Le Front El-Moustakbal réclame le 1er jour de l’an amazigh comme fête nationale

En 2016, le 1er jour du l’an berbère a été célébré avant l’adoption de la nouvelle Constitution
Abdelaziz Bélaïd. New Press

Par Hani Abdi – Après avoir arraché plusieurs APC en Kabylie, le parti d’Abdelaziz Belaïd, le Front El-Moustakbal, marque de nouveaux points en réclamant que le 1er jour de l’an amazigh – qui coïncide avec le 12 janvier de chaque année – soit consacré comme fête nationale. Une revendication jusque-là portée par les partis traditionnellement bien implantés en Kabylie, à savoir le FFS et le RCD.

C’est par le biais de son député de Béjaïa, Khaled Tazaghart, que le Front El-Moustakbal formule cette demande. «Il est temps pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, d’opérer les révisions déchirantes capables de rendre confiance et de réconcilier les populations avec leurs institutions et la nation avec l’Etat. Il est temps pour la promulgation d’un décret présidentiel consacrant le premier jour de l’an amazigh, ‘‘amenzu n yennayer’’, comme journée fériée et une fête nationale à célébrer au même titre que toutes les autres fêtes nationales et officielles», a-t-il demandé sur sa page Facebook.

Ce député, qui s’est distingué par ses interventions en langue amazighe à l’Assemblée populaire nationale (APN), multiplie ces dernières semaines les appels à la promotion de l’amazighité, en demandant aux hautes autorités de mettre en œuvre une véritable politique d’officialisation de cette langue.

Il est à rappeler que le FFS comme le RCD ont appelé maintes fois le président de la République à décréter le 1er jour de l’an amazigh comme fête nationale et officielle. Une demande formulée également par de nombreuses associations et syndicats sans qu’elle soit satisfaite. Cette année encore, ceux qui réclament la reconnaissance officielle du 1er jour de l’an amazigh ne perdent pas espoir d’avoir gain de cause en renouvelant leur demande, maintenant que tamazight est officielle.

Il est vrai qu’en 2016, le 1er jour du l’an berbère a été célébré avant l’adoption de la nouvelle Constitution. Une adoption qui a eu lieu en mars 2016. Cette année, avec le statut officiel de tamazight, il est possible que le président de la République fasse un geste dans le sens de la reconnaissance du 1er jour de l’an amazigh en le consacrant fête nationale. Le 1er jour de l’an amazigh, faut-il le souligner, est célébré chaque année dans toutes les régions du pays.

H. A.

Comment (26)

    Abdelrahmane
    20 décembre 2017 - 23 h 31 min

    @ Droit de réponse à anonyme, 16/12/2017, 14:08.
    Dans ton laïus qui m’était adressé, tu rapportes présomptueusement certains faits sur un certain sujet, mais tu escamotes et fais délibérément l’impasse, comme toujours chez vous autres berberistes, sur certains autres faits et vérités qui sont:
    – Les arabes quand ils sont venus en Afrique du nord, ils l’ont libéré ainsi que ses populations de l’occupation byzantine. il y avait comme populations les berberes qui étaient majoritaires et vivaient essentiellement en tribus dans les campagnes, les montagnes et les zones steppiques et désertiques sud, alors que les villes du nord surtout étaient habitées par les puniques (et des berberes acculturés), les résidus de romains latinisés (et des berberes romanisés et latinisés) ainsi que les rescapés byzantins hellénisés. Avant l’arrivée des arabes, les langues véhiculaires courantes et prépondérantes étaient le punique, le latin et le grec, tandis que les dialectes et parlers berbères nombreux et divers étaient confinés dans et parmi les tribus. N’oublie pas que déjà dans les temps de la numidie et le règne de massinissa et depuis déjà des siècles la langue punique, dérivée du phénicien était la langue véhiculaire de toutes les régions et la langue officielle durant le règne de massinissa et ses successeurs. même pendant l’occupation romaine et byzantine. le punique était pratiqué parmi les populations puniques des villes. cette langue, le punique n’a disparu qu’avec l’arrivée des arabes et au contact avec la langue arabe (qui l’a absorbé). Les arabes n’ont pas pu conquérir et islamiser rapidement toutes les vastes contrées, ils ont concentré leur effort et actions sur les villes et régions accessibles et sur les bords des routes et voies de communications du nord. ne pouvant conquérir rapidement toutes les vastes régions, ils sont passés à la conquête de l’espagne en laissant de vastes territoires non encore conquis et non islamisés dont les populations vivaient surtout dans les montagnes et régions isolées dans la semi-primitivité. Dans les régions conquises, surtout les villes et leurs alentours, les premiers islamisés étaient les citadins puniques, les citadins romanisés et latinisés et d’autres citadins rescapés byzantins et hellénisés. il y avait aussi des familles et bénévoles arabes venus avec les conquérants pour enseigner la nouvelle religion et officier les rites et cérémonies religieuses. En quelques décennies, au contact des arabes (miliciens, soldats, ulémas, imams et bénévoles) et de la langue arabe, les habitants des villes, les puniques, romains et byzantins se sont arabisés et ont constitué (avec les nouveaux arrivants bénévoles arabes) les premiers noyaux d’arabes et acculturés arabophones. ce qui veut dire que déjà, longtemps (4 siècles et demi) avant la venue des tribus beni-hillel, il y avait des arabes et arabophones, même minoritaires en Afrique du nord. Le mérite des arabes en Afrique du nord après la conquête et l’islamisation, entre autres, est d’avoir proscrit et fait disparaitre des pratiques, habitudes, croyances et rites sauvages, cruels, inhumains, sanglants qui étaient très fréquents dans les croyances païennes des populations autochtones. Les arabes ont aussi mis fin aux guerres fratricides et sanglantes très fréquentes entre les tribus rivales. les arabes ont unifié les tribus grâce à la morale et les principes unificateurs de l’islam. ils ont enrichi et apporté énormément aux divers dialectes berberes parlés par les population autochtones. voilà entre autres nombreux mérites et apports positifs de la conquête arabe en Afrique du nord que vous berberistes escamotez délibérément.

    ALI
    16 décembre 2017 - 16 h 37 min

    « Ce député, qui s’est distingué par ses interventions en langue amazighe à l’Assemblée populaire nationale (APN) »amazighe ou
    kabyle?.Bonjour l’ambiance dans cette future tour de Babel(APN).
    Regarder vers le passé est le lot des peuples qui n’ont pas d’avenir!!
    Est ce qu’ un américain et un français se pose la question de d’où ils viennent? Pour eux, ils américains ou français,point barre!
    Alors soyons algériens tout court, et regardant, plutôt vers l’avenir ,car la Terre est devenue un village ,et surtout nous somme seuls (lhumanité) dans l’immensité de l’univers!!!

    Anonyme
    16 décembre 2017 - 14 h 08 min

    @ Abdelrahmane 15 décembre 2017 – 16 h 49 min
    Repartir encore une fois sur les traces de l’histoire , vous fera énormément de bien:
    Entre le début du Ier siècle et l’année 647, date de la première incursion arabe, les Berbères virent passer les Romains, les Vandales, les Byzantins, puis les arabo-musulmans. Contre ces derniers, l’âme de la résistance fut Kusayla (Qusayla), chef de la tribu Awréba des Aurès. En 683, il intercepta et tua le chef arabe Uqba ben Nafi el Firhy (une ville, Sidi Oqba, fut fondée près du lieu de sa mort), puis il prit Kairouan.
    En 687, Kusayla perdit la vie lors de la bataille de Mems (Sbiba), à proximité de Kairouan et son armée fut disloquée. La résistance berbère s’effilocha puis, une femme prit le commandement des derniers groupes de combattants. Connue dans l’histoire sous le nom de l’Kahina ou la Kahena (la sorcière) que lui donnèrent les Arabes, elle appartenait elle aussi à une tribu des Aurès, les Jarawa. En 695, elle fut victorieuse dans la région de Tabarqua, puis, en 698 (ou en 702), elle fut vaincue dans la région de Gabès. La légende rapporte qu’elle aurait alors demandé à ses deux fils, Ifran et Yezdia, de se convertir à l’Islam afin de sauver sa lignée. Elle prit ensuite le maquis avant de trouver la mort à proximité d’un puits qui porte encore son nom, Bir Kahina, à environ 50 km au nord de Tobna. Les Arabes la décapitèrent et firent porter sa tête au calife.
    Cette défaite ne déboucha pas sur l’arabisation des Berbères, mais simplement sur leur islamisation, tout le Maghreb demeurant ethniquement berbère jusqu’aux XII-XIIIe siècles, époque des migrations des tribus arabes Beni Hillal.
    Comme disent les Japonnais, on dormira moins bêtes.

    NOn a' l' Etat arabe
    15 décembre 2017 - 18 h 49 min

    Ou c’ est l’ arabe langue et Etat, oubien c’ est l’ informe arabislamisme! La dictature n’ a jamais fait une identite’! Sauf quand cela sert a’ le coloniser

    Anonyme
    15 décembre 2017 - 14 h 08 min

    Tangoweb54
    15 décembre 2017 – 11 h 28 min

    Bien vu Tanoweb , nous aussi arabes fêtons depuis des lustres cette fête appelée chez nous « ras el am »
    Ces séparatistes veulent duper encore quelques naïfs

    tangoweb54
    15 décembre 2017 - 11 h 28 min

    Nous en tant qu ‘Algériens nous avons toujours fêté le nnayer tant qu ‘il était la fête de l’ensemble du peuple Algérien et qui donné de la joie aux enfants avec les fameux djreez, mais maintenant que fête a été accaparé par les Kabyles en disant que c ‘etait leur fête uniquement tout comme le fameux « drapeau » fabriqué dans les laboratoires Français, alors l’ensemble des 90 % ont cessé définitivement de fêter ce Annayer, qui n’a plus aucun sens pour nous Algérien et tout ce qui rentre dans le séparatisme.

      gargotier
      15 décembre 2017 - 16 h 47 min

      De toutes facons ils veulent tout s’approprier ceux la. Meme Massinisa, Juba et consort qui, en passant, ne sont absolument pas originaires de Kabylie mais du grand Est (Constantine, Khenchela, Annaba…) ils les revendiquent comme etant Kabyle, va comprendre.

      Comme tu le dis si bien on a toujours feté ca dans la joie et la bonne humeur sans etres berberes et la ils veulent se l’approprier, comme le reste d’ailleurs. …

      AÏT Chaalal
      15 décembre 2017 - 17 h 09 min

      Les authentiques Algériens ( les Berbères, pas les pseudo arabes ) ont le droit de célébrés le Calendrier berbère et même faire de Yennayer une journée férié partagée dans la joie et la bonne humeur et de vivre-ensemble .Ceux qui veulent ou qui s’engagent à bannir la moindre trace de notre culture ancestrale  » ILS FINIRONT TOUS DANS LA POUBELLE DE L’HISTOIRE « ..TAhya Al Djazaïr Amazighia et non Aarabia

        Zoro
        15 décembre 2017 - 20 h 31 min

        J avais 10 ans quand je courrais dans les rues de notre ville pour crier aux francais TAHIA EL DJAZAIR ARABIA,ils la voulaient Française ,nous la voulions ARABE ET MUSULMANE,el hamdou lilah nous eu le dernier mot :l’Algérie demeurera arabe et musulmane jusqu’à la fin des temps.Signé ZORO. …Z…

      MELLO
      15 décembre 2017 - 18 h 24 min

      Hors jeu, je vous siffle. Au lieu de nous cristalliser autour de ce qui nous unit, vous faites tout pour nous désunir. L’essentiel est d’avoir un fond identitaire commun qu’il faudrait développer. YENNAYER reste une fête Algérien qui vient du fin fond de l’histoire. A nous tous de la sauvegarder et la développer.

    Anti Heffafin
    14 décembre 2017 - 20 h 52 min

    Je dits à Anti Khafafich que ce que tu racontes est une pure invention. Tout le monde c’est soudainement mis à faire de l’histoire et le comble tout est faux. En hiver, vers la fin de décembre nos parents parlaient de Ras El Aam (tête de l’année) et les gents pas tous -pauvreté y oblige à 98% de la population indigène- faisait un repas  » le msemen avec du poulet  » un point à la ligne, les gents qui ne pouvaient rien faire se faisaient invité par le noble du cartier. Ni sidi Yennayer ni sidi zekri. Rien de tout cela n’est vrai.
    Arrêtez vos bêtises! Tout le monde veut fausser l’histoire d’un pays par pur jalousie ou par ignorance et il y a des idiots qui croient que ça y est on a gagné. Détrompez vous il y a la grande partie silencieuse qui observe et le moment venu elle se fera entendre. L’ALGÉRIE est aux Algériens majoritairement arabe et musulmane à 100% avec une bonne partie amazigh, tergui, mozabite, chaoui etc. un point à la ligne. Je dis bien personne mais personne ne peut prouver d’où il vient au juste surtout avec toutes les mutations humaines constantes depuis que le monde est monde. Toutes ces histoires de yennayer qui date de 2967 ans (mais où est la preuve tangible? pas du tout !). Donc arrêtez ces stupidités inutiles, nous sommes tous Algériens à l’instar d’autre pays du monde, il faut éviter toutes les mauvaises langues et bâtir ensemble au lieu de détruire le pays. Élaborer, développer et étudier une langue ce n’est pas un jeu d’enfant, c’est des milliers d’années de labeur et encore faudrait il qu’elle soit acceptée comme outil de travail. Rabi yoster!
    Vive l’Algérie libre et indépendante, Allah yarham nos Chouhadas qui se sont sacrifiés pour le bled.

      AÏT Chaalal
      15 décembre 2017 - 17 h 19 min

      Je vous conseille vivement de refaire vos cours d’histoire et surtout d’arrêter de fumé de l’herbe et de lire les charabias de pseudo docteur Othman Saâdi ..L’Algérie et son peuple n’ont jamais étaient des arabes et ils ne serons jamais autre chose que des Berbères .

      Anonyme
      15 décembre 2017 - 18 h 41 min

      @Anti Heffafin ; لو سمحت نوع الحشيش ؟

    MoiNews
    14 décembre 2017 - 20 h 15 min

    Une très bonne initiative mais sans faire deux poids et deux mesures;le jour de l’an Amizigh férié;le jour de l’an M’zab férié;l’accession ou pouvoir du président Bouteflika férié;le jour de naissance de notre grand docteur Ould abbès; férié;le 19 mars jour ou nos dirigeants actuel ont rejoint le maquis

      ALI
      15 décembre 2017 - 15 h 29 min

      @MoiNews
      J’abonde dans votre sens,mais il faut rajouter les autres fêtes pour ne pas léser personne,donc il faut fêter egalement:
      eyanner sauce arabe; eyanner sauce kabyle,eyanner sauce chaoui, eyanner sauce targui et mozabite et les eyannars des autres minorités ethniques ,le nouvel an universel.Sans oublier de fêter les naissances et morts des rois agallides et les événements religieux.
      Avec toutes ses fêtes l’Algérie sera en vacances 50 semaines sur 52!!!
      Bravo au parti de l’avenir d’avoir émis cette géniale! Il auras 100% d’adhésion à l’AN.

      MELLO
      15 décembre 2017 - 18 h 26 min

      Sans commune mesure entre tout ce que vous rapportez. YENNAYER est bel et bien le nouvel an d’un peuple Algérien fier de son identité.

    elhadj
    14 décembre 2017 - 19 h 01 min

    avec le nombre de jours fériés déjà prévus ajoutes aux journées hebdomadaires de repos, le pays dont les échanges économiques et financiers se font principalement avec l Europe ne travaille en réalité durant la semaine que 4 a 5 jours par semaine et dont le rendement effectif reste a déterminer

      MELLO
      15 décembre 2017 - 18 h 31 min

      De toute évidence, personne ne travaille dans ce pays. Chaque jour de semaine est un jour de repos: voir les cafétérias, les bus, les voitures , sans oublier d’aller voir ces administrations vides de leur personnel. Ne cherchez pas des noises pour un nouvel an fêté par l’ensemble des Algériens. Se réapproprier son identité , c’est ne plus subir les affres de la culture arabe qui nous est étrangère.

    awrassi
    14 décembre 2017 - 18 h 23 min

    Excellente initiative !

    Anti khafafich
    14 décembre 2017 - 18 h 03 min

    Je me rappele encore ou nous jouons, la veille de ennayer, au carnaval (tapez ayerad ennayer beni souss Tlemcen) nos meres faisaient du couscous collectif a midi pour tous les enfants des quartiers, le soir « etrid » avec du poulet, des pois chiche et le navet algerien, ce meme soir les femmes jetaient une plante appelee « el berouag » sur les toits des maisons en guise de bonne augure pour la nouvelle annee, aussi en ce meme soir la famille se reunit autour d une « zerda » de noix de pistaches de cacahuetes de clementine de pain appele « la mouna » ….et sa par bonheur la famille avait un nouveau nee on mettait le bebe dans une « midouna » et on le couvrait de ces noix afin qu il soit genereux disait on. Aussi, quelques jour avant les femmes changeaient le decor et la peinture des maisons et une tradition ancestrale avant que la salafisation et la « fraternisation » ne ravagent tout, un peuple avec une histoire multimillenaire reduit au bedounisme abject

      ZORO
      14 décembre 2017 - 23 h 52 min

      A anti khafafich. Ca c est ton histoire et je ne dirai pas qu elle est fausse mais si un de mes meilleurs ami originaire de béni snous Si mohamed guezzam était encore de ce monde il t aurait sûrement mal vu toi qui s en prend aux arabes , c etait un pur de béni snous un homme pieux à qui je rendais visite pendant vingt ans suite à une hémiplegie qui l obligea de rester au lit.allah yerhém errijal essalihines.signe Zoro. ..Z….

    MELLO
    14 décembre 2017 - 17 h 21 min

    Janvier 2017, la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghabrit, qui avait rehaussé de sa présence une journée d’étude sur les “procédés de classement et de valorisation de la fête de Yennayer” au centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc) à Oran, s’est fait une joie d’annoncer que la fête du nouvel an amazigh a été célébrée dans 28 000 établissements scolaires à travers le territoire national.
    Le fait est inédit. Yennayer, de par la célébration qu’il a connue , est reconnu officiellement dans sa dimension nationale. S’exprimant en effet à l’ouverture des travaux de la journée d’étude, la ministre de l’Éducation nationale a souligné que la “société algérienne fête le 12 janvier depuis des milliers d’années”. Fondamentalement, la ministre n’en pense pas moins que la “célébration officielle de Yennayer est un événement à saisir dans sa dimension éducative la plus imaginative (…) d’une tradition sociale et culturelle typiquement locale”. Yennayer est une fête ancestrale qui a toujours été célébrée naturellement dans toute Tamazgha. Ce rendez-vous annuel qui coïncide avec le 12 Janvier de chaque année a pu résister aux différentes vicissitudes des siècles et des aléas de l’histoire ce qui peut être remarqué dans sa célébration spontanée dans les quatre coins de l’Afrique du Nord et en Algérie particulièrement. A Oran, on a toujours célébré Yennayer ou Nnayer sans faire parfois de lien avec son origine amazighe, m’avait confié un ami vivant en cette ville.

      ZORO
      15 décembre 2017 - 0 h 12 min

      Nous avons toujours fête en oranie ennayer et nous continuerons à le fêter sans le lier à ce mot amazigh apparu dans les années 80.Ennayer pour nous est une fête qui unit les algeriens toute et nies confondues et nous refuserons qu il soit récupérer. par des gens qui se disent «  »hommes libres.
      Signé ZORO. …Z…

        awrassi
        15 décembre 2017 - 10 h 04 min

        Tamazghra et tamazight vous gênent, c’est normal; cous êtes dans le déni (pour ne pas diire l’hypocrisie). Nous, berbères, personne ne nous gène; nous avons même porté l’islam plus haut que tous ses adeptes !

          Abdelrahmane
          15 décembre 2017 - 16 h 49 min

          tamazgha et tamazight sont des inventions récentes. on n’a jamais entendu prononcer le mot tamazgha avant l’an 2000, jamais être humain ne l’a prononcé ou écrit, c’est une invention des berberistes rifains marocains. quant à amazigh, avant 1980 vous vous appeliez, avec fierté, les berberes. ce n’est qu’après les années 90s que par complexe, vous avez considéré le terme berbere comme péjoratif (berbere = barbare) que vous avez abandonné le terme berbere et vous avez adopté le terme amazigh.

        MELLO
        15 décembre 2017 - 18 h 38 min

        Zoro, tu es comme cette tortue qui porte sa carapace toute sa vie ,et contrairement à la plupart des animaux à carapace, cela signifie que la tortue ne peut pas se retirer complètement de sa coquille.

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