Le général aux dents de lait préside les sorties de promotions de baisemain

Maroc
Le général marocain aux dents de lait Hassan III. D. R.

Par Karim B. – Le «général» Hassan, pas l’Algérien, le vrai, qui a pris les commandes de la DGSI en remplacement d’un autre grand général, mais le Marocain, le fils du roi, a présidé une cérémonie de sortie d’une nouvelle promotion formée au baisemain dans une école militaire spécialisée en la matière. Le protocole, tout ridicule et humiliant qu’il soit, a pourtant été filmé sans gêne sous tous les angles par les médias officiels du Makhzen, montrant des «généraux» qui courbent honteusement l’échine pour baiser le dos de la main d’un gamin promu au grade le plus élevé de l’armée marocaine par legs testamentaire, sans aucune formation théorique, ni entraînement sur le terrain.

Comble du ridicule, des pays étrangers, notamment les Etats-Unis et la France, se prêtent à ce jeu stupide, en faisant jouer à deux de leurs militaires le rôle d’élèves de cette école de Kenitra, dont ils vantent les mérites au micro des outils de propagande du gouvernement général de France à Rabat, André Azoulay, et de son pantin Mohammed VI.

Les commentaires vont bon train depuis la diffusion de cette mascarade. Les internautes s’en donnent à cœur joie, riant de ces culbutes gymniques pathétiques d’officiers marocains se pliant vilement, donnant ainsi l’exemple d’une armée indigne, en plus d’être incapable. Le dernier exercice militaire conjoint, commandé par les Etats-Unis, African Lion, auquel l’ANP a tout naturellement refusé de prendre part, a confirmé le rôle tout à fait secondaire que les puissances occidentales accordent à ce corps dédié pleinement à la sauvegarde du trône, pour le compte de la France notamment, qui s’en sert pour piller les richesses des peuples marocain, sahraoui et rifain.

La mission confiée aux troupes de Mohammed VI lors de cette manœuvre internationale équivalait à son rang. En effet, les troufions marocains étaient cantonnés au rôle d’infirmerie de campagne, pendant que les vrais soldats s’entraînaient sur le champ de bataille. Et, pour enfoncer le clou, le patron de l’Africom, le général américain Michael Langley, a déclaré, dès après la clôture de l’édition de 2025, que les Etats-Unis avaient changé leur doctrine, estimant que les armées des pays ayant pris part à l’African Lion ne devaient désormais compter que sur leurs propres capacités de défense.

Le monarque peut donc s’appuyer en toute confiance sur le général aux dents de lait Hassan III pour diriger son armée de pacotille en cas de reprise sérieuse des hostilités avec les vaillants combattants sahraouis qui, pour le moment, se contentent de quelques escarmouches, histoire de s’échauffer et de tuer l’ennui.

K. B.

Comment (11)

    BentElHadjHadja
    7 juin 2025 - 20 h 47 min

    Nous assistons à une Horde de complot venant de ce Royaume désenchanté ou l asservissement, la Malhonnêteté, les mensonges sont à notre époque malheureusement valorisés , celles et ceux qui combattent pour la Vérité sont réduits à l État de Menteurs ou de Parias. nous voyons à Gaza ou le Génocide est appuyé , soutenu de la part de ce Royaume du Deshonneur , la Traitrise est ainsi déclarée contre le Message de notre Prophète Sallah Alayhi wa Salam, contre les Opprimés. les soutiens de ce Royaume du Deshonneur sont nombreux mais l Armée d Allah est bien plus Puissante

    Achour Bachir
    7 juin 2025 - 20 h 00 min

    Le rôle politique d’un jeune prince encore adolescent : entre symbolisme, légitimité et réalité diplomatique
    1. Un rôle hautement symbolique, mais faiblement substantiel
    La présence du prince héritier Moulay El Hassan dans des événements internationaux ou des rencontres diplomatiques est, à ce jour, principalement protocolaire. Elle vise à : Incarner la continuité dynastique, Rassurer les partenaires étrangers sur la stabilité du royaume juif, Donner l’image d’un pouvoir maîtrisé et bien transmis.
    Mais ce rôle reste dénué d’autonomie décisionnelle : il ne parle pas en son nom propre, ne prend pas position sur les enjeux géopolitiques, et n’exerce aucune autorité institutionnelle. Il agit comme représentant sans mandat ni responsabilité réelle.
    2. Une formation diplomatique précoce, mais sans confrontation au réel
    Certes, le prince bénéficie d’un encadrement rigoureux : multilinguisme, déjà « couronné » à 22 ans d’un diplôme en relations internationales, immersion dans les grandes écoles de gouvernance. Mais cette formation demeure théorique, très éloignée des épreuves concrètes du pouvoir : Il n’a jamais dirigé de délégation ou négocié un traité, Il n’a pas été confronté à la contradiction publique, à l’épreuve médiatique, ni au dialogue politique avec des représentants élus.
    Or, la diplomatie ne se limite pas au décorum : elle repose sur la connaissance des rapports de force, la compréhension fine des enjeux géostratégiques, et la capacité à défendre une position dans l’arène internationale, ce que seule l’expérience peut forger.
    3. Une jeunesse sous contrôle, incompatible avec l’indépendance d’analyse
    Né et élevé au cœur du pouvoir absolu, dans une monarchie où la parole royale est sacralisée, le prince héritier ne bénéficie pas des conditions nécessaires pour forger un esprit critique autonome : Il ne connaît pas la confrontation aux opinions divergentes, Il évolue dans un cercle fermé, ultra-protégé, où la loyauté prime sur le débat, Sa vie publique est orchestrée par un appareil monarchique qui filtre ses apparitions, ses lectures, ses contacts.
    Or, un acteur politique crédible doit pouvoir comprendre les tensions sociales, les colères populaires, les critiques ouvertes – ce à quoi un prince de 22 ans à peine, scolarisé hors du système public et élevé dans une sphère de privilèges, n’a jamais été exposé.
    4. Une légitimité héritée, non démocratique
    Enfin, la plus grande limite tient à la nature même de la monarchie héréditaire. En démocratie, le rôle politique est conquis par le suffrage, l’engagement citoyen, et la reconnaissance populaire. À l’inverse, dans le royaume juif : La légitimité est transmise par le sang, non par le mérite, Les institutions ne contrôlent pas la fonction du prince héritier, La population n’a aucun droit de regard sur sa préparation ni sur sa succession.
    Cela soulève une question démocratique de fond : comment justifier l’implication diplomatique d’un jeune homme dont la seule qualité politique est d’être « fils de roi » ?
    La présence du prince héritier sur la scène politique et diplomatique du royaume juif est stratégique, mais essentiellement cosmétique. Elle vise à légitimer la continuité dynastique, non à traduire une réelle compétence ou autorité. Si l’on peut reconnaître l’effort de formation, l’encadrement soigné et la mise en scène d’un futur monarque, cela ne saurait masquer les lacunes en maturité politique, en expérience de terrain et en légitimité démocratique.
    Pour les lecteurs d’AP, voici ci-dessous une comparaison détaillée et argumentée entre le prince héritier du royaume juif, Moulay El Hassan (futur Hassan III), né en 2003, et la princesse héritière d’Espagne, Leonor de Borbón y Ortiz, née en 2005, en mettant en lumière les écarts de préparation, de formation, et de légitimité publique.

    Deux héritiers, deux trajectoires : la rigueur espagnole face au protocole du royaume juif
    1. Formation militaire : une différence fondamentale
    Leonor de Borbón a entamé en 2023 un parcours militaire rigoureux de trois ans, comme le veut la tradition espagnole pour les futurs souverains ; 1 an dans l’armée de terre, avec entraînement physique, commandement tactique et discipline de terrain, 1 an dans l’armée de l’air, incluant formation aéronautique et participation à des opérations simulées, 1 an dans la marine royale, avec embarquement, navigation, et vie militaire intégrée.
    Cette formation a pour but de préparer une cheffe des armées, crédible, légitime et familière des réalités de la défense nationale. En outre, elle vit en internat militaire, sous commandement direct, sans traitement de faveur, gagnant le respect de ses pairs.
    D’autre part, Moulay El Hassan n’a reçu aucune formation militaire connue à ce jour. Il a été vu lors de cérémonies militaires en tant que spectateur ou figure protocolaire. Il ne suit pas de cursus officiel dans les écoles d’officiers ni dans les institutions de défense du royaume juif. Sa préparation reste strictement académique et symbolique, sans exposition concrète au commandement ou aux forces armées.
    Là où Leonor apprend à commander et à servir, Hassan III est simplement préparé à représenter.
    2. Formation civique et académique : ouverture vs isolement
    Leonor a étudié au UWC Atlantic College (United World College of the Atlantic) au Royaume-Uni, fondé en 1962 à in South Wales, un établissement international axé sur les valeurs humanistes, la citoyenneté globale et la rigueur intellectuelle. Elle a fréquenté des jeunes du monde entier, dans un cadre de vie simple, loin du luxe royal. Elle maîtrise plusieurs langues, dont l’espagnol, l’anglais, et a étudié les droits fondamentaux, les institutions européennes et la diplomatie. Elle est soumise à l’évaluation, à la contradiction, à la diversité des opinions – autant de piliers d’une éducation démocratique.
    De l’autre côté, Hassan III a été scolarisé au Collège Royal de Rabat, établissement réservé à la famille royale. Il a reçu une formation encadrée, mais fermée sur l’extérieur, sans contact réel avec la jeunesse marocaine ordinaire. Il a étudié à l’Université Mohammed VI Polytechnique en relations internationales, mais son parcours demeure sans visibilité indépendante, sans évaluation extérieure, ni interaction connue avec des institutions internationales. Comme il a été précisé dans l’un des paragraphes précédents, Hassan III a été « couronné » d’un diplôme de Master en relations internationales à peine âgé de 22 ans.
    En définitive, Leonor est formée à vivre avec et pour les autres ; Hassan III est préparé à régner sur eux.
    3. Rapport au public : légitimité populaire et transparence
    Leonor fait l’objet d’un véritable débat démocratique en Espagne : les médias suivent ses progrès, les citoyens la jugent, la critiquent ou la soutiennent. Sa formation militaire est financée par l’État, donc soumise à un devoir de transparence. Elle est appelée à prononcer des discours, à justifier ses positions, à être visible sans être intouchable.
    De l’autre côté, Hassan III apparaît dans des cérémonies strictement encadrées, sans discours, sans interaction publique, sans conférence ou prise de parole autonome. Il bénéficie d’une mise en scène monarchique, où le jeune prince est au centre de rituels de loyauté mais jamais confronté à la critique. Sa formation reste opaque : pas de dossier public, pas de débat sur ses aptitudes ou ses choix éducatifs.
    En définitive, Leonor construit sa légitimité devant son peuple ; Hassan III hérite d’une loyauté imposée.
    4. La monarchie moderne vs le pouvoir absolu
    L’Espagne est une monarchie constitutionnelle parlementaire. La princesse héritière n’aura aucun pouvoir exécutif, elle est avant tout garante de l’unité nationale et de la stabilité démocratique. La formation vise donc à faire d’elle une souveraine symbolique, responsable et disciplinée.
    De l’autre côté, le royaume juif est une monarchie exécutive où le roi détient les pleins pouvoirs religieux, militaires, judiciaires et législatifs. Le prince héritier est donc préparé à régner réellement, sans contrôle parlementaire fort. Et pourtant, la formation actuelle de Moulay El Hassan ne reflète ni l’ampleur des fonctions qu’il devra assumer, ni la rigueur nécessaire à leur exercice.
    En définitive, Leonor est formée pour représenter ; Hassan III pour gouverner — mais sans le niveau de préparation requis.
    En guise de synthèse pour les lecteurs d’AP
    Alors que les monarchies d’Europe réinventent leur rôle dans des sociétés modernes et démocratiques, la comparaison entre la princesse Leonor d’Espagne et le prince héritier du royaume juif, Moulay El Hassan – destiné à devenir Hassan III – révèle deux conceptions diamétralement opposées de la préparation au pouvoir. L’une incarne l’exigence et la responsabilité publique ; l’autre, une mise en scène fermée où la transmission dynastique prime sur le mérite.
    Leonor de Borbón, future reine d’Espagne, a entamé une formation militaire de trois ans : un an dans l’armée de terre, un an dans l’aviation, un an dans la marine. Cette immersion rigoureuse, où elle est traitée comme n’importe quel cadet, la prépare à incarner, symboliquement, la cheffe des armées. C’est un acte de cohérence et de responsabilité, qui ancre sa future fonction dans l’expérience du terrain. En comparaison, bien qu’il arbore régulièrement l’uniforme militaire dans une mise en scène destinée à flatter l’opinion, à projeter une image d’autorité, et surtout destinée à faire peur à ses chats, le prince héritier du Maroc n’a, à ce jour, bénéficié d’aucune formation militaire à relever ni d’initiation connue aux réalités du commandement. Sa présence lors de cérémonies militaires reste strictement protocolaire. Or, le futur roi du royaume juif, à la tête d’une monarchie où le souverain cumule les pouvoirs exécutif, religieux et militaire, devrait bénéficier d’une formation infiniment plus exigeante. L’écart est saisissant.
    Leonor a fréquenté le très cosmopolite UWC Atlantic College, où elle a appris à vivre simplement, à débattre, à se confronter à la diversité du monde. Son parcours est public, soumis à l’examen des citoyens et à l’épreuve de la méritocratie. Elle s’y construit comme future souveraine d’une démocratie européenne. Moulay El Hassan, de son côté, a été formé au Collège royal de Rabat, un environnement exclusif, à l’abri de toute mixité sociale ou confrontation critique. Il poursuit ses études à l’Université Mohammed VI Polytechnique, sans interaction publique véritable, ni parcours international connu. Une formation où la reproduction du pouvoir semble l’emporter sur l’éveil citoyen.
    Leonor n’aura aucun pouvoir exécutif. Elle n’est que l’emblème de l’unité nationale. Mais pour l’être, elle doit mériter la reconnaissance populaire. Elle s’expose à la critique, aux médias, au jugement public. Son autorité future repose sur la confiance et la transparence. Hassan III, lui, héritera d’un pouvoir réel, absolu, concentrant dans sa personne les leviers religieux, judiciaires et sécuritaires du royaume juif. Et pourtant, il ne rend de comptes ni au peuple, ni au Parlement, ni à une opposition. Son image est soigneusement contrôlée ; sa parole, aussi rare que brève, quasiment absente.
    Leonor est formée à servir ; Hassan III à incarner. L’une se construit dans la responsabilité, l’autre dans la reproduction. L’une gagne son autorité ; l’autre la reçoit. Et cette différence n’est pas qu’académique : elle traduit deux visions du pouvoir. L’une, moderne, limitée, citoyenne ; l’autre, héréditaire, opaque et absolue.
    Le royaume juif ne pourra durablement prétendre à la modernité politique s’il continue à préparer ses futurs rois comme on forge des symboles intouchables. L’exemple espagnol rappelle que la monarchie, si elle veut survivre, doit s’ajuster aux exigences de son temps : rigueur, exemplarité, transparence, et surtout, mérite.

    Ankaoui Rennakeddine
    7 juin 2025 - 17 h 18 min

    Quand on fait croire au peuple qu’il appartient à une famille descendante du prophète ( sans aucune preuve ), quand on analphabétise un peuple afin qu’il devient sans aucune capacité de quêter la vérité, quand 48% ( le taux suit une courbe ascendante) de cette plèbe est psychologiquement malade et plus de 95% sont atteint de la maladie Algérianite avec une algérophobie extrême, quand on formate les cerveaux par programmation mentale, tout en le réduisant à accepter toutes les méthodes réductrices à son encontre, il est évident qu’on aura entre les mains un peuple baiseur de mains et d’orteils aussi nauséabondes soient-ils. L’obsolescence de l’homme quand tu nous tiens!

    Toc-toc
    7 juin 2025 - 15 h 33 min

    Il a acheté sa panoplie pour se déguiser a l’occasion de la fête, le pauvre ne réalise pas que le bac à sable lieu ludique ne donne aucune qualification pour porter des étoiles où être porté aux nues.

    Moskos dz
    7 juin 2025 - 14 h 50 min

    Dans un royaume où l’idolâtrie perdure,rien d’étonnant à ce que des hommes de 70 ans et plus se rabaissent devant le rejeton d’un pervers autoproclamé commandeur des croyants.

    Chelieth
    7 juin 2025 - 14 h 46 min

    “ se contentant de quelques escarmouches histoire de s’échauffer et de tuer l’ennui.” Si c’est le cas on a le droit de se demander pourquoi? Leur laisser le temps de s’organiser leur rendant ainsi la tâche de plus en plus difficile quand ils se décideront de finalement passer aux choses plus sérieuses. On n’aurait pu choisir une phrase plus (et je m’arrête là) pour conclure un article. Il faut dire la vérité. Ce Polisario est devenu mou au point où on le droit de se demander s’il est vraiment capable de libérer son territoire. Nous les algériens on veut que cet état de fait qui n’ duré que trop longtemps finisse. Enough already! S’ils n’ont pas l’intention de le faire qu’ils signent une partie de leur territoire jusqu’à l’atlantique à l’Algérie et qu’on en finisse. Enough is enough.

    Sprinkler
    7 juin 2025 - 13 h 09 min

    Voilà un « rite » (le Baise-main ») que le royaume du CANNABISTAN se doit de préserver aux fins de le transmettre aux « dignes » générations futures…Son inscription auprès de l’UNESCO, en tant que « patrimoine » exclusivement marocain, s’impose ! Quant à ce « général en herbe », qui a gagné ses galons de « hautes luttes » de palais, il doit déjà rêver à la « reconquête du « Sahara Oriental » qui lui vaudra le « bâton » du Maréchal (Lyautey…) !

    BabElOuedAchouhadas
    7 juin 2025 - 12 h 28 min

    MA CONFESSION RAMADANESQUE 2025 :
    J’ai passé le meilleur mois de Ramadhan 2025 grâce aux anciennes et nombreuses vidéos montrant les Ministres et Généraux du Makhzen se courber l’échine de 270° pour faire ce fameux « Baise-Main » à ce Moulay Hassan quand il avait à peine 14 ans.
    Wallah un vrai régal pour les yeux à s’éclater la rate de rire.
    Et dire que ces Ministres et Généraux ont le courage de regarder dans les yeux leurs épouses et leurs enfants une fois de retour à la maison.

    Klam231
    7 juin 2025 - 12 h 20 min

    Cette zriba esclavagiste nous étonnera toujours…

    BabElOuedAchouhadas
    7 juin 2025 - 12 h 16 min

    Le titre de cet article résume parfaitement la situation burlesque qui prévaut dans la Zriba Allaouite et que les Ayachas n’osent pas dénoncer par peur et LACHETÉ.

    Fodil Dz
    7 juin 2025 - 11 h 50 min

    Moi, ce que je n’arrive pas à comprendre c’est l’esquive. Un réflexe qui laisse perplexe.

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