Addiction à l’idolâtrie
Par Karim B. – Tebboune a beau demander que sa personne ne soit pas idolâtrée mais les médias inféodés au pouvoir qui se sont adonnés à cet exercice trop longtemps ne peuvent s’en défaire.
Par Karim B. – Tebboune a beau demander que sa personne ne soit pas idolâtrée mais les médias inféodés au pouvoir qui se sont adonnés à cet exercice trop longtemps ne peuvent s’en défaire.
Par Mrizek Sahraoui – Le temps a fait son œuvre, mettant aux prises un mariage conclu pour un idéal commun avec un repli et des particularismes dont les Européens n’arrivent pas à se défaire.
Par Mounir Serraï – La révision de la Loi fondamentale répondra-t-elle aux attentes des Algériens qui aspirent à l’avènement d’un véritable Etat de droit, démocratique ? Le pari semble difficile pour Tebboune.
Par Mounir Serraï – Abdelhak Benhamouda avait laissé son empreinte indélébile au sein de la Centrale syndicale. Il était connu pour son engagement en faveur des travailleurs et de la nation.
Par Youcef Benzatat – Tebboune qui fait la promotion, en vantant les bienfaits du gaz de schiste, sait pourtant que l’Algérie ne ramassera dans cette affaire que le foin qui enveloppe la graine convoitée.
Par Abdelkader S. – Les encenseurs de l’arabité renfermée ont exulté en écoutant le ministre Sabri Boukadoum s’exprimer en arabe devant son homologue français. Est-ce là l’essentiel ?
Par Abdelkader S. – Le boulanger de Londres Larbi Zitout et l’ancien chouchou du colonel Fawzi, Hichem Aboud, sont mandatés par leurs maquereaux pour faire barrage à toute solution à la crise.
Par Abdelkader S. – Si le travail herculéen qui attend Tebboune est monumental, l’aboutissement à des résultats concrets relève de l’impossible tant qu’il n’aura pas nettoyé les écuries d’Augias.
Par M. Aït Amara – Le pays a besoin de retrouver sa stabilité pour faire face à ce qui l’attend. Et ce qui l’attend n’est pas une mince affaire. Il est grand temps de mettre nos rivalités de côté.
Par Mohamed K. – Les nostalgiques du FIS installés en France ont débattu du Hirak sous la bienveillante houlette de François Gèze, encore affligé, le pauvre, par l’arrêt du processus électoral en 1992.