Pourquoi la violence ?
Par Abdelkader S. – Comment expliquer la répression de ce vendredi alors que tout le monde croyait que la violence avait été enterrée en même temps que le pugnace ancien chef d’état-major ?
Par Abdelkader S. – Comment expliquer la répression de ce vendredi alors que tout le monde croyait que la violence avait été enterrée en même temps que le pugnace ancien chef d’état-major ?
Par Abdelkader S. – Flashs, titres pompeux, commentaires déclamatoires. Les médias à la solde du pouvoir ont découvert par enchantement, ce jeudi, qu’il y avait des détenus politiques à El-Harrach.
Par Mounir Serraï – 2020 est une année charnière pour l’avenir du pays et capitale pour les nouveaux dirigeants qui seront face à leurs promesses qu’ils doivent tenir et aux défis qu’ils doivent relever.
En juin 2018, nous publiions cet éditorial sur la gestion calamiteuse de Houda-Imane Feraoun. Dix-huit mois plus tard, cette incompétente a réussi à classer l’Algérie à l’avant-dernière place mondiale.
Par Kamel M. – Le nouveau chef de l’Etat, arrivé à la fonction suprême suite au coup de force opéré par Gaïd-Salah, se voit porter l’écrasante responsabilité de gérer un dossier international très lourd.
Par Abdelkader S. – L’histoire retiendra que Gaïd-Salah a laissé une dernière volonté avant de mourir : continuer de réprimer le peuple et de «mater les résidus de groupuscules criminels».
Par Abdelkader S. – A-t-on déjà oublié les détenus d’opinion grévistes de la faim qui ont bravé les menaces du dictateur Gaïd-Salah et de sa justice du téléphone jusqu’à risquer leur vie ?
Par Abdelkader S. – Tebboune sait que notre dépendance vis-à-vis de l’étranger est telle qu’il ne pourra pas se permettre de fâcher le principal partenaire. Macron, lui, n’a d’autre choix que de composer.
Par Mounir Serraï – Au-delà de son éloquence, le candidat malheureux Ali Benflis a fait preuve d’une naïveté politique affligeante pour quelqu’un qui a roulé sa bosse dans les arcanes du pouvoir.
Par Abdelkader S. – Les briques que les Algériens ont portées en Kabylie sont le symbole contraire des murs que les régimes ont érigés pour empêcher les peuples de jouir de leur liberté.