique. Comme l’a démontré Marc Ferro, il n’y a pas de «race juive», les juifs, c’est-à-dire les communautés religieuses hébraïques, étant issus de diverses aires géographiques et culturelles. D’une part, les juifs d’Europe descendent des Khazars, tribus établies dans le Caucase, converties tardivement (vers le IXe siècle) au judaïsme. Ces juifs caucasiens, absolument pas sémites, fondèrent un empire prospère vers lequel plusieurs juifs de Mésopotamie et de Byzance affluèrent massivement. Cet empire s’effondra au XIIIe siècle, sous l’invasion des Mongols et de l’épidémie de la peste noire. Au lendemain de la disparition de l’empire khazar, les juifs khazars se disséminèrent dans toute l’Europe centrale, notamment en Pologne, en Hongrie, en Allemagne. D’autre part, les juifs sépharades. A cet égard, contrairement à la propagande sioniste pour qui ces juifs descendent directement de la Palestine après la destruction du Second Temple de Jérusalem, les Sépharades sont des Berbères convertis au judaïsme, comme l’a écrit l’historien français Marc Ferro dans son livre Les Tabous de l’histoire. De même, cet historien a démontré que les juifs espagnols étaient d’origine berbère et non issus de la diaspora de «la Judée».

On ne fonde pas un peuple sur la seule base d’une croyance à une même religion

Ainsi, il n’existe ni de «peuple juif» ni, à plus forte raison, de «race juive». C’est un mythe forgé par le sionisme. C’est ce que confirment également les travaux scientifiques de l’historien israélien Shlomo Sand. Pour cet éminent chercheur, la validité historique de l’existence du «peuple juif» est illégitime. Par conséquent, la légitimité d’Israël, la «nation juive», est illégitime. Pour Shlomo Sand, «il n’existe pas de peuple juif». C’est une invention de l’Occident (et, bien sûr, des juifs européens mais manipulés par les machiavéliques dirigeants européens antisémites) pour justifier leur politique d’éloignement (ou plutôt d’expulsion consensuelle) des juifs de leurs pays respectifs.

Ainsi, comme le démontre l’historien israélien Shlomo Sand, le «peuple juif» n’existe pas. Il n’y a pas d’histoire commune, pas de langue commune, pas de culture commune entre les différentes communautés juives. Il y a juste une religion commune. Mais une religion ne constitue pas un peuple. De même qu’il n’existe pas de peuple chrétien, de peuple musulman, de peuple bouddhiste, il n’existe pas de peuple juif. On ne fonde pas un peuple sur la seule base d’une croyance à une même religion, à plus forte raison quand ses adeptes sont originaires de multiples pays disséminés aux quatre coins du monde. Qui plus est porteurs de cultures aussi hétérogènes qu’antinomiques.

Qu’ont-ils de communs un juif d’Algérie (un Algérien de confession juive) et un juif de Pologne (Polonais juif) ? Rien. Le juif d’Algérie est plus proche par sa culture, ses traits physiques, sa langue de son frère algérien musulman que du juif ashkénaze polonais. L’impérialisme et le sionisme en ont décidé autrement. Ils auraient pu continuer à vivre en symbiose sur la terre d’Algérie. Mais le sionisme en a décidé autrement. Car, pour le sionisme, l’existence de communautés religieuses juives autochtones à travers le monde constitue un problème idéologique et existentiel pour Israël. Aussi, depuis plus d’un siècle, orchestre-t-il et encourage-t-il l’aliya (émigration de juifs vers Israël) pour maintenir et pérenniser la colonie suprématiste israélienne établie en Palestine, formée d’un magma de colons originaires de dizaines de pays appartenant à plusieurs continents, donc à de multiples aires culturelles et cultuelles.

C’est comme si demain, les Témoins de Jéhovah, pourtant constitués d’adeptes originaires de nombreux pays répartis sur tout le globe, décidaient de se constituer en peuple et de créer un foyer national, un Etat, dans un pays déjà peuplé d’une population autochtone. Cette entreprise aurait-elle une quelconque légitimité historique et/ou un fondement juridique au regard du droit international, de la communauté internationale ? Absolument pas.

Pourtant, c’est ce qui s’est produit avec Israël, créé artificiellement par l’ONU en novembre 1947. Des centaines de milliers d’individus de nationalités distinctes, de cultures dissemblables, de langues différentes, de physionomies disparates, de rites cultuels hétérogènes, de conceptions philosophiques et politiques opposées se sont ligués, à la manière d’une organisation mafieuse, pour se livrer au plus grand hold-up du XXe siècle : le vol de la terre de Palestine. Un vol aussitôt cautionné et légitimé par les mafias gouvernementales de plusieurs pays impérialistes, avalisé par leur infâme institution transnationale, l’ONU.

Quant à la question controversée relative au judaïsme appréhendé comme religion ou nationalité, l’historien israélien Shlomo Sand, dans le sillage d’autres intellectuels, a tranché la problématique : il considère le judaïsme comme une religion aux valeurs universelles et non comme une nationalité. A prendre l’exemple d’un Français de confession juive : il est français de nationalité et juif de religion. Il n’existe pas de peuple juif, à plus forte raison de «race juive». La notion de peuple juif est une construction idéologique, elle ne correspond pas à un objet social réel. Les juifs ne sont pas une ethnie, une nation. Il n’existe pas de «peuple-race juif». Le judaïsme recouvre plusieurs cultures.

Quand la mythologie s’érige en vérité historique, cela signifie que l’irrationalité a phagocyté la raison. On peut disserter sur des faits historiques, mais jamais sur les mythes. Avec les sionistes au cerveau façonné par les mythes, le débat historique est impossible. Ils ont transformé leur mythologie biblique en livre unique d’histoire. Pis, en cadastre, pour justifier l’appropriation de la terre palestinienne.

L’écrivain Jacques Folch-Ribas a écrit : «L’histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s’incarne.» Les sionistes auront et déformé l’histoire et incarné la légende du faux. Le sionisme est l’incarnation de la mystification, l’incarcération de la véracité. Israël est le pays du mensonge déconcertant. Le foyer national de la mythologie. L’épicentre de l’imposture historique.

Sans conteste, l’entité sioniste est consciente de son illégitimité nationale et historique, de sa frauduleuse existence étatique. Aussi cette entité, Israël, est-elle affectée par un syndrome singulier : le syndrome «sionigène», caractérisé par la bellicosité chronique, la pathologie guerrière, l’affrontement permanent, le terrorisme étatique compulsif, la psychopathie collective génocidaire.

Dernier vestige colonial occidental voué à disparaître

Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées. Pour des raisons à la fois exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence (nous parlons des populations arabes et non de leurs Etats respectifs fantoches, ralliés au sionisme). Ces pays ne font qu’aiguiser leurs armes pour hâter la destruction d’Israël.

Endogènes : car sa «population juive» hétéroclite maintient sa factice cohésion «nationale» que sous le feu de la guerre permanente. Aussi, dans l’hypothèse d’une résolution d’instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre fragile interne s’effriterait-il aussitôt. Inévitablement, les dissensions intrinsèques entre les différentes communautés juives hétérogènes et antagoniques éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée de «peuple élu» concentre des habitants-geôliers qui n’ont rien de commun, sinon la religion hébraïque, mais surtout leur doctrine raciste : le sionisme. Le sionisme est depuis le 10 novembre 1975 assimilé officiellement par l’Assemblée générale des Nations unies au racisme, et qualifié depuis le 1er février 2022, par Amnesty international, d’apartheid.

Nul doute, l’Etat théocratique israélien, à l’histoire blindée de mythes, se voit obligé, tel un criminel traqué, d’être en guerre permanente pour maintenir et pérenniser sa factice union nationale ; faute de quoi, il sombrerait par privation d’alimentation belliqueuse. Israël ne se nourrit que de guerres récurrentes et écœurantes. La paix lui est impossible. D’où cette impérative nécessité belliqueuse de transmuer le pays en caserne à ciel ouvert où chaque Israélien endosse l’uniforme militaire à vie, où la polémologie a supplanté l’apprentissage de la Thora.

Se sachant condamnée par l’histoire, l’entité sioniste est acculée à une fuite en avant dans les conflits sanglants et guerres génocidaires contre les Palestiniens, ces autochtones sémites qui rappellent, tous les jours, à chaque colon israélien son illégitimité nationale, son illégalité résidentielle territoriale, son anomalie géographique. En un mot, son immonde et immorale présence sur cette terre palestinienne.

Cela explique pourquoi ces magmas sionistes, assemblage d’individus disparates et antagoniques, constamment mis sous haute pression par la conscience de leur illégitimité historique et illégalité nationale, sont immuablement en ébullition belliqueuse, en éruption militaire pour escamoter leurs sempiternelles discordes identitaires, leurs clivages culturels et cultuels, leurs dissensions ethniques, mais aux dépens des Palestiniens, pris en otage comme boucs émissaires pour pérenniser la factice «nation juive» d’Israël.

Comme l’histoire nous l’enseigne, les Etats coloniaux ont une durée de vie éphémère. Israël ne fait pas exception. Israël, dernier vestige colonial occidental, formé d’un magma de colonialistes, est voué à disparaître. A plus forte raison depuis qu’il a dévoilé sa véritable essence messianique génocidaire, qu’il commet un crime contre l’humanité à Gaza : depuis le 9 octobre 2023

K. M.

Comment (15)

    laptop
    19 mars 2024 - 0 h 04 min

    Merci Mr Mesloub,
    Cet article est très explicite sur la colonisation de la Palestine par les sionistes
    et la création d’Israël en 1947 sur la base du mythe d’un peuple juif
    qui n’a jamais existé en réalité puisque un peuple ne représente pas une religion.
    Une idéologie qui rend impossible une paix durable
    afin de perpétuer l’Ètat d’Israël.

    Ps – Si je me souviens bien la création d’un Ètat palestinien
    devait aussi voir le jour mais ça n’a pas été le cas.

    Salim Samai
    18 mars 2024 - 10 h 25 min

    – L´IRLANDE soutient la LUTTE des Palestiniens car elle, AUSSI, fut COLONISEE!
    – Nasrallah a REMERCIÈ 1 SEULE ZONE du monde: l`Amerique Latine, « 100% » Catholique!

    -Israel USE TOUS les SUBTERFUFGES pour TROMPER ou ACHETER l`Occident: « Royaume Divin », « Terre Promise », « Judeo-Chretiente » & « Je suis votre Fer de Lance vs. l`Islam Conquerant-Menace ».
    En realite l´Islam veut COEXISTER avec tous et juste qu´on CESSE de l`INSULTER & ACCUSER de TOUT!

    Anonyme
    17 mars 2024 - 15 h 50 min

    La différence entre vivre dans un monde civilisé et dans une jungle, c’est le respect du DROIT.

    L’entité sioniste génocidaire est issue d’un acte contraire au droit.
    Son acte de naissance est illégal.

    Contrairement à une idée très répandue, l’ONU n’a jamais validé la création de cette entité en 1947.
    Conformément à sa Charte, l’ONU a exigé un exercice d’autodétermination par referendum.
    L’exercice de referendum que l’ONU a exigé, n’a JAMAIS eu lieu.

    Par conséquent l’entité sionite est une escroquerie, elle n’a d’ailleurs pas de frontière légales
    car pour être un état, au sens juridique, il faut des frontières.

    En DROIT, c’est une chimère, un fantasme, un mirage légal.

    Les mirages ont le don de la disparition.

    Ssipo
    17 mars 2024 - 13 h 47 min

    « Comme l’histoire nous l’enseigne, les Etats coloniaux ont une durée de vie éphémère. Israël ne fait pas exception. »
    Les Amérindiens et les Aborigènes d’Australie, et d’autres peuples encore, confirmeront sans aucun doute cette loi immuable de la nature.
    Moralité. « tout vient à point à qui sait attendre ». Ici bas ou sinon dans l’autre monde. Encore un autre avantage pour les croyants. Machallah.

    la haine talmudique est le ciment de tous les juifs du monde
    17 mars 2024 - 12 h 07 min

    Qu’ont-ils de communs un juif d’Algérie (un Algérien de confession juive) et un juif de Pologne (Polonais juif) ? Rien.
    ils ont en commun la haine talmudique du juif pour le goyim et le désir de le dépouiller et de s’enrichir à ses dépend.

    ni Moise Zemmour, ni Meyer Habib ne sont mes frères
    17 mars 2024 - 12 h 04 min

    « Le juif d’Algérie est plus proche par sa culture, ses traits physiques, sa langue de son frère algérien musulman que du juif ashkénaze polonais.  »
    Le hideux Moise Zemmour dit Eric étant un juif originaire d’Algérie, l’horrible Meyer Habib un juif de Tunisie, tous deux sont donc nos frères et nous ressemblent tant physiquement que moralement. Quelle aberration !

    Abou Stroff
    17 mars 2024 - 8 h 30 min

    « Israël n’est pas habité par un «peuple juif» mais par un magma de colonialistes » titre K. M..

    je pense que la notion de « peuple juif » est une construction idéologique au même titre que les notions de « oumma arabia » ou d' »oumma islamia ».

    en effet, « Les récits mythiques [sur le « peuple juif » ou sur la « oumma arabia » ou sur la « oumma islamia »], souvent élaborés pour imposer une histoire rapiécée et épicée de contrevérités, emplissent les livres d’histoire » et servent, d’abord et avant tout, à justifier une position ou des positions qui ne reposent sur aucune base objective.

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que l’histoire est souvent, pour ne pas dire toujours, écrite par ceux qui détiennent les cordons de la bourse et le reste, tout le reste n’est que prose insipide pour niais confirmés.

    PS: K. B. conclut: « Comme l’histoire nous l’enseigne, les Etats coloniaux ont une durée de vie éphémère. Israël ne fait pas exception. Israël, dernier vestige colonial occidental, formé d’un magma de colonialistes, est voué à disparaître. A plus forte raison depuis qu’il a dévoilé sa véritable essence messianique génocidaire, qu’il commet un crime contre l’humanité à Gaza : depuis le 9 octobre 2023. »
    on peut ajouter que toutes les constructions idéologiques finissent par s’écrouler face à la dynamique de l’histoire. ainsi, les notions d' »oumma arabia » et d' »oumma islamia » ont totalement « fondu » comme neige au soleil depuis le le 9 octobre 2023, puisque le peuple palestinien se retrouve, dans les faits, SEUL, face aux hordes sionistes.

    questions à un doro: que font la « oumma arabia » et la « oumma islamia » face au génocide qui a cours, au moment présent à Ghaza? walou, rien, nothing, nada, etc.

    wa el fahem yefhem

    MoriskoKasbah
    17 mars 2024 - 8 h 14 min

    « Il en est ainsi d’Israël, ce pays voyou qui a commis le pire hold-up de l’Histoire en accaparant la terre de Palestine. Vol (viol) perpétré au nom d’une mythologie talmudique érigée en vérité historique »

    Que ça fait plaisir de voir AP sortir les gros dossiers en ce mois béni.
    J’ajouterai a celà, que tout théologiens, religieux, imam établi en Algérie faisant propagande d’une fin des temps pour justifier ces écrits du talmud mixés avec des sois disant écrits biblique doivent être condamnés et emprisonné dans une prison où les conditions de vie sont insupportables.

    Pour terminer, tous les prophètes choisi par Dieu de Abraham en passant par Jésus AS étaient Musulmans (soumis a Allah)
    Ils pratiquaient une Religion qui autrefois était nommée le « Shlam » ou « Slam » d’où Shalom, BeSlama puis devenue Islam.
    En effet le principe de Foi Musulmane est très ancien alors que le Coran est lui récent et il est venu compléter affirmer ce principe de foi.

    Brahms
    17 mars 2024 - 5 h 38 min

    C’est logique quand vous voyez la superficie d’Israël, plus petit que la Seine et Marne en France

    Actuellement, ils préparent un autre refuge, à savoir : L’UKRAINE

    Nos factures d’électricité, de gaz, d’essence, de nourriture vont tripler à cause de ces juifs qui n’apportent que troubles, manipulations et problèmes à répétition (sémites).

    Anonyme
    16 mars 2024 - 22 h 35 min

    Bien dit.

    Lyès
    16 mars 2024 - 22 h 15 min

    D’accord avec Khider Mesloub pour les khazars, par contre les séfarades ne sont pas berbères. Ils ont été contraints de quitter l’Espagne et le Portugal au cours du XVème suite aux persécutions qu’ils subissaient.
    Le mouvement de ces populations dites séfarades s’est faite de la péninsule ibérique vers les pays du Maghreb et non l’inverse.
    Il suffit de voir, par exemple, le morphotype typique d’un éric zemmour pour comprendre qu’il n’a rien de berbère.

    Wel
    16 mars 2024 - 22 h 08 min

    Magistral, très inspiré.

    Luca
    16 mars 2024 - 21 h 56 min

    Quels juifs ? Juif pour dieu cela veut dire , le bien pour le bien … le seul vrai juif est moise le bien aimé, et aujourd’hui le peuple palestinien, mais ils sont, les sionistes européens pedo entrain de les assiéger

    Anonyme
    16 mars 2024 - 20 h 54 min

    Si seulement les algériens comprennent une fois pour toutes qu’il n’existe pas de peuple arabe, ce serait une délivrance de la traîtrise de la bassesse de la vilainie

      Luca
      17 mars 2024 - 12 h 23 min

      Si cela existe, et c’est le seul peuple ce véritable, le peuple arabe du monde et de dieu . Les autres n’existe pas pour dieu

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